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#Jean-Michel Blanquer
helshades · 2 years
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Législatives : Jean-Michel Blanquer aspergé de crème chantilly par deux enseignants à Montargis
Les deux hommes, de dangereux criminels âgés de 51 et 57 ans, ont été placés sur-le-champ en garde-à-vue pour « violences aggravées en réunion ». Crime de lèse-majesté !
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k-star-holic · 2 years
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Tyler rights "'8 billion defendants' have been resolved...Jessica Jung, Korean-Chinese Fake news, despite hard work"
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blog59-world · 2 years
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7arthur · 2 years
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"La politique d'aération, c'est fondamental!" (28/12/2021) Jean-Michel Blanquer, ministre de l'éducation nationale ventilé en 2022.
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vincentreproches · 2 years
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Quand même la parodie te suit dans le Loiret
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bouxmounir · 2 years
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"Il n'y a pas eu de violence à part l'asperge à la chantilly sur son coffret" - Libération
“Il n’y a pas eu de violence à part l’asperge à la chantilly sur son coffret” – Libération
Élections législatives 2022dossier Christophe et Olivier, professeurs au Collège de Montargis, n’ont pas anticipé l’aspiration de crème sur l’ancien ministre de l’Éducation nationale. Après « Libé », ils aimeraient annoncer leur « parachute » dans le Loiret et la politique évoquée lors de son appel officiel rue de Grenelle. Parmi les fraises, les tomates et les cerises, ils ont vu rouge chez…
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By: Faisal Saeed Al Mutar
Published: Apr 25, 2023
It’s hard to be taken seriously in today’s foreign policy establishment when talking about the harms of what is broadly referred to as “woke culture.” Russia’s expansionist war in Ukraine, the ascendance of totalitarian China, the ever-present risk of jihadist terrorism, and many other threats would seemingly leave little room to focus on the American culture war. However, foreign policy specialists are now beginning to recognize that this is in fact a problem worth paying attention to.
In an interview with Elle magazine in 2021, French President Emmanuel Macron said imported "woke culture" from the United States is "racializing" France and creating more division among minorities. That same year, France’s national education minister, Jean-Michel Blanquer, said: “People who claim to be progressive and who…distinguish people by the color of their skin are leading us to things that resemble fascism.” Today, Macron is acting to distance France from the U.S. in an effort to avoid becoming “America’s followers.”
Macron and Blanquer are far from outliers in being displeased with America’s peculiar culture wars spreading to their countries. With every trip I take to the EU– from Copenhagen to Lisbon and even Iceland– I increasingly hear the same thing: America’s internal problems are negatively affecting European countries. We are exporting our unique cultural conflicts to places that have entirely different histories and frameworks for how to think about difficult topics such as race relations.
The people I speak to in these countries  are incredulous as to how and why America has arrived at this contentious cultural moment. The American citizenry is becoming increasingly divided, and, thanks to the internet, we are successfully exporting this division to our international allies. It’s no wonder that leaders who are concerned with maintaining stability in their countries would try to distance themselves from this cultural influence.
One of France's leading magazines, Le Spectacle Du Monde, ran a cover story in 2021 titled "The Suicide of America." The magazine blamed America's retreat from Afghanistan on a “woke dictatorship" and questioned whether the American empire was collapsing. Not only might America be collapsing, but we might also be taking down significant swaths of European countries with us. The longer we cling to hyper-polarization and sensational “social justice” ideas (or wokeness, for lack of a better term), the more likely we are to abdicate our position as a world leader, and the less likely our allies— and more importantly, our enemies, such as Russia and China—are to take us seriously.
If we value our reputation as a world superpower, we need to be taken seriously by the rest of the world. In order to be taken seriously, we must effectively counter extremism at home. Two clear actions we can take are to invest in organizations that combat polarization, and to promote education for young Americans that gives them a comprehensive view of history and America’s place within the global community.
We must reject extremism in every form. Whether it is wokeism, far right authoritarianism, or religious fundamentalism. America once represented a beacon of hope and democracy, and it’s not too late to return to that. The time to right the ship was years ago, but we’ve arrived at a critical moment in which we have a choice to make: continue down the path of extremism and watch the American experiment become consigned to the dustbin of history, or do the hard work of uniting the American people, and by default, our international allies, around principles of freedom, democracy, and decency.
