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#j'aime paris au mois de mai
fidjiefidjie · 1 month
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Bon Soir đŸ’™đŸ—ŒđŸ‘ŒđŸŽ™â€ïž
Charles Aznavour et Zaz đŸŽ¶ J'aime Paris au mois de Mai
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newmic · 1 year
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perduedansmatete · 5 months
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2023 merdier sans nom
l'impression de m'ĂȘtre fait rouler dessus, d'avoir Ă©tĂ© dans un tunnel, j'ai Ă©tĂ© malade toute l'annĂ©e, des allergies m'ont pourri la vie quatre mois et mon corps m'a fait si mal mais si mal, j'ai voulu mourir d'avoir si peu de chance et j'ai passĂ© l'annĂ©e Ă  me dire que je ne tenais plus debout, je suis tombĂ©e et tombĂ©e par terre je me suis beaucoup fait mal sans faire exprĂšs, peut-ĂȘtre un peu en le faisant exprĂšs, on m'a beaucoup fait mal aussi mais gĂ©nĂ©ralement j'ai aimĂ©, sinon j'ai accompli des choses, bosser avec ma bĂȘte noire Ă  savoir les enfants et surtout les adolescents non pas une mais deux fois, sous payĂ©e la premiĂšre car service civique, sous payĂ©e la deuxiĂšme par rapport Ă  ce qu'on me demande car Ă©ducation nationale, mais je dois dire que malgrĂ© tous les problĂšmes j'aime plutĂŽt ça, enfin je dĂ©teste pas, j'ai repris les Ă©tudes, je ne sais pas trop pourquoi et vers oĂč mais je suis assez fiĂšre d'avoir rĂ©ussi oĂč j'avais Ă©chouĂ© l'annĂ©e derniĂšre Ă  savoir trouver l'Ă©nergie pour faire des dossiers, passer des entretiens, les rĂ©ussir et puis je me sens bien avec les gens de mon master, j'avais trĂšs peur de passer les mĂȘmes annĂ©es qu'en licence mais plus le temps passe plus je crois que je commence Ă  nouer quelques relations dont certaines (une surtout) qui je le pense va ĂȘtre trĂšs importante pour moi, si je repense au positif il y a aussi tous les petits les week-end qu'on s'est fait avec mes meilleures amies, pas de vacances ensemble cet Ă©tĂ© mais ça sera pour l'annĂ©e prochaine, en parlant d'amies j'ai dĂ©couvert que je pouvais encore ĂȘtre intensĂ©ment déçue et blessĂ©e par quelqu'un que j'aime depuis toute petite, que ça laisse des traces indĂ©lĂ©biles mais d'ici l'Ă©tĂ© prochain j'imagine que je ne peux que me souhaiter d'aller mieux, d'enfin aller parler Ă  quelqu'un de ce qui m'arrive, ce qui m'est arrivĂ© et de ce qui me bouffe depuis des annĂ©es, de rĂ©ussir Ă  entretenir seulement des relations qui me font du bien et qui me rendent heureuse, d'accepter que j'ai le droit d'aller bien, de demander des choses, de poser des limites et qu'on me respecte, puis de ne pas retomber dans des schĂ©mas de merde dans lesquels je me mets en danger comme toute cette fin d'annĂ©e qui ne m'aura pas laissĂ© de rĂ©pit, pour ça aussi que je ne veux pas rentrer Ă  paris et que je retarde et retarde mon retour Ă  la vie rĂ©elle en restant Ă  strasbourg oĂč je me sens (toujours) si bien
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blauesonnenblume · 2 months
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Lundi et mardi j'ai eu des journĂ©es un peu plus longues et intenses que d'habitude (genre rĂ©union lundi soir Ă  l'heure oĂč je pars normalement, hier j'ai passĂ© 5 heures Ă  faire des boulettes d'isotopes bref du labo long et extrĂȘmement rĂ©pĂ©titif) mais en sortant du bĂątiment vide hier soir je me suis dit que j'avais tellement de chance d'ĂȘtre ici. J'ai pris mon vĂ©lo il faisait beau, je suis Ă  10 minutes de vĂ©lo de chez moi et le trajet est chouette, que des pistes cyclables sans voitures ou presque, le vieux port, le soleil de fin de journĂ©e. J'ai envoyĂ© un message Ă  L pour lui dire de me rejoindre pour aller boire un verre, finalement on a pas rĂ©ussi car toutes les terrasses de tous les bars que j'aime bien Ă©taient pleines Ă  craquer, donc on est rentrĂ©s et il a fait semblant d'ĂȘtre serveur et il a mis une musique d'ambiance "busy bar at night" pour qu'on boive une biĂšre tous les 2. Demain soir on va Ă  Paris pour le week-end et ça me fait un peu de peine de rater la soirĂ©e sur la plage de cĂ©lĂ©bration du printemps, mais je n'ai pas le choix c'est pour le visa mdr. Au moins je vais pouvoir retrouver un peu mes copains. AprĂšs avoir vĂ©cu 3-4 ans Ă  Paris, quand j'y retourne c'est toujours avec apprĂ©hension car je dĂ©teste le mĂ©tro, je dĂ©teste le monde partout, tout le temps, sans que ça ne s'arrĂȘte jamais. Je ne comprends pas comment on peut passer sa vie Ă  faire ça tous les jours, Ă  s'imposer 2 heures (quand tout va bien) de trajet pour aller bosser, dans cette ambiance suffocante. Je sais qu'il y a des gens qui n'ont pas le choix aussi. Disons que ça me rend folle qu'autant de gens perdent leur temps et leur joie de vivre dans les transports Ă  cause de la centralisation parisienne. Si je perdais ces deux heures par jour, je serais Ă©puisĂ©e et malheureuse. Je suis trop attachĂ©e Ă  mon temps, Ă  l'ocĂ©an, Ă  la tranquillitĂ©. Mais en contrepartie je perds d'autres choses, comme ma vie sociale, car Ă  force de passer 6 mois par ci et 6 mois par lĂ , on ne se fait pas des amitiĂ©s trĂšs durables, elles mettent du temps Ă  se construire et toujours avec la perspective du dĂ©part. Comment sera ma vie dans 10 ans ? J'espĂšre que je serai stable, heureuse, et au bord de la mer.
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oldtvandcomics · 9 months
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Salut ! D'habitude, je blogue en anglais, mais je viens tout juste de terminer ce livre en français, et je dois ABSOLUMENT en parler.
Le voilĂ  :
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Nous Sommes la PoussiĂšre, de Plume D. Serves. Photo prise ici avec la recommandation de Les Mots A La Bouche, la librairie queer Ă  Paris. C'est pas lĂ  oĂč je l'ai achetĂ© d'ailleurs, mais dans Le Nuage Vert, librairie fantastique Ă  Paris, car Paris est grande et a des magasins spĂ©cialisĂ©s comme ça (je viens de la campagne, pour moi, c'est du nouveau). J'avais demandĂ© des livres queer des Ă©crivains français (Les Mots A La Bouche) et des livres des Ă©crivains français qui parlent des minoritĂ©s, surtout queer ou handicapĂ©s (Le Nuage Vert), car je lis presque exclusivement en anglais, et je ne sais pas comment trouver le genre de livre que je cherche en autres langues, bien que je sache qu'ils existent de super choses.
Et ce livre-lĂ , il Ă©tait TELLEMENT BIEN, je ne peux pas dire.
La madame de Le Nuage Vert me l'a vendu comme science-fiction trÚs léger, mais je trouve que c'est mieux décrit comme du réalisme magique. L'idée est qu'il y a cette condition qui fait matérialiser autour des gens un nuage des particules de poussiÚre électromagnétiques, ce qui évidemment va impacter la qualité de vie. Ce qu'est pire, c'est tous les stigmas sociétaux qui viennent avec. En fait, c'est un handicap et traité comme un. Le personnage principal est une jeune femme diagnostiquée assez tard, qui vécut toutes ces discriminations, et s'engage dans de l'activisme pour les combattre. Elle est aussi lesbienne.
Et ce livre, il parle DE TOUT. Je n'ai jamais vu la monde dans laquelle j'existe représentée comme ça avant.
Il parle des difficultés de recevoir une diagnose, le sentiment de voir ta vie se passer sans toi, les différentes difficultés des gens qui sont diagnostiqués comme adultes vs comme enfants, le privilÚge de "passer", la discrimination que font face les couples handicapés qui veulent des enfants, les difficultés d'organiser un mouvement activiste, activisme violent vs non-violent, la médecine alternative, les difficultés qu'ont les parents à se faire croire si leur enfant a un handicap invisible, l'intersectionnalité des identités marginalisées et comment la société les criminalise... Je ne balgue pas, je pourrais encore continuer avec les sujet auquel il touche.
C'est super clair que l'Ă©crivaine a des expĂ©riences personnelles dans ce milieu (son bio dit qu'elle est militante autiste et queer, et c'est vrai qu'on reconnait la communautĂ© autiste dans celle des magnophiles). Je ne suis pas de tout, mais pas de toute une personne Ă  faire des notes dans un livre, mais ici, j'ai passĂ© toute la lecture Ă  vouloir souligner des passages que OUI, REGARDEZ, C'EST EXACTEMENT COMME CA ! (Évidemment, je ne l'ai pas fait. Je ne prends pas de notes dans des livres.)
Aussi, j'aime bien le style de l'écriture. C'est assez léger comme structure, comme ce sont des chapitres courts interrompues de textes encore plus courts dans la premiÚre et deuxiÚme personne, qui donnent voix à l'inventeur des mailles qu'ils forcent les gens à porter et a au moins deux personnes anonymes qui sont aussi en train d'essayer de vivre avec leur handicap (ou bien une personne différente chaque chapitre, ce n'est pas vraiment clair). C'est super, parce que ça aide beaucoup avec l'immersion et donne le sentiment qu'on parle d'une vraie communauté de gens, et aussi, ça permet de temps à se passer entre les chapitres. Donc la narrative est plus une collection de petits moments de la vie d'Elias, au lieu d'une narrative stricte qui progresse de A à B à C et puis c'est fini. C'est un bon choix, que rend le tout beaucoup plus réaliste.
