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#année 1899
sushis4kalyo · 1 year
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Petit voyage dans le temps 🕰
Un jour, en fouillant un peu chez ma grand-mère, j'ai trouvé ce cahier.
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frenchcurious · 4 months
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Bonne année * Meilleurs voeux * Happy New Year * Best wishes * Frohes neues Jahr * Feliz año nuevo a todos * Auguri .
''Etrennes aux Galeries Métropole, rue du Faubourg Montmartre'', affiche de 1899 - Source LiveAuctioneers.
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philoursmars · 15 days
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Louvre-Lens : il y a une expo : “Mondes souterrains : 20.000 Lieux sous la terre”. la suite et fin.
Michiel Coxcie : "La Grotte de Platon" - 1550 (pour ma part, cela me fait penser aux boîtes de nuit gay des années 80...)
Franz Von Stuck : "La Chasse Sauvage" - 1899 (Odin sur son cheval et une Gorgone)
Gérard de Lairesse : "Orphée aux Enfers" - 1662
Huang Yong Ping : installation dans une énorme géode : "La Caverne" - 2009
idem
Antoine Caron : "La Résurrection du Christ" - 1584
idem
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VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 (Billet 2 / 3)
Autant les salles réservées à l’Exposition Modigliani bruissaient de monde, autant nous nous serions crus dans un lieu saint, de méditation plutôt… dans les deux qui abritent les « Nymphéas » de Monet.
Au centre, une grande banquette ovale, comme la pièce. Les visiteurs s’y attardent et admirent dans le silence le plus complet les grands panneaux tout autour d’eux. Certains les longent, lentement, s’arrêtant parfois pour photographier, de loin, un détail.
Ce n’est bien sûr pas la première fois que nous pénétrons dans ces salles mais l’émotion est toujours la même. C'est une expérience immersive. La maîtrise de Monet dans la représentation de la lumière et des nuances crée une atmosphère… presque mystique.
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L’histoire des Nymphéas
Le cycle des Nymphéas occupa Claude Monet durant trois décennies, de la fin des années 1890, à sa mort en 1926, à l’âge de 86 ans. Ce cycle est inspiré du jardin d’eau qu’il a créé dans la propriété de sa maison de Giverny en Normandie. Il aboutit aux ultimes grands panneaux donnés par Monet à l’Etat en 1922 et visibles au musée de l’Orangerie depuis 1927.
Deux types de compositions sont définies par l’artiste dès l'origine du cycle. L'une englobe les rives du bassin et leur végétation touffue : c'est celle des Bassins aux Nymphéas de 1899-1900, puis des Ponts japonais des dernières années.
L'autre, joue au contraire sur le vide, elle ne retient que la nappe d'eau et sa ponctuation de fleurs et de reflets : c'est celle des Paysages d'eau (1903-1908), gros plans aux cadrages serrés, organisés par séries, dont chaque pièce se présente comme un fragment, c'est aussi et surtout celle du décor mural. C’est à partir de l’année 1914 que le peintre (74 ans) consacre toute son énergie à la réalisation de sa « grande décoration ». Celle-ci prend sa forme définitive dans le dispositif de l'Orangerie : une frise panoramique se déployant presque sans rupture et enveloppant le spectateur dans deux salles de forme d’ellipse.
Cette entreprise l’absorbe durant plusieurs années semées d’obstacles et de doutes pendant lesquelles l’amitié et le soutien d’un homme s’avèrent décisifs. Il s’agit de l’homme politique Georges Clemenceau. Monet partage avec Clemenceau des idées républicaines et l’on connaît par ailleurs le goût prononcé pour les arts de Clemenceau. Le 12 novembre 1918, au lendemain de l’armistice, Monet écrit à Georges Clemenceau : « Je suis à la veille de terminer deux panneaux décoratifs, que je veux signer du jour de la Victoire, et viens vous demander de les offrir à l’Etat, par votre intermédiaire. » L’intention du peintre est donc d’offrir à la Nation un véritable monument à la paix.
L’acte de donation intervient le 12 avril 1922 pour 19 panneaux, mais Monet, insatisfait, souhaite toujours plus de temps pour parfaire son œuvre. Clemenceau a beau lui écrire la même année « vous savez fort bien que vous avez atteint la limite de ce que peut accomplir la puissance de la brosse et du cerveau », Monet les conservera finalement jusqu’à sa mort en 1926.