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Jean Michel Blanquer éliminé dès le premier tour ❤️
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claudehenrion · 2 years
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Pap NDiaye, ministre de l'Education nationale. Question simple --mais double : ''A quel titre ?'' ou ''Pourquoi ?''
  Après la déferlante de points d'interrogation liée à la désignation difficilement croyable du nouveau ''ministre en charge de notre jeunesse'', les commentaires incrédules ''tombent'' sur mon écran  : ''Comment est-ce possible' ?'', ''Que faut-il penser d'une telle provocation ?''. Comme tout le monde, j'ignorais l'existence de ce monsieur jusqu'à ce tsunami, et je suis incompétent pour juger les capacités d'un ministre...  Mais là... tout ce que j'ai lu sur lui lui est défavorable : je n'ai pas trouvé un seul élément qui puisse justifier ce choix, et la seule explication qui circule est cette récente envie pathologique de notre ex- et re-Président d'emmerder (sic !) ceux de ses concitoyens, de plus en plus nombreux, qui rejettent ses errements...
Ça a été une des plus ahurissantes surprises d'un entre-deux-tours pourtant riche en bobards, en tours de passe-passe et en entourloupes : la nomination, à un des postes les plus sensibles qui puissent être, dans le monde de fous où nous tentons de survivre, d'une bombe nucléaire aussi inutile que malvenue : le vendredi 20 mai, dies irae, dies illa, Pap Ndiaye a été choisi pour pour ''succéder'' (tu parles !) à Jean-Michel Blanquer qui a été non seulement désavoué, mais bel et bien giflé en public : lui qui se croyait ''mandaté'' pour lutter contre la vérole du ''wokisme'' et le cancer de "l'islamo-gauchisme", se retrouve ridiculisé par une nomination qui est exactement en sens opposé de ce que, pourtant critiqué pour avoir été un peu trop ''la voix de son maître'', il avait passé 5 ans à faire, sérieusement et utilement !
On ne peut pas imaginer deux visions du monde plus étrangères (je n'ose pas encore écrire hostiles, mais ça viendra bientôt) : déjà, le nouveau ministre étale  son immense honnêteté intellectuelle en racontant que ''le terme woke ne désigne aucune réalité" (sic ! La chance veut que nous ayons décrit hier tout ce que ces quatre lettres cachent mal !). Et c'est un utilisateur quasi-compulsif du terme ''les violences policières" : en 2020 déjà, il inventait (sans rien démontrer, et pour cause) sur France-Inter un "déni de longue date'' sur le sujet, dans le pays. Seul point où on doit lui donner raison, une déclaration de mai 2019 : ''Je peine à discerner chez le chef de l'Etat une politique, ou même un point de vue consistant". (NB : étrangement, devant la forme ou la couleur d'un ''maroquin'', Pap Ndiaye a trouvé que tous ces manques étaient soudain comblés ! S'il est vrai qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... Ah ! la, la... qu'est-ce qu'il est intelligent !).
Enfin... sans doute l'est-il, par certains des dons reçus à sa naissance. Mais au premier abord, ''ça ne crève pas les yeux’’ (et même ''au deuxième rabor'', comme disait un ''juteux-de-quartier'' à l'ancienne, ''sco-gneu-gneu'' (*) mais très brave homme, fréquenté pendant les 31 mois de mon service militaire prolongé), : voilà un homme, multi-riche en diplômes dévalués comme tous les autres ''nuls'' qui nous gouvernent si mal, dont, d'après tout ce que j'ai pu lire sur lui, le CV ne montre pas la moindre expérience politique ou autre, en dehors de la niche étroite du système éducatif vu sous un angle politique. Ce pur produit de la méritocratie (comme il se définit lui-même) a toujours évolué autour des arrière-cours de la rue de Grenelle... ce qui pourrait être fort respectable... sauf à devenir un jour titulaire du ministère le plus influent sur le futur du pays, fonction pour laquelle  il ne coche, là, pas une seule case... ce qui aurait dû être rédhibitoire, dans une vraie démocratie ! Certains lecteurs  de ce blog ne s'y sont pas trompés : le commentaire le plus drôle que j'ai reçu (l'idée de ce ''billet'' lui doit beaucoup !) tournait autour d'un jeu de mots comparant le Président de la République (le PR) à un réacteur pressurisé (l'EPR) : ''Le PR se prend pour un EPR : il coute cher et il ne tourne pas rond...''.
