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#philippe de vitry
fieldsplitting · 6 months
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I love when you can tell, from an early music performance, that an ensemble has given a lot of thought to the ornamentation, the musica ficta, even the way that the different parts are introduced to the listener above and beyond what might be notated on the score.
I also happen to love this take since I was just thinking, a few weeks ago, "I wonder how Rex quem metrorum would have sounded if some of the more 'out-there' historically informed performers had taken it on," a question which I considered totally answered hearing this! If (when?) Ensemble Arborescence ever does come out with an album of the Vitry motets, I'd count myself lucky to get to hear it.
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Philippe de Vitry - Petre Clemens, tam re quam nimine - Lugentium siccentur occuli plaudant senes (Motette) ·
Sequentia ·
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turangalila · 2 years
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Philippe de Vitry (1291–1361) [(fol.43r) (fol. 16v) F-Pnm Français 146 (Roman de Fauvel) Bibliothèque nationale de France, Département des Manuscrits, Paris ] – Firmissime fidem teneamus (Intabulation)
– Ay, amours! tant me dure (Ballade)
Aÿ ! Amours, tant me dure Le mal que j’ai a porter Et me grieve outre mesure Sanz nesun confort trouver! Quant vous m’en poëz saner Et je de par vous l’endure, Pour quoi m’estes vous si dure?
Et vous, dame nete et pure, Qui n’avez ou monde per, Qui veez qu’en tele ardure M’estuet pour vous demourer, Dont autre desesperer Se pourroit par aventure, Pour quoi m’estes vous si dure?
L’en voit toute creature Naturelment encliner Par reson et par droicture A tout ce qui l’aime amer, Et vous que je n’os nommer, Hé las! de moi n’avez cure! Pour quoi m’estes vous si dure?
_ Philippe de Vitry – Motets & Chansons Sequentia (1991, Deutsche Harmonia Mundi – 77095-2-RC)
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clamarcap · 1 year
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Per Roberto d'Angiò
Per Roberto d’Angiò
Philippe de Vitry (31 ottobre 1291 - 1361): O canenda vulgo per compita / Rex quem metrorum / Rex regum, mottetto a 4 voci. Ensemble Sequentia. Il brano celebra Roberto d’Angiò, detto il Saggio (1277 - 1343), re di Napoli dal 1309; il sovrano non è citato nel testo, ma le lettere iniziali dei versi del motetus (2a voce) ne formano il nome (acrostico). Secondo varie testimo­nianze dell’epoca,…
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supercantaloupe · 6 months
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on the bright side i got an A on every portion of my midterm exam and project in one class and a 98 on my transcription project in my other class from last week. fuck with .me
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christophe76460 · 1 year
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BIOGRAPHIE DE PIERRE DU MOULIN
Pierre Du Moulin, né le 16 octobre 1568 à Buhy et mort le 10 mars 1658 à Sedan, est un pasteur et théologien protestant français réputé pour son orthodoxie. Il est connu comme premier pasteur du temple de Charenton et tenant de l'Académie de Sedan l'espace d'une trentaine d'années (1621-1658).
Pierre est le fils de de Joachim Du Moulin, pasteur protestant, et le petit-fils de Charles Dumoulin, juriste de renom. Le 24 avril 1564, Joachim épousa en l'église d'Orléans, demoiselle Françoise Gabet, fille d'Innocent Gabet, juge pour le Roi, à Vienne en Dauphiné (qui sera tué par les catholiques peu après le massacre de la Saint-Barthélemy). De ce mariage sont issus quatre enfants : Esther, Joachim, Pierre et Éléazar.
Joachim du Moulin, avec ses deux enfants, Esther et Joachim, âgés de trois ans et de un an, et sa femme enceinte de Pierre, fuyait la persécution ; il avait été chassé de son église de Mouy. Après avoir erré de retraite en retraite, la famille arrive au château de Buhy, en Vexin. Monsieur de Buhi, protestant, frère de Philippe Duplessis-Mornay, lui offrit un asile. C'est dans ces circonstances que naquit Pierre du Moulin, le 16 octobre 1568.
