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#superbes jambes
littlething2020 · 2 years
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Beauté à terre, train sorti..
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 90
2010 démarre comme 2009. Je continue à emmener Jean à ses clients. Heureusement il ne change pas physiquement et reste imberbe façon juvénile.
Emma étant partie en vacances au soleil avec des amies pour la fin d'année, nous ne nous sommes revus que la 2ème semaine de janvier. Impatient, je quittais le bureau plus tôt et arrivais chez elle dès 14h30. Je rentrais la voiture au garage et pénétrais la maison par la cuisine. Je la cherchais un peu partout et la trouvais enfin dans sa salle de bain en train de se doucher. Quel beau spectacle ! vite je me mettais nu et la rejoignais sous le jet. Le bruit de l'eau ayant couvert mon arrivée je pensais bien la surprendre. Raté ! Elle m'avait repéré dans un des miroirs.
Je me collais à son dos et mes mains pleines de savons, je l'ai caressée. Ses seins superbes et bien suspendus, son ventre plat, sa chatte. Après m'être écarté, je continuais sur son autre face. De la nuque je suis descendu sur ses reins puis ses fesses pour finir en lui massant l'anus et en le perforant de mon majeur droit, ma main gauche repassée devant, j'enfonçais l'index et le majeur dans sa chatte.
En même temps qu'elle tournait son visage vers moi pour qu'on se roule un patin, j'ai senti sa main chercher et trouver mon sexe bandé.
L'excitation montait trop vite pour moi. Je me reculais et nous nous sommes séchés l'un l'autre (encore plein de caresses !). Je la soulevais et en quelques pas la jetais sur le lit. Elle est restée sur le dos m'attendant pendant que je la matais. Je lui sautais dessus (en faisant attention à pas l'écraser quand même !). Elle me prit la tête entre ses mains et nous nous sommes de nouveaux embrassés, nos langues lutant, assoiffés de l'autre. Je sentais ses tétons durcir contre mes pecs. Ma bite par quelques mouvements du bassin est venue se glisser entre ses cuisses. Je relevais le bassin pour la poser sur le creux fait de ses cuisses jointes et en la faisant glisser, j'ai pu poser mon gland à l'entrée de sa chatte. Je sentais les grandes lèvres glissantes de sa mouille lubrifier mon gland.
Je tendais le bras vers sa table de nuit pour chercher une kpote. Sans quitter sa bouche, je l'enfilais et dans la foulée je la pénétrais. Sans aucun effort mes 20cm sont entrés jusqu'aux couilles. Dès qu'elle me senti en elle, elle se mit à contracter ses muscles. Elle sait que j'aime être bien serré. Ça me fit gémir de plaisir. Comme je lui demandais comment elle faisait ça, elle me dit qu'elle en avait entendu " parler" sur internet et qu'elle s'était exercée sur son gode. Le massage interne en plus de mes va et vient, j'explosais dans la kpote alors qu'elle-même jouissait son téton droit entre mes dents.
Encore très excité, je ne débandais pas. Un saut à la salle de bain, kpote dans la poubelle, lavage de bite et 30 secondes plus tard j'étais de retour à ses coté, ma main retrouvant le chemin de sa chatte histoire de maintenir le niveau d'excitation. Doucement, je faisais rouler son clito entre mes doigts. Ça plus ma bouche sur son sein gauche à aspirer le téton, je lui déclenchais un nouvel orgasme. Aussitôt après que ses spasmes soient terminés, je lui enfonçais son gode dans sa chatte, les fausses couilles sur le clito.je lui relevais les jambe et les posaient sur mes épaules. J'avançais mon bassin et, kpoté, j'entrepris de la sodomiser. Chose faite quelques 10aines de secondes plus tard. En fin de pénétration, mon pubis appuyait sur la base du gode le faisant entrer encore plus profond. Ce que j'adore dans cet " arrangement ", c'est de sentir l'autre bite au travers des parois vaginale et intestinale. Lorsque je lime, mon gland se presse conte la hampe de plastic puis se frotte lors du passage de la couronne du gland synthétique avec un effet très excitant sur mes terminaisons nerveuses.
Pour Emma aussi l'effet est décuplé. Comme j'ai déjà juté, bien que raide, je suis long à revenir et j'en fais profiter Emma un maximum. Nous changeons de position. Je l'encule en levrette et elle tient elle-même le gode pour ne pas qu'il s'échappe. Je lui demande se limer la chatte avec. Le double mouvement (mes propres va et vient et ceux du gode) fait remonter la pression dans mes couilles. Emma a encore joui deux fois avant que de nouveau je remplisse la kpote. Là, je débande rapidement. Je sorts vite. Kpote jetée, je lui caresse les seins, l'embrasse pendant que doucement je joue encore avec son gode. Elle se crispe encore une ou deux fois avant de demander grâce. Je retire le gode de son vagin et elle vient recouvrir de son corps le mien étalé dos sur le lit.
Nous restons bien 1/2 heure la conscience entre deux eaux dans les bras l'un de l'autre. Trop bon se moment de calme après la tempête.
Je l'embrasse à nouveau. Elle me rend mon baiser. Nous reprenons pieds sur terre. avant que nous allions nous laver, elle me glisse à l'oreille " tu m'as manqué " complété rapidement par un " nos galipettes ". Je ne relève pas et nous nous douchons ensemble. J'ai droit encore à un gros baiser avant de monter en voiture avec la recommandation de bien faire attention sur la route ! Mon " oui maman ! " me vaut une claque. Je l'embrasse sur la bouche pour faire oublier cette indélicatesse, je n'embrasserais pas ma mère avec la langue ;voyons !
Pendant le retour en voiture, je pense à nous et à ce qui m'attend ce soir. Continuer ma relation avec Emma, c'est aussi accepter que Marc exprime sa domination sur moi le soir même. J'ai besoin de ma relation hétéro avec elle et j'apprécie de plus en plus la " jalousie " de Marc qui fait suite !
Dès que je suis rentré, je me douche avec nos propres savons. Pas de trace olfactive de mon passage chez elle. J'ai encore deux heures avant que Marc arrive. Je les occupe sur les bancs de muscu. Je suis sous la douche quand il me rejoint. Il m'ordonne de le laver. Je commence par le déshabiller puis une fois nu, je le place sous la douche et le mouille. Je le couvre de gel douche, le frotte, masse, lave dans tous ses recoins. Il bande mais ne dit rien, donc je continue. Une fois rincé, il pose sa main sur ma nuque et appui. Je comprend et me place à genoux devant lui. En descendant, ma bouche est venu couvrir son gland. Hummm qu'il est bon ! chaud, gonflé, il me remplit bien la bouche je joue de ma langue dessus, la glissant sous la couronne, en faisant le tour, la pointant pour écarter son méat. Ses deux mains sur ma tête, il me guide. Il me laisse quelques instants m'occuper de son gland puis pousse un peu plus fort pour me faire comprendre qu'il fallait que je pompe. J'enfonce sa queue dans ma bouche, dégluti et me retrouve avec la gorge " encombrée ". Je me redresse, respire un coup et recommence. Quand son gland passe ma glotte, il appui encore plus fort plaquant mes dents sur son pubis et pénétrant ainsi le plus loin possible. Je m'étrangle de surprise. Quand il me relâche, je dégage vite, à bout de souffle. Volontairement, je le pompe de cette façon. Je suis tellement concentré qu'il me faut un instant pour remarquer qu'il est en train de me parler. J'ai loupé le début mais quand j'accroche, j'entend qu'il parle d'Eric et de double sodo. J'espère que c'est avec lui car je ne me vois pas me faire prendre par Eric et Xavier comme l'ont été Jean et Ric. je ne suis pas aussi souple de la rondelle qu'eux deux !
