Tumgik
#Isabelle Chasse
may8chan · 9 months
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Martyrs - Pascal Laugier 2008
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raisongardee · 1 month
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"Les jugements de valeur de l’aristocratie guerrière supposent une puissante constitution physique, une santé florissante et débordante, avec tout ce qui est nécessaire à sa conservation, à savoir : la guerre, l’aventure, la chasse, la danse, les compétitions et d’une façon générale tout ce qui suppose une activité robuste, libre et joyeuse."
Friedrich Nietzsche, La généalogie de la morale, trad. Isabelle Hildenbrand et Jean Gratien, 1887.
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oneiric-misfit · 7 months
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Serie Masterlist / Masterlist
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Résumé : "Et quand il posa son regard sur elle, il sut. Inévitablement, indéniablement, il sut. Comme il savait que le soleil se levait chaque matin, comme il savait que la lune brillait chaque et que le printemps succédait à l'hiver. Il sut, qu'il mourrait pour elle. Et quand elle le regarda, elle sut. Indubitablement, incontestablement. Jusqu'à ce que le soleil ne se lève plus sur leur monde, jusqu'à ce que les étoiles se meurent et que l'hiver soit éternel. Elle sut, qu'elle vivrait pour lui."
Mots : 3,5k
TW : Violence, angoisses, chasse.
Tags : Soulmate, enemy to lovers, second chance, smut.
Rating : Explicit / 18+
Partie 3
Inan sella sa monture, il passa une main sur la robe isabelle de la jument, tapotant son encolure. Elle avait eu beaucoup de mal à s’habituer à la chaleur, il sentait qu’elle commençait à peine à s’y adapter. Les écuyers l’avaient prévenu qu’il serait plus intéressant pour lui d’acquérir un cheval directement à Dorne, plutôt que de se borner à vouloir faire venir sa propre monture. Il se rendait compte à présent, quand il voyait les difficultés d’adaptation qu’avait eu l’animal, à quel point il avait été égoïste. Il était parvenu à se convaincre qu’il avait fait cela pour elle, pour ne pas la laisser seule, mais à présent il ne se voilait plus la face, il savait très bien qu’il l’avait fait pour lui. Cette jument était le seul être vivant à avec lequel il avait créé un lien depuis des années, et il ne s’était pas senti près à la laisser à port réal. Elle se serait sans doute épanouie de la même manière sans lui, il n’était pas dupe. Sa poitrine se serra, comment pouvait-il prétendre avoir de l’affection pour elle, quand il la contraignait à être à un endroit où elle ne désirait pas être dans le seul but d’être près de lui ? La jument cogna doucement sa tête contre son épaule, lui demandant une caresse. Il commença à gratter le front de l’animal quand il entendit Oberyn s'approcher. Sans un mot, Inan glissa son pied dans l'étrier et se hissa sur la selle. Ignorant les salutations du prince, il resta immobile jusqu'à ce que ce dernier ai fait de même. Il poussa sa jument à la suite de son étalon, se dirigeant vers la sortie du palais. 
Il croisa le regard colérique de Ser Gulian, à qui il fit un clin d’œil provocateur. Il ne le supportait pas. Il faisait partie de la garde rapprochée du prince Oberyn, les deux semblaient proches. Inan n’avait que faire de ce que le prince faisait pendant ses temps libres et ses nuits, mais il ne supportait pas l’attitude de Gulian envers lui. Il n’avait pas demandé à devenir la nouvelle obsession du prince, si Gulian n’était pas capable de faire la part des choses c’était son problème, mais qu’il lui lâche le plastron. Il était de très mauvaise humeur ce matin, l’invitation d’Oberyn à aller chasser y était pour beaucoup, mais le regard de Gulian avait achevé la probabilité qu’il puisse recouvrer une humeur joyeuse. 
- Tu es bien silencieux aujourd’hui. 
Les mot d’Oberyn le sortirent de ses pensées et Inan poussa un soupir agacé, lui répondant du ton le plus plat qu’il pouvait utiliser. 
- Je ne me rappelle pas avoir déjà fait preuve de lalomanie en votre présence. 
- Effectivement, je ne te caractériserais pas de bavard, mais tu n’as pas émis un son depuis notre départ. 
- Je préfère rester sur mes gardes. 
- Ser Inan serait-il paranoïaque ? Je te répète que je souhaitais tester tes qualités de chasseur.  
Inan fit ralentir sa monture pour ne plus être dans le champ de vision du prince. Sa motivation à se trouver en la présence d’Oberyn était proche de zéro. Son rôle à Dorne devait être de protéger la princesse, et depuis des semaines, il faisait tout, sauf protéger Myrcella. Il était bien entendu de plus en plus évident que la princesse n’avait pas besoin de protection au sein du palais, les Martell étaient de confiance, même s’ils avaient la famille Lannister en horreur, il était persuadé qu’ils ne s’en prendraient jamais à une enfant. Certes, il n'était pas utile pour lui d’être constamment présent auprès de Myrcella, mais il ne trouvait aucune utilité à être en présence d’Oberyn, à chasser de toutes les activités qu’ils auraient pu faire. Il posa pied et attacha sa jument à côté de la monture du prince. Oberyn le devança et s’enfonça dans une forêt de chêne vert et de caroubier, les semelles d’Inan firent crisser la terre rocailleuse. Il finit par s’avancer au même niveau qu’Oberyn, et fut ravie de constater que la discrétion que requière la chasse plongeait le prince dans un mutisme plus qu’appréciable. Son regard dériva malgré lui de l’air soucieux d’Oberyn jusqu’à ses lèvres qu’il détailla rapidement, avant de le laisser glisser sur l’ensemble de son visage. Était-il envisageable qu’il le trouve encore plus séduisant que lors de leur première rencontre ? Il n’aurait jamais pensé cela possible, à l’époque il l’avait déjà trouvé parfait, sous son air arrogant et ses mots tranchant. 
- Tu sais que je vois, quand tu me dévisages ? 
Inan s’arrêta de marcher un instant, puis rattrapa les quelques pas qui le séparaient du prince. Il resta silencieux, ne préférant pas répondre, ses mâchoires s’étaient contractées sans même qu’il ne s’en aperçoive. Le phrase que le prince venait de prononcer raisonna encore un instant dans son esprit, scellant la douleur déjà présente dans sa poitrine. Il mordit l’intérieur de sa joue. 
Oberyn lui fit bientôt signe de s'accroupir. Un koudou était en train de paître paresseusement non loin d’eux. Une femelle. Oberyn arma sa lance et la projeta vers l'animal. Elle s’enfonça proprement en pleine poitrine et la bête s’effondra sans un bruit. Inan le suivit en silence et le regarda ôter la lame de la chair de l’animal. Tandis qu’Oberyn nettoyait la lame de sa lance, Inan glissa ses doigts contre l’encolure du koudou. Il détestait la chasse, il n’y avait jamais rien vu de noble. Il ne comprenait pas l’intérêt de d’acculer une bête innocente, de l’effrayer, la blesser pour qu’un seigneur puisse se targuer de l’avoir abattu. Il sentit l’épaule d’Oberyn frôler la sienne. Il s’était accroupi à son tour, posant sa paume sur la tête de l’animal. Il l’observa tandis qu’il glissait également sa main sur l’encolure du koudou, murmurant des remerciements à l’animal. Il sentit la main d’Oberyn frôler, puis se poser sur la sienne. Ils se redressèrent en même temps.Vous ne lui avez laissé aucune chance. 
Les mots d’Inan franchirent ses lèvres avec douceur, son regard s’attardant sur les yeux d’onyx d’Oberyn.
-Peut-être aurait-elle dû se montrer plus prudent ? Je ne suis pas du genre à hésiter. 
Oberyn s’approcha un peu plus d’Inan, il sentait presque la chaleur de son corps, son parfum d’oud et de myrrhe.  
-Plutôt du genre à tuer une bête innocente. 
Il sentit le prince faire mine de glisser ses doigts dans son dos, s’approchant encore un peu plus de lui.
-Seulement si cela est une nécessité. 
Inan perdit un instant son regard dans celui d’Oberyn, dans cette lueur malicieuse qui n’avait de cesse de faire vibrer son cœur.  
-Quelle nécessité y avait-il aujourd’hui ? 
Il ne lui répondit pas, se contentant de s’approcher un peu plus de lui. Pourquoi est-ce qu’il ne bougeait pas ? Pourquoi est-ce qu’il le laisser s’approcher encore ? Il n’était pas certain de vouloir obtenir une réponse à cette question. Et tandis qu’il perdait son regard dans le sien, Inan entendit un bruit discret dans les fourrés, se situant derrière le prince, il vit quelque chose se mouvoir près du sol. 
- Oberyn ! 
Inan le poussa fortement sur le côté tous en sortant son épée de son fourreau et plaça la paume de sa main en appuie entre son sternum et le pommeau, son autre main agrippant fermement la garde. Le lion était déjà sur lui et il le laissa s'empaler lourdement sur l'arme. Il le poussa sur le côté, se dégageant. Il se redressa brusquement et attrapa Oberyn par les épaules, l'air paniqué. 
