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#blanche cardinale
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Did Claudia Cardinale and María Felix meet?
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Yes, they met in June 1961 taking pictures with the singer Lady Patachou at the "Nuit de la chancellerie" gala in France but the Felix - Cardinale relationship was not and did not reach a friendship.
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At the end of the following year director Henry Hathaway was looking for an older, experienced actress for his film "Circus World" for the role of "Lili Alfredo", the mother of Tony Alfredo (played by Claudia Cardinale), and here comes the problem. First they offered María Félix the role of "Lili Alfredo" playing the mother of "Tony" but the popular 'María Bonita' expressed herself saying: "I will not play the role of the mother of a novice actress" since she found out that Claudia would be the protagonist.
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To María Felix's petulant refusal; the director Henry Hathaway did not know who to offer and this was known to John Wayne (father of Claudia/Tony in the film as Matt Masters) to whom the director gave his trust so that he would not leave his 'daughter' Tony "orphaned" and Wayne contacted his dear friend the iconic Rita Hayworth and she kindly accepted without any differences with the new young protagonist Claudia Cardinale.
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Filming began in September 1963 and concluded in February 1964 in Madrid, Spain, premiering that same year, being a great success at the time!
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"One day Rita came into my caravan and started crying, something that disconcerted me and she told me: 'I was beautiful too one day'. It hurt me a lot because for me she was a goddess"
-Claudia Cardinale in "Essere Claudia", 2007.
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Credits:
📷 Photographs, date and location information by Élie Kagan. 🎬 Gifs of "Circus World home movie" in Spain, 1964. Black and white gif is Claudia's sister Blanche Cardinale as her assistant.
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chicinsilk · 1 month
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Gérard Pipart for Nina Ricci Haute Couture Collection Fall/Winter 1964-65. Actress Claudia Cardinale in a white silk cocktail dress trimmed with ostrich feathers.
Gérard Pipart pour Nina Ricci Collection Haute Couture Automne/Hiver 1964-65. L'actrice Claudia Cardinale dans un robe de cocktail de soie blanche bordée de plumes d'autruche.
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gatabella · 8 months
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Claudia Cardinale with her sister Blanche, 1960s
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claudehenrion · 2 months
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Et le fautif est...
Nous vivons tout de même une époque fantastique : toute seule et sans que personne ne lui ait rien demandé, elle arrive à endosser et à sublimer la totalité des défauts qui ont empêché, à travers les âges, l'humanité de trouver sa place, son équilibre, son identité... donc son bonheur ! Notre monde est peuplé --et il en meurt, d'ailleurs-- de surdiplômés qui prétendent se rêver paysans, de gens assis qui se veulent aventuriers, de donneurs de leçons qui croient se substituer aux écoliers, et –ce sont les mêmes !-- de nuls qui se pensent intelligents ! (''J'ai les noms''... ajoutait Coluche !).
Combien de fois l'avons-nous entendu, ce fabricant de poncifs qui pollue nos petits écrans en discourant avec autorité sur absolument tout ce qu'il ignore tout aussi absolument ? Il est là, poussah assis comme sur un trône, faisant l'éloge conjoint (à écrire en deux mots, ici !) de la marche et du mouvement. Il est bouffi de son savoir ès-toutes choses, au point de se sentir investi du devoir de nous expliquer les charmes de la table rase, du retour aux sources, de la naïveté baptisée vertu cardinale, de la décroissance, s'autorisant même un éloge du farniente, du télé-travail et de la RTT réunis... voire de la guerre préventive contre un ennemi qui pourrait menacer notre long terme, un jour : ''autant --dit-il-- lui déclarer la guerre, là, et mourir tout de suite''...
Les plus malhonnêtes ont poussé le bouchon jusqu'à voter la semaine de 35 heures comme susceptible d'être ''une conquête sociale'' et une victoire du genre humain sur la société... qui 25 ans plus tard, est incapable de se remettre de ce coup fatal... D'autres re-baptisent ''fraternité'' le fait d'assassiner ceux qui ne produisent plus rien pour la société, et ''dignité'' l'abandon de la vie... Jamais autant qu'aujourd'hui n'a-t-on eu le droit d'affirmer que ''les mots tuent''. On se demande même s'il ne faudrait pas dire : ''Les mots, seuls, tuent vraiment...''.
Nos apprentis sorciers imaginent leur savoir si encyclopédique qu'ils se paient le luxe de vanter les bienfaits (?) de l'ignorance et les avantages douteux de ''la page blanche''.... d'où ils vont tirer que le comble du bonheur futur sera dans la grossièreté, la vulgarité promue ''distinction'', la mauvaise éducation devenue agression et récrimination permanente, l'inculture caricaturale... et l'assistanat, incontournable pour les enfants des autres (qu'ils désignent par ''nos enfants'', ceux qu'ils n'ont pas eus, sans qu'il soit possible d'établir le moindre rapport entre les prémisses et la conclusion : leurs syllogismes sont illogiques, et eux, trop bouffis de leur importance auto-proclamée pour pouvoir s'en rendre compte !)
Moins ils comprennent le monde, et plus ils plastronnent : rien de tel qu'un orateur pour expliquer le silence... qu'une pensée architecturée pour décrire l'anarchie... qu'un haut fonctionnaire-à-vie pour expliquer les avantages de l'allocation-chômage... qu'un ex-prix de thème pour vanter les qualités poétiques ou autres du dernier de la classe... qu'un énarque, qui a tout et n'en tire rien, pour déclarer ''bonne'' l'étoile de celui qui n'a rien et en tire ce qu'il peut... ou qu'un démocrate ''façon Science-Po'' pour excuser les dérives survenues très loin de là, ou tout près de lui mais à des gens qui ne sont pas ''du même monde que lui''... ou qu'un exempté de tout service militaire pour rêver d'en découdre avec l'armée russe... Mais la contradiction n'a-t-elle pas toujours fait partie des ''impedimenta'' que l'homme, cet éternel nomade, traînait avec lui ?
Dimanche dernier, sortant de ma messe dominicale chez ''mes'' petites sœurs de Bethléem, je suis tombé sur un ami (une vague ''relation'', plutôt) qui passait par là, par pur hasard, et qui m'a susurré que lui n'entrait plus dans des endroits aussi peu fréquentables qu'une église (sous-entendu : pas comme les idiots qui n'ont pas encore trouvé les bienfaits du ''Non'' –que moi, je ne veux pas connaître : ''à chacun selon ses mérites'', disait Étienne-Gabriel Morelly, ''le philosophe oublié'', dans son ''Code de la Nature'' (1755, donc ''une lumière''), idée reprise en 1840 dans ''Voyage en Icarie'' par Etienne Cabet, théoricien du ''communisme chrétien''(sic ! Le nom, seul, me donne envie de pouffer de tristesse ! Car il y en a eu aussi, des cons, avant nous ! Ça rassure !).
Bref cette autorité morale uniformément reconnue par lui-même m'a abreuvé des poncifs mille fois entendus : notre civilisation est trop hypocrite... notre vieux continent, fichu... le christianisme n'est qu'un souvenir en Europe... qui, elle-même n'est plus qu'un mot, une enveloppe vide. Ne pensant qu'à fuir, je n'ai pas éprouvé le besoin de lui expliquer que pendant qu'il psittacisait ses lieux communs, je pensais à ma joie d'être né dans un lieu où les sagesses gréco-latines (comme lui et moi) et judéo-chrétiennes (pour moi seul l) s'étaient mêlées pour donner naissance à cette idée folle qu'on appelle ''Liberté'', ce concept qui, précisément, lui permet le choix d'entrer ou non dans une église, et –pour moi-- de revisiter avec extase Saint Etienne du Mont et son jubé, Saint Séverin et son pilier-palmier improbable ou Saint Sulpice et les 106 jeux de son orgue, en espérant qu'un organiste viendra répéter à ce moment-là...
Les grands esprits microscopiques qui nous dirigent ont tué en eux l'enfant qu'ils n'ont peut être même jamais été : ce sont des comptables (dont une définition est : ''ce sont des tables avec des gens autour...''!), des gestionnaires ou des contrôleurs de gestion, des régisseurs ou des administrateurs, des préposés aux normes et aux formulaires qui ne voient leurs semblables que comme derrière un guichet, entre deux classeurs... mais ont oublié ce que c'était qu'un sourire. Et lorsqu'ils parlent de ''nos enfants'' (ceux qu'ils n'auront jamais : il est bien trop tard, et ils ne savent plus en faire !) et de ''leur futur'' (qui fait peur aux êtres vivants, qu'ils ne sont plus), on a l'impression de lire une norme en pleine élaboration... Là où les hommes, assurés du minimum vital, ont besoin de dignité, de reconnaissance, de tendresse, (merci, Maslow !), de vérité et de mots simples, ils ne proposent que des chiffres triturés, de leur morale amorale, et d'une anti-économie dépensière... sous couvert de ''concret'', ce premier stade de la chute vers la mort...