En 1570, l'édit de Pacification permit à Joachim de réunir toute sa famille à Cœuvres, où était réfugiée l'église protestante de Soissons, chez Jean Ier d'Estrées ; église dont il était le pasteur. Après le massacre de la Saint-Barthélémy, Antoine d'Estrées, qui succédait à son père, change de religion et chasse ses anciens protégés.
Ils trouvèrent la protection du duc de Bouillon, alors Henri-Robert de La Marck, et arrivèrent à Sedan le 3 janvier 1573. La mère, Françoise, mourut peu après leur arrivée, le 13 février 1573. L'année suivante, Joachim du Moulin se remaria, avec Guillemette d'Avrigny « de la maison d'Anserville». De ce second mariage naquirent trois enfants : Marie, Jean et Daniel.
Quelque temps après il alla de nouveau servir l'église réformée de Soissons, installée alors Saint-Pierre-Aigle, laissant ses enfants à Sedan.
En 1584 Joachim du Moulin revint à Sedan pour s'y fixer. Pierre suivait les cours du collège, nouvellement fondé.
En 1588, fuyant les guerres de la Ligue, il s'échappa en Angleterre. Il y devint le précepteur du fils de la comtesse de Rutland, lequel étudiait à Cambridge. C'est ainsi qu'il suivit les cours du docteur Wittaker. Durant les vacances, il allait à Londres au contact de l'église réformée wallonne.
Il était installé depuis quatre ans en Angleterre lorsqu'il se résolut à rejoindre Leyde où son ami François du Jon professait la théologie. Il accepta un poste de conrecteur, sorte de maître-adjoint, au collège de Leyde. Peu après, il fut admis, sur concours, à l'âge de vingt-quatre ans, professeur à l'Académie de Leyde. Il resta dans cette charge cinq ans et trois mois.
En 1595, il publia sa première œuvre, qui eut de nombreuses rééditions : La Logique françoise.
À Leyde, il prend pension chez Joseph Juste Scaliger, où il rencontre des personnages distingués et de grand mérite et s'y fait de puissants amis. Durant son séjour à Leyde, il fréquente, Paul Trude Choart, duc de Buzenval, alors ambassadeur de France à La Haye.
En 1599, il revient à Paris, où on lui confie le soin d'accompagner, avec la fonction de chapelain, la princesse Catherine de Bourbon en Lorraine. Chaque année d'abord, puis, à partir de 1603, tous les deux ans, il faisait le même voyage, qui durait trois mois. C'est au cours de ce voyage, en 1599, qu'il rencontra à Vitry-le-François, Marie Colignon, « demoiselle de la Religion » ; il l'épouse à son retour en France.
Il s'installe ainsi, en 1599, à Grigny, comme pasteur, puis se déplace, vers 1603, dans la paroisse d'Ablon. Pierre Du Moulin fut le premier pasteur du temple de Charenton.
En août 1605, il est député à l'assemblée politique générale de l’Église réformée qui se tient à Châtellerault.
Il passe ainsi une quinzaine d'années de controverses, contre les catholiques, mais aussi contre certains réformés. Il est appelé en 1615 en Angleterre pour y travailler à une réunion des églises protestantes, et préside le synode d'Alès en 1620.
Dans cette année 1620, la situation politique se gâte pour les réformés. Pierre Du Moulin quitte alors la France pour Sedan où il arrive le 16 janvier 1621, pour quelque temps pensait-il ; il y resta 37 ans, jusqu'à sa mort.
Il sera l'une des personnalités les plus puissantes et les plus influentes de l'Académie de Sedan et le précepteur de Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne.
Vers 1638, il écrit Esclaircissement des controverses salmuriennes qui circulera neuf ans à l'état de manuscrit avant d'être imprimé ; il en permit la publication en 1647.
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emilymaddison1112 · 1 year
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Why was the motet important?
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The motet has notably evolved from its origins in the Middle Ages.
