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#Hématome
oscar-piastri · 9 months
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🥺🥺
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artfixyal · 1 year
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idereahellyeah · 2 years
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Quand ton patient saute de son lit pour la 5ème fois alors qu'il est attaché avec des contentions de psychiatrie.
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seaquestions · 9 months
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don't forget that i am always yours (as well as theirs—as well you know.)
[ID: a painting of a figure hanging upside down from an open window, their hand holding a sheer curtain obscuring half their body. the figure is made of a melting red material and looks forward with one white eye. tied to their pinky is a red string hanging down and turning into blood, which then drips down onto the cityscape painted below. simple flowers decorate the corners & around the figure's face. there is a dark marble border. text on the top right reads: "HÉMATOME" End ID]
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soeurdelune · 1 year
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+ bonus // camille yolaine.
rèf musicales: l'amour hélas (clio), hématome (l'impératrice)
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xkiitii · 1 year
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✯ Hématomes #1 ✯
• Teenagers to seniors • Women • 7 versions • Basic games • Localized, Lower Back Tattoos • Personalized miniature
    ⚠️  If you notice any bugs let me know  ⚠️
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Download : [ ♡ ] ( Acces Maxi Kitty )
🎀 If you use my CC, please credit me on it so I can see your creations 🎀
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•  TERMS OF USE | REPORT A ISSUE
💕 A big thank you for being more numerous every day to appreciate my work, and thanks for ✩ @sssvitlanz​ ✩ @harperelya​ ✩ @maxismatchccworld​ ✩ @coffee-cc-finds​ and everyone who does 💕
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boneecho · 6 months
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Battements cendres ; coeurs hématomes. A nos amours difformes, incendie d'âmes. Embrassés. Embrasés par les fins terribles.
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e642 · 6 months
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Je déclare la saison des cicatrices douloureuses à cause du temps qui se refroidit, qui devient plus humide, ou même la pluie ouverte. C'est trop particulier cette sensation. J'ai des cicatrices partout sur le corps donc j'ai mal partout mais genre profondément. En surface je sens rien j'ai plus de nerfs mais en profondeur c'est trop bizarre ce que je ressens. Un peu comme des gros hématomes un peu partout. Comme si je me cognais mais sans me cogner genre. Aled
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perduedansmatete · 11 months
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comme moisissures aux murs
mon hématome se montre enfin
la chambre est toute vide
ça résonne et je me sens apaisée
fenêtre grande ouverte, il pleut
c'est agréable
(ça ne durera pas)
tout partira en lambeaux
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chifourmi · 1 year
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Déso mais ça me trigger trop quand les gens essayent de faire de belles phrases mais qu'ils utilisent des mots random. Genre "mon envie est un hématome qui poursuit le chemin du bonheur." En plus y en a qui rebloguent comme si c'était ultra profond et sensé raaahhhh ou alors c'est moi qui ne comprends rien?? Il suffit de prendre de jolis mots et laisser les gens trouver un sens à notre phrase en prétextant que c'est de la poésie, c'est ça? 👀
(02/03/2023)
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albad · 10 months
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RÉVOLTE POUR NAHEL : UNE RÉPRESSION D'UNE VIOLENCE INÉDITE
- Un bilan provisoire à faire connaître, pour ne pas oublier -
Nous avons tenté de recenser les victimes de la répression de la révolte après la mort de Nahel. En quatre nuits seulement, la police a tué un homme, brisé plusieurs vies à tout jamais, procédé à des milliers d'arrestations. Sans compter le nombre considérable de blessés qui ne se signaleront sans doute jamais. Voici donc un bilan provisoire de cette répression militarisée dans banlieues :
🔴 Violences physiques 🔴
➡️ Un mort à Marseille
Dans la nuit du 1er au 2 juillet : Mohamed, livreur de 27 ans, père d'un fils de deux ans et qui attendait un autre enfant, a été tué par un tir de LBD. Alors qu'il circulait à scooter ce soir là, il est retrouvé mort, avec le choc d'une balle en caoutchouc dans le thorax. Les dernières images retrouvées dans son téléphone sont une vidéo de policiers arrêtant un homme, filmées quelques minutes avant qu'il ne soit retrouvé. Un policier a donc abattu Mohammed avant de le laisser agoniser sur le bitume.
➡️ Deux personnes dans le coma
À Mont Saint-Martin, en Lorraine, le 30 juin. Aimène, agent de sécurité de 25 ans, rentrait du travail et venait de rejoindre ses amis. Alors qu'ils sont en voiture, le jeune homme reçoit un tir en pleine tête : un «bean bag», une cartouche contenant du plomb, tirée par le RAID. Il est plongé dans le coma. Les habitants de la ville racontent une nuit «terrifiante» durant laquelle le RAID «tirait à tout va», dissimulé dans les buissons. Un habitant a filmé une scène dans laquelle on voit trois voitures roulant à faible allure, puis le RAID tirer en leur direction.