Le Musée de l’Orangerie abrite huit compositions des grands Nymphéas de Monet réalisées à partir de différents panneaux assemblés les uns aux autres. Ces compositions possèdent toutes une hauteur égale (1,97 m). Rien n’a été laissé au hasard par l’artiste pour cet ensemble qu’il a longuement médité et dont l’installation s’est faite selon sa volonté en lien avec l’architecte Camille Lefèvre et avec l’aide de Clemenceau. Il prévoit les formes, les volumes, la disposition, les scansions et les espaces entre les différents panneaux, le parcours libre du visiteur par le biais de plusieurs ouvertures entre les salles, la lumière zénithale du jour qui inonde l’espace par beau temps ou au contraire se fait plus discrète lorsqu’elle est voilée par les nuages faisant ainsi vibrer la peinture au gré du temps…
L’ensemble est l’une des plus vastes réalisations monumentales de la peinture de la première moitié du XXe siècle et représente une surface d’environ 200 m2. Les dimensions et la surface couverte par la peinture environne et englobe le spectateur sur près de 100 mètres linéaires où se déploie un paysage d'eau jalonné de nymphéas, de branches de saules, de reflets d'arbres et de nuages, donnant « l’illusion d'un tout sans fin, d'une onde sans horizon et sans rivage » selon les termes mêmes de Monet.
Offerts par Claude Monet à la France le lendemain même de l'armistice du 11 novembre 1918, les Nymphéas sont installés selon ses plans à l'Orangerie en 1927, quelques mois après sa mort. Ces salles ont été surnommées par un critique : « la Sixtine de l’Impressionnisme ».
(Source : « musee-orangerie.fr »)
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Marina au sortir de sa période « méditative »…
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Et, chose très surprenante, notre Expo n’a été précédée ni suivie par un déjeuner dans un p’tit resto du quartier. D’abord le Menu du Chef Boris Campanella qui dirige le restaurant « L’Ecrin » du Crillon, malgré ses origines siciliennes, nous a modérément plu, le restaurant « Chez Maxim’s » sent la naphtaline depuis longtemps, le « Jules Verne » triplement étoilé de Frédéric Anton, au 2ème étage de la Tour Eiffel, était trop loin… bref, nous sommes retournés chez nous dans le 15ème, le ventre vide et avons attendu le soir avant de dîner.
En vrai, ce n’est pas vrai du tout, nous avons commencé un régime depuis le début de la semaine. 2 kilos à perdre avant le Sénégal. Nous reprenons à notre compte la phrase de Napoléon Bonaparte : « Quand on veut on peut… et quand on peut on doit ! » (que nous soufflons à l’oreille de tous ceux qui veulent faire un régime). Et pour l’instant, on s’y tient !
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heidigentille · 9 months
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Yvonne Chevalier
(1899, France - 1982, France)
Sans titre [Nu féminin]
vers 1930
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La revue du Médecin n°8 / Collection Nicéphore Niépce
années 1930
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selidren · 1 year
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Automne 1899 - Champs-les-Sims
4/4
Mon épouse dit qu’elle est prête pour que nous ayons un autre enfant. Et je suis également enthousiaste. Cependant, j’avoue être terrorisé à l’idée que Dieu ne nous offre à nouveau un autre bébé si vite. Elle ne sait rien de mes craintes, je les lui cache soigneusement, mais je ne pense pas qu’elle comprendrait. Elle ne doit s’occuper que de notre fils, moi, j’ai l’impression de devoir encore veiller sur mes cousins comme du lait sur le feu. Je vous disais plus haut que Constantin est majeur, mais il se tourne toujours vers moi comme un enfant le ferait vers son grand-frère. Mes cousines sont encore bien jeunes et font de même. J’ai si peur de commettre une erreur, où que l’un d’eux sombre dans le malheur sans que j’y puisse rien. Je ne souhaite pas vivre cela encore, avoir encore une personne supplémentaire qui dépendrait de moi. Je ne puis qu’espérer que Constantin devienne un jour plus à même de s’occuper de son propre bien-être, même si me connaissant, je ne pourrais m’empêcher de toujours veiller sur lui. Que pourrai-je bien faire le jour où il décidera de courir après vous au milieu des dunes d’Egypte ?
Il faut bien lui rendre justice cependant. Son chien Horus l’a énormément responsabilisé. J’ai défendu à Madame Legens de s’occuper de l’animal quand Constantin est présent, et mon cousin s’en occupe fort bien. A son âge, il a également du quitter la chambre d’enfant et faute de place, il s’est installé de sa propre initiative dans une des grandes pièces du grenier, où il s’est aménagé une chambre à partir des meubles du grenier. Il y a installé sa bibliothèque personnelle, ses carnets. Bien que j’y sois réticent, il a insisté pour s’approprier le lit où dormait sa mère. Je me sens coupable d’occuper avec Marie la chambre qui lui revient de droit, mais il préfère me la laisser et le grenier lui convient beaucoup selon lui, car c’est très calme et il peut y lire et travailler en paix. Il ne fait aucun doute qu’il marche dans vos pas cher cousin. 
