Tumgik
#découragée
coolvieilledentelle · 2 months
Text
Tumblr media
Que Dieu nous bénisse, qu'il calme tout coeur affolé. Qu'il console l'âme affligée. Qu'il restaure tout corps fatigué. Qu'il fortifie l'esprit découragé. Qu'ils transforme tout malentendu en entente. Et que tout noble désir se réalise. Que Vendredi saint nous apporte Paix et Bonheur 🕯 ✝ 🙏
67 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
Tumblr media
Clovis et Mehdi doivent fuir à travers la montagne en pleine tempête. Le jeune Mehdi est découragé. Mais lorsque Clovis lui saisit sa main, il sent qu’il ne le laissera jamais tomber. Et cela lui procure une force incroyable…
117 notes · View notes
pompadourpink · 1 year
Text
Le Petit Prince
Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry, 1943
Chapter 1.
Once when I was six years old I saw a magnificent picture in a book, called True Stories from Nature, about the primeval forest. It was a picture of a boa constrictor in the act of swallowing an animal. Here is a copy of the drawing. 
Lorsque j’avais six ans j’ai vu, une fois, une magnifique image, dans un livre sur la Forêt Vierge qui s’appelait « Histoires Vécues ». Ça représentait un serpent boa qui avalait un fauve. Voilà la copie du dessin.
Tumblr media
In the book, it said: "Boa constrictors swallow their prey whole, without chewing it. After that, they are not able to move, and they sleep through the six months that they need for digestion."
I pondered deeply, then, over the adventures of the jungle. And after some work with a coloured pencil, I succeeded in making my first drawing. My Drawing Number One. It looked something like this:
On disait dans le livre : « Les serpents boas avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite, ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion. »
J’ai alors beaucoup réfléchi sur les aventures de la jungle et, à mon tour, j’ai réussi, avec un crayon de couleur, à tracer mon premier dessin. Mon dessin numéro 1. Il était comme ça :
Tumblr media
I showed my masterpiece to the grown-ups, and asked them whether the drawing frightened them.
But they answered: "Frighten? Why should any one be frightened by a hat?"
My drawing was not a picture of a hat. It was a picture of a boa constrictor digesting an elephant. But since the grown-ups were not able to understand it, I made another drawing: I drew the inside of a boa constrictor, so that the grown-ups could see it clearly. They always need to have things explained. My Drawing Number Two looked like this:
J’ai montré mon chef-d’œuvre aux grandes personnes et je leur ai demandé si mon dessin leur faisait peur.
Elles m’ont répondu: «Pourquoi un chapeau ferait-il peur ? »
Mon dessin ne représentait pas un chapeau. Il représentait un serpent boa qui digérait un éléphant. J’ai alors dessiné l’intérieur du serpent boa, afin que les grandes personnes puissent comprendre. Elles ont toujours besoin d’explications. Mon dessin numéro 2 était comme ça :
Tumblr media
The grown-ups' response, this time, was to advise me to lay aside my drawings of boa constrictors, whether from the inside or the outside, and devote myself instead to geography, history, arithmetic, and grammar. That is why, at the age of six, I gave up what might have been a magnificent career as a painter. I had been disheartened by the failure of my Drawing Number One and my Drawing Number Two. Grown-ups never understand anything by themselves, and it is tiresome for children to be always and forever explaining things to them.
So then I chose another profession, and learned to pilot airplanes. I have flown a little over all parts of the world; and it is true that geography has been very useful to me. At a glance I can distinguish China from Arizona. If one gets lost in the night, such knowledge is valuable.
Les grandes personnes m’ont conseillé de laisser de côté les dessins de serpents boas ouverts ou fermés, et de m’intéresser plutôt à la géographie, à l’histoire, au calcul et à la grammaire. C’est ainsi que j’ai abandonné, à l’âge de six ans, une magnifique carrière de peintre. J’avais été découragé par l’insuccès de mon dessin numéro 1 et de mon dessin numéro 2. Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c’est fatigant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications.
J’ai donc dû choisir un autre métier et j’ai appris à piloter des avions. J’ai volé un peu partout dans le monde. Et la géo- graphie, c’est exact, m’a beaucoup servi. Je savais reconnaître, du premier coup d’œil, la Chine de l’Arizona. C’est très utile, si l’on est égaré pendant la nuit.
