Tumgik
#le mien à moi!!!!
nctsoo · 10 months
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chaotictomtom · 7 months
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vas y mes 2 ans fibrés m'ont fait oublier mes >5ans de galère infinie à s'en arracher les cheveux chez free + qql années straight up sans internet chez ma mère. y'a des problèmes depuis quelques jours ça fait péter des plombs c'est pour ça que free mon ennemi n°1 là purée 🖕🖕🖕🖕
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jade-curtiss · 9 months
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Oh non, y'arrive exactement ce que je pensais qui se produirais: le capital me fait mal.
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borgien · 17 days
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Nous déambulions dans la rue de cette ville où nous nous étions donnés rendez-vous et le printemps qui pointait son nez n’était pour rien dans le désir qui couvait entre nous. A un moment, elle me prit la main pour m’entraîner dans l’impasse étroite qu’elle venait de repérer et avec une douce fermeté, elle m’a plaqué contre le mur, s’est collé à moi et m’a chuchoté, son regard planté dans le mien : « tu ne bouges pas et tu ne me touches pas... au moindre geste de toi, nous repartons... ». Elle pencha son visage vers le mien pour un baiser, alors que nos yeux se fermaient, nos lèvres encore serrées et sa main agrippait mon cou. Ses lèvres pressèrent doucement les miennes, nos lèvres s'ouvraient juste assez pour qu'elles se glissent l'une dans l'autre, le baiser devenait plus fort et sa langue poussa mes lèvres et j'ai commencé à lui rendre son baiser, j'ai senti son autre main se presser contre mon sexe au travers du pantalon. Elle massait me couilles, puis s’emparait de mon sexe, le faisant durcir tout en m’embrassant à pleine bouche. L’envie de la toucher, de la caresser à mon tour, de relever sa robe pour toucher ses fesses m’envahissait, me torturait mais j’avais décidé de lui obéir et je ne tentais pas le moindre geste, plaqué contre le mur, je lui offrais mon corps... Quelques minutes voluptueuses passèrent, je dégustais sa bouche, sa langue et sa caresse langoureuse... je savais qu’ainsi je ne pourrais tenir plus très longtemps, que j’allais jouir, mon regard affolé le lui disait, j’imaginais ce qui pourrait arriver si elle continuait, la souillure de mon plaisir qui tacherait mon pantalon dans la rue où nous repartitions vers la chambre d’hôtel qui nous attendait... mais je compris aussi que c’est ce qu’elle voulait... 
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la-piscine-rpg · 5 days
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Ouverture (officielle) de La Piscine
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Bonjour tout le monde 👋
Ici @1019-code, je viens vous annoncer l'ouverture (officielle) de La Piscine, un discord de commandes et d'entraide pour forums Forumactif dans les domaines du codage et du graphisme.
Vous pourrez :
trouver des épreuves, "challenges", pour tester votre créativité ou faire fleurir l'inspiration (et accessoirement peut-être réussir à booster le libre-service),
rejoindre des équipes pour gagner des POINTS qui ne servent à RIEN !!!
si vous êtes prestataire, discuter entre nous dans le but de se mettre d'accord sur nos pratiques ou trouver de l'aide dans le monde merveilleux du freelance,
trouver un répertoire de prestataires pour réaliser des commandes payantes en code ou en design,
partager votre plateforme, tumblr, forum, etc pour présenter votre travail,
partager du libre-service que ce soit en code ou en design,
nous faire part de vos meilleures ressources (et en trouver !) que ce soit en code ou en design,
vous entraider et réussir à traquer les bugs ou à comprendre comment on fait des incrustations trop classes sur des bannières,
présenter votre travail en cours et recevoir tous les compliments du monde pour faire un peu de bien à votre ego,
recevoir des feedbacks si vous le souhaitez, que ce soit sur un design, une création ou un code,
demander de l'aide pour trouver l'inspiration, finie la page blanche,
présenter vos objectifs de la journée, du mois, de l'année, au choix,
partager vos coups de coeur en terme de codage ou de design, que ces derniers soient des forums où d'autres sites qui n'ont absolument rien à voir,
partager vos meilleurs memes sur le burn-out,
et tout simplement discuter de codage et graphisme !
Et en plus on a déjà 280 membres !
J'ai récemment terminé la configuration du serveur (après 2 ans, oups...), de fait j'en fais maintenant la publicité !
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Le but de La Piscine
Avec La Piscine, j'espère composer une vraie communauté d'entraide autour de Forumactif, mais aussi une plateforme de partage de ressources, de tutoriels, et aussi d'idées "irréalisables".