Avec mes salutations les plus amicales, 
Votre cousin, Adelphe
P.S. Obnubilé que je suis par mes propres démons, j’ai omis de vous informer du décès de mon oncle Louis-Michel. Il nous a quitté il y a de cela quelques mois, laissant derrière lui un tout jeune baron à peine âgé de seize ans. Ma grand-mère s’est occupé des plus jeunes bien sûr, mais elle a également été nommée tutrice officielle en l’absence de parent masculin proche dans la succession. Cette mission était autrefois dédiée à votre beau-frère Joseph, dont je suis sur que Cousine Jeanne vous a envoyé le faire-part de décès. Heureusement, mon cousin Constant a perdu ses traits d’adolescent idiot et ne s’amuse plus à tourmenter les petites filles par plaisir puéril comme il le faisait il y a quelques années. 
Transcription :
Adelphe : Je trouve que nous nous en sortons vraiment bien en tant que parents.
Marie : Avec l’aide de ta grand-mère bien sûr. Mais je suis d’accord. Je pense que nous sommes prêts pour le suivant.
Adelphe : J’aimerai bien une petite fille qui te ressemble. Alexandre me ressemble beaucoup trop.
Marie : Exactement ! Allons-y !
Adelphe : De suite ? Marie, nous sommes en pleine journée, les ouvriers m’attendent après la fin du déjeuner.
Marie : Alors nous disposons encore largement du temps nécessaire. Viens donc, mari indigne, ce n’est pas ainsi que j’attendrai à nouveau un bébé !
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orpheusz · 11 months
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Maria Yudina, la pianiste de Staline (1899-1970)
"Maria Yudina, la pianiste de Staline (1899-1970)" sur https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/maria-yudina-la-pianiste-de-staline-1899-1970-rediffusion-de-lemission via @radiofrance
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plaque-memoire · 1 year
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Plaque en hommage à : Paul Valéry
Type : Lieu de résidence
Adresse : 12 rue Gay-Lussac, 75005 Paris, France
Date de pose :
Texte : Dans cette maison vécut Paul Valéry 1891 - 1899
Quelques précisions : Paul Valéry (1874-1945) est un écrivain, poète et philosophe français. Il commence à écrire de la poésie dès les années 1890, très influencé par Stéphane Mallarmé. Sa philosophie de vie est particulièrement marquée par une nuit d'orage, du 4 au 5 octobre 1892, durant laquelle ses réflexions bouleversent ses convictions. Il accès à la célébrité en 1917 avec la publication de La Jeune Parque. Il se consacre quelques années encore à la poésie, puis élabore plusieurs essais. Il rejoint l'Académie française en 1924 et enchaîne les honneurs. Durant l'Occupation, il lutte contre les Allemands, notamment au sein du Comité national des écrivains. Il décède peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale.
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Objets mythiques au cœur de toutes les ambitions, trophées consacrant la carrière d’un champion : les coupes de Roland-Garros reflètent l’histoire du tennis et du plus grand tournoi sur terre battue au monde. Remis aux vainqueurs depuis 1953, ces trophées ont évolué avec le prestige du tournoi. Véritables œuvres d’art, ils ont été réalisés par La Maison Mellerio, célèbre joaillier à Paris depuis le XVIIe siècle.
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La coupe des Mousquetaires est remise au vainqueur du simple messieurs depuis 1981 et rend hommage aux quatre Mousquetaires du tennis français : Jean Borotra, Jacques Brugnon, Henri Cochet et René Lacoste.
Vasque en argent décorée par une frise en feuille de vigne à son sommet, elle est agrémentée de deux anses en col de cygne. Le trophée est monté sur un socle en marbre portant le nom des vainqueurs depuis la première édition.
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La coupe Suzanne-Lenglen récompense la lauréate du simple dames depuis 1979 et porte le nom d’une emblématique championne française. Suzanne Lenglen (1899-1938) a remporté à six reprises le tournoi de Roland-Garros. La modernité de son style, son élégance et son panache en ont fait l’inspiratrice des Mousquetaires. Le trophée est, à quelques détails près, la réplique d’une coupe offerte à l’époque par la Ville de Nice à Suzanne Lenglen, conservée au Musée national du sport.
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La coupe Jacques-Brugnon est remise aux vainqueurs du double messieurs. Bel hommage au Mousquetaire Jacques Brugnon (1895-1978), grand spécialiste de cette épreuve dans laquelle il a triomphé cinq fois. Créé en 1989, ce trophée présente des appliques et son pied est décoré d’ornements en relief déclinés de façon répétitive nommés godrons
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La coupe Simonne-Mathieu est remise au duo victorieux du double dames. Créé en 1990, ce trophée rond est agrémenté de deux petites anses en forme de cygne et de moulures en feuille d’eau. Joueuse des années 1930, Simonne Mathieu (1908-1980) est une spécialiste de la terre battue. Elle a disputé à huit reprises la finale de Roland-Garros en simple, pour deux succès, en 1938 et 1939, et a également remporté huit titres dans le double dames et le double mixte. En 1940, Simonne Mathieu rejoint le général de Gaulle à Londres et termine la guerre avec le grade de capitaine.