*
In the course of this life I have had a great many encounters with a great many people who have been concerned with matters of consequence. I have lived a great deal among grown-ups. I have seen them intimately, close at hand. And that hasn't much improved my opinion of them.
Whenever I met one of them who seemed to me at all clear-sighted, I tried the experiment of showing him my Drawing Number One, which I have always kept. I would try to find out, so, if this was a person of true understanding. But, whoever it was, he, or she, would always say: "That is a hat." Then I would never talk to that person about boa constrictors, or primeval forests, or stars. I would bring myself down to his level. I would talk to him about bridge, and golf, and politics, and neckties. And the grown-up would be greatly pleased to have met such a sensible man.
J’ai ainsi eu, au cours de ma vie, des tas de contacts avec des tas de gens sérieux. J’ai beaucoup vécu chez les grandes personnes. Je les ai vues de très près. Ça n’a pas trop amélioré mon opinion.
Quand j’en rencontrais une qui me paraissait un peu lucide, je faisais l’expérience sur elle de mon dessin numéro 1 que j’ai toujours conservé. Je voulais savoir si elle était vraiment compréhensive. Mais toujours elle me répondait : « C’est un chapeau. » Alors je ne lui parlais ni de serpents boas, ni de forêts vierges, ni d’étoiles. Je me mettais à sa portée. Je lui parlais de bridge, de golf, de politique et de cravates. Et la grande personne était bien contente de connaître un homme aussi raisonnable.
youtube
194 notes · View notes
e642 · 2 months
Text
Je suis trigger de fou par tout ce soir. On est chez mes parents avec mon mec et je suis angoissée c'est terrible. J'ai peur pour les partiels. J'ai peur parce que j'ai vu son ex à nouveau dans ses abonnements. J'ai peur parce que j'ai pris du poids. J'ai peur parce que je me sens découragée et fatiguée. J'ai peur parce que j'ai moins envie de sexe je crois. J'ai peur parce que j'ai des envies de mutilation très présente. J'ai peur parce que j'aimerais faire mieux. J'ai peur de pas avoir de boulot cet été. J'ai peur à cause de l'argent. J'ai peur parce que je suis toujours entourée à la fac et que ça me pèse. J'ai peur parce que j'ai toujours mal quelque part. J'ai peur pour toutes les matières. J'ai peur de tout.
12 notes · View notes
atchoumthecat · 3 months
Text
Tumblr media
Atchoum: "Thanks for washiing the table, it's always nice to sit my bottom on a clean surface."
Mom: 🤦🏼‍♀️🤦🏼‍♀️🤦🏼‍♀️ "It’s always a pleasure to have your bottom on my table..."
#discouraged
Atchoum. - Merci d’avoir lavé la table, c’est toujours agréable d’asseoir mes fesses sur une surface propre.
Mom. - 🤦🏼‍♀️🤦🏼‍♀️🤦🏼‍♀️ C’est toujours un plaisir d’avoir tes fesses sur ma table...
#découragé
8 notes · View notes
vicnormansstuff · 5 months
Text
Tumblr media
« Pour un tel objectif, il faut l'emprise d'un mouvement organisé et discipliné, saisissant et imprégnant chaque aspect de la vie nationale. Dans chaque ville et village, dans chaque institution de la vie quotidienne, la volonté de la minorité organisée et déterminée doit soutenir un effort continu. Dans les moments de difficulté, la dissolution et le désespoir, elle doit être le noyau dur autour duquel les faibles et les découragés peuvent se rallier. »
— Oswald Mosley
12 notes · View notes
fieriframes · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
[Do you speak with my voice? Do I speak with yours? We create the world where darkness once stood.]
III - Le Corbeau Albinos
Je l'ai interrompue et j'ai demandé avec terreur “où avez-vous obtenu ce jeu de cartes?” Le ton de ma voix et l’absurdité de la question l'ont clairement découragée, car elle a répondu sèchement qu’il lui avait été offert par un ami proche il y a des décennies, puis elle a immédiatement repris la séance.
