Tumgik
#contrats courts
musographes · 1 year
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Souvenirs du 8 mai 2018
Sur certain réseau social que l’on ne nommera pas, il est de coutume de poster ses souvenirs. Pour une fois, souscrivons à la tradition, avec un évènement qui eut quelque influence dans la création de Musographes. (PDF à télécharger sous le visuel)
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homomenhommes · 4 days
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story: SOUMISSION / DOMINATION 175
Semaine préparatoire à la grande touze connaissance de Julien
En vue de la méga touze avec tous nos amis, l'aménagement du second ne suffit pas comme préparation. Il faut penser à nourrir tout ce monde depuis le vendredi soir pour certains jusqu'au lundi matin pour d'autres.
Avec Samir et Ammed, nous faisons le point. Si nous pensons qu'un grand barbecue peut faire l'affaire pour le samedi soir et le dimanche soir, il reste quand même à nourrir 15 personnes le vendredi soir, 31 le samedi midi, dimanche midi. Pour le petit déjeuner du lundi nous ne devrions, sauf attardement non prévus, n'être plus que 14.
Samir me dit que le charcutier traiteur auprès duquel il s'approvisionne régulièrement pour la maison est tout à fait capable de nous livrer un buffet pour les deux midi en plus des viandes des barbecues. Lui (Samir), se fait fort de cuisiner pour 15 vendredi soir.
Samir prend rendez vous avec le traiteur et nous passons un début d'après midi à sa boutique pour faire nos choix. Le patron est un jeune homme qui vient de reprendre l'affaire. Dans la boutique une femme assez âgée tient sa caisse. Il nous entraine dans un bureau derrière en lui précisant de ne pas nous déranger. Nous discutons de nos deux repas à assurer. Je veux des choses légères, faciles à manger avec les doigts, ne nécessitant ni assiettes ni couvert. Et pour le dessert, pareil, pas de choses à la crème qui nous alourdiraient pour... Le tutoiement entre nous est venu naturellement. Il nous montre son catalogue avec les photos de ce qu'il nous propose. Il me dit aussi qu'il pourra nous laisser son camion frigorifique pour garder tout cela directement en plateau. Comme cela nous n'aurons juste qu'à les sortir pour les mettre sur les tables.
Sans malice (pensais-je alors) il me questionne sur la raison d'une telle fête. J'élude une fois mais me fais piéger la fois suivante. Je lui dis que c'est une fête entre copains avant que tous nous nous dispersions pour les vacances. Il me dit que si je le désire, il pourrait assurer le service lui même, que ça ne couterait pas plus cher. Je m'étonne et le regarde de plus près. Sous son tablier de charcutier je vois un jeune mec (maxi 30 ans) cheveux courts châtain clair, de beaux yeux bleu dans une tête correcte, une peau blanche de n'avoir pas encore pris le soleil et surtout une carrure de rugbyman (mais pas de pilier !), de beaux gros biceps serrés dans les manches courtes de sa chemise de travail à carreaux. Il ajoute : " Samir me connaît, il sait que je suis discret ". Je me tourne alors vers Samir. Il me confirme d'un hochement de tête. Il se lève et fait se lever notre jeune charcutier pour lui rouler un patin. Ok j'ai compris ! D'autant plus que sa main glissée sous le tablier malaxe un paquet qui me semble plus important que la moyenne. Je me lève à mon tour et Samir s'écarte pour me laisser la place. Je me colle au charcutier. Il est plus petit que moi d'un ou deux cm mais collé contre lui, je sens ses muscles rouler sous son uniforme. Patin, il a une grande langue curieuse (quand on dit qu'on se roule une pelle c'est parfois littéral !), et à mon tour ma main soupèse ses attributs. Effectivement c'est bien ce que j'avais pensé. Il est lourdement équipé. Avec difficulté, il s'écarte de moi et me propose de venir le soir même à la maison pour signer le contrat. J'accepte et le prévient qu'il faudra aussi convaincre mon homme. Le choix de mes mots le fait sourire, il a un très joli sourire !
Marc est arrivé avant notre charcutier. Je lui brosse le tableau et lui précise qu'il ne déparerait pas avec le reste du groupe. J'ajoute qu'il est un des " réguliers " de Samir et Ammed dans une fonction Actif/Passif.
Il arrive sur le coup des 20h30 nous demandant de l'excuser car, seul, il était obligé de tout ranger après la fermeture.
Une minute plus tôt, je l'avais surpris en train de rouler une pelle à Ammed qui lui avait ouvert la porte. En moi même j'avais noté qu'il n'était pas farouche.
Je le présente à Marc et réciproquement. Au fait il s'appelle Julien. Je m'aperçois qu'il n'est pas venu directement de sa boutique vu les vêtements qu'il porte. Pantalon blanc moulant son paquet de façon avantageuse, baskets orange et verte de marque, assorties à une chemisette à carreaux entrouverte. Il est franchement très bandant et encore plus que dans sa tenue de travail. Ainsi vêtu, il ne fait pas 30 ans.
Marc n'y est pas insensible et je m'aperçois que son paquet gonfle bien le short qu'il avait passé en arrivant. Notre charcutier s'en rend compte aussi. Nous parlons quand même du sujet de sa venue. Nous finissons par lui confier, bien sûr le nombre de convives mais aussi, il arrive à nous soutirer l'information, leurs âges. De fil en aiguille, la confiance s'installant et comme il l'avait deviné, nous lui avouons la finalité du WE : baise, baise et rebaise.
Marc, de plus en plus en " forme ", lui a dit que s'il voulait en faire partie, il allait devoir nous prouver ses dispositions. Il lui a précisé que s'il participait en tant que service / baise, ce ne serait pas le cas de Samir et Ammed. Julien nous a dit que Samir l'avait déjà prévenu que ce serait le cas, cela ne leur poserait pas de problèmes entre eux.
Marc lui demande de nous convaincre.
Julien se lève du canapé et entame un strip. A croire qu'il a fait gogo boy en plus de charcutier. Je le questionne. Il nous dit que lorsqu'il était apprenti à paris, il arrondissait ses fins de moi en tant qu'intermittent du spectacle dans des séances type " chippendale " et plus selon la clientelle. A ce que nous voyons, il n'a pas perdu la main ! Son strip est vraiment très pro. Comme je l'avais deviné, il est très bien foutu. Imberbe ou rasé sauf sur le pubis taillé court, Marc l'arrête un instant quand il ne lui reste plus que son slip, un superbe ES qui le moule comme un gant. Mar me dit de le rejoindre et de faire bander ferme tout ça. Sous ce terme, il entendait le service trois pièces déjà bien en forme.
Rapidement je me mettais en slip et nous avons fait à Marc un spectacle privé. Malgré sa carrure de rugbyman, j'étais loin d'être ridicule avec mes 85 Kg de muscles. Je me suis collé à son coté ma langue fouillant sa bouche alors que je pressais mon propre paquet contre sa hache gauche et que ma main pétrissait son slip. Ce dernier n'a pas tardé à se distendre sous la pression de son sexe et le poids de ses boulles en train de s'alourdir de sperme.
Sans que ma langue quitte sa bouche, je lui ai retiré son slip et en a jailli un équipement à la hauteur. Sur ordre de Marc, je m'agenouille devant Julien et commence une pipe. Sa largeur distant bien les coins de mes lèvres et son gland à un peu de mal à passer dans ma gorge. J'insiste, il m'aide un peu en posant ses mains derrière ma tête et d'un bon coup de rein m'explose la gorge. Pas longue longue mais méchamment large quand même ! Je le suce bien depuis 5 bonnes minutes quand Marc me demande de me placer pour me faire enculer. Je dégage la table basse et me mets en levrette dessus. Marc jette une kpote à Julien pendant que je sors du tiroir de la table un tube de gel et un flacon de poppers. J'ai juste le temps de me doser l'anus d'une giclée de lubrifiant avec le tube enfoncé dedans, de prendre un premier sniff de poppers que Julien, sous les encouragements de Marc, pousse son gland dans mon fondement. Je sature mon autre narine de ce stimulant quand il pousse pour faire entrer le reste de son sexe. Il me faut de nouveau un passage sous ma première narine pour que ses couilles collent aux miennes. Ce n'est pas que je prends moins d'habitude mais sans plus de préparation, j'ai toujours un peu de mal. Il reste quelques instants bien au fond de mon trou jusqu"à ce que Marc le pousse à me limer. Son gros gland fait merveille dans mon boyau. A chaque passage, il racle ma prostate m'envoyant dans tous le corps des frissons. Marc nous a rejoints. Il se place devant moi et sans qu'il n'ait besoin de le demander, je suce sa queue. Alors que mes deux principaux trous sont bouchés, je les entends discuter du plaisir que l'on peut tirer de ma bouche et de mon cul. Quand Marc est bien dur, je lui enfile une kpote que je déroule avec ma bouche. Il s'écarte de nous, me demande de passer sur le dos et à Julien de me réenculer ainsi. Comme nous nous roulons de nouveau un patin je le vois s'approcher du dos de Julien. Il me demande de l'entourer de mes bras et de mes cuisses. Je serre contre moi julien qui sait très bien ce qu'il va subir. Marc plie un peu les genoux et s'enfile dans le trou de Julien. Sous mes lèvres je le sens accuser le coup. Mais heureusement il n'a pas le reflexe de serrer les mâchoires, sinon lui comme moi aurions eu la langue coupé.
Ma bouche étouffe les gémissements de Julien, mais je peux assurer qu'ils étaient de plaisir, pas de douleur. Je sens le coup de rein final de Marc quand il s'assure que ses 22cm son totalement entrés. Je desserre mes prises. Julien retire sa langue de ma bouche pour nous dire que c'est trop bon ! Marc en profite pour commencer un labourage en règle. Dans un premier temps, seul Julien en profite car, concentré par sa propre sodomie, il ne bouge pas en moi, complètement enfoncé dans mon cul. Quand Marc a pris sa cadence et que l'anneau de Julien s'est fait à son diamètre, je sens reprendre les va et vient dans mon trou. Quelques tâtonnements pour caler les mouvements et Julien adopte un style coulé mais impérieux qui fait merveille dans mon cul. Aux commentaires de Marc, je m'aperçois que son cul traite la bite de mon homme avec autant d'efficacité.
Nous testons ainsi Julien. Marc lui demande quelle est la taille maxi qu'il s'est pris dans le cul car, le prévient-il, ce qu'il lui met actuellement dans le cul est dans la moyenne de ce qu'il y aura lors du WE touze. Il nous dit que depuis qu'il a racheté la boutique, il n'a pas eu le temps de chasser et que les seules baises qu'il a faite l'ont été avec Samir et Ammed (montés 19,5x6 et 19,2x 5,6). Mais ils nous assure que son dernier patron était lui carrément au dessus. Il l'appelait son jésus et ses dimensions en étaient proches pas loin de 25cm par presque 7cm ovale. Marc continu de l'enculer en lui disant que ce genre de bite il en trouverais au moins deux ou trois pendant le WE mais qu'il ne serait pas le seul à en vouloir.
Moi, en dessous, je ne dis rien et profite de la belle bite de Julien. Ils se taisent aussi et augmente les cadences. Je regarde Marc dans les yeux par dessus l'épaule de Julien. Il me sourit. Je passe ma langue sur mes lèvres, il mime un bisou. Je ressens ses coups de reins plus brusques annonciateurs de l'arrivée de son plaisir. Julien aussi s'en aperçoit. Je serre ma rondelle pou freiner ses pénétrations et les rendre encore plus jouissives. Ça ne manque pas, il explose dans sa kpote et entraine Marc avec lui. Il décule de moi rapidement, repoussant Marc encore au fond de son trou. il attrape ma bite, la met dans sa bouche et me fait une pipe phénoménale. Sa longue langue s'enroule autour de mon gland avant de le laisser pénétrer sa gorge. Il ne me fait ce truc que 3 fois avant que je le repousse et l'éclabousse de mon sperme.
Marc se relève et le déclare bon pour le WE et de compter une part de plus.
JARDINIER
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directement de la rue
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c'est ma guerre
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wubblesred · 3 days
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Ghoulcy week day 2 SFW
Bonjour, on est reparti pour la semaine Ghoulcy. Le thème du jour 2 en SFW est histoires et confessions. J'espère que ça vous plaira.
Cette histoire est aussi poster en anglais sur mon compte. Bonne lecture.
Lucy MacLean avait toujours du mal à se dire qu'elle avait en face d'elle le grand Cooper Howard. Même si en le regardant de plus en plus elle voyait bien que les traits de son visage correspondaient. Il fallait dire qu'elle en avait regarder des films de l'acteur, tout ses films à vrai dire. Et là voilà quelques années plus tard face à lui entrain de partager un repas, la petite Lucy en elle était entrain de sautiller de joie. Bon le gars avait certes été horrible avec elle dans un premier temps mais la jeune femme sait que cela partait étrangement d'un bon sentiment, l'endurcir à la dure réalité qu'était la cruauté des terres désolées. Depuis qu'elle savait que son camarade avait connu la Terre avant la bombe, l'habitante d'abri voulu interroger la goule sur comment était la vie avant l'incident mais elle avait peur de n'avoir aucune réponse.
« Bon Poupée tu vas enfin la poser ta question. » Fit soudainement l'homme coupant le fil de ses pensées.
« Euh... Ben c'est à dire... » Lucy commençait à stresser mais vu le regard de l'autre il valait mieux balancer ce qui lui trottait dans l'esprit parce que l'homme semblait bientôt être à court de patience « C'était comment la vie avant ? Avant la bombe je veux dire ? »
Cooper fut pris de court face à cette question mais commença tout de même à lui répondre. Il lui décris des moments de sa vie, la technologie du monde d'avant qu'elle ne pourra jamais apercevoir. Les plats qu'il aimait, ses restaurant favoris. La jeune femme buvait clairement chaque une de ses paroles avec une attention qu'il n'avait jamais eue auparavant. Ses yeux pétillèrent à chaque descriptions et ses questions innocentes firent même rire la goule qui pensait ne jamais plus avoir d'émotion. Il voulu continuer à lui expliquer la vie d'avant pour garder encore ne fusse qu'un instant cette tendre expression sur son visage cependant il commença à être à court d'anecdotes.
