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#écrivaine américaine
les-toupies-h · 1 year
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Leila Mottley
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hcdahlem · 8 months
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Vie et mort de Vernon Sullivan
Dimitri Kantcheloff retrace la vie d'un auteur américain qui n'a jamais existé. Vernon Sullivan est l'invention de Boris Vian, mais cette création va faire bien des ravages dans la France de l'après-guerre. Il va secouer tout le milieu littéraire.
  En deux mots Quand Boris Vian relève le défi d’écrire en moins d’un mois un roman à scandale, il ne se rend pas compte combien sa vie va basculer. En inventant Vernon Sullivan, soi-disant auteur américain censuré, il se dote d’un double littéraire qui va secouer la France bienpensante avec J’irai cracher sur vos tombes et va faire de l’ombre à… Boris Vian. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma…
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basilepesso · 1 year
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Impensable perversité des médias mainstream qui accusent Trump d’avoir pensé qu'il allait être arrêté alors qu'en effet, cette probabilité existait largement, et reste en suspens. Je le répète, le timing entre cette éventualité et la diffusion de la vidéo du bison-acteur payé par le Deep state pour créer un faux coup d’État au Capitole début 2 021 est évidemment à regarder d'extrêmement près. Il y a environ 7 ans que nous sommes plusieurs (Dreuz et moi en particulier) à étudier et disséquer les divers contrefeux et punitions du Deep State et de l’establishment gauchiste US envers Trump.
Voir le très long article suivi de plusieurs liens vers des articles US, remarquable travail d’investigation de Jean-Patrick Grumberg (je ne peux malheureusement pas poster l'article séparément car Fb ne me permet depuis plus d'un mois que de partager depuis d'autres Fb).
Basile Pesso, 23 mars 2 023 (Fb) Article de La Dépêche : “ Pourquoi Donald Trump n'a pas été arrêté ce mardi comme il l'avait annoncé ?“
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Elle s'appelait Phillis, parce que c'était le nom du bateau qui l'avait amenée et Wheatley, qui était le nom du marchand qui l'avait achetée. Elle est née au Sénégal 🇸🇳.
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A Boston, les négriers la mettent en vente : "Elle a sept ans! elle sera une bonne jument !" Elle a été sentie, nue, par de nombreuses mains. A treize ans, elle écrivait déjà des poèmes dans une langue qui n'est pas la sienne. Personne ne croyait qu'elle en était l'auteur. A l'âge de vingt ans, Phillis a été interrogée par un tribunal de dix-huit hommes éclairés en robes et perruques. Elle devait réciter des textes de Virgile, Milton et quelques passages de la bible et elle devait aussi jurer que les poèmes qu'elle a écrits, n'étaient pas plagiés. D'une chaise, elle a fait son long examen, jusqu'à ce que le tribunal l'accepte. C'était une femme, elle était noire, elle était déportée et elle était poète. Philis Wheatley, a été la première écrivaine afro-américaine à publier un livre aux États-Unis.
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fashionbooksmilano · 10 months
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Man Ray et la mode
RMN, Paris 2019, 248 pages, 19.8 x 27.8 cm, ISBN 978-2711874309
euro 45,00
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Cet ouvrage est publié à l'ocasion de l'exposition "Man Ray et la mode" organisé par la Ville de Marseille et la Réunion des musées nationaux - Grand Palais
C'est en 1922, alors qu'il vient d'arriver à Paris, que Man Ray fait ses premiers pas dans la photographie de mode. Il réalise alors de nombreux portraits de figures marquantes d'un milieu parisien mêlant membres de la a colonie américaine, représentants de la bonne société, artistes, écrivains... Il bénéficie assez vite de commandes dans le domaine de la publicité et de la mode en raison de son style aisément identifiable, celui du groupe surréaliste, qui joue à merveille du scandale et de la provocation. Son travail parfaitement maîtrisé, tempéré par un classicisme de bon ton, pimenté par un érotisme lisse génère des images pleinement assimilables par ses commanditaires. Au tournant des années 1930, Man Ray évolue vers un style plus spontané, conforme à l'évolution du modèle féminin que des artifices techniques - solarisation, inversion négative, découpage, superpositions - mettent brillamment en valeur. Les années passées sous contrat avec le magazine américain Harper's Bazaar (1934-1939) consacrent la liberté technique et formelle du photographe et marquent son apogée dans ce domaine. A travers le regard d'un artiste, peintre et photographe, c'est aussi les relations entre la mode de toute une époque, celle de l'entre-deux-guerres, et sa représentation qui sont ici mises en lumière.