Notre nouveau ministre aurait pu, au moins une fois, ''renvoyer l'ascenseur'' pour remercier la reconnaissance de ses mérites (ramenés à ce qu'ils sont, tout de même, quand on les compare à ceux d'un Léopold Sédar-Senghor, d'un Félix Houphouët-Boigny ou d'un Gaston Monnerville, parmi tant d'autres : eux, ils jouaient dans la cour des grands !). Mais rien de tout cela ! Il est parti aux Etats-Unis, étudier le problème noir... auquel il n'a ostensiblement rien compris, puisqu'il croit pouvoir le retrouver à l'identique en France... dont le sol n'a jamais vu un seul esclave noir, pas un seul jour, nulle part... (NB : les Antilles, loin d'être ''deux vieux départements d'Outre-mer français avant Nice et la Savoie'' comme on l'entend parfois dire mensongèrement, sont devenues ''Départements'' en 1946, un siècle après l'abolition officielle de tout esclavage en France...). Il faut avoir un esprit curieusement contourné ou une réelle créativité pour pouvoir trouver chez nous un équivalent avec les ''Black Studies'' des universités de la côte Est des Etats-Unis...
Autre résultat de mes recherches : le parcours du nouveau ministre ne permet donc guère de se poser de questions sur son positionnement idéologique : avec une constance mécanique, il a épousé toutes les causes progressistes, depuis un appel à une nouvelle République soutenant Hollande en 2012, au combat mené en faveur des minorités. Postcolonial, décolonial, indigéniste, woke, racialiste, etc... il prend soin d’afficher une distance marquée avec le ''modèle français'', ce qui est plutôt inquiétant... d'autant plus que le seul fait d'émettre une critique sur un noir (dois-je écrire ''un black'' ?) est un péché grave qui fait de moi un raciste : même si ce n'est qu'elles ‘’le sujet du jour’’, ce ne sont pas ses faiblesses dont il faut parler, mais du fait que, blanc moi-même, il m'est interdit par la bien-pensance si mal pensante de dire, voire de penser qu'il puisse en avoir : la preuve de la charge et la charge de la preuve sont instantanément réorientées contre moi. Il est noir, DONC douter qu'il puisse être autre chose que ''the right man for the right job'' est condamnable a-priori, sans appel : je ne suis qu'un (sale) raciste... et ce n'est pas le moindre défaut de cette nomination, puisqu'elle doit être réputée parfaite, ''puisque'' ou ''parce que... Même si beaucoup voient bien qu'elle est un mauvais choix de plus de notre Président (pourtant particulièrement doué pour se fourrer le doigt dans l'oeil : de Ferrand à Castaner, de Bachelot à Dupond-Moretti, de Darmanin à Bayrou, il semble fasciné par les vrais nuls !), et une énorme erreur de casting dont nous mettrons du temps à nous remettre tant les dégâts risquent d'être lourds, à terme...
En conclusion, il semblerait que la réponse soit contenue dans la question posée, puisque je ne me souviens pas avoir entendu un seul français se demander si Jean-Michel Blanquer serait moins catastrophique, rue de  Varenne, que la pernicieuse Najjat Vallaud-Belkacem : la question ne s'est jamais posée, alors, et le seul fait qu'elle le soit (et souvent !) cette fois-ci, suggère... qu'elle se pose, et qu'elle doit être posée ! Blaise Pascal affirmait, en 1670 dans les Pensées : ''Tu ne me chercherais pas si tu ne m'avais déjà trouvé''. Constatons que ce qui était vrai hier l'est encore aujourd'hui : personne ou presque ne croit sincèrement que le choix de notre Président pour ce poste-clé soit autre chose qu'une provocation ou une punition pour l'avoir acculé dans les cordes. Des amis révoltés me susurrent  les mots : ''vengeance, sanction, ou nullité''. J'ai du mal à m'y résoudre. Quoi que...
H-Cl.
(renvoi * : à propos de ''scro-gneu-gneu'', peu de gens savent que cette expression courtelinesque, censée décrire tout vieux sous-off blanchi sous le harnais, est une altération de l'expression ''sacré nom de Dieu'', quelque peu interdite en ces temps-là. Un sourire s'imposait, après ce ''billet'' qui reflète les pires stupidités de la mode du ‘’politiquement correct’’ et d'un monde qui se referme sur lui, nous écrasant !)
