Tumgik
#la velue
dragon-discourse · 1 year
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Draconym: Velue
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Term: Velue
English Spellings: Velue
Language of Origin: French
Related Words: Peluda
Meaning: Hairy One
Facts:
La Velue was a Dragon from French Mythology, noteworthy for its quilled and/or hairy back. La Velue was translated into The Peluda, and this term has become more common, despite being Spanish while the dragon was French.
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briefbestiary · 1 year
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La Velue was a terrible dragon who dwelled within a cavern by the Huisne. While it was ultimately slain, its various abilities made it quite a fearsome thing.
On spite it lived on beyond the flood, and with spite it acted until the very end.
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solxs · 10 months
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La vida está acabando conmigo y no puedo hacer nada para evitarlo.
-Velu
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 124
Nous sommes descendus à La Palmyre en moto. Trajet que nous commençons à bien connaître, surtout les aires de repos où l'on peut s'isoler pour que Marc m'encule discrètement. Bagages minimum, mais de toute façon nous passons le plus clair de notre temps à poil ou en maillot de bain. Cette année ayant fait les frais de maillots Aussiebum, nous n'auront que les serviettes à acquérir à la boutique de Jérôme.
Quand nous arrivons, nous tombons direct sur Manu et Théo les serveurs que nous connaissons bien ! Une bise vite fait et il assure passer nous voir dès ce soir à la fin de leur service. Miam, cela faisait longtemps que nous les avions vu.
Motos au parking vidéo-surveillé, bagages défaits, nous descendons direct à la piscine. Nous sommes déjà tout bronzés et ne nous attirons pas de regard de commisération (pov blanchets) mais nous en attirons quand même. J'avais insisté pour acheter les maillots wonderjock. Ça a l'effet escompté, bien que nous soyons déjà correctement équipés, nous paraissons avoir deux Kg de bite en plus !! Nous visons un espace libre et plongeons de concert. Longueur sous l'eau, nous remontons auprès d'un groupe de jambes légèrement velues. Trois ados châtain clair en train de causer sexe accoudés à la margelle. Notre arrivée doit les gêner car ils changent de sujet. ;Je les mates direct, ils s'en aperçoivent et deux d'entre eux rougissent. Je leur fais un grand sourire et m'éloigne avec Marc en crawl lent. Il va falloir mettre Manu sur le coup pour en savoir plus ! Nous sortons de l'eau et allons à la terrasse du bar. Manu vient nous servir et je lui demande aussitôt qui est ces trois jeunes gens. Il rigole car il les avait déjà remarqué et pensait bien que je flasherai dessus. Il me dit que son enquête donne que : ce sont 3 cousins de 18ans tout juste, qui sont en vacances seuls en récompense de BAC réussit. D'après ce qu'il a pu voir, ils sont dans la même résidence que nous mais restent entre eux. Manu n'est pas sur mais il a cru voir quelques gestes tendre entre eux. Sous toutes réserves ! Quand on cherche on finit par trouver le sens que l'on veut au moindre geste !
Le trajet en moto + la piscine dès l'arrivé, j'ai faim. Il nous sert en carte brasserie. Je ne quitte pas des yeux le trio. Soit je les intéresse et intrigue soit mon regard est si lourd qu'il pèse sur leurs épaules. Toujours est-il que régulièrement l'un d'eux vérifie que je les mate toujours. Marc n'est pas contre, après tout les vacances c'est pour changer de la routine (quoi que chez nous il n'y en a pas). De plus je connais mon homme ce type de ptit mec ça lui va bien !
Je décide d'attaquer vite avant qu'on me les prenne. Je laisse Marc remonter à l'appart et plonge dans la piscine. J'émerge entre eux non sans avoir regarder les maillots en passant. Excuses, présentations, de près ils sont pas mal du tout, deux cheveux courts et un longueur à la mode, musclés correct mais pas énorme sauf un plus " physique ", imberbes hors une ligne de poil qui sort de maillot pour remonter au nombril.
Le courant passe tout de suite, ils pensent que j'ai le même âge qu'eux. Quand l'un d'eux me demande si le type avec qui j'étais tout à l'heure c'était mon père, un des autres lui donne un coup de coude et rectifie en mon grand frère. Je ne les détrompe pas, après tout, cela pourra peut être nous servir plus tard. Je leur demande où ils crèchent et précise que nous sommes de l'immeuble. Ils me disent tous ensemble qu'eux aussi sont dans l'immeuble. Je leur demande comment est la mer cette année, car nous venons d'arriver. A ma stupéfaction, j'apprends qu'ils sont là depuis 15 jours mais qu'ils sont restés près de la piscine tout le temps. Je leur parle de la plage au dessus de La Palmyre où on peut bronzer comme on veut. Cela les intéresse, il me demande comment y aller. Je leur dit que nous irons demain et qu'ils n'auront qu'à nous suivre en voiture. Rendez vous pris pour 15h dans le hall.
Ce soir comme d'habitude, nous nous faisons monter le diner à la fin du service par Manu et Théo. Nous les gardons avec nous pour le reste de la nuit ! Nous les avons retrouvés comme nous les avions quittés, chauds, avides de sexe. Malgré la route, ils ont su nous redonner une vigueur qui nous a entrainé jusque tard dans la nuit. Leurs langues se sont attaquées à nos bites pendant que les nôtres mouillaient leurs trous, les enduisant de salive pour la phase suivante. Avant que leurs gorges aient eu raison de notre résistance et qu'elles aient tiré nos jus, nous les avons retournés et enculés l'un à coté de l'autre. Je me suis fait Théo pendant que Marc enculait assez virilement Manu. Marc a attiré ma tête pour que nous nous roulions un patin, nos petits amis faisaient de même plus bas. Pour plus de pratique, et pour changer un peu, Marc les a mis en 69 et nous avons repris nos enculades. Du coup c'était beaucoup plus pratique pour se rouler une pelle. On leur a rempli grave leurs culs de salopes (enfin la kpote au fond de leur culs !).