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Depuis 1990, la coupe Marcel-Bernard récompense l’équipe lauréate du double mixte des Internationaux de France. De forme ovale, le trophée comprend des moulures tournées et rapportées, une frise ciselée et deux anses. Son piètement est garni de deux moulures tournées. Ce trophée fut réalisé en hommage à Marcel Bernard (1914-1994) dont le plus grand fait d’armes est son triomphe à Roland-Garros en 1946. Il fut ensuite président de la FFT de 1968 à 1973.
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June 6 2022
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Le défilé
Ils vont et viennent à n’en finir. Le revoilà le défilé de souvenirs, bons et mauvais, ou mornes ou tristes, ou qui font rire. On est seul avec son passé.
Tous ces souvenirs sont en fête. Ils tiennent le haut du pavé. Et toujours prêts à grimacer, ils font de vous ce que vous êtes. On est seul avec son passé.
Il en est qu’on enfouirait dans la pénombre des années. Il en est qu’on ne sortirait que pour leur faire un pied de nez. On est seul avec son passé.
Il en est qui se chanteraient. Ils sont écrins pleins de lumière. Ils sont bouées, ils sont repères. Qu’il est doux de s’y accrocher ! On est seul avec son passé.
Esther Granek
[Alphonse Osbert - Route, arbre à gauche, femme assise et fagot à droite (1899]
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Bague "Chauve-Souris" de René Lalique offert par Liane de Pougy à Natalie Clifford-Barney en émail, opale, argent et or (circa 1899) à l'exposition "Pionnières : Artistes dans le Paris des Années Folles" au Musée du Luxembourg, mai 2022.
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
MEZZ MEZZROW, DE L’ÉCOLE DE RÉFORME AU SWING
Né le 9 novembre 1899 à Chicago, en Illinois, Milton Mesirow, dit Mezz Mezzrow, était issu d’une famille d’immigrants russes d’origine juive. Mezzrow a appris à jouer du saxophone à la Potomac Reformatory School où il a été incarcéré à partir de l’âge de seize ans pour avoir volé une automobile. Selon un de ses biographes, Mezzrow, avait fait de nombreux séjours dans les écoles de réforme et les prisons avant de découvrir le jazz et le blues à la fin de son adolescence. Trouvant une sorte de rédemption dans la musique, Mezzrow avait alors tenté d’imiter ses idoles Freddie Keppard, Joe Oliver, Louis Armstrong et Jimmy Noone.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
À la fois clarinettiste et saxophoniste ténor, Mezzrow avait enregistré à la fin des années 1920 avec les Jungle Kings, les Chicago Rhythm Kings et le groupe d’Eddie Condon. Il avait aussi joué avec un groupe appelé le Austin High Gang. En compagnie d’autres musiciens blancs comme Eddie Condon et Frank Teschemacher, Mezzrow s’était rendu au Sunset Café de Chicago où il avait pu entendre Louis Armstrong et son célèbre Hot Five. Mezzrow admirait tellement Armstrong qu’après la publication du classique "Heebie Jeebies", il avait parcouru la distance de 53 miles jusqu’en Indiana avec Teschemacher pour pouvoir jouer la pièce devant Bix Beiderbecke.
C’est en 1927 que Mezzrow s’était installé à New York et avait commencé à jouer avec Eddie Condon.
Dans les années 1930, Mezzrow avait joué avec différents groupes de swing aux côtés de grands noms du jazz comme Benny Carter et Teddy Wilson. Durant la même décennie, Mezzrow, qui avait contribué à briser la barrière raciale, avait également dirigé un groupe multi-ethnique appelé les The Disciples of Swing. Le groupe était notamment composé d’Eugene Cedric au saxophone ténor, de Mezzrow à la clarinette, de Frank Newton, Sydney De Paris, Max Kaminsky et Dolly Armendra à la trompette, de George Lugg et Vernon Brown au trombone, d’Elmer James au tuba, de John Nicolini au piano et de Zutty Singleton à la batterie. Durant une brève période, Mezzrow avait aussi été le gérant de Louis Armstrong.
Avec l’orchestre de Tommy Ladnier, Mezzrow avait aussi enregistré le thème musical qui l’avait fait connaître et intitulé “Really The Blues”.
Mezzrow a fait ses débuts sur disque en 1933 avec un groupe appelé Mezz Mezzrow And His Orchestra. La formation, qui était surtout composée de musiciens de couleur, comptait dans son alignement des grands noms du jazz comme Benny Carter, Teddy Wilson, Pops Foster et Willie "The Lion" Smith, mais comprenait également le trompettiste d’origine juive Max Kaminsky. Mezzrow a également participé à six enregistrements de Fats Waller en 1934.