Je ne me souviens vraiment pas d'un seul mot de ce qu'elle dit après ça. Je n'arrêtais pas de compter les doigts du magicien, atteignant parfois cinq, parfois six, incapable de me concentrer, de respirer normalement ou de revenir à la réalité. Finalement, j'ai réussi à la remercier, à payer, à partir et à rentrer chez moi.
Je me suis demandé comment cette situation allait dégénérer. La prochaine carte apparaîtra-t-elle dans ma poche ? Sous mon oreiller ? Comme un tatouage sur mon bras ? À ce stade, pourquoi pas ? La personne qui était responsable de ces événements avait déjà mon adresse et ce n'était pas particulièrement réconfortant. Pendant des semaines, j'ai regardé par-dessus mon épaule. Me méfiant de tout et de tous. En attendant la prochaine étape de ce jeu étrange.
Ça n'est jamais arrivé. Un mois a passé. Ensuite un autre. Plus de rencontres fortuites. Plus de coïncidences. Plus de cartes. La vie était revenue à la normale. Quel que soit le message que les cartes avaient pour moi, ça avait clairement été reçu.
Finalement, ma curiosité grandissante, j'étais prêt à essayer de comprendre tout ça.
Vraiment, quelles étaient les chances que le médium utilise les cartes de Leonora Carrington ? Je ne savais pas. La seule chose dont j'étais sûr était ce que j'avais vu de mes propres yeux. J'ai décidé de me plonger dans les tarots qui avaient croisé ma route.
L'Amoureux; une carte d’harmonie et d’amour. Avant d’être en harmonie avec l’autre, il s’agit d’être en harmonie avec soi-même.
La Papesse, une carte de spiritualité et de sagesse. Le lien avec le divin et toutes les choses au-delà de la raison. Un rappel pour vous connecter avec votre voix intérieure et votre intuition et pour faire confiance à votre puissance supérieure. Ces deux cartes sont apparues deux fois. Pourquoi, je ne sais pas.
Puis, l'Empereur, qui reflète un système lié par des règles et des règlements. Créez le calme à partir du chaos en décomposant tous problèmes, puis planifiez les actions nécessaires pour les résoudre.
Le Chariot, représentant le dépassement des obstacles grâce à la détermination, la concentration et la volonté.
Les trois cartes suivantes, celles révélées par Amélia, m'avaient le plus marqué. L'Impératrice, le Pape et, pour finir, le Bateleur. Le dernier est souvent représenté avec une main pointant vers le ciel et l'autre pointant vers la terre, ce qui est largement interprété comme une référence aux domaines spirituel et physique. Quod est superius est sicut quod inferius, et quod inferius est sicut quod est superius. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Entre deux mondes.
Tout semblait étrangement logique. Les cartes me parlaient clairement de spiritualité, de paradis et de terre, d'un voyage difficile. Mais s'il y avait un message concret ici, je ne pourrais pas l’entendre/comprendre. Chacune de ces cartes avait sa propre signification. Alors j’ai continué à y penser en boucle pendant des mois. L'ordre. Les significations. J’essayais de faire des connexions là où il n’y en avait pas.
Les jours passèrent.
Un soir après le travail, avec Nocturne n° 5 en fa dièse majeur de Chopin jouant en fond sonore, j'ai pris le jeu de cartes que j'ai récemment acheté et les mets sur la table. J'ai remarqué, pour la première fois, qu'ils étaient tous numérotés. L'Amoureux avec un numéro 6 dans le coin. La Papesse: 2. L'Empereur, 4. Le Chariot: 7. L'Impératrice: 3. Le Pape: 5. Le Bateleur: 1.
En raison de mes terribles compétences en maths, la seule chose à laquelle je pouvais penser était d'additionner les nombres. Le résultat était 28. 2 + 8 = 10. Le nombre d'achèvement. Ça signifiait-il quelque chose ? Si j'inclus les occurrences répétées, L'Amoureux et la Papesse, j'ai eu 36. 3 + 6 = 9. 9 qui représente une fin qui n'est pas définitive. L'accomplissement d'un cycle, d'un voyage, pour préparer le suivant.
28, 36, 10, 9… Tout semblait important, mais complètement inutile. Insérer du sens dans le non-sens.