À Marseille, le 1er juillet, Hedi est laissé pour mort. Il sort de son travail en hôtellerie vers 1h30 et rejoint un ami. Coincé dans une ruelle par des policiers en civil, il reçoit un tir de LBD dans la tempe avant d’être passé à tabac. Il fait une rupture d’anévrisme, puis sombre dans le coma. Miraculeusement, il se réveillera après une prise en charge en urgence absolue. «Selon les médecins, j’aurais dû être un légume» dit-il à la presse. Il garde de lourdes séquelles et devra être réopéré.
➡️ Cinq éborgnés
Virgil éborgné par LBD à Nanterre, le 29 juin. Après la marche blanche pour Nahel appelée par la mère du défunt, cet ancien militaire part s'acheter à manger. «Hé toi, casse-toi !» lui crie un policier. Virgil relève la tête en direction des agents. «La dernière image enregistrée par mon œil gauche est celle du point lumineux du LBD avec lequel le policier me visait». Il perd un œil sur le coup.
Le 27 juin, un autre jeune homme est éborgné à Nanterre. Une vidéo montre un très jeune garçon évacué sur un fauteuil avec une blessure saignante à l’œil, dès le premier jour de révolte suite à la mort de Nahel. Son nom n'est pas connu.
Mehdi a été éborgné par LBD à Saint-Denis. C'était le mercredi 28 juin au soir. L'impact du tir l'a gravement blessé à l’œil et à la tempe droite. Il est laissé au sol, se réfugie dans une école et appelle les secours seul.
À Angers le 3 juillet, un homme de 32 ans est éborgné par un tir de LBD dans le centre-ville, alors que la police protégeait un local d'extrême droite. Au même moment, un autre homme est gravement blessé par un autre tir de LBD qui lui fracture le visage.
Aux Ulis, en région parisienne, une femme qui rentrait du travail a reçu un tir du RAID dans sa voiture en pleine tête.
➡️ Une main arrachée
Le 30 juin à Villejuif, des morceaux de main sont retrouvés dans la rue. Un journaliste de Cnews, informé par la police, parle d'un «morceau de phalange et les restes de grenade» qui «ont été prélevés» par la police pour retrouver la victime, qui ne s'est pas manifestée.
➡️ D'autres cas nous ont été signalés, mais préfèrent rester secrets pour le moment, notamment un hématome intra-crânien par un tir de LBD. Des dizaines d'autres personnes ont subi des passages à tabac au moment de leur arrestation. Lors de nombreux procès, les personnes arrêtées arrivaient avec des hématomes et des plaies dans la salle du tribunal.
🔴 Violences judiciaires 🔴
➡️ La police a procédé à 3400 arrestations en 4 nuits.
➡️ En 2 semaines, 1278 jugements ont été prononcés, avec un taux record de 95% de condamnations. 63% ont été condamnés à de la prison ferme, avec une moyenne des peines de 8,2 mois. Il s'agit très souvent de simples vols en marge des émeutes. Par exemple des personnes qui ont été interpellées après avoir récupéré de la nourriture ou des vêtements dans des magasins.
➡️ Pour le moment, près de 600 personnes ont été incarcérées.
Et ce ne sont que les interpellations immédiates. Les enquêtes, perquisitions et arrestations a posteriori vont continuer pendant des mois.
🔴 Une violence inédite 🔴
En comparaison, en une année de révolte des Gilets Jaunes, 3204 condamnations ont été prononcées, pour un total de 440 Gilets Jaunes incarcérés. Ce qui était déjà énorme, et qui le reste : une violence judiciaire extrême pour l'époque.
Sur le plan des dégâts humains, du traitement judiciaire et de l'arsenal déployé, la répression de juin/juillet 2023 est tout simplement inédite depuis la guerre d'Algérie. Surtout sur un laps de temps aussi court : un mort, deux comas, autant de mutilés et de peines de prisons pour quatre nuits de colère seulement – suite à l'exécution d'un adolescent, rappelons-le. C'est bien plus violent que durant la réforme des retraites, les Gilets Jaunes, Notre-Dame-des-Landes ou même les émeutes de 2005.
Et le pire ? Les médias ne parlent quasiment pas de cette répression inouïe, ou alors pour la trouver insuffisante. Elle est considérée comme normale, légitime, incontestable puisqu'elle s'exerce sur des corps non-blancs, habitant les banlieue, et contre une révolte qui n'emprunte pas les formes «classiques» de la contestation.
