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#émeutes en France
stephanemortimore · 6 months
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Un état raciste
Faites barrage, allez voter, que nous expliquaient les pigeons et les panurges avant la réélection de Cocaïne 1er. Je me souviens même avec quelle passion on jetait l’opprobre sur les abstentionnistes, les accusant d’être les complices des fachos ou de Macron. Et quand ce fut fait, quand tout le monde se donna rendez-vous dans le piège médiatique que leurs dirigeants leur tendaient, les neufs…
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crimesnews · 9 months
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Émeutes en France:arrestations
actuforcesdelordre.fr Émeutes suite à la mort de Nahel Les Réseaux Sociaux Permettent 32 Arrestations
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lounesdarbois · 6 months
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"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
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a-room-of-my-own · 10 months
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Ruben Rabinovitch, psychologue et psychanalyste, a reçu dans son cabinet des jeunes qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (pour braquage, violence, viol…). Il tente de percer à jour, avec les outils de la psychologie, les ressorts de la violence.
Le manteau de destructions et de pillages qui a recouvert la France ces dernières semaines a produit un effet de sidération sur la société et l’a laissée en état de choc. Le choc est un état provoqué par la surprise, mais à combien de reprises peut-on être successivement surpris par le même phénomène ? Le traumatisme actuel réside plutôt dans l’impossibilité de continuer à ignorer ce que l’on savait déjà.
Chacun cherche alors des explications comme naguère les sourciers l’eau souterraine à l’aide de leur baguette : la précarité, le manque d’autorité, le racisme, l’absence des pères, les violences policières, l’échec de l’intégration, le capitalisme, le gauchisme, etc. De bonnes causes bien grasses et bien empaquetées qui doivent permettre de prolonger le déni encore un peu.
DEUX YEUX : UN D’AMOUR ET UN DE HAINE
« Pour voir une chose entièrement, écrivait Nietzsche dans Humain, trop humain, il faut avoir deux yeux : un d’amour et un de haine. » La jouissance de détruire n’a pas de cause, mais des occasions dont elle profite. Les êtres humains sont tous frères, certes. Mais ils ne le sont pas moins par la fraternité que par le fratricide.
Ce que j’ai pu apprendre du fonctionnement psychique de ces meutes ultra-violentes, de leurs caves et de leurs clans, de leur jouissance et sa destructivité, de leur organisation familiale et de leurs fantasmes inconscients, je le dois à ma rencontre avec ces individus eux-mêmes, à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, et à certaines de leurs sœurs qui les ont fuis comme elles l’ont pu, quand elles l’ont pu, dès qu’elles l’ont pu.
Durant mes premières années d’exercice, je recevais à mon cabinet de psychanalyste des jeunes gens qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (braqueurs, tabasseurs, violeurs). Ils ne venaient pas faire une analyse, ils n’en avaient ni l’envie ni les capacités psychiques. Ils venaient récupérer un courrier tamponné de ma main attestant de leur suivi psychologique exigé par le juge comme preuve de leur bonne volonté à se réinsérer. Contre ce précieux sésame, il leur fallait bien me parler un peu. J’ai également reçu, cette fois à leur propre initiative, des réchappées, exclusivement des femmes. Elles avaient grandi auprès d’eux et malgré eux, s’étaient débrouillées pour obtenir les diplômes qu’elles pouvaient et, dès leurs premiers salaires, avaient cessé d’espérer et quitté les « quartiers » pour pouvoir commencer à vivre.
L'ABSENCE DES PÈRES ?
J’ai reçu enfin, adressés par un généraliste d’Aubervilliers, des enfants, des femmes et des ex-femmes des membres de ces groupes ultra-violents. Le premier petit garçon que j’ai reçu devait avoir sept ans. La mère avait amené son fils parce qu’au retour d’un moment avec son père, l’enfant s’était mis à flamber d’hallucinations plus terribles encore qu’à l’habitude. Il faut dire que le père, parti des années auparavant et qui n’en continuait pas moins à terroriser la mère, avait emmené son fils le week-end précédent chez un imam de cave d’immeuble qui avait pratiqué sur l’enfant un effrayant rituel d’exorcisme. Car au risque de gâcher l’enthousiasme actuel, l’absence des pères dans les « quartiers » est souvent moins délétère que leur présence.