J'ai essayé autre chose. J'ai mis les sept cartes les unes à côté des autres. 6 2 4 7 3 5 1. J'ai regardé fixement les cartes pendant une éternité. Rien du tout. Puis, j'ai déplacé quelques cartes pour qu'elles soient regroupées. 62 47 35 1. Plusieurs chiffres avant tout élément significatif. Sur une feuille de papier, j'ai inclus les cartes répétées. 62 62 47 35 1. Encore à un chiffre de tout ce qui a du sens, comme un numéro de téléphone.
Juste au moment où la musique s'est arrêtée, j'ai entendu le son d'un papier glissant sur le parquet. J'ai couru vers la porte, l'ai ouverte et je n'ai rien rencontré de l'autre côté. Mais à mes pieds se trouvait une enveloppe. Je le pris avec hésitation et retournai vers le canapé.
Les mains tremblantes, j'ouvris l'enveloppe. Une seule feuille de papier. Un poème.
Grand corbeau albinos Buvez toutes les ténèbres du ciel.
Les buses sombres, sombres Chantent pour le masque Qui appartenait autrefois à la vie.
Grand corbeau albinos Tu es l'antidote.
Le Pendu Verse des images Dans des yeux saturés.
Deux espions d'encre.
De l'autre côté de la note se trouvait un dessin.
Tumblr media
Le Mat de Leonora. Carte numéro zéro.
Le Mat indique de nouveaux commencements, comme le début d'un voyage. Bien que ce voyage ne soit pas sans obstacles, c'en est un pour lequel vous êtes plus que prêt et qui vous mènera à de plus grandes choses. Il ne sait pas où ce processus de découverte de soi le mène, mais il est heureux d'y aller. Dans les interprétations plus ésotériques des cartes de tarot, le Mat est connu comme le protagoniste de l'histoire, et les Arcanes Majeurs sont le chemin que le Mat emprunte à travers les grands mystères de la vie.
J'étais assis là à regarder les deux morceaux de papier posés sur la table; le dessin et les chiffres que j'avais notés plus tôt. 62 62 47 35 1. Presque dans un état de transe, j'ai pris le stylo et j'ai complété la séquence avec le numéro du Mat. 62 62 47 35 10.
Puis, j'ai retenu mon souffle, pris le téléphone et composé le numéro.
96 notes · View notes
mirrorontheworld · 9 months
Text
De nombreux agriculteurs vivent avec de faibles revenus, mais peu demandent le RSA auquel ils ont droit. Ils sont découragés par les démarches administratives et le cliché de l’« assistanat ».
7 notes · View notes
notreallyuseless · 2 months
Text
Non mais sérieusement, j'en pleure de rire tellement la situation est stupide. Je suis tellement découragé de tout ce merdier que la seule réaction qu'il me reste est de rire. Parce que c'est ça ou pleurer.
3 notes · View notes
sloubs · 7 months
Note
Ui bonjour, j'ai vu que t'avais fait des stages en librairie et que t'aimerais bien y travailler, et j'avais une p'tite question (feel free to ignore ofc) : est-ce que tu as fait des études dans ce domaine ?
(J'avais voulu candidater dans une librairie pas loin de chez moi sans avoir fait d'études pour ça, mais je m'étais fait refouler parce que, attention les guillemets, "on est un vrai métier nous, on prend pas les gens qui ne sont pas formés" 🧍donc bon, ça m'avait un peu découragé...)
En tout cas bon courage pour ta candidature!