« Et toi ? C'est comment les fameux abris ? » Ne peut-il s'empêcher de demander à la fin de ses récits.
Ce fut au tour de Lucy d'expliquer sa vie, son enfance. Le fonctionnement d'un abri, ce qu'elle aimait faire, les compétences qu'elle avait développer au fil des années. La vie en communauté avec tout ses cousins mais surtout avec son frère qui lui manquait. Sa voix se brisa un peu en se remémorant de bons souvenirs familiaux, repenser à lui était plus difficile qu'elle n'aurait imaginer. Un sursaut l'a gagna quand elle senti une main sur la sienne, tellement éprise dans sa mémoire, elle n'avait pas remarquer que Cooper l'avait rejoint et tentait de la réconforter. Cet acte l'a fit sourire, la goule et elle s'étaient vraiment rapproché depuis la mise en commun de leur but respectif. Pour détendre l'atmosphère, la jeune femme termina son récit en expliquant qu'elle avait vu tout ses films durant sa jeunesse. Même plusieurs fois. Apparemment malgré le divorce avec Barb, le contrat entre Vault-Tec et lui était toujours viable et donc les abris étaient tous équipés de ses films.
« Norm, mon frère avait tendance à se moquer de moi à propos de ces films. » Rigola la jeune femme.
« Ah bon ? Pas un fan de western comme toi ? » Rétorqua l'homme tout en caressant doucement la main de l'autre.
« Plus le fait que j'avais un énorme béguin sur l'acteur principale » Après ces mots Lucy détourna le regard n'osant plus faire face à l'homme après une telle confession. Cependant ce dernier ramena son visage vers lui du bout des doigts.
« Je suis flattée poupée. Mais bon je me doute que ça a du te faire un choc en sachant que le bel homme pour lequel ton cœur battait ressemble dorénavant à un monstre. » Son rire sonnait faux même à ses propres oreilles.
« Non du tout. Tu es toujours le même. Tu me fais toujours le même effet en tout cas. »
Tout en disant ses mots, la jeune dame amena sa main afin de tracer délicatement les contours du visage de la goule. Le moment était suspendu pour les deux individus, nul n'osait se détourner du regard intense de l'autre. Nul n'aurait su dire qui avait fait le premier pas mais ce qu'ils surent fut que la nuit s'était terminée par un baiser. Le premier d'une longue série. Enfermés dans un cocon qu'ils s'étaient créer, les deux amants profitèrent de chaque minutes pour se découvrir et s'aimer. Malgré l'enfer des terres désolées, Lucy et Cooper avaient su créer un paradis pour eux deux.
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christophe76460 · 4 months
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Il y a quatre petits animaux sur la terre, qui, pourtant, sont remplis de sagesse : les fourmis, qui forment un peuple faible, mais qui préparent leur nourriture pendant l’été, les damans qui n’ont guère de force, mais qui établissent leur demeure dans les rochers, les sauterelles qui, sans avoir de roi, s’avancent toutes en bataillons rangés, et le lézard qu’on attrape à la main et qui pénètre dans les palais des rois (Proverbes 30:24-28).
Ces quatre petits animaux montrent que la faiblesse physique peut être compensée et que Dieu s’occupe du bien-être de toutes ses créatures. Les fourmis sont engourdies pendant l’hiver, mais durant l’été elles travaillent dur et de concert afin d’engranger un maximum de provisions pour la mauvaise saison. Un proverbe précédent dit :
Toi qui es paresseux, va donc voir la fourmi, observe son comportement et tu apprendras la sagesse. Elle n’a ni surveillant, ni contremaître, ni chef. Durant l’été, elle prépare sa nourriture, au temps de la moisson, elle amasse ses provisions (Proverbes 6:6-8).
Les fourmis illustrent l’ardeur au travail. Elles ne s’arrêtent jamais et comme porteurs, on ne fait pas mieux ; des charges 3 fois plus grosses qu’elles ne les impressionnent pas. La fourmi est aussi un modèle de prévoyance. Elle enseigne que nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour préparer l’avenir. Cela veut dire acheter des contrats qui nous prémunissent contre les aléas de l’existence et mettre de l’argent de côté en cas de pépin. Mais à un autre niveau, il est bien plus important d’assurer son éternité, car une fois arrivé de l’autre côté, il est trop tard pour changer le cours des choses et aucune marche arrière n’est possible.
Nous sommes ici-bas pour très peu de temps, mais serons dans l’au-delà à tout jamais. La plus grande folie que quelqu’un puisse commettre est de bichonner son corps et de négliger son âme. Il est insensé de ne faire aucune préparation pour l’éternité. Sur son lit de mort, l’empereur romain Hadrien (76-138) aurait dit :
Plus de couronnes pour ma tête, plus de beauté pour mes yeux, plus de musique pour mes oreilles et plus d’aliments pour mon estomac. Mais mon âme, ô mon âme, que vas-tu devenir ?
Dans un texte de l’Ancien Testament, on lit :
Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu (Amos 4:12).
Et dans le Nouveau :
Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement (Hébreux 9:27).
Gros comme des lapins, les damans sont des mammifères au poil long, à la queue courte et aux oreilles arrondies. Ils faisaient partie des animaux impurs qu’on ne devait pas manger. Totalement sans défense, ils échappent aux prédateurs en se cachant dans les creux des rochers (Lévitique 11:5; Psaume 104:18).
Comme le daman, l’homme est faible et impur devant Dieu. C’est pour cela qu’il a besoin d’un Sauveur et d’un refuge. David a écrit :
Sois pour moi un rocher protecteur, une forteresse, Où je trouve mon salut ! (Psaume 31:2).
Biens qu’elles n’aient pas de chefs, les sauterelles font bloc ensemble dans leur marche imperturbable. Méthodiques et disciplinées, on dirait qu’elles obéissent toutes au même général invisible. Je cite un passage :
Les voilà qui se précipitent comme de vrais guerriers, et, comme des soldats, escaladent la muraille. Chacune va son chemin sans dévier de sa route (Joël 2:7).
Comme les sauterelles, les croyants sont unis entre eux par le lien du Saint-Esprit et ont un chef qu’ils ne voient pas, Jésus-Christ qui est dans les cieux, et à qui ils doivent une allégeance totale.
Le lézard est chétif et inoffensif, mais sa souplesse lui permet de s’introduire dans les plus petits interstices des plus belles demeures. Grâce à ses pattes munies de ventouses ou qui exhibent une substance collante, il peut s’accrocher à n’importe quelle surface, sur une paroi lisse ou au plafond. Pareillement, la foi saisit, s’attache, se cramponne à Dieu et à ses promesses en toute circonstance. Je lis un passage :
Je sais en qui j’ai mis ma confiance et j’ai la ferme conviction qu’il est assez puissant pour garder tout ce qu’il m’a confié jusqu’au jour du jugement (2Timothée 1:12).
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Il y a trois choses qui ont une belle démarche et même quatre qui ont fière allure : le lion, le plus brave des animaux, qui ne recule devant personne, le (cheval) aux reins solides, le bouc, et une armée en marche (Proverbes 30:29-31).
Ces quatre choses contrastent avec les précédentes parce qu’elles ont belle allure et une apparence noble. Le lion a une prestance magnifique, et parce qu’il n’a peur de rien, on l’a surnommé le roi des animaux. Je lis un passage :
Lorsque le lion ou le petit du lion défend sa proie en rugissant, la foule des bergers appelés contre lui a beau pousser des cris, ils ne l’effrayeront pas. Et leur tapage ne le troublera pas (Esaïe 31:4).
C’est une image du croyant idéal. Alors qu’il était persécuté à mort, l’apôtre Paul a dit :
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié : proclamer la Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu (Actes 20:24).
Tout comme Bayard, Oliver Cromwell était un chevalier sans peur et sans reproche. On lui demanda un jour l’origine de son courage. Il a répondu :
J’ai appris que si vous avez une crainte respectueuse de Dieu, vous ne craignez aucun homme.
Le cheval à la courbe souple de ses flancs puissants est taillé pour la course. Il fait penser à un passage du Nouveau Testament qui dit :
Débarrassons-nous de tout fardeau, et du péché qui nous cerne si facilement de tous côtés, et courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée (Hébreux 12:1).
Le bouc aime grimper sur les hauteurs ; un prophète se compare à lui. Je lis le passage :
J’exulterai de joie à cause du Dieu qui me sauve. L’Éternel, le Seigneur, c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils à ceux des boucs, il me fait cheminer sur les lieux élevés (Habakuk 3:18-19).
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Si tu as été assez fou pour te vanter, ou si tu as eu de mauvais desseins, tais-toi désormais, car en battant la crème, on produit du beurre, en frappant le nez, on fait jaillir du sang, et en laissant exploser sa colère, on provoque des disputes (Proverbes 30:32-33).
Quand le mal est fait en paroles, il faut vite fermer son clapet avant que le ton monte et que la discussion s’envenime.
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contrat d'esclave
1- L'esclave reconnaît que son seul mais est d'obéir, de servir et de donner du plaisir au Maître
2- L'esclave suce sans hésitation la queue, les couilles, les pieds, l'anus ou toute autre partie du corps de son Maître. il peut être forcé de lécher tout objet désigné par le Maître
3- L'esclave tient sa bouche et son cul toujours propre et prêt au service du Maître et de ses amis, en tous lieux et à toute heure.
4- L'esclave n'a pas le droit de toucher sa queue directement (pour se laver il prend un gant de toilette). il n'a pas le droit de branler ni juter. S'il manque à cette règle il sera durement puni y compris avec une ceinture de chasteté
5- Tout ce qui appartenais à l'esclave est la propriété du Maître qui en fait ce qu'il veut (vente, don, mise à la poubelle)
6- L'esclave porte les vêtements que le Maître décide. Il ne porte que des vêtements d'occasion et ne porte jamais de slips ni autres sous vêtements.
7- L'esclave boit la pisse du Maître ou de ses amis, directement ou dans une écuelle.
8- L'esclave est insulté par le Maître même en public (chien, salope, connard…)
9- Toutes les phrases de l'esclave commencent et se terminent par Maître en privé et Monsieur en public.
10- L'esclave a toujours les yeux baissés et une attitude de soumission que ce soit en privé ou en public
11- L'esclave demande l'autorisation pour toute action à faire même de simplement parler.
12- L'esclave n'utilise aucun meuble. il s'assoit et se couche par terre.
13- L'esclave se place toujours où son Maître le lui dit et attends d'autres ordres sans bouger
14- L'esclave garde sa pilosité sexuelle mais a les cheveux toujours coupés très courts (1 mm sur le côté et 2 mm au centre style militaire)
15- L'esclave ne porte ni barbe ni moustache
16- L'esclave vit nu chez lui et chez le Maître. Lorsqu'il doit accueillir le Maître ou un de ses amis, il se met à genoux tête basse, embrasse les chaussures puis les genoux puis la bosse du Maître.
17-l'esclave demande la permission de sortir, se lever, se coucher, manger, aller aux toilettes… Le Maître peut refuser sa permission sauf pour aller au travail.
18- Un plug ou un godet ordonné par le Maître doit être conservé en place jusqu'à ce que le Maître ordonne de l'enlever. il est alors sucé par l'esclave pour être nettoyé
19- Le Maître peut imposer une ceinture de chasteté uniquement de la queue ou totale (queue et cul)
20- L'esclave fait parvenir au Maître un rapport quotidien détaillé de toutes ses activités. Si le Maître le juge incomplet ou faux l'esclave sera puni
21- Sauf sur ordre du Maître, l'esclave marche toujours un pas derrière le Maître
22- L'esclave assure la maintenance de l'appartement du Maître et de son appartement. Après autorisation du Maître il achète les pièces nécessaires sur ses fonds propres.
23- L'esclave fait tous les travaux domestiques du Maître : nettoyage, lavage, lessive, repassage…
24- L'esclave fait les deux enchaînements de 30 minutes matin et soir prodigués par le Maître pour s'entretenir
25- En public l'esclave fait tout pour ne pas attirer l'attention tout en gardant une attitude soumise et respectueuse
26- Sans ordres du Maître l'esclave ne modifie pas son comportement à aucun moment
27- Le Maître peut suspendre tout ou partie des règles s'il le désire
28- L'esclave ne peut obéir à quelqu'un d'autre que sur ordre formel du Maître.
29 L'esclave remet au Maître tout cadeau qu'il reçoit
30- L'esclave ne mange pas et ne boit pas en public sauf ordre de son Maître. En privé il mange dans une écuelle posée au sol.
31- L'esclave est puni lorsqu'il manque à une de ces règles
32- L'esclave sait que le Maître a et peut avoir d'autres esclaves
33- L'esclave n'a pas d'autre Maître que le Maître sauf si celui-ci le décide
34- Les punitions peuvent être :
- liens et contentions fortes (carcan, pilori)
- piquet prolongé (minimum 1 heure)
- enfermement au cachot ou au cabinet noir
- bâillon et cagoule
- humiliations intenses y compris en public
- châtiment corporel à la main, à la règle, au paddle, à la canne, à la ceinture, au fouet
- torture électrique
- exposition nu ou en tenue humiliante (y compris sur le net)
- port de plug, gode, chasteté pendant des périodes prolongées
- toute autre punition décidée par le Maître
Moi, l'esclave,
je donne librement mon consentement à toutes ces règles, j'accepte d'être prêté ou loué par le Maître, j'accepte d'être un objet sexuel pour le Maître et ses amis, j'accepte d'être violé en tout temps et tout lieux que le Maître décidea, j'accepte que le Maître prenne toute photo et vidéo et en fasse ce qu'il souhaite, y compris leur publication sur le net,
Je donne accès librement à mon Maître à tous mes comptes financiers, tous mes logins et codes de connexions.
