Tumgik
#écrire un roman
mylovethinspo · 1 year
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La loi de Parkinson
On continue les articles sur la gestion de temps et la productivité avec la loi de Parkinson.
Nouvel article sur la gestion de temps et de projet, la loi de Parkinson. La loi de Parkinson énonce qu’importe le temps que l’on a à disposition, le travail s’étirera jusqu’à prendre tout le temps dont on dispose. Moins l’on a de temps pour réaliser ses objectifs, plus on mettra un plan d’action efficace pour achever le travail dans les délais impartis. D’où vient cette loi : La loi de…
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jaimelire-france · 11 months
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Découvrez comment écrire votre premier roman avec succès ! Donnez vie à votre imagination et fascinez les lecteurs du début à la fin !
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luma-az · 9 months
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Mon renard
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 2 août 
Thème : Apprivoiser/ce que cache un masque
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Peut-on apprivoiser un renard ?
Imaginons que j’en ai envie. Juste pour l’idée. Mettons que, par exemple, j’ai rencontré ce renard, et que j’ai envie de l’apprivoiser. Comment est-ce que je devrais m’y prendre ?
Non, non, ce n’est pas un renard à quatre pattes qui vient creuser sous les poulaillers pour se faire un banquet de volaille. Je ne vous parle pas de ce genre de renard. Non, la question était plutôt à propos des renards à deux pattes. Vous savez. Ceux qui ont l’air humain, très aimables, rusés mais sympathiques, ceux qui ont toujours un petit mot amusant à vous murmurer à l’oreille pour médire discrètement du reste de la société… Ceux qui connaissent très bien les conventions et s’en amusent, ceux qui savent faire danser les autres à leur rythme, pas après pas, jusqu’à ce qu’ils les aient amené exactement là où ils le souhaitaient. Et ensuite les dévorent, j’imagine. Après tout, un renard est un renard.
Ils portent tous des masques, ces renards-là, de beaux masques dont on ne voit pas les ficelles – la seule chose qui les trahit, au final, est de voir leur queue touffue cachée sous leurs vêtements d’humain. Vous savez de quoi je veux parler. Vous connaissez les signes, vous aussi. Comment je le sais ? Oh, disons que ça se sait. J’ai demandé à gauche, à droite, et me voilà. De toutes manières, quelle importance ? Je n’ai pas l’intention de vous faire du tort.
Non, c’est d’un tout autre renard que je viens vous parler – je ne suppose absolument pas que vous êtes un renard vous-même, bien entendu, jamais je n’oserais dire une chose pareille, vous pensez bien. Non, je vous parle d’un autre renard. Un très, très beau renard. Séduisant, amusant, captivant. Je sais très bien comment attirer son attention, il suffirait d’être une jolie proie. Mais je veux plus. Je veux l’apprivoiser. Je veux qu’il devienne mien. Comment pourrais-je m’y prendre ?
Allons. Vous pouvez me le dire. Nous sommes entre nous. Quel risque y a-t-il ?
De la nourriture, peut-être ? De la viande crue, ou au contraire des plats délicats ? De l’extraordinaire ou du réconfortant ? Qu’est-ce qui pourrait détendre mon renard toujours sur ses gardes ?
Du charme, alors ? C’est lui le maitre charmeur, mais peut-être a-t-il envie d’être courtisé à son tour. Tenue experte ou naturel désarmant, qu’est-ce qui peut faire mouche et faire tomber le masque ?
Et si je me contentais d’être honnête, après tout ? J’ai deviné ce qui se cache derrière son masque, mais peut-être sera-t-il touché que j’enlève le mien. J’hésite. J’ai peur de lui faire peur. Vous, depuis que je suis là, je vois bien que vous n’êtes pas du tout à l’aise. Je le sens, même. Alors que tout de même, nous ne sommes plus au moyen-age. Soyez moderne et cessez de trembler, que diable.
De nos jours, qui a encore peur du loup ?