1. Medieval motets: The motet first emerged in the thirteenth century as a mostly secular form, likely as an offshoot of what music historians call the Notre Dame school of composition. They likely derived from the clausula section of plainchant organums, an early form of a cappella vocal polyphony. Medieval secular motets were performed in different local languages over an isorhythmic cantus firmus (a fixed, preexisting melody). Typically the cantus firmus came from older Gregorian chants and was sung in Latin. Notable motet composers of this period include the French Philippe de Vitry and Guillaume de Machaut.
2. Renaissance motets: As Medieval motets gave way to Renaissance motets, they increasingly featured lyrics drawn from sacred texts. Instead of a Gregorian cantus firmus, Renaissance composers use antiphons (Latin text drawn from Christian liturgy). In many ways, the Renaissance motet became sacred music's answer to the madrigal, which was a popular form of polyphonic vocal music. Key Renaissance motet composers include Giovanni Pierluigi da Palestrina (an Italian of the Roman School of compositional technique), Josquin des Prez (a Frenchman of the Franco-Flemish School), Thomas Tallis (an Englishman), and Giovanni Gabrieli (an Italian of the Venetian School).
3. Baroque motets: The motet did not play the same prominent role in the Baroque era as it did in the Renaissance era, but several composers did embrace it. Most notably among these was J.S. Bach, who used sacred text in German and basso continuo for instrumental accompaniment. As with all of his works, Bach used the motet to display leading-edge techniques in contrapuntal compositions.
4. The Classical era and beyond: The motet has endured through the present day, although composers now enjoy many other polyphonic vocal forms to work from. Mozart composed a Classical-era motet, Ave verum corpus (K. 618), and nineteenth-century composers like Brahms, Bruckner, and Elgar also made use of the form. Avant-garde interpretations of the motet have periodically emerged in twentieth and twenty-first-century classical music.
When talking about the ancient music of the Renaissance, it generally referred to music that was sung in church services, but wasn’t part of the Mass Ordinary (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus, Agnus Dei). And since it was a setting of a religious text, it would not be confused with later musical developments that were more secular in nature, such as madrigals, or operas
To know more visit: https://chorsymphonica.org/what-is-a-motet/
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plaque-memoire · 1 year
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Billet spécial n°1 - Les hôtels particuliers de l'Île Saint-Louis
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Pour célébrer la rédaction du 200ème billet du blog "Plaque Mémoire", j'ai souhaité présenter un format un peu plus libre que les autres publications, en particulier eu égard au fait que les plaques commémoratives présentées ici sont différentes de celles habituellement traitées, en ce qu'elles se rapportent davantage à la propriété de bâtiments.
L'île Saint-Louis (anciennement île Notre-Dame) est une île située sur la Seine, dans le quatrième arrondissement de Paris. Structurée autour de la rue Saint-Louis en l'île qui la traverse de part en part, elle a fait l'objet d'une vaste opération d'urbanisme au XVIIème siècle, et rassemble alors un très grand nombre d'hôtels particuliers qui lui valent le surnom d'"île des palais". Ces bâtiments, riches résidences passant aux mains de différentes familles aisées, connaîtront au fil des années des habitants prestigieux.
Les photos montrées ici ne constituent pas une liste exhaustive des hôtels particuliers de l'île Saint-Louis, dont beaucoup ont été préservés et sont de remarquables monuments historiques cachés en plein cœur, comme l'hôtel de Lauzun (situé au 17 quai d'Anjou)
11 quai de Bourbon. Texte de la plaque : 1643. Demeure de Philippe de Champaigne, peintre et valet de chambre de la Reine mère.
13 quai de Bourbon. En 1695, propriété de Louis Joseph de Playbault, seigneur de Villars, capitaine au régiment de la reine.
15 quai de Bourbon : Hôtel Le Charron (ou hôtel de Vitry). Texte de la plaque : Hôtel Le Charron. Contrôleur de l'extraordinaire des guerres en Picardie. Son petit neveu J.J. Charron, marquis de Menars, est beau frère de Colbert. Le peintre Émile Bernard y a résidé.
31 quai de Bourbon. Texte de la plaque : Emplacement de la propriété du fils de Théophraste Renaudot, médecin de Louis XIII, commissaire général des pauvres, fondateur du journalisme. L'écrivain Charles-Louis Philippe y a résidé.