Voici, en vrac, quelques constatations que j’ai pu faire depuis le poste d’observation qui est le mien.
La première chose que je puis dire c’est que penser que la pauvreté engendre la violence est une considération de bourgeois. La bourgeoisie se flatte en supposant chez ceux qui ne bénéficient pas des mêmes conditions matérielles qu’elle une détresse qui pousserait légitimement à tous les crimes. La pauvreté aggrave bien des situations, à n’en pas douter, mais elle n’en est pas à l’origine, jamais. Les enjeux de la violence sont plus complexes, plus profonds, plus inquiétants aussi. Rappelons au passage ce que Baldassare Castiglione, écrivain et diplomate italien de la Renaissance, avait consigné dans son Livre du courtisan : « En pardonnant trop à qui a failli, on fait injustice à qui n’a pas failli. »
VIOLENCE
La seconde chose est que les enfants que j’ai pu voir n’étaient pas nécessairement tous battus mais que tous étaient des enfants qui avaient vu leur mère prendre des coups. La violence envers les femmes est pour ainsi dire consubstantielle à la mentalité de ces meutes ultra-violentes. C’est même une condition d’appartenance et de reconnaissance entre pairs. Précisons tout de même que par violence, on ne désigne pas ici celle des « stéréotypes de genre » mais bien celle des insultes, des menaces et des coups. Des menaces qui en restent rarement au stade de la menace et des coups qui sont parfois mortels.
Les pères ensuite, venons-y donc. Ils ne sont pas si absents qu’on veut bien le dire. Les enjeux sont autres. Les pères n’ont souvent pas souhaité l'être. Ils voulaient des relations sexuelles et refusaient de mettre des préservatifs parce que leur plaisir doit toujours l’emporter sur toute autre conséquence. Il leur arrive certes d’être absents, mais il leur arrive plus souvent encore de faire de leurs enfants les complices de leurs activités illégales. Un certain nombre ne s’identifie pas psychiquement comme des pères pour leur fils mais perversement comme les grands frères caïds de leurs petits frères apprentis caïds. Je me souviens d’un autre petit garçon dont le père avait volé devant lui à d’autres enfants leurs jouets pour les lui offrir. Le petit garçon lui avait répondu interdit : « Mais c’est à mon copain ? » En l’insultant, le père lui avait répondu que ce n’était plus à son copain puisqu’il venait de le lui prendre et avait cassé le jouet devant son fils pour ne pas avoir pris immédiatement part à son association de malfaiteurs.
Le petit garçon avait bien reçu le message : à l’avenir, il aurait le choix entre être le complice ou la victime de son père. Les pères ne désirent pas que leurs fils s’en sortent et dévient du chemin de la brutalité et du gangstérisme qui est le leur. À l’inverse, toute émancipation de leur progéniture serait vécue comme un désaveu personnel et une offense faite au groupe auquel ils appartiennent. Ce n’est pas que « l’ascenseur républicain » soit « en panne » mais que l’école, méprisée et haïe, n’est pas un lieu par lequel leurs enfants pourraient s’émanciper, mais l’enclave insupportable d’un clan rival sur leur territoire : le clan de l’État. L’organisation familiale de ceux dont l’impulsivité n’a aucune barrière est montée psychiquement sur le modèle du clan et non sur celui de la famille nucléaire (papa, maman et les bambins). Ne pas prendre la mesure de la différence entre ces univers mentaux serait jeter la discipline anthropologique et le legs de Maurice Godelier aux ordures.
LE GHETTO ET LE CLAN
Ces meutes ne sont pas composées de communautés rassemblant des individus mais de clans dont les membres forment un même corps, un même organisme. Le clan est travaillé par des fantasmes de fusion. Dès lors, comme l’a lumineusement décrit le psychiatre Maurice Berger, ceux qui en font partie ne sont pas libres de s’éloigner physiquement, géographiquement ou intellectuellement. Toute séparation serait vécue pour le membre comme pour le clan lui-même comme une amputation intolérable et une trahison insupportable. J’ai entendu une patiente raconter comment, dans « sa » cité, un jeune homme avait été laissé pour mort par un gang d’une autre cité parce qu’il entretenait une liaison avec une fille de chez eux, une fille à eux. De cela, il faut bien en déduire qu’il ne s’agit pas de « ghettoïsation », mais de séquestration. Dans un ghetto, on est enfermé de l’extérieur. Dans un clan, on est séquestré de l’intérieur.