Dès le lendemain matin, j'étais en mode drague auprès de mes trois cibles. Avec Marc, nous avions défini un mode opératoire destiné à les faire tomber sous trois jours. Ils m'ont retrouvé vers 10 heures à la piscine. Cela faisait déjà une bonne demi-heure que j'alignais les longueurs avec un mec d'une quarantaine d'année. Ils se sont installés de mon coté, les jambes dans l'eau. Je les ai sciemment ignorés, continuant mon entrainement. Deux minutes plus tard le plus musclé des trois glissait dans l'eau et me rejoignait. Quand il m'eut cogné deux trois fois, je cessais mes allers et retour pour m'occuper d'eux. " Ha ! Bonjour ", les civilités plus tard, ils me demandaient si nous allions à la plage dont je leur avais parlé la veille. Ils m'ont l'air bien impatient de venir sur cette plage ! Je leur confirme l'heure de rendez vous dans le hall.
A 15 h nous descendons en tenu moto légère serviettes et huiles. Manu que nous croisons nous informe que les trois jeunes mecs nous attendent depuis au moins 1/2 heure déjà. Contact, description de la route et nous allons au parking. Sifflements devant nos motos, ils ont des scooters 125cm3 et casqués nous suivent. Arrivés au parking nous mettons nos engins nez à nez et cadenassons le tout ensemble (c'est Marc qui garde la clef !). Serviettes sur l'épaule et casque en main, nous crapahutons les presque 2km qui nous séparent de l'océan. Discussion à bâtons rompus sur ce que chacun fait, nous apprenons ainsi que ce sont bien trois copains, et non trois cousins, qu'ils viennent de décrocher le BAC avec mention bien et que du coup un des parents leur avait laissé la jouissance du T2 qu'il avait dans la résidence pour tout le reste du mois. Je tilte, T2 = 1 séjour + 1 chambre ! Innocemment je fais " oui nous aussi nous avons un T2, ça me fait coucher avec Marc mais étant donné la largeur du lit, ça ne pose pas de problème " et celui avec qui je discute me répond qu'il est tellement grand que eux y couchent à trois. Nous escaladons la dune qui sépare la forêt de la plage. Heureusement nous n'avons pas rencontré de mecs un peu chauds ! Du haut de la dune, nous apercevons quelques mecs nus étalés sur leurs draps de bains et quelques mecs dans l'eau. Marc prend sur la droite pour trouver un coin éloignés des autres. Les fringues volent, Marc se met nus et je reste en maillot (pour garder mes fesses blanches). Un des mecs me demande si la plage est naturiste ou non. Je lui explique que cette année je voulais rester le cul blanc car je trouvais cela hyper sexy. Les autres ont maté Marc et les commentaires élogieux sont sortis. Belle musculature, au fait t'as quel âge ? ... Yen a surtout un qui n'arrivait pas à quitter la bite de Marc des yeux. Sans bander ce dernier l'avait quand même un peu excité et elle avait pris une taille molle déjà conséquente au dessus de ses grosses couilles glabres. Après hésitation, les trois ont décidé de tenter le nudisme. Là derrière mes lunettes de soleil, j'ai pu voir distinctement leurs matériels. Correct, couilles rasées pour le plus balaise, les deux autres couilles rasées et les poils au dessus de la bite coupés courts. J'entraine tout le monde à l'eau. Plongeons, éclaboussures, les trois mecs ont vite fait de se bagarrer entre eux. Je les rejoints, passant sous l'eau et les faisant chuter sous les vagues. Marc nous rejoint et nous nous bousculons tous ensemble.
Essoufflés, nous revenons vers la plage. Quand l'eau nous arrive sous les fesses, je remarque que nous bandons tous. Les deux plus frêles hésitent à sortir de l'eau contrairement au plus balaise qui arbore fièrement ses 19/20 cm raides. Je comprends mieux quand je vois qu'ils ne développent qu'un simple 16 x 4 environ. Nous courons à nos draps de plage et les deux " coincés " se mettent sur le ventre. Leurs petits culs blancs sont à croquer ! Je me propose de les enduire de protection solaire pour leur éviter les coups de soleil. Sans attendre la réponse je leur étale la crème. Epaules, dos, mollets, cuisses et je termine par les fesses. Là je masse et n'oublie aucun cm². Je passe même entre les fesses, un doigt négligent glisse sur la rosette qui ne me semble plus vierge. Le balaise ayant fait pareil à son autre copain, je me mettais debout et lui proposais mes services. Il les accepta avec empressement et me dit qu'il commencerait par bronzer devant. J'étalais consciencieusement la crème sur ses pecs, ses abdos et jambes puis d'une main négligente enduisait ses couilles et la hampe de sa bite. Cette dernière repris aussitôt de la raideur. Avec un sourire, le me tourne et lui passe le tube. Il me couvre le dos de protection. Ses gestes sont doux caressants, très d=caressants même ! Il s'accroupi et badigeonne mes jambes. Marc sur le dos réclame son du et le balaise m'aide spontanément à le couvrir d'huile. Je traine volontairement sur sa jambe pour que l'autre finisse la sienne plus tôt que moi et qu'il lui reste els couilles et la bite. Sans se démonter, il recouvre le tout branlant deux / trois fois la queue de Marc. Comme il se met à bander, il lui demande si elle sert pour les meufs. Direct le ptit jeune ! Marc en profite et lui dit que non, chez nous nos queues ne servent que pour les mecs. Il se rembrunit et désignant ses deux compères, nous annonce que c'est comme cela qu'il utilise la sienne sur ces deux culs. Au moins maintenant les choses sont claires. Marc lui demande si ce soir ils avaient prévus quelque chose et à la réponse négative lui propose de venir prendre l'apéro chez nous.
