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#grimper
dernierblog · 4 months
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Climb
Le thème de la semaine 27 est “climb”. A défaut de grimper dans les statistiques, je fais grimper à mon personnage la face nord du Mont Blanc (ou du Pic du Midi). 27 – Climb – Grimper Mon compte instagram
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En février viens #grimper en #foretdefontainebleau #dansle77 . #gite77ury vous accueille toute l’année en partenariat avec les #gitesdefrance_idf #gitesdefrance #seineetmarneattractivité #fontainebleautourisme pour des #sejours #nature #culture #evasion en #seineetmarne à 70 kilomètres de #Paris #vacances #paysdefontainebleau #climbing #bouldering #accommodation @gitesdefrance_idf @gitesdefrance @77vivreengrand @fontainebleau_tourisme @cybevasion (à Gîte Fontainebleau Climbing Accommodation La Martinière Gite77ury) https://www.instagram.com/p/CoMcJoqMifQ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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havensims · 1 year
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the jail Warden died and here came #Grim #Grimper usual. he made himself right at home! even started twerking 🤣 #simstagrammer #simstagram #sims4legacy #sims4gameplay #sims4cc #ts4legacy #ts4 #simstagrams #highschoolyears #thesims4 #thesims4mods #thesims4rp #thesims4roleplay #CAS #thesims4cas #copperdale #highschool #copperdalehighschool #copperdalehigh #twitchstreamer #twitchaffiliate https://www.instagram.com/p/ClUA-_vpVdp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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banqueenfrancecom · 2 years
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Le durcissement de ton des banques centrales fait grimper les taux
Le durcissement de ton des banques centrales fait grimper les taux
⚡Le durcissement de ton des banques centrales fait grimper les taux #durcissement #ton #des #banques #centrales #fait #grimper #les #taux #banque #france Le durcissement de ton des banques centrales fait grimper les taux 29 août 2022 Aujourd’hui à 13:01 Les prises de position en faveur d’un durcissement de la politique monétaire de la part de nombreux banquiers centraux suite au discours de…
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petitmonsieur1 · 1 year
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Le cycliste
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Regulus, speaking to James in the middle of a party: Tu es tellement sexy, je veux te grimper comme un arbre…
James, with absolutely no idea what Regulus is saying: Fuck, keep talking, baby, please...
Sirius, who can speak French, absolutely disgusted: No do NOT keep talking, Merlin.
(It says he thinks James is sexy and wants to climb him like a tree :D)
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iamslip · 2 years
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Ascenceur Social #grimper #glissant #jeunesse #exister #retro #computer #génération #confrontation #mépris #collage #visualyon https://instagr.am/p/Cg_KPo1K7YW/
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mels-notes · 5 months
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04.12.23
la neige sur campus est magnifique jusqu'à ce qu'il faille grimper une grande colline pour se rendre en classe :’)
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blog59-world · 2 years
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 99
Samedi :
Après avoir donné mon cours de " sport " au père de Jean et l'avoir enculé comme chaque samedi matin, je suis rentré à la maison.
Avec Marc, nous avons pas mal discuté. Je lui ai fait part que certains de mes clients m'avait demandé quand je remplacerai Jean. Il a beau être très performant, ils commencent à s'en ennuyer. Comme j'ai un débouché pour Jean avec un des clients de son premier Gang bang qui le voudrait en exclusivité, ce ne serait pas de la perte sèche. Par contre il va falloir que je trouve un jeune mec, tout juste 18 ans mais en paraissant 2 à 3 de moins. Marc me demande comment je vais m'y prendre. Je lui dis que je vais demander à Jean de me trouver un jeune bourge bien coincé, qui lui ressemble (blond, fin, imberbe) avec des parents plutôt absents et de lui faire baiser sa mère, puis je viendrais l'enculer alors qu'il la sodomise. Avec fotos + film, j'aurais le moyen de pression.