- Est ce que vous allez bien ? Vous n'êtes pas blessé ? 
Oberyn se mit à sourire et glissa sa main contre le bras d’Inan, il l'attira fortement à lui en tirant sur son plastron, son visage proche du sien, son regard malicieux posé sur ses lèvres, un sourire narquois déformant les siennes. 
- Tu viens de te jeter sous un lion et tu me demandes si je vais bien ? 
Inan s'écarta brusquement, faisait un pas en arrière, il reprit son souffle. 
- Je suis désolé, c'était inapproprié. 
- Tu viens de me sauver la vie. 
Inan redressa la tête, toujours haletant.
- Non, je pense que je vous ai épargné une blessure mais vous l'auriez rapidement abattu ou mit en fuite. 
Oberyn affichait toujours un sourire satisfait, il fit un pas en avant, ses mains derrières son dos. 
- Tu viens de tuer un lion pour me sauver, d'aucun y verrait une métaphore... Intéressante. 
Inan fit un nouveau pas en arrière, les sourcils froncés, il leva les yeux au ciel. 
- Je ne vois nulle métaphore, seulement un homme imprudent qui s'est laissé prendre par surprise. 
Plus Oberyn approchait, plus Inan reculait, si bien que son dos rencontra rapidement l’écorce raiche d’un caroubier, et il osait traiter le prince d’imprudent. 
-Ai je l'air d'être imprudent ? 
- Oui. Ne pas se méfier d'un lion sur son propre terrain de chasse est imprudent. 
- Mais tu gardais mes arrières, n'est-ce pas ? 
Oberyn glissa sa main contre l’écorce de l’arbre, la positionnant au-dessus de la tête d’Inan, se penchant légèrement en avant. Inan dû fournir un effort conscient pour déglutir et reprendre son souffle avant de répondre.  
- Vous ne me connaissait pas, j'aurais très bien pu laisser le lion vous dévorer. Personne n'aurait su que je l'avais vu. 
- Mais tu ne l'as pas fait. Tu n'as pas hésité un seul instant, tu as mis ta vie en danger pour moi, et ne me dis pas qu'il s'agit d'un réflexe de chevalier. Mais je répète ma question, ai-je l'air d'être imprudent ? 
Inan sentit son corps se figer et soudainement les liens se firent dans son esprit, il chercha le regard d’Oberyn. 
- Vous saviez qu'il était là ? Le lion ?
- Ai je l'air d'être du genre à me laisser prendre par surprise par un lion, sur mes terres ? 
Oberyn s’approcha une nouvelle fois, et Inan fronça les sourcils. 
- Mais pourquoi...
- Il y a quelque chose qui me perturbe chez toi, Inan. Je trouverais quoi, je te le garantis. Tu m'es hostile, et pourtant aujourd'hui tu as risqué ta vie pour la mienne sans aucune hésitation. Je vais être honnête, je m'attendais à ce que tu le laisses m'attaquer. 
Inan sentit la morsure caractéristique de la colère lui bruler le visage. 
- Alors pourquoi avoir pris le risque ! 
- Pourquoi est-ce que cela te met en colère ? 
Le fait qu’Oberyn le verbalise permit à Inan de prendre conscience du sentiment qui enflait en lui. Il n’était pas en colère, il était en rage. Il en voulait à Oberyn de s’être mit en danger. Il s’était inquiété pour lui, il n’était pas en colère. Il avait peur.  
- Vous êtes dément. Vous venez de vous mettre en danger seulement pour savoir si vous pouviez me faire confiance ! 
- Tu l'as dis-toi même, je l'aurais maitrisé. 
Inan croisa les bras, verrouillant son regard à celui d’Oberyn. 
- Pas sans risque. 
- Le risque... N'est-ce pas ce qui rend la vie excitante. 
- La vie n'est excitante que si l'on est vivant pour en profiter. 
Oberyn se mit à rire, ce rire chantant qui lui était caractéristique, celui qui faisait trembler Inan jusque dans ses os. Il glissa le dos de ses doigts contre la joue d’Inan avant de s’éloigner. 
- Les autres ont raisons, ce que tu peux être coincé. 
Il était dangereux, et chaotique. Il prenait des risques inconsidérés. Inan ne pû s’empêcher de ressentir une pointe d’admiration grandir dans sa poitrine, mais l’inquiétude prit rapidement le dessus. 
-Tu n’as pas répondu, pourquoi est-ce que cela te met en colère ? 
-Je trouve simplement cela idiot. Si vous permettez, je vais attacher le koudou à ma jument. 
-Je t’en prie, attache-la à mon étalon. 
Inan passa les portes de la muraille du palais vieux sur sa jument, trainant le corps du jeune lion derrière lui. Il n’était pas ravi d’être celui qui ramenait un lion mort dans l’enceinte de Lancehélion, et vu le regard que lui portait Myrcella, elle non plus. 
Un festin eu lieu ce soir-là, et Inan se sentit rapidement dépassé par les évènements. Des gens le célébraient pour sa force et sa bravoure, pour avoir protégé le prince Oberyn, et d’autres été clairement heureux d’être en présence d’un Ouestien ayant tué un lion. Oberyn avait raison, et il n’était pas le seul à y voir une métaphore intéressante. Il souffla lourdement avant de se diriger vers la sortie, mais fut bloqué par Oberyn qui appuya son épaule de manière nonchalante sur l’encadrement de la porte, un verre de vin à la main. 
-Tu pars déjà ? 
-Je ne suis pas friand des soirées animées. 
-Qu’est-ce que tu dirais d’une soirée un peu plus privée, dans ce cas ? 
-Je ne suis pas certain de comprendre où vous voulez en venir. 
-Tu sais où se trouve mes appartements, vas-y, je t’y rejoindrais. 
Oberyn ne lui laissa pas le loisir de répondre, il s’était déjà éclipsé pour reprendre le cours de sa soirée. S’il pensait qu’il allait se diriger vers ses appartements, il se fourvoyait lourdement. Inan se rendit jusqu’à la tours soleil, et monta les marches. Quand il arriva à l’étage des appartements princier il hésita. Il arrêta de réfléchir et s’élança vers la porte. A l’instant où il l’ouvrit il regretta son geste. Il allait sortir de la pièce quand une voix le stoppa. 
-Alors c’est toi que je dois remercier pour le retour de mon amour en pleine santé ? 
Ellaria Sand se trouvait dans un fauteuil, il ne l’avait pas vu au premier abord. Inan n’allait pas mentir, elle était impressionnante. Elle dégageait un charisme et une assurance inégalable, quelque chose le mettait mal à l’aise, il n’arrivait pas à mettre le doigt dessus. 
-Il semblerait. 
Il finit par entrer pour de bon dans la pièce. La sensation était étrange, il ne se sentait absolument pas à sa place, ce lieu était le leur, il n’avait rien à y faire. 
-Oberyn t’a demandé de venir ici, n’est-ce pas ? 
-Il semblerait. 
-Pourquoi as-tu accepté ? 
-Tu as bien vu, j’allais repartir. 
-Il m’a dit que tu avais tendance à ne pas répondre aux questions ! 
Ellaria l’invita à s’assoir. Sa position souple sur son fauteuil, ses pieds nus sous son corps détendu et sa robe diaphane contrastait avec le dos droit, le corps rigide et vêtu d’une armure d’Inan. L’instant était lunaire, il devrait être en compagnie d’Oberyn dans sa suite, ce qui déjà était irréaliste, et il se retrouvait dans une chambre, seul avec Ellaria. Elle lui tandis un verre de vin. Il en bu une gorgée en silence. 
-Je crois que tu lui plais. 
Inan s’étouffa presque dans sa gorgée de vin et la regarda, les yeux écarquillés. 
-Je te demande pardon ?
-Oh tu m’as très bien comprise. Cela dit, cela ne me déplait pas, j’avoue que l’idée de partager notre lit avec un bouclier lige me plait bien. 
Inan sentit un frisson glacial et désagréable lui parcourir le dos, la sensation d’être dos au mur, en cage. Ses muscles se raidirent et sa bouche sembla sèche soudainement, son cœur battant plus vite dans sa poitrine. Il posa son verre de vin sur la table et se redressa. Ellaria posa sa main sur la sienne. 
-Je te taquine. Je te promets que ce n’est pas un piège dans ce genre. A moins que tu en ai envie ?
-Je ne suis pas là pour ça. 
-Alors pourquoi es-tu là ?
-Parce qu’il m’a demandé de venir. 
-Et tu ne t’es pas posé la question de savoir ce qu’il voulait en te demandant ça ? 
-Peut-être aurais-je dû, en effet. 
Inan se rassit et reprit une gorgée de vin.  
-Depuis combien de temps, es-tu chevalier ? 
Il la regarda longuement et soupira. 
-17 ans. 
-Cela a toujours été une vocation ? J’avoue que je ne comprendrais jamais comment on peut renoncer si facilement à sa liberté. 
Inan regarda sa coupe de vin un instant, puis se resservit. Il fit tourner le liquide grenat dans son verre. 
