Tumgik
#on creuse encore
perduedansmatete · 4 months
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Vas y j'ai pitié j'te raconte un peu ma vie. Mon lycée c'était un château. J'veux dire, littéralement. Y avait une grille immense à l'entrée, un château entouré de douves et nous on allait en cours dans des bâtiments qui, en soi, étaient construits sur ce qui devaient être les jardins du truc. Dans le château y'avait toute la partie administrative du lycée + quelques logements de fonction dont celui du proviseur du lycée. On passait sous le château pour passer de l'autre côté par une espèce de grande arche, et pour passer les douves on passait sur un pont qu'on appelait le "pont-bite" parce qu'il avait littéralement une forme de teub c'était hilarant. Le dernier jour de ma terminale, un gars s'est jeté dans les douves parce que c'était le dernier jour et que fallait marquer le coup (visiblement). Je crois qu'il a eu des plaques rouges quelques temps après ça, je sais plus. Y'avait des animaux aussi : des ragondins dans les douves, des renards parfois, un âne à un moment mais surtout des oies qui venaient nous bouffer le cul quand on s'approchait trop. Tous les ans les pions et quelques profs organisaient une fête de la musique c'était trop bien, j'ai participé à l'une d'elle à la batterie dans un groupe de covers rock aussi éphémère qu'éclaté. Y'avait un prof d'histoire il était trop bizarre. Entre nous on le surnommait "sans les mains" parce qu'un jour il est allé pisser aux pissotieres des élèves dans la cour et des élèves l'ont vu pisser les mains derrière la tête en mode détente en remuant le bassin wtf. J'ai eu un prof de physique, je crois qu'il était autiste. Meilleur prof ever. Il était A CHEVAL avec le calme et l'autorité, a commencé l'année en mode militaire en excluant élève sur élève. À la fin il faisait un basket avec nous dans la cours, incroyable. J'y ai rencontré mon ex et mon meilleur pote dans ce lycée. J'y ai aussi rencontré un gars avec qui je suis resté collé une année entière en mode amitié fusionnelle. On avait les mêmes délires, le même humour, je croyais avoir trouvé mon alter ego. Il est parti en S et moi en L et il m'a... Ignoré. On s'est perdus de vue. Encore aujourd'hui j'me dis que c'était un gros connard parce qu'on aurait pu vivre tellement de trucs ensemble. J'ai redoublé ma seconde, à ma demande. C'est une année que j'ai passé à esquiver les cours pour boire des bières sur le parvis du lycée avec mon meilleur pote. Avec mes facilités je devais avoir un genre de 11 ou 12 de moyenne générale donc on m'a dit ok passe en 1ere ça va, et j'ai dit non je veux redoubler sinon je vais rien piger l'an prochain j'ai trop rien foutu je suis juste une arnaque. J'ai aussi eu 0 à l'écrit à mon TPE pour le bac. En fait j'étais en binôme avec un gars qui glandait rien, et nos forces maléfiques se sont unifiées pour faire émerger une idée diabolique : l'épreuve est facultative, si on a 0, on perdra pas de point et on n'aura pas à faire ce truc de merde. Le 0 était pas encore éliminatoire à cette époque pour cette epreuve. J'ai eu mon bac avec mention assez bien en ayant fait ça et sans bosser spécialement pour avoir mon bac alors que mon ex et d'autres potes avaient bossé comme des taré.e.s pour décrocher une mention et l'ont pas eue (je suis une arnaque j'ai dit). Ha oui et je me suis aussi inscrit à l'option musique en facultatif parce qu'une pote suivait le cours. J'y suis jamais allé en me disant "je lirai ses cours et ça ira". Elle m'a filé ses cours, j'ai rien pigé, je suis allé à l'épreuve au culot j'ai eu 9/20 sans jamais rien apprendre. J'pense si je creuse j'ai encore d'autres choses mais j'ai plus le temps mdr, j'espère que ça t'aura divertie un peu (si t'arrives à tout lire). Bon courage pour tes douleurs quand même.
j'ai tout lu comme une nouvelle et j'ai adoré ça avait l'air très cool ces années lycée et tu étais trop fort surtout, merci merci!!! (et merci pour les douleurs mdr <3)
j'aimerais juste savoir quel était le sujet de votre fameux tpe à 0 ça m'intrigue...