Samir qui m'avait entendu (leur service complet à commencé aussitôt) s'approche de nous et me dit qu'il avait peu être un petit beur qui ferait mon affaire. Je lui demande de s'expliquer. Dans sa cité, il connait un jeune comme je cherche qui passe ses journées à glander et dont le père est soul dès 9h le matin. Il me le décrit : 1m65, fin, basané mais pas trop foncé, cheveux noir, visage mignon. Ça me va bien. Il me dit que son père ne s'apercevra même pas que son fils découche. Quand je lui demande ce qu'il entend par là, je ne tiens pas à kidnapper un ado ! Il me répond qu'il a 18 ans, que ce sera pour son salut car sinon, il n'allait pas tarder à être récupéré par une des bandes de trafiquants de drogue du quartier et à finir bien pire. Ça élargirait mon " écurie " et je pense que par un ou en duo avec un blondinet, ça pourrait rendre pas mal auprès de mes clients.
Marc me fait remarquer que ça va me prendre du temps. Je me demande comment tout concilier, mon Marc que j'adore, les plans " putes ", Emma, les cours du samedi matin et nos potes !! Mais bon ! Si nous voulons garder Samir et Ammed à notre service, c'est pas avec mon salaire de dessinateur de Jardin que je vais y arriver. De plus c'est un trip que j'aime bien, ça m'excite d'organiser les rencontres.
Je demande à Samir quand est ce qu'on pourrait le rencontrer son ptit beur. Il me dit que si on veut, il peut organiser ça pour la semaine prochaine. Je lui dis que pour une première fois ce serait mieux de le voir dans un hôtel, si ça collait pas, ce n'était pas la peine qu'il connaisse notre adresse et autres détails intimes.
Le vendredi soir suivant :
Je pars avec Samir dans sa voiture. Quand nous arrivons dans sa citée, à la troisième rue, nous tombons sur le jeune en train de trainer sur les trottoirs. Samir lui dit de grimper à bord. Il obtempère tout content de faire un tour. Samir me le présente et lui dit que nous allons " jouer " un peu ensemble comme il lui en a parlé deux jours avant. Il a l'air tout content. On discute un peu sur ce qu'il fait autrement, rien ! c'est étonnant qu'il ne soit pas déjà embarqué dans une bande. Mais en discutant un peu plus je vois que sans être idiot, c'est pas non plus un académicien ! Nous arrivons à un hôtel à carte. Je prends une chambre et nous y allons tous les trois. La porte fermée je dis " tous à la douche et commence à me dévêtir. Samir fait pareil et Jimmy nous suit. Quand nous sommes tous à poil, je peux le détailler. Il est uniformément basané, pas de marque de maillot, musculature fine, imberbe sauf au niveau du sexe et des aisselles, sexe par ailleurs plutôt petit, visage d'ange, cheveux noir bouclés. Je vais avec lui sous la douche, pas de mouvement de recul de sa part.je le savonne de la tête aux pieds et il se met à bander, à tout casser 14cm sur 3 de diamètre.
Je lui demande de me laver. Il le fait consciencieusement n'oubliant aucun des endroits cachés. Comme je bande, il admire l'engin et le flatte d'un mouvement de va et vient qui l'hypnotise. Doucement il fait glisser le prépuce pour cacher le gland puis le découvrir. C'est vrai que lui est circoncis. Samir nous rejoint. La douche est trop petite et il se savonne en se frottant sur nos corps déjà enduits de savon. Rinçage et séchage. Sur le lit, Jimmy se place entre nous deux. Sur le dos, il prend une bite dans chaque mains. Je suis dans sa droite plus agile que sa gauche. Il nous branle efficacement. Je me penche vers lui et lui demande si il a déjà baisé. Réponse négative, les meufs le trouve trop jeune. Quand je lui demande si des mecs l'avaient touché, il me répond non. Samir me confirme qu'il ne l'a jamais vu accompagné. Je vais me faire un puceau, miammmm. Je me mets sur le dos et demande à Jimmy de se placer à 4 pattes entre mes jambes et de me sucer. A Samir je demande de lui préparer la rondelle. Je prends la tête de Jimmy entre mes mains pour bien le guider dans sa pipe un peu brouillonne (sa première faut excuser !). Quand Samir lui écarte les fesse et commence à lui bouffer