En bref, c'est un super livre que je recommande fort de lire à tout le monde. Surtout si tu es un peu dans ce milieu de l'activisme qui se bat pour les droits de minorités. Ou si tu veux lire un bon livre d'un écrivain français.
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freddieraimbow74 · 1 month
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« J'ai interviewé Freddie Mercury dans une suite de 2400 francs par jour dans l'hÎtel Ritz, Paris, 1978 au milieu de miroirs encadrés dorés et de plafonds lustres.
ÉclatĂ© dans une robe de chambre jaune serviette, sur des slips multicolores et des chaussons en satin japonais bleu poudre, il semblait ĂȘtre une simple ombre de l'artiste scandaleux que j'avais regardĂ© sur scĂšne. Il est Ă©vasif et prudent, et n'essaie pas de lui attaquer quelqu'un.
« Pour certaines personnes, je suis toujours une salope », dit-il en riant. « J'aime ĂȘtre une salope. J'aime ĂȘtre entourĂ© de salopes. Je ne cherche certainement pas les personnes les plus parfaites. Je trouverais ça ennuyeux. Je suis comme un chien fou en ville. J'aime profiter de la vie ! ” Mercure est un individu complexe. « J'ai toutes sortes de paranoĂŻa », a-t-il acceptĂ©. « Être seul en est un. Je ne peux aller nulle part tout seul. Je dois toujours avoir quelqu'un avec moi chaque fois que je fais du shopping, probablement parce que je n'aime pas qu'on me dĂ©visage. ”
Bien que son maquillage extĂ©rieur soit recouvert d'arrogance, il est certainement gĂ©nĂ©reux. Il a offert Ă  sa petite amie, Mary Austin, un appartement de luxe Ă  Londres, et il est connu pour lancer une montre en or occasionnelle Ă  des amis spĂ©ciaux. « AprĂšs 7 ans et demi, nous sommes arrivĂ©s Ă  un accord, » a-t-il dĂ©clarĂ©. « J'ai senti que comme je suis tellement en tournĂ©e, Mary devrait avoir sa propre vie. Je vis la vie pleinement. ” Mercure a fait fortune et en a dĂ©pensĂ© une.
« Je viens juste de faire des excursions de dĂ©pense. On m'a dit de me calmer parce que le fisc va venir prendre une grosse somme. J'ai dĂ©pensĂ© environ 100 000 ÂŁ au cours des trois derniĂšres annĂ©es. ”
Il semblait content de la vie, alors j'ai demandĂ© s'il y avait quelque chose qui ne lui plaisait pas. « Mes dents. Je n'aime pas la façon dont ils protudent. Je vais les faire faire faire, mais je n'ai pas eu le temps. À part ça, je suis parfait ! ” a-t-il dĂ©cidĂ©. (Parfait, en effet ! ) ♄
Interview avec Tim Lott
« Couronne de la reine »
Publié en mai 1978
Photo de Freddie Mercury Ă  Londres en 1978 par Chalkie Davies.
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etsicetaitmavie · 11 months
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Aujourd'hui c'est mon anniversaire. J'ai passĂ© une super belle journĂ©e pas du tout prĂ©vue, mon fils Pierre m'a invitĂ© au restaurant avec ma Lali, c'Ă©tait un trĂšs joli moment, je me suis un peu reposĂ©e pendant qu'ils allaient nourrir le chat du pote de mon fils parti en vacances puis nous avons regardĂ© un film et fait des Blind test pour l'apĂ©ro et ce soir mon fils Maxime est rentrĂ© de Paris et on a dĂźnĂ© tous ensemble. Demain je le fĂȘte avec mes 4 enfants et mon chĂ©ri le soir.
Avant, je n'aimais pas fĂȘter mon anniversaire, jamais.
Mais depuis quelques annĂ©es, c'est devenu important pour moi, ces moments partagĂ©s, ces souvenirs que je garde tout prĂ©cieusement au creux de mon cƓur de maman. Maintenant que Mathilde et Pierre ne vivent plus avec moi et mĂȘme si on arrive Ă  se voir tous ensemble souvent, c'est important pour moi de se retrouver autour des anniversaires. Et c'est important aussi que mon chĂ©ri soit lĂ .
Beaucoup d'Ă©vĂšnements ont eu lieu cette annĂ©e, mon grand a quittĂ© sa copine, ma grande a trouvĂ© sa moitiĂ©, elle s'installe avec lui. Un peu loin de moi et ce n'est pas simple pour moi, je ne pourrais plus aller boire un cafĂ© avec elle les samedis aprĂšm mais quand je la regarde si Ă©panouie et heureuse alors je le suis avec elle. Ah oui et aussi elle a eu son master (avec les encouragements du jury et 14.5 s'il vous plait !). Il est possible aussi que mon grand change de ville d'ici fin d'annĂ©e. Si cela lui va alors cela ma va aussi. Mon Max est en pleine tempĂȘte avec sa copine (que je dĂ©teste profondĂ©ment de se comporter aussi mal avec lui). On a passĂ© l’orage avec ma Lali, jusqu’au prochain ?
J’ai dĂ» quitter mon travail que j’adorais et c’est encore aujourd’hui difficile pour moi d’arriver Ă  me projeter ailleurs.
Je suis heureuse auprĂšs de mon ChĂ©ri mĂȘme si des fois je voudrais plus. Plus de temps rien qu’à nous. Plus de temps tous ensemble. Des fois c’est vraiment frustrant mais ce qu’on vit c’est tellement beau que cela prend le dessus sur cette frustration.
Je veux vieillir avec lui.
Cette annĂ©e ma copine va perdre sa maman et je voudrais pouvoir  lui enlever cette infinie tristesse, je vais souvent voir sa maman et je prends le relai de ma copine (ĂȘtre aidant c’est vraiment difficile). Sa maman est une belle, une trĂšs belle personne.
Je ne sais pas demain alors je profite de chaque seconde avec les personnes que j'aime.
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putainsoumise · 11 months
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SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
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ENGLISH VERSION AFTER THE FRENCH ONE
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SERVICE(s) D'AIDE A LA PERSONNE AU CAP D'AGDE (jobs d'été) JUIN... JUILLET... AOUT... SEPTEMBRE...
Qui peut me proposer un ou des jobs d'été au CAP D'AGDE
Je peux ĂȘtre Ă  votre disposition Ă  la journĂ©e... Ă  la semaine... au mois... Mes fonctions sont multiples et variĂ©es. Je peux ĂȘtre factotum... chauffeur... faire le mĂ©nage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirĂ©es... et bien plus encore...
Plus de renseignements et explications complémentaires directement par mail
A trĂšs bientĂŽt j'espĂšre
Esclavement et Putement vĂŽtre
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SERVICE (S) FOR THE PERSON IN CAPE D'AGDE (summer jobs) JUNE ... JULY ... AUGUST ... SEPTEMBER ...
Who can offer me one or several summer jobs at CAP D'AGDE
I can be at your disposal by the day ... by the week ... by the month ... My duties are many and varied. I can be factotum ... driver ... do the housework ... do your shopping ... do the service during your evenings ... and much more ...
More information and further explanations directly by email
See you soon I hope
Slavery and Bitchy Yours ************************************************************************ MIS A VOTRE DISPOSITION en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS GRACE AUX SERVICES D'AIDE AUX PERSONNES (grùce au CESU profitez de 50 % de réduction d'impÎts)
Je cherche Ă  me mettre Ă  disposition de personnes qui peuvent me proposer un ou des jobs en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS
Totalement "SOUMISSIBLE" je peux ĂȘtre Ă  votre disposition Ă  la journĂ©e... Ă  la semaine... au mois...
Pour information j'ai servi un couple de trÚs haute bourgeoisie parisienne pendant 5 ans dans ces conditions Eduqué et dressé comme Kajirus mais trÚs trÚs souvent utilisée comme kajira
Mes fonctions peuvent ĂȘtre multiples et variĂ©es. Je peux ĂȘtre utilisĂ©(e) comme factotum... chauffeur... faire le mĂ©nage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirĂ©es... ĂȘtre utilisĂ©e comme soubrette... servir d'esclave sexuel... ĂȘtre femĂ©lisĂ©e... et bien plus encore... 24/24 Ă  votre service
Esclave sexuel Ă  disposition de femme dominatrice ou couple dominateurs
Ayant un impĂ©rieux besoin d'ĂȘtre utilise(e) comme une femelle esclave sexuelle
J'aime ĂȘtre pris(e) en main par une personne dominante ou un couple dominants qui pourrait faire de moi un(e) vĂ©ritable esclave sexuel(le), un(e) chien(ne) en chaleur, un(e) putain soumis(e), un trou Ă  bite pour ĂȘtre utilisĂ©(e) comme femelle... salope... chienne... pute et tous ces mots ne sont pas que des mots pour moi mais un rĂ©el dĂ©sir.. ou besoin d'ĂȘtre utilisĂ©(e) comme ça
J'aime ĂȘtre exhibĂ©(e) et prĂ©sentĂ©(e) pour ĂȘtre offert(e) et mis(e) Ă  disposition en permanence.
"O" comme dans histoire d'O, un collier autour du cou et tenu en laisse mes Maitresse et Maitre pourront m'exhiber et me prĂ©senter Ă  tous afin que je sois offert(e) et mis(e) en pĂąture comme ils le voudront de façon soft ou plus hard y compris pour des mises Ă  l'abattage Chacun pourrait me palper... me fouiller... me pĂ©trir... me triturer les fesses ou les tĂ©tons... me doigter... me baiser... double sodo possible... me goder... me fister... ĂȘtre livrĂ©(e) pour un Gang Bang, ou pour ĂȘtre baisĂ©(e) Ă  la chaine, et ĂȘtre utilisĂ©(e) de façon intensive... etc.