Un des grands moments de la carrière de Mezzrow à cette époque avait été un enregistrement en 1938 organisé par le producteur français Hugh Panassie, qui était devenu un de ses grands amis et qui l’avait réuni à son idole Sidney Bechet. Tommy Ladnier participait également à l’enregistrement.
Grand admirateur de Bechet, Mezzrow avait fondé sa propre maison de disques appelée King Jazz, qui avait été en activité de 1945 à 1947 et qui lui avait permis d’enregistrer fréquemment avec Bechet au milieu des années 1940 ainsi qu’avec le trompettiste Oran "Hot Lips" Page. Même si Mezzrow était loin d’arriver à la cheville de Bechet, on doit lui accorder le mérite de s’être trouvé au bon endroit au bon moment, ce qui lui avait permis de participer à plusieurs enregistrements avec Bechet et d’autres grands noms du jazz, tant à New York qu’à Chicago de 1945 à 1947. Ces enregistrements, qui mettaient en vedette le Mezzrow-Bechet Quintet et le Mezzrow-Bechet Septet, mettaient à contribution des musiciens de couleur comme  Frankie Newton, Sammy Price, Tommy Ladnier, Sid Catlett, ‘’Pleasant'' Joe ainsi qu’Art Hodes, un musicien blanc né en Ukraine.
DERNIÈRES ANNÉES
Après avoir participé en 1948 au Festival de Jazz de Nice, Mezzrow s’est installé en France, où il s’était rapidement acquis le respect des musiciens de jazz locaux. Durant son séjour en France, Mezzrow avait fondé plusieurs groupes composés à la fois de musiciens français comme Claude Luter et de musiciens américains de passage comme Buck Clayton, Peanuts Holland, Jimmy Archey, Kansas Fields, Lee Collins et Lionel Hampton. Avec Clayton, un ancien trompettiste de l’orchestre de Count Basie, Mezzrow avait enregistré une version du classique "West End Blues" de Louis Armstrong en 1953.
Dans les années 1950, Mezzrow a continué d’enregistrer pour plusieurs compagnies de disques françaises.
Mezzrow est demeuré en France jusqu’à sa mort dans un hôpital américain de Paris le 2 août 1972. Il était âgé de soixante-treize ans. Le décès de Mezzrow a été attribué à une crise d’arthrite qui avait atteint sa moelle épinière. Mezzrow a été inhumé au cimetière du Père-Lachaise. À l’époque, l’épouse de Mezzrow, Johnnie Mae Mezzrow, était déjà décédée. On survécu à Mezzrow son fils Milton H. Mesirow, ainsi que ses deux frères domiciliés en Illinois.
Même si Mezzrow  était d’origine et de religion juive, il avait épousé une afro-américaine, Johnnie Mae, qui était de religion baptiste. Le couple a eu un fils, Milton H. Mesirow, Jr. Au cours d’une entrevue qu’il avait accordée au New York Times en 2015, "Mezz Jr.", comme il était surnommé, avait déclaré qu’il avait toujours vécu entre deux cultures. Comme il l’avait souligné, "My father put me in a shul, and my mother's side tried to make me a Baptist. So when I'm asked what my religion is, I just say 'jazz.'"
Même si Mezzrow était un saxophoniste et un clarinettiste compétent, Mezzrow était surtout connu pour son autographie intitulée We Called It Music, qui avait été publiée à Londres en 1948. Même s’il était blanc, Mezzrow  avait toujours admiré la culture afro-américaine. Dans son autobiographie, Mezzrow avait même catégoriquement rejeté la société blanche et revendiqué la culture afro-américaine. Dans son ouvrage, Mezzrow  avait écrit qu’à partir du moment où il avait été mis en contact avec le jazz, il était devenu a ‘’Negro musician, hipping [telling] the world about the blues the way only Negroes can." Eddie Condon avait confirmé: "When he fell through the Mason–Dixon line he just kept going". Avec sa famille, Mezzrow  vivait à Harlem. Se définissant lui-même comme ‘’Negro’’, Mezzrow était d’ailleurs décrit comme tel sur sa carte de mobilisation émise durant la Seconde Guerre mondiale. L’autobiographie de Mezzrow, qui se concentre principalement sur les décennies de 1920 et 1930, malgré certaines inexactitudes historiques, constitue une des rares autobiographies écrites par un des premiers musiciens de jazz, tout en étant aussi une des mieux documentées et des plus divertissantes.
Grand consommateur de marijuana dont il faisait la promotion dans sa musique, Mezzrow était également reconnu comme ‘’dealer.’’ Surnommé ‘’Muggles King’’ (le mot Muggles étant un terme de slang désignant la marijuana), Mezzrow fournissait également de la marijuana à Louis Armstrong qui était un de ses meilleurs clients. La chanson de 1928 d’Armstrong intitulée "Muggles" fait d’ailleurs explicitement référence à Mezzrow. Dans une de ses lettres écrite en 1932, Armstrong précisait d’ailleurs comment et à quel endroit Mezzrow vendait de la marijuana.