18-20 quai d'Orléans : Hôtel Rolland. Texte de la plaque : Hôtel Rolland. En 1775 propriété de Étienne Françis Turgot, marquis de Soumont, gouverneur de Cayenne et de la Guyanne.
16 quai de Béthune. Texte de la plaque : Construit en 1647. En 1728 très haute et très puissante dame Marguerite Thérèse Rouillé, princesse de Poix, veuve de très haut et de très puissant seigneur monseigneur Armand Jean Duplessis, duc de Richelieu et de Fronsac, pair de France, chevalier des ordres du Roy, lègue cet hôtel à son beau-fils LF Armand de Vignerod, futur maréchal de Richelieu
22 quai de Béthune : Hôtel Lefebure de la Malmaison. Texte de la plaque : Hôtel Lefebure de la Malmaison, Conseiller au Parlement, 1645. Baudelaire y vécut en 1842 et 1843. Le poète Charles Baudelaire y a résidé.
28 quai de Béthune : Hôtel Aubert-Perrot. Texte de la plaque : 1640. Maison de M. Aubert, contrôleur des rentes de l'Hôtel de ville. Façade du XVIIIème siècle
5 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Petit hôtel de Marigny, élevé en 1640. Habité par Rennequin, créateur de la Machine de Marly
7 quai d'Anjou. Texte de la plaque : 1642 Hôtel construit pour Jacques Brebart Marchand de Fer. Siège de la Corporation des Maîtres Boulangers depuis 1843
11 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Construit vers 1645 pour Nicolas Lambert de Thorigny. Louis Le Vau architecte. Acquis en 1945 par Henri Digard.
15 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Vers 1645 hôtel construit pour Nicolas Lambert de Thorigny, président a la Chambre des Comptes. Louis Le Vau, architecte présumé.
23 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Hôtel ci-devant du Président Perrot
23 quai d'Anjou. Texte de la plaque : En 1642 ici demeura le Sieur Gabriel Sionite, Maronite du Liban, professeur d'arabe au Collège de France
27 quai d'Anjou. Texte de la plaque : 1644. Sur l'emplacement acheté en 1621 par Salomon de Caux, architecte du roi Louis XIII, Simon le Bossu, Maitre des Comptes, construit cet Hôtel où vécut en 1691 Nicolas II Sainctôt, Introducteur des Ambassadeurs
33 quai d'Anjou. Texte de la plaque : 1640. Maison de Marin Le Roy, Sieur de Gomberville, titulaire du 21e fauteuil à la Fondation de l'Académie française
38 rue Saint-Louis en l'Île. Texte de la plaque : En 1775, Gilles Gomin maître tapissier acquiert de très haute et très puissante dame Madame Isabelle Louise Juvénal de Harville des Ursins de Tresnel, marquise de la Chastre
rue Saint-Louis en l'Île. Texte de la plaque : 1640. Maison à l'enseigne de la Bastille, louée à François Goube, marchand de vins
19 rue des Deux Ponts : Maison de l'Image Saint-Louis. Texte de la plaque : Maison de l'Image Saint-Louis. Abrite en 1642 le tavernier Framery, en 1742 le notaire Deshayes
9 rue Poulletier : Hôtel de Gillier. Texte de la plaque : Hôtel de Gillier. Construit de 1637 à 1640, par Louis Le Vau, père et fils, pour Melchio de Gillier, Seigneur de Lagny, conseiller du roy Louis XIII
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titou-nz · 1 year
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Nubian Village - Égypte
Résistance à l'islamisation (viie au XIVe sc.)
Au VIIe siècle, le royaume de Makurie s'étend, annexant au nord le royaume de Nobatie, face à l'Égypte. La Makurie devient la principale puissance de la région, capable de contrer les expéditions arabes. Quoique Maqrîzî dit qu'une expédition contre la Nubie dirigée par Abdallah ibn Saad vers 652 ait, en dépit de son échec, abouti à un traité de libre circulation pour les marchands des deux pays dont les musulmans ont profité, la Nubie reste fermement chrétienne.
