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#potiche
jeanfrancoisrey · 29 days
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Ruelle aux acanthes…
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philoursmars · 8 months
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Marseille. Au musée Borély, musée des Arts Décoratifs, de la Faïence et de la Mode, il y a actuellement une expo très intéressante : "L'Asie Fantasmée", montrant comment , au XVIIIe et au XIXe s. , la France (et l'Europe), voyaient et surtout imaginaient les empires d'Orient, Chine, Japon et Empire Ottoman entre autres, avec parfois une réciprocité étonnante.
potiches "chinoises" - Berlin, XIXe s.
les 2 suivantes : Chine Qing, 1830
vase - Kyoto, fin XIXe s.
vase, Toritei - Tokyo, Japon Meiji, fin XIXe s.
vue d'ensemble de la potichemania du XIXe s. français...
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k-star-holic · 8 months
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HYE EUN YI "7kg depletion, now the food is not doubled"
Source: k-star-holic.blogspot.com
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oriental-art-srl · 2 years
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Coppia di potiche in porcellana cinese color arancio - www.oriental-art.it #arteorientale #orientalart #porcellane #porcellana #potiche #coppiaporcellana #coppiapotiche #coppiagiare #coppiavasi #basiperlampada #paralumi #abatjour #arredoalberghi #arredialbergo #arredamento #interiordesign #decorarecasa #decorazionedellacasa #decorazionedinterni #decorazionecasa #complementidarredo #architetturadinterni #designcasa #designinterior #homedesign #arredamentoetnico #arredamentomoderno #minimalchic #minimal #articolidaregalo (presso Oriental Art SRL) https://www.instagram.com/p/CiKypYAIjDc/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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eldaryadiary · 5 months
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Je ne regarde pas la télé française mais wah, j'savais qu'Olivier causait anglais.
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chic-a-gigot · 2 months
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La Mode, no. 545, 25 février 1837, Paris. Coiffure à la Margueritte d'Anjou en velours noir avec perles blanches et marabouts; et turban noir et argent. Robe et pardessus de tulle blanc relevé par des grappes de lilas. Robe de velours gris épinglé avec manches à la Clotilde en Angleterre. Digital Collections of the Los Angeles Public Library
Coiffure et turban de chez Mme. Lemonnier, rue St. Honoré, 318. Ecran de chez Giroux. Potiche de chez Bouin.
LEFT- She is wearing a white dress with short ruffled sleeves. The bottom of her dress is decorated with pink flowers. Her hair has a black bandeau and white plumes. RIGHT- She is wearing a blue dress with white gigot sleeves. She is also wearing a black and white turban.
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artmialma · 6 days
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Georges d'Espagnat (1870–1950) French
Nu devant une commode à la potiche
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psikonauti · 1 year
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Bernard Buffet (French, 1928–1999)
Cosmos rouges dans une potiche, 1967
Oil on paper on gouache background and colored pencils
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theoppositeofadults · 11 months
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un de mes grands dilemmes actuels est : quand faire la bise au travail 
as a principle, je ne fais pas la bise à mes collègues parce que je suis busy busy et j’ai autre chose à faire que de passer 10 minutes à dire bonjour chaque matin → pas un problème 
avec mes clients, je fais la bise à la plupart de ce que je connais bien - mais je les laisse toujours faire le premier pas (et les bizarres reçoivent une main tendue avant de pouvoir faire un pas vers moi)
mais;.... en général les hommes se serrent la main entre eux et je suis très souvent la seule femme, et donc je suis un peu en mode potiche à faire un petit coucou de la main parce que c’est un peu bizarre je trouve pour une femme de serrer la main à des gens qu’elle connait bien? 
et voilà. j’aimerai un manuel ou un flowchart 
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swedesinstockholm · 6 days
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14 avril
rebel wilson l'actrice australienne a perdu sa virginité à 35 ans, je l'ai vu dans mes suggestions youtube rebel wilson talks losing virginity at 35, clickbait suprême s'il en est, je me suis jetée dessus en espérant que ce soit pas une blague ou un coup de marketing. elle l'a révélé dans le cadre de la sortie de son autobiographie. elle a juste mis beaucoup de temps à se rendre compte qu'elle était lesbienne en fait. c'est toujours la même histoire. aujourd'hui elle a 44 ans elle est fiancée et elle a un bébé qu'elle a eu via une mère porteuse. moi je suis à deux ans d'avoir 35 ans et je pleure dans mon lit parce que r. vient de me dire qu'il était attiré par adrianne lenker et que je serai jamais cool et androgyne comme adrianne lenker. il a dit en plus elle est habillée comme moi et j'ai dit t'es attiré par les filles qui s'habillent comme toi? et il a dit eh bien je remarque que oui et j'ai failli lui dire alors je sais comment je vais m'habiller la prochaine fois qu'on se voit mais heureusement je me suis retenue.