Nous passons l'après midi à bronzer. Je commence à avoir une belle démarcation entre la peau protégée et le reste. Même si je suis le seul habillé sur la plage je vais le rester tout le séjour. Retour en début de soirée et nos nouveaux amis sont arrivés aussitôt après leurs douches. J'avais laissé Marc passer en premier et je sortais juste de la salle de bain comme ils passaient la porte. Nu, je passais devant eu sentant leur regards rivés sur mon anatomie (enfin celle qui jusque là leur avait échappée). Passé dans la chambre j'enfilais vite un Aussiebum wonder jock sous vêtement et dans ce simple appareil les ai rejoint. Marc en short flottant sans slip, laissait apparaitre son sexe au travers du tissu fin. Nos trois invités nous ont vite semblés à l'étroit dans leur short de surf. Le temps que je serve les apéros (fortement dosés), Marc les avait enjoints à se mettre à l'aise délaçant les cordelettes de celui qui était à sa droite. Celui de gauche s'est alors levé pour le faire lui-même. Debout il m'a rejoint pour voir de près mon slip. Je lui proposais de toucher le tissus et ses doigts sont venus le pincer sur ma hanche tout en reluquant mon sexe qui donne l'air d'être à l'étroit grâce au système wonder jock. Je profite qu'il soit " hypnotisé " pour appuyer sur sa nuque et lui mettre le visage à la bonne hauteur. Je n'attends pas et fais glisser mon sexe hors du slip. Comme je bande, mon gland se propulse sur sa joue. Il ouvre la bouche pour dire quelque chose mais mon gland la pénètre et d'instinct il se met à téter. Je regarde les autres et je vois que Marc se trouve avec les deux autres à ses pieds en train de lui bouffer couilles et bite. Le miens est tellement docile que je ne peux m'empêcher de lui prendre la tête et de lui saillir la gorge. Il ne bronche pas et accepte ma domination. Je me penche et pousse son short sous les fesses. Du coté du trio, Marc a déjà les doigts dans la raie du costaud. Ce dernier laisse faire. Telle que je connais mon Marc, il va sauter le plus mâle en premier histoire de poser dés le début l'ordre hiérarchique.
Je mouille deux doigts et les enfonce dans le fondement de mon suceur. Il gigote un peu, pas pour m'écarter mais plutôt pour les faire entrer plus facilement, belle salope ! Marc en est au même point avec le musclé, l'autre suce consciencieusement les 22cm qui ne vont pas tarder à envahir celui qui d'habitude les encule.
Le musclé semble subjugué par Marc et le laisse faire. Marc demande alors à son suceur d'aller bouffer le cul de son pote, laissant ce dernier reprendre son taf sur sa bite. Je me kpote et graisse ma teub et le cul de ma salope. Je le plaque sur la table basse et l'encule. Ça rentre facile, c'est vrai que la bite du balise est du même diamètre que la mienne ! C'est chaud, doux, glissant. Je lui demande de serrer l'anus. Il s'exécute et c'est meilleur ! Marc lui a mis son mec dans la même position mais sur le canapé la tête enfoui dans les coussins. Quand il pousse sur l'anus, un gémissement sort du canapé, il a l'air de morfler un peu le gus ! Marc ne cesse pas, de toute façon faut bien que ça rentre ! Quand ses couilles butent à la porte il reste un moment sans bouger puis commence lentement un va et vient. Les gémissements de douleur laissent place à ceux de plaisir. Faut dire que son pote inutilisé a pris l'initiative de pousser sa tête dessous et de lui bouffer la tige. De mon coté mon petit mec se tortille pour se rappeler à mon bon souvenir, j'avais cessé mes mouvements à mater mon Marc entreprendre le Mâle du trio. Je le laisse s'enculer tout seul un moment sur ma bite puis le prend par les hanches et impose mon rythme. J'active un peu mais pas trop, le spectacle est trop bandant et je risquerais de jouir trop vite. Mon enculé mate aussi son pote se faire saillir. Le troisième cesse de téter son pote et vient bouffer les couilles de Marc. Je connais mon mec, ça va accélérer sa montée de jus. Ça ne manque pas et bientôt la cadence augmente et il se cale au fond du trou, jutanat dans sa kpote. Le pote du dessous a juste le temps d'emboucher l'enculé et de recevoir sa semence. De mon coté je remplis aussi ma kpote et recueille je jus de mon enculé dans ma main pour le lui faire laper. Nous nous déboitons et je les accuse d'être de vraies salopes ! Ils se récrient en nous disant que ces la première fois qu'ils font cela avec d'autres qu'eux trois. Marc dit qu'il les croit mais que ce sont quand même de bonnes salopes. Le balaise rit et admet que pour sa première fois (comme enculé), il avait décroché le pompon avec nous.
Nous leur proposons de rester diner avec nous et commandons au restau du rez de chaussée. Nous passerons le reste de la soirée à discuter, surtout d'eux et de leurs expériences sexuelles à trois. Comme ce n'est ni Manu, ni Théo qui nous sert, nous ne partouzerons pas plus ce soir là.
JARDINIER
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moonlitcomet · 7 months
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Peludas, also known as La Velues, are a genus of two-headed dracosaur that share a common ancestor with all dragons. However, despite this, they are not true dragons, much like how pterosaurs are not dinosaurs. To a layman, the distinction between a dragon and a peluda is negligible, and many non-dracosaur sophonts will refer to peludas as dragons, much to the annoyance of the peludas.
