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#robert lamoureux
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Éloge de la fatigue
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Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, qu'avec cette vie que je mène je me ruine, que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer. Vous me dites enfin que je suis fatigué. Oui je suis fatigué, Monsieur, mais je m'en flatte j'ai tout de fatigué, la voix, le cœur, la rate, je m'endors épuisé, je me réveille las. Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas ou quand je m'en soucie, je me ridiculise. La fatigue souvent n'est qu'une vantardise on n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit ! Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ? Je ne vous parle pas des tristes lassitudes qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude, n'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons… Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon lorsque l’on n’a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre cette fatigue-là est mauvaise à entendre ; elle fait le front lourd, l'œil morne, le dos rond et vous donne l'aspect d'un vivant moribond. Mais se sentir plier sous le poids formidable des vies dont un beau jour on s'est fait responsable, davoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains, savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain, savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source, aider une existence à continuer sa course, et pour cela se battre à s'en user le cœur… cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur. Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre, on va aider un être à vivre ou à survivre et sûr qu'on est le port et la route et le quai, où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ? Ceux qui font de leur vie une belle aventure marquent chaque victoire, en creux, sur la figure et quand le malheur vient y mettre un creux de plus parmi tant d'autres creux il passe inaperçu. La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste, c'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes c'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit, non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit c'est le prix d'un travail, d'une journée remplie, c'est la preuve aussi qu'on marche avec la vie. Quand je rentre la nuit et que ma maison dort, j'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort je me sens tout gonflé de mon humble souffrance, et ma fatigue alors est une récompense. Et vous me conseillez d'aller me reposer !Mais si j'acceptais là, ce que vous me proposez, si je m'abandonnais à votre douce intrigue mais je mourrais, Monsieur, tristement, de fatigue. Robert Lamoureux
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blacknarcissus · 3 months
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Les Aventures d'Arsène Lupin (1957)
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laurent-bigot · 11 months
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LA POLITIQUE DU CINÉMA FRANÇAIS
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opera-ghosts · 2 months
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Alba Chrétien-Vaguet (Soprano) (Paris 1872 – Pau 1963). She studied piano at the Paris Conservatoire and took privately singing lessons. In 1891 she made her debut at the Théâtre de la Monnaie in Brussels as Alice in ''Robert le Diable'' of Meyerbeer. In 1893 she was engaged by the Grand Opéra in Paris (beginning role: Alice in ''Robert le Diable'' of Meyerbeer). She appeared there in the premières of the operas ''Sigurd'' of Reyer (1895) and ''Briseïs'' of E. Chabrier (1899) and on 15. 9. 1893 in the premiere of the opera ''Deïdamie'' of Henri Maréchal. In 1899 she appeared with great success in Aix-les-Bains as Isolde in ''Tristan und Isolde''. In 1894 she performed at the Opera House in Monte Carlo in Verdi's ''Aida''. Since 1896 she was a soloist of the Concerts Lamoureux in Paris. She was married with the tenor Albert Vaguet (1865-1943). When Albert Vaguet had to give up his career after a heavy accident (loss of a leg), she also withdrew from the music life; the couple lived that time in Pau, still gave on the occasion of concerts and been active educationally. In 1955 she still lived in Pau. She died, aged 90, in Nay, near Pau.
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claudehenrion · 10 months
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Pendant les arrêts, la vie continue...
 Je ne vais pas vous imposer, cher Amis-lecteurs, le récit détaillé de la série de cauchemars qui je traverse sans savoir où je vais : il est des circonstances, dans la vie, où le pilote automatique et l'indicateur-détecteur de radars les plus performants ne sont plus d'aucune utilité. Vos mails, si nombreux, m'ont été un grand réconfort dont je vous remercierai, un peu plus tard, chacun : ''Vous le valez bien''. Ceux d'entre vous qui sont passés par une telle épreuve me comprendront, et les autres imagineront. Mais la leçon générale à tirer de cette expérience qui n'apporte et ne peut apporter rien d'utile, par définition, est claire : il est vital d'éviter de mourir...