MAIS IMPERATIVEMENT AVEC DES PRESERVATIFS PROPRES ET NEUFS A CHAQUE PENETRATION
Si vous avez d'autres idees ou propositions je suis ouvert(e) meme aux idées les plus perverses ou les plus vicieuses
J'espĂšre devenir pour vous une bonne femelle... une bonne salope... une bonne chienne ... une bonne pute
Avec mes respectueux hommages
Esclavement et Putement vĂŽtre
Stephan(i)e
************************************************************************ Baie des cochons : bienvenue sur la plage libertine du Cap-d’Agde Au coeur du village naturiste du Cap-d’Agde, sur un morceau de plage rebaptisĂ© “baie des cochons”, les libertins s’amusent. Fellations, masturbations, bukkake, gang bang : ici, le plaisir est public et collectif. Article extrait des Inrocks spĂ©cial sexe, actuellement en kiosque.
C’est l’heure du goĂ»ter et quelques messieurs, visiblement affamĂ©s, hĂątent le pas sur le sable chaud. ArrivĂ©s Ă  hauteur d’un parasol gris, ils s’arrĂȘtent et se placent soigneusement en arc de cercle. Ils sont cinq, puis dix, trente. Tous sont nus et en Ă©rection. Muscles contractĂ©s, mĂąchoire serrĂ©e, la plupart se masturbent mĂȘme avec Ă©nergie. Sous le parasol, posĂ© sur une serviette blanche, un couple se montre. La femme est allongĂ©e sur le dos, l’homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d’annĂ©es et leurs corps sont extrĂȘmement blancs, totalement Ă©pilĂ©s. BientĂŽt, ils glissent en levrette. Autour d’eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excitĂ©s. AprĂšs quelques instants, elle souffle un mot Ă  son partenaire, en allemand. Il se retire d’elle et introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxiĂšme. Avec attention, il accĂ©lĂšre le mouvement et, rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Madame est une femme fontaine et l’assistance est aux anges. Quelques applaudissements se font mĂȘme entendre. Le spectacle ne fait pourtant que commencer.
Au Cap-d’Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d’une centaine de mĂštres et rebaptisĂ© “baie des cochons”, rien ne semble interdit. Les couples s’aiment en public et assouvissent leur dĂ©sir d’exhibitionnisme devant une cohorte de voyeurs Ă  l’affĂ»t. En semi-Ă©rection permanente, ceux-ci passent d’un couple Ă  l’autre exactement comme un enfant enchaĂźnerait les attractions Ă  Eurodisney. Ici, la police se fait extrĂȘmement rare. Elle intervient parfois lorsque les Ă©bats se prolongent en bordure de la plage, dans les dunes rattachĂ©es Ă  la rĂ©serve naturelle. Il est mĂȘme arrivĂ© que des voyeurs et des exhibitionnistes s’y fassent arrĂȘter et emmener au poste, simplement habillĂ©s d’une paire de menottes. Mais sur la plage, elle ferme les yeux. Car, mĂȘme si l’exhibitionnisme y est, comme partout, un dĂ©lit, les plaintes sont rarissimes. Dans le coin, tout le monde sait ce qui se trame Ă  cet endroit.
Tout le monde est adulte, consentant et nu
Depuis la construction du village naturiste du Cap-d’Agde dans les annĂ©es 70, cette parcelle de sable a toujours accueilli les libertins et leurs pratiques ont presque fini par entrer dans les moeurs. Des lois informelles se sont mĂȘme Ă©tablies au fil du temps. Sur la “baie des cochons”, tout le monde est adulte, consentant et nu, absolument nu (mĂȘme le journaliste, aprĂšs qu’il eut renoncĂ© au stratagĂšme du parĂ©o). Le groupe veille sur lui-mĂȘme et chasse ceux qui mettraient en danger son harmonie. Cet aprĂšs-midi-lĂ , un homme ayant eu l’indĂ©licatesse de sortir un tĂ©lĂ©phone portable pour filmer une femme en action se fera ainsi sĂ©vĂšrement reprendre. Son portable finira mĂȘme Ă  l’eau.
Au Cap-d’Agde, les exhibitionnistes se montrent dans l’assurance que les voyeurs sauront se tenir, malgrĂ© l’excitation. Ici, lorsqu’un homme jouit et rĂ©pand sa semence sur la plage, il prend mĂȘme le temps de la recouvrir de sable.
Un peu plus loin, c’est maintenant une femme trĂšs bronzĂ©e, la cinquantaine peroxydĂ©e et siliconĂ©e, qui s’offre Ă  son homme. Il est Ă  genoux devant elle et lui lĂšche le clitoris. Un nouveau cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Les plus jeunes ont 25 ans, les plus vieux presque 80, Ă  vue d’oeil. Ils sont lĂ , agglutinĂ©s, collĂ©s les uns aux autres, le sexe Ă  la main. Ils se masturbent dans un silence de cathĂ©drale, comme concentrĂ©s sur les petits cris de plaisir poussĂ©s par la femme. C’est elle l’hĂ©roĂŻne de ce spectacle improvisĂ©, aux allures de tournage porno en plein air et en public. C’est elle qui donne le tempo, dit “oui” ou “non”.
Quand une femme désigne un homme, il doit venir la contenter
Au Cap-d’Agde, la femme est toujours au coeur des attentions, et ses dĂ©sirs sont comme des ordres. Quand elle dĂ©signe un homme dans la foule des voyeurs, celui-ci doit se rapprocher et venir la contenter, ce qu’il fait gĂ©nĂ©ralement avec empressement. LĂ , le veinard est un jeune homme d’origine maghrĂ©bine au corps ferme. DĂ©licatement, il s’installe Ă  cĂŽtĂ© de madame et pose ses doigts sur son corps, puis lĂšche ses seins. BientĂŽt, il pourra venir en elle.
Comme partout ailleurs, personne n’est Ă©videmment Ă©gal devant le dĂ©sir. Il y a une hiĂ©rarchie et un ordre esthĂ©tique. Dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, s’arrĂȘtant pendant quelques pages magistrales sur la plage du Cap-d’Agde, Michel Houellebecq Ă©crit :
“(
) une femme au corps jeune et harmonieux, un homme sĂ©duisant et viril se voient entourĂ©s de propositions flatteuses. Au Cap-d’Agde comme ailleurs un individu obĂšse, vieillissant ou disgracieux sera condamnĂ© Ă  la masturbation – Ă  ceci prĂšs que cette activitĂ©, en gĂ©nĂ©ral proscrite dans les lieux publics, sera ici considĂ©rĂ©e avec une aimable bienveillance.”
Nudité, érection et chaussures de ville, tout passe
Au fil des heures, et des jours, rien ne choque ou ne surprend plus vraiment. On s’habitue Ă  voir dĂ©ambuler des sexagĂ©naires Ă©quipĂ©s d’épais cockrings en mĂ©tal (assurĂ©ment l’accessoire de l’étĂ© 2012 au Cap-d’Agde). On se fait aussi au spectacle bizarroĂŻde d’hommes en Ă©rection, nus mais chaussĂ©s de leurs chaussures de ville ou de leurs baskets, car le sable brĂ»le les pieds en plein aprĂšs-midi. Tout devient normal. Tout passe. MĂȘme quand notre voisine de serviette, ĂągĂ©e d’au moins 70 ans, ouvre ses cuisses en grand et entreprend de se caresser pour le plaisir d’un mateur venu se poser Ă  quelques centimĂštres d’elle, sous l’Ɠil approbateur du mari, un homme aux longs cheveux blancs et au physique de gourou de secte.
A lire aussi : Faisons un tour en club échangiste
Ici, les corps, entiĂšrement Ă©pilĂ©s dans l’immense majoritĂ© des cas, sont souvent usĂ©s, tombants, fripĂ©s. La moyenne d’ñge tourne autour de 45 ou 50 ans et, si l’on recense quelques hommes dans la fleur de l’ñge, les femmes de moins de 40 ans sont trĂšs rares. “C’était mieux avant”, regrette d’ailleurs un homme Ă  casquette, postĂ© en haut d’une petite dune, Ă  un poste d’observation privilĂ©giĂ©. “Il y avait des jeunettes, des belles filles. Elles sont toutes parties
”
De façon gĂ©nĂ©rale, des habituĂ©s de la plage aux policiers municipaux en passant par les habitants du coin, on s’accorde Ă  dire que “la baie des cochons” est au creux de la vague, et qu’il s’y passait davantage de choses il y a cinq ou dix ans. Pour la police, les arrestations dans les dunes portent leurs fruits et dissuadent une partie des exhibitionnistes et voyeurs. Pour les autres, c’est l’apparition des boĂźtes libertines, ouvertes le jour, qui a changĂ© la donne. Il se dit, par exemple, que les jeunes libertines du Cap-d’Agde passent dĂ©sormais leurs aprĂšs-midi au Glamour, une boĂźte de nuit du village naturiste rĂ©putĂ©e pour la qualitĂ© de ses ambiances mousse.
Il est 18 heures, les choses s’accĂ©lĂšrent
Pourtant, indiscutablement, les trois ou quatre cents fidĂšles venant poser leur serviette chaque jour d’étĂ© sur “la baie des cochons” continuent de s’y s’amuser. Il est maintenant 18 heures et le poste de surveillance des maĂźtres nageurs vient de fermer. Les choses s’accĂ©lĂšrent. Dans l’eau, Ă  quelques mĂštres du bord, on remarque une vingtaine d’hommes en groupe. Au milieu d’eux, une femme aux cheveux courts, extrĂȘmement gĂ©nĂ©reuse.