j'ai pas fait d'études dans ce domaine, j'ai fait des études d'art + j'ai taffé dans la vente pendant plusieurs années après mes études et j'suis giga passionnée de bd
là j'ai pu avoir un stage en librairie spécialisée grâce à pôle emploi et j'connaissais le libraire parce que j'allais tout le temps chez lui pour acheter mes bd. un jour j'lui ai laissé un cv en lui disant que ça m'intéresserait et du coup il m'a rappelé et ça s'est fait comme ça, et là j'vais bosser chez lui jusqu'à la fin décembre. donc j'ai pu apprendre comme ça fonctionnait et j'ai les bases du logiciel dont se servent les libraires mais vraiment j'ai appris sur le tas grâce à lui et j'pense que si j'avais jamais eu d'expérience en vente avant et que j'avais pas le contact client aussi facile ça se serait probablement pas fait
en tout cas là j'vais candidater spontanément pour des trucs mais sans vraiment de certitude pcq libraire c'est un métier ultra-précaire et y a beaucoup de demande pour peu d'offre, mais j'me dis qui ne tente rien n'a rien...et probablement je vais me lancer dans une formation courte à distance maybe histoire de renforcer ma formation et d'avoir ça en plus à mettre sur mon cv
donc voilà vraiment j'pense même pas que ça me permette d'obtenir quoi que ce soit, à la rigueur les mecs seront divertis pendant 5 minutes, mais bon j'aurais pas de regrets mdr
(ah et btw par rapport à ce qu'on t'a dit, y a des libraires qui sont giga cons et qui se prennent trop pour des grands préceptes de la culture, ceux qui te prennent de haut comme ça en mode "on a un vrai métier gneugneu" ils oublient trop qu'ils ont commencé de rien eux aussi, faut pas te décourager à cause de gens comme ça <3)
5 notes · View notes
swedesinstockholm · 3 months
Text
7 mars
hier soir devant newport beach je me disais qu'ils avaient jamais l'air d'avoir froid aux mains, on les voit jamais assis sur le canapé avec leurs mains glissées entre leurs cuisses ou sous le plaid pour les réchauffer. est-ce que j'aurais jamais froid aux mains moi non plus si je vivais en californie? je sais que c'est une série pour ados des années 2000 tout sauf réaliste mais c'est vertigineux quand on compare leur quotidien au mien, de l'autre côté du globe, avec les mains gelées neuf mois sur douze. parfois quand je descends les escaliers, les mêmes depuis que je suis petite, je compare ma vie à celle de kristen stewart aussi. je sais que c'est pas comparable mais en même temps on est toutes les deux nées en 1990 sur la même planète.
j'ai décidé de pas aller à la mer avec maman pour pâques pour pouvoir remonter sur la scène de la maison poème, mais d'abord je voulais être sûre que m. y serait parce que je veux plus rester seule. le weekend dernier je suis restée seule pendant deux jours et c'était déjà assez pour me faire dérailler. je devais aller à un concert aux rotondes et puis j'ai changé d'avis et je devais aller à la soirée open mic de c. et de ses copains slammeurs à belval mais j'ai été découragée par 1. les transports pas directs 2. la pluie 3. la nuit. alors je suis restée sur le canapé et j'ai regardé newport beach puis the voice avec un sentiment de culpabilité qui me rongeait l'estomac. j'ai menti à c. alors que j'aurais simplement pu lui dire que je souffre de... je sais pas, une affliction mystérieuse qui m'empêche de sortir de chez moi le soir.
je regardais les stories de f. au ski avec sa copine et son copain et les stories de s. à son weekend de bachelorette à paris auquel j'ai pas été invitée alors qu'y avait toutes ses autres copines luxembourgeoises et je me sentais seule et abandonnée. le meilleur moment du weekend c'était mon cours de luxembourgeois du dimanche matin avec mon élève sympa qui m'a tenu compagnie pendant une heure. je lui ai fait lire un texte sur les voyages et je lui ai demandé si elle voyageait beaucoup et elle a dit oui j'adore aller dans des hôtels all inclusive avec une piscine et des bons cocktails sans une once d'embarras et puis elle m'a raconté ses vacances en turquie et à dubaï et j'oublie tout le temps que ça existe en vrai des gens comme ça.