Pourtant, tout le monde devrait regarder avec gravité ce qu'il se passe, et exiger réparation pour les blessés et liberté pour les inculpés. Car ce qui a été testé pendant ces quatre nuits d'été dans les banlieues française sera, soyez-en sûrs, généralisé contre toutes les formes de contre-pouvoirs.
Contre Attaque
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Les montagnes russes de l'écorchée vive
Ma vie est un Grand Huit couplé au Train Fantôme Où je suis embarquée dans un wagon blindé Sans occasion de fuite et sans espoir guindé Par le parcours qui s’ouvre avec mes hématomes.
Chaque tournant m’entraine, ainsi chaque symptôme Est signe d’un syndrome au bon hasard d’un dé, Mon corps est arraché et mon esprit scindé Cherche un langage, un art, un moyen qui l’embaume.
J’ai beau me retenir sur les bords du manège, J’ai mal à en mourir : émotions sensations Qui sont, tout à la fois, et piège et privilège.
Et quand, de bas en hauts, bien calée dans mon siège, Je laisse l’attraction devenir sortilège : Autour de moi je sens la beauté des passions.
- Fabienne PASSAMENT. 2023
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marie-swriting · 1 year
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Après Tant D'années - Emily Prentiss
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Masterlist
Résumé : quand tu reçois un appel de l'hôpital t'informant qu'Emily a été blessée, tu abandonnes tout pour la retrouver, même si ça signifie la revoir pour la première fois depuis dix ans.
Warnings : mention d'Emily qui se fait battre et tirer dessus, un tout petit peu d'angst, fluff, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.1k
Version anglaise
Prompt utilisé : "They haven’t seen each other in a long time, but Person A realizes they are still Person B’s emergency contact, when they get a call from the hospital." (Iels ne sont pas vu.e.s depuis un long moment, mais personne A réalise qu'iel est toujours le numéro d'urgence de personne B quand iel reçoit un appel de l'hôpital.) numéro 3, de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Ton téléphone sonne alors que tu es en train de marcher vers ta voiture. Instinctivement, tu fouilles dans ton sac avant de décrocher sans regarder qui t’appelle. Quand tu entends une voix inconnue te répondre, tu arrêtes tout mouvement lui donnant toute ton attention.
-Bonjour, c’est l’hôpital, est-ce bien Y/N Y/L/N, le numéro d’urgence d’Emily Prentiss ? 
-Oui, c’est moi. Qu’est-ce qui lui est arrivé ? questionne-tu, la panique perceptible dans ta voix. 
-Madame Prentiss a reçu de nombreux coups et on lui a également tiré dessus. Heureusement, elle a été prise en charge à temps, mais elle doit rester à l’hôpital cette nuit en observation, t’informe la femme et tu pousses un rapide soupir de soulagement.
-Très bien, merci de m’avoir prévenue. Je serai là dans une trentaine de minutes.
Tu raccroches et cours jusqu’à ton véhicule. Tu jettes ton sac sur la place passager et conduis sans attendre. À un feu, tu appelles ton boulot pour expliquer ton absence. Tu essayes de conduire prudemment tout en te rendant aussi vite que possible à l’hôpital. 
Quand tu arrives, tu te gares à la première place avant de te précipiter jusqu’à l’accueil. Tu déclines ton identité et la femme t’indique dans quelle chambre se trouve Emily. Tu la remercies et reprends ta course jusqu’au troisième étage. Dans l'ascenseur, tu t’autorises enfin à calmer ta respiration. Même si l’infirmière t’a assuré qu’Emily n’était pas en danger de mort, tu ne peux empêcher l’anxiété de te ronger de l’intérieur. À cette peur s'ajoute le fait que tu vas revoir Emily pour la première fois depuis dix ans. Même si votre séparation s’était faite d’un commun accord, tu angoisses à l’idée de te retrouver dans la même pièce qu’elle. Elle compte pour toi. Tu savais que le jour de votre séparation ne serait pas la dernière fois que tu la verrais, mais tu n’imaginais pas que vous vous retrouveriez car Emily serait à l’hôpital. 
L’ascenseur ouvrant ses portes, tu trottines en regardant chaque numéro de chambre jusqu’à trouver le 327. Tu frappes légèrement à la porte et la voix d’Emily t’invite à entrer. Quand elle te voit, ses sourcils se froncent.
-Y/N, qu’est-ce que tu fais ici ?
-Apparemment, je suis toujours ton numéro d’urgence, réponds-tu en rigolant nerveusement. 
-Oh… euh, désolée, je ne pensais pas qu’ils allaient t’appeler alors que tu étais probablement au travail, s’excuse Emily en essayant de remettre ses cheveux en place.