Peludas have two heads and three brains, with one brain at the base of their neck that holds their memories and conscious and performs bodily function, while the brains in their heads process sensory input and give short-term thoughts. Peludas are considered to be one individual per body and have one name, though the two heads are unable to fully work together in the moment without communication and may sometimes argue.
Peludas first began to evolve around the time of the enormous dragon species boom, though the arcane radiation that created the thousands of species of dragon did not bring peludas as much luck. They have only one body morph, being a wingless body with four legs. All peludas have venomous quills on various parts of their bodies, and are typically much smaller than many species of dragon, with none of them getting any larger than a person.
All peludas, like dragons, are sophonts, and are just as intelligent as dragons and humans. Due to being smaller, they are much more widespread than dragons, though they are not nearly as populated. Most peludas prefer living in swamps or around brackish water, feasting on the swamp grasses and plentiful fish and frogs that are cultivated in their homelands. Peludas are only found on the western continent.
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marie-chatelaine · 17 days
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Printemps d'avril
Ma mie, à son toit fidèle,
La frétillante hirondelle
Revient du lointain exil.
Déjà le long des rivages
S’égaie un sylphe subtil,
Qui baise les fleurs sauvages :
Voici le printemps d’Avril !
C’est le moment où les fées,
De volubilis coiffées,
Viennent, au matin changeant,
Sur le bord vert des fontaines,
Où court le flot diligent,
Charmer les biches hautaines
De leurs baguettes d’argent.
Elles dansent à l’aurore
Sur l’herbe, où les suit encore
Un troupeau de nains velus.
Ne va pas, enfant sereine,
Au fond des bois chevelus ;
Elles te prendraient pour reine,
Et je ne te verrai plus !
-Théodore de Banville -
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lupitovi · 1 year
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Ernest Pignon-Ernest 
Quel crédit accorder à un artiste (un écrivain aussi bien) qui ne toucherait à aucun moment de son art au cœur même de l'humain ? Qui ne serait cet archer qui annonce à sa façon, en poète qu'il est : « Et d'un oeil avisé nous mirons droit dans la rime.» Bonheur de l'anagramme : rime, mire (rima). Le cœur de l'humain ? Métaphore du romantisme à travers les siècles, pour reprendre le titre d'un livre de Philippe Muray qui désigne en vérité, comme nous le signifie un poème du XVIII siècle, le sexe, plus précisément le sexe de la femme. Le tireur à l'arc, chasseur de fauves : « Et nous mettons droit les yeux dans la fente/Et nous ne tirons jamais de coups décochés en vain. S'il est un artiste, poète et chasseur qui sait mettre droit les yeux dans la fente du réel, de tout le réel, c'est-à-dire dans le lieu où le réel s'ouvre pour délivrer son sens; s'il est un dessinateur qui ne tire jamais un trait décoché en vain, c'est bien Ernest Pignon-Ernest. Archée : principe de vie, feu central de la terre. Viser le feu de la femme, c’est viser dans le même temps et plus fondamentalement le feu de la terre, le principe même de la vie. Titre du tableau de Courbet : L'Origine du monde. Le Vésuve sait faire jaillir sa rougeoyante semence sur Naples et la côte amalfitaine. Zelda, épouse de Francis Scott Fitzgerald, dans une rue de Paris, brise la vitre d'une borne d'appel aux pompiers: « Vite, vite, venez Vite, j’ai le feu au cul ! » Naples n'est pas choisi au hasard par Ernest Pignon-Ernest. Présence de Virgile, bien sûr, près de la tombe duquel, en manière d'hommage, il colle son dessin. C'est aussi la ville où Vivant Denon situe sa Belle Napolitaine vue de dos. Vue de dos mais, robe relevée, exhibant son magnifique cul, et la tête tournée, regard aguicheur, vers les mâles suiveurs, vers nous aujourd'hui, les voyeurs du dessin, vers ceux de demain, pour s'assurer auprès de nous, auprès d'eux, d'un effet maximum. Qui m'aime me suive ! Qui me suit me baise ! Force du dessin d'Ernest : il indique que le siècle libertin de Vivant Denon est loin, que le XIX° est passé par là. La femme, de face, exhibe son sexe mais détourne la tête, se cache les yeux. La culpabilité a fait son ouvrage, du coup, son sexe est d'autant plus en feu. Double effet d'obscénité, laquelle, selon Bataille, rend la beauté du sexe encore plus fascinante : la Napolitaine n'est pas nue et elle est velue. Pas nue. Bataille encore: « Je pense comme une fille enlève sa robe. » Ernest dessine comme une fille soulève sa robe. Le dévoilement est autrement plus érotique, plus scandaleux, que le déjà dévoilé. Velue. Présence taboue de l'animalité chez la femme. Breton n'est pas Bataille, on le savait. « C'est une honte, déclarait l'auteur de L'Amour fou (retour à grands pas du XIX siècle dans la poésie du XX), qu'il y ait encore des sexes non rasés. » Merci à Virgile, merci à Pignon-Ernest, d'avoir, chacun en leur temps, fouillé, tisonné les cendres de la honte pour ranimer les laves ardentes du sexe et de l'amour.
— Jacques Henric - Femme avec le feu entre les jambes
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maneki-art · 7 months
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May the season of spooky began !
And to open it properly here is a manekineko-haunting bakeneko ghost!
(And since I'm a big softie for furry critter, it is just watching over baby kittens instead of horribly dismembering people)
(just… don't hurt the kittens and the horribly dismembering may still happen anyway)
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Que la saison des frissons commence !
Et pour bien la commencer, voici un fantôme de bakeneko, hantant un manekineko de pierre !