-Non, cela n’a pas toujours été une vocation. J’avoue ne pas avoir eu d’autre choix. 
-Et que voulais tu faire ? 
Inan redressa son visage et plongea ses yeux dans ceux d’Ellaria. Une douceur étrange émanait d’elle. Quelque chose de familier, quelque chose qui lui intimait qu’il pouvait lui faire confiance. 
-Être libre. 
-Et pourtant tu portes une armure. 
Il ne s’était pas aperçu, d’à quel point le métal lui comprimait la poitrine avant qu’elle ne le lui dise. Par moment il se sentait nu sans elle, et par moment, il se sentait prit au piège, à l’étroit. Il n’avait qu’une envie, c’était de l’arracher. Il se redressa et détacha son plastron, qu’il posa prêt de son fauteuil, avec son épée et ses jambières. Il inspira profondément et se rassit, glissant une jambe sous son corps.
-Comment un homme qui désire à ce point être libre finit par passer sa vie à obéir aux ordres ? 
-C’est un mystère auquel vous n’aurait pas de réponse ce soir, je le crains. 
Un bruit de bois fit sursauter Inan, la porte s’ouvrit soudainement. 
-Je vois que tu t’es mis à l’aise. 
La voix d’Oberyn le fit frissonner, son cœur s’affola une nouvelle fois, accompagné d’un sentiment de malaise. Inan se redressa brusquement, faisant mine de ramasser son armure. 
-Je devrais vous laisser. 
-N’attendais-tu pas après lui ? 
Il se retourna vers Ellaria et la dévisagea. Ils n’étaient pas ensemble pour rien ces deux-là. Il soupira et s’assit. 
-De quoi parliez-vous ? 
-De liberté. 
Oberyn se mit à rire et attrapa un verre de vin sur son passage, qu’il remplit jusqu’au bord. Il embrassa Ellaria avec passion et sa laissa tomber sur un des fauteuils, glissant sa main dans une coupe de fruit. 
-Intéressant, je serais curieux de savoir ce qu’un homme pour qui le risque rend la vie dangereuse pense de la liberté. 
Inan perdit une nouvelle fois son regard dans son verre. 
-Disons qu’enfant je pensais qu’être un homme m’aiderait à me libérer de mes chaines, il s’est avéré que j’ai troqué des chaines contre d’autres. Ce que je pense de la liberté, c’est qu’elle n’est qu’illusion. 
Oberyn le regarda un instant, semblant perdu dans ses pensées. La remarque qu’il fit se voulait sarcastique, mais la lueur dans son regard montrait quelque chose de différent. 
-Inan, tu as ce don si précieux de rendre chaque instant un peu plus monotone. 
-Je le trouve intéressant, personnellement. 
Ellaria ne détachait pas son regard du sien, il la regarda un instant et soupira avant de se redresser pour sortir de la chambre. 
Inan était sur le chemin du retour quand il sursauta en croisa Septa Églantine. Comment pouvait-on être aussi effrayante ? Se déplaçait-elle dans les murs pour apparaitre subitement de cette manière ? Et surtout depuis combien de temps attendait-elle ?
-Ser Inan. Puis je vous parler ? 
-Septa Aubépine. Ne devriez-vous pas être couché à cette heure ? Vous comptez me suivre quoi que je réponde, je vous en prie, ne vous privez pas. 
-Églantine ! S’indigna la vielle femme comme à chaque fois. Je trouve votre comportement indécent. Vous êtes bien trop proche des dorniens ! 
-Et ? Ne sommes-nous pas ici pour des raisons diplomatiques ? 
-Vous êtes ici pour surveiller la princesse. Je ne pense pas que vous acoquiner avec le prince Oberyn, qui se trouve être ouvertement hostile la maison Lannister vous aide dans cette mission. Ni de rentrer ostensiblement de la chasse avec un lion mort à vos côtés ! 
-Effectivement, c’est indigne de ma position de chevalier, je ne savais pas qu’il était dans vos prérogative de Septa de me rappeler le cadre de mon poste. 
-Et que dira le roi Joffrey, quand il apprendra que vous avez tué un lion et vous en êtes réjoui entouré de Dorniens ? Il n’est pas très indulgent en ce qui concerne les traitres !
Inan lui sourit et maintint son regard. 
-Je ne sais pas, que dira-t-il, quand il apprendra que sa jeune sœur passe son temps à se promener dans le palais et ses jardins en compagnie de son promit plutôt que de suivre vos préceptes ? 
-Vous n’oseriez pas ! 
-Non, bien sûr que non. Je sais m’occuper de ce qui m’incombe, et je sais qu’il en est de même pour vous. Sur ce, bonne nuit, Septa Aubépine. 
Chapitre 4 : La bête qui sommeille
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hcdahlem · 10 days
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L'enfant rivière
Le jour où leur fils Nathan a disparu, la vie de Zoé et Thomas a basculé. Un drame qui va permettre à Isabelle Amonou de nous offrir un roman très noir, une quête insensée et une réflexion sur l'identité et les origines, dans un monde hostile.
En deux mots Zoé chasse les enfants de migrants pour les remettre aux autorités. En parcourant la contrée, elle espère pouvoir retrouver son fils Nathan qui a disparu depuis six ans. Ce drame a fait fuir son mari Thomas qui revient au Canada pour enterrer son père. Et retrouver celle qui veut croire au miracle. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique À la chasse aux enfants Le jour où leur fils…
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movienized-com · 16 days
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Chasse gardée
Chasse gardée (2023) #FrédéricForestier #AntoninFourlon #DidierBourdon #ThierryLhermitte #HakimJemili #CamilleLou Mehr auf:
Jahr: 2023 Genre: Comedy Regie: Frédéric Forestier, Antonin Fourlon Hauptrollen: Didier Bourdon, Thierry Lhermitte, Hakim Jemili, Camille Lou, Julien Pestel, Isabelle Candelier, André Penvern, David Salles, Chantal Ladesou, Guillaume Bouchède, Théo Gross, Jean-François Cayrey, Séverine Warneys … Filmbeschreibung: Entschlossen, ein neues Leben in der Nähe der Natur zu führen, zieht ein Pariser…
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alexlacquemanne · 9 months
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Juillet MMXXIII
Films
Indiana Jones et le Cadran de la destinée (Indiana Jones and the Dial of Destiny) (2023) de James Mangold avec Harrison Ford, Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, John Rhys-Davies, Thomas Kretschmann et Boyd Holbrook
Un mariage de rêve (Easy Virtue) (2008) de Stephan Elliott avec Jessica Biel, Ben Barnes, Kristin Scott Thomas, Colin Firth, Kimberley Nixon, Katherine Parkinson et Kris Marshall
Douze Heures d'horloge (1959) de Géza von Radványi avec Lino Ventura, Laurent Terzieff, Hannes Messemer, Eva Bartok, Lucien Raimbourg, Suzy Prim, Gert Fröbe et Guy Tréjan
Dies iræ (2003) d'Alexandre Astier avec Tony Saba, Thomas Cousseau, Lionnel Astier, Alexis Hénon, Nicolas Gabion, Franck Pitiot, Jean-Christophe Hembert, Alexandre Astier, Jean-Robert Lombard et Jacques Chambon
La Vérité sur Bébé Donge (1952) d'Henri Decoin avec Jean Gabin, Danielle Darrieux, Gabrielle Dorziat, Claude Génia, Marcel André, Jacques Castelot et Daniel Lecourtois
Sorcerer (1977) de William Friedkin avec Roy Scheider, Bruno Cremer, Francisco Rabal, Amidou, Ramon Bieri, Peter Capell, Karl John et Friedrich von Ledebur
La moutarde me monte au nez (1974) de Claude Zidi avec Pierre Richard, Jane Birkin, Claude Piéplu, Jean Martin, Danielle Minazzoli, Vittorio Caprioli, Julien Guiomar et Henri Guybet
Mission impossible : Dead Reckoning, partie 1 (Mission: Impossible – Dead Reckoning Part One) (2023) de Christopher McQuarrie avec Tom Cruise, Simon Pegg, Rebecca Ferguson, Ving Rhames, Vanessa Kirby, Hayley Atwell et Pom Klementieff
Demain ne meurt jamais (Tomorrow Never Dies) (1997) de Roger Spottiswoode avec Pierce Brosnan, Jonathan Pryce, Michelle Yeoh, Teri Hatcher, Ricky Jay, Götz Otto et Joe Don Baker
Plus dure sera la chute (The Harder They Fall) (1956) de Mark Robson avec Humphrey Bogart, Rod Steiger, Nehemiah Persoff, Mike Lane, Jan Sterling et Max Baer
La Guerre des polices (1979) de Robin Davis avec Claude Brasseur, Claude Rich, Marlène Jobert, Georges Staquet, Jean-François Stévenin, Étienne Chicot, David Jalil, Gérard Desarthe, Jean Rougerie et Jean-Pierre Kalfon
Oppenheimer (2023) de Christopher Nolan avec Cillian Murphy, Emily Blunt, Matt Damon, Robert Downey Jr., Florence Pugh, Josh Hartnett, Casey Affleck, Rami Malek et Kenneth Branagh
L'Odyssée de Pi (Life of Pi) (2012) d'Ang Lee avec Suraj Sharma, Irrfan Khan, Ayush Tandon, Tabu, Adil Hussain, Ayan Khan, Vibish Sivakumar et Rafe Spall
L'Histoire d'Adèle H. (1975) de François Truffaut avec Isabelle Adjani, Bruce Robinson, Sylvia Marriott, Joseph Blatchley, Ivry Gitlis et Ruben Dorey
Meurs un autre jour (Die Another Day) (2002) de Lee Tamahori avec Pierce Brosnan, Halle Berry, Toby Stephens, Rosamund Pike et Rick Yune
La Tulipe noire (1964) de Christian-Jaque avec Alain Delon, Virna Lisi, Dawn Addams, Akim Tamiroff, Adolfo Marsillach, Robert Manuel et Francis Blanche
Séries
Friends Saison 10
Celui qui n'arrivait pas à se confier - Celui qui allait très bien - Celui qui avait décidé de bronzer - Celui qui transformait le gâteau d'anniversaire - Celui qui écrivait une lettre de recommandation - Celui qui a failli avoir la subvention - Celui qui bluffait l'assistante sociale - Celui qui ratait Thanksgiving - Ceux qui rencontraient la mère biologique - Celui qui se faisait coincer - Celui qui trahissait le pacte - Celui qui jouait le rôle du père - Celui qui baragouinait - Celui qui n'aimait pas la maison - Celui qui faisait tout pour retenir Rachel - Celui qui n'aimait pas les adieux - Ceux qui s'en allaient
Inspecteur Barnaby Saison 10
Danse avec la mort - L'Oncle d'Amérique - La Chasse au trésor - Le Blues de l'assassin - Le Flash de la mort - Le Télescope de la mort
Coffre à Catch
#122 : Finlay prend la trique et Ichtou jette l'éponge ! - #123 : Finlay à domicile pour le titre ECW ! - #124 : Les Survivor Series : Des bangers en veux-tu en voilà! - #125 : Beliaroth INFILTRE l'Univers d'Agius! - #126 : MVP et Matt Hardy: de partenaires à adversaires !
