Tumgik
#l'ombre se dissipe
nemosisworld · 5 days
Text
Tumblr media
"Sans toi, je revenais, comme enivré, Incapable désormais d'être seul le soir, Quand les nuages las se dissipent Dans le noir incertain.
...
Seul dans le jour, et ensuite dans le silence Du soir fatal. Et maintenant, enivré, Je m'en reviens sans toi, et à mes côtés Ne se trouve que l'ombre.
Et tu seras loin de moi mille fois, Et ensuite à jamais. Je ne sais pas refréner Cette angoisse qui monte dans mon cœur ; Être seul
Pier Paolo Pasolini
Ph. Ibai Acevedo
22 notes · View notes
nereidestuff · 2 months
Text
la isla blanca; huitième version.
Tumblr media
la isla blanca; septième mise à jour 💕 six mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes douceurs de co-admins, @themuseparadox, @erinye-stuff, @romystigri, @gerard-menjoui & moi-même venons vous présenter sa huitième version. pour l'occasion; lib fait totalement peau neuve avec un nouveau codage mais aussi beaucoup d'autres nouveautés à dénicher.
l'intrigue du mois; entre les murs teintés d'ocre, se dissipent les murmures solennels des promesses d'un autre temps, s'installent en douceur les lueurs de l'astre primaire de la cité entourée de nuages menaçants. le scélérat n'est plus là, vague souvenir déjà oublié par les esprits béats, calmes sont les vagues qui furent enragées, amorphes quand près des ruelles éclairées, on chante à l'amour et aux étreintes subtilisées. la saint-valentin, le moment où les flammes se déclarent, l'instant où les cœurs battent à l'unisson, sans retard. pourtant, loin des rayons chaleureux, l'ombre se dresse, mirage ou bien réelle créature que certains se plaisent à appeler reine des tristes desseins, la légende gronde dans les esprits dès lors que la saison hiémale touche à sa lente fin. avez-vous déjà entendu parler d'hamarre, déesse des amours et des couples qu'elle sépare sans détour ? elle est bien là, observant les faits et gestes de ceux qui vivent trop fort, trop vite, sans se soucier de son aura. sur l'île, le mythe se chuchote de bouches en bouches, s'éteint pour laisser planer les vapes idéalisées d'une vieille histoire décimée, celle de deux amants qui s'aimaient, puis séparés par les courants et les menaces de l'océan. on murmure aussi qu'il suffit de s'approcher de la grotte d'es culleram et d'y déposer un papier avec le prénom de l'être aimé, de revenir le jour suivant pour attester de tâches noires comme signe que l'affection est destinée à durer. s'il n'y en a pas, c'est qu'hamarre ne vous accordera pas sa bénédiction jusqu'au trépas. mais qui peut-on réellement croire ? simple fiction ou véritable invention, c'est à vous, chers habitants, d'en juger.
– la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
22 notes · View notes
Text
Tumblr media
En cette année de grâce 1993, dans un coin paumé de l’hexagone, la maison « Salaisons des Îles » ferma ses portes, non sans un soupir de soulagement des cochons alentour. Fondée en 1954 par un homme qui croyait dur comme fer que la charcuterie était l'avenir de l'homme, la boutique avait connu des jours de gloire et des nuits d’ivresse, où les saucissons se balançaient au plafond comme des pendus, mais en moins tragique. Pierre, le fondateur, était un homme de goût, un esthète de l'andouillette, un poète du pâté de campagne, un Rimbaud de la rillette. Son magasin était son œuvre, son chef-d'œuvre, son « Guernica » à lui, une espèce de Louvre du lardon. Mais voilà, les temps changent plus vite que les bactéries prolifèrent dans un pâté de foie, les artères se bouchent, et les préoccupations écologiques s’immiscent dans l’esprit des consommateurs. La légende raconte qu'avant de tourner la clé dans la serrure pour la dernière fois, Pierre aurait lâché une larme – sûrement une perle de graisse condensée – et avec elle, une dernière parole : « Salut, tas de veaux. Vous ne savez pas ce que vous perdez. Allez, à la revoyure, et si le ventre vous gargouille, n'oubliez pas de mâcher du côté où vous avez encore des dents. » La devanture, aujourd'hui, se dresse encore, fière et décrépite, comme un vieux comptoir de bar abandonné où les échos des dernières tournées n'en finissent plus de se dissiper. Elle porte les cicatrices du temps et la poussière d'un monde qui a tourné la page sur le gras et le sel. Dans cette ruelle, si l'on tend l'oreille, on peut encore entendre l'écho des conversations, des rires gras et des couteaux qui tranchent le jambon. C’est un morceau d’histoire, une tranche de vie, une odeur oubliée. Et si vous passez par là, respirez un grand coup, vous sentirez peut-être, portée par le vent, l’odeur d’un saucisson bien poivré, et peut-être même que vous verrez l'ombre de Pierre, dos tourné à son royaume des carnivores, prêt à faire ripaille de ses souvenirs saumurés.
18 notes · View notes
janelher · 1 month
Text
Rock
Le soleil me fait sortir, 
sautillante, 
pétillante, 
si vivante en voletant en pleine rue, 
que je poursuis mon chemin, 
sans crainte; 
avec toi, 
je croise des visages, 
J’absorbe leurs couleurs: 
regards souriants, jaunes, 
et vers luisants; 
je goûte, 
avec toi, 
au bonheur de nouveaux jours.
La rue est vivante, 
je la vois, 
offerte à mon rêve.
Les portes ouvertes, 
ont reçu l'air frais de soleils chansons, 
et quant à mon amour, 
dormant jusqu'alors au fond des peines, 
il s’est fait, 
par ta voix, 
et par tes mains, 
visiteur de tous ces amoureux du monde 
qui, par mégarde, ou peur du rock
ont perdu de leur amour !
La table est dressée, 
pour accueillir nos hôtes, 
elle assouvit, 
par le rose de mes notes, 
leur soif d'un peu d'eau fraîche; 
je crois même qu'elle me salue, 
qu'elle me sourit: 
qu'elle me demande pourquoi 
j’ai tant marché, 
quelle direction je veux prendre. 
Moi, je réponds simplement: 
« je veux écrire des poèmes, 
pour chanter mon amour ».
Et c'est ainsi que mon chemin 
m’a conduit tout droit 
jusqu'à ton destin; 
et je veux rêver, 
le soir avec les gens, 
en partageant avec eux mon rock’n’roll, 
comme un feu d'artifice...
Soudain, 
il me semble que si tu m’appelles, 
que si tu m’aimes, 
et que je t’aime, 
nous ne cesserons plus 
d'être un premier jour d'été.
Nous serons le premier jour de l'été, 
chaque jour de l'année.
Je sens, 
auprès de toi, 
que je peux être ou faire
ce que bon me semble: 
astronaute en chef 
de l'imagination, 
courir après chaque comète, 
portée par chacune de mes balades;
ingénieure en rêves d'amour, 
car aimée de toi, 
et construire un toit, 
pour ceux qui n’ont jamais appris 
à vivre heureux, 
dissipant les ordres établis 
qui font de l'ombre 
à notre colonie d'amants, 
et qui nous brûlent 
en se brûlant; 
avocate de l'enfer, 
pour défendre, 
jusqu'au bout, 
le droit au rêve le plus instable; 
et le faire réalité.
Te voilà, 
mon âme sœur 
Te voilà, 
Ma belle étoile
2 notes · View notes
adele-iris · 11 months
Text
Classification Pierre Weil (des différents paramètres de l'expérience cosmique dans tous les états spéciaux d'éveil quelque soit la forme sous laquelle ils se manifestent)
1 - SENTIMENT D'UNITÉ disparition des perception duelles : moi et le Monde. La conscience s'identifie à tout ce qui est. C'est la première caractéristique des états spéciaux d'éveil.
2 - CARACTÈRE INEFFABLE Réalité bien plus intense que le vécu quotidien ordinaire, les émotions sont ressenties plus fortement que dans la vie "normale", ce qui est vécu est perçu comme réel. Expérience transpersonnelle à caractère ineffable ou néotique, une expérience inexprimable, inexplicable en termes classiques.
3 - TRANSCENDANCE DE L'ESPACE TEMPS L'un des paramètre le plus important, présent dès qu'on pénètre dans un univers au-delà de nos cinq sens, dans un monde intérieur. On entre dans une dimension où le temps n'existe plus et où l'espace tridimensionnel disparait. "Passé, présent, futur, n'existent pas. Tout arrive au même instant." (proverbe indien) Ressenti de compression temporelle : quelques minutes peuvent paraître durer des heures.
4 - SENTIMENT DU SACRÉ Parfois, sentiment de vivre quelque chose de grand, de sacré. mais c'est un paramètre qui n'est pas permanent.
5 - DISSIPATION DE LA CRAINTE DE LA MORT Dans les états altérés de conscience, la vie est perçue comme éternelle et l'existence physique comme transitoire. La peur de la mort disparait dès que le sujet prend conscience de sa capacité à vivre sous une forme différente, sans avoir conscience de son corps physique, et à recevoir des perceptions bien plus vastes que celles que nous transmettent généralement nos cinq sens. Il s'agit d'un paramètre quasi constant.
6 - CHANGEMENT DU COMPORTEMENT ET DES SYSTÈMES DE VALEURS Ce type d'expériences déclenche souvent des changements radicaux dans l'appréciation de valeurs telles que la beauté, la bonté, la Vérité... L'ÊTRE SE SUBSTITUE Å L'AVOIR. Élargissement de la conscience, "savoir en totalité", transcende largement nos écrans de filtrage, nos pouvoirs limités de description. Sensations, perceptions, intuitions, semblent se fondre dans quelque chose de beaucoup plus vaste.