l'oignon, il a l'air d'apprécier. Il tortille du cul et laisse passer des gémissements le long de ma queue qui le bâillonne. Je lui dis de se concentrer sur sa pipe. Je lui reprend la tête entre mes mains et accentue la profondeur. Bientôt je viens buter régulièrement sur sa glotte. Pas de crispation notable, pas de haut le coeur. Je me redresse et lui demande de se mettre sur le dos. Je tire sa tête hors du lit pour la pousser en arrière et y remet ma bite. Elle coulisse plus facilement. Je compte bien lui investir la gorge rapidement ! En attendant, je tire ses chevilles vers moi pour lui soulever le cul et les tiens écartées pour que Samir reprenne l'assouplissement de sa rondelle. Quand il relève la tête je vois la progression. L'anus couvert de salive, qui s'entrebâille gentiment. Samir pointe sa langue et force le sphincter. Le ptit Jimmy à l'air d'apprécier. Je continue toujours en parallèle mes coups de rein. Je me décide à enfoncer ma queue plus loin. Je dis à Jimmy de respirer un grand coup et aussitôt après je lui défonce la gorge. Je ressorts rapidement. Il tousse un peu je lui dit de se caller avec mes sorties pour respirer et reprend le travail. Il tousse encore deux trois fois avant de prendre le coup. Sa gorge est divine. Elle m'enserre le gland, le pressant fortement. Comme il ne peut s'empêcher d'avaler, c'est encore meilleur. Je demande à Samir s'il a fini de le préparer. Il me répond qu'il ne lui à jusque là introduit que son pouce. Je lui dis que ça me va. Me faire un vierge étroit, ça me rappellera Pierre et Ric. Je sors de sa bouche et lui fait faire un 180° et tiens ses jambes en l'air pour mettre son cul devant ma bite. Samir approche sa tête de la sienne pour lui prodiguer des conseils pendant que je l'enculerai. Je couvre ma bite de gel et enfonce mon majeur et l'indexe couvert de ce même gel dan son trou. Il sursaute un peu mais Samir lui tient les épaules. Je tourne les doigts plusieurs fois pour bien étaler le gel dans son cul. ;Puis je pose mon gland luisant sur sa rondelle. J'entend Samir lui conseiller de pousser (comme pour chier) quand je commencerai à entrer. Je laisse mon gland sur la rondelle un moment. Je veux qu'il me demande de le mettre, ce qu'il fait, énervé d'attendre. Je pousse alors doucement mais fermement et sans m'arrêter. Mon gland écarte son trou, je pousse il entre entier. Jimmy souffle fort mais encaisse comme un pro. Je continue ma glissade vers ses profondeurs. C'est trop trop bon. Ma bite est serrée, compressée par son boyau. Va y avoir du travail avant de pouvoir le faire saillir par les taureaux de ma clientèle. J'arrive à tout entrer, concentré sur ma bite, je n'avais pas remarqué que Samir l'avait aidé en lui faisant respirer du poppers. Je comprends mieux l'aisance avec laquelle je me suis enfoncé en lui (aisance mais pas facilité !).
Le ptit Jimmy est un peu " parti ", je recule lentement avant de m'enfoncer de nouveau en lui (une couche de lubrifiant en plus). C'est vraiment très bon un puceau. J'augmente progressivement mes va et vient. Ses chevilles dans mes mains, j'écarte ses jambes pour mieux me laisser l'accès à ton trou. Il a l'air souple, je continu et arrive presque à les tenir façon grand écart. C'est un plus non annoncé ! Je me couche sur lui et commence à l'embrasser. Je lui fourre ma langue dans sa bouche et il comprend assez vite qu'il doit la " batailler " avec la sienne. Qu'elle fraîcheur, j'aime l'innocence avec laquelle il aborde cette partie de sexe. Je sens sa petite bite toute raide contre mes abdos. Se contracter et expulser quelques millilitres de foutre. Ça m'excite suffisamment pour qu'à mon tour je me lâche et lui remplisse le cul de mon jus. Quand je sors, je lui demande de bien serrer les fesses pour tout retenir en lui. Il m'obéi et je vois son anus se fermer juste après la sortie de mon gland. Samir le prend dans ses bras et le félicite, du coup Jimmy à l'air très content de lui avoir fait plaisir. (Je saurais plus tard par Jimmy qu'en fait il est un lointain cousin à lui).