Kaamelott Livre I
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Affaires Sensibles
Le Tour de France fantôme - Tom Simpson : une funeste passion - Lance Armstrong, le héros déchu - 21 juillet 1969 : objectif Lune
Castle Saison 2
Une rose pour l’éternité - Le Contrat - Le Troisième Homme - Le Batteur battu - Journal d'une dominatrice - Messages par balles - La Mort de Nikki - La Malédiction de la momie
Orgueil et Préjugés
Episode 1 - Episode 2 - Episode 3 - Episode 4 - Episode 5 - Episode 6
Raison et Sentiments
Episode 1 - Episode 2 - Episode 3
Spectacles
John Fogerty : Premonition (1997)
Eddy Mitchell au Casino de Paris (1990)
Livres
Pourquoi vous faisez ça ? de Pablo Mira
Gaston , Tome 2 de André Franquin et Jidékeur
Le péplum, un mauvais genre de Claude Aziza
Hero Corp, Tome 2 : Chroniques de Simon Astier, Louis et Stéphane Créty
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MARDI 11 AVRIL 2023 (Billet 1 / 3)
Ce dimanche de Pâques, nous étions invités à déjeuner chez notre amie Marie-Ange.
Etaient également invités Thérèse, Isabelle, de passage à Paris (la fille d’une amie de Marie-Ange) et, arrivés un peu plus tard, Carole et Olivier. Vous raconter pourquoi tout ce petit monde s’est retrouvé chez Marie-Ange serait trop long. Il y a plusieurs raisons mais l’essentielle, c’est que notre hôtesse adore recevoir - elle fait en général très bien les choses, et aime bien rassembler des personnes qui parfois ne se connaissent pas. Du coup, très souvent, vous connaissez la formule : « les amis de nos amis deviennent nos amis… ».
Un petit détail amusant : Marie-Ange, Thérèse, la maman d’Isabelle (qui s’appelle Claudie et qui vit en Guadeloupe, on l’embrasse au passage…) et Carole et Olivier sont des lecteurs/abonnés du Blog.
Il a fait, exceptionnellement, une très belle journée ce jour-là. Il est inutile de vous préciser que nous avons passé un excellent après-midi en leur compagnie. Il y eut d’abord l’apéro (déjà un vrai repas !) suivi d’une « chasse à l’œuf » dans le jardinet qui jouxte le charmant petit appart de Marie-Ange (c’est Isabelle qui en a trouvé le plus, elle a gagné une « petite surprise »…), le déjeuner (œuf en cocotte à la crème sur un lit d’oeufs de saumon, sans oublier le traditionnel gigot d’agneau, pommes boulangères). Salade, fromages… et 2 desserts : une sorte de cheese-cake concocté par Carole et un Pashra et Koulitch apportés par Thérèse (achetés dans une petite boutique/traiteur russe près du marché Lévis). On ne vous parle même pas des Crémants de Loire et d’un excellent petit Bordeaux que nous avons bus, ni des chocolats de chez Alain Ducasse (une vraie tuerie !) que nous avons dégustés jusqu’au moment où nous sommes sortis de table, il était presque 18h !
Les photos ci-dessous ne rendent compte que d’une toute petite partie de l’ambiance des plus amicales qui régnait en ce dimanche Pascal. Il aurait été amusant d’enregistrer les différents échanges, le plus souvent croisés, des uns et des autres.
Et le plus étonnant car incroyablement et authentiquement vraies, ce sont les évocations des 1000 et une vies vécues par notre amie Thérèse. Comme elle est hypermnésique, et qu’au contraire de nous elle se souvient de tout, on peut imaginer la saga qu’elle pourrait écrire… qui pourrait alimenter Netflix durant de nombreuses années.
PS Stéphane, le très sympathique voisin de palier de Marie-Ange n’est venu que pour l’apéro, il allait ensuite rendre visite à sa maman. Un regret : nous aurions bien aimé le connaître davantage.
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Le beau bateau, le bel hiver, nous vivons de faits divers. C’est vrai, quoi. Sans tout ça, bah rien. On s’lève, on dort, on mange, on chie…pi c’est fini. Alors voilà, faut s’divertir. On chasse plus, on dort bien, quel péril pour aujourd’hui et pour demain ? Mental. Morose ? Avant, on s’battait pour la vie comme pour une amoureuse, sans savoir si on allait l’avoir. Mais on allait la voir, tout nu, tout beau, rose à la main dans la poudreuse. Décembre, hé Rosana, je n’ai rien pour toi. Si c’n’est moi, mais c’est pas grand-chose. Par contre, j’ai couru des kilomètres, à pied, sans mobylette. Pourquoi ? J’sais pas, j’ai rien, pas d’mobilier. J’t’ai juste vu hier, dans la file au marché, tes beaux yeux comptaient de beaux billets. T’inquiètes, c’est pas pour l’argent que j’suis là. Les sous ça va ça vient, ça s’mérite ou ça s’dérobe. Toi par contre, c’est différent, j’pourrai pas t’forcer, t’voler ta robe. On veut pas ça tous les deux, c’est différent. Moi j’veux juste tes yeux dans les miens, pour commencer...je sais, tu ne m’as jamais vu mais je lui là. Alors, regarde moi et tu verras. Un peu, beaucoup d’courage. Un grand nigaud dans les parages. Tout seul, tout nu, pour toi ma belle Isabelle. Ou c’est peut être Rosana, qui sait, vu ton teint hâlé et les nattes dans tes cheveux. Mais peut être Nathalie aussi, car tu ris quand je souris. Tu m’attendais peut-être, mais non me diras tu « que tu es bête, on n’se connait pas, voyons ». Mais si Manon, maintenant que je suis là et que tu parles, je ne suis plus inconnu, juste un beau Jules, un Charles si tu veux, qui joint ses mains aux tiennes et tente sa chance, crânement. Qui sait, peut-être que tout compte fait ce sourire te charme ? Et je te promets, ma dame, si c’est le cas, ça n’est pas un drame d’essayer. Aller viens, je t’invite, viens sentir ma peau. Sous mon chapeau mes cheveux sont parfumés, pour toi. Humides, certes, j’ai couru des kilomètres, mais propres, assurément. Je ne serai pas venu juste sale et gaiement. Je suis jeune mais plus un garnement, c’est une femme que je recherche, car je suis un jeune homme aussi.