AUTRES PARAMÈTRES NON CLASSÉS DANS LES CARACTÉRITIQUES COURANTES : - Sensation de sortie du corps ou de ne plus avoir de corps du tout. - Audition de bruits ou de sons cosmiques. - Apparition d'êtres énergétiques. - Sensation de pouvoir pénétrer complètement les personnes, les animaux et els choses de l'Univers. La conscience prend une telle expansion que l'être se retrouve en même temps dans son présent et son passé, dans une autre dimension de l'espace et du temps, aux confins de l'Univers, sans perdre pour autant la conscience d'être dans tous ces lieux à la fois. - Déverrouillage d'une conscience universelle (v. mémoire karmique, annales akashiques, noosphère...) impliquant le rappel à la conscience d'évènements ne s'étant pas produits dans la vie présente. Sous la forme de bribes, mais bien d'un vécu consistant, incluant les sensations de l'être du passé et parfois même les odeurs. - Les chemins menant à ces états de conscience passent pas la dissolution de l'ego par un élargissement des champs de conscience et des niveaux de réalité. - On peut avoir des flash : une vision claire du passé ou du devenir de l'Univers, on devient l'Univers, un cosmos dans lequel la conscience normale semble faite de matière morte, ou prisonnière d'un profond sommeil. On réalise que la vie, tapie en chaque être est éternelle et que l'Univers est construit et ordonné de telle manière que toute les chose fonctionnent entre elles pour le bon et le bien. - Sensations d'illuminations plus que soudaines : instantanées, comme un flash dans la nuit noire, sortant le paysage de l'ombre où il se cachait et l'illuminant comme en plein jour. - "L'Univers n'est pas une machine morte mais une présence palpable." (M. Bucke, 1900)
Pierre Weil conclut : "La compréhension de ces paramètres est très importante en psychiatrie car elle remet en question l'habitude traditionnelle de considérer comme des malades mentaux tous ceux qui ont une perception différente de la réalité, qui ne serait pas basée sur les cinq sens physiques et sur la logique traditionnelle."
"Au cours de l'expérience cosmique, on perçoit l'unité du cosmos en même temps qu'on se perçoit en lui." - Maurice Bucke
L'accès à cette forme de compréhension s'accompagne d'un puissant sentiment de calme et de paix, d'amour universel. Expérience directe de la raison d'être des univers qui permet de relativiser ces perceptions de "surface" que sont les trois dimensions de l'espace, du temps et la perception de l'illusion et de l'insignifiance du monde physique.
Mircea Eliade parlait quant à lui de "techniques archaïques de l'extase", et c'est bien de cela qu'il s'agit : de pure extase, d'instants arrachés à l'éternité. On baigne dans une émotion de joie intense, d'assurance, de triomphe (tout dans notre vie à concouru à nous mener là). Le délice de cette extase se situe bien au-delà de tout ce qu'on peut imaginer. La vie est alors perçue comme immuable : on ne fait plus qu'Un avec le grand Tout. On ressent une élévation morale et une illumination intellectuelle, on a un sentiment d'immortalité, et ça n'est pas une conviction intellectuelle mais une puissante sensation qui s'impose en dissolvant instantanément la peur de la mort.
5 notes · View notes
mycoversbox · 5 months
Text
(Refrain)
La dernière nuit, une étoile qui s'éteint,
Sous le voile du crépuscule, un adieu incertain.
Les ombres s'étirent, les échos se dissipent,
La dernière nuit, des souvenirs qui vacillent.
Couplet 1
Les silences pesants, comme des heures lentes,
La dernière nuit, des émotions émergentantes.
Les étreintes du passé, dans l'ombre qui s'étend,
Des larmes muettes, sur le visage du temps.
Pré-refrain
Les souvenirs chuchotent, les rêves s'estompent,
La dernière nuit, dans le calme qui rompt.
(Refrain)
La dernière nuit, une étoile qui s'éteint,
Sous le voile du crépuscule, un adieu incertain.
Les ombres s'étirent, les échos se dissipent,
La dernière nuit, des souvenirs qui vacillent.
Couplet 2
Les regards échangés, des secrets enfouis,
La dernière nuit, des étoiles dans les yeux.
Les promesses fragiles, dans l'air qui frémit,
Des adieux retenus, dans l'obscurité infinie.
Pré-refrain
Les souvenirs chuchotent, les rêves s'estompent,
La dernière nuit, dans le calme qui rompt.
Pont
Les horloges s'arrêtent, le temps se retire,
La dernière nuit, un poème à écrire.
(Refrain)
La dernière nuit, une étoile qui s'éteint,
Sous le voile du crépuscule, un adieu incertain.
Les ombres s'étirent, les échos se dissipent,
La dernière nuit, des souvenirs qui vacillent.
Outro
Dans le silence, une aube à naître,
La dernière nuit, un chapitre à disparaître.
Les étoiles veillent, un au-revoir en suspens,
La dernière nuit, une éternité qui commence.
1 note · View note
pdj-france · 9 months
Text
Image: Studios Larian L'Ombreterre est une zone dangereuse de Baldur's Gate 3, car une malédiction mortelle l'entoure. Cette malédiction s'appelle, sans surprise, la malédiction de l'ombre, et les joueurs doivent comprendre comment y faire face. Après avoir lu ce guide, vous serez parfaitement préparé à survivre à la malédiction de l'ombre dans Baldur's Gate 3. Meilleures façons de survivre à la malédiction de l'ombre dans Baldur's Gate 3 Quelques méthodes existent pour survivre à la Shadow Curse dans Baldur's Gate 3. Certaines méthodes sont plus efficaces, mais nous vous expliquerons toutes vos options dans ce guide. Utilisez une lanterne lunaire pour survivre à la malédiction de l'ombre Avant tout, la meilleure façon de survivre à la malédiction de l'ombre dans Baldur's Gate 3 est d'obtenir une lanterne lunaire fonctionnelle. Vous pouvez obtenir une lanterne lunaire fonctionnelle auprès de Jaheira au Last Light Inn, et équiper cet objet et le faire tenir par l'un de vos personnages détournera la malédiction de l'ombre et vous protégera de ses effets. Mieux encore, libérer le Pixie de la lanterne lunaire vous accordera une bénédiction permanente à vous et à votre groupe qui protège tout le monde de la malédiction. Gardez à l'esprit, toutefois, que la libération du Pixie vous empêchera de repérer les ombres et les spectres lorsqu'ils se téléportent pendant la bataille. Dans mon guide Pixie, j'ai précisé que vous devriez libérer le Pixie de la lanterne lunaire pour aider à naviguer dans les Shadowlands. Pour ce faire, équipez la lanterne lunaire d'une capacité d'inspection active. Parlez à la Pixie et sélectionnez l'option pour la libérer et en récompense, choisissez la Bénédiction pour franchir l'Ombreterre. En relation: Baldur's Gate 3 Plaque Puzzle dans Shadow Cursed Village Solution Utilisez la lumière et les sorts pour survivre à la malédiction de l'ombre Avant de trouver une lanterne lunaire fonctionnelle, la meilleure façon de gérer la malédiction de l'ombre consiste simplement à employer la lumière et les sorts appropriés. Pour créer de la lumière, vous pouvez demander aux membres de votre groupe de tenir des torches, détournant la malédiction de tout le monde. En ce qui concerne les sorts, Shadowlight peut apprendre le sort Daylight (niveau 3) de l'école d'évocation. Ce sort de lumière du jour "enchantera un objet pour qu'il brille comme le soleil ou invoque une sphère de lumière solaire qui dissipe toute l'obscurité qui l'entoure". Alors que cela soit moins efficace que la bénédiction Moon Lantern ou Pixie, il est très utile de naviguer dans la zone pendant sa première arrivée. - Ce post a été mis à jour le 14 août 2023 A propos de l'auteur Christian a rédigé Attack of the Fanboy pendant environ un an et a couvert Shadows of Rose, Witcher 3, Wild Hearts, Redfall et Remnant 2; son genre préféré est Survival Horror. Il a un diplôme en commerce mais a ressenti le besoin de transmettre son amour pour les jeux vidéo à la communauté des joueurs. En dehors de l'écriture, vous pouvez le trouver en train d'écouter tous les types de podcasts, en particulier Always Sunny Podcast et Morbid True Crime. En savoir plus sur L'Attaque du Fanboy :
0 notes
edolasft · 9 months
Text
De la Lumière au Ténèbres : Chapitre 8
Tumblr media
D E   N O M B R E U X   P I E G E S
La muraille magique avait fini par céder sous l'assaut des mages. Un énorme nuages de poussières leur barra la vue, mais lorsque ce dernier fini par se dissiper, se dresse devant les mages de Fairy Tail un immense manoir au allure bien sinistre. Cela ne rassura pas le chat bleu qui ne cache pas sa crainte de poursuivre leur parcours. Cependant, les autres mages étaient déterminés a avancer pour régler cette histoire au plus vite. Tous savent maintenant qu'il était impossible de faire marche arrière, ils sont arrivés bien trop loin pour abandonner maintenant. C'est donc avec une certaine prudence que les mages enjambent les débris de la barrière magique et se dirige vers ce grand manoir. C'est avec une certaine hâte que Gadjeel poussa la grande porte en bois de l'entrée la faisant grincer et donnant l'accès a un hall plongé dans le noir. Les mages pouvaient a peine distinguer la pièce a cause de la faible lumière que pouvait donné quelques bougies au mur. 
Mais rapidement, ils remarquent un long couloir devant eux, sans perdre de temps ils s'y engagent. Ils ne se précipitent pas, tentent de regarder autour d'eux mais la seule chose qu'ils pouvaient voir c'était des tableaux accrochés au mur et juste les longs murs de ce couloir qui semble interminable. Alors qu'ils avancent, Juvia et Lucy regardent plusieurs fois derrières elles, elles sentent des courants d'air frais le long de leurs jambes et cela ne les rassure pas. L'ambiance "manoir hanté" ne leurs plait pas. Mais étais ce de simple courant d'air ?
Dans une des salles du manoir, deux hommes se tenaient devant une sorte de grand écran. Sur les images, le groupe de Fairy Tail qui s'immisce toujours plus loin dans ce long couloir. Un des deux hommes était assit dans un grand fauteuil en velours noir, alors que l'autre se tenait debout a ses côtés. Ce dernier, indiqua alors à l'homme assit que ces personnes étaient les mages de Fairy Tail qui étaient venus a bout de leurs deux mages de la garde rapprochée et de leur bête. Un fin sourire s'installe sur le visage de l'homme qui observe nos mages. 