Il me redresse, enfonce dans mon trou la canule de lavement et ouvre le robinet. Je sens l'eau m'envahir. Je fais signe que je suis plein. Il retire l'embout. Je garde l'eau en moi au maximum puis me vide sur la cuvette des toilettes. A la troisième fois je suis tout propre. Il me dit de m'installer sur le sling. je me couche sur le dos et place mes mains et mes pieds pour qu'il m'entrave. Chose faite 2mn plus tard. Commence alors un assouplissement en règle de mon anus. Ses doigts pleins de graisse pénètrent mon anneau. Doucement, mais impérieusement, il s'enfonce de plus en plus profond, tournant bien pour m'écarter de tous les cotés. Ses doigts sont vite remplacés par la succession de nos godes. Avec un peu de poppers, je fini la séance par avoir notre " 28 x 7 " enfoncé en moi jusqu'aux fausses couilles. Pour le maintenir en place (car j'ai tendance quand même à l'expulser involontairement) il colle en travers de mes fesses deux grandes bandes de straping adhésives (heureusement que je suis imberbe sinon ça serait l'épilation assurée !).
Il me détache et me met debout. J'ai du mal avec ce que j'ai dans le cul ! je me redresse mais ne peux serrer les jambes. La situation m'excite grave et je bande à fond, lui aussi d'ailleurs.
Il m'aide à enfiler un jock, j'ai du mal à tenir debout sur un seul pied ! puis me dit que nous allons au donjon. L'escalier n'est pas facile à monter. C'est pas tant les sparadraps que l'engin qui me perfore. Le temps de me mettre sur les épaules un des grands manteaux et nous traversons la cour, le spectacle doit être étrange à voir !
Quand nous entrons dans notre " donjon ", je vois Eric qui tient par le bras un mec balaise les yeux bandés. Il lui dit que nous sommes arrivés et nous tends à Marc et moi deux cagoules. Une fois que nous les avons mise, il enlève le bandeau du mec et me présente comme étant le jouet qu'il lui avait vendu et Marc comme mon propriétaire. Il faut quelques minutes au mec pour qu'il absorbe tout, moi le jouet et le décor.
Marc est parti s'installer dans un des grands fauteuil, laissant Eric gérer mais ne perdant pas une miette de ce qui peut m'arriver. Ça me rassure. Eric me dit de me présenter. Je quitte le manteau et me présente de face. Je tourne et une fois de dos, j'entend le mec (grosse voix grave) m'ordonner de me pencher. J'écarte un peu les pieds, me penche et attrape mes chevilles. Ainsi posé, mes fesses laissent voir ce qui les occupe. Je sens une grande main (pour l'instant tout est grand chez ce mec) passer sous les fausses couilles et tirer vers l'extérieur. Il est tout de suite bloqué par le straping mais arrive quand même à le décoller de mon anus. Quand il relâche, effet boomerang, les fausses couilles se re plaquent aussitôt sur mes fesses. Eric m'ordonne de me mettre à genoux et de déshabiller le mec. A genoux je ne peux que m'occuper du bas. Chaussures, chaussette (propre), ceinture et pantalon, là je découvre, mal caché derrière un shorty, une bite monstrueuse. Il ne bande pas encore totalement mais déjà sa bite s'allonge sur son coté gauche jusqu'à sa hanche et décolle le tissus d'au moins 6 ou 7 cm. Quand je baisse l'élastique, le morceau tombe devant mes yeux. Je me fais une estimation à l'aide de mes deux mains. Minimum 28cm sinon plus par un bon 7/7,5 de diamètre. Dans ma main, il est si gros qu'il reste bien 5cm entre mon pouce et l'indexe, il me faut les deux mains pour encercler sa hampe. Le gland circoncis est violet en forme de cône. Eric m'ordonne de sucer. J'ouvre grand les mâchoires et arrive à prendre le gland et quelques cm de hampe en plus. Bien qu'il essaye d'en rentrer plus, je n'arrive pas à faire glisser le gland dans ma gorge. J'ai beau déglutir tout ce que je peux, ça a l'air physiquement impossible. Même quand Eric se place dans mon dos et pousse ma tête lui même, ça ne passe pas.
Eric me prend sous les bras et me pose sur le sling (il n'en a installé qu'un sur les trois). Il arrache les strapings. Même sans poils, c'est un peu douloureux. Le gode tient tout seul. Mon anus doit être bien distendu pour ne pas expulser l'engin ! Il me le retire. Quelle sensation !! J'ai soudain comme un coup de froid au cul. Cela ne dure pas. Le monstre enkpoté (je ne sais pas où il a pu trouver des kpotes aussi grande !), luisant de lubrifiant, commence sa progression. Le gland entre sans problème, sa forme facilite le travail. Je sens sans douleur passer le renflement de la couronne. Et inexorablement, je me fais pénétrer. J'ai l'impression que cela dure un siècle tellement il est long ! soudain Eric me place sous le nez le flacon de poppers et me dit de sniffer fort. J'obéi et ma tête comme mon cul chauffe instantanément. Le sling balance sous le coup de rein du mec mais moi je me retrouve empalé jusqu'à la garde ! Le mec dit à Eric que c'est la première fois qu'il peut la mettre entière. Même avec les meufs, dans leurs chattes, il n'y arrive pas. Il m'attrape par mes cuisses relevées et se met à me limer comme un fou. Eric prend quand même la précaution de rajouter du lubrifiant régulièrement sur le monstre.
J'explose assez vite me foutant du sperme jusque dans les cheveux. Mes contractions anales le bloque et lui aussi jute (dans sa kpote). Il met du temps pour se retirer, sa bite dégonfle mais très lentement. Je relève la tête au moment ou il sort sa bite complètement. Il y doit bien y avoir un demi verre de sperme dans la kpote !!
Je me recouche sur le sling, cassé. Dans un état second, j'entend Eric dire au mec qu'il le raccompagne à sa voiture (garée au village). Marc s'approche de moi, il me caresse, me félicite et tout en m'embrassant, passe sa main entre mes fesses. Par jeux il entre direct 4 doigts et vu la facilité, il ajoute le pouce, pousse un peu et me fiste ! Je grogne un peu dans sa bouche mais ses doigts massant ma prostate envoient direct à mon cerveau des ondes de plaisir. je fond littéralement sous sa main !
