Tumgik
#Gallimard
lovefrenchisbetter · 2 months
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L’ami qui ne m’a pas sauvé la vie
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garadinervi · 14 days
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Michel Foucault, L'ordre du discours. Leçon inaugurale au Collège de France prononcée le 2 décembre 1970, Gallimard, Paris, 1971
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amandineandre · 19 days
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Publication, revue Aventures
Vous trouverez un texte que j'ai écrit dans la revue Aventures, c'est le tout premier numéro et elle est pensée par Yannick Haenel...
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mmepastel · 1 month
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J’ai adoré ce roman.
On est allés à Istanbul dix jours il y a de nombreuses années (avant Erdogan), et j’avais adoré ce voyage, cette ville. J’avais lu Orhan Pamuk déjà, qui m’avait subjuguée avec Neige et Mon nom est rouge. Je ne sais pas pourquoi, je me suis sentie bien là-bas. Franchement dépaysée, mais j’ai trouvé les gens chaleureux, complexes… (on a discuté avec plusieurs habitants, et bu longuement du raki avec le gars qui tenait un tout petit hôtel avec son frère, juste en face de la Mosquée Bleue), et la ville m’a parue incroyable, tant imprégnée d’un passé brillant et chaotique. Trépidante, mélangée, un vrai Tetris de cultures différentes, d’ambiances contrastées. Ultra moderne, ultra ancienne. Une mosaïque. Et cette mélancolie souriante… l’eau trouble du Bosphore…
De ce livre de Burhan Sönmez, je ne savais pas trop quoi attendre, pas une réplique d’Orhan Pamuk sous prétexte que les deux sont turcs. Et pourtant, je retrouve quelque chose de cette mosaïque mélancolique.
L’auteur est d’origine kurde et c’est là son troisième livre ; je ne le connaissais pas avant.
Plein d’histoires sont imbriquées autour du personnage central, Avdo, un vieil homme maître marbrier dans un cimetière stambouliote, qui vit dans une baraque au cœur dudit cimetière. C’est un homme heureux, malgré un passé difficile et tragique. C’est un homme bon, et pour ceux et celles qui croisent sa route, il est devient souvent un ami, un confident. Il est soucieux des autres, et ne fait pas de grande différence entre les vivants et les morts, sans doute par déformation professionnelle, mais aussi parce qu’il a appris à faire sans les gens chers qu’il a perdus. Il dialogue autant avec les étoiles que les tombes. A travers son histoire et celles de ceux qu’il croise, le romancier tisse une toile complexe qui éclaire par bribes l’histoire complexe du pays, ses beautés, ses richesses, ses violences et ses blessures. On a donc à faire avec de très nombreux personnages issus de mondes et d’époques différents. Avdo est spirituel sans être croyant, et il voit clair dans le jeu de l’imam de la mosquée d’à côté (lequel est plus intéressé par l’argent que par dieu) avec qui il a pourtant des relations cordiales.
La vérité c’est qu’il est orphelin, et qu’il ne sait pas qui il est puisqu’il ne sait pas qui est sa mère (selon sa pensée). Il est donc syncrétique par essence. Il préfère croire les histoires des hommes et des femmes et la vérité de leurs cœurs plutôt que de se conformer à des préceptes. Tout petit, il a été recueilli par un homme qui ne savait plus comment il s’appelait lui-même, puis par un maître marbrier qui lui a transmis sa passion. Avant de connaître l’amour et de donner rendez-vous sous les amandiers…
Dans ce livre, il est fortement question d’identité. De nom. Qui est-on vraiment ? Que signifient les noms que l’on nous donne ou ceux que l’on porte ou ceux que l’on se choisit ? Quelle est la part qui nous est donnée, celle qui nous appartient ? Il s’agit d’une quête intime, presque d’une enquête parfois.
Il est aussi beaucoup question d’amour, souvent immuable, qui survit à la mort et crée du possible autour de soi.
C’est un magnifique livre, émaillé d’humour discret, délicat, qui bouscule nos façons de penser, occidentales et rationnelles. Entre le conte et la fable, avec beaucoup de poésie, et du thé, très sucré.