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rayondelun3 · 2 months
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Enfermée dans ma chambre depuis mardi. Mon chat gratte à la porte. Elle me regarde hésitante. Miaule. Elle miaule encore. Et encore. Ça y est elle se cache sous le lit. Elle miaule encore. Elle veut mon attention. Je lui ai fait signe qu'elle pouvait monter sur mon lit. Elle a sauté sur les couvertures. Elle ronronne et se rapproche hésitante. Je n'ai quasiment pas parlé depuis des jours. On a demandé à me voir deux fois. J'ai réussi à dire non. Personne n'a insisté. Tout le monde sait que quelque chose ne tourne pas rond. Je voudrais écrire mais sans succès alors je me force. Je me force à me lever, à faire quelques pas, à manger, à me laver. La voilà allongée à côté de moi. Mon père a une tumeur. Normalement ça sera opérable, sans risques et il devrait aller beaucoup mieux. Mes parents ont vieilli ; ils n'ont fait qu'être malades, travailler à épuisement. Je vieillis très lentement. Elle me regarde. Elle a vieilli aussi. Elle aussi est malade. Elle se relève. Tout le monde est malade dans cette famille cassée. Ça y est, la voilà repartie. Je suis à nouveau seule. Je suis devenue si silencieuse. Toujours ce cri sourd au fond de moi, cette colère muette et les larmes qui coulent. Je vais mieux. Les professionnels l'ont dit. J'ai fait des progrès, je suis une survivante, une battante et bien plus encore. 1 heure 40. Le bruit familier d'un mécanisme qui saute, qui fonctionne ; les heures creuses. Si je prends bien mes médicaments, ça ne se passe pas trop mal, même plutôt bien des fois. La dépression est une étrange maladie. Un jour je ne serais plus cette enfant maudit.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 80
J'ai très envie d'une voiture rapide et mes goûts me portent sur des modèles très onéreux, style Aston Martin, Bentley au pire Audi R8 !
Depuis que j'en ai fait part à mon entourage, Marc et quelques amis, je me suis heurté à l'image que cela renverrait de moi : au mieux fils à papa, au pire pute de luxe (ce qui est plus près de la réalité des choses je crois !). Ça m'énerve, c'est juste que ces voitures là sont quand même beaucoup plus belles qu'une vulgaire Renault !
Bon tout cela pour dire qu'il faut que j'engrange un peu plus de sous pour y arriver.
J'avais déjà dans l'idée de mettre Jean aux Gang Bang, projet qui l'avait séduit lui même depuis que je lui avais révélé que j'en avais organisé pour Ric. Peut être un peu de jalousie de sa part.
J'ai donc repris les listes d'amateurs que m'avais donné Eric et ai organisé pour les premiers participants une nouvelle soirée. Ils ont tous étés partants dès que j'ai annoncé que ce serait avec un nouveau jouet, plus fluet, typé plus jeune que Ric (bien que majeur).
J'ai donc pu organiser une nouvelle série et planifier les vendredis soir de 15 jours en 15 jours. Comme ça cela me laisse le WE libre même si je vais avoir un peu de mal à assurer avec son père le coaching du lendemain matin.
Je me suis assuré d'un tarif de location du gîte défiant toute concurrence, période hivernale creuse et engagement sur 12 vendredis. Le proprio voit aussi que les vendredi ça ne l'empêche pas de louer le WE qui suit.
La moto c'est bien mais pour emporter tout ce qu'il me faut, j'emprunte la voiture de Marc (qui lui du coup est obligé d'aller à son taf en moto). Le premier vendredi, je suis sorti pas trop tard du boulot et j'ai été chercher Jean qui rentrait juste de ses cours. Je suis tombé sur sa mère à qui nous avons monté un bateau pour avoir la paix. Je m'en suis sorti avec juste une pipe ! difficile de faire moins.
En rentrant à la maison, nous sommes passer chez le traiteur prendre la commande de l'apéritif dînatoire pour nos 10 clients. Pendant un bonne heure j'ai préparé Jean. Epilation, rasage, lavement et massage de son corps avec une huile pour adoucir encore plus sa peau, préparation de son anus à un pilonnage intense.
Nous sommes arrivés vers 20h au gîte. Jean m'a aidé à tout mettre en place pendant que je lui expliquait en quelques mots ce qui allait se passer, le type de mec qui allait venir, et le comportement qu'il devrait avoir (soumis, obéissant, muet à par quelques gémissements autorisés...). Il était déjà tout excité et sa petite bite glabre bandait raide. Une fois le décorum prêt, je l'envoyais à la salle de bain se mettre nu et je suis allé le retrouver pour finaliser la préparation de son trou. Nouveau lavement (un seul suffit, c'était juste une précaution), graissage et reprise de la dilatation commencée plus tôt puis les 21h approchant, je lui mis un bon demi tube de gel directement au fond de ses boyaux. Des " invités ", pas un ne fait moins de 24cm x6 !!
Je venais juste de l'installer à 4 pattes sur la table basse centrée dans la pièce principale que les premières voitures sont arrivées. En 5mn tous étaient là.