-Ne t’en fais pas, ils m’ont appelé avant donc j’ai pu venir ici rapidement. Emily, j’ai eu si peur quand j’ai eu l’appel, avoues-tu en te rapprochant d’elle. Tu vas bien ? Tu as mal quelque part ?
-Ils m’ont donné des anti-douleurs alors ça va, te rassure-t-elle avant de montrer la chaise à côté du lit, assieds-toi, je t’en prie.
-Merci. 
Une fois installée, tu poses ton regard sur Emily. Tu ne tentes même pas de cacher ton inquiétude alors que tu cherches les différentes blessures sur son corps. Tu vois les différents hématomes sur son visage et son bras gauche est dans une écharpe d’immobilisation. Même si elle est en vie face à toi, tu ne peux éviter d’imaginer ce qui aurait pu arriver si elle n’avait pas eu autant de chance. Perdue dans tes pensées alors que tes yeux sont toujours sur ses blessures, les peurs que tu avais autrefois concernant son métier se font de plus en plus fortes. Tu te rappelles également pourquoi tu n’aimais pas son métier quand vous étiez ensemble. 
-Tu peux arrêter d’y penser et le dire, tu sais. Tu veux que je démissionne, déclare Emily, te sortant de tes pensées. 
-Tu aimes ton job et on n’est plus ensemble, je suis personne pour te le dire.
-Mais tu le voudrais.
Le regard d’Emily te fait comprendre qu’elle ne te croit pas. Tu ne tentes pas de nier plus et évites ses yeux pendant une seconde avant de la regarder à nouveau.
-Je veux juste que tu sois en sécurité, précises-tu avant de marquer une pause. Et puis même si je le voulais, je ne te pousserais pas à démissionner. Je sais à quel point ce travail est important pour toi, même s’il peut être dangereux. Tu aides aussi à mettres derrières les barreaux des meurtriers et sauves des vies, ça serait idiot de te dire d’arrêter. Mais je dois avouer que je serais rassurée si ton job n’impliquait pas des balles et des tueurs.
-Si seulement c’était possible ! s’exclame-t-elle en s’esclaffant. 
-Le fait est que peu importe ce que je pense, tu tiens à ce que tu fais, c’est le plus important pour moi…, poursuis-tu en serrant sa main, juste, fais plus attention la prochaine fois. Je ne veux pas avoir un autre appel du genre de sitôt. 
-Je ferais de mon mieux, te promet Emily avec un sourire. Désolée de t’avoir fait peur.
-Tu vas bien, c’est ce qui compte. Dis-moi si tu as besoin de quelque chose, dis-tu et tu vois les yeux d’Emily s’illuminer. 
-Là, tout de suite, j’aurais besoin de tes délicieux cookies.
-Dommage pour toi, je n’en n’ai pas, informes-tu en rigolant et elle fait semblant de bouder. Je n’avais pas vraiment prévu qu’on se revoie aujourd’hui car tu te serais blessée. Mais je peux toujours aller à la cafétéria t’en acheter et demain, je peux en faire et après que tu sois rentrée chez toi, je peux te les amener. 
-Tu es la meilleure, s’exclame Emily. 
Tu serres légèrement sa main avant de prendre ton porte-monnaie et d’aller acheter les cookies. Quand tu retournes dans sa chambre, elle tend son bras valide vers toi avec un grand sourire. Tu lui donnes les cookies et Emily commence à les déguster sans attendre. Elle t’en donne quelques-uns que tu acceptes avec joie. Pendant que vous mangez vos gâteaux, vous parlez, rattrapant rapidement le temps perdu. À certains moments, vous rigolez et tu as l’impression que vous n’avez jamais été séparées. Votre discussion semble si naturelle tout comme le sourire sur ton visage. Malgré la raison de vos retrouvailles, tu n'as pas été aussi heureuse depuis dix ans.
Quand le soleil commence à se coucher, une infirmière frappe à la porte. Elle vérifie rapidement qu’Emily va bien avant de t’informer que tu dois partir, car les heures de visites sont terminées.
-Est-ce que je pourrais rester s’il vous plaît ? Je suis sa fiancée, je ne voudrais pas la laisser seule pour cette nuit.
-Oh bien sûr, il n’y pas de problèmes, confirme-t-elle avant de se diriger vers la porte. Bonne soirée.
-Fiancée, hein ? questionne Emily avec un sourire narquois quand l’infirmière est sortie.
-C’était la seule solution pour qu’elle m’autorise à rester, te défends-tu. Je pense que si j’avais dit “ex”, elle m’aurait dit de partir tout de suite.
-Elle aurait sûrement pensé que tu étais l’ex folle qui aurait essayé de me tuer cette nuit.