Pourtant, paysans de tous les pays ou pas, un vent de fraîcheur semble s'être levé sur le monde... Ici, là, un peu partout, les structures bureaucratiques craquent, les normes se fissurent, les gens –je veux dire : ''les vrais gens'', ni nos politiciens retardataires (dont il est urgent de se débarrasser), ni les collaborationnistes ''fans'' de ces idéologies sans idées qui ont rendu les hommes fous et malheureux depuis le XVIIIème siècle et ont engendré tant de monstres indésirables en ''--isme'', pas plus que ceux qui tentent de s'inventer une nouvelle jeunesse (déjà vieille) mais qui sont au moins ''aussi pires'' (car drogués à tout ce qui assassine l'Humanité depuis 6 ou 7 ans : le faux écologisme, le wokisme, l'indigénisme, le décolonialisme pathologique, le racisme-à-toutes-les-sauces, le faux féminisme dément, le ''cancel-culture'' qui est un authentique ''cancel l'Humanité'', etc... il y en a trop, disent les réseaux sociaux, de ces psychotropes pour psychopathes très haut placés... ou très haut consommés).
Les hommes se révoltent, dans tous les pays, à commencer par ceux qui sont les plus soumis à l'ordre désordonné actuel... Redressons la tête : tout n'est pas perdu ! Ça ne va pas être facile, mais au moins, l'espoir renaît. Comme il nous manquait !
H-Cl.
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printempsetautomnes · 10 months
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La mort chez les Chinois
Hello, ça fait longtemps ?
J'ai récemment subi le décès de mon père. C'est une épreuve très dure, mais qui est, je trouve, soulagée par les pratiques/croyances chinoises. Je me suis dit qu'en parler ici serait peut-être intéressant, permettrait de faire comprendre une facette importante de notre vie et nos rites à une communauté qui ne les connaît certainement pas ou peu. Et pourrait offrir une vision plus douce de la mort à des personnes qui ont perdu des proches, récemment.
Encore une fois, je rappelle que mes pratiques, mon point de vue, n'engagent peut-être pas tous les Chinois de la même façon et sont peut-être plus spécifiques à ma région et ma culture (Hong Kong, culture hakka et cantonaise, très grande importance accordée aux ancêtres).
Famille et vénération des ancêtres
Tout d'abord, il faut comprendre la part très importante que joue la famille dans la vie des Chinois. J'en ai déjà parlé dans de précédents articles, mais la piété filiale est une valeur cardinale dans notre culture traditionnelle (certainement moins aujourd'hui, où elle est parfois décriée pour les travers qu'elle entraîne). Tout est centré autour de la famille, c'est le socle de la société chinoise. Il faut respecter et honorer ses parents, ses ancêtres. Ça s'applique aussi à ses proches décédés. Il n'y a pas une profonde séparation entre vie et mort comme on peut le trouver dans le christianisme : les esprits des ancêtres sont toujours là, pour influencer, aider, guider leurs descendants. Si ça vous parle mieux, pensez au film Coco et au Jour des morts mexicain ! L'au-delà chinois en est proche dans l'idée, les ancêtres continuent de vivre et aller bien dans l'au-delà, tant qu'ils ont des personnes qui se rappellent d'eux, leur font des offrandes, prient pour eux. C'est pourquoi nous leur offrons nourriture, thé, alcool, brûlons argent funéraire, encens, bougies et autres symboles d'objets du quotidien qu'ils aimaient, c'est pourquoi nous les incluons dans notre vie de tous les jours, allons les saluer pour les fêtes et occasions importantes. Les morts ne sont jamais vraiment partis et en veillant à leur bien-être dans l'au-delà, ils continuent de veiller en retour sur nous. C'est une vision extrêmement apaisante de la mort et du deuil, qui m'aide personnellement beaucoup à traverser cette dure épreuve.
Rites, communauté et souvenirs
De nombreux rites entourent des funérailles chinoises. Les nombres et couleurs à éviter (pas de nombres pairs, pas de couleurs vives), les aliments à choisir et préparer (poulet, porc, poisson, fruits, thé, alcool), les enveloppes à recevoir (blanches) et donner (rouges), etc. Tout est très codifié. Si j'avais connaissance de certains rites grâce à mes visites aux tombes de ma famille ou à leurs autels, organiser des funérailles était une toute autre affaire. Et vivre en Europe demande de faire des sacrifices : pas possible d'engager un prêtre taoïste pour officier la cérémonie, pas possible d'enterrer dans une montagne.
La force, le soutien et l'aide de la communauté chinoise a été sans pareil. Je suis profondément reconnaissante de faire partie d'une communauté qui a montré tant de respect et d'affection pour mon père, célébré sa vie, offert prières et bénédictions pour que son départ s'effectue au mieux. Et pour ma famille et mes proches restés au pays, je sais qu'ils sont soulagés de me voir perpétuer les traditions, de me voir construire un autel pour mon père, allumer de l'encens, lui parler, prier, guider son esprit. Savoir que je prends soin de son esprit les apaise et leur apporte du réconfort.
En bref
Le deuil n'est pas une étape facile à vivre, surtout quand il s'agit de la perte d'un parent. Mais la vision chinoise de la mort, de l'au-delà, des esprits des ancêtres, a quelque chose de très doux et réconfortant. Les esprits des ancêtres ne sont jamais vraiment partis, et tant qu'on prend soin d'eux comme eux ont pris soin de nous dans notre vie, ils continueront d'aller bien et veilleront sur nous depuis l'au-delà. La mort est simplement une étape de la vie.
youtube
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alexlacquemanne · 8 months
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Aout MMXXIII
Films
L'Appel de la forêt (The Call of the Wild) (2020) de Chris Sanders avec Harrison Ford, Omar Sy, Karen Gillan, Dan Stevens et Bradley Whitford
Indiscret (Indiscreet) (1958) de Stanley Donen avec Cary Grant, Ingrid Bergman, Cecil Parker, Phyllis Calvert et David Kossoff
Jojo Rabbit (2019) de Taika Waititi avec Scarlett Johansson, Roman Griffin Davis, Thomasin McKenzie, Taika Waititi, Sam Rockwell et Rebel Wilson
Le Verdict (The Verdict) (1982) de Sidney Lumet avec Paul Newman, Charlotte Rampling, Jack Warden, James Mason, Milo O'Shea, Lindsay Crouse et Ed Binns
Mondwest (Westworld) (1973) de Michael Crichton avec Yul Brynner, Richard Benjamin, James Brolin, Dick Van Patten, Anne Randall, Majel Barrett et Terry Wilson
La Grande Lessive (!) (1968) de Jean-Pierre Mocky avec Bourvil, Francis Blanche, Roland Dubillard, Jean Tissier, Michael Lonsdale, R. J. Chauffard, Jean Poiret, Karyn Balm et Alix Mahieux
La Traversée de Paris (1956) de Claude Autant-Lara avec Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès, Jeannette Batti, Georgette Anys, Robert Arnoux, Laurence Badie et Myno Burney
Austerlitz (1960) d'Abel Gance avec Pierre Mondy, Jean Marais, Martine Carol, Elvire Popesco, Georges Marchal, Vittorio De Sica, Michel Simon, Rossano Brazzi, Claudia Cardinale et Leslie Caron
La Bride sur le cou (1961) de Roger Vadim avec Brigitte Bardot, Joséphine James, Mireille Darc, Edith Zetline, Michel Subor, Jacques Riberolles et Claude Brasseur
Hiroshima, mon amour (1959) d'Alain Resnais avec Emmanuelle Riva, Eiji Okada, Bernard Fresson, Stella Dassas et Pierre Barbaud
Quo vadis (1951) de Mervyn LeRoy avec Robert Taylor, Deborah Kerr, Leo Genn, Peter Ustinov, Patricia Laffan, Buddy Baer et Finlay Currie
La Classe américaine : Le Grand Détournement (1993) de Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette avec Christine Delaroche, Evelyne Grandjean, Marc Cassot, Patrick Guillemin, Raymond Loyer, Joël Martineau, Jean-Claude Montalban, Roger Rudel et Gérard Rouzier