Cela permet de rendre un peu plus lisible les phénomènes auxquels nous avons récemment assisté. Tout détruire et nuire aveuglément à ceux qui n’ont pas commis de crime ne peut être considéré comme une faute morale que si chaque individu est tenu pour l’unique responsable de ses actes. Puisqu’il n’y a pas d’individus dans la mentalité de ces meutes, ce qui est fait au membre d’un clan est fait à l’ensemble du clan. Réciproquement, ce qui est fait par le membre d’un autre clan (gang rival d’une autre cité, forces de l’ordre, État) l’autre clan en est tout entier responsable, sans discrimination. La haine de la police est une haine a priori et non une haine a posteriori. Ajoutons à cela que la perte d’un de leurs membres n’est pas vécu sous la modalité du deuil, du chagrin et de la tristesse mais sous la modalité de la haine, de la colère et de la vengeance. Ces clans ne sont pas structurés autour de la culpabilité, mais autour de l’honneur et de l’humiliation.
On dit de ces destructions et de ces pillages qu’ils ne sont pas politiques, parce qu’on n’y voit pas de banderoles peinturlurées de revendications sociales. Ces émeutes sont pourtant éminemment politiques. Les gangs ultra-violents savent très bien ce qu’est la République, son modèle d’organisation sociale, son projet et sa substance. Sans doute même mieux que le camp républicain lui-même, empêtré dans sa tétanie, sa lâcheté et son hébétude. Ils ont d’ailleurs très bien su identifier tous les symboles et les postes avancés de la République puisqu’ils ont brûlé ceux qui se trouvaient sur leur territoire à eux. L’école, le commissariat, le centre des impôts, la mairie, les policiers et la famille du maire : tout cela est ou appartient au clan d’en face qui a tué un des leurs.
Les « solutions », comme on dit, sont aussi simples qu’irreprésentables actuellement. Car ces gangs ne sont pas forts, ils sont seulement ultra-violents. Ils n’ont de puissance que celle qui leur est concédée et de pouvoir de nuisance que celui que la République jouit d’essuyer. Ces gangs ne sont pas la cause mais le symptôme de la désintégration républicaine. Pourtant, le pessimisme est un luxe que nous ne pouvons pas nous offrir. Le philosophe russe Nicolas Berdiaev écrivait dans un article paru en 1936 : « La liberté n’est pas un droit, c’est un devoir. »
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biarritzzz · 4 months
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Le discours autour de l’immigration a vraiment changé.
Avant, on nous serinait tout le temps le couplet sur l’intégration. Aujourd’hui l’élite sait bien que ça ne fonctionne plus, qu’on a des yeux et des oreilles et qu’on sait très bien que les immigrés n’ont jamais eu la moindre intention de s’intégrer et encore moins de s’assimiler. Quelques exceptions ici et là qui confirment la règle.
Donc maintenant on nous met le paquet sur la France/l’Europe multiculturelle, la diversité est une force gnagnagna. Constat d’échec accablant.
En gros: va falloir s’y faire les zouzous. Les bagnoles de pauvres bougres brûlées au Nouvel An, les émeutes dès qu’une racaille se fait buter (pas assez souvent) ou que Fatima a envie d’un nouvel écran plasma et d'une nouvelle machine à laver, les musulmanes qui réclament de pouvoir mettre un voile, un burkini ou une burqa où qu’elles aillent, les coups de couteau chez Leclerc ou Leroy Merlin, les kebabs qui colonisent l’espace public, la viande halal dans tous les rayons, les fusillades liées au trafic de drogue toutes les semaines.
C’est pas beau le multiculturalisme? Allez, réjouissez-vous! On pourrait être le Japon et sa population à 99% japonaise. C’est chiant et nul, non?