Je demande à Jimmy si il était libre ce WE, il me répond -libre comme l'air, son père étant parti en virée avec un pote de boisson.
Après une bonne douche, je décide de l'embarquer et de l'offrir à Marc en avant première. Et puis je dois commencer son éducation/élargissement, il va y en avoir pour quelques semaines avant que je puisse lui présenter ma brochette de TTBM.
Avant de partir, je lui demande ses papiers. Je veux vérifier son age. Il me sort une carte d'identité française prouvant ses 18ans.
JARDINIER
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Vous êtes plutôt #ski ou #varappe #escalade ? Lors des prochaines #vacances #vacancesdefevrier , venez #grimper en #foretdefontainebleau . Team #gite77ury #gitesdefrance #gitesdefrance_idf vous accueille au Coeur d’#Ury #village et accueille votre #animaldecompagnie au tarif de 5€ / jour . #february #holidays come and #climb in #Fontainebleauforest with your pet . The #gite is a #petfriendly #accommodation (5€/day/pet) #climbing #bouldering #instaclimb #fontainebleauclimbing #dansle77 #seineetmarnevivreengrand #nature #culture #evasion @gitesdefrance_idf @gite77ury_climbing_bleau @fontainebleau_tourisme @77vivreengrand @ury_fontainebleau (à Forêt de Fontainebleau) https://www.instagram.com/p/Cn1VG1esb01/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Fourmi sous cloche 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Alors que je ne pensais plus en photographier, une dernière fritillaire m'attendais sur ma prairie préférée. Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, j'ai repéré cette petite fourmi en train de grimper sur la belle ! Un joli duo pour une dernière. 🇬🇧 While I no longer thought to photograph any more, a last fritillary was waiting for me on my favorite meadow. And as one good news never comes alone, I spotted this little ant climbing on the flower ! A nice duo for one last picture. https://ift.tt/gozQKwh
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la-isla-blanca · 25 days
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bonjour à tous ♥
toute la team, @erinye-stuff, nox et @romystigri est ravie de vous présenter la neuvième version de la isla blanca. de nombreuses nouveautés sont au programme, comme par exemple l'apparition des personnages éphémères, et bien d'autres choses encore.
l'intrigue du mois; cette année, l'incomparable carnaval d'ibiza est annulé. les commerçants souffrent du manque de tourisme, alors que l'île se trouve bien vide. l'arrivée de la nouvelle mairesse à la tête de la municipalité n'a su faire taire les grondements souterrains. malgré ses campagnes anti-corruption et les nouveaux moyens mis dans les forces de l'ordre, le taux de criminalité ne cesse de grimper. alors que les organisations criminelles semblent toujours confortablement installées, de petits groupuscules indépendants font leur apparition. personne n'est à l'abri, entre cambriolages et rapts, meurtres et disparitions. certains n'osent plus sortir le soir, d'autres ne semblent pas réaliser l'ampleur de la situation. pourtant, chacun à son rôle à jouer. qui serez-vous ? le bourreau, la victime, le témoin silencieux, une pie bavarde ? ouvrez grand les yeux, et jetez un œil par dessus votre épaule si par hasard vous vous aventurez à dehors passé une certaine heure.
-- sur lib, nous cherchons à intégrer toutes sortes de personnages, toujours avec bienveillance. entre ombre et lumière, vous avez possibilité d'incarner une large palette de personnages, du plus sombre au plus doux. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum : https://laislablanca.forumactif.com/ discord du forum : https://discord.gg/TWnNCehXJG
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ernestinee · 4 months
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J'ai échoué.
Une enfance à être sage comme une image, dessiner, lire, étudier, me tenir droite.