02/07/23
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New pic (March 23, 2023), Malibu.
" Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle"
" Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times."
"Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille . "
"On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir."
"On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»"
". Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard "
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swedesinstockholm · 12 days
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15 mars
mon cheminement de pensée juste avant d'éteindre l'ordi: je discutais avec a. p. parce qu'il venait de voir nelken, a. p. petit bébé de 24 ans, et tout d'un coup je me suis dit que je pourrais être mariée. j'ai 33 ans je pourrais être mariée, je pourrais avoir une vie sophistiquée, comme maman à mon âge. je pourrais avoir un brushing et un bébé et accompagner mon mari à des congrès de médecine à l'étranger et porter un trench et boire du champagne et rentrer à la maison et dormir dans le lit conjugal. je pourrais écrire à ce petit morveux d'a. p. depuis cette perspective-là, et non depuis celle d'une ado attardée de 33 ans qui ne veut pas grandir. j'ai regardé frances ha ce soir et ça m'a rendue triste de pas avoir passé ma vingtaine à vivre la vie de struggling artist épuisante mais charmante et riche en aventures. je pensais à la fille de tumblr qui avait comparé mon journal à ce film, ça me fait plaisir que ma vie sclérosée puisse d'une manière ou d'une autre évoquer ce film qui m'a donné envie de vivre. elle m'a dit que mon journal était dynamique. voilà pourquoi je suis obsédée par mon journal. dans la vraie vie, le mot dynamique appliqué à moi c'est de la science fiction. ça n'existe pas.
18 mars
j'ai tellement besoin qu'il se passe quelque chose dans ma vie que je me suis fait pleurer en écoutant it's not up to you de björk en rentrant de la chorale ce soir. avant d'y aller je m'étais mis dans la tête que r. avait une nouvelle copine à cause d'un truc con et pendant que je coupais des morceaux de fromage de brebis dans la cuisine ma voix américaine disait it was bound to happen it was bound to happen, quand je me parle avec ma voix américaine ça me rassure parce que dans les films ça finit toujours par aller mieux à un moment ou à un autre. et donc j'étais là à attendre le bus dans mon long manteau noir et mes dr. martens la partition du requiem de fauré serrée contre moi, en deuil, le regard perdu dans le vide, je croyais que j'avais dépassé ce stade mais visiblement non. et puis après la chorale, après avoir dit au revoir à audrey, j'ai regardé ses stories et j'ai vu qu'il avait mis une photo à moi du mois de décembre avec une chanson de björk par dessus et ça m'a mise dans tous mes états, je me suis posé mille questions (pourquoi il met que des posts à moi toujours et jamais ceux des autres?) ça m'a rendue complètement zinzin mais qu'est-ce que c'était beau de rentrer dans la nuit en pleurant sur björk en regardant la lune et les bourgeons sur les arbres éclairés par les lampadaires.
à la chorale j'ai du être normale et faire la conversation avec des gens que je connaissais pas parce que c'était le jour du pot mensuel et j'ai plus aucune notion de comment me comporter socialement, j'arrivais pas à me concentrer trop longtemps sur ce qui se disait, à me tenir correctement, je sais pas. on m'a demandé si je travaillais ou si je faisais des études et j'ai dit aucun des deux sans développer alors audrey s'est empressée de jouer mon agente en disant que j'étais écrivaine et que j'avais gagné des prix et que ce que j'écrivais était vraiment bien, bébé.