Je n'avais pas fini de servir les apéritifs que les plus impatients s'attaquaient à la proie du jour. Ausculté sous tous les angles, Jean a été tâté, palpé, pincé et pour les plus vicieux doigté. Le mieux monté de la soirée, s'est préoccupé de ses capacités et j'ai vu qu'il enfonçait trois doigts de sa mains droite dans la bouche de Jean, poussant pour atteindre le fond de gorge et voir si il allait vomir. Comme Jean subissait sans se plaindre et sans haut le coeur, il a fait de même à l'autre extrémité de son tube digestif. Ce fut encore plus facile vu la préparation que j'avais faite.
3/4 heure après leurs arrivés, tous les mecs étaient à poil et je faisais une première distribution de Kpote. Pendant 2h, ça a été sa " fête " j'ai compté, il n'y a pas eu 5mn ou un de ses deux trou n'ait été bouché. Mes " invités " se sont succédés qui dans la bouche (plutôt la gorge), qui au fond de son cul. Je surveillais que tout se fasse sans violence et les sodos sous Kpote.
De sa position à 4 pattes, il s'est retrouvé sur le dos, puis plié sur un dossier de fauteuil, assis sur un mec, suçant un autre avec une bite dans chaque main... J'ai juste stoppé le plus excité de la bande qui voulait lui faire subir des doubles sodo. Avec des tailles de bite pareilles, ils me l'auraient définitivement cassé !!
Je me suis aperçu aussi que le plus membré de la bande était plus sensible que les autres aux charmes de la finesse du corps de Jean. Quand c'était son tour, une certaine sensualité / douceur prenait la place de l'assouvissement bestial des autres participants. Ce n'est pas pour autant qu'il ne se faisait pas enfiler jusqu'aux couilles de ce monsieur qui les avaient (les couilles) assez grosse. Je dirais proportionnées à ses 26 x 7,5 ! D'ailleurs les autres s'en étaient inconsciemment aperçu car à ces moments là, ils ne touchaient plus à Jean se contentant de se branler en cercle autour d'eux.
Il a fini aspergé de sperme les dix mecs étant arrivés à se retenir jusqu'au bout, l'on recouvert de la bite jusqu'à la tête que j'ai juste eu le temps de protéger d'une serviette éponge.
Alors que tous les autres étaient déjà partis, le mec (26x 7,5) est revenu me voir. J'envoyais Jean se laver pour rester seul avec lui.
Il voulait savoir combien lui coûterait une exclusivité sur Jean. Sa question m'a surpris, je ne m'attendais pas à cela.
Je lui ai expliqué que c'était son premier Gang Bang et qu'il en avait une bonne demi douzaine de plus à assurer, qu'à part cela, il avait quelques " amis " aussi bien montés que lui qui avaient besoin de ses services.
Je l'ai vu un peu déçu. Il a réfléchi quelques instant avant de me demander quand Jean pourrait être libre pour lui. Dans un premier temps, avant d'en savoir plus sur ce type, je lui ai proposé de l'inclure dans la liste des mercredi après midi (comme j'avais perdu les deux frères au profit de Luc et Phil, que le père de Ric avait assez à s'occuper avec son fils et que celui de Pierre faisait moins appel à nous depuis qu'il avait retrouvé une sexualité avec sa femme, il ferait un nouveau 5ème).
Il me dit Ok pour le moment et qu'il allait réfléchir à une meilleur solution.
Enfin parti, je me suis occupé de mon petit Jean. Il avait pris une douche pour éliminer le sperme collé. Je lui ai fait prendre un bain. A genoux à ses coté, armé qu'un gant de toilette je le massais doucement. Je lui demandais comment il avait trouvé cela lui qui était si impatient. Il me dit qu'il avait pris un super pied et qu'il avait jouit plus de trois fois sans se toucher. Quand je lui demandais (pour la forme) si il était prêt à remettre ça dans 15 jours, il me dit oui. Je lui demandais ce qu'il avait pensé de la plus grosse bite de la soirée. Il me dit avoir apprécié sa sensualité. Ça lui avait fait des petites pauses entre les autres mecs avides de son corps. Je lui dis alors que ce serait un nouveau régulier du mercredi car il était mordu de son corps. Ça l'a fait sourire.
Je le séchais puis avant qu'il ne se rhabille je lui enfilais un plug de travail pour qu'il resserre son anneau dessus. Il doit être capable de prendre large mais je veux qu'il garde une capacité à pouvoir serrer des bites normales.
JARDINIER
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lesondupapillon · 8 months
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Ce qui est noir et plus noir encore,
c'est la bouche tournante,
c'est la chair tuante et creuse,
c'est la peur mouvante.