Eric nous rejoint. A eux deux, ils me descendent du sling et je me retrouve à cheval sur la bite d'Eric avec Marc dans mon dos qui ajoute la sienne dans mon cul. Je suis hyper sensibilisé de ma sodomie précédente et je jute de nouveau très rapidement. Mes enculeurs me suivent de près et je sens le sperme de Marc me tapisser le boyau.
Je n'ai plus aucune force. Ils sont obligés de me porter sous les douches et de me laver eux même. Je sens déjà mon anus se refermer, au rinçage, il ne reste plus que la possibilité d'entrer facile 2 doigts.
Ils me portent jusqu'au lit où je m'endors direct.
Je saurais le lendemain matin que le mec (un diplomate étranger d'après Eric) avait allongé 1 000 euros avant la séance et qu'il en a ajouté 2 000 après. Je remerciais Marc mais lui dit que c'était plutôt un client pour Ric ! J'ai ressenti toute la journée les effets collatéraux mais au soir du vendredi, tout était revenu presque normal.
Le WE suivant fut suffisamment calme (seul avec Marc) pour que ma rondelle retrouve ses capacités nominales.
JARDINIER
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ballet-symphonie · 2 years
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Absolutely mandatory viewing - a truly spectacular DQ.
Highlights include:
0:00 Renata's stunning series of temps de flèche
2:57 Renata doing an assemblé so high that her head nearly goes outside of the camera frame
3:36 Act 1 Pas de trois, finishing with Kimin's signature consecutive double tours
4:14 Kitri's act I variation, complete with triple piqués en dehors and backbreaking leaps, all at whirlwind speed.
4:54 The superman Kimin, with one arm press lifts to both sides!
5:38 Charming Renata, so expressive in her eyes to go along with razor-sharp balances and mindblowing turns, ending the dizzying diagonal with a double piqués en dehors with her arms over her head.
7:58 Love how she jumps so freely into his arms with her head completely thrown back, so exciting!
8:40 Kimin's acting, so cute, he can't possibly even fake being angry with his Kitri, followed by lots of head-shaking DRAMA
8:58 That smirk, I'm dead. PLUS THE KISS TO THE AUDIENCE. Love the pandering that is DQ
9:47 Just too cute, have no further words. Renata's expressions are beyond adorable especially when she cheekily asks for more kisses. HE'S SUPPOSED TO BE DEAD YOU TWO
9:57 Ahh yes, she remembered now. Here comes the pageantry, especially effective with her fluttering her big doe eyes
10:25 Haven't seen this before, Kimin lovably tugging on Renata's skirt, "Hey, we're doing this gig to get hitched remember! Eyes on the prize!" Their expressions and chemistry is just pure gold.
11:19 Love how playful Renata is in the entree, with deep cambrés and bold arm and head movements, especially as she finishes the pirouettes. Very attractive to see the character of Kitri still shining in the grand pas.
11:54 Flawless lift. Notice Renata's superb coordination, in order to catch the music on time, she prepares her arms to start the turns while coming down from the lift.
12:20 Full split grand pas de chat with no momentum into the adagio preparation SO EXTRA, SO DON Q, I'M HERE FOR IT
12:30 "I'll just make a couple timestamps, I won't go crazy".....I lied to myself. But but this fouette is just too good, Kimin transitioning with both arms stretched wide to show her off. Renata's eyes just make me fall in love and I'm obsessed with her sassy transition into 4th position en pointe.
12:54 WHAT A MOMENT. TIME LITERALLY STOPPED....moving on
13:02 I promise I'll stop timestamping every 10 seconds but like, that arabesque balance is how every balance should be. Classy, without showboating, an active choice on when to exist, no needless 4th wall breaking, perfectly musical.
13:20 The pirouettes? Stellar. The transition out of it? Even better.
13:44 SHe's so confident here, she looks up and explodes her arms out before exiting the pirouette into the penché. That choice creates such feelings of elation.
14:11 Give me either one of their renveresé, thanks :)
14:16 Exiting this (gorgeously done) lift can be awkward, love how Renata uses her arms to transition into the next pose
15:02 YES to the traveling that's happening!!
15:33 Her smile. That's all. Delightful.
15:47 ADORABLE
16:13 Kimin's variation starts. I mean come on. He's just flying around. THOSE OUTSIDE ATTITUDE PIOUETTES. Super stable tours to high arabesques. Just too good.
17:04 Renata's variation starts. Jawdropping footwork, the petit rond de jambes are so clean and so precise, and she's moving so much when she does them. HERE FOR THE RENATA SASS. THe way her face lights up when the crowd starts clapping is priceless
17:57 CODA TIME!!!! Legitimately think no one has ever done this jump better than Kimin. And that manage, just looks like it takes no effort for him to complete. He just floats around like it's nothing.
18:21 Holy shit her fouettes are insane, AND THEN ALL DOUBLES IN THe SECOND HALF???? Aish, her tiny frustrated face appeared for half a second because she was the tiniest bit off and had to do one single. But what a fight, she's such a spitfire. I was on the edge of my seat.
18:45 Speechless. Just what??? How????? Kimin Kim, explain yourself????
19:15 THE WAY THEY SMILE. WHAT A SHOW!!!!
I did this during my first watch-through, I think you can gauge my level of excitement quite clearly ahaha. Let me know your favorite moments and if you enjoyed reading my first reaction :)
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abdou-lorenzo · 2 years
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Il aime le corps de sa si jolie petite Fée faite femme.
Normal, elle est somptueuse !
Il s’enivre en descendant suavement sa chute de reins après avoir caressé ses beaux seins ronds tout en contemplant ses longues jambes galbées qui n’en finissent plus de l’éblouir.
Il adore surtout recevoir son superbe regard profond et frémissant de satisfaction, vibrant encore de leurs étreintes passionnées, sa bouche et ses lèvres charnues entrouvertes d’où, il y a peu encore, s’échappaient des râles de plaisir.
Souvent, il cache son bonheur dans son épaisse et suave chevelure où il apprécie tant recueillir son parfum et enfouir son bonheur....🍀♥️
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Oui, rêve ou réalité, il l'aime passionnément… Et alors ?
P.P. - A tire d'Elle
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child-of-hurin · 6 months
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For if I applied my whole resource to the equipment of a knight as, Heaven knows, many a man has done, and were to tell you how Vulcan, the wise, the famous, the good artificer, set his own hands to the making of Tristan’s sword, jambs, hauberk, and other pieces pertaining to a knight, in superb and masterly fashion; how he drew and cut out the image of him whose courage is boundless – the Boar – on his escutcheon; how he devised his helmet and in token of Love’s torment raised the Fiery Dart upon it; how one by one he fashioned this and that to marvellous perfection and how my lady Cassandra, the wise Trojan woman, had used all her wit and art on arranging Tristan’s clothes and preparing them for him with her best insight (her spirit, as I read, had been endowed by the gods in heaven with supernatural powers): what effect could all this have, other than when, further back, I was equipping Tristan’s company for his investiture! Saving your disagreement, it is my opinion (and I am convinced of it) that if to these two aids – Mettle and Means – you add Discretion and Courtesy, the Four between them will serve as well as any others. Certainly Vulcan and Cassandra never equipped knights more splendidly than they.