Lorsqu'on décide de tenter une sortie désespérée, ne serait-ce que pour vérifier que, comme le canard de Robert Lamoureux, ''on est toujours vivant'' (ce qui, au moment où on tourne le page de 68 ans de complicité dont 63 de mariage, ne va pas de soi : les dégâts mettront, c'est évident, ''un certain temps'' à … ne jamais totalement se guérir –mais la vie reprendra le dessus, c'est inévitable, ça aussi, et d'autres printemps fleuriront !); il est réconfortant de voir que l'étalage permanent de bêtise humaine qui constitue la trame de notre époque ''pourrie'' –ou peu s'en faut-- n'a pas fait ''relâche, lui, et que les sujets d'étonnement sont toujours les mêmes, c'est à dire toujours renouvelés : il suffit de se baisser, ramasser un journal laissé là par quelqu'ancien propriétaire, pour trouver mille et une raison de sourire (ou plus)..
Avant de vous en parler, je ne résiste pas à la tentation de vous raconter le partage de deuil d'un ami –pas intime, mais sincère puisque présent lors des instants si douloureux de la Messe de funérailles (celle d'Evelyne fut merveilleuse –si on peut joindre ces trois mots : plus d'un millier de personnes dans la grande église de St Honoré d'Eylau, chantée en grégorien par une soliste à la voix ''incroyable'', un recueillement et une émotion perceptible chez tous... majoritairement  habités par la certitude de ''se revoir un jour'', cette si encourageante promesse qui rend la mort plutôt plus tolérable aux croyants qu'aux autres –telles que je vois le choses, en tous cas. Cet homme simple m'a dit combien ‘’je suis triste pour vot’ Dame'', avant ce conclure : ''Bonne continuation'' ! Mon seul sourire depuis des semaines !
Mais revenons à nos moutons... et à leur bêtise : pendant que je sombrais dans la tristesse ‘’XXL’’, le monde, lui, continuait à vivre... et Poutine à faire perdre le nord à l'Occident (et le sud, et l'est et l'ouest aussi, tant qu'il y est !) : il a fait très fort en ''prygoginisant'' toutes nos télés pour trois fois rien, pour une fausse alerte, un peu comme un chat madré qui joue avec un troupeau de rats... minablegrobis, pour paraphraser la Fontaine. Comme s'y attendaient tous ceux qui ont compris comment marche le système de désinformation macronien, pas un seul de nos ''Experts ès rien du tout'' n'avait prévu ni prédit quoi que ce soit de ressemblant ! La nullité de ces généraux d'Etat-major égale leur griserie à passer à la ''télé'' !
Une fois de plus, notre horde-harde de journalistes de Gauche (donc ayant une propension quasi-héréditaire à se tromper ''par système'' –le leur (système) étant intrinsèquement mauvais, dans la masse) nous a offert à nos frais la ronde de généraux à la retraite (de Russie, espèrent-ils, à contre-rôle !) de colonels de réserve (qui sont parfois à peine... ''Sergent'', si j'ose !) incapables de dire un seul mot de russe et ayant, pour toute culture sur l''Ame slave'', un vague opuscule  au tirage confidentiel et vendu à 11 exemplaires, écrit par le beau-frère de leur copain de promo –aucun de ces étoilés-2-S n'ayant la moindre compétence sur le sujet ! Ah ! Mais pour parader, répéter, s'étaler en digressions... on peut compter sur leur nullité : elle est prouvée à chaque intervention... et confirmée par leur myopie.