/ René Daumal
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e642 · 10 months
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Ma mère a dit "les gens sont décevants". Et c'est vrai. J'aime pas avouer que j'attends quelque chose de quelqu'un parce que j'aime pas avouer que j'ai besoin des autres ou que je cale des intentions sur les autres. Mais même si je sais que je le suis aussi, qu'on me le reproche sans cesse, j'essaie de rester légitime pour le reprocher aux autres. Enfin, je ne le reproche jamais aux autres parce que ya rien à dire. La vraie déception est silencieuse et creuse. J'ai longtemps espéré que les gens se rendent compte qu'ils étaient décevants seul mais ça n'arrivera pas car personne ne leur dit et qu'ils ne se demandent jamais s'ils le sont. C'est dingue de jamais se remettre en question. Je crois que ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas blessée comme ce garçon me blesse. Je n'arrive pas à l'aimer parce qu'il me rend trop triste. Je n'arrive pas à arrêter de le voir car je sais que personne ne veut de moi à côté. Ça fait pitié, et encore plus d'en avoir conscience. Je dénonce les mêmes comportement que j'ai. Je me demande quand je vais rencontrer quelqu'un qui me mérite et me rend la pareille sans avoir à demander. Sans avoir à me soucier de tout. Sans cette charge mentale écrasante et douloureuse. J'aimerais faire des choses bien avec quelqu'un mais je me retrouve toujours avec des personnes qui me tirent vers le bas uniquement parce que j'accepte ça. Je parle beaucoup des mêmes choses en ce moment parce que je me sens mal de m'auto bloquée dans des situations dégradantes. Je me sens même pas légitime de m'en plaindre car j'accepte en me disant que même si on me traite mal, on me traite mieux que ce que je me traite seule. Mais même pas au final. De ces dernières années, j'aurais eu le cœur morcelé par le manque de respect, de tact et de réciprocité de mon entourage. J'ai l'impression de sans cesse être rabaissée. Il faut que je me retrouve seule à nouveau, c'est la seule manière que j'ai d'aller mieux. Quémander le respect des autres c'est une bien belle et fatiguante perte de temps à laquelle je m'astreints trop régulièrement. En vérité, ça me glace le sang tout ça et ça me décide à me renfermer d'avantage encore.
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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scienceoftheidiot · 19 days
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Coucou !
Est-ce que tu as eu des petites ou de grandes lectures intéressantes dernièrement à nous partager ? Ou bien même des bouquins chinés ou achetés récemment mais pas encore ouverts ?
(Je suis d'humeur à envoyer une question ce soir 😊. À bientôt !)
Ohhhh !!! Merci pour cette question ! Je ne sais pas si ça sera intéressant mais voilà ce que j'ai lu/lis dernièrement
SURPRISED MUCH?
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Ils sont tous en anglais mais les FMA sont très très faciles à lire, c'est ce que j'ai lu pendant mon arrêt et les jours ensuite où je n'arrivais pas à me concentrer. On notera que j'ai uniquement ces livres là parce que ce sont ceux qui contiennent des histoires avec Roy Mustang dedans 😅 c'est sympa, ça donne l'impression de regarder un épisode de l'anime, et parfois ça creuse même quelque peu la backstory (notamment celle de Roy), donc c'est cool.
Et en ce moment je lis Bloodless, je suis une grande fan de l'inspecteur Pendergast, même si c'est CLAIREMENT pas de la grande littérature et que certains (tous?) opus sont clichés au possible, ça arrive toujours à m'accrocher (et je les achète d'occasion donc osef de où va l'argent haha). Pour l'instant un seul m'a donné envie de le jeter contre le mur parce que c'était trop con. Je ne sais pas si j'apprécie son nouveau sidekick Coldmoon (justement j'avais jeté parce que je croyais qu'il allait mourir pour que dalle donc j'imainge que quand même je l'aime bien), que j'aime plus que le précédent D'Agosta en tant que perso, genre caractère du gars, mais je ne sais pas très bien où il se trouve question écriture des personnages natifs Américains, donc... Eh. On va dire que c'est du roman de gare de toutes façons. Ah et j'aime beaucoup le fait que Constance prenne de plus en plus de place, façon deuxième sidekick cheloue et vénère. Par contre je sais pas quoi faire du fait qu'elle soit quand même un peu (BEAUCOUP) amoureuse de Pendergast lui même... Bon il n'agit pas du tout en ce sens mais je sais pas quoi faire de cette relation (je pense que c'est fait exprès).
Ce paragraphe doit être un peu nul à lire si tu ne connais pas cette série de livres 😅 oups
Enfin voilà je me borne à lire ça et si je trouve l'envie de commencer je pense que je vais relire Misery de Stephen King pendant les vacances, parce que ça fait des années que je ne l'ai pas lu!