-Probablement, ris-tu avec Emily avant de la regarder avec plus d’attention. Tu as des petits yeux, tu devrais dormir.
-Tu as raison, mais tu vas pas rester sur cette chaise inconfortable ?
-Ils vont sûrement m’amener un petit lit ou quelque chose d’autre. Dors, ne t’inquiète pas.
Tu vois à son visage qu’elle est sceptique, mais Emily est trop fatiguée pour se disputer avec toi, alors elle ferme doucement les yeux pendant que tu tiens sa main droite et la caresses doucement avec ton pouce. Tu continues à la regarder alors qu’elle sombre un peu plus dans le sommeil. Lentement, tes paupières s’alourdissent et tu finis par poser ta tête sur le bord du lit tout en tenant la main d’Emily.
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JJ ouvre la porte de la chambre d’hôpital et trouve Emily paisiblement endormie et une femme inconnue à ses côtés. La brune ouvre les yeux en entendant la porte se refermer même si la blonde a fait attention à ne pas faire de bruit. Emily la salue silencieusement. Elle veut passer une main sur son visage pour se réveiller un peu plus, mais ton poids l’en empêche. Elle pose ses yeux sur toi et te secoue légèrement avec sa main sous ton corps. En te relevant de ta position quand tu es réveillée, son visage est la première chose que tu vois. Emily te fait un signe t’invitant à regarder derrière toi et tu découvres JJ. Sentant tes joues chauffées, tu te lèves et lui présentes ta main.
-Bonjour, je suis Y/N…, commences-tu avec une hésitation, l’amie d’Emily.
-JJ, je suis sa collègue, salue-t-elle en serrant ta main avant de se tourner vers Emily. On m’a dit qu’ils allaient vérifier une dernière fois que tout allait bien avant de t’autoriser à sortir. Tu veux que je te ramène chez toi comme c’était prévu ou peut-être que tu veux le faire, Y/N ? demande JJ et tu secoues la tête.
-Tu t’es déplacée exprès, je ne vais pas perturber toute votre organisation. Et puis, j’ai des cookies à faire de toute façon.
-Ses cookies sont les meilleurs, commente Emily.
-Je vais y aller, du coup, mais on se revoit tout à l’heure, informes-tu en prenant ton sac au pied de la chaise.
-Avec plaisir.
Automatiquement, tu embrasses la joue d’Emily et pars de la chambre. En refermant la porte, tes yeux s’ouvrent en grand, réalisant ce que tu viens de faire. De son côté, Emily a presque oublié de respirer, car elle ne s’attendait pas à ce touché plus qu’agréable.
-Oh, tu vas tellement tout me raconter dans la voiture, s’exclame JJ avec des yeux pétillants. 
Quand Emily peut rentrer chez elle, les deux femmes montent dans la voiture de JJ. Sur la route jusqu’à chez Emily, JJ attend avant de bombarder son amie de questions. Emily espère au fond d’elle qu’elle n’aura pas à parler de votre relation, ne sachant pas vraiment quoi dire. Après dix minutes à conduire, JJ finit par craquer.
-Bon, tu vas me dire ce qui s’est passé entre toi et ton “amie” Y/N ou pas ?
-Rien de spécial, ment Emily d’un air nonchalant.
-Tu dormais paisiblement à ses côtés et t’as arrêté de bouger la seconde où t’as senti ses lèvres sur ta joue. Quelque chose s’est passé entre vous deux.
-On est sorties ensemble il y a dix ans, c’est tout, explique Emily comme si c’était normal. 
-Ça a duré longtemps ?
-Cinq ans.
-Pourquoi vous vous êtes séparées ? questionne JJ, perdue. Parce que clairement vous avez toujours de l’affection l’une pour l’autre.
-A cause de mon job, dit-elle en se repositionnant sur son siège. J’étais toujours dans un autre pays ou sous couverture donc on ne pouvait pas se parler pendant des mois et les rares fois où je rentrais, son job lui prenait tout son temps. Ce n’était clairement pas idéal, comme situation. On s’aimait, mais ça ne fonctionnait pas alors on a préféré en rester là avant que notre relation se détériore. Je ne l’avais pas revue depuis notre séparation.
-Comment ça se fait qu’elle est venue te voir alors ?
-Je n’ai toujours pas changé mon numéro d’urgence. Au début, je n’osais pas le faire puis, j’ai fini par oublier et puis, avant hier, elle n’avait jamais été prévenue des autres fois où j’avais été blessée. Autant dire que je ne m’attendais pas à la voir hier, même si j’en suis plus contente, admet Emily en regardant par la fenêtre. 
-C’est ce que j’ai cru comprendre, même quand tu dormais, t’avais un sourire idiot sur le visage.