Beethoven 3 (Beethoven's 3rd) (2000) de David M. Evans avec Judge Reinhold, Julia Sweeney, Joe Pichler, Michaela Gallo, Mike Ciccolini, Jamie Marsh et Danielle Keaton
The Big Short (2015) d'Adam McKay avec Christian Bale, Steve Carell, Ryan Gosling, Brad Pitt, Melissa Leo, Rafe Spall et Marisa Tomei
GoldenEye (1995) de Martin Campbell avec Pierce Brosnan, Sean Bean, Izabella Scorupco, Famke Janssen, Joe Don Baker, Judi Dench, Robbie Coltrane, Tchéky Karyo et Alan Cumming
The Grand Budapest Hotel (2014) de Wes Anderson avec Ralph Fiennes, Tony Revolori, F. Murray Abraham, Saoirse Ronan, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willem Dafoe et Jeff Goldblum
Le Hussard sur le toit (1995) de Jean-Paul Rappeneau avec Juliette Binoche, Olivier Martinez, Claudio Amendola, Isabelle Carré, François Cluzet, Jean Yanne : le colporteur juif et Pierre Arditi
Heat (1995) de Michael Mann avec Al Pacino, Robert De Niro, Val Kilmer, Tom Sizemore, Diane Venora, Amy Brenneman, Dennis Haysbert, Ashley Judd, Mykelti Williamson et Natalie Portman
Excalibur (1981) de John Boorman avec Nigel Terry, Helen Mirren, Nicol Williamson, Cherie Lunghi, Nicholas Clay, Paul Geoffrey, Robert Addie, Gabriel Byrne, Patrick Stewart et Liam Neeson
Le Grand Chantage (Sweet Smell of Success) (1957) d'Alexander Mackendrick avec Burt Lancaster, Tony Curtis, Susan Harrison, Martin Milner, Sam Levene, Barbara Nichols et David White
Séries
Castle Saison 2, 3
Rire et Châtiment - Le Flic fantôme - La Guerre des cuisines - Doublement Mort - Espion d'un jour - Présumé coupable - Mort par prédiction - Rencontre avec le passé - Duel à l'ancienne - Anatomie d'un assassinat - Triple Tueur - Célèbre à tout prix
Happy Days Saison 1
Échec ou mat - La Première Bagnole - La Première Cuite de Richie - Une visite inattendue - Le Festival rock - Le Club des Démons - Fonzie vient dîner - Nuit au palace - Une rupture difficile - Qui perd gagne - Rendez-vous surprise - Le Tatouage de Richie - Richie et les beatniks - Le Garçon d'honneur - De la bagarre dans l'air - Un homme prudent
Inspecteur Barnaby Saison 11
Les Noces de sang - Fusillé à l'aube - L’assassin est servi - Macabres Découvertes - Une alliance maléfique - Le Crépuscule des héros - Le Mystère du bois des moines
Downton Abbey Saison 1, 2
Question de succession - Le Nouvel Héritier - Le Diplomate turc - Entre ambitions et jalousies - La Rumeur se propage - La Fiancée de Matthew - L'Entraide - La Maison des intrigues - Portés disparus - Nouvelles Vies - Épidémie - L'Esprit de Noël
Affaires sensibles
Mai 68, le coup de théâtre du Général de Gaulle - Autoroutes françaises : la machine à cash - William Randolph Hearst : de Citizen Kane à Donald Trump - Orson Welles - La guerre des mondes - François Fillon et le "Pénélopegate" - Contrat Première Embauche, mieux que rien ou pire que tout ? - 31 août 1997 : mort d'une princesse anglaise
Kaamelott Livre II
Spangenhelm - Les Alchimistes - Le Dialogue de Paix - Le Portrait - Silbury Hill - Le Reclassement - Le Rassemblement du Corbeau - Les Volontaires II - Le Terroriste - La Chambre - Le Message Codé - La Délégation Maure - L’Enlèvement de Guenièvre - Les Classes de Bohort - Le Monde d’Arthur - Les Tuteurs - Les Jumelles du Pêcheur - Sept Cent Quarante-Quatre - L'Absolution - Les Misanthropes - La Cassette - Plus Près de Toi - La Révolte - Sous les Verrous - Séli et les Rongeurs - Un Roi à la Taverne II - L'Ancien Temps - Le Passage Secret - Les Mauvaises Graines - La Garde Royale - L'Ivresse - Mater Dixit - Spiritueux - La Ronde - Merlin l'Archaïque - Les Exploités - L’Escorte II - Le Larcin - La Rencontre - Les Pigeons - O'Brother - La Fête du Printemps - La Voix Céleste - L'Invincible - Amen - Le Cadeau - Le Complot - La Vigilance d’Arthur - Les Chiens de Guerre - Always - Arthur in Love - Excalibur et le Destin - L'Absent - The Game - La Quinte Juste - La Fumée Blanche - Unagi II La Joute Ancillaire - Le Donneur - Le Jeu du Caillou - L'Alliance - Le Secret d'Arthur - Aux Yeux de Tous - Immaculé Karadoc - La Morsure du Dace - Les Neiges Eternelles - Des Hommes d'Honneur - Stargate - Feue la Vache de Roparzh - Les Vœux - Le Pédagogue - Perceval et le Contre-Sirop - L'Oubli - L'Ambition - Le Poème - Corpore Sano - Le Havre de Paix - L'Anniversaire de Guenièvre - La Botte Secrète II - Les Parchemins Magiques - L'Enragé - Trois Cent Soixante Degrés - Pupi - Vox Populi II - Le Rebelle - Les Félicitations - Les Paris - Les Esclaves - Les Drapeaux - Le Guet - Le Sort Perdu - La Restriction - La Corde - Le Tourment II - Le Plat National - Le Temps des Secrets - La Conscience d'Arthur - La Frange Romaine - L'Orateur - Les Comptes
Le Coffre à Catch
#127 : Dream Match + Kozlov : J'en ai rêvé, Teddy l'a fait ! - #128 : La ECW et Mark Henry nous gâtent de cadeaux ! - #129 : Le pire main event de la ECW : Agius pète un câble ! - #130 : On démarre l'année ECW 2009 avec le Connard du Catch ! - [LIVE] Coffre à Catch Hors-série : ECW December to Dismember
Columbo Saison 1
Accident
Idéfix et les Irréductibles
Labienus tu m'auras pas - Une affaire corsée - Turbine encrassée - Une Ibère dans la ville
Biographies WWE Saison 1
Bret "The Hitman" Hart
Batman, la série animée Saison 1
Les Enfants de la nuit - Version originale - Les Oubliés du Nouveau Monde - Fugue en sol Joker
Spectacles
One Night Only : The Bee Gees Live in Las Vegas (1997)
Livres
Vies des douze Césars de Suétone
Détective Conan : Tome 12 de Gôshô Aoyama
Détective Conan : Tome 13 de Gôshô Aoyama
Hero Corp Tome 3 : Chroniques - Partie II de Simon Astier et Francesca Follini
Les 7 prochaines vies de Greta Thunberg : Que sera, dans vingt cinq ans, Greta devenue ? de Fréville
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albad · 3 years
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Chronique du vingt sixième jour du mois des fous, en l'an de disgrâce 21.
Il se disait que Madame du Cachalot avait reçu l'extrême-onction et qu'on lui administrait de l'air dans les poumons qu'elle avait fort encombrés. Sa commère Madame de la Bornée était sortie toute guillerette de l'Hospital Royal où on lui avait prodigué les meilleurs soins. Elle allait pouvoir continuer sa méchante besogne en coupant les maigres subsides de celles et ceux qui n'avaient plus de labeur.
Le Premier Grand Chambellan, monseigneur le baron du Cachesex, pour n'avoir point voulu montrer son torse blême, avait été mal piqué et la médecine de l’Etoile Tueuse lui avait été ainsi mal administrée. Des caillots eussent pu se former. Par bonheur, monseigneur du Cachesex se portait comme le Pont-Neuf. Mais il n'infligea point au pays sa causerie du jeudi. Ce fut Gode-Froid-Bouillant d’Alanver qui s'en chargea. La mine longue, il embrouilla son auditoire dans une pesante et zézayante logorrhée d'où il ressortait que tout allait mal tout en allant bien, et qu'il fallait distinguer parmi "cinquante nuances de confinement". Les Riens et les Riennes y perdirent leur latin et conçurent moult medisances contre ce Chevalier, dont on se demandait à quoi il pouvait bien servir.
La Sainte Vaccine avançait effectivement cahin-caha. Dans certaines provinces, il était impossible de se voir administrer l'onction faute de fioles. Dans d'autres au contraire, si vous ne vouliez point vous faire vacciner, il fallait passer loin des lieux où s'étaient établis les servants de cette croisade magnifique. D'aucuns racontaient comment ils s'étaient fait attraper et piquer sans avoir pu comprendre ce qui leur arrivait.