Ils sont tous venus après coup, nous ''expliquer'' la géopolitique poutinienne et le sens profond de cette crise au carré qu'ils n'ont pas vu venir. Leur discours résonne parfois comme du... ''Wagner''! Le seul enjeu est de faire croire à l’auditeur qu'ils en savent plus que celui qui vient l'enfiler ses perles, et que, s'ils ne parlent pas au-delà, c'est parce qu'ils en savent trop... et que le dire pourrait nuire aux intérêts de... eux disent : ''l'EUROPE'' et tout le monde entend : ''Biden''. C'est pour cela que chacun de ces nuls commence sa litanie par ''Ce qu'il faut bien comprendre''... pour faire croire qu'il va dire quelque chose ! On me dit que de plus en plus de télé-spectateurs... paf ! éteignent. Le vrai rôle du PAF est-il de généraliser ce ''paf'' ?
Tout-à-fait autre chose : pendant ma courte absence de ''tumblr'', j'ai été obligé de remplacer une échelle qui avait eu une crise de… marches. Et une nuit de veille, j'ai lu le document joint. Ah ! Mes amis... j'ai failli pouffer, malgré ma tristesse tellement profonde : D'abord, j'ai appris qu'il ''est interdit d'utiliser une échelle cassée, pliée ou fissurée'' (mise à part la chute, on risque quoi ? Ces menaces hors texte sont une merveille de la sémantique : ''C'est intolérable'', dit l'un... , ''Je ne le répéterai pas'', dit l'autre... et tout continue, heureusement, comme avant ! Mais pour l'échelle, ''elle doit être tenue à l'écart de la graisse, de l'huile, de la saleté,  de la neige et... de la peinture humide'' –parce que, sèche... il n'y a pas de problème !). Ah ! J'oubliais : ''Il est interdit d'empiler des échelles sur des boites pour obtenir une hauteur supplémentaire (sic !) et, plus important si c'est possible : ''Il est interdit de laisser une échelle sans surveillance'' (il faudra que je réorganise les tours de garde, à la maison...). Comme dirait Macron, ''si tu traverses la rue ou que tu fais le tour de port''... tu trouveras un job de ''gardien d'échelle'', job qui devrait théoriquement permettre de monter très haut ! Et enfin, l'injonction ultime, qui justifie la décision d'acheter une échelle à elle toute seule : ''Utiliser une seule personne à la fois''... Ils ne précisent pas si elle se referme toute seule !
Moralité : quelque soit le motif, ne décrochez jamais du suivi de l'actualité : notre enfoncement progressif dans le néant environnant et environnemental est tel que la moindre baisse d'attention fait perdre des tonnes d'absurdités d'une beauté insoupçonnée. Je conclurai donc en rassurant ceux qui doutent du bien-fondé des décisions de nos maîtres (enfin... restons dans le domaine des échelles, et allons donc jusqu'à un maître-trente cinq / quarante) : je viens de traverser l'est de la France en auto. Vous n'allez pas me croire : en Bourgogne, j'ai vu une  éolienne géante qui bougeait... Si ! si... je vous jure, elle a fait presque 2 tours complets en quatre minutes environ ! Vous voyez bien qu'il ne faut jamais céder au désespoir...  D’autres beaux jours reviendront... un jour, pour tous les  autres, comme pour moi !
H-Cl.
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hell-of-angel · 1 year
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Vous me dites, Monsieur, que j’ai mauvaise mine,
Qu’avec cette vie que je mène, je me ruine,
Que l’on ne gagne rien à trop se prodiguer,
Vous me dites enfin que je suis fatigué.
Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m’en flatte.
J’ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate.
[...]
Je ne vous parle pas des sombres lassitudes
qu’on a lorsque le corps harassé d’habitudes
n’a plus pour se mouvoir que de pâles raisons...
Lorsqu’on a fait de soi son unique horizon...
Lorsqu’on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre...
Cette fatigue-là est mauvaise à entendre.
[...]
Mais se sentir plier sous le poids formidable
des vies dont un beau jour on s’est fait responsable,
Savoir qu’on a des joies ou des pleurs dans ses mains,
Savoir qu’on est l’outil, qu’on est le lendemain,
Savoir qu’on est le chef, savoir qu’on est la source,
Aider une existence à continuer sa course.
[...]