j'ai réussi à sortir de la maison ce soir pour aller à la soirée openscreen parce qu'ils projetaient mon film. ça allait parce que le casino c'est pas loin mais je crois que j'aurais préféré ne pas y aller. je suis partie avant la fin parce qu'ils m'ont même pas invitée sur scène pour le q&a, bon ils me connaissaient pas et j'ai rien dit donc c'est normal, mais de toute façon j'avais aucune envie de me retrouver assise parmi les réalisateur.ices avec un micro à la main pour me présenter et parler de mon film qui m'a foutu la honte, j'ai cringé du début à la fin c'était un cauchemar, plus jamais j'assiste à la projection publique d'un de mes films, de toute façon c'est fini je fais plus de films, j'ai enfin réalisé que j'étais nulle. le son était un désastre, on entendait tous les défauts que j'entends pas moi sur mon ordi, tout était désastreux, même la structure, la cohérence tient à un fil, je laisse pas le temps au texte de respirer, tout s'enchaine trop vite, j'arrive pas à croire que j'aie envoyé ça à austin et daeja et qu'ils continuent à me dire qu'ils adorent mes films, what the heck, arrêtez d'être gentils comme ça. à partir de maintenant je reste concentrée sur ce que je sais faire. j'ai vu une photo du nouveau numéro de sabir trônant sur une étagère à la librairie tropismes et on voit mon nom pile milieu sur la couverture et j'en pouvais plus de fierté de me voir en vente chez tropismes, avec mon texte qui parle de quand j'étais vendeuse en librairie en plus.
mais le pire en fait c'était que tout le monde présentait des films super engagés avec des sujets graves comme les violences domestiques, le racisme, des immigrés qui racontent leur relation au luxembourg, etc, et moi j'étais au milieu à me plaindre de ma petite vie parce que ça fait cinq ans que j'ai pas pris l'avion avec mon rêve américain à la con et ma poétique de l'espace, GROW UP. je me sentais en dessous de tout avec ma vie enveloppée de papier bulle.
en rentrant je marchais vite pour arriver avant que maman rentre du resto et se rende compte que j'étais pas là et me demande où j'étais. je lui ai rien dit de la soirée ni de mon film, je sais pas pourquoi. je crois que j'avais peur qu'elle veuille venir avec moi (je rêve lol) et j'avais vraiment pas envie qu'elle voie mon film parce que j'y parle beaucoup de mon père. et donc pendant que je me dépêchais de remonter la rue je pensais à la pianiste d'elfriede jelinek que je suis en train de lire, quand erika kohut rentre chez elle dès que ses cours de musique sont terminés à la fin de la journée pour retrouver sa mère, parce que sinon elle va lui poser des questions et la faire chier. mais elle a envie de rentrer à la maison, la maison a un attrait sur elle, l'attrait chaud et confortable de la routine et de la télé et de la soirée passée avec sa mère. ce livre est terrifiant. quand je l'ai pris à la bibliothèque et que j'ai lu la première phrase du quatrième de couverture ("elle ne boit pas, ne fume pas, couche encore à 36 ans dans le lit maternel et aime bien rester chez elle") j'ai été prise d'un petit rire nerveux tirant sur la panique au milieu du rayon.
2 notes · View notes
barbe-noire-rpg · 3 months
Text
Hello Tumblr!!!
Je suis un peu découragé, ce soir. Mon forum aura bientôt 4 mois et je peine à le faire décoller malgré mes nombreux efforts.
J'essaie donc de voir ce qui ce qui bloque pour m'améliorer!
Je suis toute ouïe sur vos suggestions et vos critiques constructives!
Qu'est-ce que je peux changer pour attirer davantage de joueu.ses?
(Pour une raison que j'ignore, mes commentaires ne s'enregistrent pas. Merci pour vos commentaires!! 2-3 personnes votent pour le Design... qu'est-ce qui vous rebutent, niveau design?)
Merci vraiment de votre aide!!!