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monannee2016etc · 1 year
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S4 - TV, Fr2
En début de Saison 4, Melissa et Gaëlle sont désespérément seules. Cyril et Franck sont repartis en métropole. Mais, surprise, lors d’une enquête, Melissa tombe sur Cyril, secrètement revenu en Martinique pour infiltrer l’univers d’un homme d’affaire impliqué dans divers trafics. Entre danger et trouble amoureux, les deux infiltrés sont démasqués et Melissa va sauver Cyril de la mort. Ils retombent dans les bras l’un de l’autre, mais le retour de Pascal, l’ex-mari de Melissa, tout juste sorti de prison, bouleverse leur amour. Melissa va tout faire pour résister aux manipulations de son ex-mari…
Ce n’est pas à un homme que Gaëlle sera confrontée, mais à une petite voleuse de 15 ans, Thaïs, qu’elle surprend en train de cambrioler un bateau. Gaëlle la remet aux services sociaux mais la jeune fille fugue à nouveau et demande à Gaëlle de la garder provisoirement avec elle… Drôle de cohabitation pour Gaëlle qui doit apprendre à assumer un peu d’autorité et de responsabilité vis-à-vis de l’adolescente. Gaëlle semble transformée par cette nouvelle expérience mère-fille, mais le bruit court qu’elle est menacée : un contrat serait conclu sur elle…
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davidfakrikian · 1 year
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DVDvision - La Collection Épisode 3
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 3 de la série, quand le magazine commence enfin à prendre forme !
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La couverture A de DVDvision 3 initialement prévue.
Numéro 3 - Février 2000 - 
100 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Jean Sébastien Decamp, Fathi Beddiar, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, Patrick Nadjar, Nicolas Rioult, François Jamin.
Sommaire : La trilogie Die Hard, le premier Matrix sous influences, Charlie Chaplin, Fantomas, Clair de Lune.
DVD : Collector Matrix / Die Hard, conception par Christelle Gibout.
Notes : Le numéro qui nous a fait faire un grand pas vers la formule idéale du magazine. On y retrouve, sous une forme ou une autre, les bases et graphismes de toutes les rubriques qui feront l'identité de DVDvision tout au long de son existence, même si rédactionellement, le contenu est loin d'être abouti. 
Fort du succès des ventes, l'éditeur Seven Sept décide de poursuivre l'aventure. Eh oui, DVDvision se serait arrêté au n°2 (le 3ème en comptant le hors-série James Bond 007), si les ventes n'avaient pas été au rendez-vous ! Suite au non renouvellement de contrat "terminated" de l'équipe graphiste précédente, nous avons droit à un véritable défilé de candidats à la direction artistique au cours du mois de janvier 2000, mais sans parvenir à trouver la personne adéquate.
Seven Sept m'allège d'une grande partie du travail, en embauchant Christelle Gibout pour s'occuper du DVD offert dans chaque numéro. Christelle est historiquement après moi la deuxième salariée du magazine. Tout à coup, il n'y a plus un seul bureau dans le couloir devant les toilettes de Seven Sept, mais deux. Et je dois dire que ça fait du bien. Tout d'abord parce-que c'est plus agréable d'avoir une belle blonde en face de soi plutôt qu'un mur toute la journée, mais aussi, parce-que c'est la première d'une longue série de collaboratrices intelligentes, efficaces et compétentes dans l'histoire de DVDvision, qui va rapidement devenir un magazine avec un fort pourcentage de femmes à des postes-clefs, chose que certains lecteurs me reprocheront souvent par courrier interposé. 
La valse des candidats continue, sans qu'on trouve chaussure à notre pied, et nous finissons par dire oui à un directeur artistique par défaut, alors que le temps pour maquetter le magazine arrive a terme (il reste à peine 10 jours avant de boucler), et qu'il n'y a plus le choix.
Suite à l'entretien final avec ce D.A., un dernier candidat se présente dans nos bureaux sans prévenir, à 17h30. Il a entendu dire qu'on cherchait un D.A., mais là, c'est trop tard. On lui dit, mais il insiste. Tout d'abord, avec Véronique, on a envie de le reconduire, mais je me dis que peut-être... qui sait ? Au pire, on perd 20 minutes. On accepte donc de le recevoir. Son nom est Philippe Lambert, et son pitch nous séduit tellement, que nous déchirons sur le champ le contrat du directeur artistique précédent (qui n'aura donc jamais travaillé sur le magazine !), et commençons de suite le lendemain avec Philippe Lambert la course contre la montre, à peine une semaine avant la date limite !
Bien que son passage ait été court sur DVDvision, le rôle qu'a joué Philippe Lambert dans le lancement du magazine a été déterminant : c'est le premier graphiste qui comprend où je veux en venir, et matérialise ce que j'ai en tête, professionnellement et sans fioritures. Tout en faisant d'excellentes suggestions, fort de son expérience... De plus, il amène une autre collaboratrice, Paola Boileau (fidèle de Christophe Gans depuis l'époque Starfix, et directrice artistique du magazine HK), pour l'assister dans son travail. L'ADN de Starfix et HK, par ricochet, s'injecte dans le magazine, qui prend aussitôt une tout autre tenue, plus proche de ce que j'avais en tête au départ.
Cette combinaison de talents va payer, même si nous allons être pris par le temps. Ce numéro est en effet conçu et maquetté du lundi, au mardi de la semaine suivante, week-end inclus ! Et puisque je suis atteint de James Cameronite aiguë, j'ai en plus décidé d'augmenter la pagination à 100 pages, et de passer au dos carré, pour simplifier les choses ! On décide aussi avec l'éditeur d'insérer le DVD à l'intérieur du magazine, et de ne pas le cellophaner, ce qui permet de le feuilleter avant de l'acheter, une décision qui va faire monter encore plus les ventes (et éviter les problèmes comme avec le numéro précédent, où des gens ont cru acheter le film La fin des temps pour 5,95 €).
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La couverture B finale, intervertie avec la A en dernière minute.
In extremis, Véronique suggère de changer la couverture, peinte par Joel Casano (HK), et de remplacer Carrie-Anne Moss, initialement prévue, par une photo de Keanu Reeves qui était à l'origine située en page 73, pour le sommaire du cahier multi-media. On a un gros débat sur le sujet, puisque clairement, Carrie-Anne Moss est le mec dans le film, et Véronique tout comme moi, aurait préféré la garder elle en couverture. Mais Véronique a le feeling que le public va plus répondre présent si Keanu est en couve, (c'est après tout, le héros principal du film). La couverture originale se trouve du coup déplacée page 73, où était la couve finale avant !
La suite va lui donner raison. A sa sortie, ce numéro, (qui comprend dans son DVD un making-of de Die Hard 3 truffé de scènes coupées, et toujours inédit à ce jour, mais dont vous pouvez revoir un condensé sur notre chaîne YouTube), explose tous les records de vente précédents, montant à 32 000 exemplaires vendus sur les 50 000 du tirage ! C'est 64% de ventes, là ou les journaux se vendent au mieux à 35%, et montent au maximum à 60%, uniquement quand par exemple Grace Kelly meurt et fait la couverture de Paris Match. Je ne sais pas si vous imaginez, mais c'est le genre de truc qui est absolument impossible sur un nouveau magazine. Et toute la profession, qui nous prenait jusque là pour des fous, (parce-que à ce moment-là, le DVD est encore regardé par tout le monde comme un marché de niche pour les geeks comme le Laserdisc, et qu'ils pensent tous que "jamais ça ne remplacera la VHS parce-que ça n'enregistre pas"), commence tout à coup à nous prendre TRÈS au sérieux...
La citation de ce numéro : "Ça commence a ressembler à un magazine !"  (David Martinez - Février 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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already-14 · 2 years
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William Klein en quelques dates
19 avril 1926 Naissance à New York
1954 Signe un contrat avec le magazine Vogue
1956 Publication du livre Life is Good & Good for You in New York
1958 Sortie du court-métrage Broadway by light
1958 Publie un livre consacré à Rome
1964 Publie Moscou et Tokyo
1966 Sortie du film Qui êtes-vous Polly Magoo ?
1966 Sortie du film Loin du Vietnam
2005 Rétrospective au Centre Pompidou
2022 Mort à 96 ans à Paris
(via William Klein, l’outsider de la photographie, est mort)
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 16 : Némésis.
   
Et puis un jour, j'ai compris, ma pire Némésis, c’était moi-même. Mon propre reflet, que j’avais appris à hair et à fuir, plutôt que d’affronter celle contre laquelle je ne gagnerais jamais. 
Cassandre referma le manuscrit. Elle soupira en retirant ces lunettes à écailles. Elle ramena son carré courts de cheveux noires en arrière et lâcha :
-”Wack.”
Elle ouvra son MacBook pro à laide de sa main impeccablement manucuré de rouges et écrit à son assistante :
-”Le livre est mauvais. Trop profond, trop sensible, trop gnangnan. Après une bouteille de Château-Neuf, j’écris la même merde. Vire-moi cet auteur, et démerde-toi pour me trouver la future E.L James.”
Elle envoya le message et referma son ordinateur. Elle le rangea dans une housse de soie, qu’elle glissa dans un sac de cuir Hermès. Elle se leva, passa sa main sur son tailleur noir et fit claquer ces escarpins aux semelles rouges hors de son bureau.
Cassandre était l’archétype presque caricatural de la business woman succesful. Elle avit investi l’argent hérité de ses parents dans une maison d’éditions, dont elle avait redressé les ventes grâce à une stratégie agressive, d’un remaniement drastique et du rachat du catalogue de maisons d’éditions qui avait fait faillite.
Arrivé dans le parking, elle démarra sa BMW M3 grise, activa le mode éco, et rentra prudemment chez elle.
On aurai imaginé une femme de ce standing vivant dans un appartement au sommet d’une tour, le genre de duplex de créateurs, au design épuré. Mais elle vivait en périphérie. Dans une maison modeste. L’intérieur était certes épuré, mais semblait sortir tout droit d’nn catalogue. Elle jetta ses chaussures en entrant. Elle avait un tatouage représentant un dragon qui entourait son pied. Elle retira son chemisier, se retrouvant en soutien-gorge dans le salon : elle avait le ventre et les bras presque entièrement tatoué. Elle s’alluma un joint et alluma son enceinte connecté: le son lourd et gras de Pisse envahis l’appartement. Elle dansait doucement. Chez elle, tous les miroirs était couvert. Aucune surface ne réfléchissait quoique ce soit ; elle avait fait polir son plan de travail. 
Après un repas frugale et une douche, elle alla se coucher. Comme toutes les nuits, elle fit le même rêve. Elle s’avncait vers une vasque. Du reflet de l’eau sortait un miroir, et en général, elle frappait ce dernier avant de voir son reflet. Elle se réveillait plusieurs fois par nuit sans pouvoir fuir ce rêve. 
Le jour se leva. Un autre tailleur sombre, pour une autre journée morne. D’habitude si déterminé et froide, elle se surprit sur la route à accélérer plus que de raison. Elle avit totalement oublié d’activé le mode éco. En arrivant au bureau, la secrétaire d’accueil lui annonça que son assistance était en arrêt maladie pour la journée.
-”Wack”. Répondit-elle en allant à son bureau. Elle s’installa et commença à rédiger sur un pense-bête les instructions pour la journée : Ne router que les appels des auteurs avec un contrat en cours. Les nouveaux attendraient. Router les appels des imprimeries. Le reste, pas important. Elle sortit son pc de son sac, l’ouvrit et sortit déposer le pense-bête à l’employée d’accueil. Leur doigts s’effleurèrent. Soudain, elle la remarqua : elle était jolie avec ces cheveux rouges henné. Assise derrière son comptoir, elle offrait involontairement une vue plongeante sur son décolleté. Cassandre se reprit et retourna dans son bureau. Elle n’avait plus le temps pour désirer. Elle s’assit devant son ordinateur et surprit son reflet. Elle ferma l’ordinateur d’un geste sec. Elle ne supportait pas ce reflet. Elle se pencha en arrière dans son siège et réfléchit. Elle devait trouver une solution pour sa maison d’éditions. Un milliardaire lui avait fait une offre pour racheter son entreprise. Elle avait dit qu’elle réfléchirait. Elle serait très riche si elle accepté la vente, mais quelque chose l’a gênée. Non. Il valait mieux d’attirer un nouveau public. Trouver l’auteur qui pondrait le nouveau succès
Pourquoi pas nous ?
La journée passa relativement bien. Elle répondit aux angoisses de ces auteurs. Trouva un arrangement avec l’éditeur pour résoudre les problèmes d’approvisionnement en papier. Puis, elle reçut la lettre de démission de son assistante. Elle sourit et répondit rapidement. Un problème de plus, elle n’était plus à ça près. En partant, elle laissa trainer son regard sur l’employée d’accueil qui rangeait ses affaires. 
Elle s’assit dans sa voiture, s’apprêta à allumer le mode éco et réfléchit : il était 20.30. Il n’y avait plus personne sur la route. Elle alluma son auto-radio et Pantera rugit dans les hauts parleurs. Elle sortit rapidement de la ville, et activa le mode sport. Elle roula longtemps. Cassandre ne voulait pas rentrer chez elle. Elle ne voulait pas dormir. Elle ne voulait pas refaire ce rêve. Et puis demain, c'était samedi, pas de boulot. 