La fatigue, Monsieur, c’est un prix toujours juste,
C’est le prix d’une journée d’efforts et de luttes.
C’est le prix d’un labeur, d’un mur ou d’un exploit,
Non pas le prix qu’on paie, mais celui qu’on reçoit.
C’est le prix d’un travail, d’une journée remplie,
C’est la preuve, Monsieur, qu’on marche avec la vie.
Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
J’écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
Et ma fatigue alors est une récompense.
Robert Lamoureux
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procurement-insights · 5 months
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Video Check: This Is What Can Happen If You Chase Solutions Versus Solving Problems
How do we address this problem in procurement?
@e.ajredini Kids Jokingly Hit Each Other With Trash Can’s Lid by Stepping on It’s Pedal – 1069518 ♬ Originalton – Emri Ajredini The above video was inspired by a LinkedIn post by Michael Lamoureux and the comments below. COMMENT 1: Excellent points all the way around, Michael Lamoureux, Robert Meza, and Marc Stickdorn! Here is an excerpt from a recent post titled “Are you chasing solutions or…
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docrotten · 9 months
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THE NEST (1987) – Episode 238 – Decades Of Horror 1980s
“I so admire these nymph cockroaches – their ability to reproduce without the contribution of their male counterpart.” A society where men are incidental? Hmm. Humans could learn from cockroaches. Join your faithful Grue Crew – Chad Hunt, Bill Mulligan, Crystal Cleveland, and Jeff Mohr along with guest host effects artist Julian Ledger – as they experience the creepy, creature effects on display in The Nest (1987).
Decades of Horror 1980s Episode 238 – The Nest (1987)
Join the Crew on the Gruesome Magazine YouTube channel! Subscribe today! And click the alert to get notified of new content! https://youtube.com/gruesomemagazine
Decades of Horror 1980s is partnering with the WICKED HORROR TV CHANNEL (https://wickedhorrortv.com/) which now includes video episodes of 1980s and is available on Roku, AppleTV, Amazon FireTV, AndroidTV, and its online website across all OTT platforms, as well as mobile, tablet, and desktop.
A biological experiment goes haywire when meat-eating mutant roaches invade an island community, terrorizing a peaceful New England fishing village and hideously butchering its citizens.
  Director: Terence H. Winkless
Writers: Robert King (screenplay by); Eli Cantor (based on the 1980 novel by; under the pseudonym Gregory A. Douglas)
Produced by: Julie Corman (producer), Roger Corman (executive producer) (uncredited)
Special Effects by: 
Special Effects Coordinator: Cary Howe
Effects Artist: Julian Ledger
Special Effects: James M. Navarra 
Puppeteers: Julian Ledger, Ted Lamoureux, Ralph Miller III, Dave Matherly (credited as Paul David Matherly), Christine Papalexis
Pyrotechnics: Roger George (Humanoids from the Deep pyrotechnics stock footage), Frank Ceglia  
Selected Cast:
Robert Lansing as Elias Johnson
Lisa Langlois as Elizabeth Johnson
Franc Luz as Richard Tarbell
Terri Treas as Dr. Morgan Hubbard
Stephen Davies as Homer
Diana Bellamy as Mrs. Pennington
Jack Collins as Shakey Jake
Nancy Morgan as Lillian
Jeff Winkless as Church
Steve Tannen as Mr. Perkins
Heidi Helmer as Jenny
If you have a fear of roaches and pests, you’re gonna love episode 238! Yes, sir, it’s time for … The Nest (1987)! The Grue-Crew are joined by special effects artist Julian Ledger who worked on the film (despite being omitted on IMDb) as a puppeteer (according to the onscreen credits) and monster makeup and effects under the supervision of Cary Howe, providing behind-the-scenes insight into the making and design of the critters, creatures, and goo. There’s lots of entertaining discussion with Julian, Jeff, Crystal, and Bill. And, of course, bugs, baby … bugs.