Sur la plage, on s’active aussi. Goguenard, un homme revient de derriĂšre les dunes et raconte Ă  ses copains qu’”une fille vient de se faire Ă©jaculer sur le visage par une dizaine de types” (une pratique connue sous le nom de bukkake). Plus loin, une femme rousse allongĂ©e sur le sol fait l’attraction. Elle est entourĂ©e d’au moins cinquante hommes et elle dĂ©signe les Ă©lus, appelĂ©s Ă  venir profiter d’elle. Ils piaffent tous, cherchent Ă  capter son regard dans l’espoir d’un signe. Mais elle semble impĂ©nĂ©trable, les yeux dans le vague, doucement gagnĂ©e par le plaisir.
Elle dit ” viens” à un homme. Elle est française, comme une majoritĂ© des gens prĂ©sents sur la plage, semble-t-il. Il y a aussi beaucoup d’Allemands, de Hollandais, de Belges et quelques Anglais. Mais, dans le plus simple appareil, les Ă©tiquettes tombent vite, et les marqueurs sociaux s’estompent naturellement. C’est aussi le charme du Cap-d’Adge. Si quelques coupes de cheveux ou quelques tatouages maladroits semblent trahir, parfois, une appartenance Ă  un milieu populaire, on ne peut savoir vĂ©ritablement qui est riche, qui est pauvre, qui est cadre ou ouvrier.
Toujours dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, Houellebecq Ă©voquait, avec une certaine gourmandise, la prĂ©sence “d’infirmiĂšres hollandaises, de fonctionnaires allemands, tous trĂšs corrects bourgeois, genre pays nordiques ou Benelux”. Sur place, pourtant, les informations sont difficiles Ă  glaner. Un homme, habituĂ© des lieux depuis une dizaine d’annĂ©es, glisse qu’il est commercial dans l’agroalimentaire. Une femme dit ĂȘtre kinĂ©sithĂ©rapeute. Mais, ici, personne ne veut ĂȘtre ramenĂ© Ă  la vraie vie. Il y a tellement mieux Ă  faire. Tellement mieux Ă  Ă©voquer. Le soleil tombe et des couples se rapprochent, entament la conversation. Il est grand temps de prĂ©parer ce qui se passera plus tard, Ă  l’abri des regards, cette fois.
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flo-nelja · 2 months
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If you're still doing the meme, Cassandre?
Why I like them: J'adore la cruauté du concept, de la personne qui dit toujours la vérité et n'est jamais crue.
Why I don’t: Je veux dire, c'est un concept intĂ©ressant, mais bien sĂ»r, en soi, je suis toujours frustrĂ©e par le concept que rien ne peut ĂȘtre changĂ© au futur (je pense qu'elle aurait dĂ» au moins essayer de tuer Paris Ă  la naissance :P )
Favorite story: J'aime le moment oĂč elle explique Ă  Agamemnon que sa femme va le tuer et oĂč, pour un instant, elle est contente de n'ĂȘtre pas crue.
Favorite quote (from them or about them) : Giraudoux encore !
"[Le destin] est simplement la forme accélérée du temps. C'est épouvantable."
BrOTP: Je suis curieuse de sa relation avec Helenos.
OTP: Autant je ne shippe rien (à part potentiellement en tordu avec HélÚne), une part de ma curiosité sur Helenos est un potentiel triangle amoureux avec Apollon.
an-oh-god-why-did-that-have-to-happen: Le passage oĂč elle se fait violer lors de la chute de Troie est trop cruel pour moi.
Unpopular opinion: Je me demande ce qui serait arrivĂ© si les gens avaient cru ses prophĂ©ties. Elles se seraient toujours rĂ©alisĂ©, n'est-ce pas ? Ca suffit pour faire mal Ă  la tĂȘte
My nickname for them: Pas de surnom encore une fois.
if you could say one thing to them: Rien de spécial : l'idée que je ne croirais rien de ce qu'elle peut me dire est trÚs frustrante pour moi.
Favourite portrayal of them: La guerre de Troie n'aura pas lieu !
LEAST favourite portrayal of them: Ce n'est pas que c'est négatif, mais HomÚre n'a rien fait avec elle, c'est frustrant.
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lalignedujour · 10 months
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La photo d'une petite fille en fond d'écran. Une application de calendrier. Une liste de tùches avec des codes couleur. Des conversations avec des liens vers des documents sérieux.
C'est ce que je vois dans son tĂ©lĂ©phone. Je suis voiture 2 place 76 dans le Paris-Lyon. CĂŽtĂ© fenĂȘtre. Juste derriĂšre lui. Ma mĂšre m'a retirĂ© mon tĂ©lĂ©phone Ă  moi. Et j'en avais un peu marre de lire Le Grand Maulnes. Je le finirai chez mon pĂšre. Le paysage de novembre, j'aime bof, alors entre les siĂšges je regarde le tĂ©lĂ©phone du gars devant moi.
Je prends toujours le train du lundi 7h52 la deuxiĂšme semaine de chaque vacances scolaires. L'annĂ©e prochaine, j'aurai le droit de le prendre tout seul, mais lĂ , c'est encore ma mĂšre qui m'accompagne. Elle pense que ça me rassure. Je dirais que c'est pas nĂ©cessaire, elle m'agace parfois et je prĂ©fĂšrerais ĂȘtre seul. Mais peut-ĂȘtre qu'en fait elle a raison. Peut-ĂȘtre que ça me fait du bien quand mĂȘme. Aux vacances de NoĂ«l, je vais lui demander de prendre le train seul. Pour voir. Ou peut-ĂȘtre Ă  celles de fĂ©vrier.
J'ai soif et un peu envie de pisser, mais j'aime bien regarder le téléphone du gars devant. Je suis hypnotisé. Il l'utilise pas du tout comme j'utilise mon téléphone.
On arrive bientĂŽt Ă  Lyon. Il ferme ses applis les unes aprĂšs les autres, il revient sur la photo de la petite fille trop mignonne et range son tĂ©lĂ©phone dans sa poche. Ma mĂšre me demande de prĂ©parer mes affaires. J'aurais bien aimĂ© une petite sƓur, mais c'est mort maintenant.
Donc, lĂ , je passe la deuxiĂšme semaine de vacances scolaires avec mon pĂšre. C'est cool. Parfois, il travaille et je peux traĂźner Ă  la maison. Mais il prend quand mĂȘme des congĂ©s quelques jours et on va au cinĂ©, Ă  la Vogue des Marrons, au KFC, Ă  la boutique de mangas. C'est comme avec un pote, mais un pote qui aurait de l'argent et dans une ville oĂč je connais personne. J'ai pas Ă  faire semblant de ne plus aimer des trucs de gamins. J'adore les auto tamponneuses et les glaces. Et de toute façon je croiserai personne que je connais.
Ensuite, il me raccompagne à la Gare de Lyon, ma mÚre vient me chercher et on rentre à Ivry. En français, on étudie Le Grand Maulnes. Je progresse un peu à PES. J'ai enfin la moyenne en maths. Je fais mon premier vol au Carrefour Market en face du lycée. Et les vacances de Noël arrivent vite. Alors, je reprends le train. Seul cette fois.
On arrive super en avance. Le quai est indiqué juste 20 minutes avant, mais nous on sait que c'est la voie 23, on a l'habitude. Et en fait, non, ça a changé, c'est la voie A, dans le Hall 1. On y va en courant, ma mÚre est super stressée, il y a plein de monde. Elle me fait beaucoup de bisous devant tout le monde et me répÚte des trucs style t'as ton chargeur dans ta poche extérieure, oublie pas de descendre à Lyon, garde ton sac prÚs de toi on sait jamais, et tu m'appelles quand tu veux. Je monte dans le train, mais je pars du mauvais cÎté, c'est la mauvaise voiture, je m'en rends compte tard et je dois me refaire une bonne partie du train dans l'autre sens alors qu'il part déjà.
Et c'est lĂ  que je le vois. Le mec de la derniĂšre fois. Dans le carrĂ© famille. Il a un peu changĂ© de tĂȘte. Je le reconnais Ă  son tĂ©lĂ©phone posĂ© sur la tablette devant lui. Je reconnais la petite fille. La mĂȘme photo que la derniĂšre fois. La mĂȘme photo, mais en noir et blanc.
J'ai connu Jed.
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journaldenimportequi · 7 months
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutÎt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amÚrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais réguliÚrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais Ă  Paris puisque Paris est Ă  3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti Ă  Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter Ă  la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy aprÚs un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hÎtel habituel, dans le 18Úme.
La gĂ©rante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (Ă  mon grand dĂ©sarroi, je rĂȘve de ressemble Ă  monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisiÚme ou la quatriÚme fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été trÚs raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
AprÚs ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continuĂ© Ă  marcher et le temps s'est gĂątĂ©, il a finit par pleuvoir et j'ai dĂ» me rĂ©fugier dans une brasserie oĂč, unique client, j'ai profitĂ© des happy hours pour dĂ©guster une pinte de blonde Ă  5€.
A ce moment lĂ , j'Ă©tais plutĂŽt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu ĂȘtre autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hÎtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté prÚs de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était trÚs bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes cÎtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'Ă©tait pas muet, bien au contraire, il passait son temps Ă  invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais dĂ©jĂ  Mathieu et Nina mais il n'empĂȘche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon cÎté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était trÚs amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tÎt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'Ă©tais dingue de dĂ©penser 110€ pour une nuit Ă  l'hĂŽtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prĂ©venir pour qu'il m'hĂ©berge.
Nous avons convenus de nous voir Ă  midi.