On a quelques scripts inédits et totalement révolutionnaires qui sont uniquement présents là-bas, faute de temps de leurs créat·eur·rice·s (oups, je parle peut-être que des miens). On a par exemple le processus complet de @code-lab concernant la génération de fiches de présentation, mais on a aussi des tentatives de bases de données de membres pour permettre des bottins automatiques mais aussi des listes de membres avancées, style masterlist, entre autre choses.
Ce que j'aimerais également, c'est que ça booste la création de libre-service. Que ce soit en design ou en code, qu'on propose + de contenu libre. Donc si vous créez régulièrement du libre-service (maquettes ou code), n'hésitez pas à nous rejoindre pour remplir les placards de vos créations !
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Vous êtes débutant·e ?
Pas de panique : La Piscine est ouverte à TOUS les niveaux ! On est là pour vous aider, même si c'est pour quelque chose d'ultra simple mais que vous ne maîtrisez pas. Et vous n'êtes vraiment pas seul·e !
Vous êtes professionnel·le ?
On est plusieurs à l'être ! et parfois on parle de nos projets en-dehors de Forumactif. Donc si vous avez besoin d'aide sur des choses plus avancées, y a peut-être moyen que vous trouviez quelqu'un pour vous aider là-bas !
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vaelyane · 1 year
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🇬🇧  Hello there! As usual, I'm fashionably late to the party. I owed it to myself to finish my own personal take on the "No to AI" sign... and here it finally is. 🙃 It features one of my mermaids, and I was intent on finishing this piece traditionally. AI bots scraping the net can't take the original painting away, no matter what!
As a chronically ill artist who doesn’t have much of a social life, social media is very important to me. I mostly use it to talk to other artists, look at art, and share my own. Knowing that machines are scouring these very same platforms to swallow our work and regurgitate it, allowing unscrupulous people to make money off our hard labour... is absolutely disgusting. There are currently two litigations against AI image generators, and I worry about their potential outcomes. I wish for a world where AI is used fairly and trained ethically. I want the exploitation and devaluation of artists and their work to stop. But I don't make the rules. I can do nothing but hope for the best, and keep making art when I am able.
As usual, take care, and stay safe. ~~~~~~~ 🇫🇷 Bonjour la compagnie ! Comme d’habitude, je suis en retard. Mais je me devais de finir ma propre version du visuel “No to AI”... et la voilà enfin. 🙃 Bien sûr, j’y ai glissé une de mes sirènes, et j’ai décidé de faire cette illustration sur papier. Les bots qui ratissent le net ne peuvent pas m’enlever l’original, quoi qu’ils fassent ! En tant qu’artiste malade chronique qui n’a pas beaucoup de vie sociale, les réseaux sociaux sont très importants pour moi. Je m’en sers presque exclusivement pour parler à d’autres artistes, regarder leurs travaux, et partager les miens. Savoir que des robots parcourent ces mêmes réseaux pour ingérer et régurgiter lesdits travaux, permettant à des personnes peu scrupuleuses de se faire du fric sur nos dos... est absolument écoeurant. Il y a actuellement deux procès en cours aux USA contre des générateurs d’images, et je m’inquiète de leurs potentielles ramifications. J’aimerais vivre dans un monde où les IA sont entraînées de manière éthique et juste. J’aimerais que l’exploitation et la dévaluation des artistes et de leurs travail cesse. Mais c’est pas moi qui dicte les règles. Je ne peux qu’espérer au mieux, et continuer à peindre quand j’en suis capable. Prenez soin de vous, mes braves.
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nemosisworld · 5 months
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Jamais d’autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes En dépit des mutilations d’arbre à la tombée de la nuit Jamais d’autre que toi ne poursuivra son chemin qui est le mien Plus tu t’éloignes et plus ton ombre s’agrandit Jamais d’autre que toi ne saluera la mer à l’aube quand fatigué d’errer moi sorti des forêts ténébreuses et des buissons d’orties je marcherai vers l’écume
...