-C’est faux, s’offusque-t-elle en se tournant vers son amie.
-Je dis juste ce que j’ai vu.
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En fin d’après-midi, tu te rends chez Emily avec tes cookies dans tes mains. JJ t’ouvre la porte avec un grand sourire. Tu lui donnes un des deux tupperwares avec quelques-uns de tes gâteaux que tu as fait exprès pour elle. 
-Tu n’aurais pas dû, te remercie JJ, touchée par ton geste.
-Je suis sûre que depuis que tu travailles avec elle, tu la protèges un maximum quand vous travaillez, je me devais de t’offrir quelque chose en remerciement, explicites-tu avec un air sincère. 
-C’est un travail d’équipe. Dis-moi, tu pourrais rester avec Emily cette nuit ? Je dois rentrer m'occuper de mon fils. 
-Si ça ne dérange pas Emily, il n’y a pas de soucis.
-Je suis sûre que ça ne va pas la déranger, affirme-t-elle, confiante avant de récupérer ses affaires. Je te laisse la prévenir, je dois filer. Passez une bonne soirée.
JJ file en coup de vent alors que tu tentes de comprendre ce qu’il vient de se passer. Quand tu te remets de tes émotions, tu enlèves tes chaussures et tu retrouves Emily allongée dans son lit. Quand elle vous voit, toi et tes cookies, elle se relève légèrement et t’invite à t'asseoir à côté d’elle. Elle n’attend pas avant de manger tes cookies, fermant les yeux pour apprécier le goût.
-Mon dieu, ils sont encore meilleurs que dans mes souvenirs.
-Je t’avoue que j’ai eu le temps d’améliorer la recette depuis la dernière fois.
-Comment tu as pu le faire ? Elle était déjà parfaite à l’époque, interroge Emily, incrédule.
-J’ai juste ajouté un ingrédient secret.
-Peu importe ce que c’est, je valide. Où est JJ ?
-Elle a dû partir, car elle m’a dit qu’elle devait s’occuper de son fils, donc ça sera que toi et moi.
En entendant ta réponse, Emily fronce les sourcils. Elle sait que Will est à la maison et qu’il est plus que capable de s’occuper d’Henry. En réfléchissant un peu plus, Emily comprend que JJ a menti pour qu’elle puisse passer du temps avec toi. Elle se retient de lever les yeux au ciel et tente de la jouer cool.
-Oh, très bien, alors. Ça sera comme au bon vieux temps.
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Depuis ce soir-là avec Emily, tu l’évites. Tu sais que ce n’est peut-être pas la réaction la plus mature, mais tu ignores comment réagir. La soirée que vous avez passée ensemble était à la fois spéciale et ordinaire. Elle était spéciale, car c’était la première que tu étais seule chez depuis votre séparation. Mais elle était ordinaire, car vous aviez agi comme si vous n’aviez pas arrêté de vous parler ces dix dernières années. Contrairement à ce que vous pensiez, vos sentiments sont toujours présents et aussi forts. Tu as toujours su que tu aurais de l’affection pour Emily jusqu’à ton dernier souffle, mais tu peux dire sans te tromper que tu l’aimes encore. Tu as essayé de rien laisser paraître, mais Emily te connait par coeur. Tu espères juste qu’avec le temps, elle a oublié comment tu caches ce que tu penses, même si son métier de profiler l’avantage. Tu ne sais pas si elle a remarqué quelque chose, elle n’a rien dit. Si c’est le cas, elle n’a rien dit parce que, peut-être, malgré ce qu’elle peut ressentir pour toi, elle ne souhaite toujours pas être avec toi à nouveau. Tu ignores quelle est la réelle raison et tu ne veux pas la savoir, surtout si elle peut te briser le cœur. 
Par conséquent, tu as repris ta vie normale. Tu travailles, retournes dans ton appartement et regardes tes séries habituelles. Toutefois, quand tu es devant ton écran, ton esprit dérive trop souvent vers Emily, sans que tu le réalises. Tu luttes mentalement pour regagner le pouvoir sur tes sentiments. Tu ne peux pas te permettre de retomber dans ses bras, car elle ne te rattrapera pas. Tu dois faire ce que tu aurais dû faire depuis de nombreuses années : l’oublier. 
Tu rentres du boulot, fatiguée de ta journée. Tu n’as qu’une hâte, te mettre en pyjama et t’allonger sur ton canapé. Tu planifies mentalement ce que tu vas faire ce soir pour économiser un maximum de force. Cependant ta planification est arrêtée quand tu retrouves Emily frappant à ta porte. Tu marques un temps d’arrêt comme pour être sûre que tes yeux ne te jouent pas un tour. En t’entendant arriver derrière elle, Emily se tourne vers toi. Elle te fait un signe de sa main valide avant de sourire, gênée.