Ce fait est connu des puissances européennes via la communauté nubienne de Jérusalem, dont les prêtres se distinguaient des autres jacobites. Ainsi Jacques de Vitry, évêque d'Acre, fait état vers 1212 dans son Historia Orientalis de leur indépendance. Plus encore, en 1307, la puissance des Nubiens chrétiens paraissait suffisamment importante à Hayton pour qu'il recommande au pape, dans un traité ajouté à sa Fleur des histoires de la terre d'Orient, de les inciter à prendre part à une croisade contre les Mamelouks :
« Que Votre Sainteté consente à écrire au roi des Nubiens, qui ont été convertis à la foi du Christ par l’apôtre saint Thomas en Éthiopie, en leur ordonnant de faire la guerre au sultan d’Égypte, de faire entrave à sa puissance et de le harceler. Je crois fermement que ces Nubiens, pour l’honneur de notre Seigneur Jésus-Christ, s’efforceront d’envahir les terres du sultan par le désert, lui causant de nombreux dommages et entraves. »
Même chose vingt ans plus tard dans le second projet du renversement du pouvoir mamelouk présenté au pape Jean XXII en 1321 par le Vénitien Marino Sanudo. Il veut que les « chrétiens noirs de Nubie » attaquent l’Égypte par le sud pendant que les Européens progresseront depuis la côte. Il ne doute pas que les Nubiens se joindront d'eux-mêmes, et le dit au roi de France Philippe VI :
« De plus, il existerait un authentique espoir pour que les chrétiens de Nubie et d’autres régions au-dessus de l’Égypte, qui sont noirs et qui ont subi force châtiments de la part du sultan du Caire, descendent, en toute logique, depuis leurs pays, de telle sorte que les infidèles d’Égypte ne pourront entièrement les contenir. »
Cependant, par le commerce, la langue arabe et l'islam se propageaient lentement en Nubie. Le palais royal d'audience de Dongola est remplacé par une mosquée en 1317. Il n'en demeure pas moins que l'indépendance du Soudan du Sud en 2011 atteste du maintien au fil des siècles, malgré la domination musulmane, du fond chrétien de l'ancienne Nubie.
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churchofsatannews · 5 years
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A tribute to the Cathedral Basilica Notre Dame of Paris: Vox Satanae - Episode 434
A tribute to the Cathedral Basilica Notre Dame of Paris: Vox Satanae – Episode 434
Vox Satanae – Episode 434 – 175 Minutes – Week of April 29, 2019
A tribute to the Cathedral Basilica Notre Dame of Paris
This week we hear anonymous works and works by Bernard de Cluny, Magister Leoninus, Magister Perotinus, Philippe de Vitry, Guillaume de Machaut, Franz Liszt, Franz Schmidt, and Olivier Messiaen.
The first segment includes music one would have heard during the two centuries…
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Philippe de Vitry_and the Ars Nova
A stunning compilation of medieval works by French composer, Philippe de Vitry. 