après m'avoir dit bonne nuit j'ai vu un moucheron sur ma jambe et j'avais envie qu'il me mange. qu'il fasse un trou dans ma cuisse et me dévore petit à petit jusqu'à ce que j'existe plus. je peux même plus écouter adrianne lenker maintenant. elle est en couple avec une fille en plus, elle est censée être là pour me réconforter. peut être que je ressemble tout simplement pas assez à une lesbienne pour que r. tombe amoureux de moi. j'arrive pas à croire qu'on est attirés par le même type de filles. il manquerait plus qu'il soit attiré par les garçons qui lui ressemblent. et là je peux encore moins concourir. je suis courte sur pattes et dodue j'ai des gros seins et je suis moche avec les cheveux courts.
il va la voir en concert en mai juste après son propre concert, il connait sa violoniste elle lui a filé une place gratuite, j'ai dit ohlala la soirée de rêve et il m'a dit viens!!! mais c'est la veille du mariage de s. et adrianne lenker c'est complet depuis longtemps et surtout SURTOUT hors de question de faire la potiche-groupie amoureuse toute seule dans le public à son concert. et lui il va probablement pas faire comme moi à la maison poème et sacrifier sa vie sociale pour rester discuter avec moi dans un coin. non mais le culot. jamais de la vie j'aurais osé l'embarquer dans une conversation sur les traumas de mon enfance, en pleine gloire de post-représentation, non mais c'est pas vrai. j'en ai marre que notre relation soit déséquilibrée. il représente trop pour moi. pour lui je suis une parmi. pour moi il est le.
cet après-midi je suis partie me promener toute seule le long des champs et à un moment j'étais un peu en hauteur à la croisée de deux chemins et le vent faisait voler mes cheveux au soleil et je me suis rappelé d'un moment de dimanche dernier, juste après la fin des lectures quand je nous ai servi des verres d'eau sur un coin de la scène pendant qu'on se congratulait mutuellement et puis je me suis retournée et j'ai vu r. assis tout seul dans les gradins presque vides et je lui ai souri en lui faisant un pouce en l'air et il m'a répondu en faisant je sais plus quoi et puis il faisait semblant de jouer le solo de guitare qui était en train de passer et je le regardais en souriant, c'était comme si on bouclait la boucle, ou qu'on recommençait depuis le début, mais cette fois tu tombes amoureux de moi ok?
à chaque fois que je croisais des gens pendant ma ballade cet après-midi j'étais l'amoureuse. quand je me promène dehors j'endosse toujours une occupation, selon mes préoccupations du moment. parfois je suis l'écrivaine, parfois je suis la serpillère, parfois je suis la winneuse parfois je suis la loseuse, parfois je suis la paumée, etc. aujourd'hui j'étais l'amoureuse. si mon crâne était transparent les gens que j'ai croisés n'auraient vu que r.
15 avril
j'ai accompagné maman et m. au centre commercial pour me changer les idées cet après-midi mais bof j'étais assise sur un fauteuil mauve avec le regard perdu dans le vide à me demander si je devais arrêter de porter des robes pendant que maman essayait des doudounes fines à petits bourrelés et que m. la conseillait. dans le supermarché j'arrivais tellement plus à me porter que je me suis appuyée contre un bout de rayon en semi catatonie. à chaque fois j'oublie que les centres commerciaux m'aspirent l'âme. en passant devant la librairie j'ai vu deux de mes anciennes collègues. j'ai oublié leurs noms parce que je les mentionne pas dans mon texte. ça m'a rappelé dimanche dernier et ça m'a un peu remonté le moral. quand j'y travaillais je me demandais ce que je pourrais en tirer, artistiquement, je voulais en faire un film, un court-métrage, mais finalement j'en ai fait un poème. mon ancien responsable serait fier de moi.