Robert Desnos
Ph. Davide Gualtieri
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e642 · 12 days
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Je me suis souvent demandé quelles sensations j'avais pu laisser ou pouvais laisser à ceux que j'aime. Pas forcément mes amis ou ma famille, plutôt les personnes importantes que j'ai aimées (très peu finalement). La première impression qu'ils aient pu avoir de moi ne m'a jamais tant intéressée que ça, en revanche, l'impression de tous les jours, celle des fois où on se voit, celle du quotidien, oui. Je sais que moi, j'ai toujours été attentive aux détails, aux odeurs, aux sourires, aux expressions, à la douceur de la peau, à son aura, à la sensation d'être contre la personne. J'aurais tellement aimé savoir ce qu'il ressentait et j'aimerais tellement savoir ce qu'il ressent. Est-ce que j'ai une odeur pour lui ? Réconfortante ? Douce ? Chaude ? Qu'est-ce qu'elle inspire ? De quoi elle donne envie ? Ma présence aussi. Est-ce que mes étreintes ont un goût particulier ? Un goût familier de chez soi ? Quelque chose qui soulagerait ? Que l'on voudrait prolonger ? Qu'on attend à la fin de la journée ? Je me demande s'il fait comme moi, quand on est collés, peau à peau et silencieux, est-ce qu'il s'imprègne ? Est-ce que ce voile de chaire voluptueux est apaisant ? Est-ce qu'il pourrait être celui de n'importe qui ou c'est le mien ? Quand j'arrive. Quand je sors du train, ou que je suis sur le quai, ou devant sa porte, ou n'importe où et qu'il me voie, qu'est-ce qu'il ressent ? Est-ce que c'est propre à moi ? Ce que j'amène ici c'est la réussite ou l'échec de la création du typique, du spécial, de l'appropriation. Ai-je réussi à lui créer des déclinaisons de sensations et d'émotions ? Par là, j'entends, est-ce que j'ai réussi à lui donner l'envie de moi, la joie de moi, le réconfort de moi, le sensoriel de moi, la chaleur de moi, la colère de moi, etc. Je sais que toutes mes émotions sont fractionnées pour ma part. J'ai une joie, une tristesse, une hâte, un réconfort, un désir, un intérêt, un amour général et ça enveloppe différemment chaque être de ma vie. C'est particularisé. Je ne ressens jamais la même chose d'une personne à l'autre, et pourtant, je ressens toujours la même chose quand c'est la même personne. Pour que les gens dans ma vie le soient, c'est qu'ils sont particuliers, ce qui induit de leur créer des nuances émotionnelles différentes et toutes valables. C'est pour ça que je me demande si moi, je suis une pluralité de sentiments et d'émotions spécifiques pour lui. Je n'avais jamais réellement réussi à mettre le doigt sur cette sensation. Cette envie d'être unique dans la manière d'être reconnue, ressentie et éprouvée par l'autre. Comme de l'adn, personne n'a le même, les émotions c'est pareil. Je serais toujours profondément frustrée de ne pas pouvoir connaître la réponse mais ça me rassure aussi de l'ignorer. Réaliser que je ne suis pas vécue de manière individuelle, propre, distinctive, me briserait. Pouvoir subdiviser les émotions (sans qu'elles n'en perdent leur essence) et les tailler pour qu'elles représentent tout ce qu'on projette, admire, aime de l'autre c'est, à mon sens, la vraie sentimentalité.
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coolvieilledentelle · 7 months
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C’est  Dimanche je prends le temps
Le temps de quoi ? Le temps de rien
Si  toi aussi tu prends le temps
Est-ce le tien,  est-ce  le mien ?
Prends donc ton temps, laisse-moi le mien
Mais le mien, en fait c’est le tien !
Vivons ensemble, si tu veux bien
Ce temps de vivre, ce temps de rien
Comme il est bon ce temps enfin
Que nous prenons le temps de perdre
Le temps d’aimer, le temps de rien
Si ce n’est de se sentir être
Le temps de vivre et de sentir
Le temps qui file entre nos doigts
De sentir qu’il nous fait vieillir
Se venge avec des pattes d’oie
Je t’en supplie, prenons le temps
De le prendre de temps en temps
Pour  se souvenir à temps
Qu’on s’aime depuis un certain temps
Véronique Monsigny
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clhook · 2 months
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L'autre jour une dame entre dans la médiathèque un peu catastrophée elle me dit "à tout hasard vous n'auriez pas un antivol ? J'imagine que non mais j'ai oublié le mien et je veux pas laisser mon vélo comme ça dans la rue" mais moi je n'ai pas peur des défis alors ni une ni deux je sors l'antivol de notre vélo de service de mon tiroir de bureau elle était émerveillée eh oui c'est ça le ✨service public✨ ma chère madame
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pompadourpink · 1 year
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Les autres pronoms
Possessive pronouns (mine, ours)
Masc. sg.: le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur 
Fem. sg.: la mienne, la tienne, la sienne, la nôtre, la vôtre, la leur
Masc. pl.: les miens, les tiens, les siens, les nôtres, les vôtres, les leurs
Fem. pl.: les miennes, les tiennes, les siennes, les nôtres, les vôtres, les leurs
Ex: tu pensais que tu avais pris tes lunettes mais c'étaient les miennes - you thought you had taken your glasses but they were mine
Demonstrative pronouns
They replace demonstrative determiners followed by a noun
They can be one of three types: prepositional (c'est celle de Laure - it's Laure's), relative (les robes en soie sont celles que je préfère - silk dresses are the ones I prefer), or nominal (j'ajoute à cette lettre celle de mon fils - I add to this letter the one of my son).