-Em, qu’est-ce que tu fais là ? Et comment t’as eu mon adresse ? J’ai emménagé ici il y a seulement six ans, questionnes-tu.
-Je travaille au FBI et avec une experte en informatique, c’était facile.
-Si je ne te connaissais pas, j’aurais peur d’être le sujet d’une de tes futures enquêtes avec ce que tu viens de me dire.
-Désolée, je voulais pas que ça paraisse bizarre, ajoute-t-elle, embarrassée. 
Tu balayes l’air de la main pour signifier que ce n’est pas grave.
-Du coup, qu’est-ce que tu fais ici ? Et tu vas mieux ? Tu ne devrais pas te reposer plutôt que rester debout ici, à m’attendre ?
-Je vais mieux, ne t’inquiète pas. Je ne peux pas encore travailler, soupire-t-elle en montrant son écharpe, mais au moins, je peux bouger. Je voulais qu’on parle. Depuis la dernière fois, on ne s’est pas reparlées et tu n’as pas répondu à mes appels.
-J’étais occupée avec le travail, je m’excuse.
-Je ne peux pas te blâmer pour ça, t’assure Emily avant de plonger son regard dans le tien. Ecoute, je… Je sais que si on s’est séparées c’est pour une raison, mais tu ne peux pas nier que lorsqu’on s’est vues, il y a eu quelque chose. Pendant un moment, j’ai presque oublié qu’on n’avait pas été ensemble pendant dix ans. Y/N, je sais que mon métier me fait encore aller à droite, à gauche, mais au moins je reviendrai toujours ici et je n’ai plus à faire de missions sous couverture. Je pourrai vraiment revenir à la maison, à toi. Je ne demande pas qu’on se remette ensemble tout de suite, on pourrait y aller doucement, réapprendre à se connaître, voir comment notre relation évolue, mais je ne veux pas te voir partir à nouveau, avoue-t-elle en prenant ta main avec son bras droit. Le jour de notre séparation a été le pire. Même si c’était ce qu’il y avait de mieux à faire à l’époque, j’ai détesté chaque seconde. Je ne pensais pas que j’aurais l’occasion de te revoir un jour et quand tu as passé la porte de la chambre d’hôpital, j’ai cru rêver. Je ne sais pas si tu tiens à moi autant que je tiens à toi, mais si c’est le cas, j’aimerais qu’on se laisse une nouvelle chance. Je t’aime toujours Y/N.
Emily lâche ta main pour caresser ta joue. Ton cœur loupe un battement pendant que tu te remets de tes émotions. Quand tu réalises que ce qu’elle a dit est réel, un sourire attendri prend place sur ton visage.
-Je t’aime toujours aussi, Emily.
Sans réfléchir, Emily se jette dans tes bras et t’embrasse avec fougue. Tes mains se perdent dans ses cheveux, voulant la rapprocher le plus de toi. Ses lèvres t’avaient tant manqué ! Tu te demandes comment tu as bien pu faire ces dernières années sans les sentir contre les tiennes. Emily approfondit un peu plus le baiser jusqu’à ce que vous manquiez d’air. Vous vous séparez à peine, vos fronts continuant à se toucher. Vous vous regardez avec amour, contentes de pouvoir enfin être dans les bras de l’une de l'autre, après tant d’années.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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eilosyne · 1 year
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Je suis un hématome parfumé d'espoir, mais quel est mon but ?
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xkiitii · 1 year
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✯ Soumission#2 ✯
In this pack you have :
4 poses for female
To use it in game you need :
Pose player [ ♡ ]
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frenchdrarry · 1 year
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Draco mit une potion anti-douleur dans le verre et quelques gouttes de renforcement osseux. Le liquide tourna au vert pâle, comme d’habitude. Il faisait ce mélange tellement de fois qu’il n’avait même plus besoin de dire à Harry ce qu’il y avait dans le verre.
—Tiens, bois…ça.
Draco sentit sa respiration se couper. Harry était déjà en train de le fixer. Ses grands verts semblaient le brûler sur place. Avec ses mèches désordonnées, l’éclair qui déchirait son front, ses lunettes fêlées et sa repousse de barbe qui cachait à moitié un méchant hématome sur la joue droite, il avait l’air incroyablement sauvage. L’air devint soudainement électrique. Tout son corps semblait répondre à l’énergie explosive que dégageait Harry.
—Merci, répondit ce dernier d’une voix basse.