Elle s’arréta finalement au sommet d’une colline qui dominé la plaine. Elle sortit de sa voiture et respira l’air frais. Il fallait qu’elle rentre, la fatigue se faisait sentir. Mais au loin, des éclaires rouges zébrés le ciel. Sans un bruit, l’orage arrivait. Elle rentra chez elle, avec une conduite nerveuse.
Même rituel que tous les soirs. Sauf que ce soir, elle fuma plus, se déshabilla complètement pour sauter sur les riffs des groupes de punk allemand. Et finit par s’endormir dans son superbe canapé blanc.
Toujours la vasque. Toujours le miroir qui apparait. Mais cette fois-ci, elle voulut affronter son reflet. Dans ce miroir, elle était différente : sa nuque et les côtés de son crâne était rasé et tatoué. Elle portait de nombreux piercings sur le visage. Elle était nue, comme elle, pour une fois. Le reflet parla :
-”Alors ça y est, tu te decite à nouveau à m’affronter ?”
Cassandre ne répondit pas.
-”Tu sais que je suis la solution, j’ai toujours était la solution.”
-”Non. Certes, tu as était la solution quand j’étais une ado, tu étais la fille forte dont, j'avais besoin. Mais une fois qu’ils étaient morts, tu nous aurai juste détruits. J’ai été la solution. Je nous ai construit un empire de stabilité.”
-”Oui, et aujourd’hui ton empire est menacé.”
-”Oui, même si on est protégé.”
-”Avoue que le dernier manuscrit que tu as lu t’a remué.”
Silence.
-”Allez, avoue-le.”
-”Oui ! Mais le truc, c'est que cet auteur parle de son syndrome de l’imposteur, alors que nous on est deux dans un corps, une chimère.”
-”Justement, nos parents voulait nous donner des noms grecs avait qu’il ne découvrent qu’une des jumelles avait disparu durant la grossesse. S’il te plait, laisse-moi revenir.”
-”Non. J’ai trop peur que tu détruise tout ce que j’ai construit, que tu te venges de t’avoir volé ta vie.”
-”Arrête tes conneries, on est pas différentes l’une de l’autre. Crois-moi, tu aura besoin de moi plus vite que tu ne le pense.”
Elle fut réveillée par le soleil qui venait caresser son corps alanguis. Elle mit de longues minutes à émerger. Puis, elle se leva, et alla se préparer un café. D’habitude, le dimanche, elle s’occupait de préparer sa semaine. Mais son rêve continuait de la travailler. Némésis avait raison. Elle était une des dernières librairies indépendantes et puissantes de ce pays. Un magnat des autoroutes et des aéroports avait quasiment tout racheté en quelques années. Si elle ne se démarquait pas très vite, elle allait sombrer. Il lui fallait une solution. Elle se dirigea vers son placard, et enfila un caleçon et un t-shirt déformé d’un groupe de punk. Elle retourna rapidement à la cuisine pour attraper une nouvelle tasse de café, qu’elle posa sur la table du salon. Elle retourna à sa voiture pour attraper son sac, indifférente aux gravillons de son allée sous ses pieds nus. Elle était déterminée. Elle roula rapidement un joint, l’alluma et s’assit par terre. Elle posa son ordinateur sur la table basse, l’ouvrit et se regarda. Elle retira alors ces lentilles ; ces yeux, noires auparavant, était désormais vairons, un œil noisettes et un œil vert. 
-”Montre-moi de quoi t’es capable.”
Elle passa le reste de la journée à écrire différent texte, préparant divers dossiers contenant des synopsis et des premiers jets. Elle ne s’arréta d’écrire que pour fumer, boire plus de café, grignoter. Quand les étoiles commencèrent à briller, Cassandre se leva. 
-”C’est bon pour aujourd’hui. Demain, j'attaque ma partie du taff. Fais-moi confiance.”
La nuit se passa sans rêve ; et au réveil, Cassandre était incroyablement reposée. Mais sa détermination n’avais pas changé. Elle s’habilla différemment : un pantalon taille haute à pince, un crop top noir, et sa veste de tailleur. Ses tatouages se voyaient. Dans la salle de bain, elle décida d’attacher ses cheveux, ne laissant que quelques mèches encadrait son visages. Elle maquilla ses lêvres de rouge. Elle avisa ses lentilles, et décida de mettre des lunettes à la place. 
Elle ne prit pas le temps de prendre un petit déjeuner, attrapa son ordinateur et son sac, enfila ses chaussures et fila vers sa voiture. Elle démarra violemment, en faisant jaillir une gerbe de gravillons. Elle roula de manière agressive jusqu’à un coffee shop, où elle acheta trois café, trois muffins et reprit la route. En arrivant à son bureau, son employée d’accueil trottina jusqu’à elle :
“Madame, je suis désolé, mais je n’ai pas de nouvelles de votre assistante.”
Cassandre lui sourit, son plateau de cartons de café en mains.
-”C’est normal, elle à démissionné. Suivez-moi dans mon bureau.” L’employée la regarda avec des grands yeux et lui emboita le pas. Cassandre posa les cafés sur son bureau, et s’assit. Elle invita d’un geste de la main la jeune fille à faire de même. 
-”Comment vous appelez vous ?”
-”Hélène” répondit timidement la jeune fille en baissant les yeux.
-”Quel est votre parcours ?”
-”Bac littéraire, puis j’ai fait deux ans de licence de littérature anciennes et finalement un DUT en éditions. C’est mon premier boulot.”
-”Vous écrivez ?”
Hélène rougit.
-”Oui, mis sous un pseudonyme, j’écris des textes un peu particulier, je poste surtout sur Tumblr et Wattpad.”
-”Parfait.”
Hélène ouvrit grand les yeux.
-”Quel genre écrivez-vous ?”
Hélène vira au cramoisi.
-” De l’érotique, voir du porno”
-”C’est votre premier boulot, et votre première promotion ! Vous devenez mon assistante. On va changer de ligne éditorial pour pouvoir vaincre ce gros connard qui espère nous racheter et faire de Chimère une maison bien guindée. On va chercher des auteurs comme vous. Mettre en avant non seulement le sexe féministe, mais aussi la scène queer. J’ai une nouvelle autrice dans mon répertoire qui nous à déjà promis rois nouveaux ouvrages ; de la littérature prophétiques, de la littérature pour ados, très queer et un pamphlet au vitriol sur la société actuelle.”
-”Ah oui, c'est sûr que ça change.”
-”Oui, et j’ai besoin de vous. Non seulement, je veux lire ce que vous écrivez, mais j’aimerais que vous me prépariez une sélection de texte. On va offrir à toute cette marge d’auteur une chance d’etre publié et lu.”
-”Bien Madame.”
-”Appelle-moi Kassandre, on change tout, y comprit la dynamique interne. Ça va être un rude combat, mais j’ai envie de me battre pour quelque chose qui a du sens. Au fait, je t’ai pris un café”.
-”Merci Kassandre, je vous envoie le liens vers ma page et je me mets à chercher des auteurs, je vous transfère les appels comme avant ?”
-”Merde, j'avais oublié ça. Pour aujourd’hui oui, mais je vais embaucher une troisième personne, vos recommandations sont les bienvenues.”
Le reste de la journée fut chargée. Entre lecture de textes prometteurs, rédaction du nouveau contrat d’Hélène, mise en ligne de l’annonce de recrutement pour un.e secrétaire et un.e développeur.e web. Les deux femme se quittèrent tard. Quand Cassandre retourna dans la voiture, elle ouvrit le pare-soleil et se regarda dans le miroir. Némésis l’a regardé avec un sourire. Cassandre lui demanda :
-”ça te va comme projet ?”
-”Carrément, on va l’avoir notre vengeance sur ces culs serrés.”
Elle démarra sa voiture en trombe, du Judas Priest crachant par les haut-parleurs. 
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28.06.22 Message du jour
9 d’eau.
Faites vos jeux, rien ne va plus.
Je ressens de la douceur et de l’excitation en cette journée.
C’est un accomplissement qui se fait enfin.
Si tu as essayé mainte fois d’entrer par la grande porte dans un environnement assez prisé, c’est par la petite que tu y parviens et bien.
Il y a du soulagement.
Je vois une personne bien habillée qui sort d’une maison. Elle est timide et excitée à la fois de se montrer en public. C’est le grand saut, elle franchie le pas de la porte. Elle sourit, salue les gens présents. Elle les remercie pour leur soutien, elle a des gestes complices avec certain.e.s.
C’est une consécration. Un objectif atteint. Tu respires parce que tu en as bavé pour y arriver et tu l’as fait.
Sur cette journée ou aux alentours tu pourras espérer signer un contrat, voir la fin d’une période longue et fastidieuse administrative, vendre ou acquérir bien, rendre un logement, signer la fin d’une période d’essai, signer la fin d’un contrat à ton avantage lu autres.(Les tirages ne sont pas cadrés en 8h et 18h, ils reflètent les énergies de la période. La période est cependant courte, tout au plus une semaine autour du tirage.)
C’est la fin d’une période rude et intense qui t’as poussée dans tes retranchements comme pour tester ta ténacité. C’est chose faites. Tu signes, tu ne regrettes pas et vas de l’avant.
Belle et merveilleuse journée. 💛🎉✨
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homomenhommes · 24 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 160
Gang bang
J'ai réussi à organiser le gang bang de Jimmy et Ed. Pas facile de trouver un samedi qui convienne à 20 personnes à la fois, même si l'enjeu était tel qu'ils se sont tous arrangés pour venir.
Une nouvelle fois j'ai utilisé le gite (j'ai même eu cette fois ci une réduction de tarif). Marc étant en déplacement, j'ai embauché Samir et Ammed pour m'aider. Débauche prévue pour le samedi soir 21h, nous avons passée une partie de l'après midi et arranger le gite et à préparer nos deux centres d'intérêts. Epilés et rasés de près, lavés extérieurement comme intérieurement, nourris depuis trois repas de concentrés à digestibilité totale, ils étaient fin prêt à se faire 20 mecs. Une dernière préparation de leurs anus, graissage en profondeur (mes clients ne font pas moins de 23cm par 6) et pluggage en attendant. Mise en scène : les deux corps à abuser sont placés à 4 pattes chacun sur une table basse, tête bèche.
Le premiers clients arrivent des 9h - 10mn, impatient ! je prends les enveloppes et compte rapidement le montant avant de les laisser entrer dans la salle. En moins de 20 mn tout le monde est là. cela montre l'intérêt qu'ils portent à ma soirée. Ammed m'aide un moment pour la réception. Quand nous leur servons l'apéritif, ils ne tarissent pas d'éloges sur les deux minets que je leur ai trouvé. Alors qu'ils s'alcoolisent raisonnablement, leurs mains courent sur les deux corps nus qui les attendent. Je vois que Jimmy et Ed sont impatients que cela démarre vraiment, ils ondulent sous les caresses, Jimmy allant même jusqu'à sucer les doigts qui s'égarent sur sa bouche.
Un des blacks les mieux membrés entame les " hostilités ". il ouvre sa braguette devant Jimmy et sort un boa encore mou mais déjà d'une vingtaine de cm. Jimmy embouche le gland et aspire l'ensemble jusqu'aux couilles. Etonnement de l'aréopage. Un deuxième fait le coup à Ed. Même technique avec une réussite moins complète (ce n'est que sur le dos qu'il arrive à avaler les + de 23cm entiers). Tous se mettent à poil et les affaires commencent. Nous ne sommes pas trop de trois pour maitriser la masse des participants. Je ne sais si c'est à cause de la répétition, pour certains ils viennent pour la 4ème fois, ou à cause du physique juvénile des deux proies, mais toujours est il qu'ils auraient tendance à vouloir zapper les kpotes.
La préparation anale de l'après midi était bien nécessaire car les clients les ont bourrés direct. Ammed a eu juste le temps de re-graisser leurs anus avant la première sodomie. Vaillamment, mes deux ptits mecs ont encaissés comme des pro. Pour Jimmy je n'avais aucunes craintes, son corps est véritablement phénoménal et il s'ouvre à tout type de bite sans en garder de trace. Pour Ed je fais quand même plus attention et je me charge de le surveiller de plus près. En cours de gang bang, ils sont tous les deux pris devant et derrière en même temps et ressemblent à des agneaux sur une broche. Surtout que vu leurs gabarits, ils sont soulevés du plateau des tables et tenus en l'air uniquement sur les raideurs qui les perforent.
Après une heure et demi, la moitié des clients ont jutés. Rapide passage par la salle de bain pour nettoyer Jimmy et Ed pendant que les clients dévalisent le buffet, puis ils entament le round final. Ce court répit a permis à Jimmy et Ed de détendre certains muscles mis à mal par des positions trop longtemps figées.
Après une nouvelle demi heure de baise, j'entends mes clients demander des doubles sodo. Je calme le jeu et leur précise que ce n'était pas dans le contrat de base. Comme ils insistent, je leur propose qu'une paire seulement sera autorisé à pénétrer en double Jimmy, et pour décider qui, ce sera aux enchères et cash.
La moitié des clients me demande une demi heure, le temps d'aller chercher ce qu'il faut alors que l'autre moitié n'entrant pas dans le jeu termine leurs affaires et se barre.
Ils faudra presque une heure pour que les 10 partis ne reviennent. Nous avons utilisés l'interruption pour préparer Jimmy. Double sodo par des bites de 23 à 26 par 6 à 8 de diamètre (heureusement ovale) ça nécessite un minimum de travail préparatoire même pour Jimmy.
Je prend donc la précaution de préparer soigneusement son trou à la main. Graisse, poppers, graisse et bientôt je le fiste main allongée puis au poing. Jimmy encaisse bien et il s'ouvre sous mes doigts sans souffrir.