C’est tellement mieux le multiculturalisme et la diversité. Comment? L’Europe était déjà multiculturelle pendant des siècles, vous dites? L’Europe, avec ses nombreuses langues, ses traditions variées, ses histoires similaires et en même temps si différentes?
Non mais le monde change, mon bon monsieur. C'est comme ça, faut l'accepter. Quant à moi, je vis bien entendu loin de la diversité dans mon quartier paisible de bobos, je ne prends jamais les transports en commun, je mets mes gosses dans des écoles privées et je vante le vivre-ensemble depuis mon loft de 100m2 du 16e arrondissement. Les seules fois où je suis confronté à cette merveilleuse diversité c’est quand Mamadou me livre ma commande Uber Eats. D’ailleurs et c’est bien que vous m’y fassiez penser: il faut importer encore plus de Mamadou en Europe parce que qui va me livrer mes repas que je suis trop paresseux à me cuisiner ou à aller récupérer au restaurant du coin?
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vicnormansstuff · 11 months
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Nanterre : l'enjeu !
Une fois encore, les prescripteurs de "recueillement" et traqueurs de "récupérations" lors des crimes d'Annecy et de centaines d'autres auparavant, oublient leurs mots d'ordre d'hier. Une injustice ? Sans doute ! Un révélateur ? Surement ! Pourquoi ? Parce que la concentration de moyens mobilisés pour étouffer la colère ne peut vouloir dire qu'une chose : à la fin, le seul danger c'est nous. C'est toujours nous. Au dessus des salles de rédaction, le reste n'est appréhendé que comme potentiel détonateur de notre colère.
C'est le cas de la trouille visible des "autorités" au sujet des émeutes attendues ces prochaines jours du fait de la colère légitime suscitée par la mort du jeune #Nael. Ce qui les inquiète, c'est l'effet que celles-ci auront sur la majorité en France et en Europe et par ricoché, sur l'agenda migratoire oligarchique, au moment où ils organisent un pont démographique vers les pays européens via le pacte "Migration et asile".
Il reste encore un espoir. Une voie politique est possible. Elle n'implique pas de se réjouir du malheur des autres, de salir ce que les autres tiennent pour sacré ou de miser sur une explosion ethnosociale arbitrée par ceux qui ont fabriqué ces problèmes.
Paix aux hommes de bonne volonté !
Guerre à ceux qui nous détruisent !
Laurent Ozon
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aurevoirmonty · 10 months
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De telles émeutes ne sont jamais le fait d’immigrés de la première génération, qui sont venus s’installer en France volontairement tout en conservant une claire conscience de leurs origines, et donc de leur identité. Les deuxième, troisième ou quatrième génération se  considèrent comme algériens, maliens, marocains, sénégalais, etc., même lorsqu’ils ont la nationalité française, mais ils ne connaissent pratiquement rien des pays d’où sont venus leurs parents ou grands-parents. Ils ne se sentent pas français, mais n’ont qu’une identité de rechange artificielle ou fantasmée. Leur frustration est totale. Ils ne peuvent plus exprimer ce qu’ils sont que par la violence et la destruction.
Alain de Benoist
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albad · 10 months
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🇫🇷ATTAQUES FASCISTES DANS PLUSIEURS VILLES
En plus d'une répression militarisée, des groupuscules fascistes jouent le rôle d'auxiliaire de police dans plusieurs villes de France contre la révolte. Brigades paramilitaires qui frappent des jeunes. Commandos armés. Attaques à coups de bâtons de manifestations pour Nahel. Et tout cela avec la bienveillance des autorités. Tour d'horizon d'un pays en chute libre.
⚫Lyon : préparation d'attaque armée
Le 2 juillet, une centaine de néo-nazis se sont réunis devant la mairie aux cris de «Bleu-blanc-rouge, la France aux Français», «On est chez nous», avant de défiler dans le vieux Lyon. Sur Twitter, la préfecture dit que ce groupe a «tenté une opération de communication». Une curieuse manière de décrire une descente de fascistes organisés pour frapper des personnes non-blanches.