«  Laissons les avancer et se faire prendre comme des souris. »
Fit la voix grave de l'homme tapis dans l'ombre. Face a ses propos les deux hommes échangèrent un rire grave et sinistre qui résonna alors dans l'ensemble du manoir. Ce rire rauque parvient alors aux oreilles de nos mages qui se stoppent dans leurs avancé et regardent autour d'eux. Evidemment ils se demandent d'où pouvait provenir ce rire soudain, seul deux mages ne se posent pas la question. Gadjeel et Natsu se regardent et sans perdre de temps se mettent soudainement a courir dans ce long couloir sombre a la grande surprise des autres membres du groupe. Grey se met a crier après eux, se demandant bien où ils allaient ainsi soudainement. En réalité les deux dragons slayer avaient très clairement entendu les rires et pouvaient presque savoir d''où il provenait. Mais en se précipitant ainsi ils laissent derrière eux les autres membres de Fairy Tail qui tentent alors de suivre leur course effrénée. 
Erza, Grey et Elfman parviennent a suivre la cadence et les rattrapent rapidement mais Kana et Lucy déjà épuisées précédemment traînent un peu derrière eux. Alors qu'ils courent a l'aveuglette dans ce couloir sombre, deux cris strident se font soudainement entendre. Des cris féminins. 
«  Natsuuuu !  »
Cria alors soudainement une des deux voix. Surpris par les cris, les mages stoppèrent net leur avancée et se retournèrent vers les cris. Derrière eux devait se trouver Kana et Lucy mais ces dernières n'étaient plus là. Paniqué par leur soudaine disparition, ils rebroussent a grande vitesse leur chemin et remarquent alors dans le sol un énorme trou. Les deux filles étaient tombées dans un piège, Lucy tenait par la main Kana qui avait le corps dans le vide, la mage stellaire a bout de force tente de faire son maximum pour ne pas lâcher la parois qu'elle avait réussi a attraper. La mage des cartes supplie son amie de ne pas la lâcher. Kana hurla a ses amis de venir les aider. Natsu s'approche du trou et éclaira le fossé grâce a ses flammes. Ils virent alors les deux mages en grandes difficultés. Erza ordonna a Happy de plonger dans le trou et d'attraper Kana rapidement pour ne pas que Lucy la relâche. Sans se poser de question, l'exceed plongea rapidement dans le noir et alla attraper la brune qu'il remonte avec succès. Mais le petit chat bleu qui avait lui aussi usé pas mal de sa magie commence a peiner. Il se demande si il arrivera a temps pour aller chercher Lucy qui semblait à deux doigts de lâcher prises. D'ailleurs la blonde hurla a ses amis, qu'elle allait lâcher. 
Le mage de feu, remarque la fatigue de son fidèle ami et décide alors soudainement de sauter dans le trou. Tous furent surpris et hurlèrent après Natsu. Il était clairement inconscient de sauter ainsi dans le trou, mais il était agile et il sautait de parois en parois pour arriver jusqu'à Lucy. Mais avant qu'il n'arrive, la blonde se sentait lâcher. Elle attrapa alors avec sa main libre une de ses clefs magiques. Et elle tente alors d'invoquer Aries qui pourrait l'aider grâce a sa laine. Cependant au moment où elle prononça sa formule, la blonde eut la vision trouble et elle fut prise de vertige. Elle avait usé de trop de magie et elle venait de perdre ses dernières forces. Elle lâche alors la parois et se mit a crier, elle commence a chuter, lorsque soudainement elle fut attrapée par le poignée.
 
«  Je te tiens ! »
Fit alors la voix essoufflée de Natsu qui venait de sauver au dernier instant la mage blonde. Soulagée, elle se laisse remonta, et s'agrippe au dos de son camarade pendant que ce dernier remonte le fossé rapidement. Une fois sorti du trou, la blonde souffla quelques instants le temps qu'elle retrouve un peu d'énergie. C'est a cet instant que la mage de rang S demande a ses amis de rester prudents que très certainement d'autres pièges vont apparaître. Une fois qu'elle fut un peu remise de ses émotions, Lucy se redresse et reprend sa marche avec les autres mages. 
En effet, ce manoir était truffé de piège et le maître des lieux espérait bien que ces petites souris se fassent attraper. Pour le moment un seul des nombreux pièges c'était déclenché, et les mages avaient le pré-sentiment que d'autres choses allaient leur arriver. Ils restent donc très prudent. Ils avaient décidé de mettre en tête de marche Erza et Grey qui était suivi de près par Juvia et Elfman qui restent près de Kana et Lucy qui avait Happy sur son épaule. Natsu et Gadjeel fermaient la marche. Ne pouvait savoir depuis combien de temps ils étaient entrés dans ce manoir, Natsu commence a trouver le temps long et ce couloir bien trop grand et infini. Il espère que ce n'est pas un couloir magique comme la barrière magique qu'ils avaient détruit pour pénétrer ces lieux. Cependant, les interrogations de Natsu furent rapidement évincées lorsque les mages virent enfin une lumière plus forte au bout du couloir, enfin ils arrivent au bout de ce long chemin sombre. Ne se précipitant pas pour autant, ils continuent de marcher prudemment vers cette lumière. 
Cependant, Gajeel récita soudainement une formule magique "Pilier de Fer!" et il abat son son bras devenu un gros pilier en acier contre l'une des parois du couloir, et il hurla soudainement a ses camarades de courir rapidement vers la lumière. C'est à cet instant que tous remarquent que les murs du couloir étaient en train de se resserrer rapidement et que ces derniers pourraient bien les aplatir. Sans attendre plus longtemps, les mages se mettent a courir aussi vite qu'ils le peuvent, en arrivant au bout du couloir tous se retournent vers leur ami a qui ils hurlent de rapidement se sortir de là. Mais il était trop tard. Un énorme bruit sourd se fit entendre, les deux murs venaient de s'entrechoquer. Tous les mages regardent ces deux parois l'une contre l'autre, sans rien dire, choqués par ce qui venait de se produire. Gajeel n'était pas sorti. Il n'avait pas réussi a sortir de ce piège. Juvia se précipite contre ses parois et les frappent de toutes ses forces en criant le nom de son ami. Le poing de Natsu s'enflamme alors que les autres mages ne savent pas comment réagir.... Puis Natsu fronce les sourcils et vient alors coller son oreille aux parois.  Ecarquillant soudainement les yeux il se tourne vers ses amis et leur assura que Gajeel était encore vivant ... Il en était persuadé. Voulant croire en leur ami, les mages de Fairy Tail reprennent rapidement leur course vers cette lumière et ils avaient un nouvel objectif : retrouver leur ami. 
Tous se mirent a courir dans la nouvelle direction qui leurs étaient destinés, ne pouvant pas faire marche arrière ils allèrent dans le total inconnu. Ils se retrouvèrent dans une immense salle, cette fois-ci elle était très bien éclairée grâce a un magnifique lustre surement du cristal qui se trouvait au plafond en plein centre de la pièce. Cette pièce était vide, oui elle était vide, là seuls choses qui se trouvait dans cette pièce était des immenses miroirs tout le long des murs. Cette immense salle avait les allures de grande salle de bal. Les mages regardent autour d'eux dans l'espoir d'y trouver une autre porte dans laquelle s'engouffrer mais rien. C'était juste une grande salle ronde pleine de lumière et de miroirs.
Puis soudainement , une voix rauque résonne dans la salle. 
« Voici donc les mages de Fairy Tail. Je vois que parmi vous se dresse une grande dame... »
Cette voix donna des frissons a plusieurs d'entre eux qui regardent vivement autour d'eux pour essayer de trouver la source de cette voix rauque. Mais ils ne virent personne et cela agaça notre mage de feu qui hurla a la voix de se montrer. Cependant, la seule chose que les mages entendent fut une détonation puis ... un cris aigu et féminin. Celui de Lucy. Tous se retournent vers leur amie mais cette dernière venait de tomber dans une trappe qui venait de se refermer, Natsu avait bondi sur ce trou et frappa le sol de toutes ses forces en hurlant le prénom de sa camarade. Mais ce fut Elfman qui attira ensuite son attention en pointant du doigt l'autre bout de la salle. 
En effet, de l'autre côté de la salle se trouvait une sorte de grande vitre, et derrière cette vitre se tenait Lucy qui était retenue dans les bras d'un homme grand et musclé, aux cheveux noirs et bouclés avec une longue barbe et aux yeux sombres. Perdant son sang froid, Natsu s'élance contre la vitre et la frappe avec son poing enflammé mais en vain... L'homme tenant dans ses bras Lucy se met a rire, ce même rire rauque. 
«  Je me présente, Hury Moga, maître des lieux. »
Tous le regarde avec surprise. Le maître des lieux ? ... Le maître de Balia ? Ils se présentent enfin a eux. Le maître de la guilde noire regarde les mages de Fairy Tail de haut, pour lui ils n'étaient que des misérables et des nuisances, lui tous ce qu'il voulait, il le possédé déjà.
« Il fut si simple de récupérer la source du pouvoir, vous êtes faible, Mage de Fairy Tail. Tu es comme Jude, bien naïve et faible. Mais on ne peut pas te retirer la beauté de Laila, tu lui ressemble tellement ... Fit il en caressant alors la joue de la blonde qu'il garde fermement contre lui. »
En entendant de tels propos, la blonde écarquille les yeux. Comment connaissait-il ses parents ? Qui était-il ? Trop de questions se bousculent dans la tête de notre mage qui ne savait pas comment réagir. Pendant que Hury observe sa proie, Natsu tente toujours de briser la vitre magique, il frappa avec son feu contre cette dernière mais tout ce qu'il parvient a faire c'est de faire rebondir ses flammes contre la vitre et qu'elles aillent s'écraser dans la grande salle de bal. Ces flammes qui sont donc repoussées allèrent s'écraser contre plusieurs miroirs ou les murs de la salle. Soudainement, Kana remarque une porte derrière un des miroirs. Elle décide alors d'alerter ses camarades et optent pour se séparer en deux groupes. Natsu et Elfman décide de rester dans cette salle de bal, les autres eux se précipitent vers la porte dans l'espoir de retrouver Lucy et Gadjeel. 