Apprendre vite, jamais malade, intéressée, calme au restaurant, me tenir droite, bien droite sur ma chaise, les couverts bien en main, finir mon steak.
Dessiner, colorier, lire, apprendre, bien parler, bien articuler, être polie, soigner mon vocabulaire, être calme, méticuleuse, attentive, arrêter d'être dans la lune. Finir mon assiette même si c'est froid. Me dépêcher.
Arrêter de parler aux animaux, aux fleurs, aux arbres, au ruisseau, arrêter de contempler, arrêter de ramasser des cailloux, des plumes, des coquilles d'escargots, me laver les mains, bien frotter les ongles, me concentrer, me tenir droite, être sage.
Et m'évader parfois, écouter le chuchotement des arbres avec mon grand-père, m'enivrer de l'odeur de ses tomates, mettre une framboise sur chaque doigt, éclater les grosses groseilles blanches entre la langue et le palais, grimper sur le tas de bois avec le coq de la basse-cour et lui raconter ma journée pendant qu'il s'endort sur mes genoux, lire sur une grosse branche, m'endormir dans le poulailler.
Une adolescence à étudier, être bien, savoir bien, expliquer calmement, ne pas crier, pas d'éclat, pas claquer les portes, bien manger, être cartésienne, logique, marcher droit, avancer, me décider, comprendre la politique, connaître l'histoire, m'intéresser à tout pour pouvoir tenir une conversation, étudier beaucoup. Vite et beaucoup.
J'ai passé des années à tenter d'entrer dans le moule prévu pour moi, mais j'ai été régulièrement ramenée à ma propre réalité, comme si un élastique m'empêchait de trop m'éloigner de mon enfant intérieur. Je me suis conformée à ce qu'on attendait de moi, avec parfois quelques éclats plutôt salutaires pour la plupart.
J'ai aiguisé mon libre arbitre sur le tard, une fois lancée dans cette vie que j'ai déjà qualifiée de tunnel, et voilà seulement quelques années que l'enfant intérieur parle plus fort que l'adulte. Il hurle parfois, il me hurle dessus quand je suis trop organisée. Trop rapide, trop concentrée, trop absente de ma vie. J'ai décidé de vivre slow et d'embarquer ma famille là dedans, de réduire presque à néant ma consommation de viande, d'être lente et contemplative sans que ça ne soit péjoratif, d'écouter davantage la nature et ma nature.
Des années à me conformer et avant-hier je parlais à ma mère de l'un de ses voisins, "il est bizarre" me dit-elle "tu t'entendrais bien avec lui". Je questionne d'un regard. "Beh t'es un peu bizarre, comme adulte"
Victoire, j'ai échoué !
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alexar60 · 8 months
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Camille
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Mes grands-parents avaient acheté une résidence de vacances du côté de Vannes. Pour la crémaillère, ils avaient invité toute la famille à passer quelques jours. Je devais avoir cinq ans et découvris des cousins que je ne connaissais pas. En fait, il s’agissait surtout des enfants des  cousins de ma mère.
Lorsque nous arrivâmes devant la maison, nous vîmes un terrain immense sur lequel se promenaient de nombreuses personnes. On était plus proche du repas de mariage que d’un simple weekend à la campagne. Avec ma sœur, nous nous retrouvâmes au milieu d’une farandole de personnes que nous ne connaissions pas. J’eus le droit à des surprises, des bonjours d’étonnements, des bisous baveux de vieux adultes, des « mais qu’est-ce qu’il a grandi, il n’était pas plus haut que trois pommes la dernière fois qu’on l’a vu ! ». Bref, je n’étais pas à mon aise. Alors, je m’éloignais et pendant que ma sœur était prise en charge par mes cousines, je regardais les cousins jouer ou discuter. Tous étaient plus vieux que moi d’au moins cinq ans. Comme je me sentis exclu, je visitais ce grand terrain. Il y avait des fleurs alignées en cercle ou en carré, des tulipes, des hortensias, des roses et j’en passe. Il y avait des arbres mais aucune branche ne me permettait de grimper dessus. Je marchai lentement sans savoir quoi faire. Je voyais toujours les adultes discuter et les entendais rire. En fait, j’étais le seul à ne pas être réellement ravi d’être en cet endroit.