(Et comme je suis une grosse chochotte et amoureuse des petits machins velus, il se contente de veiller sur les chatons au lieu de démembrer les gens de façon horrifique)
(ceci dit, ne faites pas de mal aux chatons, ou il ne promet rien niveau démembrement horrifique.)
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Time lapse
youtube
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RedBubble
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gryphis-eyes · 10 months
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I wanted to ask your opinion on this because you're French and know a lot about your country's folklore.
I am an American witch who has never been to France, though I'm going to change that someday. However, I am a francophile who has been studying French history, culture, language and folklore for years now. The only reason I ended up believing in magic was because of that sense of awe I got when I looked at pictures of French forests and read French history and folklore.
So I wanted to know, would it be wrong if I took inspiration from French folklore for my magic practice? I own a huge stack of books written in France, I'm learning the language and the history of the individual regions that the folklore comes from and I'm adding to my collection all the time. And if it's alright for me to do it, is there anything in particular I should know or keep in mind on my journey?
Merci beaucoup de votre attention.
Bonjour~
There is absolutely nothing wrong in wanting to take inspiration from our folklore and I would even say that you can as well call upon the fairies/witch and other "named entities"
Think of Melusine or La Vieille (an equivalent of Cailleach) nothing stop you from calling onto them
By named entities I'm not talking about fairy folk in general but more of the specific ones, like La Velue or Graoully. I'm part of the people who believe that the spirits are bound to their lands but nothing stops you from calling onto specific ones.
As for the extra advices I'd say that you can also check the folklore from Belgium since we share a lot (it's mostly centered around witches, one of the most famous is Quintine), the England one share a lot of similarities as well I'd highly recommend Gemma Gary for the practice.
I don't remember if I told you about him but Claude Lecouteux made a lot of books on the folklore and I think a lot of his books have been translated in english!
For that last advice I don't think I have to say it because it's kinda obvious lol but stories from Bretagne will be your best friends !
Bon courage 🌹
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pretty-quasar · 2 months
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Cabaret La Velu•e, July 2023, Paris
📸 Aunn Photography
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sonicasura · 1 year
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Peluda!Wind
The last Link in our Chain who hasn't gotten an inhuman version. I won't lie that it was DIFFICULT thinking what I could make Wind as the other choices either have not enough info or just didn't fit my idea.
Today I finally found one in the form of the Peluda (Spanish for Hairy One) or La Velue (Shaggy Beast in French). A fur covered serpentine like creature bearing poison tip spines can breathe fire and caused floods. Even though this creature originates in France, I'm using Peluda name as it's shorter and easier to remember.
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Hatched from a strange egg his Grandma found outside her house one day. Wind instinctively took on a Hylian form just three weeks afterwards. His spines didn't grow in until he was 8 and they can be flattened against his back when not in use.
The effects of Wind's poison varies on how big the dosage is but it's instantaneous either way. Small: Hallucinations. Medium: Full body paralysis. Large: Calcification of all flesh.
His fur is sun blonde in color while his scales are a royal blue. Wind is a draconic long necked Peluda and is around the size of a large elephant at his current age in LU. His Hylian form has some Peluda traits such as a few small spines, some fur on his back, claws and sharp teeth.
Has difficulty swimming in Hylian form and can only doggy paddle since it's the closest to swimming in his true form. As a Peluda, he can outswim the fastest speedboat and catch up to horses quite quickly on land.
Everyone on Outset Island knows about Wind's true nature so they're quite protective of him. Anyone looking for the Shaggy Beast is always led on a wild goose chase especially since the Fishmen like Wind too. He sheds both scales and fur which is repurposed into different items for the islanders.
He doesn't shift into his true form much when off his home island especially around the King of Red Lions. Their first meeting was already awkward as he shifted back to his true form halfway through the Helmaroc King's sendoff and nearly crash into said ship.
Will sneeze fire so Wind often runs to some non-flammable location or place the instant he feels an itch. His tail will materialize with a harsh enough sneeze. Linebeck learned that bit the hard way as five seconds later he had to be fished out of the sea from a sudden tail slap.
Quite a few other people and races know about his true form such as the Goron, Rito, Koroks, Anouki, Yook, Linebeck, Tetra alongside her crew, etc. After the events of Phantom Hourglass, charms based on Wind's true form were made and seen as good luck charms. (Linebeck definitely started it.)
Once becoming apart of the Chain, Wind was actually nonchalant about his Peluda nature. Only Time and Warriors knew as the Sailor was less hesitant to use it during HW's events. He just kept it to himself until there was a situation that needed such power. Wind did scare the absolute shit out of any Downfall Era Zora dumb enough to drag him in the water before then.
He took on his Peluda nature when the group got stuck in the middle of a monster ridden sea too dangerous to sail any boat in. Wind was definitely a little shit about it even as he ferried the group to safety.
Hyrule had some issues interacting with the Sailor afterwards considering how hostile dragons were in his era. This just gave Wind more incentive to help the Traveller feel comfortable around the nicer members of the draconic species.
It isn't uncommon for a few Links to sneak a little nap on the Sailor's back as he can carry his fellow Chain members while they travel. If he's shedding, Wind lets the group use his shed fur and scales too. Items made from his fur are very durable, waterproof, fireproof but also cold resistant. Anything made from his scales is resistant to fire, ice and much more durable than the average counterpart.
Wild might've wanted to see what Wind could do in his true form once. Both were never allowed to be left alone together again afterwards. Just know Wind invented Hyrule's version of the Loch Ness Monster as a byproduct.
Overall, it felt like the Chain had gotten one sassy teenage Peluda instead of a sassy juvenile pirate. Warriors did try to ground Wind once. Captain found himself grounded by a large tail instead for horrible self care.