tw suicide
24 mars
j'ai plongé tellement bas que j'arrive même plus à écrire. juste à m'allonger sur le canapé pour regarder newport beach en enchainant les épisodes même si j'en suis à la saison 3 maintenant et que je la trouve trop dramatique. je préfère me plonger dans les drames de marissa et ryan que dans les miens. j'ai du changer mes plans pour les vacances de pâques parce que m. s'est aperçu que finalement je pourrais pas aller chez elle, et comme je peux pas non plus rester seule ici parce que je me laisserais mourir de faim en semi-coma devant newport beach, j'ai pas d'autre choix que d'accompagner maman à la mer et puis je prendrai l'avion dimanche pour être à la maison poème le soir parce que hors de question de rater ça, l'écriture étant le seul truc qui me rattache à peu près à une vague envie de vivre. j'ai pris mon billet ce matin. je déteste avoir à faire ça. je déteste en être là, à forcer maman à me payer un billet d'avion, même si c'est un billet d'avion ryanair pas cher, parce que je suis trop malade pour rester seule.
vendredi soir après avoir regardé mamma mia, quand m. s'est rendu compte que je venais la semaine prochaine et qu'elle m'a dit que non, ça allait pas, la terre s'est ouverte sous mes pieds et m'a aspirée dans son antre et j'y suis restée pendant 24 heures. je calculais dans ma tête combien d'années il me restait à vivre si j'attendais de mourir d'une mort naturelle, j'en suis même pas à la moitié encore, c'est trop long, mes dvd de newport beach ne tiendront pas le coup. alors j'ai commencé à réfléchir à des alternatives à la mort par défenestration, mon go-to usuel, parce que j'ai trop peur que ça rate et que je finisse paralysée. mais peut être que je serais plus heureuse si j'étais paralysée peut être que ça me donnerait envie de me battre comme tous les gens handicapés qu'on voit à la télé. j'ai pensé à la jeune adolescente qui s'est pendue récemment parce qu'elle était harcelée à l'école. comment elle a trouvé le courage de se pendre? et avec quoi? et elle a fait ça où? me couper les veines je peux pas, rien que d'y penser j'ai l'impression que je vais m'évanouir et je dois presser l'intérieur de mes poignets contre quelque chose pour rappeler à mon corps que tout va bien. me jeter sous un train, efficace mais pas sympa pour les autres.
elles sont montées au lit et je suis restée sur le canapé paralysée par mes tentatives de suicides hypothétiques. je pleurais en écoutant abba qui continuait de passer sur mon téléphone. j'ai pensé à r. je me demandais ce que ça lui ferait si je me tuais. et puis je me suis demandé ce que ça ferait à audrey que j'avais vue la veille. je suis allée la voir chanter avec son autre chorale dans la crypte de la cathédrale et après on est allées boire un verre avec son amie indienne et la soeur de son amie indienne qui habite à londres et qui vient de finir ses études de psy, j'étais assise à côté d'elle à la terrasse du café. est-ce qu'elle se dirait qu'elle l'avait vu venir?
je veux mourir parce que je vois pas d'issue. c'est ça la raison habituelle non? je vois pas d'issue à ma situation, je vois pas comment m'en extraire, j'en vois pas la fin, je me sens usée jusqu'à la corde et j'ai l'impression d'être un boulet pour tout le monde. j'ai l'impression que personne m'a jamais aimée à part maman et que personne ne m'aimera jamais et donc je vois pas à quoi ça me sert de rester en vie. j'essaierais probablement pas de me tuer si je restais seule ici la semaine prochaine, mais je ferais pas non plus d'effort pour vivre. c'est pas que rien ne me donne envie de vivre, mais ça fait pas le poids, ça pèse pas assez pour contrer la souffrance. et en plus je fais souffrir les autres. vendredi soir m. devait probablement se dire qu'elle aurait mieux fait de pas venir, elle doit parler de moi à son copain comme le boulet malade de la famille avec qui il faut être gentille. peut être qu'elle fait même des efforts pour rire à mes blagues. et maman doit vivre avec moi TOUS LES JOURS. peut être que si je mourrais ce serait comme quand loki est mort, douloureux sur le moment mais aussi un grand soulagement. est-ce qu'ils me dédieraient le concert de la chorale au mois de juin? nous dédions ce requiem de fauré aux palestiniens, aux ukrainiens et à lara w. qui nous a quittés au printemps parce que sa vie était trop dure, la pauvre.
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althazar · 11 months
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Eyes of Darkness En 1981, le célèbre écrivain américain Dean Koontz a écrit un livre intitulé "Eyes of Darkness", qui fait référence à une arme bactériologique appelée Wuhan 400, dont l'auteur a prédit qu'elle se répandrait dans le monde en 2020. L'arme, selon le livre, affecte les poumons et les bronches et ne se prête pas aux méthodes modernes de contrôle des maladies. Cependant, ce n'est bien sûr qu'une coïncidence et une fiction.