Avant de faire demi-tour, je vis une petite fille. En apparence, elle était plus vieille de deux ans, peut-être trois. Ses longs cheveux blonds semblaient briller avec un reflet de soleil. Elle lisait assise au milieu d’un cercle de livres ouverts. Elle me sourit avant de dire bonjour. Dès lors, j’approchais tout en rendant son sourire.
Comment t-appelles-tu ? demanda-t-elle.
Alexandre.
Enchantée, moi c’est Camille. Que fais-tu ici ? Tu n’es pas avec les autres en train de jouer ?
Non.
J’étais timide. Même avec une cousine, je restais timide. J’observais les livres. Ils n’avaient aucune image, ne comportant que des textes. J’approchai la tête pour les regarder de plus près lorsqu’elle demanda :
Sais-tu lire ?
Je hochai négativement de la tête. Dès lors, elle me proposa d’approcher et de jouer à la maitresse d’école. Je m’assis à côté d’elle et l’écoutais attentivement cherchant à comprendre le sens des lettres, les mots qu’elle prononçait. Ce n’était pas un exercice facile car je n’arrivai pas à lire parfaitement les lignes qu’elle montrait du doigt. Toutefois, je réussis à retenir quelques mots.
La matinée se passait à écouter Camille faire sa leçon de lecture. Soudain, un appel annonça le repas du midi. Je me levai immédiatement et rejoignis la famille sans m’occuper de Camille. Je n’entendis pas cette dernière courir avec moi. A l’instar des repas de famille, celui-ci fut long et pénible. Je regardai les plats se suivre, j’attendais le suivant. Je restais à la table des enfants écoutant les grands cousins déblatérer des idioties pour se la péter, et les cousines dont les plus petites  somnolaient à moitié. Après avoir fait tour visuel du groupe, je ne remarquais pas Camille. Je demandai à Carole, ma cousine la plus proche si elle savait où elle se trouvait. Mais, Carole ne put répondre car elle ne la connaissait pas. Cependant, en sortant de table, elle m’aida à chercher Camille, en vain. Elle questionna les adultes.
Camille ? Chérie, on a une Camille parmi nos petits-enfants ? interrogea mon grand-père.
Non, répondit ma grand-mère. Et dans les petits-neveux non plus.
J’expliquai où je l’avais rencontrée. Ma grand-mère caressa mes cheveux recoiffant la raie au passage. Puis, elle expliqua que des enfants du hameau venaient parfois dans le bois car il n’était pas clôturé. Déçu, je passai le reste du weekend à m’ennuyer.
Durant les vacances suivantes, je revis Camille. Elle était au même endroit à lire. Elle n’avait pas changé et portait une couronne de fleurs sur la tête. Elle me reconnut, me sourit et proposa de me faire une leçon de lecture. Je l’écoutai lire un passage des trois mousquetaires d’Alexandre Dumas. Je ne comprenais rien mais restais captivé par sa façon de parler. Je sentais une douceur enivrante m’envahir, je sentais des papillons chatouiller mon ventre. Il faisait beau et j’étais heureux de la revoir, heureux qu’elle ne m’oublie pas. Je montrais mes prouesses en lecture et regrettais de ne pas avoir de crayon pour montrer que je savais aussi écrire.
Je passais l’après-midi avec Camille, oubliant ma famille, mes parents qui partageaient leur temps avec mes grands-parents. J’oubliais ma sœur qui préférait jouer à la poupée sur la terrasse. Quand ma mère m’appela pour le goûter, je proposai à Camille de venir. Elle refusa préférant se nourrir de connaissances. Je partis lui promettant de revenir avec un morceau de chocolat dans du pain. A mon retour, Camille et ses livres avaient disparu.