Alors que Hury était en train d'admirer sa proie et de rire dans son coin il ne remarque pas le départ d'une partie des mages, c'est en relevant les yeux vers Natsu qui continuent de frapper la vitre qu'il remarque qu'il ne restait que deux mages devant lui. S'énervant alors en remarquant sa négligence, il attrapa dans sa main la chevelure de la blonde qui se crispe et pose ses mains sur celle de l'homme qui l'avait saisi violemment. Le mage de feu stoppa alors ses gestes  et regarde son amie souffrir. Hury défia du regard le dragon slayer et il alla chuchoter quelques choses a l'oreille de la blonde avant de la relâcher brusquement au sol. La mage de feu demande a Elfman de reculer, il avait un très mauvais pré-sentiment. Lucy relève alors le visage et regarde droit dans les yeux son fidèle ami, elle souffla alors :
«  Ne reste pas ici ... »
Surpris par les propos de son amie, Natsu la regarde inquiète et soudainement Lucy s'attrape la tête et se met a hurler de douleur. Il abat ses poings sur la vitre en hurlant le prénom de la blonde, en vain. Hury lui se met de nouveau a rire et prononce alors de sa voix rauque :
«  Rosa Destroya »
En entendant ces mots, Elfman met en garde Natsu de reculer de la vitre. Il lui fait comprendre que le maître de Balia venait de mettre en action une des trois magies des artefacts, celle de la Rose. Le dragon slayer ne comprend pas tout de suite où voulait en venir Elfman, car Natsu avait oublié l'effet de cette magie, il regarde alors simplement l'homme disparaître dans une fumée blanche avec ce même rire qui résonne dans la pièce. La vitre qui séparée les deux clans disparut alors soudainement. Le mage de feu en profita pour courir auprès de la constellationniste, il prit son bras, mais l'homme au take over lui dit de se reculer et de faire attention, mais la salamendre ne l'écouta pas, pour lui c'était inconcevable que Lucy soit de nouveau atteinte par un des artefacts. Il tenait le bras de son amie, mais en une fraction de seconde, Natsu reçu un coup de poing violent et vola a travers la salle. C'était Lucy qui venait de lui assigner et cette dernière se releva et regarda vers ses amis mais ce n'était pas la même Lucy, celle-ci avait les yeux noirs et une rose de la même couloir sur la joue droite.
Rapidement Elfman comprend que Lucy n'était plus elle même et qu'elle était devenue leur ennemi. Surpris, Natsu sort des débris contre lesquels il venait de s'écraser. Il regarde alors Lucy qui était entourée d'une brume noire, fronçant les sourcils il vient au côté de Elfman et il lui dit alors que le seul moyen de la sortir de cet état de transe était de l'immobiliser et qu'après il se chargera du reste. Le mage a la chevelure blanche se transforme alors sans attendre en Beast Soul. 
Lucy court en direction de Elfman, ce dernier fit donc son Take Over complet et stoppa la tentative d'attaque de la blonde, Elle fit un bon en arrière et attrapa l'une de ses clés, Natsu reconnu celle de Sagitarus, il fit invoqué, ce qui choqua les deux hommes c'est que même son esprit avait les yeux noirs et une rose au visage. D'habitude les esprits ne son pas touchés par les entraves que Lucy pouvait subir. Les deux garçons étaient alors encore plus sur la défensive. Lucy leva son bras droit et dit un simple "GO" d'un ton froid et a donner des frissons.
L'esprit leva son arc et tira une dizaine de flèche sur les deux adversaires de celui-ci. Le mage de feu les brûla et tenta sa chance, il utilisa son hurlement du dragon mais ce qui ne savait pas c'était que a cause de la magie noire Lucy était devenue extrêmement puissante, rapide et agile, elle esquiva son attaque sans difficulté, Elfman avait écrasé les flèches et essaya de donner un coup de poing dans l'esprit, mais Lucy lui donna un coup de pied en plein ventre et le mage vola. 
Lucy fit rentrer Sagitarus et invoqua Taurus. Celui-ci fonça directement sur Natsu, prit de court il reçu un coup directe et s'écrasa au sol. La blonde alla près du mage de feu, elle le regarda dans les yeux, le jeune homme fut surpris de se qu'il vu, il avait vu les yeux chocolats remplit de larme de la vraie Lucy, mais ils redeviennent rapidement noir, et Lucy leva le pied et voulu écraser la tête de Natsu, mais ce dernier lui attrapa le pied et envoya valser la jeune femme. Elfman en profita pour aller la mobiliser, il attrapa ses deux bras et les bloquèrent ainsi que ces jambes, ainsi immobilisée, l'esprit de Taurus fut renvoyé dans le monde des esprits. La blonde essaya de se défaire, mais elle n'y parvint pas, même si Elfman avait du mal a la tenir, elle avait obtenu énormément de force.
Mais c'était trop tard, Lucy se défait de l'emprise de Elfman, elle le frappa d'un coup a la tête et dans l'élan du coup reçu, il fut propulsé contre le mage de feu, mais ce dernier l'esquiva, et se précipite dans le dos de la mage et lui donne un coup direct avec son Karyuno Tekken dans le dos, on pouvait entendre un cris de douleur venant de la blonde, elle finit au sol. Natsu se retourna d'un coup, au son de la voix de son amie, il se disait qu'il lui avait fait mal, il prit peur pour elle mais très vite il fit rattraper par la réalité, elle se releva en toussotant, un regard des plus profond lui était destiné. Le mage de feu sait qu'il devait agir vite, il ne perd donc pas de temps et se précipite en sa direction, prit de court, Lucy n'eut le temps de se défendre et reçoit un nouveau coup de Natsu. Elle fut propulsée contre un des murs de la salle, c'est a cet instant que la mage de feu hurle a Elfman d'intervenir. Ce dernier avait perdu son take over complet, il transforma alors son bras droit uniquement avec le taureau noir et attrapa les bras de Lucy pour l'immobiliser en l'air. A cet instant, le mage de la transformation demande a son camarade de faire rapidement ce qu'il avait à faire. Cependant, Natsu ordonne a Elfman de balancer le plus fort possible Lucy dans la salle. Surpris, Elfman hésita se demandant si c'était une bonne idée de faire ça, il ne voulait pas tuer la blonde, mais Natsu le rassura et lui demanda alors de lui faire confiance. 
Elfman a contre coeur mais sous les ordres de son ami, balanca la blonde le plus fort possible, avec la vitesse et la puissance elle alla s'écraser contre un miroir de l'un des murs, le miroir se brisa. Lucy était recouverte de coupure et de sang. Leurs ennemi en ce combat était épuisée, elle se releva, attrapa son trousseau de clef, mais la blonde paniqua, plus de clefs. C'était Natsu qui les avait dans sa main. Elle s'énerva et courut vers lui, Elfman se mit sur sa route et la stoppa par un coup de poing, elle tomba a genoux, elle ne pouvait plus bouger. Natsu alla vers elle, il la releva, ils se trouvèrent devant un miroir, Lucy ferma les yeux pour pas se voir. Natsu attrapa le menton de la blonde, et commença a lui chuchoter à l'oreille. 
«  Regarde toi Lucy ! Regarde ce que tu es devenue ! »
Elle se débâta, Elfman avait défait son take over et se mit derrière eux, il prit les poignées de la blonde pour les retenir. Natsu continua d'essayer de la raisonner. Il arrive a lui faire ouvrir les yeux, on pouvait voir les yeux chocolats de Lucy devenus noir ainsi que la rose de la même couleur sur sa joue. Natsu déposa sa main sur sa joue droite, en continua de lui chuchoter des choses à l'oreille.  Une larme coula le long de la joue de la blonde. Elle commença a s'agiter. Elle se libère et mets ses mains sur sa tête, elle regarder le sol et elle cria. Elle remercia ses deux amis d'une faible voix. Elle se battait maintenant contre elle même, pour ce libérer. Elle se griffa la joue droite a plusieurs reprise, le mage de feu voulut la stopper, mais Elfman l'arrêta et lui dit de rester calme et de la laisser faire. Une lumière de la couleur or se forma autour du corps de Lucy, cette lumière dégagea une atmosphère douce mais puissante. Les deux garçons devinèrent que cette lumière était les pouvoirs de la blonde.
Cependant ce pouvoir que libère la blonde était bien trop important. La mage stellaire libère bien trop de pouvoir en un seul coup, elle pourrait ne pas y survivre ! Natsu lui hurle de se contrôler de ne pas user d'autant de pouvoir d'un coup, il voulut la rejoindre mais le mage de feu fut retenu par Elfman qui lui dit de ne pas s'approcher de cette puissante lumière qui pourrait grièvement le blesser. Impuissant, Natsu regarde la scène, la lumière devint plus forte et éblouie les garçons, un crie retentit et d'un coup la lumière disparut on pouvait voir Lucy qui avec ses pouvoirs incroyable, venait de combattre l'artefact. Elle retomba alors brusquement au sol, le mage de feu alla l'attraper, elle était en très mauvais état, elle venait d'user d'une trop grande source de pouvoir et elle fut relativement blessée par son combat contre ses deux camarades. Lucy avait les yeux ouverts, elle était faible et elle eut un petit sourire de victoire, Natsu fut rassurée de la voir ainsi ... 
Maintenant rassurée d'avoir récupéré Lucy, il la porte sur son dos et les deux garçons se dirigent vers la porte que l'autre groupe avait emprunté plus tôt. 
De leurs côtés, ils courent encore, ils étaient passés par beaucoup de pièce, une salle a manger, une cuisine et une chambre, ils venaient d'entrer dans une bibliothèque, Titania proposa de chercher des indices, des explications voir même des solutions. Ils se mirent a chercher et a discuter entre eux lorsqu'ils entendirent un bruit, comme une personne qui cogne contre une parois. Juvia surprise alla vers la source de ce bruit. Grey lui demande de ne pas se précipiter. Cependant la mage de l'eau ne les écoute pas, elle semblait déterminée a passer devant et vouloir avancer.