Singular - celui (m), celle (f): celle en bleu - the blue one
Plural - ceux (m), celles (f): ceux-là sont mieux - those are better
Neutral - ceci - this (rare), cela - that, ça - this (short for cela): ça ira - that will be fine, c’/ce*: c’est un chien - this is a dog, ce sont des chats - those are cats
N.B. Adverbial particles -ci (short for ici) and -là are added to indicate the distance. Celui-ci means this one (close), celles-là those ones (far away).
*Do not mix up the masculine singular demonstrative determiner ce that is followed by a singular masculine noun (ce chat est blanc - this cat is white) and the demonstrative pronoun ce that is followed by est/sont (is/are) or a relative pronoun (c'est ce qu'il m'a dit - that is what he told me; ce sont les chaussures qu'il a choisies - those are the shoes he chose)
N.B. C'est is used with a noun: c'est un gentil garçon - he's a nice boy, an adverb: c'est si joli - it's so pretty, or a masculine singular adjective when talking about a situation or activity: c'est facile - it's easy. Il/Elle est is used with adjectives when talking about living beings or things: elle est grande - she's tall, in expressions: il était une fois - there one was, before a past participle: elle est partie - she's gone.
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Relative pronouns
Relative pronouns represent the nouns placed in front of them
Que/qui
subject (qui), when talking about living beings or things and describing them, placed before a verb: la fille qui porte un pull rouge aime la glace - the girl that is wearing a red jumper likes ice cream
indirect object (qui), when talking about people, after a preposition, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille à qui tu as parlé aime la glace - the girl you talked to likes ice cream)
direct object (que), when talking about living beings or things, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille que tu aimes aime la glace - the girl you love likes ice cream)
Quoi
object, when talking about things, often vague (something, nothing): c’est ce à quoi j’ai pensé toute la journée - that is what I thought about all day long
Dont
possessive phrase (complément de nom): je bois dans une tasse dont la anse est cassée - I’m drinking from a mug that has a broken handle
indirect object, equivalent of "of which": le livre dont je t’ai parlé est sorti - the book I told you about is out
adjective object: les filles sont allées à un concert de Rihanna, dont elles sont fan: the girls have gone to a Rihana’s concert, whom they are fans of
adverbial phrase of place: la chambre où je dors est la plus grande de la maison - the room I sleep in is the biggest in the house
adverbial place of time: septembre est le mois où je suis née - September is the month in which I was born
Compound relative pronouns
Auquel, duquel, lequel (marriage of prepositions à, de, le and of simple relative pronouns)
subject - rare, literary: j’ai appelé ma mère, laquelle m’a informée de ton accident - I called my mum who told me about your accident)
object, about things or animals: les chaises sous lesquelles je suis cachée sont en bois - the chairs under which I am hidden are made of wood; c’est l’endroit duquel il est parti - this is the place from which he left; les hommes auxquels elle parle sont allemands - the men she is talking to are German
Neutral relative pronouns
They are built by adding ce, which can be roughly translated as "the thing", to dont, que, qui and used when the antecedent isn't mentioned or when it's a clause often after a comma.
Ce qui is the subject of the verb that follow: je ne sais pas ce qui est tombé - I don’t know what fell down (word by word I don't know the thing that has fallen), j’ai eu un accident, ce qui explique pourquoi je suis en retard - I got in an accident, which explains why I’m late
Ce que or ce qu' is used as a direct object and is generally followed by a subject and a verb: ce que je te demande, c’est d’être à l’heure - what I’m asking you is to be on time (word by word the thing that I ask of you it is to be on time), c’est ce que je voulais dire - that’s what I meant
Ce dont is used as the preposition de’s object: ce dont j’ai peur, c’est qu’il revienne - what I'm afraid of is that he will come back (word by word the thing of which I'm afraid, it is that he comes back), c’est précisément ce dont je veux te parler - that is precisely what I want to talk to you about 
N.B. To stress a point, we can use ce qui/que/dont + c’est/ce sont: ce qui me plaît le plus, c’est ta robe - what I most like is your dress.