Quand tous sont revenus, ;j'entame la " vente ". Les enchères montent vite et il ne faut que 20mn pour décider qui aura le privilège de double sodomiser Jimmy. Ce sont deux blacks (que je sais, grâce à DGSE être parmi les plus riches) qui décrochent l'affaire à 5 fois la participation de base.
Billets en main, je les autorise à y aller. Le plus membré des deux se met sur le dos et appelle Jimmy qui vient le chevaucher et s'empaler sans difficultés sur le pieu hors norme. Quelques va et vient et il se couche sur le ventre pour faciliter l'accès du second. Ce dernier moins épais mais tout aussi long pointe son gland contre la rosette et profite d'une ré-intromission pour accompagner la queue déjà en place. Les autres clients autour n'en reviennent pas. Ed frissonne dans mes bras. Je le serre plus fort. Il me demande tout bas si je crois qu'il en serait capable un jour. Je lui dis que probablement s'il le voulait vraiment mais que chez lui cela risquerait d'être assez destructeur. Comme les autres il regarde et admire Jimmy. Ammed lui passe un peu de poppers sous les narines et il se déchaine. Les deux black en ont pour leur argent ! Jimmy saute sur les bites réunies comme si c'en était qu'une. Les mecs son tellement excité qu'il ne tiennent pas longtemps et jouissent dans leurs kpote au bout de 10 minutes à peine. Samir et Ammed sont obligés de porter Jimmy qui après une prestation pareille est totalement vidé de toute énergie. Les huit autres participant les retiennent juste le temps de juter sur Jimmy. Fin du gang bang, Les clients se rhabillent et partent en me remerciant de la soirée (pas obligatoire au prix que je leur facture !).
Le dernier parti, je rejoint mes comparses et félicite tout le monde. Jimmy est sous la douche entre les mains d'Ammed qui le lave de toutes le sperme qu'il a sur lui. Samir lui s'occupe d'Ed. Une fois les deux protagonistes propres, Ammed et Samir les massent jusqu'à ce qu'il s'endorment détendu complètement.
Nous les laissons dormir et remettons en place le gite. Sacs poubelles fermés et rangés, nous chargeons les corps endormis dans la 300C et rentrons à la maison.
Il est 5 heure du matin quand nous mettons Jimmy et Ed dans le même lit sans qu'ils ne se réveillent.
Dimanche 14h :
Mes deux petits se réveillent. Ils descendent à la cuisine les yeux encore gonflés de sommeil. Ils me tombent dans les bras et chacun me roule un pelle. Je bande, quels petits cons !
Ed a mal à la mâchoire mais pas au cul. Faut dire qu'avec tout ce qu'il a sucé, et la taille des engins, c'est pas étonnant. Jimmy, lui est nickel. Comme je les ai dans les bras collés l'un à l'autre, je descend mes mains dans leurs dos et pose un doigt sur leur anus. Celui de Jimmy est quasi comme neuf, celui d'Ed est ovale. Je lui dis qu'il va falloir toute la semaine prochaine faire ses exercices sur crayon de bois pour resserrer son sphincter. Je lui glisse par la même occasion qu'il sera de repos pendant toute la semaine suivante. Samir s'approche de nous et d'un doigt huileux, pénètre leurs anus. Il confirme mon diagnostique. En attendant Jimmy glisse à mes pieds pour résoudre mon " petit problème ". J'adore vraiment sa gorge. On y pénètre avec une facilité déconcertante et un plaisir à chaque fois au rendez vous. Au moment de juter, je sors et lui macule le visage de mon sperme.
Comme ils meurent de faim, nous improvisons un brunch.
Je reconduis Ed en début de soirée. Toujours pas de parents chez lui. Quand je leur demande (à Ed et Théo) comment cela marche, ils me répondent que c'est exceptionnel quand ils voient leurs parents plus de 4 fois la semaine et encore plus rarement le WE. Théo qui s'est installé dans mes bras dès la porte franchie, m'a dit qu'il avait bien réfléchi sur la nécessité que je lui disais de faire d'autres expériences avec d'autres mecs et qu'il était d'accord. J'appris la nouvelle avec plaisir. La suite m'étonna un peu plus état donné que la seule personne avec qui il voulait bien se partager était Marc ! A force d'avoir sa langue dans ma bouche, je bande ! Il me dit de le porter jusqu'à sa chambre. Ed nous accompagne, la sienne est contigüe. Il y jette son sac en passant devant et nous suit. J'ai à peine franchi la porte que Théo se déchaîne pour me mettre à poil. Ce n'est qu'une fois nu qu'il se jette à mes pieds et entame sa pipe. Il s'est encore amélioré par rapport à la dernière fois. Je pense à Marc, il n'aura aucun mal à faire pénétrer ses 22cm au fond de la gorge de Théo. En attendant c'est la mienne qui se fait serrer à chaque pénétration par le larynx de cette petite salope !
Ed est à coté de nous et se branle doucement. Je lui demande s'il n'en a pas eu assez pour le WE. Il me répond que son envie de baiser son frère est légèrement atténuée par le fait de me voir le faire. Lui aussi admire sa capacité à me manger entièrement. Lors d'une reprise de souffle, il questionne Théo qui lui monte le gode qu'il a acheté pour s'entrainer. Reprise de la fellation. Je suis maintenant bien raide et très proche de juter. Je repousse la tête de Théo. Il comprend de suite et me tourne le dos pour se placer à 4 pattes sur le bord de son lit. comme je traine à venir, il prend appui de ses épaules sur le matelas et de ses mains libérées, il écarte ses fesses pour me dévoiler un anus palpitant d'impatience. Je ne peux me retenir et plonge ma bite dedans. Ce ptit salaud s'était bien préparé et dès la " porte " franchie, je me suis retrouvé glissant entre des parois graissées juste comme il faut. Gémissements de plaisir de ma monture, je croche mes mains à ses hanches étroites et entame lentement un retrait. Je n peux m'empêcher de sortir totalement pour recommencer l'affaire. C'est trop bon et nous en profitons tous les deux. Je recommence encore une ou deux fois de plus puis me mets à le labourer sans déculer. Il ponctue chacun de mes coups de rein par une expiration très sonore. Ed se couche à coté de son frère et il le fixe dans les yeux. D'après ce qu'il me dira plus tard, il y a vu la montée irrépressible du plaisir et l'embrasement de l'orgasme. En attendant je besogne à provoquer ce dernier. Théo n'est pas en reste, quand j'arrive au fond et que mes couilles battent les siennes remontées contre sa bite, il ajoute un bon coup de rein pour être bien sûr qu'il ne reste pas un millimètre de ma bite hors de son propre corps.
Ce régime à bientôt raison de moi et collé contre son dos après l'avoir aplati sur le dessus de lit, je me vide en lui. So orgasme a rejoint le mien et il a giclé à son tour.
Ed qui se branlait à nos cotés s'est juste redressé pour juter sur les cheveux de Théo.
Je me retourne sur le dos emmenant Théo dans le mouvement. Il décule de ma bite en train de ramollir et se tourne pour se coucher sur mon ventre. Il love sa tête dans mon épaule et s'accroche à moi.
Il est grand temps qu'il se fasse baiser par un autre que moi (même si c'est Marc). Il faut absolument casser rapidement ce qu'il est en train de construire dans sa tête.
Je réfléchis qu'il faudra même mieux qu'il y ai au moins un autre mec de plus à le baiser. Il va falloir réfléchir sérieusement à qui !
JARDINIER
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juillet 2018     OZONE 6        LA PERIODE LUNATIQUE
bmpr : le keyboardiste, le chanteur
S. : le guitariste, le chanteur
dz : le percussionniste, le fondateur du groupe, le team player
valentin c. : le co-producteur
paul mauriat : le producteur
le principal réalisateur : frederic niobey
le cavalier de l’apocalypse : dominique blanc-franquard.    
dans la seconde moitié des années 80 (et encore un peu après le changement de millénaire),voici l’existence lunatique d’ozone6. Les membres du trio se retrouvent, seulement le temps de quelques courts week-ends (à tort, se considérant déjà comme un vieux groupe, alors qu’ils passaient juste de la trentaine à la quarantaine), pour plusieurs coups de bluff musicaux.
leur nonchalance obligée, le pathétisme du côté de leur label de production + l’indifférence puissante -laquelle se sera montrée continuelle- du show bizz « décideur » parisien : les condamnent quoiqu’ils proposent à : l’ombre.  
leur erreur, alors que leur producteur possède son propre studio : ne pas avoir enregistré des titres dont ils étaient sûrs de la force comme « traque la star », « testament vidéo » ou « pub  TV », leurs standards… (cela incompréhensible, de même, ils auraient pu se retourner sur les instrus de la 3ème époque…, au moins, de façon à les immortaliser sous une forme présentable… ; il aurait fallu accompagner chaque création de songs par celle d’un de leurs si originaux instrumentaux)
rentrée 1984.
l’intérêt porté régulièrement sur « tristan vox » leur donne l’idée de présenter le titre à un contact parisien de bmpr, au manager du chef d’orchestre paul mauriat,  une star, au japon notamment, et star en tant qu’une des stars-chefs d’orchestre spécialisés en reprises de tubes français et internationaux, ce type (méprisé comme personne en france) a sa résidence principale et ses bureaux à neuilly
voir : ozone et paul mauriat / ozone3
quelques années passèrent donc, et bmpr juge : le temps est venu de faire écouter « tristan vox » à  valentin. Cette fois, le titre auditionné est pris au sérieux à Neuilly, et monopolisé par V. qui selon toute vraisemblance a des envies de production !
en fait c’est avec son patron paul mauriat qu’il met en place un label (d’ailleurs P M s’est de temps en temps associé à la carrière d’autres artistes). Il y aura là un problème : ozone pense être sous contrat avec le seul Valentin, même si S. répète que forcement le label est sans doute largement financé par mauriat.  Et ce n’est qu’en 2013, qu’à bmpr, l’épouse de feu valentin révèlera : le label appartenait aussi au chef
d’orchestre. Le problème, oui, aura été : la situation fut faussée par cette omission…, et bmpr le comprit trop tard,  il avait été assez  dupé par ce manque d’information, ses démarches auprès du label auraient été sans nul doute un peu différentes s’il avait donc su : quand il rencontrait mauriat, il rencontrait son patron….
(mauriat offrait en fait ce label à valentin, pour que son secrétaire particulier puisse s’épanouir, ayant conscience de sa « difficulté » de devoir ne s’occuper que de mauriat et sa musique si spéciale)
preuve qu’il s’agit d’un intérêt conséquent, un contrat est signé en septembre 84 ; val. a écouté de nombreuses maquettes, a constaté le potentiel du groupe / V.  a forcément aussi été influencé par la story que déjà, d’entrée de jeu, bmpr  n’a pas manqué de servir, en bon politicien : faisant la liste des différentes personnes qui se sont montrées intéressées par « tristan » etc., etc.   [a noter : le label de V. a déjà ou aura nom tristar music, on n’était pas loin de tristan VOX…].
en fait, bmpr, sans nul doute, par lassitude n’a pas souhaité continuer à prospecter du côté des « grandes marques », du show bizz, alors même pourtant qu’il avait un titre qui semblait bien accrocher, il était… fatigué de sonner aux portes, de faire antichambre, car ne l’oublions pas, nous avons là une espèce de dandy, & combien ! son dandysme, son côté planant, sa sortie voulue, inhérente à lui, du monde réel, en aura pris un coup en ses multiples passages à paris-show-bizz, quelle perte d’âme…, & en effet, avec le label tristar music, le dandysme pouvait reprendre ses droits, aller du côté de neuilly, voilà qui s’avérait tout à fait raccord avec sa persona…
en octobre 84 les titres « tristan vOX» , « aminagonie » font l’objet d’un enregistrement au studio des dames ; c’est là : ozone parvenant en haut de son mont abu, même si un rien tardivement, & en effet, ils pourront connaitre l’ouverture de certains autres temples sacrés, grands studios ainsi entr’ouverts fugitivement !
les 2 titres élaborés par des musiciens pros qui gravitent autour de mauriat, aussi invités sur des productions régulières de valentin ; valentin donne certaines recommandations / c’est frederic niobey, dans le team mauriat (après concours, un ex chef d’orchestre de claude borelli qui a eu un tube instru énorme) depuis 1978, qui se voit choisi pour réaliser, réarranger « tristan vox », déjà arrangé par le compositeur groupe ; une ligne de batterie sera programmée sur le célèbre expandeur linn, au gros son réputé, et, ce qu’ils ne sauront également que 30 ans + tard :  roland romanelli, sans doute déjà ayant collaboré avec mauriat, sera choisi par niobey (et dans des circonstance d’ailleurs complexes, qui ne peuvent être racontées) pour poser les diverses pistes de clavier écrites, cela enregistré au studio des dames par dominic poncet  / tout s’expliquait : ce musicien confirmé ! donna (avec le réarrangeur) un son si intéressant aux 2 titres alors enregistrés, un  type, plutôt culte…, puisque il fut un des membre d’un célèbre groupe de synthépop, « space », plébiscité en russie & sans doute ailleurs /  et voici à travers lui la grande prêtresse barbara approchée… par le groupe ;  « tristan » joué par romanelli qui avait si souvent accompagné barbara chantant  « l’aigle noir »…, (chanson très prisée par bmpr, même s’il la jugeait mal faite, celle-ci aurait gagné selon lui à être + courte, ultra courte comme un moment
onirique ultra fugitif  au lieu  qu’il y avait cette espèce de répétition…), niobey précise que romanelli a trouvé fabuleux « tristan », ce que niobey lui faisait jouer
S. et bmpr  invités seulement  à poser « les voix ». Une façon de faire voulue par V. ; acceptée, le trio y voit l’occasion d’entendre… comment 2 de ses créations vont être ainsi « bien » interprétées par des éléments étrangers pros, le trio en a tellement marre de son petit son ; cette façon de procéder leur permet de redécouvrir ces chansons si souvent répétées déjà, et cela ne peut être que positif pour leur interprétation à venir devant les micros.