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denisenini · 6 months
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Laura Ingalls Wilder
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#Laura Ingalls Wilder#née le 7 février 1867 à Pepin dans le Wisconsin et morte le 10 février 1957 à Mansfield dans le Missouri#est une femme de lettres américaine#auteur de la série de romans pour enfants La Petite Maison dans la prairie#inspirée par sa propre enfance au sein d'une famille de pionniers américains à la fin du xixe siècle. Le succès de cette série de romans a#dont la première a été la série américaine La Petite Maison dans la prairie#dans laquelle l'actrice Melissa Gilbert jouait le rôle de Laura.#Biographie#Fille de Charles et de Caroline Ingalls#Laura Elizabeth Ingalls naquit le 7 février 1867 près de Pepin#dans le Wisconsin. Elle est la deuxième de leurs cinq enfants : Mary#Laura#Carrie#Freddy et Grace. Bien qu’étant une élève intelligente et brillante#son éducation fut sporadique étant donné que sa famille déménagea de nombreuses fois à travers le Midwest et vivait souvent dans des endroi#En 1868#les Ingalls quittèrent Pepin pour s’installer à Chariton County dans le Missouri. Un an plus tard#ils s’installèrent à Independence#dans le Kansas#où Laura apprit à écrire[réf. nécessaire]. En 1871#ils retournèrent à Pepin#où Laura et sa sœur Mary furent inscrites à la Barry Corner School. Au bout de trois ans#ils quittèrent définitivement la ville et partirent pour Walnut Grove#dans le Minnesota. Ils habitèrent d’abord dans une maison creusée dans la berge d’un ruisseau1#jusqu’à ce qu’ils eussent fini de construire leur maison. Ils quittèrent brièvement la ville#de 1876 à 1877#pour vivre à Burr Oak#dans l’Iowa#où Charles Ingalls travailla dans un hôtel puis dans un moulin#puis ils déménagèrent dans le Dakota où ils passèrent leurs hivers en ville
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dansmonterrier · 2 years
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Alors ok, plus le let’s play de Balan Wonderworld avance, plus je me dis que je comprends certaines des mauvaises critiques qu’il s’est pris, maaaaaaaais... plus je me dis aussi que c’est exactement le genre de jeu auquel je risque d’avoir plaisir à jouer, haha !
Ca se dirige de plus en plus vers un achat, cette histoire.
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joelle-hugues · 2 years
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Nous sommes tous notre propre livre. 📚
Exister signifie faire partie d'une toile magique où nous nous transformons en auteurs d'un fil argumentaire qui se déroule et s'écrit chaque jour.
Nous avons la faculté de nous réécrire, de prendre conscience de nos équivoques, d'effacer nos masques et ambiguïtés, de souligner notre identité et même d'arracher ces pages qui ne nous servent plus et qui donnent un poids inutile au roman de notre vie.
Souvenons-nous qu'il faut aussi laisser des pages blanches à la fin, là où se trouve toujours la possibilité de nouveaux chapitres : de nouveaux départs, de nouvelles expériences, de nouveaux amis, de nouveaux projets, de nouveaux endroits, de nouveaux chemins...
Au fur et à mesure que nous vieillissons et que nous mûrissons, nous nous rendons compte d'une chose très importante : les nouveaux départs sont une façon de nous maintenir à la vie, et surtout, de goûter à un bonheur plus réel, plus tangible et plus adapté à nos besoins.
Rassemblons donc tout notre courage pour écrire le livre que nous voulons, celui auquel nous nous identifions en quête d'émerveillement et d'authenticité.
A chacun(e) d'écrire le livre de sa vie.
Valéria Sabater
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lerefugedeluza · 4 months
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Bonjour 2024.
Tu viens de commencer, mais j’ai déjà beaucoup d'espérances pour toi. 
Je ne voudrais pas te mettre la pression car ça ne fait que quelques jours que tu viens de d’arriver, mais sache que chacune de tes journées risque d’être bien remplies. 
Je sais qu’en 2023, je disais qu’il fallait que j’apprenne à respirer, à prendre mon temps, à lâcher prise. Mais il y a tout simplement beaucoup trop de choses que je veux faire dans la vie. Parce que je la sais courte, parce que tout m’intéresse, parce qu’il y a trop de possibilités mais jamais assez de temps. 2024, prépare-toi bien car tu vas être chargée ! 
Commençons par le travail, car il faut bien un peu gagner sa vie pour avoir la liberté d’en faire ce qu’on veut : je vais sans doute beaucoup travailler cette année aussi, car mon ambition d’acheter une petite maison à la campagne un jour ne m’a toujours pas quittée. J’espère ne pas trop ressembler à ce vieil oncle Picsou passant son temps à recompter toutes ses piles de piécettes, mais je vais essayer d'économiser comme je peux. 