That's all I have for now! Until next time folks, I'll see you back in Hyrule!
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cricxuss · 19 days
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ça avait commencé, ô la grande léchée, par les doigts puis la paume ouverte ou courrent battantes, les lignes de la vie
puis les avant bras, bras, biceps ou veinule le sang et aisselle velue, là ou nichent les senteurs les plus poivrées, ô la langue
la langue affamée donneuse de frissons, assoifée et baveuse d'envies qui oeuvrait n'allait rien oublier
avant que de goulûment recommencer la boucle : doigts, paume, avant bras....
la bouche, et ses lèvres et ses dents aussi, ne plongerait que bien après, plus bas le long du torse, alentour les tétins, et du ventre et son bas ventre là ou la tour de chair se tenait dressée prête à l'embouchée, à la giclée
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solxs · 1 year
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No es la acción lo que lástima, es quién la realiza lo que lo hace.
-Velu
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 135
Passage de Franck à la maison.
Je reçois un coup de fil du Grand Père de Franck. Il me demande si je pourrais recevoir ce dernier quelques jours. La raison est que ses parents sont encore à l'étranger et que lui à des obligations qui vont l'empêcher de s'occuper de son petit fils. Je lui dis qu'à 18 ans, il peut quand même le laisser tout seul quelques jours. Il le sait mais Franck lui a fait un chantage pour qu'il lui paye un séjour chez moi. Je lui dis que s'il nous l'envoie, il sera amené à faire des expériences diverses. Il en est conscient mais c'est le désir de Franck. Je demande à Marc qui est près de moi, s'il était intéressé pour se faire Franck pendant 4 à 5 jours. Avec ce que je lui avais décrit du jeune mec, il n'allait surtout pas dire non. Je donnais mon accord au GP tout en lui précisant que mes décisions seraient force de loi pendant son séjour à la maison, quelles qu'elles soient. Je le rassure en lui disant que nous n'avions jamais été au delà de ce qu'acceptaient en toutes connaissances de causes nos invités. Il me répond que ce qu'il faut surtout c'est bien ouvrir les yeux de son petit fils, sur ce qui est correct et sur les sécurités à prendre.
Nous convînmes que j'irais le chercher à la gare de X le lundi suivant.
Avec Marc nous avons passé une partie du WE à cogiter sur ce que nous allions en faire. Il comptait le réserver pour nous pendant deux jours, puis après organiser sa première participation à une touze avec Eric, Igor et les jumeaux, et nos deux voisins Bruno et Arnaud.
Je vais le chercher à la gare. Je l'attends sur le quai. Il sort du train tout bronzé arrivant direct de Nantes un sac en bandoulière (à la maison nous faisons une grande économie de vêtements). On s'embrasse content de se retrouver. Trajet rapide en voiture et il découvre la maison. Il hallucine quand je rentre la voiture au garage et qu'il voit les motos rutilantes alignées les unes à coté des autres. Je lui dis que les deux à droite sont les miennes. Nous avançons vers la maison, la porte s'ouvre et Ammed vient au devant de nous pour prendre le bagage. Nous le suivons et trouvons Samir dans l'entrée. Je fais les présentations. Je lui demande s'il veut se rafraichir en premier. Le train parfois rend moite. Comme il accepte je l'accompagne à une des chambres d'ami et ouvre la porte sur la salle de bain. Ammed défait rapidement le petit sac, je vois qu'il a apporté deux maillots de bains, 4 slips, deux pantalons et 5 polos. Ammed nous laisse et Franck se dévêt pour se doucher. Je ne le quitte pas et mate son corps nu. Je lui rappelle les conditions de son séjour chez nous. Il me dit qu'il est d'accord avec. Il va à son sac et me sort l'enveloppe que son grand père avait préparé pour moi. Après avoir lu me montant du chèque, je vais vers lui et l'examine sous toutes ses faces. Face, un peu de poils brun sur les pecs, beaucoup autour de son sexe et sur ses couilles, jambes peu poilues. Pile, dos clean, fesses légèrement velues et tour d'anus poilu (ça je le savais déjà). Il me demande ce qu'il va y avoir à faire, se doutant bien que mon examen à un autre but que de le regarder seulement. Je lui tends un peignoir et lui dit de me suivre. Deux étages plus bas la salle de muscu et ses sanitaires. Franck est ébloui par l'équipement que nous avons. Je le pousse dans l'espace douche. Je lui dis alors ce que nous allons faire. Epilation du torse et des abdos, des fesses et du tour d'anus, des jambes et avant bras. Rasage des couilles et taille du pubis pour ne laisser qu'un petit trapèze de poil.
Je lui apprends, par l'expérience, ce qu'est un lavement. Après avoir trouvé cela bizarre, il apprécie le jeu.
Je le fais tourner devant les grandes glaces de la salle de muscu. Il s'admire, faut dire que son nouveau look lui va super bien. Il ne s'inquiète pas de son club d'aviron, les 4/5ème des mecs se rasent. Bon, pas aussi précisément coté sexe mais ça ne l'effarouche pas. Il me dit en connaitre trois quatre qu'il aimerait bien mettre dans son lit maintenant.
Je lui tends un jock lacé et nous entamons une séance de muscu destinée à gonfler nos muscles avant l'arrivée de Marc.
Il nous rejoint et nous dit de continuer. A son tour en Jock, il nous approche et après m'avoir roulé un patin, passe sa main sur la peau de Franck. Je vois ce dernier frissonner et bander. Il est bloqué dans son soulever de barre. Marc se place à sa tête et l'aide pour sa dernière répétition. Je vois que Franck à le regard rivé sur le jock plein de mon mec, ça le fait pas débander !