Toutefois, elle était présente le lendemain puis le surlendemain. Nous jouions à lire et à écrire car cette fois-ci, j’avais pris du papier. Elle lisait énormément et j’écoutais. Parfois, elle me faisait lire corrigeant quelques mots ou la ponctuation. Elle avait pris une pièce de théâtre. Je ne comprenais rien mais c’était drôle de lire chacun son tour. On se donnait des personnages. Parfois, elle prenait une grosse voix pour parler à la place d’un homme. Le soir, je repartais rejoindre la famille.
Par la suite, je la questionnai sur ses parents, où elle habitait exactement. Elle restait évasive me signalant que sa demeure était complètement noire et humide. Son père était ingénieur. Quant à sa mère, elle ne travaillait pas. Pourtant, elle aurait dû être médecin.
Il y eu une nuit étrange. Je dormais dans la même chambre que ma sœur. Nous avions chacun notre lit. Je fus réveillé par un son bizarre. Je compris qu’il s’agissait du grincement de la porte, à cause d’un courant d’air. Le drap de mon lit se leva et ma sœur  s’allongea à côté de moi. Cela arrivait qu’elle fasse des cauchemars. Alors, elle préférait me rejoindre plutôt que de rester seule dans son lit. Enfin, je crus que c’était ma sœur parce que cette nuit, je reconnus le visage de Camille. Elle parla doucement.
Ça ne te dérange pas que je dorme avec toi ? J’ai froid et j’ai peur. Il fait tout noir.
Je laissai mon amie se blottir contre moi. Son corps, ses mains étaient gelées. Je ne l’interrogeais pas sur sa présence dans la maison. Nous dormîmes. Au matin, elle avait disparu. Je me levai seul. Ma sœur était déjà debout. Je descendis à la cuisine et demandai si quelqu’un avait vu Camille partir. On me dévisagea. Mes parents pensèrent que j’avais une copine invisible. Je compris que j’avais rêvé.
Durant l’après-midi, lorsque je revis Camille, toujours au même endroit, je parlais de ce rêve. Elle sourit et baissa la tête. Elle choisit un livre : Alice au pays des merveilles. Dès lors, je restai obnubilé par cette histoire fantastique. J’écoutais la petite fille lire avec passion. Et pour la première fois, je comprenais l’humour dans un récit.
Camille n’était pas là pendant les vacances suivantes. J’avais sept ans. Je passais souvent dans le bois au fond du jardin en espérant la voir, mais je ne voyais que de l’herbe et des arbres. De temps en temps, je m’asseyais ou m’endormais en attendant son retour. Elle n’est jamais revenue. Les années passèrent sans que je n’oublie la petite fille rencontrée au fond du jardin de mes grands-parents. Ce même jardin rétrécissait en vieillissant. Le bois ne semblait pas si grand. Mais le regard de l’adolescent n’est pas celui de l’enfant.  De temps en temps, je retournais dans cette petite forêt à me souvenir que j’y avais vécu de très beaux moments. J’imaginai un livre oublié posé sur l��herbe par Camille. Cependant, il n’en fut rien.
Cela faisait vingt ans que je n’avais plus entendu parler de Camille. J’écoutais un documentaire télé sur des enquêtes non résolus. Quelle fut ma surprise que de voir le portrait de Camille entre celui de ses parents. Sa famille était portée disparue dix ans avant notre rencontre. Aussitôt, je suivais l’affaire avec attention. La famille de Camille passait des vacances dans le même hameau où se trouvait la maison secondaire de mes grands-parents. Il y avait bien quelques suspects, seulement personne n’avoua quoi que ce soit. Après une nuit de réflexion à  chercher à comprendre pourquoi je l’avais rencontrée, pourquoi je lui avais parlé et pourquoi, elle n’avait pas changé, c‘était surtout ce lieu noir, humide et froid qui m’intriguait. J’appelai dès le matin mon grand-père. Nous discutâmes de cette affaire.
Au fait Papy, tu as déjà pensé à faire sonder le jardin ?
Pourquoi faire ? répondit-il avec une voix étonnée.
C’est presqu’une ferme. Et je me disais qu’il devait peut-être y avoir un puits caché ou quelque-chose comme ça. Une cave ?
 Tu sais que ça pourrait être une bonne idée. Un puits m’aiderait pour arroser les fleurs.