la cassette play-back donnée à eux bientôt, -pour qu’ils répètent les parties à chanter bien sûr- les séduit ; « tristan » ? magistral avec une couleur due aux synthés derniers cris (un double DX7 roland), couleur tout à fait enthousiasmante, avec des réminiscences de xylophones assez inédites ; « aminagonie » a le gros son, a été rockisée tout en restant bien sûr dans le registre new wave, son « allant » général  incontestable, s’approchant du genre dance (ils ne s’aperçoivent même pas que leur intro à eux : bien + forte, s’agissant du feeling, mais n’allons pas trop vite..).
le soir du couchage des voix et du mix arrive vite, c’est de bonne augure ; ils doivent retrouver l’ingénieur du son dominique poncet au restaurant classe non loin du studio (la cantine de bien des clients du studio) pour déjeuner sur la cassette de V., lequel, homme occupé, les y rejoindra à l’heure où le studio se verra ouvert à eux (poncet leur dit-il alors qu’il a notamment assisté à l’élaboration des 1ers titres d’aphrodite's childs ? Ou qu’il a participé aussi à l’enregistrement de « love is blue », le tube mondial de mauriat ? sans nul doute).
cependant un peu après,  cela se passe de façon peu satisfaisante, en ce sens : V. leur demande surtout de mieux prononcer, et cela finit par affecter le feeling lorsqu’une partie vocale est ainsi rabâchée avec « la pression », c’est le cas pour les couplets de « tristan », bmpr assez déstabilisé, et il se reconnaitra mal dans ce qui reste sur la bande : certes son texte, mieux prononcé ainsi en effet, mais lui semblant à présent « étranger », maniéré.
en fait une 1ère erreur magistrale commise. / b. regrettera bien + tard, de ne pas avoir imposé un passage climax parlé dès le début du titre comme cela s’avérait le cas auparavant, sur le mode talk over,  il comptait « parler » sur le 1er couplet, or  V. l’a convaincu, hélas, de chanter ; cette sorte de préambule, auparavant, créait une évidente dramaturgie, laquelle profitait ensuite comme subliminalement à tout le morceau ; mieux encore : il aurait fallu s’en tenir à ce qu’ils avaient élaboré avec un des « frères pascal » : une boite à rythme  déclenchée, puis la voix arrivait sur une nappe d’orgue un peu sinistre (cela, comme emprunté à quelque rite oublié, mais redevenant impératif), cela faisait sortir un peu du cadre couplet refrain du moins dans la 1ère partie de la chanson, mais voilà V. n’a pas retenu ce qui était pourtant souverain, V a opté pour une bête entrée directe dans le couplet, quel déficit de feeling ! (on parle ici de la version clip, et non de la version revampée) ! Aussi, en +, un accompagnement  de synthé qui en fait   HARMONISAIT, rendait  beau le couplet, et en quelque sort plaçait « t v » dans son époque sytnthé-pop, a été oublié (V. n’avait donc pas demandé à niobey de faire très attention à cet arrangement !, certes conservé mais qui joué par le groupe, avait un son synthé très identifié, et bmpr sur le moment n’a pas compris combien sans cette couleur particulière il ferait défaut).
bien + tard le compositeur comprendra : son couplet chanté fonctionnait mal, alors qu’en fait celui-ci devait, pouvait, déjà casser la baraque avec cette bribe de synthé (ce qui se passait  donc pour l’auditeur à l’écoute de la toute 1ère et modeste
maquette !, cette force avait été constatée lors des écoutes dans les maisons de disque et notamment par lepage qui décida aussitôt de signer donc le groupe)
ozone6 a réussi cependant à imposer des samples de « bruits radio » en guise de pré-intro, et cela, par contre, a tout de suite sonné magique, dans le studio, lorsque V. lui-même a « tombé », du 1er coup, sur ce qu’il fallait : à peine avait-il manipulé le tuner (de salon donc) apporté par lui : cela a été radicalement ad hoc, un ready-made superlatif naissait !, comme si le titre allait courir au succès avec de telles fées hertziennes qui se convoquaient là (une voix de speaker a été ajoutée aussi dans un second temps, dans la dernière partie au mixage),
(à noter : bmpr lorsqu’il revampera le titre à partir de 2016, redistribuera différemment ces samples, les rendant encore tellement + cruciaux, cette fois, loin de l’appréciation spontanée vue plus haut, raccord avec la joie de se retrouver dans un grand studio, cette fois : ces samples existeront vraiment, fortement, nourriront « tristan vox », comme il le fallait, comme il le méritait ! et bmpr rajoutera d’autres samples dans le passage musical, ceux-là, antiques, en les intercalant avec des extraits musicaux de provenance diverses mais tous composés par lui aussi, le passage musical lui aussi donne enfin ses caractéristiques de tube potentiel au tube
[le commentaire de bmpr : « enfant, ado, je n’avais jamais osé espéré faire un « tube pop », de belle envergure (je ne parle pas là d’un truc genre « je ne t’aime plus » de je ne sais plus qui, manu chao, là c’est la honte, mais je pense à ce titre car il utilise aussi la boite à rythme)  et pourtant donc je l’ai eu ! avec « tristan » !, enregistré dans un des plus grands studios de paris, le studio fréquenté par les aphrodite's childs, mes dieux quand j’avais 10 ans, et… pourtant il n’aura pas été homologué…, curieuse situation donc, pouvoir, avoir contre toute attente la capacité de, confectionner le tube = inespéré, & le tube n’a pas existé… » = malédiction]
les 3 ozone, alors dans un cas de figure particulier ; ils ont été snobés, -comme ils le souhaitaient d’ailleurs !-, par le son général des 2 titres,  or cet enchantement leur a été assez fatal ; il aurait fallu assez vite penser : une « expansion » de production s’imposait notamment, crucialement, de « tristan vox », une phase2 devait, au moins suivre une phase1.
« aminagonie ».
la trouvaille des pros de l’équipe mauriat, aura été d’avoir fait un effet de guitare hard, en fait surtout appréciable lorsque l’on écoute le titre très fort, effet cependant moins satisfaisant forcément lors d’une écoute normale ; effet surtout trop spectaculaire pour ne pas cacher le manque de réflexion global qui aurait été nécessaire sur cette song, (absence de gimmick notamment, par exemple), on a été trop sur une ligne claire, et là encore elle a été trop facilement acceptée, homologuée par le groupe, alors que le titre demandait lui aussi à être customisé, mais c’était là une autre démarche, risquée aussi, le réarrangeur niobey livrait aussi une très belle réalisation, qui donc dans un 1er temps apparue à tous : idéale / oui mais, ozone était un groupe, on ne met jamais impunément cela sous le boisseau
bmpr a monté une version composite d’ « aminagonie », elle peut être appréciée même si les paroles en anglais ont un côté assez too much (en tout cas acceptables seulement dans le cadre d’une maquette).
« tristan »
FATAL  s’agissant de « tristan V » : par V. (et puis par ozone, les trois non assez attentifs) car ont été oubliés : 2 autres points forts de la maquette dite des « frères pascal », en plus de l’intro enfin bien définie avec le casio (que bmpr avait bien pris soin d’emmener à Paris pour cette maquette), la formidable ligne de basse était jouée au synthé sur les refrains, et un arrangement guitare joué par S. finalisait la beauté harmonique de « tristan », en ayant le mérite de le transcender, de créer son au-delà, cela figurant une mélodie tubesque, portée par une ligne de synthé royale ! (c’est en interprétant les 2 songs en concert ensuite, que ozone put dévoiler mieux leur potentiel, lorsque celles-ci jouées à 2 claviers, lorsqu’un peu d’expérience les amenait haut s’agissant du feeling).  
heureusement, « tristan vox » et « aminagonie » : tellement forts qu’ils survivent au peu qu’a prémédité V. s’agissant de la production  
oui, il aurait fallu s’en apercevoir + vite ! ; au niveau des arrangements, peu avait été fourni du côté de la prod, et les pros n’ont même pas constaté le manque d’un pont sur tristan….
ozone… n’est pas à incriminer, le trio restait anesthésié par sa quête de producteur, laquelle avait été si lancinante, et fut idéalisé de ce fait : le savoir-faire de V., qui n’en n’avait  aucun en la matière et n’avait pourtant pas compris, il fallait sous-traiter, confier la réflexion sur « tristan » à un arrangeur surdoué, inspiré, puisqu’il méprisait en la matière les idées d’ozone
« tristan vox » : certes la rythmique avait une belle classe, avait une fluidité belle, et le climat général tenait la route ; mais il manquait, oui, un pont musical psyché, quelque chose de complexe (que bmpr élaborera bien sûr lorsqu’il s’agira de revamper sa composition), or ces pros, eux, avaient le recul nécessaire pour l’enregistrement 84! ; très heureusement le riff de guitare (dû à gérard niobey) serait considéré sans contestation comme tout à fait exceptionnel (et même « mythique » selon le compositeur) mais le titre pêchait par son manque général de sophistication  
formelle.
la faute à bmpr : dès le départ !, à l’élaboration du morceau,  il s’était laissé un peu hypnotiser lui-même par la force évidente de sa création, avait fourni le minimum syndical !!! (d’une façon + générale, en passant à la chanson, un comble : bmpr avait perdu le gout d’élaborer ce genre de passage, alors qu’il s’était montré si fort dans son passé récent pour le pur instrumental, heureusement, sur ce plan, « edition spéciale », sorti aussi sur disque, avait eu son pont ad hoc et détonnant, ).
ce passage ultra sophistiqué manque dans « tristan », il aurait pu être réalisé sous forme de chœurs (d’ailleurs bmpr prémédite un renforcement de chœurs aussi sur son dernière intervention chant), un bref passage mais  faisant dans le sublime ;  
(il aurait fallu se réunir, étudier « rain and tears » ou d’autres tubes des aphrodite's childs, pour comprendre : même avec la voix principale sublime et des volutes de clavecin, ces titres n’auraient pas pu « fonctionner » ; font le sublime : les chœurs divins + tant d’autres trouvailles de production, dues à une réflexion préliminaire intense des musiciens et de l’équipe qui les entourait à un moment ou à un autre).
ainsi fut minimisée cette grande chanson
au sortir du studio des dames, le mix fini, tout le monde rivalisait d’enthousiasme ! valentin annonça (et on le voyait comme déjà grand-ouvrant les portails des maisons de disques), qu’il n’allait pas être bien difficile d’en trouver une pour distribuer un tel single, et personne ne le prit pour un vantard, c’était l’évidence !
ozone ne sut rien en fait de ses efforts dans le cadre de cette recherche, mais personne à phonogram ou ailleurs ne fut donc accroché ! Il aurait fallu sortir quelques milliers de 45  tours et commencer doucement à faire des télés ! Telle était la seule solution, imposer « tristan » et « aminagonie ». ozone ne le comprend pas alors : il leur faudrait faire des télés !
V. sut, quelques mois + tard, seulement sauver la face en suscitant une sortie au canada. Même erreur encore à ce stade : avec un disque en distribution, le groupe aurait dû en toute logique aller défendre sur les plateaux de télé de Montréal le 45 tours et le maxi sortis, d’autant + que de leur propre initiative ils avaient, à FR3 Nancy, fait un clip au style kitsch affirmé
(et en fait « remarquable » à cause de cela / à noter : des images de courses hippiques en fond, lesquelles se justifient par ce qui est dit dans la chanson, cela fut possible car s. était allé la veille à FR3 pour essayer d’obtenir un fond adéquat et amena un story-board…, lequel sous forme de 3 feuilles volantes, vola dans les airs une fois récupérées par son interlocuteur, sans doute le réalisateur, mais donc l’idée des images fut travaillée / le trio a été habillé par un magasin branché de leur ville / bmpr a eu l’idée de montrer les cameramen, ce qu’ils mirent un moment à
« imprimer », l’animateur de l’émission faisant vite remarquer que cela était plutôt sympa venant de la part d’ozone, et bmpr avait prémédité aussi les « barres » sur les yeux, et avait invité valérie, une des plus jolies filles de la ville, de faire une mini apparition, ce qu’elle a eu la gentillesse d’accepter aussitôt), une carte de visite super que ce clip !
leur look alors bien pensé ; et il s’agissait de 2 chansons pouvant être un peu « dramatiquement » performées. Personne n’a suggéré cette option : partir à montréal.., ce qui parait incroyable !, et le groupe travaillait déjà sur d’autres titres, en pleine inconscience de ce qui aurait dû se passer à ce moment-là, profiter de l’entrée dans des charts….  « tristan » c’était déjà -pour le trio- de l’histoire ancienne, d’autant + que « tristan vox » était mis en face b. ! Ici, il faut véritablement voir leur adhésion  au  suicide club confirmée…
[ironie du sort rétrospective : en fait la chanson de d. mcwilliams dont bmpr s’était inspiré pour « t v » avait été elle-même dès le départ lors de sa sortie   reléguée sur une face b !!!!! (peut-être pour les pressages suivants il en serait  autre) ; en tout cas la preuve que le label de DMW ne se rendait pas compte du potentiel  de  cette chanson ! D’ailleurs  en Angleterre, cela ne fut pas un tube (cela le sera à la longue), et cette chanson sur un SDF….., et d’ailleurs le refrain au « mégaphone », cela avait déjà été entendu (au fait qui est vraiment le compositeur  de la « montée » de violons ? l’arrangeur ?  sans doute, mike leander). Surtout, la BBC ne fut pas pressée de pousser « D of P.S. » car le label appartenait à un pionnier des radios pirates d’alors (mais lorsqu’il y eut tube en France on ne sait si la BBC se « reprit ») ! A paris, gérard klein (ou quelqu’un de son équipe) aurait été celui qui avait eu la curiosité de retourner le petit 45 tours, cela se passait à radio luxembourg et donc quelqu’un fut enfin conscient de la magie de cette  ballade rapide].  
au canada, « aminagonie » choisie pour figurer en face A. « aminagonie » car une plage plutôt « dance », et  il s’agissait de vendre aussi un maxi, il était donc de bonne politique donc de choisir une chanson pouvant être lancée par les boites. Du « un peu risqué » cependant : le texte, un mix de français-angliche et l’on sait, dans ce grand pays, on est soit pour une langue ou pour une autre mais non pour les 2 en même temps (mais était-ce vu par les canadiens comme justement intéressant car un peu provocatif ?, aux canadiens de nous le dire)
« aminagonie » fit + qu’une apparition dans les charts,  repérée par plusieurs grands animateurs radio canadiens  (dont le + important ! dit-on au groupe) mais, sans promo spéciale, incarnée, sans venue de ozone en ces terres, cette installation si bienvenue fut sans lendemain. Une catastrophe de +, cr bmpr va bientôt prendre sa décision, quitter pont-à-mousson pour paris…, et cela sera forcément quitter largement la
musique..