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Movie: Pierrot le fou - Jean-Paul Godard, 1965
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lisaalmeida · 2 months
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Vous aviez mon cœur,
Moi, j’avais le vôtre :
Un cœur pour un cœur ;
Bonheur pour bonheur!
Le vôtre est rendu,
Je n’en ai plus d’autre,
Le vôtre est rendu,
Le mien est perdu!
La feuille et la fleur
Et le fruit lui-même,
La feuille et la fleur,
L’encens, la couleur :
Qu’en avez-vous fait,
Mon maître suprême ?
Qu’en avez-vous fait,
De ce doux bienfait ?
Savez-vous qu’un jour
L’homme est seul au monde ?
Savez-vous qu’un jour
Il revoit l’amour ?
Vous appellerez,
Sans qu’on vous réponde ;
Vous appellerez,
Et vous songerez !…
Vous viendrez rêvant
Sonner à ma porte;
Ami comme avant,
Vous viendrez rêvant.
Et l’on vous dira :
«Personne !… elle est morte.»
On vous le dira ;
Mais qui vous plaindra ?
Marceline Desbordes-Valmore
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borgien · 22 days
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Tu m’as demandé de venir vers toi et de m’agenouiller devant toi. Quand tu as ouvert les pans de ta robe, entre tes cuisses, j’ai vu, dressé, le sexe de latex...
Ensuite, il y eut moi, entre tes jambes, la bouche sur ta queue et mes doigts caressant tes fesses.
Affamé tes lèvres enroulées sur ta queue ; ton sexe mâle qui se dresse entre tes cuisses et la mienne qui bande dans sa cage, je me sens femelle. Tu regardes ma bouche s'ouvrir et mes yeux se révulser de plaisir. 
Je passe mes doigts sur mon corps, ramassant mes sucs et les mets dans ta bouche pendant que je continue à sucer ta queue. Ta langue imite les mouvements de la mienne... 
Tu veux plus. Tu me veux en toi. 
Tu en veux plus, tu me veux dans ma chatte, tu veux que je couines contre tes cuisses.
Tu veux t'entendre gémir.
Je veux que tu laisses les marques de tes mains sur mes hanches après m'avoir écrasé contre toi.
Je ferai tout pour t'avoir en moi. Je t'attirerai vers moi. Je veux ton corps sur le mien. Ton souffle sur mon cou. Tes seins sur les miens. Les mots crus que tu vas me murmurer : « salope, putain, petite chienne... ». Dis-moi que je suis si bonne à limer. Frappes-moi pour me rappeler que je suis à toi, comme ça, tout ouverte et mouillée.
Mes jambes tremblent de plaisir et mon esprit est vide à cause de tous tes mots qui me cinglent comme parfois le cuir...
S'il te plaît, ne t’arrêtes pas. Mon Dieu, ne t'arrête pas, baise-moi.Chaque poussée, chaque coup de reins me conduit plus près du plaisir. Je rejette ma tête en arrière de plaisir alors que tout mon corps tremble sous le tien, laissant échapper des gémissements et des râles...
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homomenhommes · 2 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 157
La Dominique arrivée
Nous partons pour la République Dominicaine.
Avant cela, je charge Samir de veiller sur la maison, au respect des rendez vous de Jimmy et de transporter Ed aux siens. Avec lui à la maison, nous partons en toute confiance.
Il nous conduit à Roissy (pour info j'ai procédé au remplacement de la berline de Marc par une Chrylser 300C break).
Habitués à voyager léger (moto oblige), l'hôtesse s'étonne du faible poids de nos valises (à peine 12 Kg pour deux et un bonne part est due aux kpotes !). Bien que très touristique, le pays est pauvre et je n'ai pris sur moi qu'une montre basique, mon percing d'oreille vide de tout pendentif, et mon cockring en or que je porte à mon sexe en espérant ne pas biper au passage des portiques (et si cela bip je serais peut être fouillé par un beau vigile). Marc ne prend pas ce risque et place le sien dans son bagage à main.
Dégouté ! Pas le moindre bip et pourtant il y avait bien un contrôleur que j'aurais aimé me faire (mais si cela se trouve c'était un mauvais coup !!).