Marc me demande de lui présenter Franck. Je mets ce dernier quasiment au garde à vous. Je le fait tourner sur lui-même puis je recommence en lui faisant lever les bras les mains sur l'arrière de la tête. Au deuxième tour sur lui-même je lui enlève le jock qui de toute manière ne cachait plus rien levé qu'il était par son sexe raide
Marc me félicite de mon choix, il me dit qu'il est exactement comme il aime les jeunes mecs. Comme il bande bien raide lui aussi, je pousse sur les épaules de Franck. Plié à 90°, il à la bouche à la bonne hauteur ; marc écarte la poche élastique et Franck embouche mon mâle. Après s'être laissé agacer le gland, Marc attrape Franck par les oreilles et imprime la cadence et la profondeur de la pipe. Je passe derrière le suceur et lui écarte les fesses pour lui bouffer l'oignon. Je salive et la fait entrer en lui à coups de langue. Il se détend bien, plus facilement que quand je l'ai quitté. Il s'est fait ramoner régulièrement le conduit et ça l'a rendu plus souple et bien qu'encore serré, plus facile à ouvrir. Je me redresse et annonce que son trou est prêt.
Marc me le fait installer dans le sling que nous mettons en place devant ses yeux intrigués par l'engin.
Nous glissons ses chevilles dans les attaches prévues et, kpoté, mon mec s'enfonce dans Franck. Ce dernier prend son pied à se faire enculer. Je me mets à sa tête et mon gland se pose tout naturellement sur ses lèvres. Il entrouvre la bouche pour dire quelque chose mais je ne lui laisse dire plus que la première syllabe. Le reste du mot et de la phrase sont étouffés par ma bite qui s'enfonce. Je lui pousse la tête en arrière et lui défonce la gorge. Pris des deux cotés, il ne tarde pas à se juter dessus sans s'être touché. Marc et moi sommes plus résistants et nous continuons à utiliser ses trous. Après s'être tortillé comme s'il voulait finir, il s'est remis à me sucer convenablement et à décontracter sa rondelle pour que Marc le lime. Je descend un peu sa tête en lâchant de la chaîne. C'est plus facile pour lui enfiler sa gorge tout en me penchant pour un 69. Sa queue un instant molle à repris de la vigueur et il me défonce l'entrée de la gorge avec entrain. Sous mes yeux je vois la bite de Marc entrer et sortir de sa rondelle qui commence à rougir. Je délaisse sa bite le temps de cracher sur la jonction de leurs deux corps, puis reprend ma pipe.
Je sens que Franck va de nouveau jouir, je me redresse et deux coups de ma main plus tard, il rajoute une couche sur ses abdos. Je me branle à mon tour et ajoute mon jus en même temps que Marc qui venait de déculer et dékpoter dans le même mouvement.
Je prends une serviette et éponge le sperme qui coule de chaque coté de sa taille. Je l'aide à sortir ses chevilles des supports et nous allons nous doucher. Franck est savonné par nos 4 mains. Savonné puis massé, il apprécie la chose. Marc lui demande s'il a apprécié. Franck lui dit qu'il ne savait pas à quoi s'attendre mais que jusque là ça été très bon. Marc lui dit que pour deux jours, il devra être à sa disposition quand il est à la maison et à la mienne autrement. Avant que Samir nous serve le diner, nous nageons 1/2 heure histoire de détendre nos muscles martyrisés par la muscu et le sexe.
Franck mate Samir et Ammed quand ils viennent nous servir. Je lui dis que ces deux là ne son pas disponible pour lui. ;Je lui dis, avec l'accord de Marc que si il veut se faire un cul, je lui amènerai Jimmy. Il me questionne du regard. Je lui dis, pour le choquer, que c'est une de mes putes. Il encaisse l'explication sans en demander plus, de peur je pense que ce soit pire. Je le laisse mariner jusqu'à la fin du repas et au dessert, Marc demande à Samir de nous envoyer Jimmy. Pour des raisons de pratique, nous avons fait installer un système d'interphone entre la grande maison et l'appart des " hommes de service ". Jimmy déboule rapidement, juste en short et tong. Marc lui indique d'un geste le dessous de la table. Il s'y coule et bientôt nous entendons les bruits de succion caractéristiques d'une pipe en cours. Marc lui dit de tourner et je sens bientôt une bouche chaude recouvrir ma bite. il me chauffe bien avant de passer à Franck. Ce dernier apprécie l'attention dont sa queue fait l'objet. Une de ses mains est sous la table et je pense derrière la tête de Jimmy pour le plaquer fermement et enfiler sa gorge. Jimmy s'en sort avant que Franck ne jute. Marc est très excité, il appelle Jimmy qui se met debout à ses cotés et lui retire son short. Dessous son Jock blanc tranche bien avec sa peau sombre et de plus bronzée. Il repousse sa chaise et nous voyons ses 22cm bien verticaux attendre les nouvelles attentions de Jimmy. Il n'hésite pas, enjambe Marc et s'assoit son piquet. Pas un mot et la bite de Marc s'enfonce sans coup férir entre ses fesses. Il pousse le vice en fin de pénétration d'écarter ses fesses de ses deux mains pour entrer un cm de plus dans son cul. Franck et moi admirons le spectacle. Jimmy sur la pointe des pieds pistonne le sexe de Marc dans sa rondelle. Franck bande comme un malade, je lui interdis de se toucher, il risquerait de partir aussitôt. Je lui dis qu'il aura son tour si cela l'intéresse. Réponse plus qu'enthousiaste de sa part. Marc se lève avec Jimmy toujours sur sa bite, et le plaque dos sur la table faisant tomber verres et couverts. Ammed dégage le plateau. Marc poses les chevilles de Jimmy sur ses épaules et les mains aux plis de l'aine, il l'encule à grand coups de pine. Jimmy couine de plaisir. La table complètement débarrassée, Marc place Jimmy en travers et sa tête peut pendre de l'autre coté. J'en profite et me plaçant en face de mon mec, je m'enfile dans la gorge de Jimmy. Comme je vois que Franck est au top, je lui cède la place mais monte sur la table pour lui présenter ma bite. Marc jute dans Jimmy. Marquage du territoire ! Il nous le laisse. Je descends de la table et prend sa place. Excité par le fait que mon gland nage dans le sperme de mon mec et par les contractions de l' anus de Jimmy, je le lime comme un malade avant d'ajouter à sa " collection " mon propre jus.