En 1940, Mezzrow a été arrêté sous l’inculpation d’avoir été en possession de soixante joints de marijuana alors qu’il tentait d’entrer dans un club de jazz afin d’en faire le trafic. Au moment d’entrer dans sa cellule, Mezzrow  avait informé les gardiens qu’il était noir et qu’il devait être envoyé dans la section réservée aux prisonniers de couleur. Dans son ouvrage Really the Blues, Mezzrow  écrivait:
‘’Just as we were having our pictures taken for the rogues' gallery, along came Mr. Slattery the deputy and I nailed him and began to talk fast. 'Mr. Slattery,' I said, 'I'm colored, even if I don't look it, and I don't think I'd get along in the white blocks, and besides, there might be some friends of mine in Block Six and they'd keep me out of trouble'. Mr. Slattery jumped back, astounded, and studied my features real hard. He seemed a little relieved when he saw my nappy head. 'I guess we can arrange that,' he said. 'Well, well, so you're Mezzrow. I read about you in the papers long ago and I've been wondering when you'd get here. We need a good leader for our band and I think you're just the man for the job'. He slipped me a card with 'Block Six' written on it. I felt like I'd got a reprieve.’’
En 2015, un club de jazz a été nommé en l’honneur de Mezzrow à Greenwich Village. Le club était simplement baptisé ‘’Mezzrow.’’
Au cours de sa carrière, Mezzrow  a enregistré environ 150 pièces et s’est produit vec les plus grands noms du jazz, de Sidney Bechet à Django Reinhardt, en passant par Frank Teschemacher, Eddie Condon, Tommy Ladnier, Max Kaminski, ‘’Hot Lips’’ Page, Buck Clayton, Lionel Hampton, Sid Catlett, Teddy Wilson, Fats Waller, Pops Foster, Benny Carter, Zutty Singleton, Jack Teagarden, Willie "The Lion" Smith et Memphis Slim.
Malgré le succès remporté par Mezzrow au cours de sa longue carrière, le producteur de disques Al Rose s’était montré plutôt sceptique face à son talent de clarinettiste. Rose avait cependant reconnu à Mezzrow  le soutien qu’il avait accordé aux musiciens dans le besoin et avait souligné "his generosity and his total devotion to the music we call jazz." Dans son autobiographie, Mezzrow avait d’ailleurs admis avoir ‘’définitivement traversé la ligne qui séparait les identités blanches et de couleur.’’ Qualifiant Mezzrow  de “Baron Munchausen du jazz”, le critique Nat Hentoff avait déclaré à son sujet qu’il avait joué “so consistently out of tune that he may have invented a new scale system.”
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Mezz Mezzrow.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Mezz Mezzrow.’’ All About Jazz, 2024.
‘’Mezz Mezzrow, 73, Clarinetist Who Was a Titan of Jazz, Dead.’’ New York Times, 9 août 1972.
‘’Milton ‘’Mezz’’ Mezzrow.’’ The Syncopated Times, 2024.
‘’Mezz Mezzrow, 73, Clarinetist Who Was a Titan of Jazz, Dead.’’ New York Times, 9 août 1972.
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entomoblog · 3 months
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De nouvelles punaises pour la Franche-Comté
See on Scoop.it - EntomoNews
En 2023, lors de collectes opportunistes menées dans le cadre de divers projets du Conservatoire botanique, et de prospections bénévoles menées par ses membres, quelques espèces intéressantes d’Hétéroptères (punaises) ont été collectées en Franche-Comté.
  Parmi elles, 12 sont nouvelles pour l’ex-région :
Coranus (Coranus) griseus (Rossi, 1790)
Hydrometra gracilenta Horváth, 1899
Tuponia (Chlorotuponia) hippophaes (Fieber, 1861)
Dicyphus (Brachyceroea) albonasutus Wagner, 1951
Dicyphus (Dicyphus) tamaninii Wagner, 1951
Geocoris (Geocoris) megacephalus (Rossi, 1790)
Holcocranum saturejae (Kolenati, 1845)
Orius (Heterorius) horvathi (Reuter, 1884)
Psallus (Psallus) flavellus Stichel, 1933
Psallus (Pityopsallus) luridus Reuter, 1878
Saldula arenicola (Scholtz, 1847)
Trigonotylus ruficornis (Geoffroy, 1785)
  Ces découvertes feront l’objet d’un article dédié en 2024. Un atelier centré sur ce groupe sera également proposé cette année.
  [Image] via Newsletter CBNFC-ORI du 09.02.2024 (capture d'écran) - Actualités du Conservatoire botanique national de Franche-Comté – Observatoire régional des Invertébrés
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christophe76460 · 6 months
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Dwight Lyman Moody (5 février 1837 mort le 22 décembre 1899) Il fut un grand un évangéliste Ainsi qu’un éditeur. Et puis un pasteur, fonda la Moody Church, la Northfield School et la Mount Hermon dans le Massachusetts.