Plus inquiétant encore, la veille, deux trentenaires d'extrême droite ont été arrêtés en possession d’une arme et de munitions de calibre 12, près d'un hôpital de Bron en banlieue lyonnaise. La voiture était équipée de fausses plaques d’immatriculation et a causé un accident. Ce qui a provoqué leur interpellation. Sur la banquette arrière, un fusil de calibre 12, chargé de trois cartouches, et une boîte de 111 cartouches de calibre 12. La police a aussi trouvé deux fusils et plusieurs boîtes de munitions au domicile du passager. Cet homme était connu pour provocation à la discrimination et dégradations de patrimoine, et interdit de port d’arme. Il a expliqué aux policiers qu’il était question de «se faire des Noirs et des Arabes», en réponse aux émeutes.
⚫Chambery : milice fasciste
Dans la ville de Savoie, des groupes néo-nazis très violents organisent régulièrement des attaques. Le soir du match France-Maroc de la coupe du monde en décembre dernier, ils avaient notamment passé à tabac plusieurs personnes soupçonnées de supporter l'équipe maghrébine. Samedi soir, des militants sont descendus dans les rues en scandant «Français réveille-toi, tu es ici chez toi !»
Le lendemain, des militants d'extrême droite patrouillaient à nouveau dans les rues. Une vidéo les montre marcher au pas, clairement menaçants, dans les rues, alors que la police contrôle une voiture conduite par un jeune non-blanc quelques mètres en arrière. Sur leurs canaux de communications, les fascistes de Chambery se sont vantés «d'affrontements» et d'avoir mis «la racaille au tapis […] les nationalistes plus efficaces que la police». Une vidéo circulait lundi soir montrant en revanche l'un de ces militants d'extrême droite au sol, après avoir été corrigé.
⚫Lorient : brigade paramilitaire
Vendredi 30 juin au soir, une trentaine de jeunes portant des cagoules s'est déployée près de la base navale où stationnent des fusiliers marins et des commandos marines. Ce groupe a attaqué les jeunes soupçonnés de participer aux émeutes, en les plaquant au sol, les menottant avant de les remettre à la police.
«On a laissé faire en début de soirée, parce que ça nous a soulagés», a expliqué une source policière. Interrogé, un membre du commando raconte tranquillement à la presse : «On se concertait avec la BAC qui nous disait où ne pas aller. Quant aux émeutiers, dès qu’ils nous voyaient, ils couraient. On courait aussi. Si on les attrapait, on leur mettait des Serflex aux mains.»
Un policier reconnaît : «certains d’entre nous ont finalement décidé de les disperser, se rendant compte qu’ils y allaient un peu fort.» Le commando lui, explique «Nous sommes du bon côté, nous…» sans expliquer qui compose le groupe. Probablement des militaires de la ville.
⚫Angers : reconstitution de ligue dissoute
Vendredi 30 juin au soir, les fascistes du groupuscule l'Alvarium, en principe dissout pour des violences racistes, attaque de la manif d'homme à Nahel. «Sales noirs, sales singes, on va vous buter», a lancé un militant d’extrême droite. Le groupe d'extrême droite porte alors des barres de fer, des matraques et des battes de base-ball. Des personnes sont passées à tabac, par des fascistes à visage découvert, certains de leur impunité. La scène est filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Une des victimes sera transportée au CHU d’Angers. «Seize points de suture et traumatisme crânien».
Le lendemain soir, l'Alvarium organise carrément une soirée dans son local, dans le centre-ville. Une trentaine de fascistes poursuivent en courant des individus, «armés d’un couteau et de bâtons», puis font tirent un fumigènes incandescent.
Des riverains témoins attestent que la police «protège» l’extrême droite. En effet, après cette altercation, la police est allée protéger le local d'extrême droite, où la soirée a pu continuer tranquillement. «Les fachos, ils restent, et les autres, ils partent ?», lançait, samedi soir, un habitant, consterné.
Lundi soir à Angers, de nouveaux affrontements ont eu lieu devant le local de l'Alvarium.
⚫Les fascistes sont le bras armé de l'Etat et de la bourgeoisie.