Puis soudainement, le cris de la mage d'eau se fait entendre. Surpris, tous les autres mages allèrent a sa rencontre et on vit Juvia au sol, elle venait de se faire électrocuter. Au sol, la mage eut un faible sourire, et elle leur dit alors. 
«  Je le savais que c'était un piège .. »
Surprise par ces propos, les mages la regarde. Elle le savait ? Alors pourquoi c'était-elle précipitée ainsi dans le piège ? La mage de l'eau fut redressée par Grey, et cette dernière lui montre du bout du doigt une autre porte, qui était visiblement la sortie de la bibliothèque, elle a préféré foncer dans le piège plutôt que l'ensemble du groupe se fasse prendre dans la décharge. Elle c'était disons sacrifiée pour eux. Surpris par cette démarche, Grey lui demande de se reposer et la prend sur son dos. A cet instant précis, des cris d'appels se font entendre. C'était la voix de Elfman qui tente de trouver ses camarades. 
Happy alla a leur rencontre pour ensuite les mener jusqu'au reste du groupe. En se retrouvant, les deux groupes regardent les dégâts. Lucy et Juvia étaient toutes les deux dans un sale état. Chacun explique leur situation et en apprenant que Lucy fut contrôlée par un énième artefact, Erza monta dans une colère noire. Il fallait stopper ce massacre et surtout retrouver Gadjeel. Grâce a Juvia, les mages ont pu emprunter sans soucis la porte de sortie de la bibliothèque. C'est a cet instant que les mages de Fairy Tail se retrouvent dans un immense jardin. 
Au centre de ce jardin se dresse une magnifique fontaine, tout autour de ce jardin se trouvait des rosiers de roses noires, cela était surprenant et donné a ce jardin majestueux des allures bien lugubres. Mais ce qui attira le regard des mages fut un énorme cristal qui se dressait au fond du jardin. Tous avancèrent vers ce cristal et il furent surpris d'y voir enfermé le dragon slayer d'acier qui était inconscient. En observant le cristal on pouvait voir qu'il n'était pas très épais et qu'il pouvait très certainement être facile a détruire. Erza décide donc de combiner leurs attaques en un point pour le détruire comme ils ont fait pour la muraille magique.
Sans attendre les mages encore valident attaque en un seul point et le cristal se brise en milles morceaux, Gadjeel fut propulsé au sol, et lorsqu'il se retrouve libéré de ce cristal, il ouvre les yeux et regarde ses camarades. Il était un petit peu dans le gaz mais il ne semblait pas blessé a la surprise générale. Il se redresse et remercie simplement ses camarades de l'avoir sauvé.
Une fois remis de ses émotions, les mages de Fairy Tail décide de poursuivre leur avancé, ils empruntent donc une énième porte retournant donc a l'intérieur du manoir, et ils se dirigent a présent vers le maître de Balia.
0 notes
Text
Tumblr media
Il y a d'abord des traits finement ciselés, une peau tendue et lisse, éternellement figée dans le temps de la jeunesse. Une mâchoire carrée au menton brisé. Un sourire qui s'étire malicieusement sans remonter, signe de défi envoyé à l'existence. Un regard d'aigle qui darde l'insolence de celui sûr de ses facultés.
Cet homme spectaculairement beau ne retiendrait que brièvement l'attention si son visage ne semblait crispé par une inquiétude fugace, s'il n'était creusé par une intranquillité qu'il tentait vainement de dissiper en tirant nerveusement sur sa cigarette comme il tirait sur la vie, si un feu ardent ne crépitait dans ses yeux alertes. Julien Gracq, son professeur au lycée Claude-Bernard, le rassembla dans cette formule brillante: «Il rappelait obstinément le plein vent». Tout Huguenin tient dans ces trois mots: le plein vent.
La littérature réserve aussi ses foudroiements. Le nom d'un écrivain entre distraitement par une oreille, l'œuvre s'entame sans appréhension, une trame agrippe l'attention, un style séduit, le temps s'éclipse et il arrive qu'une collision se produise entre le lecteur et l'auteur tapi dans l'ombre de l'œuvre. Le journal, qui est un exercice de mise à nu, facilite cette rencontre singulière car il le révèle intimement.
Une attitude face à l'existence, des perceptions du monde extérieur, un tempérament nervuré d'élans, de sentiments, de peurs font résonner chez le lecteur attentif de profonds échos. Par le seul truchement des mots, un inconnu semble extraordinairement proche. Le Journal de Jean-René Huguenin évoque la fameuse charge de cavalerie de Murat à Eylau.
Ses phrases tirées au cordeau, précocement empreintes de cette belle gravité que seuls détiennent d'ordinaire les écrivains éprouvés, exultent et insufflent une telle soif de vie qu'elles en deviennent audibles. Quand on le lit, on entend instantanément sa voix, qui vibre encore longtemps à l'oreille après que l'on a relevé les yeux. Son écriture est un rugissement continuellement renouvelé par une incomparable vitalité — «Jetez-vous dans la rue, dans la vie, dans le monde, la tête bien haute et le corps exposé.» Nous aurions été à lui ce que Cassady était à Kerouac. Nous l'aurions regardé avec admiration, lui, armé de tous les dons, se consumer «comme une chandelle romaine»; et nous l'aurions aimé.
Son unique roman, La Côte sauvage, est une manifestation éclatante de prose poétique. Suzanne Julliard associait celle-ci, avec beaucoup d'à-propos, aux vers des Djinns de Victor Hugo: «Un chant sur la grève, par instants s'élève (…)». Dans leur prose, Chateaubriand et Proust brodent minutieusement leur poésie et l'ornent de multiples précisions. À l'inverse, Huguenin progresse en usant d'un style elliptique, comparable à celui de Céline.
Chez ces deux écrivains, on retrouve cette même émotion tenue en bride, distillée par phrases coupées, qui nous retrousse les lèvres, cet art d'esquisser le sentiment par l'allusion. C'est une littérature suggérée — et donc éminemment poétique. La prose de Céline est un chant funèbre tandis que celle d'Huguenin est un chant d'une joie tragique — «Faire du sentiment tragique de la vie non pas une raison de désespoir, mais la source de son exaltation.» Huguenin est un Céline solaire qui a intensément aimé les vives clartés d'un été trop court.
Tous deux fissurent la distinction formalisée par Sartre entre le prosateur qui se sert du langage et le poète qui le sert. Les chants célinien et hugueninien ne sont pas qu'utilitaires, ils ne vont pas droit au but, ils prennent des chemins détournés qui s'adressent à l'imaginaire et servent la langue. En lisant La Côte sauvage, on est écartelé entre la description poétique des journées d'été dans le décor breton et le caractère dérangeant de l'intrigue. Les deux hommes ont également ceci en commun d'être agacés par une légèreté indifférente d'après-guerre.
Quand Céline dit: «Qu'ils étaient lourds.» , il fait allusion aux préoccupations matérialistes de ses contemporains et à leur passion du mouvement frénétique et dérisoire. Huguenin écrit que ce qui n'est pas grave non seulement l'ennuie mais lui fait de la peine, et qu'il éprouve devant la légèreté «une sorte de chagrin d'enfant». La superficialité leur est pesante.
On entend distinctement la voix d'Huguenin parce qu'il rugit, mais aussi parce que ses positions littéraires et politiques dissonent dans un temps de libération des mœurs; et qui continuent de dissoner, avec encore plus de clarté, dans notre époque où cette libération s'aggrave. Il s'étonne de l'optimisme de ses aînés à l'égard de ce nouveau défoulement sexuel. Il est effaré de lire que ceux-ci s'applaudissent d'avoir relevé le défi rimbaldien («L'amour est à réinventer.») L'auteur de La Côte sauvage pense, à l'inverse, qu'aujourd'hui «l'entreprise hardie, insensée, mais peut-être enfin libératrice, ce serait de parler d'amour».
Il écrit que sa génération «commence à être lasse de cette civilisation sans mystère qui prétend lui donner réponse à tout et lui apprendre à ne croire qu'à ce qui se voit, se touche ou se compte. Elle est lasse de posséder si facilement les corps et de perdre, par cette facilité même, l'espoir d'une jouissance plus délicate, qu'elle n'ose pas appeler l'amour. Elle est lasse de ne sentir battre son cœur qu'une trentaine de secondes, sur un lit à peine froissé, le soir même de la première rencontre; (…) et dans le secret de son cœur déchiré, méconnu, elle rêve de béatitudes plus durables».
La critique formulée par Huguenin de la conception moderne de l'amour et, surtout, de la conception moderne de la vie, se prolonge dans celle qu'il fait de la Nouvelle Vague. Il «règle son compte» à ce «mythe» en fustigeant le dégoût du monde, la tristesse de jouir et la fatigue de vivre de ses héros. Michel Poiccard dans À bout de souffle, interprété par Jean-Paul Belmondo, en est une illustration.
On a beaucoup vanté la «fureur de vivre» des personnages archétypaux de cette époque — Sagan, par exemple, qu'Huguenin écorne à plusieurs reprises —, mais ils semblent plutôt habités d'une fureur de se fuir, une fureur face à leur insensibilité et leur ennui qu'ils comblent par des succédanés d'existence: l'alcool, la vitesse, «tout ce qui grise, fait tourner la tête et fermer les yeux». À rebours, Huguenin détestait la dispersion. Son Journal est traversé par une lutte perpétuelle avec lui-même pour échapper à la facilité, la faiblesse et l'indifférence.
Son exigence envers lui-même était impitoyable. Il voulait à tout prix se résister, se vaincre. Il recherchait la compagnie de la solitude et de la souffrance pour mieux descendre en lui et bâtir son œuvre. À l'heure où nous laissons la tyrannie du divertissement distraire nos vies et éventrer nos résolutions, Huguenin se dresse comme un rappel à l'ordre salutaire.