At the time of this writing, The Nest is available for streaming from Tubi, Plex, and PPV from Amazon. It is also available on physical media as a Blu-ray disc from Shout! Factory. 
Every two weeks, Gruesome Magazine’s Decades of Horror 1980s podcast will cover another horror film from the 1980s. The next episode’s film, chosen by Crystal, will be Dolls (1987), directed by Stuart Gordon and produced by Charles Band and Brian Yuzna. Special effects artist Ralph Miller III, who worked on the film under the supervision of John Carl Beuchler at MMI (Mechanical and Makeup Imageries) will be joining the 80s Grue Crew for this one!
Please let them know how they’re doing! They want to hear from you – the coolest, grooviest fans – so leave them a message or comment on the Gruesome Magazine Youtube channel, on the Gruesome Magazine website, or email the Decades of Horror 1980s podcast hosts at [email protected].
Check out this episode!
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alexlacquemanne · 2 years
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Aout MMXXII
Films
Mais où est donc passée la septième compagnie ? (1973) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre, Aldo Maccione, Érik Colin, Robert Lamoureux et Pierre Tornade
On a retrouvé la 7e compagnie (1975) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre, Henri Guybet, Pierre Tornade et Bernard Dhéran
La Septième Compagnie au clair de lune (1977) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre, Henri Guybet, Gérard Jugnot, André Pousse et Patricia Karim
Y a-t-il un pilote dans l'avion ? (Airplane!) (1980) de David Zucker, Jerry Zucker et Jim Abrahams avec Robert Hays, Julie Hagerty, Lloyd Bridges, Leslie Nielsen, Robert Stack et Peter Graves
Les Traducteurs (2019) de Régis Roinsard avec Lambert Wilson, Alex Lawther, Olga Kurylenko, Riccardo Scamarcio, Sidse Babett Knudsen et Eduardo Noriega
Ho ! (1968) de Robert Enrico avec Jean-Paul Belmondo, Joanna Shimkus, Raymond Bussières, Paul Crauchet, Stéphane Fey, Alain Mottet et André Weber
Les Fugitifs (1986) de Francis Veber avec Pierre Richard, Gérard Depardieu, Anaïs Bret, Jean Carmet, Maurice Barrier et Jean Benguigui
Les 55 Jours de Pékin (55 Days at Peking) de Nicholas Ray, Andrew Marton et Guy Greena avec Charlton Heston, Ava Gardner, David Niven, Flora Robson et Leo Genn
Du haut de la terrasse (From the Terrace) (1960) de Mark Robson avec Paul Newman, Joanne Woodward, Myrna Loy, Ina Balin, Leon Ames et Barbara Eden
Soleil vert (Soylent Green) (1973) de Richard Fleischer avec Charlton Heston, Leigh Taylor-Young, Edward G. Robinson, Chuck Connors, Joseph Cotten et Brock Peters
Quai d'Orsay (2013) de Bertrand Tavernier avec Thierry Lhermitte, Raphaël Personnaz, Niels Arestrup, Bruno Raffaelli, Julie Gayet, Anaïs Demoustier, Thomas Chabrol, Thierry Frémont et Alix Poisson
Les Compères (1983) de Francis Veber avec Pierre Richard, Gérard Depardieu, Anny Duperey, Michel Aumont, Stéphane Bierry et Philippe Khorsand
Le Téléphone rose (1975) de Édouard Molinaro avec Mireille Darc, Pierre Mondy, Françoise Prévost, Michael Lonsdale, Daniel Ceccaldi et Gérard Hérold
Dies iræ (2003) d'Alexandre Astier avec Alexandre Astier, Tony Saba, Thomas Cousseau, Lionnel Astier, Alexis Hénon, Nicolas Gabion, Franck Pitiot et Jean-Christophe Hembert
La Chèvre (1981) de Francis Veber avec Pierre Richard, Gérard Depardieu, Pedro Armendáriz Jr, Michel Robin, André Valardy et Corynne Charby
Les Vieux Fourneaux (2018) de Christophe Duthuron avec Pierre Richard, Roland Giraud, Eddy Mitchell, Alice Pol, Henri Guybet et Méliane Marcaggi
Les Vieux Fourneaux 2 : Bons pour l'asile (2022) de Christophe Duthuron avec Pierre Richard, Eddy Mitchell, Bernard Le Coq, Alice Pol, Myriam Boyer, Jean Sarrus : Baba et Claire Nadeau