Maintenant, passons à tous mes plans sur la comète, à tout ce qui me tient vraiment a cœur.
D’abord, il y a mes projets d’écriture, j’ai un roman pour lequel j’ai déjà tracé beaucoup de lignes, et cette année, j’aimerais au moins en terminer le premier jet. Je voudrais aussi essayer d’écrire quelques nouvelles et des poèmes, mais ma priorité pour les textes courts, c’est surtout d’écrire mes vidéos. Une par semaine je l’espère. Ce qui fait 52 vidéos de prévu pour toi, 2024. 
D’ailleurs questions vidéos, j’ai plein plein plein d’idées. Tiens-toi prêt 2024, car sache que j’ai déjà prévu le sujet de mes vidéos jusqu’à mi-juillet. Il y a aussi deux concepts auxquels j’aimerais faire voir le jour, mais je ne sais pas encore trop comment. Tu vas te dire que je suis folle et je sais que mon imagination est quelque peu débordante, mais je t’assure que ce sera une année merveilleuse ! Pleine de passions et de créativité. 
Ensemble, on va dessiner, écrire, lire, tricoter, jouer de la musique, danser et voguer vers mille et une autres aventures exaltantes !
J’adore les débuts de nouvelles années car cette idée de nouveau départ me donne un regain d’énergie et d’enthousiasme énorme et me donne l’impression que je peux tout faire, tout entreprendre. Et d’ailleurs, cette année, j’ai décidé de laisser carte blanche à mon esprit créatif et je n’ai pas vraiment pris d’autre résolution que de suivre les élans de mon cœur.
2024, je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi, mais comme tu peux le voir, j’ai déjà prévu beaucoup trop de choses pour toi. Je sais bien que je n’aurais sans doute pas le temps de tout faire et que ça va certainement beaucoup me frustrer, mais peu m’importe. Là tout de suite, je suis tellement heureuse d’avoir tous ces projets dans la tête et dans le cœur, et je compte bien réussir à en réaliser quelques uns ! 
2024, j'espère qu’on s’entendra bien et que, contrairement à ton prédécesseur 2023, tu ne prendras pas un malin plaisir à me mettre plein de bâtons dans les roues. S’il te plaît, donne-moi du courage et de la détermination et je t’assure qu’on passera 366 merveilleux jours ensemble. 
Alors je te dis à très vite, car nous avons tant de moments à vivre tous les deux ! J'espère sincèrement que tu seras une année exceptionnelle, pour moi, et pour tous les autres aussi ♡ 
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mylovethinspo · 29 days
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Le thème d'une histoire, l'auteur et la manifestation consciente
Récemment, j’ai lu un livre sur l’écriture et cela m’a ouvert les yeux sur ce qu’est le thème d’une histoire (roman, mais pas que) alors j’ai eu envie de partager avec vous mes découvertes et mes réflexions, pas seulement sur les histoires que j’écris mais aussi et surtout sur qui je suis. Si pendant longtemps je pensais que l’on devait séparer l’artiste de l’oeuvre, je pense que c’est un peu…
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girafeduvexin · 8 months
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J'ai laissé tomber mon défi "écrire 1000 mots par jour" parce qu'avec la rentrée c'est IMPOSSIBLE, et en plus, comme je suis dans une phase de réécriture, où je coupe des trucs, ça a peu de sens de compter les mots, PAR CONTRE, je vais essayer de bosser AU MOINS deux heures par semaine sur mon roman, wish me luck.
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luma-az · 8 months
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Accouchement
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 25 août 
Thème : corbeaux/au fond de chaque mot j’assiste à une naissance
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Les corbeaux croassent à la fenêtre. Ils sont nombreux. Ils me regardent.
Je les salue d’un geste de la main sur le bord de mon chapeau pointu. En une soirée pareille, un brin de politesse ne nuit pas.
Puis je reviens à mon chaudron.
Un fond liquide rougeâtre chauffe tout doucement, au bain-marie, des dizaines de petites perles noires. Je surveille minutieusement le feu – la température doit rester parfaite et constante tout au long du processus. Cette tâche m’empêche de perdre ma concentration. Je ne veux surtout pas rater l’instant magique où les perles vont éclore.
Le croassement des corbeaux rythme ma nuit. Une longue nuit de patience.