C'est leur nature même, depuis Mussolini et ses brigades de briseurs de grève dès les années 1920 : ils maintiennent l'ordre. On se souvient qu'en 2016 déjà, des groupes d'extrême droite tentaient de s'en prendre aux manifestations nantaises ou Lyonnaises contre la Loi Travail, ou des attaques fascistes contre les cortèges de Gilets Jaunes en 2018. Pour mater la révolte des banlieues, le gouvernement Macron et sa police travaillent main dans la main avec des milices.
Ce mardi matin sur BFM TV, la porte parole de la gendarmerie était interrogée sur ces agissements : «C'est condamnable ?» demande la journaliste, «ils peuvent se mettre en danger aussi, il faut éviter qu'ils se mettent en danger» répond la militaire. La seule inquiétude des autorités, c'est que les miliciens armés puissent se faire des bobos.
Contre Attaque
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francepittoresque · 9 months
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4 août 1789 : abolition des privilèges par l’Assemblée Constituante Les troubles de Paris, suivis de la prise de la Bastille, avaient mis en mouvement le ferment révolutionnaire. Sur presque tous les points de la France des émeutes avaient lieu : on détruisait les bureaux des gabelles ; on pillait, on incendiait les châteaux ; on égorgeait les nobles au nom du roi et de l’assemblée nationale ➽ http://bit.ly/Abolition-Privileges-1789
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ousontlesfemmes · 10 months
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Colette
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Sidonie-Gabrielle Colette, plus connue sous le nom de Colette, était une icône de la libération de la femme au XIXème siècle. 
Née le 28 janvier 1873 dans le village de Saint-Sauveur-en-Puisaye en France, elle passe son enfance en Bourgogne. Elle se marie à l’âge de 20 ans avec Henry “Willy” Gauthier-Villars, un écrivain et critique de 15 ans son aîné. 
Très vite, Willy l’emmène dans des salons parisiens et découvre son talent pour l’écriture. Il la force à écrire mais s’approprie son travail en y mettant son nom, récupérant de ce fait l’argent gagné. Il est déjà arrivé qu’il enferme Colette dans une chambre jusqu’à ce qu’elle finisse d’écrire.
Vers 1906, leur relation prend fin mais ils ne divorcent pas avant 1910. En parallèle, Colette entame une relation avec Mathilde de Morny (connue sous les pseudonymes de “Missy” ou “Uncle Max”). Pendant leur relation, Colette travaille comme musicienne - tout en continuant son activité d’écrivaine - et est vivement encouragée par son amante. En 1907, elles partagent un baiser sur la scène du Moulin Rouge, ce qui provoque quasiment une émeute. Après cet incident, les deux femmes sont obligées de cesser de se montrer aux yeux du public ensemble, ce qui ne les empêchera pas de continuer à se côtoyer en secret.
En 1912, Colette épouse son deuxième mari, Henri de Jouvenel qui était l’éditeur du Matin dans lequel Colette publie de petites histoires et des chroniques théâtrales.
En 1920, Colette rencontre son beau-fils et les deux commencent à se voir en secret, et ce jusqu’en 1923. Date à laquelle de Jouvenel les découvre et demande séparation.
Elle se remarie pour la troisième fois en 1935 avec Maurice Goudeket et reste avec lui jusqu’à sa mort en 1954 .
L’une de ses œuvres les plus appréciées est Gigi, il s'agit d’une nouvelle qui a été adaptée en pièce de théâtre et en film, et qui raconte l'histoire d'une jeune fille parisienne qui grandit et découvre l'amour dans un contexte de haute société. Ce texte reflète le style vivant et poétique de Colette, ainsi que son talent pour décrire les gens et les lieux de manière imagée et précise.
Elle est nominée pour le prix nobel de la littérature en 1948 et est la deuxième femme (après Sarah Bernhardt) à avoir des funérailles nationales.
Extrait :
Gigi - Colette 
"Gigi, de son vrai nom Gilberte, habitait avec sa mère et sa grand-mère dans un appartement de la rue de la Paix. Elle avait seize ans, des yeux bleus comme l'azur, des cheveux dorés, et une taille délicieuse, étroite comme le manche d'un parasol. Elle faisait partie de ces fillettes que l'on trouve encore assez souvent à Paris, minces, alertes, averties, et déjà un peu vieilles. On l'appelait l'effrontée du coin de la rue, et c'était un compliment."