J'ai pas des lectures très châtiées on dira 😅
Et toi ? Qu'est-ce que tu lis ? 😊
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J'aurais aimé te manquer juste une fois... Que tu ne profites pas de mon amour pour toi... Que mes caresses ne te laissent pas un goût amer... J'aurais voulu exister en dehors de tes fantasmes morbides... Tu ne me tueras jamais... Étant déjà dans la tombe... Et je creuse encore... Vers toi... Vers un espoir impossible... Des sentiments qui ne naîtront jamais dans un coeur de pierre... Et le mien en lambeaux... Que tu malmènes pensant que je suis soumise... Sauf que je claque la porte et jette la clé... J'irai me blottir dans les ténèbres le temps que tu m'oublies... Peut être y rencontrerai je ma raison de subsister... A défaut, je pourrais me libérer de ton emprise et découvrir qui je suis...
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directmag · 25 days
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[Regarder] Godzilla x Kong : Le nouvel Empire (2024) Film en streaming VOSTFR – VF
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papadustream.cfd
-Regarder Godzilla x Kong : Le nouvel Empire en streaming sur Papadustream.cfd : Streaming Le dernier opus de la franchise Monsterverse de Warner Bros. montre des signes d'une imagination anémique. Rien dans “Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire” ne fait sens, ce qui n'est pas, en soi, un problème. Nous ne sommes pas installés confortablement dans nos sièges de cinéma avec notre popcorn rassis pour discuter de métaphores et de science ; nous sommes ici pour les stars du titre. À propos de ce titre : “Godzilla x Kong” (censé évoquer divers autres titres dans d'autres films Godzilla, non hollywoodiens) pourrait signifier Godzilla multiplié par Kong, ou Godzilla croisé avec Kong, ou encore Godzilla contre Kong — une sorte de permutation de titans. Quoi qu'il en soit, il y aura des coups. Nous sommes là pour les coups.
Ce que nous ne sommes pas là pour voir, ce sont les humains, ce qui est chanceux, car ils tombent comme des mouches. La plupart des personnages des derniers films — y compris celui de 2021 “Godzilla vs. Kong” (également réalisé par Adam Wingard) — ont disparu, largement sans explication. Notre personnage principal maintenant est le Dr Ilene Andrews (Rebecca Hall), mère adoptive d'une préadolescente, Jia (Kaylee Hottle), membre de la tribu Iwi, qui communique directement avec Kong par le langage des signes. J'ai particulièrement regretté l'absence du Dr Nathan Lind d'Alexander Skarsgard, dont l'absence est en quelque sorte expliquée mais pas pleurée, et qui a été remplacé, pour des raisons narratives, par un vétérinaire farfelu des titans joué par Dan Stevens. (Pour une raison quelconque, je suppose pour signaler l'excentricité, Stevens arbore un accent australien exagéré.)
Ils sont rejoints une fois de plus par Bernie Hayes (Brian Tyree Henry), le podcaster-blogueur-documentariste-bizarre du dernier film. Pour une raison quelconque, il est convaincu que personne ne croit ses histoires sur les titans, même si le véritable Godzilla erre sur Terre et est montré aux actualités télévisées. (Je suis plus bloqué sur l'idée étrangement fantastique qu'il soit un blogueur populaire. N'aurait-il pas déjà un Substack à présent ?)
Ces humains sont assez ennuyeux, plus anémiques que dans le dernier film. Ils sont là uniquement pour propulser le récit à travers cette histoire, qui commence avec Kong vivant dans la Terre Creuse (exactement ce que ça semble être) et Godzilla à la surface. Tant que les deux ne se rencontrent jamais, tout va bien — et par tout, je veux dire l'humanité.
Ce qui signifie, bien sûr, qu'ils se rencontreront. Les scientifiques repèrent Godzilla en train de faire la sieste dans le Colisée, puis de se frayer un chemin à travers l'Europe et le nord de l'Afrique, absorbant apparemment autant d'énergie nucléaire qu'il le peut car il sent une confrontation arriver. En même temps, quelque chose ne va pas du tout dans le monde de Kong en dessous. Et Jia fait aussi des rêves étranges — des rêves qui mènent à une expédition dans la Terre Creuse.
Ce qui suit est une tentative d'établir beaucoup de mythologie pour la franchise Monsterverse. (Leur terme, pas le mien.) C'est une grosse erreur. Vous pouvez dire que c'est une erreur, parce que toute cette mythologie doit être révélée dans un dialogue explicatif fastidieux. Plus important encore, une fois que vous savez ce qui s'est passé dans le passé, vous savez précisément ce qui va se passer dans le présent, ce qui arrache tout suspense restant au film, ne laissant que les coups. (Tellement de coups.)