aujourd'hui je me suis dit que peut être que je devrais arrêter d'écrire. j'ai déjà perdu le raisonnement qui m'a menée à cette conclusion, c'est plutôt que j'ai réalisé que je pouvais pas me contenter d'avoir juste l'écriture dans ma vie. je suis pas comme laura vazquez par exemple. au bout d'un moment ça me monte trop à la tête et je vois plus que des mots et des phrases et des choses qu'on dit et qu'on redit comme ça ou comme ça mais c'est toujours la même chose. au bout d'un moment je sature et tout me semble ridicule. donc il me faut autre chose. pour contrebalancer. qu'est-ce que je ferais si j'arrêtais complètement d'écrire? par quoi je me définirais? il faudrait bien que je me trouve une autre destinée. j'ai envie d'arrêter rien que pour voir ce que je ferais, même si je ferais très probablement rien du tout.
ce matin par exemple j'étais allongée sur mon lit au soleil avec la fenêtre grande ouverte à lire mon journal de 2004 en écoutant le premier album de muse pour me mettre dans le contexte et j'interrompais régulièrement ma lecture pour chanter avec matthew bellamy et aussi avec sa guitare en me tortillant sur mon lit, c'était cathartique, c'était mieux qu'une séance de psy ou n'importe quoi vraiment, peut être que je devrais faire ça tous les matins, pour purifier mon âme. bon mais je lisais mon journal en vue de l'écriture d'un texte sur l'été 2004, donc ça reste une occupation liée à l'écriture.
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jeanfrancoisrey · 10 days
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La potiche, l’olivier et le cyprès…
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gatutor · 1 month
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Catherine Deneuve-Jérémie Renier "Potiche, mujeres al poder" (Potiche) 2010, de François Ozon.
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mmepastel · 4 months
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Bon j’arrive pas à mettre les photos correctement TANT PIS 🤬.
J’ai lu un bon livre, ça y est, c’est celui-ci, avec ce drôle de titre, écrit par Monika Fagerholm, une finlandaise qui écrit en suédois.
C’est un livre étonnant, qui est très original dans sa composition, un peu circulaire, un peu répétitive. Il est question d’étés successifs en Finlande, sur une côte, où se retrouvent plusieurs familles (aux niveaux sociaux différents d’ailleurs) ; l’une vient d’Amérique et voudrait que sa vie ressemble à celle d’une star américaine ; elle lui emprunte tous ses attributs, attitude, centre d’intérêt, et surtout argent (son mari est riche et séducteur). Voilà pourquoi la narratrice parle de la vie rêvée de la plage, de l’été, sans cesse, jusqu’à ce que ça devienne une rengaine, un tic de langage dépourvu de sens. Elle s’y lie d’amitié avec Isabella, tout aussi attirée par le luxe, le désir d’enchanter chaque instant, passionnée d’elle même et pourtant terriblement désœuvrée, presque le reflet d’une personne, comme celui qu’elle aime regarder dans son miroir. Isabella a un mari et un fils, le passionnant Thomas.
On les suit dans leur amitié croissante, dans la répétition des mêmes rituels. Au début on peut être un peu surpris, voire ennuyé. Mais au fond, la narration cyclique a un effet très concret, celui de donner l’impression d’être avec elles, au milieu de ces journées infinies, que l’on finit par confondre, de sentir cet ennui à la fois mortifère et confortable, le temps se perd même un peu, ajoutant à la confusion, on a des flashs backs et des analepses, peu importe, il n’y a pas vraiment d’avant et d’après mais des fantasmes et au milieu, un jeune garçon, Thomas, qui grandit… il passe de huit à quatorze ans, et après beaucoup de stagnation dans son existence, les choses s’accélèrent tandis que les années soixante se terminent. Le monde change. Les femmes ont sans doute moins envie d’être les potiches, peut-être envie de se prendre en main et de considérer les autres choses que celles qui constituaient leur horizon. Y aurait-il autre chose en dehors de ce cercle familial et amical, au-delà de cette baie et de cet archipel ? On rêve de voyage, on joue à s’en aller, mais c’est dur de passer à l’acte, on risque le vertige, voire la chute.
L’histoire est racontée à la hauteur des yeux d’enfant de Thomas, à qui il n’échappe pas grand chose, même s’il ne comprend pas tout. Il découvre les silences des adultes, devine leurs mensonges, la cruauté et la bonté, la forêt, les fonds marins, joue à être scientifique, architecte, puis archiviste d’une famille en décomposition.