Deux mois plus tard, ma mère appela. Elle m’annonça qu’on avait trouvé des corps dans un puits fermé chez ses parents. La maison faisait la une des journaux télé. Effectivement, je reconnus la maison. De nombreux gendarmes encerclaient la demeure. Néanmoins, on pouvait remarquer un groupe de personnes en combinaison blanche en train de marcher vers un trou entre les arbres. Et le lieu du trou était la position exacte où Camille lisait.
Quelque-jours plus tard, je passais voir mes grands-parents. Ils racontèrent la découverte du puits et celle de Camille et de ses parents. Mon patriarche gardait le journal qui expliquait les causes de la mort. Ils avaient été exécutés d’une balle en pleine tête. L’enquête aboutit que c’était en pleine nuit et qu’ils dormaient au moment des faits.
J’accompagnais ensuite mes grands-parents vers le puits.  Nous regardâmes pendant un long silence ce trou ouvert. L’atmosphère était remplie à la fois d’émotion et de libération. Un vent frôla mon visage. Je levai les yeux et crus apercevoir la silhouette d’une petite fille qui s’effaçait doucement.
C’était juste bouché par une dalle en béton et recouvert d’un tapis de verdure, annonça papy. Le puits ne contient plus d’eau.
C’est grâce à ça que les ouvriers ont vu les ossements, ajouta mamy.
Mon grand-père me regarda avec son air perplexe. Il posa sa main sur mon épaule puis hocha la tête en souriant.
Je me souviens que c’était à cet endroit que tu jouais tout seul quand vous veniez. Tu prenais toujours du papier et des crayons et tu jouais ici…Elle s’appelait comment déjà ton amie imaginaire ? Camille ?
Je répondis d’un geste de la tête.
Comme la petite qui était dans le trou, murmura-t-il.
Il ne posa pas d’autres questions. Nous rentrâmes et je passais la nuit chez eux.
Lorsque ma première fille est née, nous l’avons appelée Camille par hommage. Et elle a adoré apprendre à lire.
Alex@r60 – août 2023
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Je me suis baladée toute la matinée avec Fenris dans un bouillonnement de sève, d'ardeur, de bleu, de vert et de soleil. Lui il récoltait ses tiques et puces amassées à l'entrée du terrier des renards ou bien fourrées dans les hautes herbes et moi je prenais des photos, dont quelques-unes qui se sont faites toutes seules d'ailleurs comme celle d'en haut. On est bien là, Fenris et moi... Cet endroit nous rend fous de bonheur, à courir partout, à grimper tous les rochers, à s'extasier devant la beauté, la seule qui ne fait pas de manière, à siffler les rapaces pour les faire venir; tiens ce matin, un grand corbeau solitaire suivi de près par un milan royal (lui aussi tout seul, étrange d'ailleurs, ils volent souvent en couple ceux-ci mais peut être qu'il était en chasse pour nourrir la femelle qui couvait) ont rappliqué illico presto, à croquer les fleurs comestibles pour moi, ou le chiendent pour Fenris, à ramasser de tout et n'importe quoi, des cailloux, des bouts de bois, des graines... J'aime le printemps, ici, en Catalogne française. D'ici à un mois, toutes les fleurs auront explosé du rire de leurs couleurs, le muscari, le lin vivace, l'asphodèle, la fleur de bruyère , la lavande vraie ou officinale, celle endémique de la garrigue, l'immortelle, la ciste (ma chouchou), le laurier Tin, la santoline, les orchis et les deux stars que sont le thym et le romarin. J'en oublie bien sûr, pardonnez-moi, mes demoiselles... Tout cela, cette beauté, cette joie qui nous vient, à Fenris et moi, ce calme, ce bien-être sans pareil, ce bain d'arômes, de senteurs, d’effluves, d'images, de vibrations j'aime beaucoup le partager ici avec vous. En toute simplicité.
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Pierre de Corail fossile. Nous sommes à plusieurs centaines de mètres d'altitude et pourtant ici avant, il y a des millénaires en arrière, c'était la mer...
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