Gottfried von Strassburg's Tristan, translated by A. T. Hatto
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Mesdames et messieurs, aujourd'hui, je vous invite à visiter les chutes de Gocta avec moi !
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Vous trouvez qu'elles sont loin sur cette photo ? Croyez moi, bien plus que vous ne l'imaginez ... Première étape de la journée : grimper au village de San Pablo.
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Ce qui était censé être une promenade de santé (plus exactement, une sortie à dos de Tuk tuk) se transforme en première partie de randonnée, puisqu'à cause de travaux sur la route, la circulation est fermée pour aujourd'hui... On commence donc par 4km et 500m de dénivelé imprévus, bim ! Heureusement, la vue est superbe.
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Une fois là haut, c'est parti pour la première cascade ! Et donc ... 6km et bien 500m de dénivelé en plus.
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Sur le chemin, je croise une quantité de papillons astronomique, notamment un qui n'a pas compris que les couleurs se mettaient à l'intérieur normalement ! (Il est noir et bleu quand il ouvre les ailes) Je l'avais déjà vu avant, mais je n'avais pas réussi à le prendre en photo, je suis contente !
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Arrivée donc à la première cascade, magnifique, je suis toujours impressionnée par la verdure qui peut les entourer ! Et pour l'instant, je n'ai croisé presque personne, je profite des pépiements d'oiseaux et des chants des cigales, et en bonus le soleil s'est caché donc il fait bon sans griller sur place comme une crevette à la plancha ❣️
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Le temps passant mine de rien très vite, je redescends dans la vallée, pour remonter sur la seconde cascade. Au total, les deux cumulées font plus de 700m de haut quand même !
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La descente est sacrément raide, je suis contente de ne pas avoir fait le circuit dans l'autre sens ... Et en bas, je commence à retrouver des gens (brrr)... Ce qui a l'avantage de permettre de faire des photos de Touille en entier hehe
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A cause du contrejour, la cascade du bas (enfin, du bas, c'est trompeur, il a fallu remonter après avoir atteint le fleuve, bien sûr...) est impossible à prendre en photo, tant pis ! Vous voyez derrière moi que la roche fait des tout petits plis très fins, on dirait presque les pages d'un livre, c'est assez impressionnant.
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Puis c'est l'heure de rentrer, mes jambes commencent à en avoir ras la coiffe, j'espère que ce sera à peu près plat... C'est beau l'espoir, toute la fin (5km quand même) ou presque est en grimpette ! On sort petit à petit des arbres, la vue se dégage, et j'ai une très belle luminosité pour finir le dernier kilomètre 🥰
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En résumé, une journée absolument magnifique, je suis enchantée , mais j'ai fait plus de 20km et je crois plus de 1500m de dénivelé (ça me paraît beaucoup, j'ai l'impression d'avoir avalé ça trop "facilement", mais c'est ce que disent les relevés topo...), je suis un peu sur les rotules !! Je vois quand même bien la différence entre il y a six mois et aujourd'hui 🥰
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surlapisteducentaure · 11 months
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7 mai : initiation
Grosse journée ce dimanche. J’arrive au club pour une journée d’initiation à l’équitation western. On commence avec les chevaux du club et l’après-midi, direction une autre écurie spécialisée dans cette équitation. Bon, j’ai choisi la facilité et j’ai commencé ma journée avec Blue Eyes.
Le problème c’est que nos chevaux ne sont pas tellement éduqués à ces codes, mais on a eu quelques résultats quand même. On a commencé à pied, en codant un "clic" de la langue pour partir au pas, deux pour partir au trot, "whoa" pour s’arrêter, et la mobilisation des hanches et des épaules le plus légèrement possible. Ça marchait plutôt bien avec Blue Eyes, même si C. m’a conseillé de mettre du contact physique ou de faire du bruit avec ma cravache pour travailler sur le côté gauche puisqu’elle ne voit pas. Pourtant, elle bougeait quand même, je ne sais pas si c’est parce qu’elle anticipait après avoir fait l’exercice à droite, ou si peut-être elle distingue un peu les ombres ?
En selle, on continue d’appliquer tous ces codes en essayant d’utiliser surtout les codes vocaux, rênes longues, et pas trop de jambes. Pour marcher au pas et trotter, ça se passait bien, Blue avait même un trot presque trop actif. Par contre, les arrêts n’était pas très précis... et pour la direction, à deux mains ça va encore, mais à une main, j’étais pas très à l’aise. On s’est exercé sur un slalom, et pour ça, on décolle complètement la jambe intérieure et on pousse avec la jambe extérieure, soit tout l’inverse de ce qu’on fait en classique. Ce qui était dur aussi, c’était d’avoir les jambes en avant, les selles ne nous y invitant pas vraiment.
L’après-midi, j’ai fait la connaissance d’une petite QH nommée Chelsea. Très sage au pansage, comme tous les autres chevaux, j’ai eu l’impression. Bon, la selle western est effectivement un peu lourde, mais j’ai réussi à la mettre en place.
Et ensuite, tout le monde dans le manège, où on va travailler sur des choses très simples : déjà, marcher au pas sur un cercle et s’arrêter tous ensemble. On ajoute quelques demi-tours... en poussant les épaules des chevaux vers le pare-bottes ! Et c’est fou, mais ils ont la place de passer, parce qu’ils tournent vraiment sur place ! Pour ce qui est des arrêts, avec une selle adaptée, c’est vraiment beaucoup plus facile et intuitif de pousser les jambes vers l’avant. On a ensuite continué au trot, où je n’ai pas eu de mal à rester au trot assis. Là encore, les allures des chevaux et la conception de la selle font qu’on fait ça assez naturellement.
La difficulté pour moi a surtout été sur le passage du "L" de barres, et encore pire à deux mains. Au pas, j’ai fini par trouver un peu le truc, mais pour le faire au trot, sans rupture d’allure, c’était laborieux, je me sentais un peu nul·le de devoir refaire encore et encore jusqu’à y arriver pendant que tout le monde était arrêté. Pour les problèmes de direction à une main, c’est surtout parce que je me retrouve à tirer avec une jument qui est toute tordue. Donc, plutôt, prendre et relâcher, y aller par étapes.
Et pour finir cette partie, on a testé le galop. Je l’ai fait en gardant les rênes dans les deux mains. Pour le coup, on sent bien la propulsion, je me faisais un peu décapsuler ! Mais c’était assez grisant et je n’ai pas eu de problème à repasser aux allures inférieures.