Malgré cela, les miasmes prospéraient. Il était désormais interdit de se rassembler à l'air libre à plus d'une demi-douzaine mais les charrettes communes étaient toujours aussi bondées. L'école était - aux dires de monseigneur le duc de la Blanche Equerre- le lieu le plus sûr. Le risque le plus grand était que les parents des bambins decidassent de garder leur progéniture car alors comment eût-on continué de répandre les miasmes depuis les chaumières jusqu'aux escholes et des escholes jusqu'aux chaumières ? Cela ne se pouvait.
A une heure fort tardive ce même jeudi, Notre Infernal Camelot administra à ses vils sujets une sévère remontrance. "Je n'ai aucun mea culpa à faire, ni aucun remords, ni aucun constat d'échec", tels furent les mots que Sa Morgueuse Suffisance asséna à son peuple en guise de potage.
C'était en réalité un brouet bien amer. Par bonheur pour le pays, le Grand Vizir Manolo, l'ancien duc d'Évry, avait fait son retour triomphal. La Gazette Lutèce Potins en fit ses choux gras. Un portrait fort flatteur du Grand Vizir s'étala en pleine page, accompagné d'une ode dithyrambique. Manolo - qui s'était vu mourir de mille maux après que les partisans de la Faction de la Rose lui eurent préféré le petit baron de Toutenamont - revenait en Startupenéchionne faire don de sa personne.
Au Royaume du Grand Cul-par-dessus-Tête, il en allait ainsi. Le déshonneur et la trahison étaient vertus cardinales. L'on s'en prévalait pour se hausser et se hisser au sommet.
Julie d'Aiglemont
#BreveDesChroniques
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samuelpivo · 6 years
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Prendre aux châteaux, partie 1 : Juillet des mes trente ans
Cette nuit j'ai fait l'amour dans la rivière en riant. Dans la cour du château, une fille m'a offert un vélo. Le vélo est à Villeurbanne, mardi je serai à Lyon. La veille, au grand repas, Raphaël – il est poète – me dévorait des yeux. La veille encore, plus tard, sur l'herbe au bord du Lot, nous nous sommes allongés pour regarder le ciel avec cette architecte, ses étoiles. J'ai tenu sa main dans la mienne. Chaque matin, à la rivière, je suis allé me laver. Le mot que nous répétions de l'éveil au coucher, comme un salut : Amour ! La tendresse tacite d'une rencontre entre les murs de pierre, sous les frondaisons, dans les ruines, jusqu'à l'eau où nous nous baignions et nu-e-s si on voulait. Chacun, chacune pouvait dire exactement ses pensées spontanées. Peu importe la date exacte de ces journées, c'est là bas que j'ai eu trente ans, entouré d'ami-e-s quelques jours plus tôt inconnu-e-s. Parlez-moi d'arbres.
Le 9 juillet j'ai écrit ça dans mon carnet, le 9 juillet j'étais heureux. Et puis le 13, je retrouve cet autre lambeau quelques pages plus loin : aujourd'hui, les dealers de mon nouveau quartier, m'ayant préalablement repéré, ont dépêché l'un des leurs me faire la réclame de leur petit commerce et me présenter la gamme de leurs produits. Il s'en est fort bien acquitté. Ce qu'on peut retenir : présents dans ce périmètre réduit que je ne citerai pas pour ne pas faciliter le travail de la BAC, ils proposent toute l'année et selon arrivage shit, du meilleur au pire, et herbe, marocaine via l'Espagne, ou hollandaise. Mon ambassadeur personnel a tenu à préciser : c'est important de donner l'origine des produits, il y a trop de gens qui vendent n'importe quoi. Je ne recourrai pas à leurs services, mais cette adaptation à l'air du temps m'a faite sourire – la traçabilité, valeur cardinale de cette époque commerciale, vient se lover jusque dans le discours du commerce illégal. Et le lendemain, une motarde de la douane demandait ma collaboration sur une station d'autoroute : faisant du stop, avais-je vu une laguna blanche ? J'ai répondu non par réflexe, avant de prendre conscience qu'effectivement, je n'en avais pas vu. Pourtant je sais que la douane ne poursuit que les gros poissons, que les gros poissons ne sont pas des amis, enlaidissent le monde. J'ai seulement cet instinct là qui me pousse à dire non avant d'y réfléchir. À un jour d'intervalle, j'étais, encore une fois, pris dans un seuil : vu tout à la fois comme client possible et bon citoyen informant la douane, des deux côtés de la barrière du trafic de stupéfiant. Le double refus posé à l'une comme à l'autre proposition ne change rien au regard porté sur mon corps, puisque c'est mon corps qui a informé la motarde comme le dealer de la possibilité d'un échange entre nous. Mon corps est donc celui d'un consommateur de substances illicites et celui d'un stopeur prêt à collaborer avec la police. Mon corps est un seuil, puisqu'il raconte au monde que je suis prêt à jouer du côté du chat comme de celui de la souris, et dans le miroir, j'en déchiffre effectivement le message : boucle à l'oreille, au nez, chignon, bijoux épars, mais peau blanche, peau blanche, et dans le carnaval des tissus qui m'habillent, il reste malgré tout – et malgré toute ma volonté à me distinguer, soyons honnête – quelque chose qui résiste presque toujours au schlag, qui raconte le lien distendu que j'ai avec une sorte de bourgeoisie. Nous sommes des seuils, presque toujours. Les miens sont peut-être seulement plus nombreux, sensibles, visibles, parce que j'essaie de travailler à m'extraire des cases, à multiplier les lieux et les rencontres, les mondes et les zones de frottement, et je dis bien : peut-être, parce que dans le fond, plus nombreux que qui, plus visibles que quoi ?
La semaine qui précédait ma semaine au château, j'avais durant deux jours à Paris rendez-vous avec Yasmine, Alba, croisé Maria. Yasmine est allemande, née en Allemagne d'un père allemand et d'une mère d'origine turque, Yasmine a les deux passeports. Alba est franco-espagnole, ou plutôt hispano-française, née à Madrid, grandi là-bas, père espagnol, mère française, arrivée en Île de France seulement pour les études, c'est à dire il y a deux ans à peine. Maria est grecque, foutrement grecque, mais ses études de comédienne, elle les a terminé en France, elle a vécu ici, Montpellier puis Paris et quand je l'ai croisé, elle en était aux derniers jours de cartons – elle-même, repartie depuis deux ans à Athènes, venait aider son amoureux à poser les derniers bouts de scotch sur son retour, lui aussi, au pays natal. Toutes trois ont un seuil que j'envie, sans rancœur mais avec une certaine fascination : elles ne sont pas encloses derrière des frontières mais le portent au-delà de leur héritage. Alba a choisi de vivre de l'autre côté de ce seuil, Maria a décidé de créer le sien propre et Yasmine, venant vivre en France, choisi de l'élargir encore – un troisième lieu pour, s'égarant, s'élargir un peu mieux, creuser le cœur de soi. Pour elles, ce soi penche assurément vers le choix. Évidemment, leurs regards m'intéressent : à propos d'ici, mon chez-soi, mais aussi à propos de ces là-bas qui sont leurs, à propos de toute chose transposable ici ou là-bas et que pourtant, à pas bien loin d'Europe, on ne saisit pas tout à fait de la même façon à Athènes, Madrid, Berlin ou Paris, par exemple.
Yasmine me parle ainsi d'une façon bien plus subtile que toute la littérature que j'ai pu lire, y compris venant des journaux ou des groupes politiques à qui je reconnais une certaine pertinence d'analyse, du référendum d'Erdogan visant les pleins pouvoirs. Elle m'en parle d'un point de vue typiquement intime. Elle est rentrée ce week-end là en Allemagne pour voter au consulat de Turquie. Elle me parle de sa cousine, jusque là seulement turque, qui venait d'entamer les démarches pour prendre l'autre nationalité, celle du pays où elle vit le quotidien. Elle me dit : ma cousine a voté pour Erdogan. Elle parle de ce qui nous effare, nous, gauchistes européens anéantis par le vote des communautés turques d'Allemagne : ces gens-là, vivant loin de la répression, de la censure, de la violence, dans un pays relativement libre, votent donc pour que s'installe, là-bas où ielles ne vivent pas ou plus, une dictature sous la bénédiction des urnes. Mais elle me dit : qui appelle-t-on les turc-que-s d'Allemagne ? Les turc-que-s vivant en Allemagne ? Les personnes binationales ? Elle souligne : celles et ceux qu'on dit turc-que-s d'Allemagne et qui auraient voté contre Erdogan sont souvent des gens qui ont choisi leur nationalité, l'allemande, là où ielles vivent, abandonnant la turque. Double peine prononcée depuis nos regards : turc-que-s, sans plus l'être légalement, par choix, ielles le sont toujours à nos yeux et on les inscrit aussitôt, dans nos têtes, sur la liste de celles et ceux qui ont voté pour l'assombrissement de la Turquie. Ielles auraient voté contre, pourtant. Ce seuil là n'est sans doute pas le même que le mien.