J’ai trouvé que l’enfance et son extra lucidité était incroyablement bien rendue. Ce ne sont pas les femmes que j’ai trouvées merveilleuses, mais cet enfant, sa solitude et sa sensibilité, sa faculté d’absorption et d’adaptation, ses réflexes de survie. Un héros inhabituel, discret et profondément touchant.
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charleslebatman · 4 months
Note
Comme une envie de me taper le crâne à l’idée de voir l’autre manipulatrice dans le vlog
Je comprends pas, sur quasiment tous les moments ensemble, ils ne se parlent pas, ne se regardent pas. Rien. Puis accrochée à son téléphone comme ça.
J’ai mot très bon en français, une potiche. Je suis désolée. Elle attend d’être vue tout le long, sans y parvenir et s’incruste, mais tout le monde l’ignore.
Puis le silence malaisant de tous, après qu’elle ait rigolé à un truc pas drôle. Bref, au final je commence plus à avoir de la peine pour elle. Y a aucun amour là dedans. C’est une sorte de relation pansement, soit pour combler un vide ou pour des avantages marketing.
Ceux qui voient de l’amour là dedans, que ce soit des deux, on a raté mais alors toute la série.
Je suis désolée il a plus d’affection pour le chien qu’elle, dans le vlog. 💀
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oldsardens · 11 months
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Georges d'Espagnat - Nu devant une commode à la potiche. 1906
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amarulha · 9 months
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Ficha técnica
Título/Ano: O crime é meu [Mon crime (2023)] Gênero: Comédia País: França Direção/roteiro: François Ozon
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Essa semana eu finalmente tomei coragem e fui no cinema assistir a "O crime é meu" (Mon crime, 2023), distribuído pela Imovision aqui no Brasil.
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A premissa gira em torno de duas amigas, uma atriz e uma advogada, na França dos anos 1930, pobres e endividadas, que dividem um apê com aluguel atrasado. Quando um produtor que assediou a atriz, Madeleine Verdier (Nadia Tereszkiewicz), é assassinado, as duas apostam na confissão falsa dela para alavancar suas respectivas carreiras. O problema é a chegada da verdadeira assassina, Odette Chaumette (Isabelle Huppert), uma atriz das antigas, que também quer tirar proveito do crime. Tudo isso está no trailer, nada é spoiler.
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É um filme que tem bons momentos, oferece uma crítica engraçadinha do misto de incompetência e misoginia dos homens da lei (e dos homens, assim, no geral) que permite que as protagonistas apliquem seu golpe numa boa.
As caracterizações também são ótimas; o filme reproduz um estilo de época e busca até fazer uma homenagem a um certo estilo de edição do cinema clássico.
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Só que eu tenho que puxar um "porém", claro.
É um filme que se propõe a ser feminista, então eu não consigo evitar criticar as escolhas que cercam esse aspecto: é um filme feminista dirigido e roteirizado por um homem que não se propôs a ser muito radical na sua execução...
Eu já tinha visto "Potiche", do Ozon também, e lembro vagamente de achar o filme meio fraquinho.
Ele quer dar voz às personagens femininas e aos seus problemas, e tem momentos e falas nas quais consegue fazer isso perfeitamente, mas, ao mesmo tempo, às vezes parece que ele as retrata com um ar quase que de condescendência.
Sem falar nos personagens masculinos idiotizados... Isso não é um problema per se (pô, semanas atrás eu mesma tava lá curtindo Barbie nos cinemas e me incomodando zero com isso). Só que nesse filme, em alguns momentos, a idiotice quase que coloca os homens como vítimas das mulheres, o que meio que sai do tema, sabe?
Isso prejudica um ponto específico da história, como se depois das cenas do julgamento o diretor tivesse ficado meio que sem ideias, ou achasse que o aparecimento da atriz veterana (Huppert) não fosse suficiente para cobrir a parte final do filme com o humor e o suspense.
Pra mim, se só tivesse mais desenvolvimento do plot entre as mulheres do trio, seria perfeito. Aliás, o diretor/roteirista perde a oportunidade de se aprofundar na personagem da advogada, Pauline (Rebecca Marder), e acaba dando espaço prum bando de homem sem graça. Parece que tem um subaproveitamento de personagens e atrizes boas.
Não achei nem de longe um filme ruim — a sequência final é maravilhosa! —, mas podia ser melhor, sim.
7/10
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