Ensuite, on a découvert le superbe parc de mountain trail. J’ai trouvé ça vraiment chouette. Chelsea connaissait les exercices, je n’avais plus qu’à me concentrer sur le fait de l’amener correctement devant, et hop. On est restés au pas pour cette découverte, mais j’ai trouvé que c’était génial pour prendre confiance. Je ne doutais pas de Chelsea et du coup tout s’est bien passé, ça fait du bien d’arriver à quelque chose. On est passé sur plusieurs obstacles différents : l’échelle (une ligne courbée où il faut bien contrôler la courbe pour que le cheval ne décide pas de passer en ligne droite au lieu de se fatiguer à lever les pieds), un labyrinthe (je ralentis beaucoup avant le premier tournant pour bien contrôler le poser de tous les pieds et ne pas déborder), une pyramide, un tronc à enjamber, un pont à bascule, la waterbox, le pont roulant, plusieurs gros troncs à enjamber, la rivière, d’autres embûches avec des rondins et des gros cailloux... vraiment sympa !
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De temps en temps la brise de mer soulève par le coin sa jupe flottante et montre sa jambe luisante et superbe ; et son pied, pareil aux pieds des déesses de marbre que l'Europe enferme dans ses musées, imprime fidèlement sa forme sur le sable fin.
Car Dorothée est si prodigieusement coquette, que le plaisir d'être admirée l'emporte chez elle sur l'orgueil de l'affranchie, et, bien qu'elle soit libre, elle marche sans souliers.
Elle avance ainsi, harmonieusement, heureuse de vivre et souriant d'un blanc sourire, comme si elle apercevait au loin dans l'espace un miroir reflétant sa démarche et sa beauté. [...]
Charles Baudelaire
Extrait: " La belle Dorothée"
"Le Spleen de Paris" "Petits poèmes en prose"
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chicinsilk · 1 year
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US Vogue March 1988
Sturdy shoe showing… …Left to right: Walter Steiger's speedy linen/crocodile pump. The exceptional linen and leather slingback, from Prada, and a stunning pant flat - the huarache-inspired cropped ankle boot in waxed woven leather. Joan and David. On the legs, the silky and transparent color of Donna Karan Hosiery.
Chaussure solide montrant.. …De gauche à droite : l'escarpin rapide de Walter Steiger en lin/crocodile. L'exceptionnelle bride arrière en lin et cuir, de Prada, et une superbe chaussure plate pour pantalon - la bottine courte inspirée de la huarache en cuir tissé ciré. Joan et David. Sur les jambes, la couleur soyeuse et transparente de Donna Karan Hosiery.
Photo Neil Kirk
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mijureunion · 2 years
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Hello ! Il est tard, mais je ne veux pas laisser nos fans sur la touche ! J'ai cru comprendre que certains attendaient avec impatience l'article du jour !
Aujourd'hui, on s'est levés tôt, au secours ! 6h ou 6h30, quel enfer ! Mais ça valait le coup. On a rejoint Nicole et Bruno, qui nous ont emmené au point de vue du Maido ! Sur place, le vue sur le cirque de Mafate et sur le piton des neiges était superbe, surtout qu'on avait un temps magnifique ! Bon par contre, j'étais bien content de ne pas avoir eu à conduire jusque là, la route est très très sinueuse... On en reparlera.
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Bon celle là, tout le monde l'a vue sur Facebook... Mais maintenant on sait que c'est le piton des neiges en face !
Ensuite, on est partis sur le sentier de la glacière. Bon, on a peut-être surestimé nos jambes pour le coup ! Mais le paysage était si beau... On était déjà bien au dessus des nuages (entre 2100 et 2400m d'altitude), du coup tantôt les nuages nous traversaient, tantôt on les voyait passer par dessus la crête, poussés par le vent. Impressionnant !
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Notre endroit de pique-nique. Très beau, par contre on s'approchait pas trop du bord, sinon c'est la descente rapide pour le cirque de Mafate, partie du volcan à l'arrêt - le piton des neiges - qui s'est effondrée !
Pour le chemin du retour, plutôt que de rebrousser chemin, on a décidé de rentrer par le sentier de la crête. Donc on a eu la compagnie des nuages pratiquement jusqu'à la fin ! Moins de blabla, plus de photos :
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Toiles d'araignée ? Non, c'est du lichen qui pousse sur les arbres !
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On crapahute !
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Y a de grandes parties qui ont cramé ce dernières x années...
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Une statue de la Vierge au milieu des nuages, avec l'apparition imprévue du papillon !
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Descente vers la mer de nuages
Bon, on était complètement vidés à l'arrivée. Mais le pire restait à venir. Deux fois. D'abord, la route du retour. En ayant pris le soleil et en étant bien crevé, les nombreux lacets er virages de la route m'ont retourné l'estomac... Arrivé au gîte, j'étais content de descendre de voiture !! Ensuite, eh bien j'ai tenu une semaine à la Réunion sans coup de soleil, mais là malheureusement... Ça fait mal. Bah. Ça passera !
Demain, on va jouer au flipper ! (Jeu de mots, attention)
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 82
Jeudi soir
Quand j'arrive, je suis le premier. Je cours vite me préparer. Au sous sol, je m'épile soigneusement et me rase les couilles. Un petit lavement me confirme que de ce coté là c'est propre aussi. J'enfile un jock et entame une séance de muscu.
J'ai fini mes 5 séries de développé-couché quand j'entend la voiture de Marc. Je vais travailler mes triceps à la poulie. C'est les jambes écartées un peu pliées alors que je tire 27Kg que Marc me découvre. Il est encore en tenue de ville. Il se déchausse seulement et me dit de ne pas bouger. Je bloque le mouvement mes avants bras à l'horizontal. Il arrive derrière moi et je sens sa main droite se poser sur une puis l'autre fesse. Je commence à vibrer, le poids en statique me fait trembler ! Sans un mot je sens sa main se déplacer, s'insinuer entre mes fesses et ses doigts atteindre leur but, mon anus ! Il enfonce son majeur direct ! je n'en peux plus et relâche les poids ! je pivote mon buste et je lui prend la tête pour qu'on s'embrasse. Notre baiser est violent, nos dents se cognent, nos langues se cherchent se battent alors que son doigt est toujours en moi. J'arrache sa cravate, fait tomber sa veste et déchire sa chemise, pas le temps de défaire les boutons un par un ! Il lâche mon trou, à genoux je peux m'occuper de son pantalon, ceinture, bouton, braguette, hop sur les chevilles. Son shorty à hauteur de mes yeux, il ne peut cacher le barreau horizontal qui le déforme vers la gauche. Je plaque ma bouche sur son extrémité. Je suce au travers du tissu. Ma salive le fait coller au support et lorsque je recule, on découvre un gland surmoulé de blanc. Le tissus mouillé épouse les chairs gorgées de sang. Je descend le shorty jusqu'à le glisser sous ses couilles. Sa bite en a profité pour se dresser à la verticale. Le spectacle est superbe, de bas en haut : deux belles et grosses couilles rasées, pendantes un peu mais pas trop, la hampe large et veinée déformée par le renflement de l'urètre, les plis du prépuce retenu par le frein au gland violet, la surface lisse sous la pression interne et dont le bord type " champignon " déborde.