Mais ce que j'aime avec Yasmine, avec Alba, avec Maria, c'est que je peux me taire même si, les conversations que nous tenons m'habitant tant et tant, j'ai sans cesse à la bouche des phrases qui veulent éclore. Seulement, il faut me taire quand même et écouter, apprendre. On apprend bien des gens qu'on aime, qui pensent et ont de quoi diluer les frontières simplement pour avoir vécu. Anna, début juillet, me rend le même écho – seulement, le seuil qu'elle constitue me parle d'un mystère plus profond encore, Anna est à l'équilibre des humains et puis des forêts. Voilà une langue que je ne parle pas, pas du tout, voilà une langue que je découvre, qu'elle ambassade devant moi. C'est Anna qui m'amène au château où mes trente ans se sont baignés dans l'eau de la rivière, où j'ai pu commencer à regarder les arbres en lisant ce que j'apprenais d'eux. Et je parle d'Anna comme je pourrais parler d'Hadrien, encore un seuil qui passe à travers moi : lui, il est des fondateurs du CLAP, le Comité des Livreur-se-s Autonomes de Paris – pour dire clair, l'anarcho-syndicat des livreurs et livreuses de bouffe à vélo de la capitale. D'une poignée, leurs têtes qui s'agitent au dessus des pédales ont réussi le tour de force de s'imposer dans l'espace public et médiatique. Voilà qu'un jour j'apprends qu'à la radio, chez Ruquier, on les a invité à parler. Anna comme Hadrien sont des gens rencontrés dans le maillage des amitiés tressées par le militantisme, l'une m'offrant un peu du langage des forêts, lui, m'ouvrant une fenêtre sur le possible du combat dans un secteur économique atomisé, pressurisé, de travailleurs et travailleuses dont le statut, glissement sémantique, est passé du service à la servitude. Un exemple : alors que leur statut d' "auto-entrepreneur" est déjà le pire qu'on puisse leur souhaiter, payé-e-s au lance-pierre sans prise en compte des conditions réelles du travail (la météo du jour est par exemple un paramètre fondamental), on a pu lire, voir, le soir de juillet où la pluie diluvienne à envahi jusqu'à des stations de métro de Paris, des commentaires, non plus de clients mais je dirais de maîtres, se plaignant que le vélo de leur livraison était immobile (géolocalisation en temps réel oblige) depuis de trop longues minutes. Nous revenons à une époque de serviteurs, mais là où ils , elles étaient logé·e·s au cœur de la maison des maîtres, ceux-ci, celles-ci, désormais, n'ont plus d'autres visages que le logo de la firme dynamique et prometteuse qui les emploie sans jamais vouloir leurs reconnaître un statut salarié. Les bonnes de Genêt pouvaient toujours empoisonner la bourgeois·e·s grâce à l'intimité des habitudes connues ; l'espace de révolte entre serviteur invisibilisé et maître provisoire s'estompe – le CLAP s'emploie à créer une terre ferme où porter le combat, là où semblait flotter seulement le grand vide des plate-formes numériques. Tant qu'on était dans les châteaux, le si discret valet de pied pouvait toujours, dans le silence, ouvrir grande la porte aux camarades de l'ombre. Aujourd'hui, ce sont ces portes qu'il faut réinventer puisqu'ils s'ingénuent  à remodeler une servitude aux murailles qu'ils veulent impénétrables. J'apprends des forêts, j'apprends du drapeau rouge et noir sur lequel flotte un pédalier.
Il faut prendre aux châteaux. Les vider de leurs rois, de leurs reines, ne suffira jamais : il faut prendre aux châteaux. J'ai visité Chambord, je m'en rappelle : j'ai joué dans les grandes cheminées, couru sur le toit vaguement dessiné comme un village, j'ai sué dans Chambord. Les murs étaient clairs, immenses, les pièces vides, nues : Chambord était vidé de tout son mobilier. On admirait la structure, l'ossature, la pièce d'art qu'était l'architecture. Aujourd'hui un programme est lancé pour remeubler Chambord. Une mission de patrimoine, une leçon d'Histoire, ou bien quoi ? Voilà cet écrivain encore prêt à se plaindre, anarchiste jamais content, mais il croit à l'imaginaire et puis, il a déjà visité des palais qu'on n'avait jamais vidé de leurs meubles. Est-ce que tu m'as vu courir à Versailles, dans Sans-Soucis ? La Révolution n'a pas pris le château, elle l'a seulement vidé de ses rois, de ses reines, de la basse-cour des courtisans et courtisanes mais elle ne l'a jamais défroqué du pouvoir. Que voit-on aujourd'hui à Versailles ? Le mobilier de luxe de l'Histoire, le mobilier de luxe du présent : Louis XIV et Jeff Koons se répondent à la perfection, il s'agit seulement d'étaler les richesses. Ça se visite du bout des pieds, on ouvre à la piétaille la visite du mausolée : autrefois vécurent des rois, voyez leur opulence, sache que tu n'es pas de celleux-là, surtout sens-toi minable puisque jamais tu ne sauras faire le poids face à l'or, à la soie. À Chambord j'ai couru, l'image de François I n'est rien venu gâcher – elle n'était simplement pas là. J'avais seulement le génie humain dans l’œil et sous les pieds. Nous ne serons jamais libéré-e-s de notre servitude à l'égard de ces morts si nous persistons à fouler d'un pied humble la chambre mortuaire de leur puissance, jamais totalement défaite dans nos imaginaire. Il faut prendre aux châteaux, certainement pas les visiter. Il faut se cacher dans les coins et faire peur aux gardiens, se trouver une pièce fraîche et faire l'amour sur le plancher, danser comme on en a envie, donner rendez-vous aux ami-e-s, comme on le ferait dans un parc, dans la salle de bal : il faut parler de la même voix que celle que l'on porte au dehors, marcher du pas qu'on veut, s'arrêter simplement à notre guise, poser la main sur les moulures, il faut prendre aux châteaux. Les châteaux sont à nous, ils les avaient volé à travers la sueur des maçons de leurs siècles mais ils sont morts les rois, elles sont mortes les reines, les châteaux sont à nous et si par notre vie ils s'usent plus vite, si nos pas de danse les abîment plus vite, il ne reste qu'une question : plus vite que quoi ?
Il y aura d'autres châteaux, des chapiteaux et des clairières ; les seuls costumes d'apparat que je veux bien admettre sont ceux là : ceux qu'on a cousu pour la joie, qui savent s'extraire des médailles, ceux qui ne sont qu'à nous parce qu'on les a cousu avec nos mains, pas d'après le patron officiel d'une liturgie républicaine, empaillée vivante. Il faut prendre aux châteaux pour qu'ils deviennent comme les halls de gare ou les places publiques, des seuils arrachés aux patrouilles de police, des zones de frottements, de majestueuses zones de vie, nos seuils.
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Claudia Cardinale and her family at home in 1961:
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🔝Claudia playing with her wig hair (Claudia loved wigs and she herself said she had a collection of wigs to go out with).
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🔝Claudia Cardinale, 23, at her house in Castel Giubileo (10 km from Rome) playing in the main patio with her sister Blanche, 22, and if you see in the background on the balcony is their mother, Yolanda Greco.
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🔝Claudia seems studious, reclining on the living room couch in front of an open book, with old naïve paintings on glass decorating the walls.
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🔝Claudia in the garden with her sister Blanche (22 years old), her brothers: Bruno (on the left, 19 years old, electronics student) and Adrien (16 years old), and her dog Beppo, a wolfdog.
Photo credits to: 📷 Patrice Habans for Paris Match magazine. (Getty Images).
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paulrennie · 5 years
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Unpacking my Library • Once Upon a Time in the West • Christopher Frayling • 2019
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I can resist anything but temptation...especially in relation to interesting and beautifully designed books. Indeed, I’ve always judged a book by its cover, and I was very happy to buy a copy of Christopher Frayling’s new book about Once Upon a Time in the West. 
We listened to Christopher, a brilliant performer, speak about the film at the NFT last week. Over the years, Christopher has interviewed almost everybody involved in the making of this film, and the new book collects all of this research, along with stories and pictures, into one place. The author is also an expert in the history of the cinema western genre, and in the Italian film industry too. So, the book has both a depth of detail about the film, and a breadth of context.
Actually, that’s just like the film itself.
The book reminded me that I have a big poster for the film.