Fun fact :
Colette a été la première femme française a être élevée à la dignité de Grand officier de la Légion d’honneur. Elle l’a reçue en reconnaissance de sa carrière littéraire impressionnante.
SOURCE : https://www.thepinknews.com/2023/02/18/sidonie-gabrielle-colette-film-movie-author/ ;  CRÉDIT PHOTO : Bridgeman Images
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yespat49 · 10 months
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Le déni de réalité sur les émeutes des cités islamisées, l’Histoire explique le Présent.
Michel Festivi  Dans un article remarquable intitulé : « Emeutes urbaines de 2005 : ces faits accablants qu’on n’a pas voulu voir » publié dans le Figaro Vox du 8 juillet 2023, Guillaume Perrault revient très en détail sur les circonstances de ces guérillas sans précédent qui avaient surpris la France du chiraquisme triomphant, à la suite de la mort par électrocution de Zyed et Bouna qui fuyaient…
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crimesnews · 9 months
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Émeutes en France
Rubrique Blogs à droite de la page.
factuel.media Les quatre temps des émeutes urbaines -Deuxième partie
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helshades · 11 months
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Tu sais pourquoi on voit souvent les gens dire que le lumpen et la droite sont compatibles ? Est-ce que c'est par rapport à l'exploitation de ce dernier ?
Partiellement. Mais si tu (re-lis) ce cher Engels – de son petit nom Friedrich, le gendre de Karl – qui a théorisé l'existence du Lumpenproletariat et laissé à la postérité quelques commentaires acerbes au sujet du petit peuple des banlieues chaudes, tu t'aperçois que dans la pensée marxiste-pour-de-vrai, on n'est pas nécessairement fanatique des marginaux juste histoire de se sentir une âme de philanthrope...
En fait, Engels est très dur avec les voyous du sous-prolétariat, en soulignant leur absence totale de conscience de classe, leur immoralité, leur volatilité, leur paresse... qui les rendent incapables de mener une lutte organisée, et donc de s'unir aux ouvriers du prolétariat pour mener une révolution fondée sur l'émancipation par le travail et le partage de la richesse issue du travail.
En fait, en guise d'exemple Engels s'appuie sur une révolution italienne avortée de 1848 : les lazzaroni, les voyous napolitains, ont fait le coup de poing contre les révolutionnaires au côté de la soldatesque par pur opportunisme et ont largement contribué à la défaite des révoltés. Le sous-prolétariat est violent, par habitude, presque par nature selon Engels, et le patronat l'utilise volontiers, l'utilise en fait assez régulièrement pour briser des grèves en allant embaucher n'importe qui pour remplacer des grévistes, par exemple. C'est assez typique.
La rumeur populaire veut que les voyous de banlieue s'en sortent plutôt bien par rapport à l'ouvrier moyen ou au petit-bourgeois en plein déclassement ; que les dégradations répétées de leur environnement coûtent cher au contribuable alors que les petits-jeunes-des-cités touchent des aides de l'État en se contentant de dealer et commettre divers délits pour lesquels ils ne sont jamais vraiment punis. En l'occurrence, il se dit que la police ferme largement les yeux sur les émeutes, surtout par rapport à la répression massive des derniers mouvements sociaux. Je ne pense pas qu'Engels aurait tenu un discours très différent. Je sais que Lénine aurait voulu taper sur la tête des LFistes à grands coups de gourdin, par contre.
Ce qu'il y a de certain, c'est que la droite et l'extrême-droite ont toujours su exploiter la racaille à leurs fins, la seconde peut-être plus encore que la première, parce que les fachos et assimilés ont toujours pu compter sur l'appétit de violence des déclassés (à Lyon, les fafs défilent cette nuit façon milice en braillant des Bleu ! Blanc ! Rouge ! La France aux Français !) mais aussi parce que c'est assez facile de passer des marchés avec des trafiquants.