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carolemm · 2 months
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« Panorama » est un roman policier dystopique qui se passe en France en 2049.
Depuis la Revenge Week de 2029, révolution qui a éclaté suite au ras-le-bol d’une société où trop de crimes restent impunis, on vit dans l’ère de la Transparence.
Désormais, afin d’éviter les crimes, les Français peuvent vivre dans des maisons en verre où chacun peut/doit être épié par son voisin.
Plus de violences intrafamiliales, plus de maltraitances dans les EHPAD… Tout manquement aux lois, déclenche une arrestation suite à une dénonciation des voisins et en guise de tribunal, la vindicte publique. Le coupable doit prouver qu’il ne l’est pas.
L’histoire débute par une disparition, celle d’un couple et de leur enfant vivant dans un de ces quartiers en verre…
J’ai beaucoup aimé ce livre au style très épuré de Lilia Hassaine. On comprend vite que le crime n’est pas le sujet central. On vit dans un monde pas si différent du nôtre. J’ai apprécié les petites phrases sibyllines ironisant sur les même problèmes que ceux de notre monde actuel : la maltraitance, le qu’en dira-t-on, les écrans, les réseaux sociaux, l’éducation, la police, la santé, l’intimité sacrifiée à la sécurité, la dictature du paraître …
«  Il lui a enfin présenté Louise, qu'elle trouve formidable et ouverte, deux adjectifs qui ne veulent rien dire. Ouverte à quoi? je lui réponds, ça veut dire quoi « ouverte »? Ouverte sur le monde, curieuse, attentive, j'en sais rien moi, ça veut dire quoi « ouverte » ? Tolérante, elle voulait dire. Elle lui a parlé de sa bisexualité, et Louise a trouvé ça top, alors que je me suis contentée de hausser les épaules quand elle me l’a annoncée en avril. Je ne vois pas ce qu'il y a de top dans une orientation sexuelle, c'est la tienne et tu as le droit de mener ta vie comme tu l'entends. Je ne pense rien du fait qu'une femme soit bi, tout comme je ne pense rien du fait qu'elle soit noire ou asiatique, ce n'est Pas ma grille de lecture des gens... »
« Faire un effort. Pour quoi faire ? Ma fille est gonflée de certitudes mais c'est à moi de faire des efforts. Personne ne fait d'efforts ici. Rien ne nous y invite d'ailleurs. Ni l'école, ni la société, ni la technologie. J'allume mon smartphone, et je ne sais plus ce qui est vrai. Peu importe. Ce qui compte, c'est que ça circule. Les flux. Les tendances. Se laisser influencer par ses propres idées. L'algorithme nous approuve, entretient nos croyances, nous conforte dans nos choix. Je partage des articles, des posts, pour évangéliser mes amis, ma famille. Je partage, sans débattre. Ne pas communiquer, pour ne pas évoluer.
Échanger, pour ne surtout pas changer.
Alors faire des efforts... »
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Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. 
- Montesquieu
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pineappleyk · 2 years
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何度も挫折しながら読んでいます。
好きな作家の愛読書のうちの一冊だと知って、興味を持ちました。
耐えられなくなって読むのをやめては、また読んでみたくなる不思議な作品です。
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fieriframes · 1 year
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[French from Gallimard in 1946.]
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the-chomsky-hash · 1 year
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bondebarras · 1 year
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One book a day...
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“Mon grand-père n’était pas un patriarche du dix-neuvième, c’était déjà un homme moderne. Il avait lu Kafka et Thomas Mann, mais il était disposé à courir le risque du ridicule pour me dire ce qu’il avait à me dire. Et je lui en serai toujours reconnaissant parce que, depuis lors, il m’est resté l’idée que nous tâtonnons dans le noir. Que nous ne savons ni ce qui est bien ni ce qui est mal pour nous. Mais que nous pouvons librement décider du sens à donner aux choses qui arrivent. Et cela, c’est au fond notre seule et unique force.” Une citation qui me renvoie à cette autre, de Thomas Gunzig : “On mime pas mal l'adaptation au monde mais en fait on est complètement largué, tous.“
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garadinervi · 1 month
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Mahmoud Darwich (محمود درويش), La terre nous est étroite et autres poèmes, Translated from the Arabic by Elias Sanbar, «Poésie», Gallimard, Paris, 2000 [Institut du monde arabe, Paris. Institute for Palestine Studies, Beirut, Ramallah, and Washington, D.C.]