I’ve posted before about the film, back in 2011...
There are lots of films about the history of the wild west and many of those films include railway trains. Usually, the train is high-jacked or robbed, or chased by Indians. It’s unusual for the railway system to be structurally embedded in the plot; so as to draw out issues of land-grab, profiteering and social progress. This is post about Once Upon a Time in the West (1968).
The western genre has been a staple of the film industry from the very beginning. Of course, it took a view from outside Hollywood to see what “the Western” could be…
The European Western
During the 1960s, the Italian film industry re-invented the American western film. The genre was attractive for a variety of reasons. The first was that, for many Europeans and because of familiarity, the western was widely acknowledged as a quintessentially American form of film storytelling. Secondly, the pared-down circumstances of the American west allowed for a heightened, or operatic, intensity of drama. Finally, the films were attractive to producers in terms of costs because of their relative economy. These films became identified, because of their Italian origins, as spaghetti westerns.
Italian film-makers drew on their familiarity with the western genre to re-cast the western in a more cynical light than their American contemporaries. Film-makers in America had generally mythologised the west in terms of the harsh, but fair, binary moral certainties of biblical teaching.
The ironic re-invention of the genre became a global phenomenon through the success of Sergio Leone’s Dollars Trilogy. Clint Eastwood was cast as the man-with-no-name bounty hunter, Blondie, and was launched toward global superstardom.
The success of these films encouraged the producers to give the director, Sergio Leone, carte blanche for his next project. That project became Once Upon a Time in the West. In the beginning, the film was elaborated by Leone, Dario Argento and Bernardo Bertolucci. The collaboration between these three produced a story with a conceptual and philosophical sophistication that is unusual for cinema. Argento and Bertolucci both went on to have important careers as film directors.
Marx in the West
The story of Once Upon a Time is set against the land-grab associated with the building of the trans-continental railway. So the drama is played out, against the background of money (capital) and technology (the railway and guns) that provides the determining forces for their actions. The foregrounding of these powerful determinants informs the film with a historical, sociological and psychological realism.
In the 1960s, the critical understanding of human behaviour was advanced through the development of social-science methodologies. The revelation, in detail, of the complex workings of modern society was generally understood as informed by Marxist theory and the pop culture sensibility of the Frankfurt School intellectuals. So, the film provides a watershed by acknowledging and foregrounding, in part at least, the complexity of the systems that determine our behaviour.
Every child is familiar with the railway as a system of interconnected mechanical parts. The model railway layout provides for a perfect representation, in miniature and in simplified terms, of the complex original. It was entirely appropriate that the scriptwriters of Once Upon a Time in the West should focus on the railway as signifier of a specific form of social, political and economic organisation.
The Opening (The Train Arrives)
The title sequence of the film is almost half an hour long. Three men, wearing trademark dusters, await the train and form an intimidating welcoming committee. After a long wait, the train arrives. The men are surprised when no one appears. It is only as the train departs that they become aware of the visitor. After some discussion, a gunfight takes place and the newcomer rides away.
The duster coats are recognised as belonging to a local gang. In fact the agents of railway speculator, Morton, wear the coats as a form of disguise. The ruthlessness of Morton is based on a number of personalities associated with the American railway boom and its associated frauds, scandals and mayhem.
The underhand and double-dealing of the railway speculator provides the framework for a film about violence, duplicity, and revenge. 
The duster is a long, loose work coat made of canvas or linen. It was designed to be worn by horsemen and to fit over their normal clothing and to protect it from trail dust. For practical purposes the coat had an exaggerated vent that allowed the coat to be worn comfortably whilst riding. On foot, the coats had a particular flapping gait. In addition the long, loose, coats allowed a variety of guns and weapons to be concealed. Just like the poncho, the coats allowed for the ready and speedy use of firearms. So the flapping duster was associated in the popular imagination, and from its very beginning, with violent and itinerant groups of horsemen.
These specific associations help explain why the duster was rarely seen in the traditional western. The hero, individually isolated, could ride long distances without requiring special clothing except in the most difficult circumstances. Furthermore, the moral integrity of the hero would be fatally compromised by the use of a coat to hide a gun. Lastly, the action of most westerns is played out against the civilised backdrop of town and community. Even the saloon bar setting of many westerns required the protagonists to fight it out in their Sunday best.
At the same time as the first train, and the visitor, is arriving a terrible massacre is occurring. Over at the Sweetwater Ranch, Morton’s gangsters have murdered an entire family, including the children; the McBains. They are gunned down as they prepare to welcome their new stepmother to the home. The arrival of this woman into the family is a sign of better things. After years of struggle and isolation, the railway is coming and the water, at the eponymous Sweetwater, will bring people, wealth and excitement. Sweetwater will become a whole town and community. McBain’s prescience will have been vindicated.
The Ending (The Railway Arrives)
At the end of the film, the railway is shown arriving at Sweetwater. The new Mrs McBain is shown welcoming workers to a feast and with great pitchers of refreshment. So, notwithstanding all the violence and mayhem, the railway is acknowledged to be an instrument of social progress…
The film starred Charles Bronson, Jason Robards and, cast against type, Henry Fonda. The female lead was Claudia Cardinale. The film has a remarkable musical score by Ennio Morricone.
This is my all time favourite film. I’ve watched it many times and I’m still amazed by it. It’s big, and clever, and beautiful. If you watch the film and like it, give Michael Cimino’s Heaven’s Gate (1980) a go.
Supplemental Sunday 21st August 2011
The film is routinely described as “epic.” It’s certainly got big themes played out against the big spaces of the mid-west. Amongst the cruel brutality there are passages of amazing beauty. One of these, my favourite, is the scene when Mrs McBain (Claudia Cardinale) arrives at Flagstone Station. The train pulls up, she gets off, and is a bit surprised that there is no one to meet her (she doesn’t know that the entire McBain family have been murdered). She moves along the platform and arrives at the ticket office. The camera moves vertically over the building to reveal the town beyond.
The whole scene is touched by the terrible pathos of what we know to have happened. The amazing music by Ennio Morricone adds the finishing touch.
I’ve watched the film loads of times and have payed the opening sequence over and over. Even after all these years, and notwithstanding this familiarity, the sequence of Mrs McBain arriving still amazes me. The combination of pathos, sadness, and beauty; all combined in image, movement and music, is heartbreakingly moving.
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blogapart3bis · 5 years
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http://bit.ly/2XTxZg0
An l’an de grâce deux mille et dix-neuf, qu’il soit connu que, sis en les locaux de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, dans les territoires helvètes, se tint la grande réunion ludique, dite Orc’idée, sous le haut patronage de Son Éminence la Cardinale.
Bon, je vais arrêter là le style pseudo-dix-septième et vous la faire courte: le week-end passé, c’était Orc’idée et c’était bien. C’est normal: Orc’idée, depuis le temps que j'y vais (c'est-à-dire depuis le début, ou peu s'en faut), c’est toujours bien.
Le thème de cette édition était donc « Avec panache », en référence à « Vingt ans après » d’Alexandre Dumas. Certes, Orc’idée a un peu plus de vingt ans, mais on ne va pas chipoter. Peu de conventions en Francophonie peuvent se vanter d’un tel pédigrée.
Orc’idée, c’est donc une convention qui est surtout orientée jeux de rôle, avec pas moins de soixante tables sur les deux jours – y compris la nuit blanche, pour les plus accros. Mais on y trouve aussi du grandeur-nature et du jeux de plateau, plus quelques wargames à figurines.
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Orc'idée 2019 "Avec Panache", convention de jeux à l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), le 26-27 avril 2019. Johan Scipion (au centre) mène une partie de Sombre Zero. Photo: Stéphane Gallay, sous licence Creative Commons (CC-BY)
Plusieurs auteurs et éditeurs avaient fait le déplacement, parfois même de fort loin: Psychée et Alysia étaient présentes pour présenter le jeu des Chants de Loss, presque terminé. Johan Scipion a passé le week-end à exterminer des personnages à Sombre. Le Grimoire est venu avec Le Donjon de Naheulbeuk et j'en passe.
C’est également l’occasion pour des conférences ludiques, sous la bannières de GN’idée (pour les grandeur-nature) et JDR’idée (jeu de rôle, donc).
Comme j’étais pas mal occupé à papoter avec les copains et copines, j’ai malheureusement raté les deux premières conférences de JDR’idée, sauf la fin. C’est dommage, surtout pour la première, signée de Gregory Thonney, qui parlait d’adaptation et de trahisons en jeu de rôle, ce qui est très proche de celle que j’avais écrite sur Freaks’ Squeele.