Je pose la langue sur ses couilles, elles remontent un peu. Je me redresse la faisant courir sur la hampe, le frein puis chapote le gland. Je tire légèrement sur ses boules pour décoller le gland de ses abdos et commence ma fellation.
Son gland est trop bon. Bouillant, je m'efforce de réduire sa température par de nombreux va et vient destinés à le couvrir de salive. Ma langue prend bien soin d'étaler cette dernière sur toute sa surface, sans oublier le rebord dessous la couronne. J'ai du atteindre les limites du supportable car il prend ma tête entre ses mains et m'enfonce son pieu en grande profondeur. Au passage il m'éclate la glotte. Il ne relâche la pression que quand j'ai l'impression d'être aussi violet que son gland ! Je n'ai que le temps de respirer un grand coup avant qu'il ne remette ça. Quand il arrive au fond de ma gorge, je dégluti rapidement plusieurs fois, effectuant ainsi un massage du gland par mon larynx. Il se calme un peu car il ne veut pas jouir tout de suite. Il me demande de me mettre à 4 pattes. Puis il se penche pour s'occuper de ma rondelle. Je suis distrait de ma pipe par ses doigts fureteurs qui pénètrent mon intimité. Quand il m'estime suffisamment préparé, il s'arrache de ma bouche et après avoir fait le tour, m'a dans un premier temps relevé puis écarté les jambes et poussé à m'écraser le torse sur un banc de muscu puis dans un deuxième s'est introduit en moi comme un sauvage. Un seul coup de rein pour m'enfiler ses 22cm au complet ! J'ai encaissé, même si en fin de course j'ai eu les pieds qui décollaient du sol. Ses mains accrochées à mes hanches, il s'est déchaîné. Longues enculades, courts pilonnages, lents, rapides, j'ai eu droit à un panel exhaustif de sa science de la sodomie. Mes mains accrochées au banc, les siennes sur mes épaules les tirant en arrière pour augmenter son intromission, il m'a fait jouir sans que je me touche.
Chaque jet de sperme sortant de ma bite provoquait un resserrement de mon anus, le bloquant dans sa progression. C'est alors que j'expulsais mes derniers millilitres qu'il a explosé dans mon trou. J'ai nettement senti son sperme me couler à l'intérieur. Ancré tout au fond de mon trou, il m'a rempli comme il faut. Puis il nous a achevé par quelques va et vient " floquant " dans son sperme. Mes jambes ont cédées. Je suis tombé à genoux et ce faisant, m'a libéré de sa bite. Il est venu s'asseoir à coté de moi adossé au banc. Assis sur mes mollets, je lui ai pris la tête entre mes mains et nous nous sommes rouler un patin d'enfer.
Sous la douche, sensuellement, nous nous sommes savonnés, massés, caressés. Nos douches sont malheureusement pas plus économiques en eau que des bains vu le temps que nous y restons dessous ! mais c'est trop bon !!
La soirée qui a suivi un dîner reconstituant, s'est passée à organiser le WE du nouvel an. Avec Marc nous avons décidé d'une méga touze avec tout le groupe et les jeunes des vacances. Démarrage le 31 au soir avec arrivées des protagonistes en cours de journée selon les moyens de transport, et fin le dimanche 3.
Si il n'y a pas de désistement nous serons 22 plus nos deux hommes de service. Marc leur a déjà demandé et pour un tarif exceptionnel (jour férié oblige) ils ont acceptés. Le plus dur sera qu'ils respectent la fait de ne pas baiser avec tous !
Je propose à Marc que Xavier (mon client 30aine 1,85m 90Kg musclé avec qui je baise Jean et sa meuf), pourrait participer. Ses 26 x 6,5 feraient plus d'un heureux et de plus les purs actifs ne sont pas les plus représentés dans notre groupe. Il me dit qu'il va y réfléchir mais que mes arguments se tiennent. Ce ne sera peut être pas pour le 31 au soir mais probablement pour le 1er ou 2 janvier. En plus ça relancera les " débats " rien ne vaut un peu de nouveauté pour rompre les habitudes. ;Marc me fait remarquer qu'il va falloir assurer l'intendance pour 25 personnes pendant 3 jours !! Je propose que l'on fasse appel à des traiteurs avec une demande de participation aux frais pour ceux qui travaillent et gratuit pour les étudiants. Pour les boissons, le caviste de la zone commerciale va nous bénir. Entre les vins et le champagne nous devrions en laisser aussi pour une bonne somme.
Pour passer de la maison au donjon, je vais emprunter à ma boite des passages surélevés en bois qui nous servent lors de chantier. Si il fait pas très beau ou qu'il y a de la neige (on peut rêver) nous passerons d'un bâtiment à l'autre au sec.
JARDINIER
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triste-guillotine · 1 year
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NÅSTROND "Age of Fire" CD 1996 (’My rod is athrust, Erection. Vaginal praying, love-growth. Through the flames of Hell, comes the Lord of the Earth. Death (life) behind nine months, Infernal ones, come forth. Bring us sin to revel in...’)
1. Prologue 2. Age of Fire 3. Winged Phallus (Ferocious Angel) 4. Womb of Chaos 5. The Four 6. Une charogne 7. Consecration of the Flame 8. The Great Below 9. Vanished from the World 10. The Red Force (Of the Trapezoid) 11. Emancipation 12. Opening of the Mouth 13. Epilogue - The Fifth Book of Satan
“Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s'élançait en pétillant ; On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague, Vivait en se multipliant. Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique Agite et tourne dans son van. Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve, Une ébauche lente à venir Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève Seulement par le souvenir. Derrière les rochers une chienne inquiète Nous regardait d'un oeil fâché, Épiant le moment de reprendre au squelette Le morceau qu'elle avait lâché. Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, À cette horrible infection, Étoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion ! Oui ! Telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés !”
- Charles Baudelaire
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already-14 · 2 years
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L'intrigue de La Marraine du sel, comme celle de La Nuit du Rose-Hôtel, tient dans l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette ; mais comme son prédécesseur, le roman possède des charmes qui tiennent moins à la succession des moments qu'à la lente et subtile révélation d'une vérité soigneusement occultée, au risque de laisser son lecteur un peu trop vorace sur sa faim une fois arrivé à la dernière page. L'action brumeuse et comme passée au ralenti se déroule à Richelieu (Indre-et-Loire), dans ce « jardin de la France » que Max Ernst a si joliment peint : deux bras de fleuve caressant des jambes de femme en bas résille… Un représentant de commerce, Clair Harondel, tombe sous les charmes vénéneux de Mariette Allespic, jeune épouse du mercier local, dont la rumeur laisse à penser qu'elle posséderait des dons en sorcellerie. Et pas question de basculer dans un « ménage à trois » : le mari disparaît, emporté par une brusque et rapide maladie (que toute la ville aura vite traduite en autre chose), et l'envoûtement peut alors déployer toute sa puissance, lugubrement symbolisé par la fonte en plein soleil de deux mannequins de cire dans la vitrine de la mercerie. Mais, tout comme Prospero s'écriant "Now my charms are all o'erthrown", Mariette Allespic doit des années plus tard faire face à la perspective de sa propre mort, qui signifie aussi la fin de ses enchantements. Sorte d'Alcina des Pays de la Loire, elle laisse planer alors sur le pauvre Clair la menace d'un pacte par lequel sa fin signerait également la sienne.