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girafeduvexin · 1 year
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Alors tu peux nous donner tes recommendations récentes ? 🧐🗒️✍️
AVEC PLAISIR alors les derniers livres que j'ai lus :
Tous les hommes sont des menteurs, d'Alberto Manguel. Un écrivain argentin est retrouvé mort à Madrid, tombé par la fenêtre, alors qu'il vient de publier une oeuvre magistrale. Un journaliste interroge les gens qui l'ont connu pour comprendre. Ca a l'air sombre dit comme ça, mais c'est assez drôle parce que le premier témoignage, c'est Alberto Manguel lui-même et le deuxième témoignage commence en gros par "Alberto Manguel est un connard", beaucoup de second degré, d'humour sur lui-même, sur la littérature. On se rend rapidement compte que chacun a une vision différente de ce qui s'est passé et que la vérité est multiple. Ca parle aussi de la dictature en Argentine, de la torture, de littérature évidemment, c'est assez facile à lire et j'avoue que je l'ai dévoré !
Les Détectives sauvages, de Roberto Bolaño. J'adooooore Bolaño, lisez La Littérature nazie en Amérique, lisez 2666, mais en vrai, je me demande si Les Détectives sauvages ne serait pas mon préféré de lui. On suit un jeune poète mexicain qui rejoint le mouvement du "réalisme viscéral", mouvement qu'il a cependant du mal à définir, et qui est inspiré par le vrai mouvement de l'infraréalisme. Au début, on suit ce poète, puis on s'intéresse à deux figures du réalisme viscéral, Arturo Belano (chilien, comme Bolaño, wink wink) et Ulises Lima dont on va découvrir la vie entre les années 70 et les années 90 par le biais de multiples témoignages de gens qui les ont connus - un peu comme Manguel. C'est à la fois très drôle, avec des littéraires qui se prennent pour des dieux vivants (et ayant fait un master de littérature, ça me parle) mais aussi très touchant, avec des vies brisées, des vies qui évoluent, le temps qui passe. Bolaño réussit à nous faire nous attacher à un personnage qu'on ne va connaître que pour quinze pages et ne plus jamais revoir du livre. C'est une accumulation d'histoires différentes qui forment un grand ensemble et c'est extraordinaire, sans doute dans mon top 10 de mes livres préférés. C'est un pavé par contre, 800/900 pages mais moi j'adore.
Cent ans de solitude, de Gabriel García Márquez (oui j'aime la littérature sud-américaine), un classique sur le coup mais que je n'avais jamais lu bizarrement. C'est l'histoire d'une famille dans un village de Colombie, sur plusieurs décennies et par ce biais, on raconte l'histoire de la Colombie, la modernité qui arrive petit à petit, la décadence : la famille et le village vont s'élever puis chuter, de la richesse à la destruction. Le bonus, c'est que c'est du réalisme magique, un mouvement littéraire qu'honnêtement je ne connais pas si bien que ça (j'adore Borges mais je ne suis pas certaine que ça en soit par exemple), qui mélange la réalité avec le merveilleux, où à la fois on a des problématiques ancrées dans le réel mais aussi des prophéties, des créatures étranges, des gens qui vivent beaucoup trop longtemps etc. C'est du conte de fée moderne, en tout cas je l'ai compris comme ça en lisant Cent ans de solitude, navrée si c'est un raccourci ! Et bref, c'est un livre assez difficile parfois, avec une narration qui revient en arrière, qui avance dans le temps, qui joue avec les chronologies, avec une multitude de personnages à retenir, mais c'est très plaisant de s'y perdre et c'est magnifiquement écrit donc, que dire de plus.
Le prochain sur ma liste, c'est Les Choses de Perec, mais je peux déjà vivement conseiller La Vie mode d'emploi du même auteur qui fait aussi partie de mes livres préférés, même si ça fait des siècles que je ne l'ai pas lu - j'en reparlerai quand je le relirai. C'est l'histoire d'un immeuble parisien et on raconte l'historique de chaque appartement, avec un fil rouge porté par le propriétaire de l'immeuble, c'est extraordinaire (j'aime les narrations multiples oups).