Bin qu'en première classe, le vol n'a pas été totalement agréable malgré le champagne, des parents sans sens communs ont laissé brailler leur gamin une bonne partie du temps jusqu'à ce qu'un de nos voisins intervienne.
Arrivée à Punta Cana, un 4x4 avec chauffeur (très baisable) nous attendait. Direction notre villa. Pas de mauvaises surprises, l'habitation est telle que dans la publicité. Nous y sommes reçu par notre correspondant pour régler les détails triviaux. Il nous présente au personnel de maison, une cuisinière et deux hommes de service aussi " sexe " ;que le chauffeur qui reste tout le séjour à notre disposition sur place, puis nous présente un catalogue de mecs.
Les photos nous montrent toutes les mecs en maillot et à poil. Toutes les couleurs de peau et tous les types de mecs sont représentés du quasiment blanc au noir le plus profond en passant par tout les dégradés de peaux et de morphologie. Le correspondant nous précise, devant notre indécision que nous n'étions pas limité à un par personne mais que durant le séjour, nous n'avions qu'à l'appeler pour faire l'échange de nos Toy-Boy. Marc opte pour un jeune mec (1,80m, environ 18 ans) chocolat clair, musclé, imberbe avec un beau morceau entre les jambes. Moi, je choisi un noir très noir d'1m95, très musclé aussi (mais à part quelques crevettes efféminées, c'était plutôt le cas de tous les autres) et dont les attributs se rapprochent de ceux d'Eric (paraissant la 20aine).
Coups de fil et ils seront à la villa le soir même. Nous gardons le catalogue en cas de besoin.
En les attendant, nous nous mettons à l'aise. Nous allons passer le séjour en maillots principalement quand ce ne sera pas à poil (je dois faire attention à ne pas l'être trop souvent au soleil si je veut garder mes fesses blanches !).
Nous sommes dans la piscine à nous délasser du voyage quand on nous annonce que le " service + " est arrivé. Nous les faisons venir sur la terrasse et après les avoir vu habillés, nous leur demandons de se mettre nus. Sans complexes, il se défont de leurs pantalons larges et leurs chemisettes. Nous nous retenons de faire le tour de la " marchandise " mais ce n'est pas l'envie qui nous manque. Ils sont fidèles aux photos. Je m'approche du " mien " et lui prend le sexe en main. Il bande directe et malgré ses dimensions hors norme assure une raideur propre à tout enculage qui se respecte. Marc qui m'a rejoint, pose sa main sur le cou de son Toy boy et ce dernier se met aussitôt à genoux et entame une fellation. Je relève ma tête fixe mon mec dans les yeux puis baisse mon regard sur ma bite. Il a tout de suite compris et à genoux à coté de son collègue il me mange littéralement la queue. Ses grosses lèvres rouges tranchent sur la peau blanche de mon pubis. Du premier coup il avale mes 20cm sans que le passage de mon gland dans sa gorge ne lui procure de renvois. A mes cotés c'est pareil pour Marc, ses 22cm trouvent refuges entièrement dans son mec. Mes mains sur sa tête, je lime sa gorge avec entrain. Marc à mes cotés fait de même. Je sens ses grandes mains se poser sur mes fesses et augmenter la pression quand je suis déjà au fond. Il a l'air d'y prendre plaisir aussi. Je suis très excite et le balai de sa langue sur mon gland à chaque va et vient m'achève. J'ai juste le temps de me retirer et je lui marbre le visage de grandes trainées blanches de sperme. Bien éduqué, il ne bouge pas et reçois sans broncher tout le contenu de mes couilles sur sa tête. A nos coté, Marc fait de même et couvre son mec de la même façon. Marc leur dit d'aller se doucher (il y a une douche auprès de la piscine). Quand ils reviennent ils bandent encore. Comme je voulais enculer mon Toy-boy avant qu'il ne me mette (histoire de fixer quand même qui est le maître (dans la relation), et comme Marc aussi n'avait pas repris suffisamment de vigueur, je leur ai dit de faire un 69. sur les matelas de bronzage, alors que nous les mations depuis nos transat. Ils nous ont fait un très beau spectacle. Nous avons pu admirer leurs expériences. Les bites de l'un comme de l'autre ont pénétrées sans problème la gorge adverse jusqu'aux couilles. On comprend soudain mieux que même les 22cm de Marc y aient trouvés leur place. Je demande au mien de préparer le cul de son partenaire. J'ai pu ainsi voir ce qui m'attendait. J'ai admiré et puis j'ai été impatient qu'il me le fasse aussi à moi. Il a une technique irréprochable. Grand coups de langue sur la rosette, langue pointue pour pénétrer l'anus, ventousage de sa grosse bouche, je lui demandais régulièrement de reculer pour que je vois l'effet de son travail. Superbe ! l'oignon de son partenaire se détendait bien sous ses efforts. Marc lui a donné alors une kpote et lui a dit " encule le maintenant ". Obéissance parfaite, il a posé la protection XXL et nous l'avons admiré dans sa prestation. Je lui disais quand ralentir ou accélérer sa pénétration. Nous avons pu mater la séquence complète et le plaisir que prenait l'enculé à se faire défoncer par une telle bite (mesurée à la main : 25cm x 7). Nous les avons regardé comme dans un porno en live. Assez discrets dans leur baise coté verbal, ils ont assurés coté physique. Ils nous ont montré une bonne panoplie de positions et démontré aussi bien leur endurance que leur souplesse.