« tristan vox», est écoutable en 2 versions reloadées, l’une, en version long play1, l’autre en version long play 2 sous l’appellation définitive : le hit français maudit des années 80 (à noter : 2 passages climax différents dans le cadre du long « bridge », fait de samples, d’origine (par valentin), des samples « rétros » ajoutés par bmpr, et des bribes musicales made in ozone (toutes composées par bmpr), les passages de grandes orgues, composées et interprétées par bmpr, sur l’orgue (poussif) de l’église saint laurent de pont-à-mousson (certains jeux, principaux, non accessibles car produisant des dysfonctionnement)
bien sûr, pour les reloading bmpr a eu l’idée incroyable mais justifiée d’imaginer une progression : déjà le groupe existe avec une maquette au mauvais son, et puis arrive la montée en puissance grâce au di ji tristan vox, à partir du deuxième couplet le son est celui d’un groupe professionnel (une feinte aussi : car, comme cela a été vu plus haut valentin avait imposé à bmpr : un couplet conventionnel sans talk over, ce qui était une aberration), en tout cas le sens mais aussi la diversité y ont gagné, l’originalité aussi, car est-ce là une première en pop ?, possible  
LES AUTRES TITRES DE LA PERIODE LUNATIQUE
les titres de cette période apparaissent ici encore dans le désordre, le groupe n’ayant plus un souvenir précis de la plupart des dates de sessions musicales.
une ou deux fois par an, lors d’un bref passage en lorraine de bmpr : le trio se réunit chez D., dans son village, au cœur de la magnifique Petite Suisse Lorraine, donc juste le temps de quelques heures prises à un court week-end (D. compliquera les choses, en se ne rendant plus toujours disponible, impliqué surtout dans son aide à une petite troupe de théâtre amateur ou bien se réservant à d’autres amis, semblant prêt à se convertir à l’Islam, à moins que cela soit déjà fait entendait-on alors).
le groupe peut quand même décider alors de revisiter un ancien morceau. Mais… souvent une quasi  nouvelle création en ressort, donc : processus compliqué. Le + souvent, bmpr revient avec une proposition précise.
Valentin, visité ensuite à Neuilly par bmpr avec la pre-maquette, accepte ou non de développer l’ébauche qu’il découvre ainsi quelques jours + tard (ou quelques semaines après, s’il fait ses affaires au japon) ; ainsi, se concrétisait une session d’enregistrement, bientôt prévue dans le studio 24 pistes rue milton à paris.
A savoir : V. au japon manageait paul mauriat qui bénéficiait d’une notoriété certaine ! (surtout depuis que V. l’avait fait figurer dans un spot télé pour on ne sait quel produit, ce qui avait relancé cette notoriété), y sortant régulièrement là (mais aussi dans le monde entier) des dizaines disques (malheureusement, depuis longtemps, qui ont de moins en moins la saveur indiscutable constatée durant sa 1ère  
décennie de succès) / P. M. fait salles combles lors de grande tournées en Asie (celles-ci n’ont rien à envier à celles des rock stars).
ces voyages de préparatifs ou d’accompagnement des tournées ont fait perdre un temps considérable au groupe, ont empêché souvent Valentin d’assumer correctement son rôle de producteur et ses engagements ; souvent, oui, après un de ces séjours, le groupe : bien obligé de considérer comme parfaitement oublié ce qui était en cours auparavant ; absent longuement, régulièrement, Valentin pouvait ainsi échapper aux exigences d’ozone6 ;  à son retour, dans les deux camps il était question de passer à… autre chose.
une nouveauté aurait pu être énorme pour le groupe : V. possédait donc à présent son studio ! Dans un lieu bien situé, une rue tranquille, un peu à l’écart, mais rejointe grâce à diverses lignes de métro, le quartier pigalle non loin avec tous ses magasins de musique ; Valentin a acheté, dans la seconde partie d’un immeuble, au milieu de la rue, un rez-de-chaussée, qu’il a bien aménagé ; on pénètre déjà dans un assez grand bureau, puis on découvre un petit studio d’enregistrement, avec un équipement + que correct (au 1er étage acquis sans nulle doute aussi par lui, sa sœur habitait, cela permettant d’éviter les voisins directs).
bien sûr… : moins amusant que d’aller à neuilly, véritable terre exotique pour qui n’y réside pas (et c’était excessivement classe d’avoir alors un tel point de chute dans le quartier le + chicos  de la capitale, mais en tout cas bmpr, lui, continuerait de se rendre là-bas de temps à autre!)  
“misses X”.
une musique de S.,  avec des paroles de bmpr / Le titre, maquetté en lorraine par S. et D., aussitôt jugé formidable par bmpr à Paris. Bmpr écrit donc des lyrics à la hauteur.
une autre grande proposition du groupe. Cette chanson apparut vite comme prometteuse une fois les parties vocales couchées sur un enregistrement (d’après la maquette) élaboré aussi sans doute au studio des dames par les musiciens attachés à l’atelier de création de mauriat et valentin.
une chanson tendance ! Les refrains en anglais, mais, cette utilisation de l’anglais plutôt à entendre comme « gimmick » dans le contexte de cette chanson et son titre.
V. enthousiaste ! Un mix dans le prestigieux studio du palais des congrès est réalisé, soit, dans les hauteurs du building surmontant le palais  (où V. avait sans doute un « crédit » du fait de séances avec paul mauriat, gros client des studios parisiens)
[le studio « de la grande armée » : par exemple utilisé par Duran Duran ; le soir du mix l’ingénieur du son du studio ce soir-là raconte : pour l’enregistrement d’un LP (bien connu) ce groupe avait loué le studio pendant 6 mois, l’avait fait… redécorer -complétement- selon ses gouts et sur leur cassette, cela pour baigner dans une situation d’inspiration optimale, et déco notamment confiée à un grapheur, un artiste new-yorkais, ainsi déplacé. Quant à leur producteur -un des membres de « Chic » comme l’on sait- celui-ci avait préféré acheter un pied à terre à Paris plutôt que
d’aller à l’hôtel le temps des séances, c’était… + raisonnable ; tout cela en dit long sur les budgets d’élaboration de la rock musique anglo-saxonne ; on sait aujourd’hui, autre exemple, et cela n’est pas de l’ordre de la rumeur : pour tel LP solo de donald fagen, et alors plutôt même dans sa période de survie artistique : 1 million de dollars mis sur la table pour la partie musiciens et son !!!!!!]
« misses X » 2 fois spectaculaire car le couplet balance un texte assez surprenant, excessivement séduisant. Le refrain ? Un impérial S. joue à la diva (ce qui l’amuse énormément). Là encore, le groupe (bien obligé, car non responsable des arrangements (de S) reproduits là) et le producteur se satisfont trop vite de la force évidente des thèmes et des paroles. Rien à signaler du côté donc de l’emballage, c’était bien, mais qu’aucunes parties accessoires -mais à réussir car c’est ce qui signe un tube-, qu’aucun gimmick ne viennent rehausser ! L’apport d’une accroche sonore « dance » particulière semble ne même pas avoir été évoquée, or le son d’ensemble ne suffisait pas….  En +, et là, c’est vraiment la honte : le passage musical à nouveau oublié  par les musicmakers de neuilly ! Il résultera de cette impéritie une fois de + de cruelles désillusions lorsqu’il apparait : Valentin ne réussit pas à faire sortir ce titre. Un titre certes insortable dans l’état, mais une maison de disques pouvait dire : on revampe tout ça et c’est gagné !
justement, bmpr, qui croit à ce titre,  propose qu’il soit refait par un arrangeur qui dit avoir été de ceux ayant élaboré le tube d’axel bauer, « cargo de nuit » ; un ami musicien  lui a vanté cet arrangeur prétendument doué et le petit studio performant où il a sa base. Valentin se laisse convaincre, en grand seigneur. Ozone accompagne 2 ou 3 fois l’arrangeur miracle en studio, qui en fait rame pour définir une intro et une rythmique qui serait donc irrésistiblement dance, et cela prend un temps infini… ; en fait l’arrangeur en question ne possède pas la moindre idée pouvant faire avancer considérablement le titre, ou du moins : ce qui sort des baffles sera non considéré comme tel (et peut être à tort, mais ce réalisateur en fait se montrait de moins en moins sûr de lui, de + en + soucieux !), et il faut bientôt arrêter l’opération.
Valentin rémunère quand même le gars. Reste une intro pas mal ! de toute cette aventure, cette intro après coup, apparaissant, quand même, comme ce qui aurait pu être un bon… début.  A nouveau le groupe passe à autre chose et oublie l’outrageuse « misses X ».  
 TITRES AYANT ETE maquettés AU STUDIO MILTON  PARIS
« DANCING ON THE MOON (stop télévision)»
élaboration de ce titre au début de 1989, inspiré à Sylvanos par son titre « ramseyer » (devenu « The Cyborgs live playing rock’n’roll » sur soundcloud, sa version2), et d’après une rude premaquette réalisée en lorraine par s. et d., et qui pourtant va séduire v., et c’était le moment d’ouvrir le studio à ozone
cette fois, un nouveau personnage prend en charge l’enregistrement et certains arrangements, un  batteur, et proche, de mauriat. Valentin tente donc l’expérience de le mêler au groupe (à noter aussi : son père : le joueur de saxo glorieux du « grand bleu », lequel passa au studio, pensant peut-être que le groupe ne résisterait pas à la tentation de le faire jouer sur le titre en chantier, mais aucune demande d’ozone6 n’alla dans ce sens).
on se situe alors en pleine folie new beat, la rythmique élaborée en tient compte ; quant au climat général, le titre reste modernpop.
le « réalisateur » : assez vite sur la longueur d’onde du groupe ; il adore l’idée de sampler « shaft », idée de bmpr, une de ses vieilles obsessions, & l’autre apport de bmpr passe par des arrangements pour ramseyer, & qui resteront dans ce qui devient une chanson) ; bien vite éclate un conflit entre bmpr et lui pour une ou des raisons oubliées aujourd’hui (une mauvaise humeur générale s’était installée, le système d’enregistrement via l’informatique tout nouveau, une 1ère pour le studio, ne fonctionnait pas ou bien le réalisateur ne savait pas le faire fonctionner, ce qui en tout cas causait de longues heures d’attente pour le groupe et donc une cogitation âpre pour le réalisateur à la table de mixage & son frère, ce dernier s’occupait de faire tourner ce logiciel d’enregistrement, le frère était, lui un bassiste professionnel, notamment celui de jane manson, et cette attente alors que les 3 ozone étaient dans leur dos, impatients !), sans doute bmpr n’était pas d’accord avec certaines options, dont celle d’un sample tiré d’un LP live de weather report, et au bout de 3 critiques, le réalisateur s’est mis dans une rage folle, inédite, en principe pas possible, dans un studio où le réalisateur est au service de l’artiste ; bmpr s’est vu carrément viré du studio, le keum pétant les plombs, bmpr voyant là un état skysoprhénique en rien relié à ce qui était le freinage par bmpr (en fait, bmpr, ne se souvient pas pourquoi un seul titre était enregistré là !, alors que son slow futuriste « 2001 » aurait très bien pu être réalisé en cette session, pourquoi ce ne fut pas le cas ?, d’autant que cela aurait été tellement raccord / bmpr : « ce fut un accident industriel pour le groupe,  « 2001 » était tellement smart ! »), et a finalement accepté de partir, après tout c’était une compo de s. et s et d. comprirent qu’il ne fallait pas prendre le parti de bmpr sinon, le réalisateur partait et la session était finie, or tout le monde sent : le titre qui s’enregistre est plein de promesse.