Il prit le verre, ses doigts abîmés frôlèrent la peau de Draco. Le blond inspira soudainement, incapable de se retenir. Son cœur battait la chamade. Il regarda les mains de Harry — des mains larges, des doigts étonnamment longs, des phalanges abîmées et encore une cicatrice blanche, cette fois-ci auto infligée. L’écriture de Harry était encore nette. Le brun porta le verre à ses lèvres, Draco suivit sa pomme d’Adam tandis qu’il buvait l’horrible texture comme si c’était de l’eau. Il essuya ses lèvres d’un revers de main. La gauche. Le mouvement rapide faisait qu’il ne vit qu’un bref éclair d’or, faisant ressembler son alliance à un vif.
—Harry, appela Draco.
Sa propre voix le surprit. C’était bien trop rauque. Chargé de désir. Il était déjà en train de se demander s’il pouvait vraiment faire l’amour avec Harry malgré ses blessures. Draco observa les pupilles de Harry s’assombrirent autant que les siennes. Pourtant, le connard ne pouvait pas s’empêcher d’être narquois.
—Quoi ?
Avec ce putain de sourire. Comme s’il ne savait pas. Draco voulait lui arracher ce putain de sourire. Avant qu’il n’y pense, une main empoigna son col et il fut écrasé contre les lèvres de Harry. C’était un baiser dur, féroce, pressé. Draco ne perdit pas une seconde, ses mains semblaient avoir leur vie propre quand il s’agissait d’empoigner les cheveux de Harry. Il ouvrit la bouche, se sentit nettement bander, s’approcha encore de Harry. Il voulait se coller à lui, se fondre en lui, il le voulait maintenant. Harry avait son autre main sur sa taille, ses hanches, ses reins : il semblait vouloir couvrir tout le périmètre et Draco n’y tint plus.
Par une force mentale qu’il ignorait posséder, il abandonna les lèvres de Harry.
—Harry, lève-toi. On va dans la chambre.
—J’peux pas. On le fait ici.
Il n’avait pas tort : toute sa jambe gauche était fracturée. Elle était douloureuse juste à regarder. De plus, l’offre étant tentante : Harry était sur le fauteuil et ils avaient déjà fait l’amour sur ce fauteuil. Draco pouvait très bien se déshabiller et chevaucher Harry jusqu’à ce que mort s’en suive, mais avec ses blessures, il avait peur de lui faire mal. Le lit semblait plus sécuritaire.
—Appuie-toi sur moi, je te porte jusqu’à la chambre.
—Tu ne vas pas me porter, Draco.
—Tu paries que si, putain. Lève-toi, ordonna-t-il.
Sa patience n’avait jamais été très longue, mais là, elle était carrément inexistante. Il voulait Harry, maintenant. Sa voix ressemblait à un orage. Ses yeux aussi. Harry, pour une fois, obtempéra rapidement et noua ses bras autour des épaules de son mari avant de mettre son pied droit au sol, puis se propulser pour se mettre debout à une jambe. Il grimaça, ce que nota Draco, mais ne dit aucune exclamation de douleur, signe que la potion fonctionnait. Le blond passa ses bras sous les fesses de Harry et le souleva en même temps que Harry enroula sa jambe droite autour de sa taille. Ils réussirent du premier coup et Draco vérifia bien que sa jambe fracturée ne touchait pas le sol et était toujours droite avant d’avancer. Il bénit une énième fois le fait d’être plus grand que Harry et se dépêcha.
Il n’était pas romantique, il était pragmatique. D’habitude, c’est Harry qui le portait. Merde, Draco n’était pas sans force, mais de là à porter un type adulte aussi âgé que lui et plus lourd, il y avait un monde. Il se dépêcha de faire les pas jusqu’à la chambre et balança Harry sans vergogne, ne faisant attention qu’à sa jambe.
—J’aimerais me plaindre de cette arrivée.
—Profites-en tant que je reprends mon souffle.
—Je ne sais pas si je dois me moquer ou être vexé.
Un petit sourire arrogant franchit les lèvres du blond tandis que Harry en profitait pour enlever son t-shirt.
—Pressé, Potter ?
—Bien sûr. C’est à moi de te soulever, répondit-il avec un sourire goguenard. J’espère que je ne serais pas aussi essoufflé que toi.
Quel bâtard. Draco sourit comme un fou et prit à son tour place sur le lit avant d’embrasser Harry, le poussant pour le plaquer contre le matelas et enjamber sa taille sans toucher sa jambe. Il sentit sa bite palpiter sous ses fesses et il s’ôta du baiser pour provoquer son mari. Lèvres contre lèvres, il murmura d’un ton défiant, presque moqueur :
—Nous allons vérifier ça tout de suite, n’est-ce pas ?
Déjà, des mains s’infiltraient sous sa chemise.
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