Chacune d’entre elle est un mot qui m’a été offert en paiement. Les gens viennent pour mes soins, mes conseils et mes divinations. D’autres viennent pour des vengeances et des malédictions – ceux-là passent par la porte de derrière. Les uns comme les autres paient le prix juste. Parfois, ce prix, c’est un mot.
Mot, mot, répètent les corbeaux – comme s’ils savaient à quoi je pense, et peut-être est-ce le cas. Oui, j’ai pris des mots. Tous ceux qui ont éveillé mon interêt.
Un mot d’espoir ou un mot d’amour, un mot de rage ou un mot glaçant, peu importe. Tout ce que je veux, c’est qu’ils renferment de la puissance, qu’ils aient été gravés au feu rouge dans le cœur de mes clients. Ils sont parfois même ravis que je les en délivre. Parfois, un peu moins.
Je regarde mes mots chauffer avec une exquise lenteur dans le chaudron. J’entends les petits éclats de coquille qui se craquèlent avant même de voir les premières fissures. Ça y est, ça commence…
Les petites coques enveloppant les mots s’ouvrent, et au fond de chaque mot j’assiste à une naissance. Des minuscules feuilles, de tous petits yeux, des doigts microscopiques. Ces fragiles créatures ne sont encore qu’au commencement de leur vie. Ils grandiront très vite.
D’un geste précis mais doux je les sors chacun du chaudron, les essuie dans les linges les plus doux, les cajole, avant de passer aux suivants – jusqu’à ce qu’ils soient tous dans mon panier, pelotonnés les uns contre les autres, encore tout chiffonnés de leur naissance. Mes petites créatures de la nuit, nées du plus profond des cœurs des hommes, mûris dans une matrice de cuivre et du sang de leur mère dévouée. Ils sont si mignons ! Et si inoffensifs encore.
Et si affamés.
Au dehors, les corbeaux s’envolent. L’aube est là, la délicate naissance est accomplie, il faut annoncer cette bonne nouvelle à tous ceux qui peuvent l’entendre. Il ne me reste plus que la tâche triviale de les élever, mes petits monstres qui piaillent déjà à l’unisson.
Patience, mes amours, patience. Maman va vous nourrir.
J’attrape un premier livre – léger et digeste, mais généreux sur les quantités, parfait pour un premier repas – et, à voix haute, je commence sa lecture.
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perduedansmatete · 4 months
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du coup résumé week-end pour me souvenir après partiel baclé car envie de boire on a bu dans un bar type sciences po paris avec des chandelles mais ça c'était après avoir descendu des bières pas chères avec tia qu'on a rejoint des gens du master à qui j'ai jamais trop parlé mais que j'aimais de loin et on a bien accroché on s'est fait grave des déclarations j'ai bien aimé ensuite on s'est montré nos tests bdsm pour je ne sais quelle raison et ils et elles m'ont encore plus aimé parce que vraiment j'avais oublié tous les 100% que j'avais et surtout ma crush du tout premier jour qui est une bordelaise/la rochelle qui a plus qu'aimé mes résultats sachant que je l'aime déjà car elle est magnifique et que j'adore ces deux villes ensuite on a joué avec le feu des chandelles littéralement et c'est là que je me suis fait cette horrible cloque qui ne veut pas partir ensuite on est allés dans un autre bar j'ai bu un truc dégueu et on a joué aux cartes puis on est allées rejoindre l'ami platonique avec tia dans mon bar sauf qu'on est arrivées en retard l'ami platonique était énervé et méchant tia l'a détesté je commençais à pleurer donc on est parties on a discuté sur les quais très longtemps on voulait manger mais il était trop tard donc on est rentrées chez elle je devais dormir dans sa chambre et elle dans le salon mais après les quinze aller retours qu'elle a fait dans sa chambre et vu l'état dans lequel j'étais (j'essayais de faire genre tout va mieux) elle m'a dit "ça va ?" j'ai dis oui mais c'était non et je lui ai demandé si elle pouvait me refaire des câlins et si on pouvait dormir ensemble dans son lit une place, elle m'a dit on est d'accord rien de sexuel car on s'était avoué avant sur les quais qu'on se plaisait et j'ai dit non mais en fait après je voulais donc au final oui et c'était très sympa donc finalement si ça me rassure je peux encore coucher avec de nouvelles personnes sans avoir l'impression qu'il y a un truc qui cloche et que je suis folle bref on avait l'impression d'être dans la serre tropicale du jardin des plantes tellement il faisait chaud et je passe des détails juste je l'aime beaucoup et on a bien rigolé et ça me gênait les bruits qu'on faisait et que des choses faisaient sachant qu'on était chez ses darons mais bon ensuite samedi je suis allée chez ma sœur et son mec nous a fait un repas délicieux comme toujours on a beaucoup bu comme toujours et on a regardé une série de merde mais avec les fesses