J’ai pu voir le dernier tiers de la deuxième, d’Audrée Muellener, qui parlait du jeu Bluebeard’s Bride et de comment il subvertissait certains codes du jeu de rôle pour faire passer un message féministe.
Pour la troisième, une table ronde sur le jeu de rôle en Suisse romande, j’ai fait l’effort d’arriver à l’heure. Principalement parce que j’étais un des cinq intervenants et celui qui ouvrait le bal avec un historique du jeu de rôle en Suisse.
Historique un peu frustrant, car plein de trous, que je compte bien étoffer et corriger. À ce sujet, si vous avez connu la période avant 1982, je suis très intéressé. Vous devriez pouvoir voir prochainement la vidéo de la conférence en ligne.
Le reste du temps a été principalement consacré à des parties de Freaks’ Squeele, présence sur le stand 2D Sans Faces et discussions avec plein de gens sympathiques. Les conventions, on les aime aussi pour ça.
Ce qui est un peu dommage, c’est que le public semblait bien moins présent que d’habitude. De l'avis d'un peu tout le monde, les travées étaient bien éparses, même si les parties étaient plutôt remplies.
L'autre aspect un peu frustrant d'Orc'idée, c'est d'arriver au bar de Satellite et de voir la palanquée de bières proposées tout en sachant pertinemment que la convention n'a pas les autorisations pour en vendre. Du coup – pour une fois – on a fait sobre. En même temps, après Trolls & Légendes, ce n'est pas du luxe.
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Orc'idée 2019 "Avec Panache", convention de jeux à l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), le 26-27 avril 2019. Capitaine des Mousquetaires, Protecteur de Sa Majesté, a.k.a Clément Shouwey, membre du comité Orc'idée. Photo: Stéphane Gallay, sous licence Creative Commons (CC-BY)
Soyons franc: cette édition d'Orc'idée n'a pas été un cru exceptionnel. Mais c'était très sympa quand même. Kudos aux organisateurs et trices, qui ont en plus fait des efforts remarquables d'habillement pour être dans le ton.
Et à l'année prochaine – les 19 et 20 avril 2020!
Ah oui, j'ai une petite galerie de photos sur Flickr, sous licence Creative Commons.
L’article <span class='p-name'>Orc’idée 2019</span> est apparu en premier sur Blog à part.
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alexlacquemanne · 3 years
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Mars MMXX
Films
Butch Cassidy et le Kid (Butch Cassidy and the Sundance Kid) (1969) de George Roy Hill avec Paul Newman, Robert Redford et Katharine Ross
La Jeune Fille à la perle (Girl with the Pearl Earring) (2003) de Peter Webber avec Scarlett Johansson et Colin Firth
De Gaulle (2020) de Gabriel Le Bomin avec Lambert Wilson, Isabelle Carré et Olivier Gourmet
Dunkerque (Dunkirk) (2017) de Christopher Nolan avec Fionn Whitehead, Tom Glynn-Carney et Jack Lowden
On ne vit que deux fois (You Only Live Twice) (1967) de Lewis Gilbert avec Sean Connery, Tetsurō Tanba et Donald Pleasence
Mais où est donc passée la septième compagnie ? (1973) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Aldo Maccione
Goldfinger (1964) de Guy Hamilton avec Sean Connery, Honor Blackman et Gert Fröbe
Walk the Line (2005) de James Mangold avec Joaquin Phoenix et Reese Witherspoon
Tootsie (1982) de Sydney Pollack avec Dustin Hoffman, Jessica Lange et Bill Murray
Astérix : Le Domaine des dieux (2014) de Alexandre Astier et Louis Clichy avec Roger Carel, Guillaume Briat et Lorànt Deutsch
Astérix et Cléopâtre (1968) de René Goscinny et Albert Uderzo avec Roger Carel, Jacques Morel et Micheline Dax
On a retrouvé la 7e compagnie (1975) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Henri Guybet
Un éléphant ça trompe énormément (1976) de Yves Robert avec Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux et Anny Duperey
Astérix chez les Bretons (1986) de Pino Van Lamsweerde avec Roger Carel, Pierre Tornade et Serge Sauvion
Nous irons tous au paradis (1977) de Yves Robert avec Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux et Marthe Villalonga
Le Deuxième Souffle (1966) de Jean-Pierre Melville avec Lino Ventura Paul Meurisse, Raymond Pellegrin et Christine Fabrega
Twist again à Moscou (1986) de Jean-Marie Poiré avec Christian Clavier, Philippe Noiret et Roland Blanche
Hiver 54, l'abbé Pierre (1989) de Christian Ardan avec Lambert Wilson et Claudia Cardinale
Spectacle
Un amour de jeunesse (2020) de Ivan Calbérac avec Stéphane de Groodt, Isabelle Gélinas, Olivia Côte, Nelly Clara et Sébastien Pierre
Séries
Psych Saison 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Voyance et Manigances - Champ de bataille - Shawn chez les super-héros - Un plat qui se mange froid - Plus menteur, tu meurs - À vos masques… - Mission Canada - Comme sur des roulettes - Sensations trop fortes - La Nuit du Loup-Garou - En avant soldat ! - L'Enfer du vendredi - Un mort au pied du sapin - Noël au balcon, tout le monde en prison - La Botte secrète - Un duo vintage - La classe qui tue - À toute vitesse - Mer agitée - En cabane au Canada - Mort de frousse - Premiers de la classe - C'est pas du gâteau ! - Espèce menacée - Immunité problématique - Very Bad nuit - Super héros - Carrément mordus ! - Tous au stade - Shawn au-dessus d'un nid de coucou - Mon père cet escroc - Enfin seuls ! - Indiana Shawn et le Trésor perdu - Complètement babas - À mourir de peur - Les Prétendants - Un crime peut en cacher un autre - À chœur et à cris - Juste Cause - Santa Barbara, ton univers impitoyable - Santa Barbara 2, l'arme fatale 5 - Le Projet BigFoot - Virée mexicaine
Brokenwood Saison 6, 1, 2
Comme un oiseau en cage - Du sang et de l'eau - Les Raisins de la colère - Pour l'amour du golf - Les Fantômes de la ligne de touche - Mourir ou ne pas mourir - Rose sang
Doctor Who Series 12
The Timeless Children
Top Gear Saison 12, 21
Les pires voitures de l’histoire - En route pour la cote d'Azur ! - Trois camions d’enfer - Abou Dabi, du sable dans le carbu
The Grand Tour Saison 4, 1, 2
The Grand Tour Presents: Seamen - Grand Tour vers le futur - Mozambique
Papa a un plan Saison 1
Argent sale - Fausse liberté - Un bébé pour Andi
Alex Hugo Saison 6
Jour de colère
Les Nouvelles aventures de Lucky Luke
Custermania
Meurtres au paradis Saison 9
Meurtre en deux parties - L'Enfant terrible - Sortie de route
Castle Saison 4
Danse avec la mort
Maguy Saison 1
Rose et Marguerite, c'est le bouquet - Babar et Bécassine se mènent en bateau - Docteur j'abuse - L'union fait le divorce - L'annonce faite à Maguy - Le coupe-Georges - Amoral, morale et demie - Cinquante bougies, ça vous éteint !
Kaamelott Livre II, I, IV, III, V
Livres
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Lucky Luke : Western Circus de Morris et René Goscinny
Lefranc : L'Arme absolue de Jacques Martin et Gilles Chaillet
Lucky Luke : Chasseur de primes de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le Grand duc de Morris et René Goscinny
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Lucky Luke : La Guérison des Dalton de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le Fil qui chante de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le Magot des Dalton de Morris
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Lucky Luke : Sarah Bernhardt de Morris et Xavier Fauche
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blogpresso · 7 years
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VIDEO. Célébrités et milliers de badauds disent adieu à Mireille Darc
Pascal Desprez (C-L), the husband of late actress Mireille Darc, actor Alain Delon (C) and former TV host Veronique de Villele (C-R) leave the Saint-Sulpice church following a funeral mass for Mireille Darc on September 1, 2017 in Paris. Mireille Darc died at age 79 on August 28, 2017, according to her family. — ERIC FEFERBERG/AFP
 Alain Delon, son ancien compagnon, une rose blanche à la boutonnière, et aussi Johnny Hallyday, Carla Bruni, Claudia Cardinale… De nombreuses célébrités ont rendu ce vendredi aux côtés de près de deux mille badauds un émouvant hommage à Mireille Darc lors de ses obsèques en l’Eglise Saint-Sulpice, à Paris. Des centaines d’admirateurs de l’actrice, morte dans la nuit de dimanche à lundi à Paris à 79 ans, étaient massés derrière les barrières de sécurité devant le parvis de l’église.