Résultat : la plage devient très « ligne claire », et ne débouche sur rien, ça passe trop comme une lettre à la poste, et finalement la ligne de guitare qui a été empruntée au titre de départ, et en tant que principal arrangement (au piano, et avec un son rappelant un groupe suisse pop, Double ?), ne colle pas trop avec la nouvelle orientation / sans doute bmpr aurait-il constaté tout cela, cette absence de « fin », cet ennui, s’il était resté ?
en tout cas, bmpr en 2019 bien sûr, quand il est temps de mettre cet hymne… à la Nasa (pour résumer, car c’est un texte succinct très malin de s., et d’ailleurs interprété presque à la perfection, avec une distanciation délicate, c’est aussi une supplique moderne, c’est aussi un protest song !), sur soundcloud il décide de le customiser avec la séquence musicale la + important de tous les Temps « A S Z », arrangée par lui, et amenée par un remix avec sample spatiaux très 1er degré, et même une ligne de theremine, dont on se demande bien comment bmpr s’est débrouillé pour la jouer, en tout cas, placée génialement !, ainsi à présent « dancing » peut-être écouté !, peut être  écouté passionnément en sa version complète en ce mix 2019, bmpr montrant là, une capacité à amener à sauver une chanson, et là c’est + que du sauvetage, bmpr et ses claviers non identifiés font sonner au point que cela donne un côté
« corporate », on dirait que c’est la nasa qui a fabriqué cet hommage ambigu à l’aventure d’armstrong et ses amis
ainsi, ce qui se passe, le titre s’alanguit, comme si l’auditeur était invité à être dans la lune, et soudain on comprend, quelque chose se passe, et cela va être prodigieux, le premier homme va marcher sur la Lune, le premier homme marche sur la Lune
ce qui sort de cette session : jugée de très bon niveau par V., qui aussitôt prévoit le mixage de « dancin’ » dans un grand studio ; ozone propose Le Continental, celui où ils avaient failli enregistrer « tristan vox » quelques années + tôt rue des martyrs, il porte un autre nom, Musica (avec une autre équipe de direction), le lieu n’a guère changé. Une belle revanche que de repasser par là, et cette fois, l’excellent et sympa christophe dubois tient les manettes.
le titre n’accroche pas dans les maisons de disques (car chanté en anglais par S ?, quelque chose, encore à cette époque, considéré comme bizarroïde quand il s’agissait de petits français ; et en une écoute (toujours le même problème avec les directeurs artistiques) : aux oreilles des décideurs du show-bizz le titre semble sans séduction particulière..., ce qui apparait comme assez désespérant tant ce titre a été (cette fois) sophistiqué…, son habillage en les shoots de cuivre témoigne du talent et les « ruptures » en douceur de l’arrangeur-réalisateur
« dancin’ » a + que des qualités, se situe  bien dans son époque, se rattachant donc à la vague qui triomphe, sans la plagier (il ne s’agissait pas de coller trop à celle-ci non plus). Une vague qui mérite qu’on la suive (des centaines de milliers de  disques new beat s’avèrent alors dispersés, un micro-phénomène de société). Ainsi, ozone6 s’auto-intègre aussi dans cette vague, en apportant leur touche easy listening, un choix, leur originalité !
à nouveau, sans nul doute peu nombreux figurent les groupes français qui présentent alors un titre de ce niveau, prêt à sortir ! (bien sûr, tous ne comprennent pas, qu’encore une fois, le titre n’a pas été suffisamment pensé, et qu’il manquait quelque chose)
une constatation s’impose : c’est V. qui patine ! : à ce point jugé comme déficient par le groupe que… bmpr tente par lui-même de faire avancer le schmilblick, et V. ne refuse pas ! ; bmpr reprend son bâton de pèlerin, il a demandé, par ex., un rdv chez RCA -devenue peut-être BMG déjà- la firme puissante, sise en bas des champs élysées / bmpr a  tenu à y entrainer V. ; leur producteur pourra servir au moins de preuve sérieuse de répondant. Cette caution vivante aurait pu positiver l’écoute (V. : assez impressionnant, physiquement il montrait cette espèce de décontraction des riches, impossible à imiter, bref il en imposait assez sans ressembler non plus à un producteur caricatural).
cette présentation en duo n’a rien changé, au contraire : Valentin, se retrouvant devant un jeune directeur artistique branché au physique d’étudiant en médecine de naguère, V. avait demandé à ce Philipe Missir (lequel se trimballait avec un marteau, pour essayer d’oublier la cigarette, prévenait-il, et cela partait bien !) s’il était bien le fils d’un pilier assez connu du show bizz d’hier du même nom, ayant longtemps figuré un « nom » de chez Barclay, et en effet c’était le cas, et V. de préciser : « je suis le manager de paul mauriat, votre père a longtemps travaillé avec lui quand mauriat était de l’écurie eddie barclay » !
le d.r. semblait être sur une autre planète, ce qui était raccord, et bmpr ne se rappelle pas de sa réaction à cette « identification », bmpr ne le savait pas : p m était un de
ceux celui qui avaient participé au processus de « cargo de nuit » d’axel bauer…, avec donc encore le vent en poupe pour longtemps du fait de ce tube européen mythique !, et pire : rien que prononcer le mot paul mauriat devait signifier aussitôt à ce d. r. : il se trouvait en train de manifestement perdre son temps avec les interlocuteurs postés devant lui, prétendants intempestifs et qu’il avait tout pouvoir pour… renvoyer sans autre forme de procès tout en restant poli, ce qui se fit finalement, mais… il avait quand même sacrément réfléchi, cogité…, marteau à la main… / bmpr : « comment lui en vouloir et aux quelques autres qui écoutèrent cette plage trop sommaire… », et qui se serait cette fois si bien produite en 2019 !
sûr : Valentin figurait dans le « métier » un de ceux à fuir comme la peste ; le médium est le message ; ainsi la malédiction mauriat a forcément frappé tous les poulains de l’écurie de V., et voilà qu’ozone6 se retrouvait ainsi dans ce cas de figure !!! De cette situation, injuste d’ailleurs, ozone, s’en montrait parfaitement conscient à l’époque, et s’en fichait
l’autre sample roi sur le titre : bien sûr les 1ers mots de l’astronaute Armstrong s’apprêtant à marcher sur la Lune, pour la petite histoire, d. était allé dans le virgin mégastore cherché une version propre sur cd, or dans cette recherche avait déchiré la protection plastique du cd pour consulter le livre, et voir si les mots d’Armstrong étaient bien sur le cd, et il se retrouva arrêté par les vigiles, comme voleur !, puis relâché après avoir réussi à s’expliquer, amené dans les coulisses du mégastore… ( c’était avant que soit dévoilé : en fait les vols considérables constatés dans ce magasin, étaient l’œuvre d’une magouille du personnel de surveillance….)  
janvier 2019 OZone6                  FIN DE LA PARTIE   1
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rohanseoewe · 9 days
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FOR FRENCH CITIZENS - SAUDI Kingdom of Saudi Arabia Official Visa Online - Saudi Visa Online Application - Centre de candidature officiel d'Arabie Saoudite.
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omagazineparis · 9 days
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Qui peut rédiger une cession de fonds de commerce ?
La cession de fonds de commerce est un contrat de droit privé, réalisé par un avocat, un notaire ou bien un expert-comptable. Vous pouvez également faire la rédaction vous-même, à condition que vous maîtrisiez les mentions légales qui doivent figurer dans le document. Tour d’horizon sur les formalités à respecter dans le cadre de vente et cession de fonds de commerce. Qu'est-ce qu'une cession de fonds de commerce ? La cession de fonds de commerce se définit comme la cession, de la part d’un professionnel, les éléments saisissables et insaisissables qu’il utilisait pour accomplir son activité. Les éléments saisissables désignent les mobiliers, les matériels et les outillages. Les éléments insaisissables regroupent l’enseigne, la clientèle, les autorisations administratives…En ce qui concerne les dettes et les créances, ils ne sont pas inclus dans la cession de fond de commerce. Il faut préciser que la cession de fonds de commerce est encadrée par la loi.  A qui devez-vous confier la rédaction de cet acte?  La cession de fonds de commerce d’une SARL doit faire l’objet d’un écrit afin d’éviter les litiges. L’acte de cession de fonds de commerce engage définitivement le vendeur et l’acheteur. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est conseillé de confier sa rédaction à un professionnel. Ce dernier devra être en mesure de sécuriser les intérêts des deux parties et garantir l’efficacité juridique du processus. Dans ce cas, vous pouvez vous tourner vers un avocat, un notaire ou bien un expert du chiffre qui possède les connaissances nécessaires.  Si vous estimez compétent pour cela, vous pouvez le faire. Le plus important, c’est de s’assurer que l’acte de cession de fonds de commerce possède une valeur juridique. Si vous confiez la mission à un avocat, il peut identifier et informer les deux parties des éventuels risques de cette transaction. Il peut aussi prendre la décision d’établir une promesse unilatérale ou un compromis avec des engagements réciproques des parties concernées. Grâce à son savoir-faire particulier, l’avocat peut également identifier les conditions suspensives, comme l’obtention d’un financement, d’un nouveau bail commercial, l’autorisation de changer l’enseigne, etc. A lire également : Conseils pour faire prospérer votre bijouterie Quelle annonce légale pour une cession de fonds de commerce ? Avant l’entrée en vigueur de la loi n° 2019-744 du 19 Juillet 2019, l’acte de cession de fonds de commerce devait faire apparaître plusieurs mentions obligatoires. L’origine de propriété du fonds, les conditions du bail transmis, l’état des inscriptions grevant le fonds, le chiffre d’affaires ainsi que les résultats d’exploitation durant les trois derniers exercices comptables étaient parmi les informations qui devaient figurer dans le document. Mais depuis la suspension de l’article L 141-1 du Code de commerce, seuls les documents qui présentent les chiffres d’affaires mensuels réalisés entre le mois précédant la vente et la clôture du dernier exercice comptable doivent être inclus dans l’acte. Afin de protéger l’acheteur, il est conseillé de toujours mentionner les informations suivantes : - L’origine du fonds de commerce cédé (nom du prédécesseur immédiat du vendeur, date de l’acte par lequel le vendeur a acquis le fonds du commerce, nature de l’acte, prix auquel le vendeur a acheté le fonds…). Si le vendeur a créé le fonds, il faut l’indiquer dans le document.  - Le prix de vente du fonds de commerce, - L’état des privilèges, nantissements et inscriptions grevant le fonds de commerce. Si aucune inscription ne grève le fonds, il faut le préciser dans l’acte.  - Les conditions d’application du bail commercial (date, durée, nom et adresse du bailleur et du cédant…).  - Le chiffre d’affaires et le résultat d’exploitation durant les 3 derniers exercices.   Il faut noter que le cédant peut réaliser une plus-value sur l’opération. S’il s’agit d’une plus-value à court terme (durée de détention du fonds de commerce inférieure ou égale à deux ans), la plus-value sera ajoutée aux résultats imposables. Pour la plus-value à long terme (durée de détention du fonds de commerce supérieure à deux ans), la plus-value sera imposée à la flat-tax.   La cession de fonds de commerce est un acte important à ne pas prendre à la légère. Il faut se conformer aux exigences propres à la cession de fonds de commerce pour garantir le bon déroulement de l’opération. Si vous rencontrez des difficultés, vous pouvez solliciter les services proposés par Lextenso Services. Ce prestataire possède une double expertise dans l’édition et les prestations juridiques et s’engage à vous accompagner tout au long du processus.   À lire aussi : Comment créer sa propre entreprise ? Read the full article
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savoir-entreprendre · 25 days
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L'achat d'une entreprise peut être une opportunité excitante pour les entrepreneurs débutants. Cela offre la possibilité de sauter certaines des étapes initiales de la création d'une entreprise, telles que la mise en place d'une clientèle, la création d'une marque et l'établissement de processus opérationnels. Cependant, avant de plonger tête baissée dans l'achat d'une entreprise, il est essentiel de prendre en compte certains facteurs clés. Voici 5 points à considérer avant de conclure une transaction. 1. Compétences et Expérience Avant d'acheter une entreprise, il est crucial de vous demander si vous avez les compétences et l'expérience nécessaires pour gérer avec succès cette entreprise. L'industrie, la taille de l'entreprise et le secteur d'activité sont autant de facteurs à prendre en compte. Si vous n'avez pas d'expérience préalable dans le domaine, envisagez de vous entourer d'une équipe compétente ou de suivre une formation pour acquérir les compétences nécessaires. 2. Due Diligence La due diligence est une étape essentielle avant d'acheter une entreprise. Cela implique de passer au crible les finances, les contrats, les passifs, les actifs, les opérations, et tout autre aspect de l'entreprise que vous envisagez d'acheter. Engagez des professionnels, tels qu'un comptable, un avocat ou un expert en évaluation d'entreprise, pour vous aider dans ce processus. Assurez-vous de comprendre pleinement la santé financière de l'entreprise, les problèmes potentiels et les opportunités de croissance. 3. Évaluation de la Concurrence et du Marché Avant de prendre une décision, analysez le marché dans lequel l'entreprise opère. Qui sont les concurrents principaux ? Quelle est la demande pour les produits ou services de l'entreprise ? Existe-t-il des tendances ou des changements dans l'industrie qui pourraient avoir un impact sur la rentabilité ? Cette analyse vous aidera à évaluer la viabilité à long terme de l'entreprise et à anticiper les défis potentiels. 4. Plan d'Affaires Solide Même si vous achetez une entreprise existante, il est important d'avoir un plan d'affaires solide en place. Ce plan doit définir vos objectifs à court et à long terme, votre stratégie marketing, votre plan de gestion des ressources humaines et votre modèle économique. Il servira de guide pour prendre des décisions éclairées et pour aligner l'entreprise sur vos objectifs. 5. Financement et Structure de l'Accord La question du financement est cruciale. Comment allez-vous financer l'achat de l'entreprise ? Devrez-vous obtenir un prêt, utiliser vos économies personnelles, ou peut-être rechercher un investisseur ? De plus, la structure de l'accord d'achat est essentielle. Assurez-vous que les modalités de la transaction, y compris le prix d'achat, les modalités de paiement, les garanties et les clauses de non-concurrence, sont clairement définies et bien comprises par toutes les parties. En conclusion, l'achat d'une entreprise peut être une opportunité lucrative, mais elle comporte également des risques. Avant de prendre cette décision, assurez-vous d'être bien préparé, de mener une due diligence approfondie, de comprendre le marché et la concurrence, d'établir un plan d'affaires solide et de structurer la transaction de manière appropriée. Une préparation minutieuse vous aidera à éviter les écueils potentiels et à maximiser vos chances de réussite en tant qu'entrepreneur débutant. https://savoirentreprendre.net/?p=2639&feed_id=5847
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