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droitsdesfemmes · 3 months
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Robin Morgan arrêtée chez Grove Press en 1970.
Robin Morgan, née le 29 janvier 1941 à Lake Worth en Floride, est une écrivaine, poète, et militante féministe américaine, reconnue pour son rôle influent dans le mouvement féministe contemporain.
Robin commence sa carrière dans les médias en tant qu'enfant actrice, mais elle se détourne rapidement du monde du spectacle pour se concentrer sur l'écriture et l'activisme. Ses premières expériences dans le mouvement de libération des femmes dans les années 1960 façonnent profondément son parcours et ses convictions.
Elle s'impose comme une voix importante du féminisme avec la publication de son anthologie « Sisterhood is Powerful » en 1970, une collection d'essais, de poèmes et d'articles de diverses féministes qui devient un texte fondateur pour le mouvement. Elle poursuit avec d'autres œuvres significatives telles que « Sisterhood is Global » et « Sisterhood is Forever », qui élargissent la portée et la compréhension du féminisme à travers le monde.
En plus de son travail d'écrivaine, Robin joue un rôle actif dans de nombreuses organisations féministes. Elle est l'une des fondatrices du Women's Media Center, une organisation visant à augmenter la visibilité et l'influence des femmes dans les médias. Elle est également connue pour ses prises de position contre la violence faite aux femmes et pour les droits des femmes à l'échelle internationale.
Au-delà de son militantisme féministe, elle est également une poète accomplie, dont les œuvres explorent souvent les thèmes de l'identité féminine, du pouvoir et de la résistance. Sa capacité à combiner poésie et activisme fait d'elle une figure unique et respectée dans les cercles littéraires et militants.
Robin Morgan continue d'être une figure influente et respectée dans le mouvement féministe, utilisant sa voix pour promouvoir l'égalité des sexes et défendre les droits des femmes dans le monde entier.
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les-toupies-h · 1 year
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Tiffany McDaniel
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melancholyflower · 4 months
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“Perhaps all pleasure is only relief”
(“Peut-être que tout le plaisir n’est que du soulagement”)William Burroughs – Setlist de la tournée Everything Must Go 20 William Seward Burroughs II (5 février 1914-2 août 1997) était un écrivain et artiste visuel américain, considéré comme une figure principale de la Beat Generation et un auteur postmoderniste majeur qui a influencé la culture et la littérature populaire. Burroughs a écrit…
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Une prédiction effrayante qui date du 2 février 1905, c'est la philosophe et écrivaine américaine d'origine russe Alissa Zinovievna, mieux connue dans le monde littéraire sous le nom d'Ayn Rand, née à Saint-Pétersbourg, décédée en mars 1982 à New York.
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VOICI SES MOTS : Lorsque vous remarquez que pour produire, vous devez obtenir la permission de ceux qui ne produisent rien, quand on vérifie que l'argent coule vers ceux qui ne s'occupent pas de biens mais de faveurs, quand tu réalises que beaucoup s'enrichissent par la corruption et pour l'influence plus que par ton travail, que les lois ne te protègent pas contre eux, mais au contraire, ce sont eux qui sont protégés contre toi ; quand vous découvrez que la corruption est récompensée et que l'honnêteté devient un sacrifice de soi, alors vous pouvez affirmer, sans crainte de vous tromper, que votre société est condamnée. When you notice that in order to produce you must obtain permission from those who produce nothing, when it is checked that the money flows to those who do not care for goods but for favors, when you realize that many enrich themselves by corruption and for influence more than by your work, that the laws do not protect you against them, but on the contrary, they are the ones who are protected against you; when you discover that corruption is rewarded and honesty becomes a self-sacrifice, then you can safely say that your society is doomed
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louisstephaneulysse · 6 months
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William Lindsay Gresham, né le 20 août 1909 et mort le 14 septembre 1962, est un écrivain américain. Son roman le plus connu, Le Charlatan (1946), a été adapté deux fois au cinéma (Le Charlatan en 1947, Tyrone Power tenant le rôle principal ; Nightmare Alley par Guillermo del Toro en 2021).