J'ai rassemblĂ© mes affaires et j'ai quittĂ© mon hĂŽtel pour aller au musĂ©e d'Orsay oĂč avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment trĂšs Ă©mouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de prĂšs.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et trÚs tÎt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de lĂ  avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il Ă©tait possible d'en ĂȘtre autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est trÚs lié à mon enfance et je suis toujours trÚs nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis trÚs heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train aprÚs une petite journée qui s'est déroulée trÚs vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces derniÚres semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthĂšte laid, quelle ironie, tout de mĂȘme !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutÎt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce rĂ©cit en saluant celles qui me lisent toujours : fidĂšles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis dĂ©sormais), c'est un honneur d'ĂȘtre lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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tournevole · 1 year
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. La vie est un mythe. Mon Ăąme et moi, nous fĂźmes nos bagages et cherchĂąmes dans le quartier un gĂźte qui n'aurait Ă©tĂ© qu'un gĂźte. Le pain est simple, l'amour est simple, la mort est simple. Pourquoi les pauvres hommes ont-ils voulu la vie si compliquĂ©e ? Pourquoi la bourrent-ils Ă  l'envi de leurs fantaisies ? Que de fatigues, et que de dĂ©chets ! ...Ils nous convient dans leurs thĂ©Ăątres pour Ă©couter des dialogues de vendeurs aux soutiens-gorge, ou dans leurs parlements pour entendre des harangues de tambours de village, ou dans leurs salons pour admirer la VĂ©nus TeinturiĂšre. Vivre ! Docteur, je voudrais vivre ! Pourquoi les hommes ne sont-ils pas comme les feuilles d'un arbre, toutes propres, silencieuses et discrĂštes ? Faut-il des Ăąmes d'Ă©lite ? Oui, bien, il en faut. Et des cerveaux de princes et des sensibilitĂ©s de grands hommes. Oui, mais il ne faut pas que celles-lĂ . Paris doit avoir avant tout des habitants et non pas des gĂ©nies Ă  chaque Ă©tage, comme des dentistes ou des tailleurs Ă  façon. Je ne suis qu'un homme qui veille dans son phare, une abeille qui porte sur son dos son miel noir, un passant parmi les passants. J'aime la vie, comme les courtiliĂšres aiment leur chemin, et les tuiles leur coude Ă  coude aux tempes des maisons. Je voudrais faire mon devoir d'homme parmi des spectacles rĂ©els, "dans de la banalitĂ© riche". Je voudrais qu'il n'y eut qu'un phare tous les mille mĂštres sur cette route qui nous mĂšne Ă  la mort. Des gĂ©nies, mais des hommes. Non, je ne suis pas thĂ©ologien, ni un fasciste, ni un rouge, ni un mauve, ni un syndiquĂ©, ni un des plus brillants romanciers de ce temps, ni l'auteur dramatique le plus en vue, ni le commis voyageur le plus actif de la PensĂ©e Française, ni quelqu'un des pontifes les plus adorables des Lettres, ni un charmant causeur, ni un ornement des salons. Je ne suis qu'une lampe de chair et d'ombre. Je sens pourtant ce qui est bien et ce qui est faux. J'ai attachĂ© mon existence au corbillard des pauvres. Et j'aime mieux mordre dans le saucisson de la mĂšre Bourdognon que de me prendre au sĂ©rieux. Tous ces gĂ©nies me font peur. Si au moins ils avaient apportĂ© des joies, s'ils avaient crĂ©Ă© quelque chose ? Car enfin, il y a eu Rabelais, Balzac, Pascal, Baudelaire, Stendhal, Musset, le pĂšre Hugo, ce grand prĂȘteur dont ils taisaient tous le nom. Il y a eu Rimbaud, MallarmĂ©, Verlaine et Debussy. MĂȘme, il y a eu Bizet et Fragonard. Et tous ceux qui les prĂ©cĂšdent. Alors, qu'on ne secoue pas les braves gens dans leur lit parce que le jeune PĂšteprouf a accouchĂ© d'un pouĂąme, d'une piĂ©cette, d'une musiquette, d'une historiette ou d'une peinture lurette. Sinon, nous allons appeler les artilleurs Ă  leurs piĂšces Ă  notre tour, nous autres qui avons cent ans et plus de coins de Paris, et de bouquins, et d'application. Nous aussi, nous avons une RĂ©volution qui menace derriĂšre nos fagots. Mais une rĂ©volution obscure, digne, toute en veilles fantastiques, en vellĂ©itĂ©s de bonne tĂȘte. Un coup de tĂȘte de PoĂ©sie, une dĂ©claration d'amour plus artiste Ă  la matiĂšre. Une autorisation donnĂ©e aux hommes de se risquer entiĂšrement, corps et Ăąme, dans l'aventure ! Il faudrait une RĂ©volution du courage contre la facilitĂ©, de la mĂ©ditation contre le bagout, de l'art vrai contre l'art Ă  portĂ©e de tous. Et de mon cañon de silence et de lassitude, je les vois venir, ceux qui la feront, au nom de l'honneur de sentir. »
LĂ©on-Paul Fargue (1876-1947) - " Azazel " - Haute solitude. Paris, Émile-Paul frĂšres , [1941].
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submissivegayfrenchboy · 2 years
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20 / 09 / 2022
đŸ§šâ€â™€ïžđŸŒŽđŸ§œâ€â™€ïžđŸ§đŸ§žâ€â™‚ïžđŸčâ›ČđŸŽ đŸŽĄđŸ‘žđŸšđŸŽąđŸ’đŸ°đŸ‘‘đŸ§™â€â™‚ïž
đŸ‡«đŸ‡· FRANÇAIS / FRENCH đŸ‡«đŸ‡·
J'AI QUELQUE CHOSE À VOUS DIRE #4
Je reviens d'un séjour à Disneyland Paris, parc d'attractions qui est d'ailleurs la premiÚre destination touristique d'Europe. J'y suis allé en famille et c'était un bonheur dont je souhaite vous faire profiter en vous racontant ce que j'y ai vu et ce qui m'a plu.
C'est donc un article personnel certes mais que je tenais à vous partager car Disney (et maintenant son univers étendu, avec notamment Star Wars et Marvel, des univers que j'affectionnais avant qu'ils ne soit détenus par Disney).
Je sais que tout le monde ne va pas ĂȘtre intĂ©ressĂ© par cet article mais je tenais Ă  le publier ici, sur Tumblr, car c'est non seulement le seul rĂ©seau social sur lequel je suis.
Je le publie donc afin que vous puissiez avoir une idĂ©e de l'ambiance mais surtout du plaisir que j'ai pu ressentir lĂ -bas, pour, quelque part, vous donnez l'impression d'y avoir Ă©tĂ©. MĂȘme si mon but est de vous partager cela avec moi, rien ne vaut je fait d'y aller soi-mĂȘme : les photos/les vidĂ©os et les rĂ©cits des autres ne sont rien comparĂ©s Ă  ceux que l'on se fait soi-mĂȘme.
Il faut savoir que je ne suis pas allé à Disneyland Paris depuis six ans.
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J'ai donc été trÚs heureux d'y retourner, et de découvrir l'HÎtel New York Art of Marvel, thematisé sur l'univers Marvel. L'hÎtel est sublime, spacieux et largement décoré avec des affiches de comics et des objets qui font des références aux comics et films Marvel.
Il y avait un stand photo, la Superhero Station, oĂč il est possible de se prendre en photo dans des dĂ©cors des films ou alors avec des personnages de l'univers Marvel : nous y avons vu Loki et Natasha Romanoff / la Veuve Noire.
La chambre Ă©tait spacieuse et bien dĂ©corĂ©e. La nourriture de l'hĂŽtel est gĂ©nĂ©reuse et le restaurant (buffet Ă  volontĂ©) le soir est rĂ©parti en plusieurs gastronomies (amĂ©ricaine, italienne, asiatique), dĂ©corĂ© d'Ɠuvres d'arts sur l'univers Marvel.
Ma famille et moi avons pĂ» faire plusieurs attractions. À Walt Disney Studios se trouve le Avengers Campus qui a ouvert en juillet.
Nous avons testĂ© l'attraction SpiderW.E.B. qui est une attraction interactive oĂč il est possible de gagner un score Ă©levĂ©. Il s'agit de tirer sur des spiderbots (des robots araignĂ©es) devenus incontrĂŽlables. Si elle demande de l'Ă©nergie et nous fait participer, cette attraction est bien diffĂ©rente de l'autre de l'Avengers Campus : Flight Force.
C'est une attraction Ă  sensations fortes, mais vraiment trĂšs Ă©nergique !!! Il y a des loupings et on est lĂ  tĂȘte Ă  l'envers ! À chaque fois que je fait une attraction j'ai peur que mes lunettes s'envolent, mais lĂ  c'Ă©tait obligĂ© que je les enlĂšve tellement cela va vite et haut !!! C'Ă©tait quand mĂȘme trĂšs amusant, ce roller-coaster est placĂ© sous le thĂšme des Avengers, avec comme prĂ©texte une guerre entre les Kree et la Terre.
AprĂšs le dĂ©jeuner, nous avons rencontrĂ© un super-hĂ©ros de l'attraction Superhero Training Center oĂč il est possible de rencontrer un personnage. Pour nous, c'Ă©tait Carol Danvers / Captain Marvel. Les cast members nous ont posĂ©s des questions sur l'univers Marvel avant de rencontrer le personnage. Contrairement au groupe d'avant qui n'avait aucune bonnes rĂ©ponses, je les impressionnĂ© car j'ai eu toutes les bonnes rĂ©ponses mĂȘme pour des personnages peu connus !
Sinon, Captain Marvel Ă©tait vraiment super avec nous, il y a eu une bonne interaction et nous avons fait des photos.
À part elle, nous avons vu dans le Avengers Campus deux personnages que j'aime beaucoup : Jane Foster / La Puissante Thor et Sam Wilson / Captain America! J'ai eu une discussion avec Jane Foster, mais je n'ai pas eu le temps de parler avec Sam Wilson /Captain America qui devait se rendre ailleurs.
Il y avait aussi deux spectacles : celui des Dora Milaje, guerriĂšres du Wakanda, et un autre avec La Veuve Noire et la PanthĂšre Noire affrontant Taskmaster et ses sbires. Spider-Man fait mĂȘme une apparition !