Ils jouissent à peu d'intervalle. Nous pouvons passer à table. Slip, maillot ou caleçon nous voilà attablés tous les 4. Diner couleur locale, langouste grillée. Nos " invités " ne se font pas prier pour fini les plats. J'observe que nos nudités ont quelques effets sur l'un des deux hommes de service, le plus jeune (environ 25ans baisable).
Nous sommes fatigués par le voyage et décidons de nous coucher. Choix : avec ou sans nos Toy-boys ?
La chambre principale est immense avec un très grand lit, nous tentons le couchage à 4. C'est trop juste ! Nous demandons alors à ce qu'un des lits d'une autre chambre soit transféré et en collant les deux nous obtenons une surface de couchage adéquate.
Nous serons réveillés en douceur par une pipe magistrale. Par rapport à la veille, nos suceurs s'étaient échangés nos corps et c'était le choix de Marc qui me mangeait la bite alors que ses 22cm disparaissaient dans la bouche du mien.
Le fait de les voir tous les deux à 4 pattes entre nos jambes nous a donné des idées et après les avoir contournés, s'être kpotés, nous avons testé pour la première fois leur cul. Mon noir avait des fesses magnifiques, rondes, musclées, un délice à écarter et son trou, bien que sûrement utilisé fréquemment, il enserrait ma queue fermement. A mes cotés Marc prenait autant de plaisir à sodomiser le sien.
Mon trou me démangeant, j'ai déculé et me suis mis devant mon black en lui demandant de me préparer. J'ai pu apprécier ce que nous n'avions que supposé la veille au soir. Sa bouche et surtout sa langue m'ont procuré des sensations particulièrement intéressantes. Je me suis ouvert comme sous l'effet du meilleur des poppers. Sans Marc qui lui a dit (à mon préparateur) qu'il pouvait me sodomiser, je crois que je me serais fait bouffer l'oignon jusqu'à la jouissance.
La tête et les épaules sur le matelas, le cul relevé j'attendais avec impatience qu'il pose sa kpote. Claquement du latex et je sens enfin son gland sur ma rosette. Il fait couler à la jonction de nos corps un bonne dose de gel et force soudain. Je me prend son gland. Mon anus se referme derrière la couronne. Il reprend sa poussée et mon sphincter s'écarte pour laisser passer le reste de sa tige. Il me rempli le ventre avec sa bite. ; C'est top bon ! surtout quand, après que je me sois habitué à ses dimensions, il se met à me limer en force. Je ne retiens pas mes gémissement et prend un plaisir énorme. Je tourne la tête pour voir Marc. Lui, il est en train d'enculer son choix et ce dernier à l'air d'y prendre plaisir.
Je me redresse et mes bras en arrière, je m'accroche à la nuque de mon enculeur, cambré pour ne pas perdre un cm de sa bite. Je sens alors sa bouche se poser sur mon cou, le lécher, mordiller mes deltoïdes. ;Une de ses mains enveloppe mon sexe et me branle fermement. Sans être calleuses, ses mains sont très fortes et compresse ma queue à la limite de la douleur (souvent cette limite est aussi celle du plaisir !). Sous les yeux de Marc, j'ai un orgasme pas possible. A la surprise de mon Toy-boy, mes muscles annaux le bloque dans ses va et vient et il ne peut plus sortir avant que j'ai fini de jouir. Dès que je le " libère " il s'enfonce rageur au fond de mon trou et éjacule dans sa kpote. A nos cotés Marc se lâche dans son mec, ce dernier ayant la courtoisie de juter en même temps.