Et les jeunes hommes, ça ne reste pas jeune, comme une femme qui vieillit. Alors, voilà, c’est pour ça que j’te souris. Nous sommes faits pour vivre ensemble, peut-être, ou marcher un bout d’chemin, seulement. Aucune idée. Quand je t’ai vue toute à l’heure, j’ai voulu essayer. De venir, te voir, te sentir, pour savoir. Savoir si nous pouvions faires de choses, aller plus loin que nos deux solitudes, qui s’étendent, seules vers la mort. Tu me plais en tout cas, et si toi, Rosaline, tu veux jouer avec moi, aussi, alors viens, je t’en prie. Je t’en supplie, même. Sans désespoir, mais avec une infinie détresse, lente et sincère, un peu pressée tout d’même, car nous n’avons pas tout l’temps. Il file sans cesse, sans relâche. Chaque seconde sans toi c’est un pas d’plus seul, vers l’inévitable, comme une goutte d’eau, arrachée au ciel, qui prie tous les centimètres de rencontrer la mer, l’Océan, la rivière. Que sais-je, cet autre qui fait que l’on est plus seul. Je suis léger aujourd’hui, toi aussi, je le sens. Mais ça ne sera pas éternel, les moments, les occasions, fleurissent une fois l’année, comme des bourgeons. Et il faut être là, ma belle, pour saisir l’instant et créer. Transformer des hypothèses vagabondes, incomplètes, en fruit du seigneur, en lendemains heureux, qui persisteront, malgré nous, avec eux, qui eux aussi un jour, vivront peut-être, ce moment qui prolonge la vie, d’une case encore et la transmet, la complète. Alors, ma belle Elizabeth, je vois que tu hésites, mais sans trop me tromper je vois que tu souris, peut-être…Est-ce de la gêne, de la honte, de l’excitation ? L’horizon des possibles qui titille ton être. Ton corps s’échauffe, les joues s’empourprent, tu doutes, normal, mais chaque grain de ta peau renifle et sent l’odeur du voyage. A deux, toi et moi. Aller, essayons, ça ne coute rien, juste un peu d’temps. C’est pas ça qui t’manque, seule, dans ce village vert et sombre, mais un jour, promis, il te manquera. Et mon Dieu, pour toi comme pour moi, faites qu’il n’y ait aucun regret. Si ça ne te va pas, et ça je te le promets, tu es libre et tu le resteras. Libre de partir, seule, ou trouver un autre, nouveau compagnon de jeu. L’amour c’est un plaisir, la vie en est le fruit. Allez viens, allons le cultiver, des heures fertiles nous attendent dans le jardin. Je te l’accorde, c’est l’hiver, encore, mais bientôt le soleil brillera, et nous pourrons enfin profiter. Toi et moi.
Voilà, c’était l’histoire de la vie. La fleur au fusil, pour trouver, avancer, il faut savoir abandonner. Se donner la chance de partir, seul, pour de nouveaux horizons. Aller là où nos pas nous portent, vers là où le cœur se sent de battre. Parce qu’il n’y a pas de vie dans la sécurité, dans les petits espaces, là où les être faibles se cachent, plein de commodités. La vie c’est pas commode, c’est la lutte, et c’est de cette guerre pour survivre, s’affirmer, qu’on tire la force, le besoin de créer, de s’adapter pour survivre, et continuer.
Bon, j’ai pas écrit 1000 mots, mais hier j’en ai écrit plus, donc fuck, puis en poésie ou texte à chanter c’est plus compliqué. J’aimerais bien vous y voir, vous. Aller…vraiment, j’arrête ici, parce que sinon j’vais les dépasser ces 1000 mots, et cette digression n’aura plus lieu d’être. Mais bon, c’est peut-être ça la vie, croire qu’on a abandonné, y aller quand même, les bras ballants dans le brouillard, un peu découragé, sans énergie. Puis pouf, au bout d’une heure, une journée, ça revient, puis on regarde en arrière et on souffle, pas peu fier d’avoir continué. Car oui, ceux qui gagnent, c’est ceux qui continuent, qui restent en vie. Voilà, 1000 mots, c’est fait. Tchuss.
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circus-mythos · 1 month
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I’ll take this first post to introduce myself and give an idea of what I want this blog to be about.
You can call me Phoenix. I’m 25 years old and use they/them pronouns. Ever since I was 14 years old, it’s been my dream to be in a circus and perform. I saw a recording of Cirque du Soleil’s “Quidam” and I was instantly sold. I watched as Isabelle Chasse performed a beautiful aerial silks routine and I knew I, too, needed to be in the air. Luckily for me, there happened to be a circus studio just 10 minutes from my house at the time. After finishing the colour guard season for my high school, I started lessons right away, beginning on the silks, static trapeze, and Spanish web and eventually moving to lyra as well. I ended up taking much more of a liking to trapeze and consider it my niche. Years passed and I continued circus training through high school and college, though not without hiatuses due to school, moving around, having to find new studios to train at, or injuries. But I consider myself a phoenix because every time I’d take a hiatus, I’d come back stronger, more passionate, and better. I even had a brief stint as a proper freelance performer, making about $100 a day to perform at weekend festivals (this, of course, was not enough to pay my bills though).
Ever since graduating university, I’ve had my fair share of 9-5 jobs. I knew that it wasn’t where I’d shine or wanted to be, but I did it because, well, I needed the money. I tried very desperately to hold onto the dream of being a performer, opening my own studio, or starting my own troupe, but as the days passed in a dreary office job, that dream seemed to slip from my hands. I felt like I wasn’t afforded the necessary time to train to really compete for the small amount of slots for performers such as myself, so I gave up on auditioning. But, I thought, at least I could hold onto the dream of opening my own studio or starting my own troupe. Unfortunately, I had no one to mentor me on starting a business, and since I only took private lessons and did solo freelance work, I was pretty disconnected from other performers so I wouldn’t even begin to know who to ask to start a troupe with me.
Things ended up getting pretty discouraging after the teacher I’d been training with for years became too busy to train me anymore. While I understood, I was nothing short of discouraged. I was lucky enough to find a pole studio that also happened to teach aerial classes that was willing to rent out a hookup point for just $10 a day. I did this for a while, but there’s only so much I can do without a teacher to help me learn new things (the studio did not have anyone who could teach trapeze, which was all I was focusing on).
And then I lost my job.
The company I’d been working for was bought out and they decided that, in turn, they’d dissolve the department I was apart of because they saw no value in it. This meant that I was to be let go and have been unemployed since August 2023. Of course, this is not for lack of trying to find a job. But, if you’re in the same position I’m in, you know how difficult it is to get companies to even look at your resume, let alone give you an interview. And since I was in a car accident where I sustained a back injury that does not allow me to stand for more than an hour at a time, retail jobs were out of the question (not that it mattered much, because even before my car accident, I applied for retail jobs and wasn’t called back by any of them). I opened an Etsy shop, but sales are few and far between, even with daily advertisement. My parents were generous enough to let me do clerical work for them to help me out as much as they could.
Even before I was let go, I could feel the depression I’d worked so hard to manage creep back. Losing my job and being rejected over and over again for months by companies and running out of savings certainly didn’t help to do anything but exacerbate it. I became suicidal again. I went through several medications, all of which worked for a few weeks before putting me in a spot much worse than before. I’d tried all the coping mechanisms in the book and nothing helped, even as a distraction. At some point, I got to a point where I was constantly in a state of panic. Not just anxiety. Full on panic. I’d wake up several times throughout the night from nocturnal panic attacks, so sleep was limited. My mental state got so bad that it started to affect me physically as well. I needed something. I had to do something. I wondered what else I could do that I hadn’t already tried.
One day, while my dad and I were in the car, he asked me, “If you could do any job in the world, what would you do?” “Circus performer,” I answered quickly, not even needing to think. It was because I had answered that way that I realised I maybe hadn’t completely given up my dream as I thought. Somehow, there was still hope in that, no matter how small. I had lost hope in everything else. I was convinced I’d never find a job; for the life of me, I couldn’t think of my purpose in life or any reason to keep going; the people I called friends were unreliable at best, with the exception of one person who lived out of state; I wasn’t in a relationship (nor did I have a desire for one, truthfully); while I greatly appreciated my family’s help, I knew they’d never really understand me (not entirely their fault, I hid an awful lot from them). When I realised that I did still have hope in that dream of connecting with the stage, no matter how deeply buried it was, I decided this is what I needed. I had to try. This is all I had left. And, being unemployed, what better time to devote to starting this troupe—my illusive Circus Mythos.
I have a lot of hard work ahead of me, and I know that. I ordered the book The Contemporary Circus Handbook: A Guide to Creating, Funding, Producing, Organizing, and Touring Shows for the 21st Century by Eric Bates. It arrives on Friday. I plan to start reading it right away.
For now, as I start to get off the ground, the blog will mostly be notes on the book as I read it and my thoughts. As things progress and more develops, I’ll post more progress updates here. I hope you’ll join me in my journey, and I appreciate each and every one of you that do.
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badmovieihave · 7 years
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Bad movie I have Cirque du Soleil : Quidam 1999
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may8chan · 4 years
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Film Challenge 2020
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lirreguliere · 4 years
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(Cultur'elle) Le complexe de la sorcière, d'Isabelle Sorente : la part blessée des femmes @LattesLeMasque Alors je lui dis ce que j'en suis venue à croire : le complexe de la sorcière serait ce soupçon permanent de soi instillé aux femmes torturées, ou aux femmes témoins de la torture d'autres femmes de leur famille ou de leur entourage.
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cristosworld · 3 years
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Chapitre 5 : Première nuit
« Isabelle, tu es une belle pute. Ce soir tu vas me sucer et me faire
jouir. Ensuite je vais te taquiner une partie de la nuit et je me
reposerai demain matin. A mon réveil, je veux que tout soit parfait.