Le soir nous avons vu les spectacles lumineux Disney D-Light et Illuminations. Les spectacles Ă©taient impressionnants, notamment Disney D-Light avec des drones. Le spectacle suivant, Ă  22 h, quoique plus classique, Ă©tait quand mĂȘme trĂšs beau. J'ai apprĂ©ciĂ© qu'il y ai aussi des extraits de Star Wars sur le chĂąteau, mais ça aurait Ă©tĂ© sympa s'il y en avait eu aussi avec Marvel. Dans tous les cas, j'Ă©tais en train de chanter les chansons tellement j'Ă©tais joyeux et Ă©mu.
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Le lendemain nous avons eu le temps de faire des attractions sans qu'il y ai beaucoup de monde. La premiÚre était Big Thunder Mountain que nous avions déjà fait il y a six ans. Elle fait un peu peur mais elle est drÎle. Située à Frontierland, sous le thÚme du Far West et de l'Amérique Latine, il s'agit d'un grand wagon lancé à toute vitesse dans une montagne. C'était vraiment impressionnant !
Puis nous avons eu la chance de faire l'attraction Pirates des Caraïbes que nous faisons à chaque fois, tout comme celle que nous avons fait ensuite : Buzz l'Éclair à Discoveryland. Il faut tirer dans des cibles et j'ai pris beaucoup plus de plaisir cette fois.
En sortant de l'attraction de Buzz l'Éclair, nous sommes tombĂ©s sur la Parade des 30 ans du Parc. C'Ă©tait trĂšs fun et colorĂ©. J'avais trĂšs envie de la voir, mais j'aurais aimĂ© plus de personnages. C'Ă©tait trĂšs bien quand mĂȘme, avec un feu d'artifices (mĂȘme si Ă©videmment moins long que celui de la veille lors du spectacle nocturne Illuminations).
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Nous avons ensuite Ă©tĂ© Ă  Adventureland et avons mangĂ© au Restaurant Agrabah oĂč de la nourriture orientale est servi. C'Ă©tait dĂ©licieux, et nous avons ensuite fait le Passage d'Aladdin, une attraction qui ne demande aucun temps d'attente et qui permet de revoir le film Aladdin sous forme de figurines et de statues. C'Ă©tait trĂšs beau.
Avant de partir, nous avons visité le Chùteau de la Belle Au Bois Dormant (mon film Disney préféré) et vu le chùteau dans sa grotte, accessible depuis une boutique du chùteau.
Enfin, nous avons pris le Railroad Train qui fait le tour du parc, et nous avions une vue incroyable sur les diffĂ©rents lands du parc. C'est lĂ  qu'il nous est arrivĂ© quelque chose d'inoubliable pour ma part : la Princesse Aurore, hĂ©roĂŻne de La Belle Au Bois Dormant, nous a saluĂ© depuis un espace que traverse le train en pleine forĂȘt ! C'Ă©tait tellement inattendu et cela m'a fait plaisir car Aurore est ma princesse prĂ©fĂ©rĂ©e !
Nous sommes partis, et ce séjour fut extraordinaire.
Il y avait mĂȘme des statues inĂ©dites rappelant des personnages Disney divers, et ces statues tournaient sur elles-mĂȘmes, ce qui crĂ©ait de mĂȘme magnifiques effets de lumiĂšres, et aussi le soir. Je vous met quelques images pour que vous voyez de quoi je parle. J'espĂšre que vous aurez pris du plaisir Ă  connaĂźtre ce que j'ai vĂ©cu Ă  Disneyland Paris et que cela vous donnera envie d'y sĂ©journer un noir. À bientĂŽt ! 😉
Je récapitule les personnes que nous avons pu voir ou que nous avons pu rencontrer.
Au Avengers Campus :
Carol Danvers / Captain Marvel (x 2)
Scott Lang / Ant-Man
Roi T'Challa / La PanthĂšre Noire
Les Dora Milaje, dont Okoye (chef de la garde royale du Wakanda)
Taskmaster
Spider-Man
Sam Wilson / Captain America
Jane Foster / La Puissante Thor
Thor Odinson
Loki
Natasha Romanoff / La Veuve Noire
À Walt Disney Studios
Buzz l'Éclair
À Disneyland Paris
Winnie l'Ourson
Bourriquet
Tigrou
Pluto
Dingo
Max (le fils de Dingo)
Mary Poppins (x 2)
Bert le ramonneur (dans Mary Poppins)
les pingouins (dans Mary Poppins)
La Reine de CƓur (Alice au Pays des Merveilles)
Tweedle Dee et Tweedle Dum (du film Alice au Pays des Merveilles)
La Princesse Aurore (La Belle Au Bois Dormant)
Parade des 30 ans de Disneyland Paris :
Mickey Mouse et Minnie Mouse
Winnie l'Ourson
Tic et Tac
Clarisse (le personnage féminin qui accompagne Tic et Tac)
Peter Pan
Le GĂ©nie
Tiana (de La Princesse et la Grenouille)
Raiponce (du film Raiponce)
Woody (de la saga Toy Story)
Jessie (de la saga Toy Story)
Nicolas "Nick" Wilde et Judy Hopps (dans Zootopie)
Miguel (dans Coco)
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đŸ§šâ€â™€ïžđŸŒŽđŸ§œâ€â™€ïžđŸ§đŸ§žâ€â™‚ïžđŸčâ›ČđŸŽ đŸŽĄđŸ‘žđŸšđŸŽąđŸ’đŸ°đŸ‘‘đŸ§™â€â™‚ïž
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đŸ§šâ€â™€ïžđŸŒŽđŸ§œâ€â™€ïžđŸ§đŸ§žâ€â™‚ïžđŸčâ›ČđŸŽ đŸŽĄđŸ‘žđŸšđŸŽąđŸ’đŸ°đŸ‘‘đŸ§™â€â™‚ïž
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I HAVE SOMETHING TO TELL YOU #4
I have just returned from a stay at Disneyland Paris, an amusement park which is also the number one tourist destination in Europe. I went there with my family and it was a joy that I want you to enjoy by telling you what I saw there and what I liked.
It is therefore a personal article of course but that I wanted to share with you because Disney (and now its extended universe, with in particular Star Wars and Marvel, universes that I liked before it was owned by Disney).
I know not everyone is going to be interested in this article, but I wanted to post it here on Tumblr, because it's not only the only social network I'm on.
I therefore publish it so that you can have an idea of ​​the atmosphere but above all of the pleasure that I could feel there, for, somewhere, you give the impression of having been there. Even if my goal is to share this with you, nothing beats doing it yourself: the photos/videos and stories of others are nothing compared to those that you make yourself.
You should know that I haven't been to Disneyland Paris for six years.
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So I was very happy to go back there, and to discover the Hotel New York - The Art of Marvel, themed on the Marvel universe. The hotel is sublime, spacious and largely decorated with comic book posters and objects that make references to Marvel comics and films.
There was a photo booth, the Superhero Station, where it is possible to take pictures in film sets or with characters from the Marvel universe: we saw Loki and Natasha Romanoff / the Black Widow there.
The room was spacious and well decorated. The hotel's food is generous and the restaurant (all-you-can-eat buffet) in the evening is divided into several cuisines (American, Italian, Asian), decorated with works of art on the Marvel universe.
My family and I were able to do several attractions. At Walt Disney Studios is the Avengers Campus which opened in July, we tested the SpiderW.E.B. which is an interactive attraction where it is possible to earn a high score. It's about shooting spiderbots (spider robots) that have become uncontrollable.
If it requires energy and makes us participate, this attraction is very different from the other of the Avengers Campus: Flight Force. It's a thrill ride, but really very energetic!!! There are loopholes and we are upside down! Every time I do an attraction I'm afraid my glasses will fly off, but there I had to take them off, it's so fast and high!!! It was still very fun, this roller-coaster is placed under the theme of the Avengers, with the pretext of a war between the Kree and the Earth.
After lunch, we met a superhero from the Superhero Training Center attraction where it is possible to meet a character. For us, it was Carol Danvers/Captain Marvel. The cast members asked us about the Marvel universe before meeting the character. Unlike the group before that had no right answers, I impressed them because I had all the right answers even for little known characters! Otherwise, Captain Marvel was really great with us, there was a good interaction and we took many pictures.
Apart from her, we saw in the Avengers Campus two characters that I really like: Jane Foster / The Mighty Thor and Sam Wilson / Captain America! I had a chat with Jane Foster, but I didn't have time to speak with Sam Wilson who had to go elsewhere.
There were also two shows: one of the Dora Milaje, warriors of Wakanda, and another with Black Widow and Black Panther taking on Taskmaster and his allies. Spider-Man even makes an appearance!
In the evening we saw the Disney D-Light and Illuminations light shows. The shows were awesome especially Disney D-Light with drones. The next show, at 10 p.m., although more classic, was still very beautiful. I liked that there were some Star Wars clips on the castle as well, but it would have been nice if there had been some with Marvel as well. In any case, I was singing the songs, I was so happy and moved.
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The next day we had time to do attractions without a lot of people. The first was Big Thunder Mountain which we had already done six years ago. It's a little scary but it is funny. Located in Frontierland, under the theme of the Far West and Latin America, it is a large wagon launched at full speed into a mountain. It was really impressive!
Then we had the chance to do the Pirates of the Caribbean attraction that we do every time, just like the one we did next: Buzz Lightyear at Discoveryland. You have to shoot at targets and I had a lot more fun this time.
Leaving the Buzz Lightyear attraction, we came across the Park's 30th Anniversary Parade. It was very fun and colorful. I really wanted to see her, but I would have liked more characters. It was very good all the same, with fireworks (even if obviously shorter than the one the day before during the Illuminations night show).
We then went to Adventureland and ate at the Agrabah Restaurant where oriental food is served. It was delicious, and then we did the Aladdin Passage, an attraction that requires no waiting time and allows you to see the Aladdin film again in the form of figurines and statues. It was really beautiful.
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Before leaving, we visited the Sleeping Beauty Castle (Sleeping Beauty being my favorite Disney movie) and saw the Dragon in its cave, accessible from a castle shop.