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tournevole · 2 years
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Jacqueline Goddard , née Barsotti (1912-2003), était un modèle préféré de l'artiste et photographe surréaliste Man Ray à Paris dans les années 1930.
Comme Jacqueline Barsotti, elle était arrivée à Montparnasse à l'âge de 17 ans, une grande beauté aux cheveux blonds indisciplinés. Elle fréquente bientôt La Coupole et d'autres réparations des artistes à la mode de l'époque. De nombreuses années plus tard, alors qu'elle a vécu sur l'île de Wight, elle a écrit un mémoire personnel dans lequel elle a rappelé ses expériences et a offert quelques observations piquantes sur les personnalités qu'elle avait appris à connaître.
Elle rencontre Giacometti, Picasso ("le plus grand génie, sans aucun doute, avec une production colossale, mais de mauvaises manières"), Derain et Matisse. Elle devient le modèle préféré du peintre Foujita qui, lorsqu'ils se promènent ensemble dans les rues de Paris, "aime entendre son nom murmuré par les passants".
Elle a aussi rencontré des écrivains. Une fois, elle a dansé avec Somerset Maugham, qui lui a dit qu'elle était la plus belle femme qu'il n'avait jamais connue. Simenon, qu'elle n'aimait pas, « se vantait d'avoir, à 30 ans, écrit plus que Balzac ». "Plus tard dans sa vie", a ajouté Jacqueline Barsotti, "il a affirmé avoir eu des milliers de maîtresses, mais je ne l'ai jamais vu avec quelqu'un d'autre que sa femme." Il devait utiliser Jacqueline comme personnage dans l'un de ses romans.
Jacqueline Barsotti est devenue une amie proche de Man Ray, et de son ancienne maîtresse, Kiki de Montparnasse . De Man Ray, elle a rapporté : « Il n'était pas beau, son nez n'avait pas d'opinion et allait partout. Il semblait toujours méditer et avait rarement le cœur léger. C'était bien dommage qu'il ne souriait pas beaucoup. Son petit sourire l'a complètement changé. Kiki, sans maquillage, "ressemblait à une patate".
Une autre des maîtresses de Man Ray était le photographe américain Lee Miller . Le soir où Lee Miller a quitté Man Ray, Jacqueline Barsotti a marché avec lui sous la pluie à travers le cimetière du Montparnasse avant de retourner à son atelier, où il a disposé une table avec une bouteille de poison, un fusil et une corde. Puis, alors que Man Ray était assis à table, Jacqueline elle-même a pris la photo de l'artiste envisageant de se suicider.
Lorsque Man Ray lui présente un livre de ses photographies, il propose l'inscription « À la plus belle fille que j'aie jamais photographiée » ; elle a hésité. Alors il a recommandé : « Au seul avec qui je n'ai pas couché » ; Jacqueline Barsotti a déclaré que cela compromettrait ses autres modèles. De même, elle a rejeté "Au plus inspirant" comme "un compliment pour moi, mais grossier envers les autres". Au final, il a dû se contenter de "Avec tout mon amour, Man Ray".
Elle a insisté sur le fait qu'elle et Man Ray n'avaient jamais été amants : « Il avait 50 ans alors que j'en avais à peine 17. J'étais grande, il était petit. J'étais censé être très agréable à regarder, il ne l'était pas. Après sa mort, Juliette, l'épouse de Man Ray, a offert à Jacqueline une lithographie de son autoportrait, en y inscrivant «À Jacqueline qui n'a pas fait».
Jacqueline Marthe Barsotti est née le 13 novembre 1911 d'une mère française et d'un père italien, sculpteur prolifique. Sa petite enfance se passe à Paris, où son père avait un atelier ; un voisin voisin et ami de la famille était Henri « Le Douanier » Rousseau. De son propre aveu, elle était une enfant difficile : « Je n'étais pas populaire alors, je suis devenu impossible, et je le suis resté », écrit-elle dans sa vieillesse.