Guet-apens (The Getaway) (1972) de Sam Peckinpah avec Steve McQueen, Ali MacGraw, Ben Johnson, Sally Struthers, Al Lettieri et Slim Pickens
Vice (2018) de Adam McKay avec Christian Bale, Amy Adams, Steve Carell, Sam Rockwell, Tyler Perry & Alison Pill
Le Masque de fer (1962) de Henri Decoin avec Jean Marais, Sylva Koscina, Jean-François Poron, Gisèle Pascal, Philippe Lemaire et Jean Rochefort
Sous le plus grand chapiteau du monde (The Greatest Show on Earth) (1952) de Cecil B. DeMille avec Charlton Heston, Betty Hutton, Cornel Wilde, Gloria Grahame, James Stewart et Dorothy Lamour
Séries
The Rookie Saison 4
Acétylcholine - Chasse au trésor - Combat à mort - Menace sur a ville - Remise en cause - Le coeur au bord des lèvres
Les Nouvelles Aventures de Lucky Luke
Liki Liki - Lucky Luke en Alaska - Les Dalton contre Sherlock Holmes - Lucky Luke contre Lucky Luke - Lumière dans l'Ouest - Ni Dalton, ni maître - Roulette indienne - Fort Custer - Le Trésor des Dalton- L'Homme volant - Les Indiens Dalton - Les Héritiers - Pour une poignée de Dalton
Détective Conan Saison 1
Le Plus Grand Détective du siècle - Le Commencement - Méfiez-vous des stars - Le Poisson lumineux - La Bombe roulante - Le Meurtre de la Saint-Valentin - Le Mystérieux expéditeur - Meurtre au musée - Festival fatal - Conan marque un but - Sonate pour crime au clair de lune - L'Enlèvement d'Ayumi - Le Meurtre déconcertant - Un message à déchiffrer - Un cadavre a disparu - Le Meurtre du collectionneur d'antiquités - Cambriolage au supermarché - La Mariée de juin - Meurtre dans l'ascenseur - La Maison hantée - Meurtre sur un plateau - Les meurtriers en série embarquent sur le Luxury Liner : 1re partie - Les meurtriers en série embarquent sur le Luxury Liner : 2e partie - La Mystérieuse amnésique - Enlèvement contre rançon - John et l'Assassinat - La Réunion de classe de Kogorô : 1re partie - La Réunion de classe de Kogorô : 2e partie - Meurtre en direct - Un alibi parfait - Meurtre au studio de télévision - Meurtre au coffee shop - Rendez-vous mortel - L'Homme aux bandelettes : 1re partie - L'Homme aux bandelettes : 2e partie - Lundi 19h30 - Meurtre au cactus - La Fête du Feu - Le Meurtre de l'héritière : 1re partie - Le Meurtre de l'héritière : 2e partie - L'Affaire du drapeau en lambeaux - Meurtre au karaoké
Dix pour cent Saison 4
Charlotte - Franck - José - Sandrine - Sigourney - Jean
Le Visiteur du Futur : Néo-Versailles Saison 4
La Balade de Raph et Stella - La Cour Royale - Le Sauveur malgré lui - Un Nouvel Espoir - Le Bal - Le Réveil - Coup de Théâtre - Les Ficelles - La Révolution - Le Clou du Spectacle
Affaires sensibles
L'incendie de Notre-Dame de Paris - Irak 2003 : Quand la France résiste - Sports Sensibles IV : Springboks'95, la mort en arc en ciel - Les 24H du Mans de 1955 : le diable est dans la ligne droite - L’affaire du Watergate ou la chute du président Nixon - L'affaire des archives volées de la franc-maçonnerie
Columbo Saison 13, 12, 2
En grandes pompes - Le meurtre aux deux visages - Dites-le avec des fleurs
Kaamelott Livre I
Heat - Les Tartes aux myrtilles - La Table de Breccan - Le Chevalier mystère - Le Fléau de Dieu - Le Garde du corps - Des nouvelles du monde - Codes et Stratégies - Le Maître d’armes - Le Négociateur - Dîner dansant - Le Sixième Sens - Arthur et la Question - Monogame - Les Défis de Merlin - Le Banquet des chefs - Le Signe - En forme de Graal - Le Repos du guerrier - La Dent de requin - La Taxe militaire - La Queue du scorpion - La Potion de fécondité - L’Interprète - Le Sacrifice - À la volette - De retour de Judée - La Botte secrète - L’Assassin de Kaamelott - Le Trois de cœur - Basidiomycètes - L’Imposteur - Compagnons de chambrée - La Grotte de Padraig - Ambidextrie - Raison d’argent - La Romance de Lancelot