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caginmumineleri · 1 year
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Son zamanlarda Fransa'da görülen İslam düşmanlığı ve bu minvalde yürütülen politikalar hat safaya ulaştı. Avrupa Birliği’nde en fazla Müslüman nüfusa sahip ülke olan Fransa'da camilere yönelik saldırılara bir yenisi daha eklendi. Orne vilayetindeki Flers kentinde Fransız-Türk camisine İslam düşmanı saldırganlar tarafından tehdit içerikli yazılar yazıldı.
Haberlere göre, caminin duvarına "İslam, Avrupa'dan defol" ve Neonazi içerikli bir ifade olan "Şarlman tümeni" yazıldı.
Fransa İçişleri Bakanı Gerald Darmanin Twitter'dan yaptığı açıklamada, olayı kınayarak, soruşturma açıldığını belirtse de bu saldırı aslında İslam düşmanı Fransa devletinin yürüttüğü politikalarla tırmanışa geçmiş durumda.
Son 5 senede Müslümanlara yönelik adaletsizlikler Fransa devleti tarafından yasalarla resmileştirildi. Müslüman sivil toplum kuruluşlarından feshedildi, Müslümanlar yasalarla dolaylı veya dolaysız şekilde hedef alındı, okullarda başörtüsü yasaklandı, Müslümanlara hakaret içerikli siyasi söylemler ve Fransız hükümetinin İslam’ı istediği kalıba sokma girişimleri dayatılmaya devam ediliyor.
Bu politikaların uygulanmasında Cumhurbaşkanı Macron, Eğitim Bakanı Jean-Michel Blanquer ve valilerin önemli rol oynadığı biliniyor. Fransa camilere saldırmakla kalmayıp aynı zamanda Müslümanlara sokaklarda saldırı düzenliyor. Ayrıca İslam’a karşı hakaret içerikli karikatürler “fikir ve ifade özgürlüğü” kapsamında değerlendirilip yayımlanırken, Kur’an-ı Kerim’in bazı ayetlerinin camilerde okunmasına izin verilmiyor.
Bu şunu gösterir ki kafir hiçbir zaman müslümanı sevmez ve ona saygı göstermez. Onların kalplerinde hep korku vardır.
"Allah’ın mescitlerinde O’nun isminin anılmasını engelleyen ve ibâdet yerlerinin harap olmasına çalışandan daha zâlim kim olabilir! Böylelerinin, oralara korku içinde girmekten başka bir hakkı olamaz. Onlara dünyada bir rezillik, âhirette de büyük bir azap vardır." (Bakara / 114. Ayet)
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k-star-holic · 2 years
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Jessica Jung and Jillian Chung, Tyler and the “parallel theory” surrounding the former Hello, My Dolly Girlfriend
Source: k-star-holic.blogspot.com
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profenscene · 2 years
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Jeudi 12 mai
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Dans une grosse poignée d'heures, Jean-Michel Blanquer ne sera plus ministre de l'Éducation Nationale.
Et je ne me sens absolument pas soulagé.
Alors oui. Durant cinq ans, il a été tour à tout l'hydre, le clown, ou le sinistre de ces lieux. Une figure incarnant tout ce que la politique éducative du gouvernement précédent avait de problématique. Que ce soit dans sa façon d'exercer son mandat, cachant difficilement son impatience devant les corps intermédiaires ou les professionnels qu'il avait sous sa tutelles ; qu'il s'agisse de ses réformes, cherchant à la fois à détricoter l'héritage de ses prédécesseurs et à imposer une sorte d'efficacité managériale dans un secteur à qui la logique d'entreprise est non seulement inapplicable mais également nocive ; ou que l'on parle de sa propension à l’ambiguïté dans la moindre de ses interventions médiatiques, de façon à ne jamais avoir à assumer ses choix, et à se laisser la possibilité de jouer la carte de la victime, en proie à l'incompréhension générale.
Mais le problème est bien là. Il n'était qu'une figure Jean-Michel Bl*nquer. Je ne verserai pas dans la psychologie de comptoir ou dans l'analyse littéraire au petit pied, mais je ne le vois pas comme un seigneur des ténèbres : juste comme un politique qui a tenté de gérer son ministère en s'appuyant sur l'air du temps : gestion déshumanisée des élèves comme des personnels d'éducation, et attisement intense des griefs que l'on peut avoir contre l'enseignement, qu'ils soient rationnels ou non. J*an-Mic*el Bl*nque* a été un exécutant efficace. Ni l'Empereur Palpatine, ni l'Agent Smith.