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lamemoiredesjours · 2 years
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Carles Diaz, Polyphonie landaise
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lf-celine · 2 years
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Su "Il Giornale", Régis Tettamanzi e l'edizione Gallimard di "Londres", il nuovo inedito di Louis-Ferdinand Céline
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Su "Il Giornale" del 19 ottobre 2022, in "anteprima" nazionale abbiamo conto della bella prefazione di Régis Tettamanzi all'edizione Gallimard di "Londres", nuovo inedito céliniano appena uscito in Francia, da leggere!
Per acquistarlo: https://amzn.to/3VSYPDT
Grazie a Alessandro Gnocchi e a Tom Vous Regarde per la magnifica ricolorazione della foto di Louis Destouches nel 1915.
Andrea Lombardi
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mmepastel · 5 months
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Toujours en vue du festival Lettres d’Automne, j’ai enfin lu Sylvain Prudhomme. D’abord son dernier, L’enfant dans le taxi, puis, dans la foulée, Par les routes, lauréat du Prix Femina en 2019.
Je les ai dévorés. Impossible de les lâcher. Ils sont assez différents quant aux thèmes, mais les « je » des narrateurs, Sacha et Simon, ont en commun une belle sensibilité, une certaine disposition au bonheur je dirais, et une attention portée à l’autre.
L’écriture de Sylvain Prudhomme est souple, élastique, fluide, portée par un souffle, une amplitude qui entraîne le lecteur dans ses pas. On le suit facilement, comme un nouvel ami devenu vite familier.
L’enfant dans le taxi est un récit à forte teneur autobiographique : l’auteur a en effet découvert un secret de famille, un enfant de son grand-père, né d’un lit illégitime, conçu avec un allemande à la fin de la guerre. Enfant nommé M., pour lequel Simon va se passionner, soulevant la chape de plomb et de poussière que la famille toute entière a lentement fait retomber sur cette existence. Son envie de connaître M. correspond à une tendresse pour les boiteux, les esseulés, lui qui justement traverse une séparation amoureuse. En écho au silence du grand-père, le lecteur observe justement Simon être père, désormais célibataire, et son cœur se serre en constatant le contraste entre père aimant et attentif et père dans le déni.
Dans l’autre roman, la question de la paternité est aussi bien présente, étrangement d’ailleurs puisqu’on assiste à ce qui ressemble à une substitution de pères… comme si la qualité de la relation remplaçait l’identité.
Mais il est surtout question d’amitié, d’amour, et de vision du bonheur. Deux versions s’opposent entre l’ami de Sacha, surnommé uniquement « l’auto-stoppeur », épris de vagabondages, et Sacha, plus introverti, plus cérébral, souvent vissé à sa chaise d’écrivain. Marie, au milieu, femme solaire qui sait aimer et accepter l’absence, finit par s’éprendre de celui qui est là, plutôt que de celui qui ne cesse de repartir. L’auto-stoppeur, pourtant heureux, comblé, a peur de se figer, comme dans le film de Cedric Kahn, Trop de bonheur, qui m’avait beaucoup marquée, il y a bien longtemps pourtant. Comme si le couple, le foyer, finissait par vous figer, vous rendre statique, paresseux, immobile ; il redoute de perdre l’élan qui le pousse hors de chez lui, vers l’inconnu, le désir de découvrir, de rencontrer. Quitte à y laisser des plumes, sacrément précieuses.
L’auteur dit que ces deux facettes existent en chacun de nous, et j’acquiesce. Et si l’auto-stoppeur et Sacha étaient deux facettes d’un même homme ?
Dans tous les cas, ces deux livres m’ont fait forte impression, j’ai été touchée par ces questionnements cruciaux (filiations, couple, bonheur…) et séduite par l’écriture précise et limpide de l’auteur.
Update : j’ai lu ce recueil de nouvelles ci-dessous et c’est également très bien, très sensible et émouvant.
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raouldandrezy · 2 years
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