Ultimately, we took the Railroad Train which goes around the park, and we had an incredible view of the different lands of the park. That's when something unforgettable happened to us: Princess Aurora, heroine of Sleeping Beauty, greeted us from a space that the train crosses in the middle of the forest! It was so unexpected and it made me happy because Aurore is my favorite princess!
We left and this stay was extraordinary.
There were even new statues reminiscent of various Disney characters, and these statues turned on themselves, which created the same magnificent light effects, and also in the evening. I'm posting some pictures for you to see what I'm talking about.
I hope you will have enjoyed knowing what I experienced at Disneyland Paris and that it will make you want to stay there as a black person. See you soon ! 😉
I recap the characters we were able to see or that we were able to meet.
At the Avengers Campus :
Carol Danvers / Captain Marvel (x 2)
Scott Lang / Ant-Man
King T'Challa / The Black Panther
Taskmaster
The Dora Milaje, including Okoye (Chief of Wakanda's Royal Guard)
Spider-Man
Sam Wilson / Captain America
Jane Foster / Mighty Thor
Thor Odinson
Loki
Natasha Romanoff / Black Widow
At Walt Disney Studios :
Buzz Lightyear
At Disneyland Land Paris :
Winnie the Pooh
Eeyore (from the Winnie the Pooh films)
Tigger (from the Winnie the Pooh films)
Pluto
Goofy
Max (Goofy's son)
Mary Poppins (x 2)
Bert the Chimney Sweep (from the movie Mary Poppins)
Penguins (from Mary Poppins)
Queen of Heart (Alice in Wonderland)
Tweedle Dee and Tweedle Dum (Alice in Wonderland)
Princess Aurora (in Sleeping Beauty)
Disneyland Paris 30th Anniversary Parade:
Mickey Mouse and Minnie Mouse
Winnie the Pooh
Chip and Dale
Clarisse (the female character who accompanies Tic et Tac)
Alice Kingsley (Alice in Wonderland)
The Mad Hatter (Alice in Wonderland)
Peter Pan
Genie (from the Aladdin saga)
Tiana (from Princess and the Frog)
Rapunzel (from Tangled)
Woody (from the Toy Story saga)
Jessie (from the Toy Story saga)
Nicolas "Nick" Wilde and Judy Hopps (in Zootopia)
Miguel (in Coco)
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stories-of-c · 1 year
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P.
PDG - 25 ans - français - capricorne
Cette histoire est cocasse. Assez cocasse mĂȘme !
Bon, tout commença un dimanche, vers 22 heures. Je lisais tranquillement Ă  la terrasse de mon cafĂ© habituel Ă  la lueur des lanternes. J'ai cette habitude le dimanche soir lorsque je suis seule. Je lis et je bois jusqu'Ă  a ce que l'alcool me couche. En thĂ©orie, c'est efficace, en pratique, je dois traverser la rue et ouvrir la porte de mon immeuble. Enfin ! Ne digressons pas ! Nous sommes dimanche. Je me souviens avoir vu A. ce jour la (j'ai des sentiments pour A., ca fait longtemps que je n'ai pas eu ce genre de sentiments - je me ronge de l'intĂ©rieur - Ă  ce moment je n'en ai pas encore. c'est au moment ou j'Ă©cris - tout de suite maintenant que je le ressens). Je lis tranquillement lorsqu'une prĂ©sence s'approche de moi. C'est P. Il est chargĂ© de chemises qu'il porte sur des cintres et me dis venir du lavomatique au bout de la rue. "Je suis passĂ© il y a deux heures, tu lisais dĂ©jĂ , j'espĂ©rais te revoir en revenant, et tu es toujours la !" Nous avons Ă©changĂ©, peut ĂȘtre 15 minutes : moi sur ma chaise, les jambes Ă©talĂ©es sur la chaise d'en face, ma casquette sur la tĂȘte, mon verre de vin dans la main gauche et mon livre dans la main droite - lui, sur le trottoir Ă  porter ce qui vraisemblablement pesait lourd - une dizaine de chemises Ă  bout de bras. Avant de partir, je lui demanda son prĂ©nom et lui me demanda mes coordonnĂ©es. Nous Ă©changeĂąmes trĂšs peu, mais trĂšs rĂ©guliĂšrement ! Pas une journĂ©e sans un message - jamais plus de 5 messages ! AprĂšs notre rencontre, nous ne nous sommes pas vu aussitĂŽt. Il repartais en province. Quelques jours plus tard, de retour Ă  Paris il m'invita Ă  boire un verre. (a ce moment j'Ă©tais avec A. et dĂ©clina cette proposition.) Je crois que je plais beaucoup Ă  P. J'aime l'appeler mon voisin. Nous Ă©changeames encore un peu et dĂ©cidĂąmes de se revoir pour boire un verre un soir de semaine, peut ĂȘtre un lundi. J'Ă©tais assise Ă  la mĂȘme place que notre premiĂšre rencontre. Il me rejoignit et nous passĂąmes la soirĂ©e Ă  refaire le monde. A ce moment la je culpabilisais presque pour A. en qui j'avais dĂ©veloppĂ© une forte attache. Suite Ă  cette entrevue, nous ne nous sommes pas vu pendant une dizaine de jour, jusqu' Ă  hier soir.
Ce dernier m'a invité chez lui, soit : à cÎté de chez moi ! Comme vous l'imaginez, nous avons couché ensemble. Ici je n'ai pas envie de raconter comme c'était, ce qu'il s'est passé, si c'était beau, laid, romantique, fort ou sensuel. Sachez que c'était bien. Juste bien.
Avant d'arriver chez P., je pensais Ă  A. - quand je suis rentrĂ©e chez moi, j'ai pensĂ© Ă  A. Cet homme m'obsĂšde. J'ai dĂ©sirĂ© P. le temps d'une soirĂ©e. Peut ĂȘtre le dĂ©sirerai-je encore Ă  d'autres occasion. Mais c'est avec A. que je souhaite ĂȘtre. C'est avec A. que je souhaitais ĂȘtre Ă  ce moment la. Je voulais son souffle sur moi, son odeur, sa peau, tout. Je le voulais lui. Et pourtant je crois que pour la deuxiĂšme fois de ma vie, un homme ne me veut pas. A. ne me veut pas. (je raconte quelques histoires ça et la Ă  C. Ă  S. Ă  J. avec qui j'ai passĂ© la journĂ©e d'hier avant de retrouver P. ou encore Ă  ma directrice - oui - vous avez bien lu. C'est lĂ©ger et frivole. je lui raconte la situation. Elle me rĂ©conforte. "C. tu ne mĂ©rites pas quelqu'un de plus faible que toi. Tu vas avoir du mal Ă  trouver et je le sais, je suis passĂ©e par la" - je quitte la voiture, prends un verre de vin rosĂ© en face de chez moi - relis mon brief - supprime l'intĂ©gralitĂ© de mes Ă©changes avec A. et rentre Ă  la maison.)
Il me rend folle. quel connard !
05-23
C.
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lualluna0 · 2 years
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AdhelfĂ­ PsikhĂ­ - Î±ÎŽÎ”Î»Ï†Îź ÏˆÏ…Ï‡Îź - 03.
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03.
Ma douche a Ă©tĂ© rapide et j'ai choisi une tenue assez simple pour aujourd'hui ; un jean noir, un t-shirt du groupe Queen ainsi que des baskets noires. Je n'ai que deux heures de cours ce matin et je file ensuite Ă  la bibliothĂšque jusqu'Ă  17h – si ce n'est pas bondĂ© lol. Le matin je ne mange pas, je n'en ai jamais envie. Si j'ai le temps, je m'arrĂȘterai sur le chemin pour acheter quelque chose Ă  boire, je me dis. Je prends mon manteau, mon sac de cours et quitte l'appartement. Je prends soin de fermer Ă  clĂ© derriĂšre moi. Je dĂ©vale les escaliers des trois Ă©tages qui me sĂ©parent de la sortie et me dirige vers la station de mĂ©tro.
-
Les cours Ă©taient ennuyant aujourd'hui. J'avais l'habitude de toujours ĂȘtre entourĂ©e de mes amis lors de mes prĂ©cĂ©dentes annĂ©es d'Ă©tudes, mais depuis que je suis Ă  Paris je n'ai pas rencontrĂ© beaucoup de personnes. Il y a Nour, qui est gentille avec moi. Elle est dans ma classe. Elle a l'air assez folle et j'aime bien ça. On n'est pas encore assez proche pour la qualifiĂ©e d'amie mais c'est un dĂ©but. Le fait d'ĂȘtre seule la plupart de temps est assez difficile. Ça fait se poser beaucoup de question sur soi-mĂȘme, sur la confiance qu'on croyait avoir acquise, sur l'intĂ©rĂȘt que les gens peuvent nous porter et sur bien d'autres choses. Mais c'est aussi une maniĂšre d'apprendre Ă  se connaitre, en tout cas c'est ce que j'essaye de me dire.
Je pousse la porte de la bibliothÚque et la cloche sonne. Il n'y a personne aux alentours mais je suis habitué. Je monte à l'étage et cherche M. Pavel du regard.
— " Monsieur ? C'est Luna, je suis arrivĂ©e.
— Je suis lĂ , viens ! La rĂ©ponse vient du fond de la piĂšce, Ă©touffĂ©e par les nombreux rayons remplies d'exemplaires de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Sa voix est enjouĂ©e mais je sens que ça ne va pas me plaire. M. Pavel reste rarement Ă  la boutique lorsque je travaille, mais il ne peut pas s'empĂȘcher de venir trifouiller ses livres. C'est sa femme qui l'avait convaincue d'embaucher quelqu'un, il avait acceptĂ© mais au fond je pense que sa passion est Ă  tout jamais ici.
Je suis cette direction et finis par voir l'homme assez ùgé, accroupit par terre et entouré de piles de livres.