Aymeric de Lamotte à propos de Jean-René Huguenin, Le Figaro.
0 notes
christophe76460 · 1 year
Text
Tumblr media
Dieu notre Père, NOTRE SÉCURITÉ
[PSAUME 91:1-16]
Dans son livre, "Pray and Grow Rich", Catherine Ponder raconte l'histoire d'un commandant de régiment britannique, le colonel Whittlesey, qui a servi pendant la Première Guerre mondiale pendant plus de quatre ans sans perdre un homme. Lorsqu'on lui a demandé comment son régiment avait réussi cet exploit, le colonel Whittlesey a répondu que c'était parce que les officiers et les hommes de ce régiment mémorisaient et répétaient régulièrement le 91ème psaume, qu'ils appelaient leur <<psaume de protection>>.
Dans ce Psaume, Dieu se présente comme le Tout-Puissant qui protège son peuple de tout mal, alors qu'il demeure <<dans le lieu secret du Très-Haut>>. "L'ombre du Tout-Puissant" les protégera alors qu'Il les recouvre de Ses plumes. On s'attend à ce que le peuple de Dieu lui fasse confiance en tant que refuge et forteresse tout en s'accrochant à la vérité de ses révélations. Alors ils n'auront pas peur de "la terreur de la nuit ni de la flèche qui vole le jour..." Il a promis de confier à Ses anges la charge de Son peuple, de répondre à leurs prières et de les satisfaire par une longue vie.
Demeurer sous "l'abri du Très-Haut" se fait par le salut du péché - un don que Dieu donne à tous ceux qui se repentent de leurs péchés et confessent Jésus-Christ comme leur Sauveur et Seigneur. Chaque enfant de Dieu a droit à cette protection qui vient de Jéhovah Dieu. Mais alors, comme pour toutes les promesses de Dieu, cette bénédiction doit s'approprier par la foi.
Notre histoire de la guerre mondiale nous dit que les officiers et les hommes du régiment "mémorisaient et répétaient régulièrement" le Psaume pour qu'il fonctionne pour eux. Aujourd'hui, alors que le Seigneur envoie son peuple comme "des brebis au milieu des loups", il les a également assurés de sa présence permanente : "et voici, je suis avec vous pour toujours, jusqu'à la fin du monde". Le voleur vient voler, tuer et détruire, mais le Dieu éternel reste notre refuge et sous nous se trouvent ses bras éternels.
La présence de Dieu dissipe tous les dangers
Que l'Éternel le Dieu Tout-Puissant nous protège et nous aide à demeurer constamment dans Ses parvis pour bénéficier de Son abri. 🙏🏿🙏🏿🙏🏿🙏🏿🙏🏿🙏🏿
0 notes
verver · 1 year
Text
SANS REGRET
SANS ESPOIR
Extrait 33
Ray donna des ordres que répercuta Blotin puis il lui fit signe qu'il ramenait Ginette chez elle .
Ginette cherche à dire des trucs à Ray mais ses propos sont incompréhensibles et noyés dans des sanglots.
Ray, d'un air protecteur tenait Ginette par les épaules et la fit asseoir dans son véhicule.
Il fallait qu'il lui explique que dans ce boulot, avec ses arrestations violentes , il pouvait arriver n'importe quoi et se terminer par un drame .
Il fallait lui apprendre se que les instructeurs ne font pas à l'école de la police, que cela faisait partie de sa fonction.
Il était autant marqué qu'elle.
Il avait du mal lui aussi à s'habituer ces carnages.
Une envie de picoler montait en lui , aussi il appuya sur l'accélérateur.
La soif n'attendait pas et c'était son unique remède.
Pendant que Ginette prenait une douche , Ray scrutait autour de lui.
En fin de compte, il avait ramené Ginette chez lui, le chemin était plus court.
Elle avait accepté sans rechigner, la pauvre n'avait pas trop le choix. Vu les circonstances Ray n'avait aucune arrière pensée.
Autour de lui des livres comme d'habitude, devant sur la table basse des œillets qui ont été rose bonbon et que la pourriture avait rendu couleur marron . Puants et durs ces œillets étaient au bord de la cassure.
- Il faut que je les jettent à la poubelle ces fleurs.
Ray s'en debarrassa tout de suite en laissant un vase dégueulasse dans l'évier.
Ses fenêtres donnaient sur la rue ne laissant voir que la cime des platanes ornant celle-ci et déjà dépouillés de leurs feuilles.
Au dessus de son crâne l'ellipse blanchâtre de son lustre absorbant la fumée opaque qu'il recrache de ses poumons en tirant sur des cigarettes goulument en formant des figures imaginaires tournant autour de sa cinquante watt.
De l'autre côté de la rue , Ray voyait les fenêtres qui faisaient face à son salon.
Il croyait apercevoir quelqu'un en ombre se détachant d'une lampe d'où sort une lumière en douche , aiguë au plafond et large au sol.
L'ombre passe et repasse, puis disparaît. Ray recrache la fumée, il attend que les voluptes se dissipent et le ramène à son spectacle.
- Tu veux un verre Ginette ?
Elle répondit par l'affirmative , il lui servit un grand verre de vodka. Elle le vida d'un trait.
Il lui dit en remplissant les verres :
- Tu sais Ginette, ça arrive ces trucs là ! pour toi c'est la première fois et cela est dur !
- Oui Ray ! et j'ai toujours dans la tête le bruit des déflagrations et ce corps projeté en arrière comme un pantin.
- C'était elle ou nous ! tu n'as fait que ton boulot ! lui dit Ray.
- t'es gentil Ray !
Elle semblait se rassurer petit à petit.
- Tu as fain ?
- Non mais je veux bien un autre verre.
1 note · View note
Text
Premier League : Top 5 des meilleurs milieux défensifs.
Tumblr media
La Premier League est connue pour être le meilleur championnat au monde. Ce qualificatif est dû au niveau d'intensité et d'adversité que la compétition impose. Nous allons dans cet article nous intéresser à un poste de l'ombre qui constitue un élément essentiel d'une équipe. Voici le Top 5 des milieux défensifs de la Premier League. Fabinho Tout d'abord, Fabinho fait incontestablement partie de notre liste des meilleurs milieux de terrain défensifs de Premier League. Depuis son arrivée à Liverpool à l'été 2018, l'international brésilien Fabinho s'est imposé. Il s'est installé comme un membre à part entière de l'effectif des Reds. Le joueur de 28 ans est généralement considéré comme l'un des premiers noms sur la feuille de match de Jurgen Klopp. Son importance pour la cause d'Anfield est mise en évidence chaque fois que Fabinho n'est pas disponible. Il est doté d'un talent technique et d'une capacité de lecture du jeu quasi inégalée. Fabinho est, sans conteste, l'un des meilleurs joueurs du monde dans son rôle. Lire aussi : Premier League : Top 5 des managers ayant le plus de victoires après 100 matchs Rodri Le meilleur milieu défensif de la Premier League ? Au vu de la saison dernière, il serait difficile de dire le contraire. Il a quitté Madrid pour Manchester, il y a trois ans. L'international espagnol Rodri n'a cessé de progresser. Il fait désormais partie des candidats au titre de meilleur milieu défensif du monde. L'influence de Pep Guardiola s'est incontestablement avérée déterminante dans cette évolution. Ceux qui craignaient que Fernandinho ne soit irremplaçable ont vu leurs inquiétudes se dissiper. Ténacité, récupération, sang-froid, passes à courte et longue distance, frappe foudroyante. Il a aussi l'habileté à contrôler le rythme d'un match depuis la profondeur. Rodri possède tous les traits requis pour exceller dans le rôle de milieu défensif, en abondance absolue. Comme il vient d'avoir 26 ans, le meilleur reste à venir... N'Golo Kante Le joueur suivant n'a peut-être pas été au mieux de sa forme la saison dernière. Il n'en reste pas moins que N'Golo Kante, la star de Chelsea, reste injouable dans ses bons jours. Le joueur de 31 ans a connu la gloire à la fois dans son pays et sur la scène européenne. Son importance pour la cause des Blues est absolument incontestable. Kante a, à certains égards, redéfini ce que signifie être un "milieu défensif". Il a cette capacité de patrouiller sur toute la longueur du terrain tout en protégeant les défenseurs derrière lui. C'est un spectacle à voir. L'arrivée de Jorginho dans les rangs de Chelaea signifie que l'ex-star de Leicester City est désormais plus utilisée comme un "8" que comme un "6" traditionnel. Mais il n'en reste pas moins que Kante restera aux yeux de la plupart comme l'un des meilleurs milieux défensifs de tous les temps. Lire aussi : Premier League : Le 11 type des joueurs absents au mondial ! Declan Rice Declan Rice est le premier et unique Anglais de notre liste des meilleurs milieux défensifs de Premier League. Bien qu'il n'évolue pas dans l'un des grands clubs traditionnels de la division, Rice a prouvé à maintes reprises au cours des deux dernières saisons qu'il est plus que capable de tenir tête aux meilleurs joueurs du football anglais. Ce qui rend le joueur de 23 ans si spécial, c'est sa capacité à bien défendre et à attaquer efficacement. Il sait annihiler les attaques à leur source grâce à ses qualités athlétiques. Sa lecture du jeu et son endurance remarquable sont ses principaux atouts. Mais, il a aussi la faculté de se projeter lorsqu'il est en possession du ballon. Autrefois considéré comme un simple bouclier défensif, Rice a enrichi son jeu de manière spectaculaire au cours des deux dernières années. Il est désormais plus qu'à l'aise pour distribuer des passes sur toute la longueur du terrain. Le jeune Anglais peut briser les lignes du milieu de terrain grâce à des courses rapides. Un transfert vers l'une des élites de la Premier League l'attend sans aucun doute. Mais pour l'instant, West Ham continue de récolter les fruits de l'un des plus grands talents du pays. Thomas Partey Notre prochaine inclusion peut donner lieu à une certaine forme de débat, en raison des questions sur sa position exacte sur le terrain. Beaucoup diront sans conteste que Thomas Partey est plus à l'aise en tant que milieu de terrain box-to-box. C'est un rôle qui lui permet d'utiliser un jeu complet. Il allie une excellente résistance au pressing et des capacités de franchissement de ligne. Mais depuis son arrivée à Arsenal, le Ghanéen a surtout opéré en tant que pivot à deux aux côtés de Granit Xhaka. Son aptitude à bloquer les attaques adverses aux moments clés fait partie intégrante du dispositif de Mikel Arteta. Il n'a pas été surprenant de voir les Gunners s'envoler vers le top 4 au lendemain de la dernière blessure de Partey. Ce qui témoigne de l'importance croissante du joueur de 29 ans dans le nord de Londres. Si Arsenal parvient à retrouver la Ligue des champions la saison prochaine, l'homme fort du milieu de terrain sera sans aucun doute l'une des raisons de cette réussite. Lire aussi : Liga : Dix joueurs qui pourraient signer en Premier League cet été ! Read the full article
0 notes
frenchscificovers · 2 years
Photo
Tumblr media
1 note · View note
daryunaru · 2 years
Text
Chapitre 1 (en français)
An 303 du calendrier Parse. Le jeune Narsus fera une rencontre qui changera sa destinée, loin des quartiers populaires de Ecbâtana, la capitale du prestigieux royaume de Parse.