Le forum : soul-tempest.forumactif.com
4 notes · View notes
e642 · 9 months
Text
Je crois que ce qui me gène le plus avec les actes de méchanceté gratuite telle que la tromperie, le chantage, la violence verbale et physique, ect, c'est qu'au delà de nous affecter à l'instant t, ça va nous affecter bien plus longtemps. Je ne sais pas si les personnes auteures de ça peuvent se rendre compte de tout ce qu'elles brisent chez l'autre. C'est à dire, que par le biais d'une tiers personne, moi, et mes relations futures vont être entachées. C'est tronquer des parties énormes de notions piliers comme la confiance, le fait de se sentir désirable, la démonstration, la sentimentalité. À cause de quelqu'un je vais être privée de beaucoup de choses et devoir travailler à la place dun.e autre. Je sais que c'est comme ça pour à peu près tous les traumatismes, et c'est d'un égoïsme si pur que ça me rend malade. Tu sais que tes actions vont créer des blessures si profondes qu'elles seront visibles dans les mots, les comportements, la gestion des émotions des autres, et tu le fais quand même. Pour soulager ta propre existence tu es capable d'en briser une autre. Ça me paralyse d'effroi de réaliser que ce sera comme ça toute ma vie, peu importe la personne en question, elle finira toujours par contaminer ma vision de moi car elle n'aura pas eu le cran et le désir de faire attention. C'est l'illusion faussée qu'on ne peut rien donner sans perdre bien plus. Ce serait alors être perdant d'avance au change. Je crois que le plus dur pour moi ça a été d'être blessée juste après avoir guérie car j'ai fraîchement en tête le temps que ça m'a pris de ramasser mes morceaux de cœur, de m'assoir et de les coller entre eux avec tout ce que je trouvais. Certains avec de la confiance, certains avec du plus tard, certains avec des larmes, certains avec de la réflexion, certains avec l'envie de faire mieux, certains grâce à d'autres. Ça ne peut pas fonctionner de colmater des endroits avec ce que peuvent nous donner les autres, c'est trop fragile comme structure, c'est trop ébranlable pour que ce soit une solution durable. Alors aujourd'hui, plus que jamais, je suis découragée et déçue, de voir que peu importe l'endroit, la personne, la chaire ou le cœur, les schémas se répètent et pètent tout sur leur passage. Tout ça c'est une boucle, je suis seulement navrée d'en voir la petitesse du périmètre.
18 notes · View notes
lepagenovembre · 1 year
Text
Tumblr media
“Se lever le matin” Aujourd’hui je me sens très, très découragé. Alors j’ai dessiné un ange furieux.
🔥 “Getting up”. Today I am feeling very, very discouraged. So I drew a furious Angel about it.
14 notes · View notes
Text
Journal d'un patochimbo.
Tumblr media
En ce beau matin jupiterial, mes vieux amortisseurs s'étirent en grinçant sous quelques rares rayons du soleil Patagonien. La nuit n'a pas été trop fraîche, et je sens déjà mon moteur vrombir avec enthousiasme. Depuis que l'on a resserré mes boulons de batterie, je vis une deuxième jeunesse. Malgré tout, ces satanés humains devraient changer ma batterie, sans quoi nous risquons de nous retrouver bloqués par un jour de froid.
Tumblr media
Après un rangement de ma tente de toit pendant lequel le méchant humain est toujours aussi brusque avec moi (il me marche littéralement dessus sans vergogne), c'est la gentille humaine qui prend mon volant. L'autre humaine occupe toujours un siège passager, je suppose qu'elle a peur de moi, bien qu'elle semble tout à fait aimable. J'ai hâte de savoir quelles aventures nous réserve cette journée!
Premier événement, on me donne à manger ! Je me sens tout à fait repu de Super 93. Je reste cependant perplexe, car pendant mon repas le humains vont en général jeter leurs déchets. Des êtres à la physiologie si différente...
Tumblr media
Quelques kilomètres plus tard, on m'arrête devant une pente digne d'une descente aux enfers. Mes humains ne semblent pas me faire confiance quant à ma capacité à la remonter. C'est vrai que je n'ai que deux roues motrices, et je les remercie de m'épargner cette épreuve en ouvrant ma boîte à gants inopinément.
Tumblr media
Lorsque je les vois partir sans moi, je me questionne sur les intentions de ces humains. Ils semblent se diriger droit vers une zone d'intempéries, au mépris de leur intégrité physique, en abandonnant leur condor (ou pigeon suivant le moment) contre mon pare-brise. Je décide d'attendre sagement leur retour, qui n'interviendra probablement qu'en fin d'après midi. J'ai quelques compagnons d'infortune qui, comme moi, n'ont pas de traction ou de propulsion, et nous nous racontons nos aventures passées.
Tumblr media
Deux heures plus tard, surprise ! Mes humains sont de retour. Ils semblent avoir été découragés par la météo. Il ne perçoivent clairement pas le climat aussi finement que moi, fort de mes 150000 km parcourus. Après quelques discussions, ils décident de repartir vers des cieux plus cléments.