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fieldsplitting · 11 months
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Philippe de Vitry - O canenda vulgo / Rex quem metrorum / Rex regis, motet (score)
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Philippe de Vitry - Tribum, que non abhorruit / Quoniam secta latronum / Merito hec patimur
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turangalila · 2 years
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Philippe de Vitry (1291–1361) Petre Clemens tam re quam nomine / Lugentium siccentur occuli plaudant senes (Motette)
TRIPLUM Petre Clemens tam re quam nomine / cui nascenti donantis dextera / non defuit qui ymo cardine / e supremo beata munera / superes o felix ac omnia / quae reliqua celi benignitas / dare protest; nec defuit pia / pyeridum sacrarum dignitas / harum precellis vero dotibus / harum dono cuncta Germalia / carmentina pegasi pedibus / transvectus es a puericia; / aut fata vero aut ipsa prospera / te fortuna mellus spiritus / sublimavit ergo considera / quod Cephas es sed orbi deditus / quod monarcha, sed servus omnium / princeps orbis, sed orbis languidi / servus nempe sed delirantium / ac ne cui tandem sint perfidi / arte princeps serve dimelicum / torque fides mundialis celis / regnum tuum furorem tragicum / potens pie conpescere velis. / Absit tuo Tyestes tempore / et austerus, absint Thebaides / abutentes fraterno jecore; / unumque sint scissi Philipides / urben vide classis per equora / deterreat principes Thaneos / clangor turbe turcorum pectora / decipiant augures mempheos. / Consoletur tristis Armenia / et elatus succumbat Ismael / et germinet deserta Syria / et depressus resurgat Israel: / tunc nature gloriosissimus / triumphator tributum solvere / non dolebis heres legitimus / Jhesu Christe moriens libere: / et si desint marmor et gemula / ac metallum sculpenda sinceri / erit tandem tumulus vernula / semper fama pespondens operi / quam posceris prebebit regula / gubernandi faveant operi. // MOTETUS Lugentium siccentur occuli / plaudant senes exultent parvuli / umbre mortis quoniam regio / quos temnunt splendoris visio. / Est exorta radio spiritus / Clemens sextus sanctus divinitus / stupor orbis otersum speculum / ad formandum virtutummodulum / cirrei Syris Apollinis / pervasiti vigor certaminis / phitonistas horsis / ubere crapulatos solos / prosternere ac dum flectis / sermonis timpanum / corda rapis ad aurisorganum. / Petrus primus, Petrum non deseris / vices eius quia recte geris / tu clemens es et Clemens dixeris / pesagii qui fontis aperis / venas gratis vidis et rudibus / Athlanticis et Ethiopibus / stitis quoque quid in preconia / laudum mane sudatjusticia. / Non angentur memento secula / non mana tumescunt gutula / nec ulla laus addendere mentis / tuis unquam poterit inclitis / vulgi tamen modica porcio / de te saltem clangere gestio / vivat, vivat orbi perutilis / cui non est inventus tuus similis. //
_ Philippe de Vitry – Motets & Chansons Sequentia (1991, Deutsche Harmonia Mundi – 77095-2-RC)
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rachelbethhines · 7 years
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A Genre A Day
Ars nova
Ars nova (Latin for new art) refers to a musical style which flourished in France and the Burgundian Low Countries in the Late Middle Ages: more particularly, in the period between the preparation of the Roman de Fauvel (1310s) and the death of the composer Guillaume de Machaut in 1377. The term is sometimes used more generally to refer to all European polyphonic music of the 14th century.
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histoireettralala · 3 years
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Today in History: Le coup de majesté de Louis XIII.
Marie de Medici had a favorite, Leonora Galigaï. This Florentine servant, of very humble origin, passed for her foster sister, although she was a little older. At her service since her birth, she had never left her. Intelligent and dedicated, confidant of her hopes, associated with her joys and sorrows, she became indispensable to her. Marie had demanded that she follow her to France. But to stay with the queen, she needed a presentable husband. Concino Concini was not, whatever may have been said, an adventurer, but a cadet of excellent Florentine nobility, a dissident and living by his wits, therefore quite ready to come to terms with her ugliness. A very bright future seemed promised to them.
[..]
The Etats-Généraux had coincided with the majority of Louis XIII. Proclaimed on his thirteenth birthday, according to custom, it made him in principle a sovereign in full exercise. The following year, his marriage to the Infanta Anne of Austria - paired with that of his sister Elisabeth with the future Philip IV of Spain - made him fully an adult. Pure appearance, despite official claims. Durably traumatized by the assassination of his father, deeply reticent towards his mother, he was an immature, silent and secretive adolescent [..] He was taken for a simple-minded person and they doubted that he would ever be able to govern. [..]
She had changed nothing in the organs of government and left most of the office holders in place, but Concini had risen in rank. Promoted Marquis d'Ancre, Marshal of France, he tried to carve out for himself a position in Normandy which equaled him to the best houses in France. In their private hôtel in the rue de Tournon, the couple led a brilliant life - not without arousing jealousy and resentment, fed by xenophobia. Brash, arrogant and brutal, the husband stirred a lot of air without worrying about what others would say. His wife, more astute and more prudent, was politically minded. Perceiving the danger, she wanted to retire to Florence.
[..]