« Telle une étoile filante, Mireille Darc a traversé le temps en laissant des parcelles de rêve et d’amour », a déclaré dans son homélie Monseigneur Jean-Michel Di Falco, avant que le violoncelliste Dimitri Maslennikov interprète la Suite n° 6 de Bach.
Dans l’église bondée, Alain Delon était au premier rang, au côté de Carla Bruni, non loin du mari de l’actrice, Pascal Desprez. Visiblement éprouvé, l’acteur avait affirmé au lendemain de la mort de son ancienne compagne qu’« elle était la femme de (sa) vie ». « Sans elle, je peux partir moi aussi », avait ajouté celui qui a partagé l’existence de Mireille Darc pendant quinze ans après leur rencontre sur un tournage en 1968.
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karrdr · 7 years
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Cannes, côté clito
Le plus grand safari du cinéma mondial s’est clôturé la semaine dernière sous les palmes et le soleil, mais sans moi. En effet, pour cette 70e édition, j’ai préféré ranger mes stilettos, ma Jeep et mon mode selfie au placard et prendre un peu de recul. La conséquence en a été un pic de FOMO long de deux semaines, à l’affût de miettes de nouvelles croustillantes de la Croisette. Et je sais que ça va me faire mal quand les films de l’année sortiront en salle, de ne pas pouvoir dire : « Je l’ai vu à Cannes, énorme bouse. Mais toi, tu vas peut-être aimer. » Le motif de cette décision c’est que l’an dernier, en plein festival, j’ai eu comme une fatigue. Une vraie bonne fatigue de femme indisposée.
Le premier coup de barre est arrivé comme un couperet quand une connaissance photographe m’a rapporté que pour le shooting Insta de la nouvelle égérie l’Oréal chinoise Xiao Wen Ju, avant la montée des marches, il avait vu débarquer une armada. 12 personnes. Ben quoi ? Il faut bien assurer le make-up, la déco, les fleurs, le cheveu, le stylisme, la lumière, le coaching d’expression faciale, le facing produit, le prix Nobel de mathématiques qui calcule l’angle et le timing du Boomerang… Une véritable équipe de tournage. Coût de l’opération pour un post : environ 50 000 euros. Le budget d’un court-métrage. Bénéfices : 500 000 au bas mot. Pourquoi faire des films quand on peut faire des likes ? Voilà qui allume des étoiles dans les yeux des filles de tout l’univers, filles à la beauté hors compétition que l’on retrouve en tenue d’Instagram à faire la queue en trépignant devant l’entrée des soirées les plus courues du festival, sans sésame, transies de froid, attendant qu’un prince vienne sécher le Rimmel de leurs larmes de frustration avec une invitation pour deux. Fatigue.
D’accord, c’est le folklore. D’accord, la Croisette sans starlettes c’est triste comme le cinéma expérimental sans branlette.  Mais moi, voir une femme se faire bouffer les entrailles par le blaze of glory, ça me file la nausée. Un peu comme pendant la projection du « Neon Demon » de Nicolas Wingding Refn en 2016, ou de   l’« Antichrist » de Lars Von Trier quelques années plus tôt. En dehors de toute considération personnelle sur la qualité des œuvres en question – je ne vous dirai pas que j’ai vraiment aimé ces deux films, j’aurai du mal à l’assumer – lors de ces deux projections, dans l’obscurité du prestigieux grand auditorium Louis Lumière, mes tripes avaient connu une sensation toute nouvelle. Pas tellement celle de faire partie des happy few qui  découvrent l’objet de la rumeur grondante de la Croisette, non. Ma matrice, mon nannan de femme avait été sérieusement bouleversé par ces corps féminins torturés (excision dans « Antichrist », cannibalisme dans le « Neon Demon »). Car c’est souvent de cela dont il est question à Cannes : de femmes soumises aux desiderata de ces hommes si géniaux et si caractériels que sont les réalisateurs chouchous du festival.  Je recommande d’ailleurs fortement, à ce propos, le documentaire tourné par Mme Wingding Refn, Liv Corfixen, durant le tournage du triste « Only God Forgives ». Son film est un carnet de voyage du tournage chaotique de son époux à Bangkok. Le film s’appelle « My Life Directed by Nicolas Wingding Refn ». Le titre parle de lui-même : garder les enfants, soutenir son mari, porter des belles robes en festival, elle y expose un panel d’activités enthousiasmantes. Fatigue.
Cette année, parmi les membres de ce jury 2017, la merveilleuse Jessica Chastain, ma girl crush par excellence, a osé jeter son pavé dans la mare en déplorant au sein de cette sélection une « disette de personnages féminins authentiques » – commentaire prononcé avec émotion en pleine conférence de presse. Il est vrai que lorsque l’on visionne 20 films en 10 jours, on obtient un panorama indiscutable du regard porté sur les femmes dans la sélection officielle.  Et la merveilleuse Jessica Chastain d'ajouter qu’elle souhaiterait voir des rôles dans lesquels les femmes ne se contenteraient pas de réagir aux actions des hommes autour d’elles. Femmes satellites, objets collatéraux du destin masculin… Quand même, Jessica, tu es un brin rabat-joie. Heureusement, Will Smith, son co-juré, a remis un peu d’ambiance avec un de ses traditionnels triple axels en ajoutant : « Un Noir par-ci par-là, ça ne ferait pas de mal non plus. Mais on en parlera une autre fois. » Merci, Will. Double fatigue.
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Pourtant, il faut rendre justice au lineup cannois de 2017 qui fut l’un des plus féminins de tous les temps avec les présences de Sofia Coppola, Naomi Kawase et Lynne Ramsay en compétition. Le Festival s’est d’ailleurs bien frotté le corps avec cette donnée qui le libérait de toute accusation d’iniquité. Mais en y regardant de plus près, les films réalisés par des femmes n’auront encore cette année représenté que 15, 8% des projets. On parle tout de même du festival qui a amputé la taille de Claudia Cardinale sur son affiche pour la rendre plus… plus muse, plus pleine de vie, de joie et de cinéma, je suppose.
Les muses, parlons-en. Le Festival a ses favorites attendues à chaque édition. Parmi elles, la « petite fiancée de Cannes », Sofia Coppola qui a remporté le prix de la mise en scène avec son film féministe au casting méga-féminin. C’est à se demander pourquoi je râle. Parce que ! Sofia Coppola n’est plus une petite fiancée mais une réalisatrice chevronnée, qui doit absolument arrêter de nous faire subir ses mauvais films, mais qui mérite quand même d’être débarrassée de ce statut paternaliste. En parlant de chevrons, la reine Jane Campion est à ce jour la seule femme détentrice d’une Palme d’Or. Elle a d’ailleurs fait pour cette raison l’objet d’une standing ovation cannoise lors d’un hommage qui lui a été rendu cette année. Tonnerre d’applaudissements qu’elle a ponctué sobrement par ce : « Quelle tragique raison d’être applaudie. » Idole.
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Au rayon muses, nous avions cette année en première ligne Tilda Swinton, Isabelle Huppert, Elle Fanning, Julianne Moore, Nicole Kidman et enfin, Diane Kruger, prix d’interprétation féminine. Des actrices remarquables, au demeurant. Mais mises côte-à-côte, on voit bien qu’il y a une couille dans la diversité. Peut-être le côté poupée de porcelaine plaît-il davantage à ces messieurs les réalisateurs, ou bien ont-ils une fascination pour les beautés diaphanes de l’âge d’or hollywoodien. Du coup, l’explosion de joie de Houda Benyamina, primée pour « Divines » l’an dernier, me revient en mémoire comme l’événement majeur de cette dernière décennie de cinéma. Femme et non-Blanche, elle avait félicité son producteur pour son « clito ».
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Mais puisque la visibilité n’est pas donnée à toutes, il faut remercier grandement celles qui en jouent pour faire avancer les lignes. Nicole « Australia » Kidman dont la visibilité bat tous les records, s’est elle aussi exprimée à ce sujet pendant le festival en dévoilant un chiffre d’une grande tristesse : 4 %.  4 %, c’est la proportion de blockbusters hollywoodiens réalisés par des femmes en 2016. Tu m’étonnes que les majors aient considéré comme un pari risqué de confier la réalisation de « Wonder Woman » à Patty Jenkins, génie (mot à prononcer au féminin) OSCARISÉE pour son « Monster » à 8 millions de dollars en 2003. Lui confier 150 millions de dollars pour réaliser le DC du siècle, ne serait-ce pas donner de la confiture à des cochons ? Résultat des courses, une semaine après sa sortie, le bruit court qu’il s’agirait là du film de super héros DC le plus réussi de l’histoire de l’humanité. BOOM ! Le film sort en salles mercredi en France, vous me direz s’il a du clito.
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