— Aaah tu es lĂ  ! Tu vas pouvoir m'aider ! Je fais du tri dans les Ă©tagĂšres. Il me regarde avec un grand sourire en se relevant, fourrant une petite pile de livres dans mes mains.
— Commence par mettre ça dans la rĂ©serve, il me montre un tas de livre posĂ© Ă  la va vite dans un coin.
Je fais ce qu'il me dit sans broncher et me dirige Ă  nouveau vers l'entrĂ©e de la boutique. Je passe devant le comptoir et ouvre la porte qui se trouve derriĂšre. Il y a une petite piĂšce remplie de livres inutilisĂ©s car abĂźmĂ©s ou trĂšs rarement lu. Ça sent le renfermĂ© et il y a de nombreuses toiles d'araignĂ©es suspendues au plafond. Je dĂ©pose les livres sur une pile dĂ©jĂ  commencĂ© et sors en vitesse. Cette piĂšce n'est pas vraiment rassurante.
— Luna ! OĂč es-tu ? Ce n'est pas finit hein !" Je lĂšve les yeux au ciel et remonte les escaliers. Je comprends que cette journĂ©e de travail ne va pas ĂȘtre de tout repos, contrairement Ă  d'habitude.
-
18 heures et enfin dehors ! Le vent froid me fouette le visage, j'avais remonté le col de mon manteau. Je me dirige vers le métro en vitesse pour ne pas geler sur place. Je suis attirée par le restaurant-café La Tavérna qui se trouve à mi-chemin entre la bibliothÚque et la station. Je ne suis pas contre prendre quelque chose de chaud vu le temps.
J'entre dans la piĂšce et je suis soudainement enveloppĂ© par la chaleur qui y rĂšgne. J'ai un regain d'Ă©nergie grĂące Ă  l'ambiance rĂ©confortante du cafĂ©. Je commande un cappuccino et enlĂšve mon manteau en attendant que le serveur le prĂ©pare. AprĂšs avoir payĂ©, je vais m'asseoir Ă  une table au fond du cafĂ©, prĂšs d'une grande fenĂȘtre donnant sur la rue. En attendant que mon cappuccino refroidisse, je regarde les gens passer, rĂ©sistant face au vent, les feuilles de l'automne qui s'envolent dans un grand tourbillon. Un groupe d'Ă©tudiants passe devant la vitrine et je suis prise de nostalgie, encore une fois, la prĂ©sence de mes amis me manque terriblement.
Je bois une gorgĂ©e, le liquide enfin Ă  la bonne tempĂ©rature et tourne la tĂȘte vers l'intĂ©rieur de la piĂšce. C'est un petit cafĂ© chaleureux. Les murs sont peints en nuances de beiges, des bibelots en rapport avec la prĂ©paration traditionnelle du cafĂ© sont disposĂ©s sur des Ă©tagĂšres en bois, les banquettes sont rouge bordeaux. Et il fait chaud ici, j'adore. Le cafĂ© est presque vide. Un couple de personnes ĂągĂ©es boit et mangent sur une table Ă  ma droite, un jeune homme est installĂ© dos Ă  moi, dans le coin opposĂ© Ă  ma table, un autre est en face de moi, une capuche sur la tĂȘte. Une Maman et son fils rigole vers l'entrĂ©e du cafĂ©. J'avais fini ma boisson et me lĂšve pour enfiler mon manteau. Le jeune homme du fond se lĂšve en mĂȘme temps que moi. Je jette un dernier regard curieux vers lui tout en me dirigeant vers la porte. Il se retourne et je reste figĂ©. C'est Ken. Il range ses affaires dans son sac. Un courant Ă©lectrique traverse mon corps et je sors du cafĂ© Ă  toute vitesse, prise de panique. Je prends la direction de la station de mĂ©tro sans trop y penser. Comment pouvais-je croiser quelqu'un que je n'avais jamais vu avant, autant de fois en si peu de temps ? Il me perturbe. Et je ne sais pas pourquoi mais ça me stresse. Je file Ă  toute vitesse vers ma destination, je n'ai qu'une envie : rentrer chez moi.
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My shower was quick and I chose a pretty simple outfit for today; black jeans, a Queen t-shirt and black sneakers. I only have two hours of class this morning, and then I go to the library until 5pm – if it's not crowded, lol. In the morning I don't eat, I never want to. If I have time, I'll stop on the way to buy something to drink. I take my coat, my bag and leave the apartment. I take care to lock the door behind me. I run down the stairs of the three floors that separate me from the exit and head towards the subway station.
-
Classes were boring today. I used to always be surrounded by my friends during my previous years of study, but since I am in Paris I have not met many people. There's Nour, who's nice to me. She's in my class. She looks pretty crazy and I like that. We're not close enough yet to call her a friend, but it's a start. Being alone most of the time is quite difficult. This raises a lot of questions about yourself, about the confidence you thought you had acquired, about the interest people may have in you and about many other things. But it's also a way to get to know yourself, at least that's what I'm trying to tell myself.
I push the library's door and the bell rings. There is no one around, but I am used to it. I go upstairs and look for Mr. Pavel.
— Sir? It's Luna.
— I'm here, come on! The answer comes from the back of the room, muffled by the many aisles filled with books of all colors and sizes. His voice is cheerful, but I feel like I'm not gonna like it. Mr. Pavel rarely stays in the shop when I work, but he can't help but come and search books. It was his wife who had convinced him to hire someone, he had accepted, but deep down I think his passion is here forever.
I follow this direction and end up seeing the old enough man, crouching on the ground and surrounded by piles of books.
— Aaah you're here! Help me! I'm sorting out through the shelves. He looks at me with a big smile as he gets up, stuffing a small pile of books in my hands.
— Start by putting this in the storeroom, he shows me a bunch of books in a corner.
I do what he tells me without flinching and head back to the shop entrance. I walk past the counter and open the door behind it. There is a small room full of unused books because there are damaged or very rarely read. It smells musty and there are many cobwebs hanging from the ceiling. I put the books on a pile that has already been started and come out quickly. This room is not really reassuring.
— Luna! Where are you? It's not over!" I roll my eyes in my head and go up the stairs. I understand that this work day is not going to be easy, rather than usual.
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18 hours and finally outside! The cold wind whips my face, I had pulled up the collar of my coat. I'm heading to the subway in a hurry so as not to freeze on the spot. I am attracted by the restaurant-café La Tavérna which is halfway between the library and the station. I'm not against taking something hot in the weather.
I enter the room and am suddenly enveloped by the heat that reigns there. I have a boost of energy thanks to the comforting atmosphere of the coffee. I order a cappuccino and take off my coat while the waiter prepares it. After paying, I sit at a table at the back of the café, next to a large window overlooking the street. While waiting for my capuccino to cool down, I watch people pass, resistant to the wind, the autumn leaves that fly away in a big whirlwind. A group of students pass by the window and I am filled with nostalgia, once again, I miss the presence of my friends terribly.
I drink a sip, the liquid finally at the right temperature and turn my head towards the inside of the room. It is a small, warm coffee. The walls are painted in shades of beige, trinkets related to the traditional coffee preparation are arranged on wooden shelves, the benches are burgundy red. And it's hot in here, love it. The coffee is almost empty. A couple of elderly people drinks and eats on a table to my right, a young man is seated with his back to me, in the corner opposite my table, another is in front of me, a hood on my head. A mother and her son laugh at the entrance of the café. I had finished my drink and got up to put on my coat. The young man in the background gets up at the same time as I do. I take one last curious look at him as I walk towards the door. He turns around and I freeze. It's Ken. He's putting his stuff in his bag. An electric current runs through my body and I come out of the coffee at full speed, panicked. I take the direction of the subway station without thinking too much about it. How could I meet someone I had never seen before, so many times, in such a short time? He disturbs me. And I don't know why, but it's stressing me out. I'm rushing to my destination, I just want to go home.
* English is not my first language. I apologize if the sentences are not clear or if there are mistakes. xoxo
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fuckyouwitches · 11 months
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Je comprends complÚtement ton chéri, ces mÚches blondies naturellement, ça va te trop bien. Oh mais c'est que tu es chipie toi avec ton chéri lol. Tu as envie de le tester ? Je vais essayer Telegram parce que tu n'es pas la seule qui m'en parle. AprÚs, c'est vrai que WA c'est facebook = Surveillance maxi. Vous rentrez quand de votre escapade ?
Je t'avoue que je n'ai plus envie de rentrer. On est bien ici. Nous avons dĂ©programmĂ© notre dĂ©part deux fois dĂ©jĂ ... Lui, fait du surf ou de l'escalade pendant que moi je m'occupe de mes recherches sur la fleur de TiarĂ©. On se retrouve en journĂ©e ou le soir. On est trĂšs libres. je ne supporterais pas qu'on soit sans arrĂȘt l'un sur l'autre. Je crois que lui non plus. On vit tout ça au jour le jour tu sais. Baptiste se projette, moi je refuse mĂȘme l'idĂ©e d'y penser. Je ne veux plus de plans sur la ComĂšte. Je veux vivre, l'aimer, et continuer mes projets, sans penser Ă  un futur nous. Je sais que ça peut sembler Ă©trange pour toi de lire ça, puisque nous nous sommes quand mĂȘme enfuit, sans prĂ©venir personne; sans Ă©couter personne. Tous les deux, c'Ă©tait un pari trĂšs risquĂ©, mais on l'a fait !
Mais il nous faudra bien rentrer. Un jour...
J'aime assez provoquer des rĂ©actions, pour voir ce qui se passera. Il aime tellement mes cheveux qu'il les brosse le soir. J'aimerais voir sa tĂȘte si demain je rentrais les cheveux plus foncĂ©. Nah, ce n'est pas un test, c'est juste de l'Ă©pice soupoudrĂ© sur notre relation. Et puis tu sais, il est dans le challenge perpĂ©tuel, c'est pas lui qui s'en plaindrait.
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