Stargate SG-1 Saison 3, 4, 1
Némésis - Victoires illusoires - De l'autre côté du miroir - Une dimension trop réelle
Spectacles
Double Mixte (1989) de Pierre Mondy avec Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Gérard Rinaldi, Marc Dudicourt, Stéphane Bouy, Julie Arnold et Marcel Philippot
Livres
Sherlock Holmes : Un scandale en Bohême suivi de trois autres récits de Sir Arthur Conan Doyle
Lucky Luke, Tome 18 : Le Bandit manchot de Morris et Bob de Groot
Le visiteur du futur : La meute de Slimane-Baptiste Berhoun et François Descraques
Quai d'Orsay, Chroniques diplomatiques, Tome 1 de Christophe Blain et Abel Lanzac
Quai d'Orsay, Chroniques diplomatiques, Tome 2 de Christophe Blain et Abel Lanzac
De la Terre à la Lune de Jules Verne
Kaamelott, tome 7 : Contre-attaque en Carmélide d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Picksel
Autour de la lune de Jules Verne
OSS 117 : Atout cœur à Tokyo de Jean Bruce
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jeanetjeannepatin · 2 years
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Mercredi 3 août 2022 à 19H, nous allons retrouver une émission précédemment diffusée, autour du film de Jean-Paul Le Chanois, Papa Maman la bonne et moi (1954), un beau panorama sociologique de la société d'après-guerre, décrié peut-être hâtivement par la Nouvelle vague. Il s'agit à la fois d'une émission de la série cinématique et la série universaux. Cette émission est diffusée en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps sur les podcasts de mixcloud.
Programmation musicale : 1) Viens à la maison (Robert Lamoureux) 2) Perles de cristal (Jules et son limonaire) 3) Oun bas (André Minvielle) 4) Danse tyrolienne des écuyers (Schernexen) 5) The skatalan logocofobism - A Tombouctou sans mariachi (Pascal Comelade) 6) Polka de Matrei (Famille Engel) 7) Idylle en forêt (Francis Blanche) + extraits du film Papa, Maman, la bonne et moi (Jean-Paul Le Chanois)
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/la-bonne-et-lui-la-petite-boutique-fantasque/
Allons-y gaiement et sans mollir et sus aux Béotiens !
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Cassette, boitier et jaquette en bon état général Edition René Chateau video Avec Robert Lamoureux et Louis de Funès. Robert a épousé la bonne de ses parents. Les deux familles partagent le même appartement qui, à la naissance des enfants, devient rapidement trop petit. Maman étant maniaque et papa bougon, la colère monte. #oiseaumortvintage #melodieensoussol #butindechine #retourdechine #renechateauvideo #vhs #cassettevideo #robertlamoureux #louisdefunes https://www.instagram.com/p/CdNqhQtMCwq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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loveinstreams · 4 years
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some Arsène Lupin actors through the years
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-André Brulé
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-Robert Lamoureux
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-Jean-Claude Brialy
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-Georges Descrières
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-Romain Duris
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-Omar Sy
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boireuncoup · 5 years
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frenchcurious · 4 years
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Jaguar XK140 1957 (ex propriété de M. Robert Lamoureux). - source Veitura.