En attendant débarrasses et apporte moi un fruit et ma tisane. »
Isabelle se lève et débarrasse la table. Je sens sur le dos, à
l’endroit où elle était assise une sensation de fraicheur liée à de
l’humidité. Peut être le fruit de nos ébats… A cette pensée, j’ai un
moment de tension dans le sexe vite refreinée par la sensation de
cette cage qui me m’enserre le sexe et me blesse les testicules.
Je dois à nouveau la suivre mais ma vessie n’en peut plus… Nous
faisons l’aller-retour assez rapidement et nous retrouvons la position
devant la maitresse. Je sens Isabelle de plus en plus tendue.
« Laisse-moi et va ranger. Va aussi te soulager. Reviens quand tout
sera parfait pour la soirée. »
Isabelle m’entraine à sa suite et sa première direction est les
toilettes où elle s’assoit sans enlever sa culotte. J’entends sa pisse
couler au travers de sa culotte et s’écouler dans les toilettes. « Je
n’en pouvais plus… »
« Avant de te soulager tu vas lécher ce qui coule sur mes cuisses »
dit -elle, poursuivant mon calvaire… L’odeur de sa pisse, le bruit de
ses coulures dans les toilettes achèvent mon calvaire et n’y tenant
plus, je lâche ma pisse sur moi et je vois ma pisse s’écouler tout
doucement sur moi autour de mes pieds, honteux…
« Immonde Porc ! Se pisser dessus ! Tu vas nous mettre en retard
espèce de chien ! »
Sa main me gifle, un aller et retour cinglant et cuisant !
Quand j’ai fini, toujours assise sur les toilettes, moi à ses pieds,
elle force sur ma tête :
« Lèches ta pisse ! »
Je m’exécute. Mais ça n’en finit pas… Des gouttes coulent toujours de
ma bite et de sa cage… Elle pose ses pieds dedans (qu’elle avait
relevés) et me tire pour ouvrir le placard au-dessus des toilettes.
Elle me jette une serpillère :
« Nettoie et essore dans les toilettes ! »
Je m’exécute à ses pieds, et quand il ne reste plus trop de pisse sur
le carrelage, elle tire la chasse-d ’eau et m’indique de rincer la
serpillère dans la cuvette. Plusieurs fois, elle me fait essuyer ses
pieds et me force à rincer dans la cuvette la serpillère non sans
malicieusement tirer la chasse d’eau sur mes bras.
« Maintenant aspire la pisse de ma culotte et lèche bien mes cuisses.
Fait en sorte qu’il n’y ait pas de pisse qui coule lorsque je serai
avec Maitresse. »
Je m’exécute et comprends que la culotte n’a pas été changé au moins
de la semaine… j’ai un haut-le-cœur en aspirant sa pisse au travers de
sa culotte… L’odeur est si forte…
« Ça suffit maintenant ! » décrète-t-elle. « Nous avons du travail. »
Nous sortons des toilettes non sans nous essuyer les pieds sur une
autre serpillère qu’elle a jetée à l’entrée des toilettes.
J’ai à peine le temps de m’essuyer les mains et les pieds que je dois la suivre.
Debout elle me traine en long et en large dans l’appartement. Les
vêtements de Maitresse sont jetés dans une machine à laver. L’eau dans
la bouilloire est mise à bouillir. La tisane de Maitresse est servie….
Isabelle attrape une pomme et m’entraine à sa suite pour servir la
tisane à Madame.
Nous nous retrouvons comme la dernière fois, moi à quatre pattes,
Isabelle assise sur moi devant Maitresse, à attendre un ordre.
Elle croque à pleine dent la pomme et prend son temps. :
« Range et profite pour manger. A ton retour, tu me feras jouir, mais
prends ton temps. La tisane est encore chaude et je veux avoir le
temps de voir ma série. »
Nous retournons à la cuisine. La vaisselle de Maitresse est lavée et rangée.
Un moment, Isabelle prend une pizza qu’elle fait réchauffer dans le
micro-onde et s’arrête un instant devant l’ilot central de la cuisine.
Elle la coupe en deux et jette par terre le second morceau.
« Bouffe et presse toi car nous ne pourrons pas manger d’ici demain matin. »
J’attrape le morceau de pizza et le mange rapidement.
Elle se verse un verre d’eau, l’avale et le rempli à nouveau :
« Ouvre ta bouche si tu veux boire, et n’en perds pas une goutte… »
Puis elle remplit sa bouche d’eau, se penche vers moi et rejette l’eau
en un petit filet directement dans la bouche. J’avale le nectar à la
régalade et ma bite se rappelle à mon bon souvenir…
Elle renouvelle l’opération 2 fois avant de laver ses couverts et le verre.
Puis elle s’arrête et me regarde avec un drôle d’air :
« Maitresse regarde la télé. Tu vas t’occuper de moi »
Elle descend sa culotte sale et se met à quatre pattes :
« Suce-moi par derrière ! Commence par le cul, puis lèche ma chatte,
nettoie bien ton sperme ! que Ce soit bien propre pour ce soir !
Maitresse va s’occuper de moi ! »
Alors je m’applique à lui nettoyer l’orifice anal et sa chatte
imberbe… J’ai toujours envie d’elle et ma bite pressée dans sa cage me
fait mal…  Ma langue rencontre son clitoris. Je m’attarde dessus et je
sens rapidement son petit bouton durcir… Elle se presse contre moi et
j’ai du mal à garder le rythme… Au bout de quelques minutes, je sens
sa contraction et son soulagement. Elle s’arrête et se relâche… « Et
bien, toi, tu vas me faire regretter les porteurs de bites ! Arrête !
c’est bien ! Tu mérites une récompense… » Elle se retourne vers moi et
me crache plusieurs fois sur le visage. Puis elle s’approche encore
plus prêt et étend avec sa langue sa salive sur mon visage : « Tiens
mon bon chien ! la bonne odeur de ta maitresse ! » et elle se relève
en souriant, remonte sa culotte et m’entraine à sa suite.
Nous nous présentons à nouveau devant la Maitresse.
Elle repousse la desserte sur laquelle elle a posé son bol de tisane
vide et s’adresse à Isabelle.
« Tu vas me sucer et comme d’habitude, je te bande les yeux !
Toi le chien, tu regardes et j’espère que tu vas bander ! »
Isabelle se met à genoux devant Maitresse et celle-ci lui bande les
yeux. Puis elle enlève sa culotte et son soutien-gorge et les jette
dans la salle. Elle a monté le son de la télé et mis le programme sur
une série…
« Suce-moi Salope ! et fais-moi bien jouir ! »
Je vois Isabelle se jeter sur l’entrecuisse de Maitresse et se
repaitre de son sexe.
Bientôt, Maitresse saisie Isabelle par les cheveux et la force contre
son bassin. Je ne quitte pas le spectacle des yeux et j’ai la gorge
serrée, le souffle coupé par la scène.
Maitresse commence à insulter Isabelle tout en se cabrant contre sa
bouche. « Ah ma Salope ! Que tu me suces bien ! Fais- moi jouir ma
belle, fais-moi jouir. Plusieurs fois, Maitresse arrive au bord de la
jouissance et retarde l’échéance… Elle fait durer le plaisir, sa
tension monte, et elle se retire, se calme puis laisse isabelle
reprendre son travail, chauffe son clitoris à l’extrême et ainsi de
suite. Mais à un moment, elle n’y tient plus et soudain, s’arrête de
bouger… Son visage se crispe, sa bouche fait une moue ridicule et un
jet gicle sur le visage d’Isabelle… Le bandeau d’Isabelle est
recouvert de son éjaculation, le liquide clair s’écoule sur le cou,
descend entre les seins d’Isabelle et goutte sur ses genoux.
Elle s’étend sur le canapé pendant qu’Isabelle se retourne vers moi :
« Lèche le liquide sur mon visage ! Sur mes seins, lèche par terre,
sur mes genoux ! Qu’il n’en reste pas une goutte ! »
Je m’exécute et goutte l’éjaculation de la Maitresse. Le goût n’est
pas fort, de l’eau peut être un peu teintée d’urine… pas désagréable.
Je m’attarde sur les seins d’Isabelle que je sens pointer à l’encontre
de ma langue… Avant de me prendre une claque derrière la tête. «
Vas-tu t’arrêter sale bite ? ». Maitresse est en colère, elle se jette
sur moi, me gifle deux ou trois fois de suite me pousse violemment et
me jette à terre, puis s’assoit sur mon visage, violemment.
« Je ne veux plus que tu t’occupes d’Isabelle ! Tu es là pour nous
servir. Pas pour batifoler avec Mon Isabelle ! Elle est à moi, à moi
seule ! Tu n’es qu’une bite et des couilles pour moi. Rien d’autre !