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lounesdarbois · 11 months
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Oh certainement que "tout le monde déteste la racaille"! Nous sommes bien d'accord. Mais pour autant est-ce que l'on va oublier ce que la police a fait en France depuis 30 ans? En pleine invasion n'importe quelle bourgeoise pouvait recourir à la police pour le "propos raciste" d'un brave type prolétarisé poussé à bout qui lâche un mot de travers. Cela est arrivé des milliers de fois, et les colonisés ont vécu dans la terreur du jugement d'autrui devenu son geôlier dans une taule fermée de l'intérieur. La police a sécurisé l'invasion. Tout ce que l'on voit aujourd'hui et qui va se répandre sur l'Europe jusqu'au fond de la Pologne à été protégé, sécurisé, surveillé par la police. Voilà pourquoi il ne faut pas se mêler de ce merdier et ne pas prendre parti, même pas en pensée.
La police et ses commissaires tous franc-maçons, les juges, les avocats, les procureurs, tout ce monde en basket blanches sous la robe d'hermine (authentique), toute cette classe qui ne sait plus si elle tient davantage à son prestige classique où à se la jouer canaille pour souffler un peu, tout ce monde a dépassé la mesure depuis très longtemps. Quand on connaît les mœurs de nombre de ces gens-là en privé, alors qu'ils n'existent socialement que par la terreur qu'ils inspirent, on mesure le fossé, le bluff par quoi sont tenus les braves gens. L'Elysée, le Parquet et l'Intérieur viennent de lâcher la police en rase campagne et de s'en désolidariser pour calmer la meute au moment où la police avait le plus besoin de leur soutien, voilà ce que ça rapporte donc, de se salir les mains pour le pouvoir.
2 tués aux émeutes de 2005: Jean-Claude Irvoas et Jean-Jacques le Chenadec. C'étaient des Français, personne n'a bougé. Cette année même si 10 Français étaient tués au couteau il n'y aurait rien non plus. Si 1 non-Blanc était abattu ce serait très différent. Si 1 policier était abattu idem. Mais le mode "salope" chez la masse reviendrait très vite, mode gouverné en sous-main comme toutes les salopes par la Trouille Physique, par l'empressement à se vendre physiquement, à aller du côté du plus méchant à l'instant T, du plus "respecté". Ainsi des bourges, des mi-cuits, des tiédasses et des étudiants, des bouches inutiles, des PàB, des managers, des "chefs", et des influenceurs. Toutes ces catégories de la foule dont le goût profond est la bestialité, le Surmoi le Primitif et la phobie la solitude. Ils sont prêts à tout pour être entourés dans le dépeuplement mondial, pour croire que la vie existe encore.
Les Primitifs de ces deux derniers jours sont plus violents que les Gilets Jaunes certes on peut le leur concéder, ils ne se laissent pas embringuer vers des "cortèges" certes, ils ont scié quelques caméras, ils sont moins alcooliques en manif que les Gilets Jaunes certes mais il n'en reste pas moins qu'ils sont tout aussi cons. Ces émeutiers dilettantes ne vont jamais s'en prendre aux vrais lieux du vrai pouvoir : locaux de banque, locaux de cabinets de conseil, domiciles de gens du pouvoir, rue Cadet, mairies, rues du 6e, 7e, 16e, Publicis, bas de Champs-Elysées, ils ne savent même pas ce que c'est. Encore quelques jours et ils retourneront en bas des blocs roter leur Monster, cuver leur shit étouffés de tartines de nutella, il ne faut pas rêver ce sont  en majorité des bourgeois qui ont du bide dès 20 ans.
"Y a plus qu'des salopes"
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mchiti · 11 months
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what video? what tweet? I want to read the joke haha
It's just...seems so real it was funny that's why it went viral looool again just a joke tho, obviously what's going on in france is serious and obviously infuriating that what some people are doing is blaming the riots and not the actual problems
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maaarine · 1 year
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Arte: Au nom du maintien de l'ordre
“Un nouveau phénomène mondialisé : une police suréquipée face à des foules furieuses et sans défense qui brandissent leurs téléphones portables pour tout enregistrer. La guerre des images sur les médias sociaux polarise encore plus la police et les manifestants.
Ce volet se concentre sur la police anti-émeute avec des exemples en France, en Allemagne, aux États-Unis…”
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