C'est là que le livre débute, et c'est à partir de cette épée tranchante et invisible, planant au-dessus de l'étrange ville rectangulaire de Richelieu et de la tête de Harondel, que le rituel auquel se livre Maurice Fourré démarre, entre pensées circulaires ou angoissées et voyages oniriques se déplaçant dans le temps, sans qu'on sache jamais réellement qui parle, qui se trouve où, dans ce qui n'est pas une confusion, mais bien au contraire le petit labyrinthe maniériste et doucement inquiétant que Fourré bâtit mot après mot.
Tout comme La Nuit du Rose-Hôtel préparait longuement et superbement l'instant où le lecteur effleurerait enfin de sa pensée toute l'étendue de la réalité mystique qui entoure des protagonistes en apparence si triviaux, La Marraine du sel est la lente cristallisation, sous l'apparence d'un brouillard de paroles fleuries et enchanteresses, d'une inquiétude et d'un mystère qui ne peuvent trouver leur résolution que dans l'échappée d'un simple mot ou d'un seul nom. La conclusion du livre ne conclut rien du tout, et nous engage au contraire à tout reprendre à rebours, à reparcourir, dans l'étonnement, la toile d'araignée si finement tissée, et à goûter encore plus pleinement les cercles autour desquels Fourré navigue, un doigt levé masquant son sourire.
Un peu plus sévèrement, on pourrait dire que La Marraine du sel, ce n'est que ça, une atmosphère, un fantôme évanescent qui glisse entre nos doigts et qu'il ne tient qu'à notre désir de merveilleux, miraculeusement préservé dans le monde terne et triste, de suivre encore une fois. Maurice Fourré serait alors un de ces plaisirs coupables, totalement anachroniques, qu'on s'offre hors de tout sentier obligé, de toute téléologie littéraire, voire même loin de toute ambition forcenée pour le langage : rien que le plaisir des mots minutieusement choisis, orfèvrerie magique des vieilles provinces ensommeillées et bercées de légendes, goûtés les uns après les autres, dans la surprise des métaphores, des décrochages, des assemblements illuminés qu'on n'espérerait pas.
Miracle anachronique d'un homme écrivant comme un vieux briscard du symbolisme, étrangement égaré aux temps du Nouveau Roman et de l'engagement sartrien, pouvant même en remontrer niveau atemporalité rétrograde à un Julien Gracq (qui contribua à sa découverte, d'ailleurs) ; comme si l'explorateur du temps de H.G. Wells débarquait dans la vallée de la Loire, porteur d'amulettes et de phrasés d'une autre centurie…
Il y a bien sûr de quoi sérieusement rebuter le lecteur moderne, qui s'usera les sourcils à force de les froncer devant ces dialogues rhétoriques invraisemblables, ces descriptions extrêmement poétisées, ces brèves situations qui se figent et se transforment comme portées dans une autre dimension, pas tellement celle des collages grimaçants de Ernst que ce qu'on appelait autrefois le "style français", ce curieux mélange de limpidité et de poésie apaisée. Bon, je l'avoue, pas vraiment le genre de lectures à l'ordre du jour ; et j'aurais du mal à convaincre mes collègues amateurs de grands américains d'abandonner séance tenante leurs Sorokine et leurs Vollmann pour cette bizarrerie brillant comme une bougie sur une barque nocturne. Mais pourquoi s'en priver ? La comète descendante du surréalisme, dans les années cinquante, a donné peu de voix vraiment dignes de la génération qui les précédait. Si, pour ce qui est de la poésie, Jean-Pierre Duprey, à jamais caché Derrière son double, règne sans partage, protégé par la figure d'Ueline et surtout par la couleur « NOIR » à laquelle il a donné ses plus belles lettres de noblesse, le vieux Maurice Fourré, dans ce domaine de la fiction dont se défiaient tellement Breton et ses amis, a su apporter une touche d'inquiétante étrangeté, blottie entre les eaux de la trivialité et du sublime, qui n'appartient qu'à lui, et qui en fait une de ces "curiosités de bibliothèque" que certains lecteurs se mordraient les doigts d'ignorer.
Il ne nous reste plus qu'à organiser des manifestations devant l'hôtel de la rue Sébastien-Bottin pour que La Nuit du Rose-Hôtel, là où tout lecteur de Fourré se devrait de commencer, soit enfin réédité (dans la collection « L'Imaginaire », par exemple, où il fit une brève apparition il y a vingt ans), ses fenêtres et ses occupants enfin dotés d'une lumière nouvelle, et le nom de Fourré enfin réinsufflé de son aura si particulière, si doucement et inaltérablement "magnétique". Apprenant la mort de Fourré, André Breton écrivit : "L'œuvre de Maurice Fourré est prise dans ses gloires. Elle est de celles qu'on redécouvrira." Paroles que L'Arbre Vengeur a portées sur le bandeau rouge entourant leur petit dernier. Espérons juste que les mots de Breton accomplissent enfin leur portée prophétique.
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charmemma · 2 years
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A une mendiante rousse
Blanche fille aux cheveux roux,
Dont la robe par ses trous
Laisse voir la pauvreté
Et la beauté,
Pour moi, poëte chétif,
Ton jeune corps maladif,
Plein de taches de rousseur,
A sa douceur.
Tu portes plus galamment
Qu’une reine de roman
Ses cothurnes de velours
Tes sabots lourds.
Au lieu d’un haillon trop court,
Qu’un superbe habit de cour
Traîne à plis bruyants et longs
Sur tes talons ;
En place de bas troués,
Que pour les yeux des roués
Sur ta jambe un poignard d’or
Reluise encor ;
Que des nœuds mal attachés
Dévoilent pour nos péchés
Tes deux beaux seins, radieux
Comme des yeux ;
Que pour te déshabiller
Tes bras se fassent prier
Et chassent à coups mutins
Les doigts lutins,
Perles de la plus belle eau,
Sonnets de maître Belleau
Par tes galants mis aux fers
Sans cesse offerts,
Valetaille de rimeurs
Te dédiant leurs primeurs
Et contemplant ton soulier
Sous l’escalier,
Maint page épris du hasard,
Maint seigneur et maint Ronsard
Epieraient pour le déduit
Ton frais réduit !
Tu compterais dans tes lits
Plus de baisers que de lis
Et rangerais sous tes lois
Plus d’un Valois !