de julien doré avant qu'il me file ses antidépresseurs (le mec de ma sœur, pas julien doré) puis j'ai dormi presque toute la journée de dimanche et le soir on s'est retrouvés dans un bar de vieux punks c'était nul puis génial et j'ai adoré quand j'ai dis à un des chanteurs d'un groupe que je pouvais pas donner plus que dix centimes et un grigri il nous a laissé passer en disant allez laissez passer les jeunes ils ont pas de thunes et elle avec son grigri puis j'ai adoré son concert et là je suis allée en cours pour rien car j'avais un ordi chargé à 6% un tipp-ex acheté vendredi et rien pour écrire, j'ai montré l'évolution de ma cloque aux gens dont romane la bordelaise qui m'a redis que j'étais trop belle et que ma tenue l'était aussi puis on a attendu qu'il soit l'heure pour boire avec tia et on s'est baladées avant d'aller au magasin dr martens pour qu'elle m'achète des trucs pour mes chevilles qui tiennent pas car j'ai encore failli me péter la gueule trois fois aujourd'hui
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Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille  
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver 
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre 
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados 
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture 
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste 
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud 
Faire la grasse matinée après une longue insomnie 
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective 
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets 
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie 
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin 
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds 
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine 
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie 
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant 
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur 
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère 
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort 
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur 
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ernestinee · 7 months
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J'ai fini Psychopompe, d'Amélie Nothomb. Spoilers dans la suite. Je la lis depuis 1992 avec L'hygiène de l'assassin. J'ai dû le lire plus de 20 fois, le prêter, ne pas le récupérer, le racheter, le relire encore pour me le réapproprier.
Chaque année, ma maman m'offre son nouveau roman dès sa sortie.
Je sais ce qu'elle a bien voulu montrer de sa vie, dans ses romans autobiographiques, dans les indices laissés ça et là au travers des fictions. Je connais ses thèmes de prédilection, la beauté, la mort, l'alimentation, le froid, le silence, les mots rares.
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Cette fois, c'est un roman autobiographique particulièrement intime. J'avais comme à chaque fois sa voix dans la tête.
L'histoire commence avec un conte japonais qui met en lumière l'oiseau sublime qu'est la grue, et introduit la passion qu'a Amélie Nothomb pour les oiseaux.
Elle parle ensuite de ses nombreux voyages (elle est fille de diplomate belge, sa famille a beaucoup voyagé), de son observation des oiseaux, et cette deuxième partie se termine par un évènement majeur et traumatisant qui donnera lieu à plusieurs années d'anorexie. Elle en avait parlé dans certains livres, je connaissais cette partie de sa vie mais je n'en connaissais pas l'origine.
On comprend alors la quatrième de couverture "Écrire c'est voler" lorsque l'écriture l'aide à quitter le sol et l'anorexie. Les métaphores entre l'écriture et les oiseaux se suivent. Sa vision de l'écriture est envoûtante pour moi qui l'admire depuis longtemps.
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La dernière partie du livre est la plus intime, elle y parle de la mort, en particulier de la mort de son père et de leur conversation posthume. J'ai été assez émue.
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A plusieurs moments, l'histoire fait le lien entre certains de ses livres, des pièces s'ajoutent petit à petit dans un puzzle entamé depuis plusieurs années.
J'ai encore du mal à dire si j'ai aimé ou pas le livre, en fait. Hygiène de l'assassin, Mercure, Métaphysique des tubes, Cosmétique de l'ennemi, Antéchrista, Biographie de la faim, Stupeur et tremblements : je pourrais relire ceux-là plusieurs fois sans m'en lasser une seconde. Ce n'est pas le cas de Psychopompe, même si j'ai adoré l'impression d'en savoir un peu plus encore sur un personnage omniprésent chez moi depuis plus de 30 ans.
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