Ramasse sale chien ! »
Et elle me pisse au visage… Son jet d’urine jaillit… Source
intarissable, le jet m’inonde le visage, rentre dans le nez, s’immisce
dans ma bouche, me pique les yeux. Je suffoque ouvre la bouche, avale
de travers, cherche à me relever, mais elle me maintient fortement et
sourit de ma rage grandissante et de mon impuissance…
« Tu me fais rire ! Je vais te détacher d’Isabelle et tu vas nettoyer. »
Elle se relève de moi, me laisse suffoquer dans la mare de pisse au
pied du canapé. Elle enlève la chaine du pied d’Isabelle, et le remet
sur ma cheville, tire sur la chaine et la règle de façon à ce que je
ne puisse pas marcher debout.
« Tu sais où sont les serpillères et où sont les toilettes ? Va et
laisse-nous. Quand tu auras fini, tu reviendras te présenter devant
notre lit. »
J’ai dû faire au moins 10 aller-retours à quatre pattes pour nettoyer
le sol. J’ai commencé par me laver le visage et me rincer les yeux qui
me piquaient dans les toilettes. Puis j’ai attrapé les serpillères…
Entre temps, elles sont passées par la salle de bain puis je les
retrouve nues sur le lit.
Isabelle est toujours les yeux bandés. Elle est attachée sur le lit,
les bras écartés et les jambes relevés et tirées sur les côtés par des
liens attachés au lit. Maitresse est penchée vers la chatte d’Isabelle
offerte à sa vue et à ses caresses. Elle applique un gode vibrant sur
le clitoris de son esclave. Je me rends vite compte qu’elle joue avec
son esclave : dès que celle-ci se tend à la recherche de sa
jouissance, elle s’arrête de la caresser et regarde son esclave gémir
et se tordre de frustration.
Au bout de vingt minutes de ce petit jeu, Maitresse décide de
s’arrêter. Elle se redresse et saisit sur la table de chevet la culote
(très sale) d’Isabelle. « Alors Salope, c’est ta délivrance
aujourd’hui ? Tu as déjà joui il me semble… Alors ce soir, tu vas
dormir avec ta culotte de la semaine… c’est notre petit jeu… Ne pense
pas que j’avais oublié… » Isabelle ne dit rien et ouvre la bouche.
Maitresse lui enfonce dans la bouche et bourre la culotte entièrement.
Isabelle a un haut le cœur et Maitresse lui retire un peu la culotte.
Puis elle se penche sur la table de chevet, ouvre le tiroir et sort un
rouleau de scotch. Isabelle redresse sa tête et Maitresse la bâillonne
avec la culotte dans sa bouche en faisant 2 tours de scotch autour de
sa tête…
Puis elle reprend son jeu avec le gode, jouant alternativement avec la
pénétration d’Isabelle et les caresses sur le clitoris. La soirée
s’est passée ainsi, moi à genoux devant le lit à les contempler, dans
un état de frustration intense, Isabelle à essayer de jouir pendant
que maitresse contemplait l’effet de ses caresses internes et
externes, sans mettre un point final aux réjouissances.
Isabelle s’est mise à supplier Maitresse de la laisser jouir, puis
s’est mise à pleurer pendant que Maitresse continuait à la torturer.
Alors Maitresse s’est redressée et s’est penchée à nouveau sur le
tiroir de la commode. « C’est bon ! Cesse de pleurer tu me dégoûtes… »
Elle en a tiré une ceinture de cuir sur laquelle elle a fixé le
godemichet… Je n’en ai pas perdu une miette, absolument frustré et
tétanisé par ce spectacle que je n’avais jamais vu. Elle s’est
redressée, montrant son ersatz de sexe vainqueur et lui crachat au
visage : « Tu vas te soulager salope ! Je vais te soulager… » et elle
la pénétra et bourra de toute ses forces. Celle-ci se mit
instantanément à jouir et à pleurer. Du liquide s’écoulait de son sexe
à chaque pénétration, giclait sur le drap et chaque pénétration était
accompagnée d’un cri d’Isabelle. Je n’ai pu que me tortiller et
regarder cette scène, je crois même que mon esprit a disjoncté à ce
moment. Je me suis effondré dès que le calme fut revenu et me suis
allongé en chien de fusil au pied du lit.
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Journée Mondiale des Mobilités et de l’Accessibilité : le Foyer d’Accueil Médicalisé La Marelle et le défi #Tussenkunstenquarantaine
À l’occasion de la Journée Mondiale des Mobilités et de l’Accessibilité, le Louvre-Lens a souhaité donner la parole aux partenaires avec lesquels il travaille à améliorer quotidiennement son accessibilité. La Marelle est un des plus anciens partenaires du Louvre-Lens. Voisin du musée, ce foyer d’accueil médicalisé accueille des résidents porteurs de handicaps multiples et divers. Envie d’en savoir plus?
Grâce au dynamisme de l’équipe et particulièrement de Christophe et Isabelle, les résidents viennent en groupe au musée depuis son ouverture pour visiter les expositions et expérimenter des pratiques artistiques. Chaque année, un programme est conçu pour eux et avec eux, en lien avec la programmation du musée. Chaque visite de La Marelle est comme une bulle dans le quotidien des résidents et nous pensons particulièrement à eux dans cette période qui nous empêche de les recevoir pour un moment toujours plein de découvertes et d’échanges dans la bonne humeur.
En attendant de se retrouver, les résidents de la Marelle ont relevé le challenge de réinterprétation des œuvres #Tussenkunstenquarantaine. Bravo pour votre créativité et votre humour !
https://www.apei-lens.org/des-euvres-d-art-en-chair-et-en-os-actualite-58.html
 De leur côté, les participants ont tenu à nous dire qu’ils ont pris énormément de plaisir à cette activité ! Elle leur a demandé une réelle observation des couleurs et des détails. Elle a également été d’un grand intérêt dans l’estime de soi : être le modèle d’une œuvre d’art, alors que parfois le rapport à son corps est vécu difficilement, peut faire du bien tout simplement…
Christiane et le dieu Mithra
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Capitole, Rome, Italie Relief représentant Mithra, dieu iranien du Soleil, sacrifiant le taureau Vers 100-200 après J.-C. Marbre
https://www.louvrelens.fr/work/relief-representant-mithra-dieu-iranien-soleil-sacrifiant-taureau/
Photo © RMN-GP (musée du Louvre) / Philippe Fuzeau
Christine et la déesse Nikê
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Myrina, Asie mineure (Turquie actuelle) Jeune femme ailée : personnification de la Victoire Vers 190 avant J.-C. Argile
https://www.louvrelens.fr/work/jeune-femme-ailee/
Photo (C) RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Hervé Lewandowski
Dany et le portrait de Hans Memling
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Hans MEMLING Seligenstadt am Main (Allemagne actuelle), vers 1435 – Bruges (Belgique actuelle), 1494, Vers 1480, Portrait d’une femme âgée   Huile sur bois
https://www.louvrelens.fr/work/portrait-dune-femme-agee/
Photo © Photograph by Erich Lessing
Sabrina et la Vierge d’Orlandi
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Deodato ORLANDI Actif en Toscane (Italie) de 1284 à 1332 Vers 1320 La Vierge et l’Enfant avec deux anges Tempera sur bois, fond d’or
https://www.louvrelens.fr/work/la-vierge-et-lenfant-avec-deux-anges/
Photo © RMN – Grand Palais – Franck Raux
Valérie et la déesse Diane
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France, d’après une sculpture antique attribuée à Léocharès (actif à Athènes vers 360-320 avant J.-C.), vers 1700-1800 Diane, déesse romaine de la chasse, accompagnée d’une biche Bronze
https://www.louvrelens.fr/work/diane-deesse-romaine-de-la-chasse-accompagnee-dune-biche/
Photo © 2004 Musée du Louvre / Pierre Philibert
Sandrine, Mickael et les pleurants
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Étienne BOBILLET, actif vers 1450 Paul MOSSELMANN, mort à Rouen (France), 1467 Vers 1450 Deux pleurants tenant un livre, provenant du soubassement du monument funéraire de Jean de France, duc de Berry (1340-1416) Albâtre
https://www.louvrelens.fr/work/deux-pleurants-tenant-un-livre/
Photo © Photo RMN - Stéphane Maréchalle
Catherine, Philippe, Terpsichore et Cherubini
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Jean-Auguste-Dominique Ingres, Montauban (France), 1780 – Paris (France), 1867 Henri Lehmann, Kiel (Allemagne), 1814 – Paris (France), 1882 Portrait du compositeur Luigi Cherubini (1760-1842) béni par la muse de la poésie lyrique Terpsichore 1840-1842 huile sur toile
https://www.louvrelens.fr/work/portrait-compositeur-luigi-cherubini-1760-1842-beni-muse-de-poesie-lyrique-terpsichore/
© RMN-GP (musée du Louvre) / Christian Jean
Daniel, Maxime, Laura, Gilles et les Babouins de Louxor
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Louxor, Égypte Haut-relief du socle d’un obélisque du temple de Louxor : babouins Vers 1279-1213 avant J.-C. Granit rose
https://www.louvrelens.fr/work/haut-relief-socle-dun-obelisque-temple-de-louxor-babouins/ Photo © RMN-GP (musée du Louvre) / Christian Decamps
Jean-Charles et Napoléon
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Paul Delaroche, Paris (France), 1797 – Paris (France), 1856 Napoléon Bonaparte franchissant les Alpes au col du Grand-Saint-Bernard en 1800 1848 Huile sur toile
https://www.louvrelens.fr/work/napoleon-bonaparte-franchissant-alpes-col-grand-saint-bernard-1800/
Photo © RMN-GP (musée du Louvre) / Franck Raux
Daniel et Anton
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Hans Maler Ulm (Allemagne), 1480 – Schwaz (Autriche), vers 1526-1529 Portrait d’Anton Fugger (1493-1560), banquier et humaniste Vers 1500-1529 Huile sur bois
https://www.louvrelens.fr/work/portrait-danton-fugger-1493-1560-banquier-humaniste/
Photo © RMN-GP (musée du Louvre) / Franck Raux
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epronfamily · 5 years
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Mercredi 31 juillet 2019
Première nuit dans la maison. Les filles ont chacune leur chambre et heureusement car c'est Zoé qui à le moins bien dormi. À 7h c'est son 2è levé alors même que Louis en est à son premier (il vient de faire sa première nuit). Céleste profite jusqu'à 8h30 et le début des travaux.