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queenfredegund · 3 years
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7 Comfort Films
Tagguée par @haweke, merci ! ;D
Les Disney en général, peu importe lequel d’ailleurs, même si j’ai une préférence pour ceux qui m’ont marquée enfant, comme Le Roi Lion, Pocahontas, Mulan, Le Bossu de Notre-Dame ou La Planète au Trésor. Et maintenant, j’ai aussi débloqué un nouveau skill en les regardant : je pleure à chaque mouvement de musique, c’est juste imparable !
Les Harry Potter, et surtout le premier que je dois connaître absolument par cœur ! Que dire, si ce n’est qu’il me renvoie à mes 10 ans et demi et l’envie de découvrir la série ? Que du bonheur à chaque fois, en tout cas !
Le Prince d’Égypte, à mon sens le plus grand chef d’œuvre d’animation jamais inégalé, et on ne pourra pas me faire changer d’avis ! Et je pleure aussi. Tout le temps.
Le Diable s’habille en Prada, qui m’a donné tellement de private jokes ou de moments auxquels m’identifier ! Grandir en le visionnant encore et encore, c’est clair que ça te donne un humour corrosif et une façon de considérer le glamour sous un autre angle...
La 7ème Compagnie : des barres de rire, des acteurs que j’adore (Pierre Tornade, Robert Lamoureux, Pierre Mondy...), une musique qui te reste dans la tête, et surtout une façon d’écrire le scénario qui reste drôle en dépit des années, et qui est tellement, mais sensiblement plus acerbe que ce qu’on peut le voir au premier regard. Un vrai régal !
Ever After, que j’ai découvert y a pas longtemps, mais qui a toujours fait parti de mon univers mental puisque le trailer était sur plusieurs de mes VHS. Je ne sais pas comment j’ai fait pour vivre si longtemps sans lui, c’est juste une pure merveille et j’ai du mal à comprendre comment on a pu passer de ça à la version moderne de Cendrillon avec Lily James...
Anastasia !!! Le meilleur pour la fin, je pense ! Anastasia, c’est juste LE dessin animé de mon enfance (avec Balto, que j’aurais sans doute mis en 8e position si ce n’était pas juste 7 films !). J’ai encore la vidéo caméscope du Noël où je l’ai reçu et où on m’entend brailler du haut de mes 7 ans extatiques “woaahhhh, Anastasia, trop bieeeen !” Et l’amour ne s’est jamais démenti depuis ! Expliquez-moi aussi comment on a pu passer d’une héroïne téméraire et malicieuse, qui nous a donné de très belles vannes à renvoyer contre son crush (même si elle l’ignorait encore à ce moment-là) et n’hésite pas à envoyer quelques bons poings ou claques de temps à autre, à des héroïnes aussi plates que dans les derniers gros Disney...
Je taggue en retour @winterhalters, @ladyniniane, @antonomase et @wickedesprit !
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procurement-insights · 7 months
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How do double marginalization and the Metaprise play a critical role in data management and use, e.g., harnessing the promise and power of your data?
Are we making mountains out of mole hills? An uncomplicated view of data management in the digital age.
“There are NO Perils of Big Data in Procurement! (In fact, it’s the lack of Big Data leading to so many failures … but that’s a different rant …)” – Michael Lamoureux, LinkedIn (September 2023) Michael Lamoureux, your post reminded me of a 2007 post on Double Marginalization. – https://bit.ly/3PFu0Qx Specifically the following two excerpts: “According to a Robert Schenk paper, a downward…
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