Moody est né en 1837. Son père meurt alcoolique. Sa mère devient veuve à 36 ans avec sept enfants et des jumeaux à venir.
Dwight est le plus jeune. Il commence à travailler à 13 ans.
Un oncle pasteur vient les aider. Il baptise Moody. Moody prend conscience de Dieu et commence à le chercher. Il débute dans le commerce de la chaussure à Boston en 1854 à 17 ans grâce à un contact de son oncle. Pour en bénéficier, il doit aller à l’église, mais Il trouve le pasteur ennuyant.
Par contre sa rencontre avec un professeur d’éducation chrétienne dans un parc lors d'une conversation sur l’amour de Dieu provoque en lui une expérience mystique. Moody commente :
- « C’était un nouveau monde. Les oiseaux chantaient mieux et le soleil brillait plus clairement. Je n’avais jamais expérimenté une telle paix. » En 1856, à 19 ans, il va travailler à Chicago dans le commerce de son frère. Cette même année, il devient évangéliste et change d’église. Il distribue des traités partout. Quelques-uns se convertissent et l’église est impressionnée. Inspiré par un groupe de prière pour le réveil, il désire enseigner à l’école du dimanche, mais il y a plus de professeurs que d’étudiants. Il va chercher des gens dans la rue et en quelques jours, le nombre des élèves double. Deux ans plus tard, il commence à enseigner à des enfants du primaire. Ils se réunissent dans un petit wagon de marchandise. Il part ensuite dans un saloon abandonné dans un secteur qu’on appelait « le Petit Enfer ». Les gens venaient de partout pour l’entendre, même le maire de la ville. Celui-ci lui prête gratuitement un autre local… Il est encore dans le commerce à 23 ans. Il gagne 5 000 US$ par an alors que l’église lui propose un salaire annuel 300 US$.
Mais il quitte tout pour le ministère. L’école du dimanche grandit rapidement. En 1861, Abraham Lincoln (qui était sur son chemin pour recevoir l'investiture comme président des États-Unis) visite l’école et il dit aux enfants :
- « Pratiquez ce que vous apprenez de votre professeur, quelques-uns d’entre vous deviendront peut-être président des États-Unis ».
Il travaille avec l’équipe missionnaire du YMCA (Young Men's Christian Association - fondée en Angleterre en 1844 pour l'étude biblique et la prière dans la rue).
En 1862, il se marie avec Emma qui est venue écouter ses sermons. Ils ont deux enfants. Pendant la Guerre Civile, il court au milieu du champ de bataille et demande aux mourants s’ils sont chrétiens. À la demande populaire, il commence une église. Elle brûle un peu plus tard.
Il réunit 20 000 US$ et construit l'Independent Illinois Street Church (aujourd’hui Moody Church). Les gens sont presque tous dans d’autres églises pendant la reconstruction du bâtiment. L’église de 1 500 places débute avec douze personnes en 1864. En 1866, Moody devient diacre. En 1867, il va en Angleterre pour rencontrer un évangéliste qui lui dit :
- « Le monde n’a pas encore vu ce que Dieu peut faire à travers d’un homme qui Lui est totalement consacré ».
Se rappelant cet événement Moody déclara :
- « Alors que je traversais l’Atlantique, ces paroles semblaient gravées sur les planches du bateau, et lorsque je suis arrivé à Chicago elles semblaient incrustées dans les pierres du pavé ».
Dés lors Moody se rendit compte qu’il était impliqué dans trop de ministères et il décida de se concentrer sur l’évangélisation.
En 1868, il engage Ira Sankey à chanter dans ses croisades. Il prêcha son dernier sermon le 16 novembre 1899. Il déclara avoir converti un million de personnes.
Moody réunit un groupe d’industriels et d’hommes d’affaires chrétiens pour parler des besoins financiers d’une campagne d’évangélisation.
- Nous allons faire sur le champ une réunion de prière, dit l'un d’eux très pieusement, pour demander au Seigneur qu’il agisse et qu’il pourvoie à tous les besoins.
- Non, dit Moody sans détour, ce qu’il faut faire, c’est une collecte à l’instant même. Cette collecte va rapporter ce qui était nécessaire pour construire le bâtiment !
Comme quoi avant de prier regardons si nous n’avons pas déjà la réponse à notre prière. Il y a des moments où il vaut encore mieux agir.
2 Corinthiens chapitre 8 et verset 7, nous dit :
« De même que vous excellez en toutes choses, en foi, en parole, en connaissance, en zèle à tous égards, et dans votre amour pour nous, faites-en sorte d’exceller aussi dans cette œuvre de bienfaisance ».
Apprenons à être généreux et surtout pour l'œuvre du Seigneur !