Les filles jouent dans le jardin et nous finissons de préparer le camping-car. Zoé aide un peu à vidée le frigo et le placard de l'arrière. Ensuite c'est aspirateur et chasse aux tâches. Marc se lance dans la réparation des rideaux de la salle de bain puis avec Paul ils font de la prévention de fuites d'eaux. Par message interposé Pierre les conseils et le camping-car est joliment décoré de jaune !
Les filles à la sieste, un repas tarif pris, le camping-car rechargé avec soins, Paul & Marie s'en vont pour leur vacances à travers l'Auvergne.
Nous rangeons petit à petit nos bagages, les lessives tournent à bon train. Marc assure le repas du soir et Isabelle continue sa lancée d'infirmière en soignant une aisselle de Louis qui s'est irritée avec la chaleur et, le pied de Marc qui n'arrive pas à guérir des petites blessures des coquillages de l'océan : des sprays, des crèmes, des compresses, des pansements, c'est parti ! 
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alexlacquemanne · 3 years
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Aout MMXXI
Films
Harry Potter et la Coupe de feu (Harry Potter and the Goblet of Fire) (2005) de Mike Newell avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, Michael Gambon et David Tennant
The Beatles : Eight Days a Week (2016) de Ron Howard avec John Lennon, Paul McCartney, George Harrison, Ringo Starr, Elvis Costello, Whoopi Goldberg et Sigourney Weaver
Good Morning, Vietnam (1987) de Barry Levinson avec Robin Williams, Forest Whitaker, Bruno Kirby, J. T. Walsh et Chintara Sukapatana
Atout cœur à Tokyo pour OSS 117 (1966) de Michel Boisrond avec Frederick Stafford, Marina Vlady, Henri Serre, Colin Drake et Jitsuko Yoshimura
Place publique (2018) de Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri, Léa Drucker et Héléna Noguerra
Pauline détective (2012) de Marc Fitoussi avec Sandrine Kiberlain, Audrey Lamy, Antoine Chappey, Claudio Santamaria et Anne Benoît
The Blues Brothers (1980) de John Landis avec John Belushi, Dan Aykroyd, James Brown, Cab Calloway, Carrie Fisher et Aretha Franklin
Kaamelott : Premier Volet (2021) d'Alexandre Astier avec Alexandre Astier, Franck Pitiot, Thomas Cousseau, Jean-Christophe Hembert et Anne Girouard
Vénus et Fleur (2004) de Emmanuel Mouret avec Veroushka Knoge, Isabelle Pirès, Julien Imbert et Frédéric Niedermayer
Thor : Ragnarok (2017) de Taika Waititi avec Chris Hemsworth, Mark Ruffalo, Tom Hiddleston, Tessa Thompson, Cate Blanchett et Idris Elba
Garçon ! (1983) de Claude Sautet avec Yves Montand, Nicole Garcia, Jacques Villeret, Rosy Varte, Dominique Laffin, Marie Dubois et Bernard Fresson
Séries
The Grand Tour Saison 4
The Grand Tour présente… Lochdown
Psych Saison 1, 2, 3, 4
Voyances et Manigances - T-R-I-C-H-E-U-R - Qu'il parle maintenant, ou se taise à jamais - Esprit es-tu là ? - Neuf Vies - La Maison hantée - Shawn chez les super-héros - Champ de bataille - Souvenirs, souvenirs - La Guerre de l'étoile - Coup de soleil - Poker menteur - Avis de meurtre - Jeu, Set et Meurtre - Esprits féminins - Les Nouvelles Stars - 65 Millions d'années plus tôt - Un médium de trop - Trop facile pour être possible - Petit… mais costaud - Un plat qui se mange froid - Les Petits Génies - Recherche nounous désespérément - Chasseurs de primes - Un mort au pied du sapin - Mariage en sursis - Fashion victimes - Une nuit au musée - Chasse aux fantômes - La Folle Soirée de Shawn - Le médium qui tombe à pic - La Chasse au trésor - Henry les bons tuyaux - Au pays de l'or noir - Comme sur des roulettes - Haut les mains ! - Noël au balcon, tout le monde en prison - Six pieds sous la mer - Sale temps pour Lassiter - Au feu le médium ! - L'Enfer du vendredi - Plus menteur, tu meurs - Mardi 17, le retour de Jason - Une soirée avec Mr Yang - Mission Canada - Famille, je vous aime - Presque cent dollars pour un shérif - Petits Arrangements avec le Diable - La Peur des balles - Meurtre à Bollywood - À qui le tour ? - La Nuit du Loup-Garou
The Crown Saison 2
Une mésaventure - La Compagnie des hommes - Lisbonne - Beryl - Marionnettes - Vergangenheit - Matrimonium - Chère Madame Kennedy - Pater familias - L'Homme mystère
Le Coffre à Catch
#36 : Une lueur de catch d'espoir de catch - #37 : CM Punk vs. John Morrison - #38 : Bobby Lashley DÉFONCE LA CAGE ! - #12 : Le Push de CM Punk + Bsahtek le Bikini ! - #39 : VINCE MCMAHON "Est-ce que tu viens de m'appeler Vince?" - #40 : Randy Orton le somnifère du catch
Columbo Saison 2, 6, 13
Le Spécialiste - Les surdoués - Deux en un - Face à face
Brooklyn 99 Saison 7
Chasse à l'homme - Capitaine Kim - Pimemento - Le Championnat Jimmy Jab 2 - Debbie - La Méthode Jake - Le Discours - Le Casse à l’envers - Dillman - Amiral Peralta - Le Casse de toutes les fêtes - La Rançon - Noir, c'est noir
Doctor Who Saison 5
Le Prisonnier zéro
Chapeau melon et bottes de cuir Saison 5
La Porte de la mort - Le Retour des Cybernautes
The Rookie Saison 3
Tel père, telle fille - Alerte enlèvement - Le Garçon d'honneur - Nouvelles recrues - À cœur vaillant - Opération infiltration - Le Jour J
What If...?
Et si... Captain Carter était devenue le premier Avenger ?
Brokenwood Saison 7
Le garrot et le vinklebraun - Un bien-être qui fait mal - Une matinée de chien
Undertaker : l'ultime défi
En proie au doute - Rédemption - La fin d'une ère - Vaincre ses démons - L'heure de vérité - L'Undertaker raconte
Dark Side Of The Ring Saison 3
Becoming Warrior
La Cloche
#64: SummerSlam 2018, Puis Direction Le Japon! - #65: Braun Strowman Encaisse!
Kaamelott Livre II, III
La voix céleste - La restriction - Mater dixit - Le temps des secrets - Les drapeaux - La morsure du Dace - La conscience d'Arthur - Le rebelle - La rencontre - Always - L'anniversaire de Guenièvre - Les volontaires II - Le Guet - Spangenhelm - Le jeu du caillou - Les pigeons - L'oubli - Saponides et détergents - Perceval chante Sloubi - Les affranchis - Le dialogue de paix II - Silbury Hill II - Le repos du guerrier II - La Poétique première partie - La Poétique deuxième partie - Cryda de Tintagel - Le déserteur - La Fête de l'Hiver II - Le Tribut - Alone in the Dark - Le Justicier
Cat's Eyes Saison 2
Joli piège - Mélodie d'amour
Spectacles
Alors on s'aime ! (2019) de Flavia Coste avec Loup-Denis Elion, Daniel Russo et Corinne Touzet
Livres
Strip-tease pour OSS 117 de Jean Bruce
San-Antonio chez les "gones" de Frédéric Dard
24 Heures du Mans - 1951-1957 : Le Triomphe du Jaguar de Denis Bernard et Christian Papazoglakis
Tout feu, tout flamme de Richard Castle
Le meilleur des Super-Héros Marvel : Daredevil
La Guerre des Gaules de Jules César
Les vieux fourneaux Tome 1 : Ceux qui restent de Wilfrid Lupano et Paul Cauuet
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