Et désormais, il part. Je me demande, si, dans quelques années, il repensera à ce mandat ou si, probablement, ce n'est déjà plus que l'une des multiples marches dans la construction de sa carrière. Il part en laissant derrière lui un service public plus affaibli que jamais : les concours d'enseignants désertés, un haro sur les profs devenu sport national, des élèves perdus entre des menus d'options abscons et un parcours d'orientation sans queue ni tête. Je voudrais me réjouir que l'un des responsables de cette catastrophe s'en aille.
Mais le remplacement de **an-M*c**l B**nque* changera-t-il quoi que ce soit ? Son successeur sera mandaté pour les mêmes missions : faire des économies et continuer la mise au pas d'un secteur cherchant à former des citoyennes et citoyens libres et lestes d'esprit. Deux concepts que l'on peut tenter de disqualifier en les appelant wokisme, islamo-gauchisme ou tout autre néologisme épouvantail.
Et pendant ce temps, nous sommes toujours là. Les AED, les agents d'entretien, les AESH, les profs, les perdir, les gestionnaires et tous les autres. À exercer des métiers tout abîmés dans un environnement en souffrance. À tenter de prendre soin d'élèves souvent désorientés - au sens propre du terme - après deux ans de chaos sanitaire et cinq ans de brutalité politique. Pendant ce temps, nous bossons. Nous n'avons pas le temps - et c'est peut-être un tort - de demander des comptes. Nous nous apprêtons à nous prendre la prochaine vague dans la tronche. De moins en moins nombreux. La foi vacillante ou intacte, par vocation ou pour payer des factures, déesses de la pédagogie ou bordélisés, nous tentons de faire fonctionner. Parce que nous sommes fonctionnaires. Que des **a*-M****l B***qu**, nous en avons connu, et nous en connaîtrons, hélas, très probablement d'autres. Ce vaste corps chargé d'éduquer vos enfants et qui, comme ceux qui nous soignent, protègent, nourrissent, sont aisément considérés avec suspicion ou condescendance. Parce que ce serait dangereux, dans la façon dont le pays est actuellement dirigé, de laisser croire à un groupe de personnes qu'il est important ou essentiel.
Malgré tout nous continuons. Personnellement, parce que je continue à aimer ce que je fais d'amour. Parce que j'espère que je contribue, à ma mesure, à étayer un peu ce grand tout branlant qui s'appelle ma nation. Parce que je n'ai encore jamais rencontré un seul élève qui ne méritait pas qu'on se décarcasse pour lui. D'une façon ou d'une autre.
Alors voilà. Nous sommes encore là, debout. Tandis que le rideau tombe sur ****-****** ********.
Sur qui ?
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rideretremando · 1 year
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"Poiché l'inclusione è una cosa molto seria, e sull'inclusione (e contro ogni forma di discriminazione) mi batto da anni, in ogni luogo possibile, del linguaggio inclusivo bisogna parlare in modo responsabile, partecipe, consapevole. Il prossimo appuntamento per me sarà all'Università di Milano. In attesa di svelare qualcosa sul mio libro "scientifico" in uscita (in inglese) su un così delicato argomento, riepilogo qui di seguito le dieci ragioni per le quali ritengo inaccettabile l’immissione dello schwa (e di altre modalità analoghe) nell’italiano corrente.
1. Il pericolo di un’“ufficializzazione”. Lo schwa, semplice (ǝ) e “lungo” (з), è stato accolto in sei verbali redatti dalla Commissione per l’Abilitazione Scientifica Nazionale alle funzioni di professore universitario di prima e seconda fascia del Settore concorsuale 13/B3 – Organizzazione Aziendale. Entrambi i segni compaiono anche nei giudizi collegiali sui candidati, e in quelli formulati singolarmente dal Presidente, dal Segretario e da un terzo membro dei cinque commissari (nei suoi giudizi, però, in un unico caso, con riferimento a un solo candidato: «Professorǝ Associato»). Con l’importazione dello schwa in un testo “codificato”, un libro, un documento o un pezzo giornalistico, impattiamo in un’aberrazione linguistica, un corpo estraneo all’italiano.