In the spring of 1617, a clap of thunder broke out in a serene sky [..] While no one expected it, the young king came out of his apparent inertia and brutally seized power.
On April 24, at the end of the morning, Concini, flanked by about fifty bodyguards, went to the Louvre as every day by his ordinary path, on the east facade of the building. He crossed the old walls of Philippe Auguste by the Porte de Bourbon without noticing, because he was reading a letter, that this door was closing behind him, separating him from his escort. He approached the two successive bridges overhanging the ditches and leading to the filtering window which marked the entrance to the castle. There he bumped into a handful of men surrounding the Marquis de Vitry, who grabbed his arm and said: "In the name of the king, I am arresting you."
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He barely had time to shout his surprise. Already pistol shots were firing that shot him down. Outside, his terrorized companions fled [..] The shots had been heard up to the first floor of the palace where Louis XIII was plagued with anxiety. When his governor, d'Ornano, announced to him in one word: "It is done", he advanced to the window of the courtyard from which rose an ovation. "Thank you! Many thanks to you!" he cried to his Gardes-Françaises. "Thanks to you, I am king!" He was only fifteen and a half years old.
So people tried to attribute the responsibility for this coup to his entourage [..] In any case, no one was then unaware of the young king's hatred for Concini, the fruit of a long period of humiliations. The arrogant marshal considered him irrelevant and had made the great mistake of letting him see it. His very graces were offenses in the eyes of this wounded soul: how dare they offer him what was rightfully his? [..] One thing is certain in any case: he authorized his killing. The interview where the decision was taken took place in two stages. On the need to eliminate Concini, all agreed. The first idea was to take him, imprison him and bring him to justice. Easier said than done! Approached to take charge of the operation, the protagonists deflected. They found in the person of the Marquis de Vitry a man ready for anything, on the condition, however, of being covered to the end. When he received the order to arrest Concini, he asked the crucial question which had hitherto been eluded: "But Sire, if he defends himself, what does His Majesty want me to do?" Everyone suspected that he would defend himself. As Louis was silent, Deageant replied: "The king intends that he be killed." And the king remained silent. Silence is consent. [..]
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Another major consequence of Concini's elimination was the sidelining of Marie de Medici. The desire to shake off her tutelage may have weighed on her son as much as the hatred for her protege. Through the hated favorite, he was accomplishing in a roundabout way the first stage of a political matricide which would find its full completion fourteen years later.
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[...]
At the time, the joy aroused by Concini's death obscured the political implications. Richelieu, stunned, took some time to see them. The victim, whose limits he had measured, inspired him no regrets and he believed at first that he would have a freer field in the ministry. His colleague Barbin opened his eyes: "Sir, are you jesting, thinking that the repercussions of all this will not fall on us?" When he did indeed present himself at the Louvre, the king, then climbed onto a billiard table from which he was haranguing a half-hysterical assembly, called out sharply: "Well, Luçon, here I am, rid of your tyranny. Come on, come on, sir, get out of here! " Although he had known him within the framework of his religious or political functions, it was their first contact that escaped the agreed forms. It was rough [...]
The next day had a very trying experience in store for him. Concini's body had been placed provisionally in a vault in the church of Saint-Germain l'Auxerrois. But the enraged people succeeded in pulling it out by moving the slab. "He was dragged to the Pont Neuf and hanged by the feet from a gallows which he had had planted there to frighten those who spoke badly of him. There they cut off his nose, ears and shameful parts and threw away entrails in the water, and did to this corpse all the indignities that could be imagined. " Now Richelieu's coach, which was passing there on its way to see the nuncio, found itself stuck on the bridge in this howling crowd intoxicated with fury. If they identified him, it was death for sure. He ventured to speak to them, pretending to take their side. "These are people who would die in the service of the king," he called out, pointing to them. "Everyone shout Vive le Roi!" and shouting with them he pulled himself out of their clutches. But for the way back, he chose the Pont Notre-Dame [..]
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Richelieu [..] will never forget that for a minister an end of this kind is part of the risks of the profession.
Simone Bertière- Louis XIII et Richelieu, "La Malentente".
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