D'ailleurs : cette série a-t-elle besoin d'une mythologie ? Godzilla et Kong ont tous deux une riche histoire cinématographique sur laquelle s'appuyer — c'est le 38ème film pour Godzilla et le 13ème pour Kong, et bien qu'ils n'aient pas partagé l'écran jusqu'à récemment, ils apportent tout leur bagage et leur histoire avec eux. Cela ressemble à une tentative désespérée pour la franchise de crossover de justifier à la fois son existence et sa continuation.
Ce qui n'est pas surprenant. Le bilan de cette série donne le tournis. Le film de 2014 “Godzilla”, une sorte de redémarrage de la série originale de Toho mettant en vedette le personnage, était un film légitimement excellent, équilibrant spectacle et pathos humain. Mais ensuite sont venus “Kong: Skull Island” et “Godzilla: Roi des Monstres”, tous deux censés construire un univers partagé, tous deux non seulement mauvais mais vraiment déprimants. Ensuite, il y a eu “Godzilla vs. Kong”, qui n'était pas, techniquement parlant, bon — mais il promettait une confrontation et l'apportait, avec un coda tardif de coopération involontaire et visuellement spectaculaire entre le singe massif et le lézard nucléaire. C'était un plaisir à regarder, surtout parce que le climax arrivait enfin : les deux monstres avaient enfin leur rencontre tant attendue.
Mais avec ce zénith dans le rétroviseur, “Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire” n'a plus beaucoup de route à parcourir, et ça se voit. Les meilleurs moments impliquent Kong se déplaçant à travers le paysage, Godzilla piétinant et écrasant des choses, et bien sûr la confrontation finale inévitable, qui réserve quelques surprises. Kong en particulier semble n'avoir aucun problème à communiquer sans langage humain, et ces scènes prolongées sont tellement amusantes à regarder qu'il est décevant de revenir aux humains.
Certes, les humains peuvent être une partie fructueuse de ces films de monstres. Le récent film japonais “Godzilla Minus One”, produit pour une fraction du budget de “Godzilla x Kong” et récipiendaire de l'Oscar des meilleurs effets visuels cette année, parvient à combiner la créature avec un véritable pathos et un accent sur le coût humain de la guerre, de la culpabilité et du traumatisme. C'est plus en phase avec l'origine de Godzilla, aussi, en tant que
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luc3 · 3 months
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quand je suis arrivée sur le lieu qu'Ils m'avaient indiqué (en rêve et en réalité, Ils ont ce potentiel d'être... partout) les cartes ont dit un truc du genre vazy, c'est un peu comme traverser le Bridge of Death, comme faire l'amour avec la mort mais t'inquiète, ça va le faire.
la bibliomancie suivante me dit qu'en plus je suis attendue, on fait toute sorte de préparatifs pour moi en cachette, on est empressés, on me fait croire que je suis déjà indispensable.
du coup je ne viens pas et j'attends, tu penses.
la bibliomancie encore d'après parle d'une colline creuse et d'un enlèvement et d'un roi vraiment très beau et surtout, trèèèès puissant.
incroyable j'avais moi-même le cul posé sur une colline l'autre fois. (non cette remarque n'a rien d'ironique c'est pas mon genre.)
entre-temps il y avait eu d'autres tirages de cartes toujours aussi directs.
je sais qu'il ne faut pas parler en l'air, limite il ne faut pas penser en l'air, avec Eux surtout, mais au fond avec tout ce qui touche à la divinité dangereuse; donc j'ai un peu essayé de gagner du temps en disant que moi même j'avais des préparatifs à faire, un cadeau précieux à trouver, et j'ai cherché sur mon calendrier de petite flemmarde le moment où les planètes s'alignent assez pour ne pas trop mal y voir en passant sur le Bridge of Death.
ahaha, la bonne blague ça, voir bien.
on m'a suggéré que la période était intéressante, avec la première lumière et le jeûne du carême.
super, vraiment je suis ravie.
/logs de Voisinage
je mets une photo là, pour détendre l'atmosphère.
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perduedansmatete · 5 months
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il est un peu comme le bleu sur lequel je ne peux pas m'empêcher d'appuyer encore et encore pour vérifier s'il me fait toujours un peu mal je suis dans une phase obsessive j'y pense tout le temps alors je vais voir je creuse et il me dégoute toujours autant si ce n'est plus mais ce n'est pas aussi satisfaisant que la douce sensation de douleur physique que je recherche j'ai juste l'impression que celle-ci bien plus sournoise ne passera jamais et me laissera un goût amer de merde et de regrets dont je ne sais que faire
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vague-abondage · 1 year
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Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif en réduisant de manière drastique le niveau et la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle.
Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste... que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe: on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s'interroger, penser, réfléchir.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Günther Anders, l’obsolescence de l’homme.
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icariebzh · 3 months
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 "La première chose à dire, c'est que la poésie n'est pas le discours, en vers ou en prose, qu'on tient sur elle. Ce qui ne signifie pas qu'il faille renoncer à toute ambition théorique la concernant. Mais il faut arrêter de se payer de mots. On nous a rabattu mille fois les oreilles de ces croque-mitaines; les poètes. Le poète à houppette, le regard perdu dans le lointain, fragile gardien de l'authenticité des hommes: s'il faut "habiter" le monde avec lui, je passe mon tour. Et ses collègues, celui qui assomme de grandes phrases creuses, celui dont la bouche fait s'effondrer les nations, celui qui théorise la poésie de la théorie, celui qui doute des mots et qui tient à nous le dire, l'esthète exténué, l'interprète officiel de la bouche d'ombre et...celui qui dézingue ses confrères par habitude protocolaire, tous ceux-là sont du même acabit. Dès lors qu'ils parlent de poésie, celle-ci s'en va sur la pointe des pieds. On la perd dans l'embrouillamini des mots. Quand nous en parlons, la poésie n'est pas là; mais quand la poésie est là, nous n'en parlons pas. Perpétuel chassé-croisé. Exactement comme la mort, telle que la définit Epicure ("quand nous sommes, la mort n'est pas là; quand la mort est là, c'est nous qui ne sommes pas"). De sorte que la poésie et la mort sont vraiment des choses très similaires, si on me permet ce raccourci. Si on les prend dans l'absolu, elles sont inconnaissables. Mais ce que n'avait pas vu Epicure, c'est que la mort -et la poésie- on vit avec. Elles sont des pratiques, avec leurs codes, leurs rites, leur histoire, leur utilité et par conséquent, leur efficacité. Ce sont des pratiques sociales. Et c'est là que la théorie peut nourrir l'espoir de l'approcher, si elle consent à courber l'échine devant la matérialité des hommes et des rapports humains. On vit la poésie d'un poème comme on vit la mort de l'autre; c'est à nous qu'elle arrive, c'est à nous qu'elle est donnée. La poésie est donc sociale, au sens large du mot, comme au ses politique. Elle exprime, elle traduit un rapport à autrui, de soi au monde et au monde à soi. Ce faisant, elle peut blesser les hommes, car elle s'attaque à la matérialité même de la langue, base de toute communication. Avec ce "matériel bon marché" que sont les mots fournis par le langage, elle sape l'ordre de ce langage ( et donc, en partie, l'idéologie dont il est issu) : elle en change la valeur, les usages, les règles, elle le raffine, même, et le dépasse. Elle le tue. C'est pourquoi toute révolution poétique est, au moins sur le plan symbolique, un avant-goût de la révolution politique. Les émotions procurées, tant par la culture et l'expérience personnelle que les effets stylistiques et et sonores du poème, si tenues soient-elles, peuvent engendrer des convictions inébranlables. Et dans le face à face déprimant de l'homme avec soi-même, la poésie rajoute sans cesse une nouvelle (remise en) question sur le monde, ses congénères, les autres. Tant qu'il y a une question, les hommes avancent et vivent encore un peu. Le devoir du poète est d'étendre les moyens de la poésie qu'il reçoit en héritage. Inventer de nouvelles formes (car le monde change et les questions à poser aussi), rajouter des cordes à la lyre en perfectionnant les anciennes. Ce qui fait qu'on arrive à ce paradoxe: la poésie est similaire de la mort mais la travailler, c'est étendre le domaine de la vie." Victor Blan
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wismer · 1 year
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Pour les hc sur le perso Donatien 😄
Donatien !! Un de mes perso préféré, parce que je reconnais la qualité des classiques
Sexuality Headcanon:
Je pense que Donatien est aro, mais pas nécessairement ace.
Gender Headcanon:
Amab et s'identifie comme un homme. N'hésitera pas à dire autre chose si ça lui permet de s'attirer les sympathies de quelqu'un et de vendre.
A ship I have with said character:
J'aime beaucoup le Maison/Dona parce que c'est un ship qui a un potentiel tragi-comique incroyable, mais je l'ai pas encore beaucoup exploité. J'aime bien l'idée qu'ils sont aro tous les deux mais qu'ils savent exactement ce qu'ils veulent et que du coup ça marche.