Franck qui a réussit à se retenir de jouir, accoure pour me remplacer. Je le retiens le temps de lui enfiler une Kpote. il finit de la dérouler en s'enfilant dans le trou de Jimmy. Je dirige ce dernier, lui disant quand il doit serrer son anus ou non. Quand à Franck, ma main sous ses bourses maitrise sa trop grande envie de jouir par des pressions adéquate sur son périnée. ;Franck n'imaginait pas ce qu'un anus était capable de faire. Lors des quelques expériences de sodomisateur qu'il avait eu, il s'était contenté de pénétrer et bourriner jusqu'à remplir sa kpote. Au bout d'un moment je l'ai laissé faire. Il a accéléré le rythme et dans un dernier coup de rein s'est enfoncé jusqu'aux couilles pour décharger dans la kpote. c'est à ce moment là que Jimmy a giclé, éclaboussant leurs deux ventres accolés.
Comme il s'arrachait de Jimmy, il s'est tourné vers nous pour nous dire combien c'était bon. Marc lui a fait la remarque que son propre cul devrait bientôt avoir ces même capacités.
JARDINIER
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icariebzh · 1 month
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BESTIAIRE ÉROTIQUE
"Des caps pris en beauté malgré les déferlantes, Larguée, un peu cramée, quarantaines rugissantes, Se laisser glisser pour ressurgir en grande orque, Une ode au punk à l’aube des cinquantièmes hurlantes.
Envie folle d’un bestiaire érotique et braque, D’alexandrins stylés qui déchirent et qui claquent. D’un poème utérin sur fond de ménopause, De plombs fondus, fantasmes, et de métamorphoses.
Loin des mines compassées, de la pondération, Des salons trop feutrés, de la mort des saisons. Le délire situé d’une nature ni douce, ni con.
Y fourrer l’illusion de complétude visuelle, Qui défait le réel et oxyde la raison. Un brin de rêves mystiques et de cauchemars séquelles, Raptus anxieux passé sous les démangeaisons.
Canines vulpines, cauchemars, corps de chiens mutilés, Avenir radieux fuyant à vives et grandes foulées.
L’hystérie née d’esprits tordus de mâles pétés, Imagine les fureurs viscérales d’un loir, Bestiole en quête de sang, s’agitant tard le soir De la tête à la vulve de la femme infertile, Fou de manque, vomissant l’aménorrhée, fébrile. Vives bouffées de chaleur, subite mélancolie, Bûchers, internements, vapeurs et insomnies.
Musculosité crasse et flambées d’urticaire, Herbacées maléfiques et vipérine vulgaire, Hermaphrodite velue, érigée, narcotique, Mucosités visqueuses et rêv(es) fous de mastic.
Là, des licornes en joie chient des paillettes dorées, De petites chattes bourgeoises suc(ent) des cadavr(es) rongés, Une foule de galériens accrochée à leurs pieds.
La glande supra-caudale de renardes violettes, La danse d’animalcules sur une peau offerte, Créatures de ténèbres, de chimères, de nuées - Noms féminins pluriel aux racines emmêlées.
Les flashs lubriques de mille lucioles dévergondées, Leur désir débridé, palpitant et veiné Luminescences fiévreuses pleines de luciférine Diaboliques femelles déguisées en ballerines.
La flamboyance de nos crises clastiques et cosmiques, L’endurance inouïe de la manie psychotique. Imperturbablement. « Le jour, le soir, la nuit ».
Orques ménopausées au mitan de leur vie, Lourdes globicéphales, bélugas aquatiques, Libérées des contraintes et rapports domestiques, Menant leur espèce en cheffes claniques respectées. Elles arborent au melon, comme un grand vit dressé, Une palanquée d’humaines pleurant leur puits séché.
Un troupeau de mille poulpes, cerveau tentaculaire, Et des pieuvres mourantes qui ne seront qu’une fois mères. Des castors résistant à la binarité, Munis d’un habile trou polyactivités, L’œuvre d’un dieu foutraque, nommée pseudo cloaque.
Le moine d’Alexandra David-Neel au Tibet, Enfanté de rêves zen et de méditation, Le Morel de Gary et sa Mademoiselle Repeuplant les bloks d’un camp de concentration. Les mésanges de Rosa, le lierre de Cyrano, Les mouches de Jack London et de son vagabond, Des tulpa, des chenils, des égrégores, des vifs, Notre insatiable besoin d’une consolation..."
Corrine Morel Darleux-Masto
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lacognizionedeltempo · 4 months
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A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu, voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes. A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombillent autour des puanteurs cruelles,
Golfes d’ombre : E, candeur des vapeurs et des tentes, Lance des glaciers fiers, rois blancs, frissons d’ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;
U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d’animaux, paix des rides Que l’alchimie imprime aux grands fronts studieux
O, suprême Clairon plein de strideurs étranges, Silences traversés des Mondes et des Anges : — O l’Oméga, rayon violet de Ses yeux !
 Arthur Rimbaud
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