– Cependant tu vas gueusant
Quelque vieux débris gisant
Au seuil de quelque Véfour
De carrefour ;
Tu vas lorgnant en dessous
Des bijoux de vingt-neuf sous
Dont je ne puis, oh ! pardon !
Te faire don.
Va donc, sans autre ornement,
Parfum, perles, diamant,
Que ta maigre nudité,
O ma beauté !
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froggyoyabun · 2 years
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ღ [FR] Osomatsu-San : première convention avec Choromatsu ღ
TW : Mention de nourriture.
Genré neutre
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ღ Que tu sois un.e fan de mangas/animes/jeux vidéos/groupes d'idoles ou pas, Choromatsu est absolument choqué que tu aies accepté de l'accompagner à cette convention !
ღ Il estime que la pop culture nippone a une place importante dans sa vie, et pouvoir partager sa passion avec toi sonne comme le plus doux des rêves !
ღ Il est beaucoup plus enjoué que d'habitude. Sérieusement Y/N, tu ne l'as jamais vu aussi comblé. Il ne cesse de sourire comme un idiot <3
ღ Il veut absolument te montrer pleins de choses : son stand de nourriture préféré, te parler des cosplay des autres qu'il reconnait, tout ! Si en plus de cela tu partages sa passion et son euphorie, c'est encore mieux !
ღ Vous allez beaucoup marcher lors de cette convention, et il aura tendance à foncer droit devant lui et a t'emmener avec lui. Rappelles lui que tu es là aussi et il arrêtera aussitôt de te trainer derrière lui comme un petit chien ^^"
ღ Pardonne-le, il est si heureux et il veut te montrer absolument TOUT ce qu'il aime qu'il en oublie de s'arrêter un moment et de profiter de l'instant présent avec toi :(
ღ Si tu veux faire une pause il te rejoindra volontiers, t'offrant même l'un de ces nombreux "Menu Manga" à 10 euros dont seuls ce genre de conventions ont le secrets ;)
ღ Il achète tout pleins de goodies : des figurines POP, des mystery bag, des tee-shirts, porte-clés, des fanart et travaux d'artistes amateurs etc. !
ღ Cela ne change pas de habituellment, à la seule différence qu'il veut aussi t'offrir pleins de trucs ! Surtout des accessoires qui s'accordent pour vous deux, genre des colliers ou des sweats qui match !
ღ Warning ! Y/N si tu as des goûts difficile en matière de nourriture, il est temps de fuir car cet homme veut te faire goûter une multitude de choses !!! KitKat à le menthe ou au wasabi ? M&M's au beurre de cacahuètes ? Fuis !
ღ Les. Photos. Chaque fois qu'il croise un cosplay d'une œuvre qu'il connaît il veut ABSOLUMENT prendre un selfie, et avec toi !! Il insiste pour que tu sois sur la photo X)
ღ Si toi aussi tu es un.e fan de mangas/anime/jeux vidéos/jpop/kpop, il prendra en cachette une dizaine de photos de toi émerveillé.e devant un stand qui te plaît ♡ Il souhaite uniquement capturer pour toujours l'éclat qui habitait tes yeux à cet instant là ^^
ღ Il est important de parler des free hugs. Choro n'est pas fan lui-même des free hugs (sauf si c'est Nyaa qui propose) mais il n'est pas opposé à l'idée que toi tu aimes ça. Le troisième de la fratrie n'est pas jaloux que tu en fasses à plusieurs personnes de la convention. Cependant, dès le moment où il voit que la personne est louche/insistant.e/flirt avec toi il interviendra directement. Sans violence, il passera simplement ses bras autour de ta taille pour lui montrer que tu es déjà pris.e. ♡
ღ Si tu veux te cosplayer faites un cosplay à deux !!! Je vous vois bien lui en Eren, toi Mikasa/Livaï.
ღ À la fin de la convention si tu as mal au jambes / es très fatigué.e Choro te portera sur son dos ! Et dans la navette pour rentrer il caressera doucement te cheveux en te submergeant littéralement de compliments !!
" Merci beaucoup Y/N, j'ai passé une superbe journée avec toi, tu as été parfait.e. Je t'aime ! "
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lesgenouxdanslegif · 2 years
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10 TRUCS A RETENIR DE ZEGAMA.
1) Kilian Jornet déchainé : 10ème victoire (personne n’a gagné la course deux fois), record de Stian Angermund amélioré de 8 minutes et 28 secondes, Davide Magnini à 2’51’’, Manuel Merillas à 9’03’’. Le 10ème, Frédéric Tranchand, à 17 minutes. Un mot : indécent.
2) Quelques chiffres sur la perf du jeune espoir : le premier segment en montée de 6’ à 1933m/h, le 42ème kilo en 3’10’’, 3h36’40’’ pour 42 bornes avec 2700m+ soit 12km/h. On s’arrête là.
3) Nienke Brinkman hors de contrôle. 2h22 sur le marathon de Rotterdam début avril, la batave (et non bavarde ou batarde) a atomisé Zegama en 4h16’43’’. Première bosse à 1600m/h pour se délier les jambes puis Nienke a attaqué son opération destruction. Réputée moins à l’aise en descente, elle a pourtant volé sur les cailloux à tout juste 10km/h de moyenne.
4) Son avance sur la concurrence : smoothie du record (18 minutes, ça semble fou de l’écrire) et clé de bras aux meilleures sur ce format : Maude Mathys à 09’20’’, Sara Alonso à 09’57’’. Courtney Dauwalter, 10ème, est 28’51’’ derrière. Chacun son sport.
5) Les Kenyans, venus 17 jours avant la course pour déjouer les pièges. Robert Pkemboi arrache une superbe 5ème place, une minute devant Thibaut Baronian et Rémi Bonnet.
6) Les Français qui osent défier le mythe : le même week-end, il y avait les championnats de France de trail. Lol. Sans commentaire.
7) Les Basques, qui ont tellement hurlé leur amour pour le sport le plus stylé de l’univers que des macaques à toque du Sri Lanka ont eu des acouphènes.
8) Nadir Maguet, l’homme déterminé qui ne voulait pas manquer la journée. Deux vols ratés, 1300 bornes de bagnole, une heure de dodo, une 8ème place avec un chrono qui lui aurait fait gagner les deux dernières éditions. Nadir ignore la signification du mot « Mozzarella ».
9) L’absence de boue. Alors oui, les conditions étaient parfaites pour des records. Mais Zegama sans flotte et bouillasse c’est comme un GR20 sans cailloux ou plus basiquement un burger sans pain.
10) La ferveur, les stars, les cris, le parcours qui ne change jamais, les coureurs qui viennent de partout, des corps épuisés qui se roulent des galoches à l’arrivée, les litres de cidres engloutis après la course et puis le jour d’après où Zegama redevient Zegama : un petit village peinard de 1500 habitants.Vivement l’année prochaine.
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Photo Jordi Saragossa
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