Tumblr media
Prochain arrêt, un bâtiment isolé qui d'après la faible vue que me procurent mes phares était une ancienne école reconvertie en musée. Les humains partent marcher et j'en profite pour observer le magnifique paysage montagnard alentours. Je suis un van chanceux, et l'usine Suzuki dans laquelle on m'a assemblé me semble si loin.
Cette fois, c'est l'humain brutal qui me conduit. Avec lui, je m'attends au pire sur ces routes ardues. Mais là, miracle ! L'asphalte revient : nous avons quitté la partie la plus rude de la Carreterra Austral. Mes pneus roucoulent de plaisir, et mes suspensions respirent. Pour ne rien gâcher , une petite pluie m'offre une douche printanière bienvenue.
Tumblr media
Enfin, nous arrivons tous ensemble au bord d'une rivière; c'est déjà le soir, et je sens que ce sera tout pour aujourd'hui. Mes amis humains mangent des mets bien étranges sur mes sièges et ont des discussions tout aussi obscures à propos de mains peintes en positif et en négatif sur de la roche par d'autres humains des temps jadis. Ils ont cependant l'air content et à l'abri de la pluie, alors je suis un van comblé. Toujours quelques grincements douleureux à l'ouverture de ma tente de toit, puis le calme reposant d'une nuit que j'espère étoilée et dont je peux profiter feux éteints.
Tumblr media Tumblr media
Tumblr media
4 notes · View notes
profenscene · 1 year
Text
Lundi 27 mars
Tumblr media
Les cinquièmes se détestent. Je ne comprends pas totalement pourquoi, mais dans cette classe, c'est la guerre de chacun contre tous. Ils se piquent leurs affaires, se moquent, se vannent méchamment. Les deux seuls à ne pas s'embrouiller sont Judy et Luis, qui sortent ensemble, mais n'osent pas le montrer histoire de ne pas être vannés (spoiler : tout le monde est au courant).
Aujourd'hui, début de travail d'écriture longue. Sujet : l'univers médiéval. Ils doivent les uns et les autres raconter le parcours d'un personnage qu'ils ont crée : chevalier, herboriste, troubadour ou musicienne... Je leur ai permis de se placer où ils le souhaitaient dans la classe : l'espace dont je dispose permet qu'ils se tournent tous le dos ou presque.
"Hé Jodah ! Il s'appelle comment ton héros ? - Pourquoi ? - Je vais le tuer dans mon histoire."
On a tout essayé et C., leur géniale prof principale, est découragée. Cette cinquième devient "la classe compliquée". Ils semblent vouloir s'approprier ce titre, cette gloire, celle de classe désagréable, qui refuse de montrer ses côtés lumineux aux adultes.
Et en plus leurs histoires sont nulles.
Et ils le savent très bien. "Non mais aller, ça saoule. Mettez-moi un zéro tout de suite, ce sera fait."
Les cinquièmes ont envie que ça se passe mal. Alors respirer. Aller les voir, les uns après les autres - ils sont peux, c'est possible - et aller tirer le tout petit fil coloré qui ressort de leur phrase de cinq lignes sans ponctuation qui constitue, selon eux, l'intégralité de leur rédaction.
"Pourquoi vous parlez d'un château à Marseille ? - Bah je sais pas, j'y vais en vacances. - Vous savez qu'il y avait souvent des épidémies de peste, là-bas, au Moyen-Age. Avec des pustules qui explosaient des furoncles... (toujours en faire trop). - Ahah, dégueulasse ! - Il pourrait y avoir une épidémie de peste. - Pour de vrai ? - Ben oui, c'est super original, comme idée, que ça se passe à Marseille, autant en profiter !"
Demander à celui-ci pourquoi il a évoqué un métier à tisser, à celle-là pourquoi elle parle d'un combat à la lance plutôt qu'à l'épée...
Et en engueuler deux comme du poisson pourri parce qu'ils se sont vannés une fois de trop.
"Mais vous dites qu'on a de bonnes idées et après vous nous grondez ! - Ça n'empêche pas. - On travaille, pourquoi vous nous laissez pas rigoler un peu. - Parce que ça n'est pas rigolo, parce que vous valez mieux que ça."
Ils lèvent les yeux au ciel, ils ne veulent pas comprendre. Qu'importe. Continuer à y croire pour eux jusqu'à ce qu'ils y croient enfin.
17 notes · View notes