Retrouvez : « Un jour, une histoire ». Sur : www.365histoires.com
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stephanedugast · 6 months
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📌[ÉCHO] 10 ROMANS (DE MER) PHARES 🌊La planète est bleue, qu’on se le dise ! Et c'est un univers qui me fascine, tout comme sa littérature 🖋️
📚 Dans ma bibliothèque idéale, je vous ai (pour le moment) sélectionné 10 romans de ce genre à mon avis indispensables.
Un classement pour l’instant par ordre alphabétique et nom d’auteur.
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🐳 10 ROMANS (DE MER) PHARES Une sélection que je vous propose sur ma page Instagram ces prochains jours, histoire de mettre du bleu dans le ciel gris et maussade du moment.
👉 https://www.instagram.com/stephanedugast/
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💬 Je suis bien entendu ouvert à tous vos commentaires afin d’élargir cette liste, et pourquoi pas in fine établir une sorte de top 50.
💻 À vos claviers donc ! J’attends vos propositions.
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📆 RDV ce mardi 24.10 sur cette même page pour le premier livre sélectionné.
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💡 Un indice... Ce roman a d'abord été publié en feuilleton d'octobre 1899 à novembre 1900 dans le périodique Blackwood's Magazine puis en un volume dans une version révisée à la fin de cette même année.
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selidren · 1 year
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Automne 1899 - Champs-les-Sims
3/4
Constantin essaie aussi de se montrer un peu plus présent ces derniers temps, même si il est accaparé par les études. Rose montre également des signes de jalousie à son égard car Grand-Mère refuse toujours catégoriquement de la laisser étudier la médecine plus tard, même si d’autres femmes le font déjà. C’est un sujet récurrent de disputes entre elles, ce qui n’est pas arrangé par le fait que notre grand-mère la traite encore comme une petite fille, bien qu’à treize ans elle soit déjà presque aussi grande qu’elle. Si ma grand-mère s’évertue à faire de la résistance même après que Rose ait passé son baccalauréat (et avec succès, il ne fait aucun doute qu’elle est au moins aussi brillante que son frère), je n’aurai d’autre choix que d’user de mon statut pour lui forcer la main. Constantin est majeur cette année, mais personne ne se fait d’illusions sur le fait que je resterai de facto le chef de famille encore un long moment, et le bonheur de mes cousines est important pour moi.
Chaque jour qui passe, elle ressemble davantage à Tante Clémence, et je crois que cela nous perturbe tous un peu. Penser à elle, ou même évoquer son nom, est une source de malaise pour mes cousines, et il ne se trouve plus que Constantin pour parler avec émotion de sa mère et espérer qu’elle reviendra un jour. J’ai conscience que cela n’arrivera jamais, mais la seule fois où j’ai tenté d’aborder le sujet avec lui, il s’est mis dans une colère noire. Du fait de leurs relations souvent difficiles, mon cousin s’est assez vite remis de la nouvelle du décès de son père, mais sa mère lui manque toujours effroyablement. Cela ne fait que renforcer mes propres angoisses vis-à-vis de mon fils. 
Transcription :
Eugénie : Rose ! Amène Alexandre. Il ne cesse de geindre, il est trop fatigué pour jouer avec toi.
Rose : Grand-Mère ! Regardez plutôt qui est venu nous rendre visite !
Eugénie : Oh Constantin mon petit ! On ne t’attendait pas avant la semaine prochaine !
Constantin : Bonjour Grand-Mère. Vous avez raison, mais mon emprunt du livre de Victor Loret a du être reporté. La personne qui l’emprunte actuellement a du retard, donc le mien est repoussé. J’avais prévu de l’étudier en détail cette semaine car il relate les découvertes de KV35. Vous savez de quoi il s’agit Grand-Mère ?
Eugénie : Je n’en ai pas la moindre idée, mais tu auras tout le temps de m’en parler. Que dirais-tu de venir te promener avec moi jusqu’aux caveaux ? Il s’agit d’autres genres de tombes après tout.
Constantin : D’accord. Cela vous intéresse vraiment ?
Eugénie : Je m’intéresse à tout ce que tu fais mon petit, peu importe que je n’y comprenne rien.
Rose (chuchote) : L’accolade Constantin !
Eugénie : Combien de temps reste-tu ? Deux semaines ?
Constantin : D’abord je voulais rentrer pour la semaine prochaine, pour pouvoir aller emprunter le livre, mais Adelphe aimerait que je reste un peu plus longtemps. Il m’a dit qu’il voulait passer du temps avec moi autant que possible car entre son fils et son travail, il n’a pas beaucoup de temps libre. Et puis Rose et Juliette veulent aussi que je leur consacre mes soirées. Rose dit que Juliette est trop aisée à battre.
Rose : Quoi ? Mais non ! Je n’ai jamais dit ça !
Constantin : Si tu l’as dit puisque je t’ai entendue.
Eugénie : Et donc ?
Constantin : Oui, je reste deux semaines.
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