- Lève ton pinceau Narsus, demanda-t-elle puis se pencha sur la fraîche toile en laissant un rideau de cheveux clairs se déverser depuis son épaule. - Comment la trouvez-vous mère ? s'enquit le garçon en cherchant le regard de sa mère. - Beaucoup mieux. Cependant, il subsiste des défauts, nuança-t-elle. Tu es encore trop nerveux. Regarde, lui montra-t-elle en le réconfortant avec une bise sur la tempe. Tes traits sont encore irréguliers, mais ça va se dissiper avec de la pratique. N'oublie pas que tu as toute ta vie pour te perfectionner, le consola-t-elle. - Mais mère ! C'est tellement frustrant ! Peut-être serais-je meilleur dans d'autres domaines ? - Avec un tel raisonnement, tu te caches dans un manque de volonté... Bon, arrêtons pour aujourd'hui, il est bientôt l'heure de dîner. - Bien mère.
Des serviteurs approchèrent du chevalet abandonné avec hâte par le jeune maître et sous l'air songeur de la maîtresse de maison. Son Narsus ressemblait un peu plus chaque jour à son père. La seule chose qui subsistait d'elle était ses yeux améthystes. Ce portrait grandissant du Marzbähn Teos rendait le cœur de la mère flétris. Voilà bien longtemps qu'il n'était point venu se réchauffer dans son lit. Pourtant, elle restait consciente qu'elle demeurait et resterait qu'une concubine aux yeux de son Marzbähn. Parfois, elle s'aimait imaginer, tel un beau conte juvénile, que son amant délaisserait sa piteuse femme pour elle. Hélas, elle se devait se résigner avant qu'on ne le fasse pour elle...
- Madame ? Le marzbähn Teos vous attend dans le hashti.
Après une séance de peinture ardue, le jeune garçon courra rejoindre ses amis quand un noble s'avançait au hashti avec quelques gardes de Daylam
- Hé Nars' ! Tu es enfin libéré ! S'exclama un garçon un peu plus âgé que lui. - Oui ! On peut enfin jouer ! - Enfin, pas trop longtemps à ce que je vois... Ton père revient enfin ? - Ne dis pas n'importe quoi Kiyam ! Ce n'est pas mon père ! - À tous les coups, ils viennent pour toi, taquina-t-il. Aller, viens !
Il se saisit du poignet de Narsus et l'entraîna dans les ruelles. L'aîné cria à Narsus de se cacher de son côté. Pris par le jeu, le garçon exécuta l'ordre en suivant l'ombre d'une maison. Quand il se retourna, il n'avait plus personne. Le calme reprit le quartier. Devrait-il retourner sur ses pas ?
Narsus quitta un instant l'ombre avant d'y retourner. Le noble et ses gardes se tenaient au bout de la rue. Pourquoi n'attendaient-ils pas à la porte ?
Il s'accroupit entre deux pots en argiles et attendit un moment en portant à ses lèvres le médaillon qui ornait son cou. Mère n'aime pas que je fasse ça... suite à cette pensée, il relâcha avec précaution la pierre et le laissa pendre sur son cou. Kiyam ne devrait pas tarder à le trouver... Enfin... Si il ne restait pas lui aussi cacher. En tout cas, il aurait entendu si son ami avait été pris. Narsus prit son courage et longea le mur jusqu'à voir la rue et se permit de soupirer. Les hommes n'étaient plus là. Il guetta encore, se replongeant entre derrière de grosses caisses quand le noble appela les serviteurs de sa mère. Ils sortaient en hâte, et firent sortir sa mère devant l'homme et ses gardes.
Narsus s'en voulut de laisser sa mère seule avec ces hommes. Elle avait besoin de lui ! Il quitta sa cachette et se dirigea vers la maison sous le soleil d'avril. La surprise prit le garçon. La maîtresse de maison affichait à ces inconnus un sourire radiant. Narsus était encore trop loin pour entendre, mais il les vit se précipiter dans la maison.
Il s'approcha de la porte. Les domestiques semblaient être tous occupés, même Sinan n’était pas visible. Pourtant, il est rare qu’il ne soit pas en train de veiller… Et si maman avait besoin de lui ? Narsus leva la main vers la poignée avant d'hésiter. Une discussion se déroulait sous la douce voix de sa mère, puis la voix suave de l'homme inconnu, puis leur rire mêlé.
L'idée que cet homme, noble ou non, soit son père lui parut absurde. Pourquoi revenir maintenant ? Était-ce vraiment lui ? Narsus n'eut pas le temps de s'esquiver quand la porte s'ouvra sur lui. Le rire de sa mère se transforma en faible cri.
- Voyons Narsus ! Interpella-t-elle. Qu'attendais-tu pour entrer ? Messire, veuillez excuser l'impudence de mon fils, s'excusa-t-elle en baissant sa tête vers le sol. - Je suis sûr qu'il ne recommencera pas, Fizaa, assura l'homme en posant ses doigts sous le menton de sa mère et le redressa.
Le regard de cet homme sur sa mère glaça le sang du jeune Narsus et il ne put retenir un frisson quand il le vit sourire. Sa mère le lui rendit et joignit ses doigts aux siens.
- Narsus, je te présente l'honorable marzbähn Teos, ton père, présenta Fizaa en faisant avancer Narsus vers son géniteur.
Impossible ! Depuis toujours la question de son père était évitée avec soin par sa mère. Il avait jadis entendu des rumeurs sans trop les comprendre. Pourquoi les avoir laissés à l'écart depuis tout ce temps ? Sa mère et lui avaient réussi à faire leur vie sans lui !
Narsus savait qu'il ne porterait jamais une once d'amour pour cet homme. Il était le parfait opposé de sa mère. Son sourire amenait le froid alors que celui de sa mère était un rayon de Soleil. Cependant, il était impossible pour lui de nier... En défigurant du regard un peu plus cet homme, Narsus retrouvait des similitudes dans ses traits... Faites que je ne lui ressemble pas d'avantage plus tard !
Le marzbähn Teos se mit à la hauteur de son fils pour lui offrir quelque chose. Un bonbon ? Il essaie de m'attendrir là ? Loin de là... Narsus sentait la fraîcheur de l'anneau orné d'un saphir. Que devait-il en faire ? La porter ? Ses doigts étaient encore trop fin pour la porter ! Il y accorda toute son attention avant de lever ses yeux vers sa mère.
Son regard se balayait sur lui et sur le marzbähn. Narsus comprit le message. Il remercia du présent. Cependant, ce n'était pas uniquement les pensées de sa mère. Elle pâlit. Elle semblait avoir compris la raison de sa visite.
- Mère ? s'inquiéta Narsus quand elle posa ses mains sur ses épaules. - J'ai une proposition pour toi et ta mère, annonça le père en ébouriffant les cheveux de son fils et se redressa pour regarder par la fenêtre la course folle du Soleil se terminer. Tout d'abord, je voudrais en connaître plus sur toi. - Teos... supplia Fizaa en rapprochant Narsus à elle. - Je veux mon héritier Fizaa ! Exigea le seigneur Teos, perdant tout le charme artificiel qu’il s’efforçait à montrer. - Ta femme n'a pas su t'en offrir ? cracha-t-elle.
Narsus regarda le visage de sa mère. Ses yeux brillaient.
- Teos ! cria-t-elle face au silence. Tu ne peux pas le séparer de moi ! - Fizaa... amadoua Teos en s'approchant d'eux. Nous avons déjà eu cette conversation...
Narsus recula. Où compte-t-il m'emmener ? Les craintes ne fuirent pas malgré que les bras protecteurs de sa mère l'entouraient.
- Tu dois décider Teos... Emmène-le et tu ne me reverras plus jamais, annonça sa mère en tremblant. - Mère ?
Qu'entent-elle par là ? Je ne veux pas la quitter, moi !
- Je suis désolé, mais il le faut.
Les gardes séparèrent la mère et l'enfant malgré leurs protestations et leurs larmes.
- Je ne veux pas quitter maman ! cria Narsus en se débattant de toutes ses forces. - Le destin en a décidé autrement mon garçon... Estime-toi heureux. Tu vas connaître un grand avenir, lâcha son père et quitta la maison sous les pleurs de sa mère. - Maman ! pleura à son tour Narsus. Je t'aime et jamais, jamais je ne pourrais t'oublier !
Peu importe ses efforts, peu importe ses pleurs, son père l'avait emmené loin de cette douce maison, de sa tendre mère...
C'était le début de sa nouvelle et brillante destinée.