2. L’impulso alla generalizzazione. Nei sei verbali i cinque Commissari hanno utilizzato gli schwa in modo indiscriminato, in riferimento a loro stessi e in riferimento ai candidati e alle candidate, come fossero tutti portatori di identità non binarie.
3. La natura destrutturante dell’innovazione. Lo schwa non è un semplice neologismo, perché viola irrimediabilmente le regole ortografiche e fono-morfologiche della nostra lingua, e immetterlo in un documento prodotto da un’amministrazione centrale dello Stato pubblico è un precedente di una gravità inaudita. Autorizza di fatto chiunque, d’ora in poi, a redigere un atto pubblico in emoji o in volgare duecentesco, o a disseminarlo di "ke", "xké" o "qlc1" (invece di "che", "perché" e "qualcuno").
4. L’estensione al parlato. Pretendere di trasferire lo schwa alla lingua parlata, stante la limitazione posta al suo utilizzo (la posizione finale), trasformerebbe l’intera penisola, se adottassimo la vocale neutra che lo rappresenta, in una terra di mezzo compresa pressappoco fra l’Abruzzo, il Lazio a sud di Roma e il calabrese dell’area di Cosenza. Sarebbe la rivincita dell’Italia meridionale e mediana contro il modello normativo tosco-fiorentino. Un’idea che sarà pure simpatica, ma è peregrina.
5. La cancellazione dei femminili. Se l’unanime volontà dei membri della Commissione universitaria era di dare cittadinanza, nei loro verbali, anche al genere femminile, evitando il maschile sovraesteso, sarebbe bastato riferirsi ai "candidati" e alle "candidate", agli "autori" e alle "autrici", e così via, o si poteva parlare di "persone" e chiuderla lì. La scelta di plurali inclusivi come "autorǝ" o "coautorз", anziché contrastare davvero i maschili "autori" e "coautori", spedisce in soffitta i femminili "autrici" e "coautrici".
6. La “dittatura” di una minoranza. Una cosa è chiedere al nostro interlocutore di venirci in qualche modo incontro, con le forme e le parole più adatte e rispettose possibili, se ci siamo scoperti portatori di un’identità incerta o fluttuante, un’altra cosa è pretendere che le norme linguistiche di un’intera comunità nazionale soggiacciano alla prepotenza di pochi, intenzionati a scardinarle con la generalizzazione di usi linguistici teratologici.
7. L’aggravamento di disturbi neuroatipici. Il 4 maggio 2021 il ministro francese dell’Educazione nazionale, Jean-Michel Blanquer, ha inviato una circolare ai direttori amministrativi centrali, ai provveditori agli studi e al personale ministeriale. L’atto, pur incoraggiando forme auspicabili di scrittura inclusiva, come il femminile dei nomi di professioni e mestieri, ne vietava altre, colpevoli, specie ai danni di allievi dislessici (ma anche disgrafici, o altro), di rendere più difficoltosa la lettura, oltreché l’apprendimento, dell’idioma nazionale. Nel 2017 un’altra circolare francese (22 novembre), diramata dal primo ministro Édouard Philippe, aveva invitato i membri del Governo a rinunciare all’écriture inclusive nei documenti ufficiali destinati al pubblico, per non pregiudicarne l’intelligibilità e la chiarezza.
8. La proliferazione incontrollata. La moltiplicazione delle pensate ambigenere, agenere o antigenere è ormai inarrestabile. Devi scrivere ai tuoi colleghi e alle tue colleghe di lavoro? Hai l’imbarazzo della scelta:
"Caro collega, cara collega": "Car* collega", "Caro/a collega", "Car@ collega", "Caro-a collega", "Caro(a) collega", "Carx collega", "Caro.a collega", "Caro·a collega", "Car’ collega", ecc.;
"Cari colleghi, care colleghe": "Car* collegh*, "Carə colleghə", "Cary colleghy", "Carei colleghei" (o "Carie colleghie"), "Carз collegз", "Caru tuttu", ecc.
9. L'elitarismo dell'operazione, nemica dell'idea stessa di una lingua nazionale da intendersi come un bene comune, patrimonio di tutti i suoi parlanti e di tutti i suoi scriventi. L'applicazione sistematica dello schwa è talmente complessa da aver indotto in errore anche i più smaliziati o presunti tali (come i commissari universitari anzidetti, incoerenti nelle loro farsesche scelte schwaiste).