Nous allons prendre nos petits déjeuners façon pantagruélique, la baise ça creuse l'estomac et la cuisinière au courant de nos ébats s'était surpassée en pancakes, beignets, bacon, oeufs frits... et fruits divers.
Nos Toys avaient accepté de ne revêtir, pendant leur séjour à notre service, qu'un jockstrap. Moi je me couvrais les fesses de mon maillot de bain alors que Marc restait à poil.
Nous passons les premiers jours à ne rien faire d'autre que se dormir, baiser, manger et bronzer. ; ;
Le chauffeur n'a rien à faire et nous avons remarqué que quand on baise sur la terrasse ou dans le séjour, il vient discrètement jeter un coup d'oeil. J'ai pu voir qu'il bandait dur ! Le troisième jour, alors qu'il nous mate je me décolle du Toy de Marc que j'enculais alors pour aller le chercher et l'inviter à participer. Marc appelle alors nos deux hommes de service qui ne se font pas prier pour nous rejoindre. Nous avons improvisé une touze où j'ai l'impression tous ont pris leur pied. Marc et moi les premiers. J'ai explosé après pas mal de positions possibles passif comme actif alors que je me faisais mettre par mon Toy-boy et que j'enculais notre chauffeur.
Marc lui a juté dans le cul d'un de nos hommes de service alors que son " jouet " couchés sous eux, lui bouffait les couilles.
En fin de première semaine, nous avons changé nos " accompagnateurs ", non sans leur avoir montré en dollars tout le plaisir que nous avions eu avec eux. Au moins cette somme n'ira pas enrichir leur intermédiaire !
Les suivant sont arrivés dans l'heure qui a suivit leur départ. Cette fois nous avons choisi deux jeunes mecs indiqués comme passifs. La touze précédente nous ayant permis de découvrir dans le personnel mâle de la maison ce qu'il me fallait comme actif de bon calibre.
La seconde semaine, j'ai quasi systématiquement baisé en " jambon de sandwich ", Marc ou un des hommes de service dans le cul et un des petits jeunes planté sur ma bite. Marc, lui, s'est essayé tous les trous des 5 mecs de la maison, et pas un pour rechigner devant sa queue. Les pipes toujours profondes nous ont procuré de merveilleuses éjaculations.
Un coup de fil à Samir m'a rassuré sur le fonctionnement de ma petite entreprise. Jimmy s'est bien rendu à tous les rendez vous et lui avait remis à chaque fois le montant exacte de sa prestation. Quand à Ed, il l'avait véhiculé comme prévu et après un instant de gène, il m'a avoué qu'il l'avait baisé au retour de son deuxième rendez vous. Quand je lui ai fait raconter la chose, j'ai bien senti, malgré sa formulation propre à prendre sur lui toute la responsabilité de l'affaire, qu'Ed ne lui avait pas laissé le choix. Ce petit salaud sait se rendre irrésistible quand il le désire ! Comme il parlait de retirer ça de son salaire, j'ai éclaté de rire et lui ai dit qu'il n'en était pas question. Je lui réitérais ma confiance pour la semaine suivante en lui disant que s'il se faisait encore avec Ed, c'était leur problème et non le mien.
En république Dominicaine :
Nous avons même testé la baise en mer. Convaincus par notre chauffeur (qui devait avoir sa commission), nous sommes partis une journée en mer sur un catamaran géant où l'équipage constitué exclusivement de mec a été à notre service complet, du capitaine au moindre matelot et jusqu'au cuistot! Dans la journée je me les suis tous pris au moins une fois dans le cul. Ce qui devait faire quand même 5 mecs sur les 6 que comptait l'équipage. En effet, le plus jeune mousse était le vide couille du capitaine qui, sans problème, nous l'a cédé à Marc et moi le temps de la balade. Une véritable salope avec un physique qui pousse au viol (s'il n'était déjà consentant). Il nous a asséché les couilles comme un pro. Petit corps imberbe, musclé finement, d'une souplesse aussi incroyable que celle de Jimmy, nous avons même eu le plaisir de l'enculer ensemble Marc et moi et pour son plus grand plaisir habitué qu'il était aux bites de gros diamètre. Le capitaine avait beau être blanc, il était monté comme un âne, ce qui d'après ses dire lui assurait une autorité naturelle sur son équipage. ; J'ai tellement baisé et été baisé que le lendemain je n'ai supporté qu'une ou deux pipes pour dissiper la tension qui me prenait lorsque Marc baisait l'un de nos hommes de service ou un des deux Toy-boy.
JARDINIER
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claudehenrion · 1 month
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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