7 notes · View notes
janelher · 1 month
Text
Entre ciel et terre
L’espace est un oiseau en plein vol, ses ailes déployées contre le ciel, immobile dans un souffle de vent, comme capturé dans un instant éternel, harmonie parfaite entre mouvement et immobilité, entre ciel et terre. Entre toi et moi. Pareille à une corde tendue entre deux univers, la réalité prend la forme d’un silence désert étoilé, s'étendant jusqu'à l'horizon où le ciel et l'eau se fondent en une ligne qui semble se prolonger au-delà de l'entendement, symbole d’un mystère sans limites, océan de souvenirs sans rivages. 
Je deviens une chenille, me transformant en papillon, émergeant de mon cocon avec des ailes vibrantes de couleurs nouvelles, mon visage se transforme en masque de comédie, révélant une seule de ses nombreuses facettes. La face exposée est une ombre projetée, un mirage fugace ; tandis que celle cachée est le fruit d'un labyrinthe complexe, conçu pour te manquer. L'effort d'effacer ta trace de ma mémoire est comme porter le poids d'un rocher immense sur mes épaules.
Cet oubli est une traversée d'un désert, je navigue dans le doute de ma capacité à rester ancrée dans la raison, consciente du gouffre béant qu'implique le fait de poursuivre dans une demi-existence. Et bien que je choisisse de marcher vers l'horizon, me battant pour accepter que notre chapitre est clos, le fardeau d'effacer ton ombre de mon chemin est comme de gravir une montagne sans pic. Un effort semblable à celui de retenir les vagues de l'océan avec mes mains, de traverser un champ de brouillard indélébile.
Même dans ma décision de me frayer un chemin nouveau, confrontée à la vérité implacable que tout est terminé, l'acte d'effacer ta présence de ma vie est comme de reconstruire une ville en ruines. Dans ce voyage où j'ai bravé les tempêtes de l'âme, portant en moi le lourd fardeau du passé, j'ai appris à feindre un sourire, à simuler la joie pour échapper à l'ombre de la mélancolie. Comme l'a si bien dit Benjamin Constant, "Nous sommes des créatures tellement mobiles que les sentiments que nous feignons, nous finissons par les éprouver." 
Et, dans cette étrange danse de l'existence, ce sourire fabriqué a commencé à prendre racine en moi. Tel un soleil levant qui dissipe la brume matinale, un nouvel amour est venu éclairer mon horizon, apportant avec lui une lumière authentique, réchauffant mon cœur autrefois frigorifié. Dans ses yeux, je trouve un reflet de bonheur sincère, une promesse de jours radieux. Ses mains, en se liant aux miennes, tracent un chemin de douceur et de sérénité, où chaque pas me rapproche d'une joie véritable. 
Ainsi, au fil des jours, le semblant de sourire se mue en une expression de contentement profond, un rire qui jaillit spontanément, un éclat de joie inattendu. Je t'abandonne enfin. Je ferme la porte du monde des souvenirs et des rêves évanescents pour m'immerger pleinement dans cette nouvelle réalité. En te laissant derrière moi, je me laisse doucement glisser dans l’étreinte réconfortante d’un autre amour. Cet amour, tel un phare dans la nuit, me guide vers des rivages insoupçonnés de bonheur. Après les plus rudes tempêtes, et le chemin obscurci par les ombres du passé, même les cœurs les plus ébréchés peuvent encore battre au rythme de l'amour et de la joie. 
0 notes
tournelavie · 2 years
Text
Mes compatriotes (Kahlil Gibran)
Que cherchez-vous, mes compatriotes ?
Désirez-vous que je construise pour vous des palais magnifiques, décoré de mots vides de signification ou des temples couverts de rêves ?
Me commandez-vous de détruire ce que les menteurs et les tyrans ont construit ?
Dois-je déraciner de mes doigts ce que les hypocrites et les malfaisants ont planté?
Dites votre souhait fou !
Qu'est-ce que vous me feriez faire, mes compatriotes ?
Dois-je ronronner comme le chaton pour vous satisfaire, ou hurler comme le lion pour me satisfaire moi-même ?
J'ai chanté pour vous, mais vous n'avez pas dansé ;
J'ai sangloté avant vous, mais vous n'avez pas pleuré.
Est-ce que je dois chanter et pleurer en même temps ?
Vos âmes souffrent les douleurs de la faim, et pourtant le fruit de la connaissance est plus abondant que les pierres des vallées.
Vos cœurs se flétrissent de soif, et pourtant les sources de vie coulent de vos maisons.
Pourquoi ne buvez-vous pas ?
La mer a son flux et son reflux,
La lune a sa plénitude et ses croissants,
Et les temps ont leur hiver et leur été,
Et toutes les choses changent comme l'ombre d'un dieu à venir allant entre terre et soleil,
Mais la vérité ne peut pas être changée, et ne s’éteindra pas non plus ;
Pourquoi, alors, essayez-vous de défigurer son visage ?
Je vous ai appelé dans le silence de la nuit pour montrer la gloire de la lune et la dignité des étoiles,
Mais vous avez été effrayé dans votre sommeil et avez saisi vos épées dans la crainte,
En criant " Où est l'ennemi ? Nous devons Le tuer d'abord ! "
À la marée du matin, quand l'ennemi est venu, je vous ai appelé à nouveau,
Mais alors vous ne vous n’êtes pas sorti de votre sommeil,
Car vous étiez enfermés dans la crainte, luttant avec les cortèges de spectres de vos rêves.
Et je vous ai dit, " Montons jusqu'au sommet des montagnes et regardons la beauté du monde."
Et vous m'avez répondu, disant, " C’est dans les profondeurs de cette vallée que nos pères ont vécu,
Et dans ses ombres ils sont morts, et dans ses cavernes ils ont été enterrés...
Comment pouvons-nous quitter ce lieu pour un qu'ils n'ont pas honoré ? "
Et je vous ai dit, « Allons dans la plaine qui donne sa générosité à la mer. »
Et vous m'avez parlé timidement, disant, « Le tumulte de l'abîme effraiera nos esprits,
Et la terreur des profondeurs étouffera nos corps. »
J'ai vous ai aimé, mes compatriotes, mais mon amour pour vous est douloureux pour moi et inutile pour vous ;
Et aujourd'hui je vous déteste, et la haine est un flot qui balaye les branches sèches et les maisons tremblantes.
J'ai plaint votre faiblesse, mes compatriotes,
Mais ma pitié a seulement accru votre faiblesse,
Exaltant et nourrissant la paresse qui est vaine à la vie.
Et aujourd'hui je vois votre infirmité que mon âme déteste et craint.
J'ai pleuré votre humiliation et votre soumission, et mes larmes ont coulé comme du cristal,
Mais sans assécher votre faiblesse stagnante ;
Cependant elles ont enlevé le voile de mes yeux.
Mes larmes n'ont jamais atteint vos coeurs pétrifiés, mais elles ont nettoyé l'obscurité de mon intérieur.
Aujourd'hui je raille votre douleur, car le rire est un tonnerre faisant rage qui précède la tempête et ne vient jamais après lui.
Que désirez-vous, mes compatriotes ?
Souhaitez-vous de moi que je vous montre le fantôme de votre figure sur le visage de l'eau immobile ?
Venez, maintenant, et voyez à quel point vous êtes laid !
Regardez et méditez !
La peur a teinté vos cheveux d’un gris de cendres,
Et la dissipation à recouvert vos yeux et les a transformés en cavités obscures,
Et la lâcheté a touché vos joues qui apparaissent maintenant tels des mornes fosses dans la vallée,
Et la mort a embrassé vos lèvres et les a laissées jaunes comme les feuilles d’automne.
Qu'est-ce que vous recherchez, mes compatriotes ?
Que demandez-vous à la vie, qui ne vous compte déjà plus parmi ses enfants ?
Vos âmes gèlent dans les griffes des prêtres et des sorciers,
Et vos corps tremblent entre les mains des despotes et des contaminateurs de sang,
Et votre pays tremble sous les pieds en marche de l'ennemi conquérant ;
Que pouvez-vous attendre bien que vous vous teniez fièrement devant le visage du soleil ?
Vos épées sont rouillées dans leur fourreaux, et vos lances sont cassées, et vos boucliers sont pleins de trous,
Pourquoi, alors, restez-vous sur le champ de bataille ?
L'hypocrisie est votre religion, et le mensonge est votre vie, et le néant est votre fin ;
Pourquoi, alors, vivez-vous ?
La mort n'est-elle pas le seul confort du malheureux ?
La vie est une résolution qui accompagne la jeunesse, et une attention qui suit la maturité, et une sagesse qui poursuit la sénilité ;
Mais vous, mes compatriotes, êtes nés vieux et faibles.
Et vos peaux flétries, et vos têtes rétrécies,
Sur quoi vous devenez comme des enfants, courant dans la boue et se jetant des pierres les uns sur les autres.
La connaissance est une lumière, enrichissant la chaleur de la vie,
Et tous ceux qui recherchent peuvent y prendre part ;
Mais vous, mes compatriotes, cherchez l'obscurité et fuyez la lumière,
Attendant l’arrivée de l'eau dans la roche,
Et la misère de votre nation est votre crime.
Je ne vous pardonne pas vos péchés, parce que vous savez ce que vous faites.
L'humanité est un fleuve brillant chantant sur son chemin et transportant avec lui les secrets des montagnes dans le cœur de la mer ;
Mais vous, mes compatriotes, êtes des marais stagnants infestés avec insectes et vipères.
L'esprit est une torche bleu sacrée, brûlant et dévorant les plantes sèches,
Et grandissant avec l’orage, et illuminant les visages des déesses ;
Mais vous, mes compatriotes, vos âmes sont comme les cendres que les vents répandent sur la neige,
Et que les tempêtes dispersent pour toujours dans les vallées.
Ne craignez pas le fantôme de la mort, mes compatriotes,
Car sa grandeur et sa pitié refuseront d'approcher votre petitesse ;
Et ne redoutez pas le poignard, car il refusera d'être logé dans vos cœurs peu profonds.
Je vous déteste, mes compatriotes, parce que vous détestez la gloire et la grandeur.
Je vous dédaigne parce que vous vous dédaignez.
Je suis votre ennemi, parce que vous refusez de réaliser que vous êtes les ennemis des déesses.
Tumblr media
4 notes · View notes