10. L’assenza del neutro nella nostra lingua. Il genere grammaticale è una cosa, il genere naturale un’altra. L’italiano ha due generi (il maschile e il femminile). Il neutro, residui del latino a parte, non l'abbiamo."
Massimo Arcangeli
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carpe-coitum · 2 years
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En ce moment, c'est pas la grande forme. Mon corps peine à récupérer de l'opération, le boulot me fatigue et ma famille vrille un peu. Heureusement, je me dis que j'aurais pu être Jean-Michel Blanquer et ��a va mieux.
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ambipolis · 2 years
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Lundi 13 juin 2022
Majorité absolue ou relative
Nupes et Ensemble au coude à coude. Pour autant pas de refus d’obtempérer de la part des électeurs…. qui ont voté. Moins de la moitié des inscrits. 
Il est quasi certain qu’il n’y aura pas de majorité Nupes dimanche prochain. Le président aura donc une majorité présidentielle absolue ou relative, ce qui pourrait conduire soit à un accord avec les LR-UDI soit plus probablement à des débauchages.
Jean-Luc Mélenchon prend ses désirs pour la réalité en déclarant que le parti présidentiel est «battu et défait.»
La bonne nouvelle, c’est que nous n’aurons plus de problème de pouvoir d’achat, de sécurité, d’éducation, de transmission, d’immigration, ni de risque de guerre nucléaire puisqu’ont été éliminés Jean-Michel Blanquer et Eric Zemmour.
Reste une semaine pour convaincre comme l’a rappelé la Première ministre en tant que cheffe de la majorité.
Après, le Président, son gouvernement (sans doute ses gouvernements) et la majorité présidentielle auront 5 ans sans avoir à rendre en compte.
Jean-Loup Arnaud commentera prochainement le livre de Philippe Fabry Le Président absolu.
François BAUDILLON
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beardedmrbean · 2 years
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Paris —  At his swearing-in ceremony, new Education Minister Pap Ndiaye paid tribute to the nation’s teachers, singling out Samuel Paty, killed by an Islamist extremist in 2020.
Ndiaye described himself as a symbol of meritocracy and diversity. Rather than feeling proud, he said, he assumed his new job with a sense of duty and responsibility.
The 57-year-old Ndiaye is a longtime university professor and expert on the history of minorities and rights movements in both France and the United States. Last year, he was tapped to head France’s National Museum of the History of Immigration.
“It was unexpected, obviously, but it was very good news.”
Louis-Georges Tin is a Black rights activist and former head of the Representative Council of Black Associations, or CRAN. He salutes the new education minister.
“He’s a brilliant person," Tin said. "He’s respected in the academy. He’s done quite a few actions in terms also of the fight against racism in the country.”
While Tin is not alone in praising Ndiaye’s appointment, some right-wing politicians are criticizing it.
Far-right leader Marine Le Pen, who came second in last month’s presidential vote, described Ndiaye’s designation as an alarming signal for the future. She called him a defender of so-called "racialism" and woke-ism, which critics deride as a leftist protest ideology. Other critics describe Ndiaye as anti-police.
Interviewed on French radio, Ndiaye’s sister, award-winning author Marie Ndiaye, said she wasn’t surprised at the criticism — but called it absurd and stupid.
Some observers say the controversy over Ndiaye’s appointment reflects simmering discrimination in France, as the 2020 death of African-American George Floyd in police custody in the United States ignited similar Black rights protests here.
In interviews over the years, Pap Ndiaye has said France is reluctant to fully examine its history of colonialism and slavery. He has praised French police but also said police violence should be discussed.
Activist Louis-Georges Tin said much more needs to be done in teaching French students about discrimination. Tin said he fears Ndiaye’s efforts to change things during his tenure will result in pushback.
“Having a Black minister in France is not new," Tin said. "And having racist attacks is not new either. It’s always the same story … so that’s why we are in a situation of state racism, systemic racism. People don’t want Black ministers in this country.”
Ndiaye is certainly different from his predecessor, Jean-Michel Blanquer, who criticized both the “Black Lives Matter” movement and so-called woke culture. Education unions, which clashed with Blanquer, have reacted positively to the country’s new education chief.
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