Après l'Armistice, elle part avec son père vivre près de Carrare en Italie. Les illustrations de son édition de La Divine Comédie lui donnaient des cauchemars. Sa mère a été persuadée de rejoindre la famille, mais elle détestait l'Italie et s'est mise à boire, et presque immédiatement après son arrivée, Jacqueline a été envoyée au Collège Giuseppine à Pise. Ici, elle a soulagé sa frustration en crachant sur ses camarades de jeu depuis le toit de l'école. Elle se sentait rejetée par ses parents et détestait son père, à qui elle volait de l'argent : « Complètement honnête avec les étrangers, j'étais totalement sans scrupule avec ma propre famille », se souvient-elle.
Ayant montré beaucoup de promesses initiales à l'école, elle a abandonné le travail et s'est mise à devenir « ingérable » ; désespérées, les religieuses lui demandent de partir. Jacqueline s'occupe maintenant d'apprendre à conduire une moto Harley Davidson sans les mains, tout en tournant sur la selle. Elle est sortie faire des tours avec des pilotes de course. Elle est allée danser. Détectant un nouveau climat d'anticonformisme, elle "sentait que les femmes audacieuses avaient beaucoup à dire et à faire", et devenait "assez indifférente aux opinions des autres".
Lorsque Jacqueline Barsotti avait 17 ans, la famille est revenue à Paris, où son père est décédé peu de temps après. Son entrée dans le monde artistique s'est faite lorsqu'un sculpteur argentin lui a demandé de poser pour une tête, et ce fut la libération qu'attendait Jacqueline : « J'ai remplacé ma famille plutôt désastreuse par les personnalités les plus brillantes du siècle. La plupart des artistes avec qui elle fréquentait étaient dans la cinquantaine, et pour la première fois de sa vie, dit-elle, personne ne s'est moqué d'elle : « Les bohémiens de l'époque étaient bien plus bourgeois que n' importe quelle classe de personnes que je connais. avait connu jusqu'à présent. Mais ils étaient amusants.Elle a cependant entretenu une relation longue et souvent volatile avec le peintre Mayo.
Pour subvenir à ses besoins, Jacqueline Barsotti se faisait poser pour un portrait lorsqu'un de ses amis riches voulait ajouter un artiste célèbre à sa collection ; elle achèterait alors celui le tableau et le revendrait à son amie avec profit - mais à un prix inférieur à qui aurait été demandé par une galerie.
Elle a également suivi un cours de soins esthétiques à l'école d' Helena Rubinstein du Faubourg St Honoré. (Ayant été présenté à Mlle Rubinstein, Jacqueline Barsotti a conclu qu'"elle était frappante, mais pas la grande beauté qu'elle s'imaginait être".)
Jacqueline Barsotti est discrètement sortie de l'histoire culturelle en 1938, lorsqu'elle a épousé un major de l'Artillerie royale, Creed Creed-Miles, qu'elle a rencontré à Grande Canarie ; il avait été l'un des principaux jockeys amateurs et, à Cambridge, il avait possédé six chevaux de course. Le mariage a été dissous en 1946, et elle a épousé en second lieu, en 1949, Ivor Goddard, un photographe sur l'île de Wight, où elle a vécu jusqu'à sa mort le 17 juillet, ne perdant jamais son accent français .
(via le Telegraph :  http://www.telegraph.co.uk/news/obituaries/1437032/Jacqueline-Goddard.html )
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Entre nous, on avait un peu oublié David Duchovny. L’acteur américain est célèbre pour ses rôles dans X-Files et Californication. Les deux séries cultes sentent fort leur époque, chacune à leur manière. La première, les années 90, lorsqu’on regardait tous les mêmes programmes à la télé et que l’on pouvait faire semblant de croire aux extraterrestres et à toute sorte de complots sans que cela débouche sur une attaque du Capitole. La seconde, la fin des années 2000, lorsqu’être un homme blanc hétéro, écrivain alcoolique et priapique de Los Angeles, était encore le summum du cool.
David Duchovny, donc, n’était plus trop dans nos radars, même si on se souvenait l’avoir aperçu dans la Bulle de Judd Apatow, comédie satirique sur un Hollywood covidé physiquement et surtout mentalement à la sortie des différents confinements. Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle. «Done some good, I’ve done some bad, like any man I bet» : «J’ai fait des choses bien, d’autres mauvaises, comme tous les hommes je parie», et on veut bien croire que c’est vrai tandis que l’on se met mentalement à marcher le long d’une longue route droite en mâchonnant un brin d’herbe. Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times. Après un premier où ce végétarien se mettait dans la peau d’une vache nommée Bovary, un deuxième vient d’être traduit en français, la Reine du Pays-sous-la-terre. Dans cette fantasy urbaine, une jeune femme se bat pour son amour contre des créatures mythologiques et folkloriques diverses, sur fond d’hommage au métro new-yorkais (le nom original étant Miss Subways) et de débats sur le melting-pot, l’éducation, la culture.
Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille. «L’idée qui m’est venue est celle d’une sorte de bataille culturelle, raconte-t-il, les yeux encore un peu embrumés mais tout à fait sympathique. Vous prenez un immigrant français qui arrive avec son folklore gaulois. Il essaye de s’assimiler ou il est forcé de s’assimiler à une culture américaine judéo-chrétienne plus importante. Qu’est-ce qui arrive si ses références de départ s’anthropomorphisent, prennent vie, ont une personnalité et une identité ? Est-ce qu’elles auraient une forme de pouvoir ? Je trouvais que c’était intéressant par rapport à toutes les discussions que l’on a aujourd’hui, par exemple sur l’appropriation culturelle.»
On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir.
Avec la Reine du Pays-sous-la-terre, qui déborde de références, anciennes et modernes, Duchovny voulait rendre hommage au New York bordélique de son enfance, celui de sa mère, une institutrice protestante, qui vivait encore dans la 9e rue, à West Village, jusqu’à ses 91 ans. L’homme qui a des lettres s’est inspiré de la Seule Jalousie d’Emer, une pièce de théâtre de l’Irlandais Yeats, à qui il voue une admiration jamais démentie depuis ses années étudiantes. Qu’il se soit mis à écrire des romans est tout sauf un hasard. Un de ses grands-pères était un écrivain et journaliste juif, originaire de Berdytchiv, en Ukraine. Un errant, parti en Palestine avec sa famille puis expulsé vers l’Egypte par les Ottomans au début de la Première Guerre mondiale, avant de traverser l’Atlantique en 1918. Son père publia de nombreuses biographies et enquêtes. A la fin de sa vie, il sortit enfin une fiction et mourut d’une crise cardiaque à Paris, où il avait décidé de passer sa retraite.
David Duchovny nous en parle d’emblée. La capitale française reste intimement liée pour lui à ce drame. Et à Samuel Beckett, son dieu personnel. En fac de lettres à Princeton, il écrit un mémoire sur le nobélisé. A l’époque, il s’imagine prof profitant de ses vacances d’été pour rédiger des nouvelles. Mais sur les conseils d’un ami, il passe une audition pour une pub, enchaîne avec des petits rôles, croise Brad Pitt dans l’oublié Kalifornia, jusqu’à devenir Fox Mulder dans X-Files en 1993.
La vérité est ailleurs, mais la carrière est à Hollywood pour les trente années qui suivent. Elle est faite de hauts et de bas, tant à l’écran que dans sa vie privée. Onze ans de mariage avec l’actrice Tea Leoni, deux enfants, et plusieurs séparations-réconciliations sur fond de tromperies et d’addictions sexuelles dont les tabloïds font des gorges profondes jusqu’en 2014… David Duchovny ne s’en cache pas et a fait d’une réplique de Beckett populaire chez les sportifs et les businessmen de la Silicon Valley son mantra : «Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore. Echoue mieux.»
Les stars parfois vieillissent mal. David Duchovny aurait pu tourner réac. On le sent parfois au détour de certaines lignes sceptiques sur la tournure que prend la société. L’anti-Trump viscéral, qui a composé une chanson contre l’ancien président, se la joue avant tout sage, en universaliste curieux. «La beauté d’une culture, c’est qu’elle en rencontre une autre et se mélange, dit-il, revenant à notre sujet du jour. Bien sûr, c’est d’un point de vue optimiste, il ne faut pas oublier des facteurs comme la colonisation ou les violences politiques en général qui rendent la question bien plus compliquée.» On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»
«On est au milieu du pont, il est trop tôt encore pour juger», note-t-il. Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard. Peut-être que l’on se trompe. David Duchovny le dit : «La vérité est toujours beaucoup plus nuancée.»
par Quentin Girard
publié le 6 avril 2023
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