Et puis on a le Donalenny <3 je m'accroche à des branches du canon mais c'est des branches solides. Il y a juste tellement de choses à faire avec eux hhhhhhhhh platonique romantique je m'en fiche je creuse mon trou
A BROTP I have with said character:
FAB !! La seule bromance de RPZ qui a vraiment un b dedans
A NOTP I have with said character:
Hhhmmm je dirais que même si le Donacox m'amuse, jamais, au grand jamais je n'envisage que Donatien ait la moindre sympathie pour lui dans le canon après les évènements du dernier jour. Au grand mieux, une pitié un peu dégoûtée. Même dans Les Raisins de la Passion avec les rôles inversés, c'était au tour de Cox d'être révulsé. C'est une romance qui m'amuse surtout si elle est absolument pas réciproque.
A random headcanon:
LA CANE !! Donatien avec une cane et des douleurs chroniques à la jambe après s'être pris une balle, c'est un headcanon très cher à mon cœur.
General Opinion over said character:
Montazac has done nothing wrong et même si il aurait été un bon maire de merde, il méritait de gagner /hj
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gfxced · 1 year
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J'ai croisé avec le gamin une corneille assise au milieu d'une route.
Sans blessure apparente le petit corvidé n'essaie pas de s'enfuir. Je mets mes gants, ceux que je garde dans la voiture en cas de pépin, je prends l'oiseau, le dépose dans une boite dans le coffre, et on rentre. J'essaie de lui donner à boire et à manger, mais la petite créature peine à respirer. Je la laisse tranquille sur ma pelouse. 30 minutes plus tard, elle n'est plus. Le messager du vagabond à rendu l'âme.
Je vais dans le coffre, je sors la pelle d'infantrie et je creuse dans un coin du jardin sans herbe. J'y dépose la carcasse et la regarde droit dans l'oeil, celui-ci encore humide mais déjà vitreux. Son expression me paraît triste. A défaut de bucher funéraire, petite bougie pour l'animal que j'ai nommé Muninn. Celui qui ne revient pas.
Demain je déposerait une grosse pierre sur la terre meuble, ou en tout cas quelque chose pour empêcher les charognards de le trouver.
Et dans environ un an j'aurai des petits ossements à blanchir.
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e642 · 1 year
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On m’a souvent laissé penser qu’être trop, ce n’était pas ce qu’il fallait que je sois et, en un sens, ça a dû contribuer à cette perte phénoménale de tout. Ça a été un réel traumatisme pour moi que l’on me reproche constamment ma sensibilité. On en a tous une, et la mienne était exacerbée quand j’étais plus jeune. Certes, j’avais une mauvaise gestion de mes émotions, je n’en déments pas et ne me dédouane pas mais c’était beau. Actuellement, je dis souvent que je ne ressens rien, ce qui est sans doute faux. J’ai seulement pris l’habitude de ne plus ressentir les choses qui me rendaient si émotive avant. J’ai été des années voir des psy car bien sûr il fallait traiter une certaine symptomatologie à base de mutilation, de troubles alimentaires et de dépression sévère mais moi, ce que j’en ai retenu c’est que je suis allée des années chez des psy pour entendre qu’il fallait que je ravale ce trop plein, que j’apprenne à ne plus laisser une seule goutte s’échapper. Dans une société si avare de sentimentalité et d’empathie, l’émotion est vue comme nuisible, comme une faille. J’ai vu ça et je vois encore ça comme un problème parce que j’ai cru tout ce que l’on ma dit. Ces propos sont seulement symptômes et synonymes d’une société malade et creuse qui renie l’émoi. L’individualisme de nos civilisations nous pousse à percevoir la sensibilité comme un défaut que l’on doit corriger. C’est en partie ça qui m’a fait penser que j’étais malade. Or non, mais maintenant, je le suis. Ma rupture aussi m’a insidieusement et injustement fait croire que j’étais trop sensible et fragile. Que ce débordement émotionnel n’avait rien de romantique et qu’il ne pouvait éveiller que l’effroi de mon ou ma partenaire. Mais si mon trop était juste dosé et ne faisait que souligner le pas assez des autres ? J’ai passé des années à aimer trop, à donner trop, à tout faire trop juste peut-être pour compenser ce que je ne recevais pas en retour. Dans ce cas là, mon excès était sûrement là pour combler et rattraper les lacunes des autres ? Je ne sais pas où je veux en venir. Seulement, je vois aujourd’hui que j’ai des séquelles car j’ai pris cette habitude absurde de refouler et passer à côté de mon cœur et ce qu’il me dit par crainte qu’on me reproche encore et toujours la même chose. Ce n’est certainement pas irréversible. Pour qu’une habitude en soit une, il a fallu que ce soit quelque chose d’inhabituel à la base et que je me force à faire de manière répétitive et régulière. En somme, je pourrais redevenir trop -ou seulement normale ?- mais c’est dur. 
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