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#droit pénal
culturefrancaise · 5 months
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Faut-il changer la définition pénale du viol ?
"Faut-il changer la définition pénale du viol ?" sur https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-question-du-jour/faut-il-changer-la-definition-penale-du-viol-2523457 via @radiofrance
(Durée d'écoute : 8min)
J'aimerais bien entendre ou lire plusieurs opinions sur le sujet.
Y a-t-il des personnes qui ont fait du droit parmi mes followers ?
Et je n'aime pas vraiment que l'intervenant parle des hommes et des femmes comme ça... J'ai bien conscience de la réalité des choses. Je sais très bien que les femmes sont les plus grandes victimes de viol; mais les hommes aussi peuvent être violés, et les personnes non-binaires aussi (et le droit ne pense que rarement à ces dernières).
"L'homme propose, la femme dispose". Ben... non en fait ? La femme aussi peut initier, proposer ?
En général je suis satisfaite des podcasts de Radio France mais là je ne suis pas convaincue.
Je ne sais pas... Qu'en pensez-vous ?
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rojinfo · 2 years
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Hefendehl : L'interdiction du PKK n'est pas fondée en droit
Hefendehl : L’interdiction du PKK n’est pas fondée en droit
Dans un avis d’expert concernant l’application du droit pénal allemand aux activités du PKK, le professeur Roland Hefendehl estime que les conditions de l’interdiction ne sont pas réunies. Les avocats allemands Lukas Theune et Peer Stolle ont déposé en mai une demande auprès du ministère allemand de l’intérieur tendant à la levée de l’interdiction des activités du Parti des Travailleurs du…
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avocats-martigny · 27 days
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Avocats Martigny Clegal
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alex-hays · 27 days
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Avocats Martigny Clegal
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quizdedroit · 1 month
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Quiz en droit pénal : Quelle est la définition de l'élément moral (mens rea) en droit pénal français ? 
 a) L'action elle-même 
 b) L'intention coupable 
 c) La responsabilité civile 
d) L'alibi
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ellapsy-blog · 5 months
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Introduction
Dans ce premier blog nous allons tout d’abord nous intéresser au différentes définitions que comporte le thème principale : l’humain.
Il y’a la catégorie des sciences humaines qui comporte plusieurs sous parties ou sous catégories peut importe,
les sciences criminelles et ses nombreuses matières scientifiques, et pour finir
le droit qui comporte plusieurs branches. (Tout ne sera pas étudier, j’ai choisi les catégories que j’aime et qui m’inspire le plus). Les sciences criminelles se joint au droit.
Les sciences humaines : Qu’est-ce que les sciences humaines ? Qu’est-ce qu’on entend par sciences humaines ?
C’est une discipline qui se concentre sur l’homme et ses comportements (individuels et collectifs) passés et présents. Ses disciplines sont :
- la psychologie
- la sociologie
- l'ethnologie
- l'anthropologie
- l'histoire
- l'économie
- la linguistique
Les domaines d’études sur lesquels je vais me concentrer sont la psychologie, la sociologie, (l’anthropologie 🤔), et sans doute un peu d’histoire.
Les sciences criminelles ou criminologie : Les sciences criminelles ont pour objet la prévention et/ou la répression du phénomène criminelle du point de vue de tous les protagonistes (infracteur, victime, société).
Pour plus de compréhension le terme crime provient du latin criminis qui signifie décision judiciaire. Ce pourquoi ça a un lien avec le droit.
On y trouve donc :
- criminologie
- psychiatrie criminelle
- psychologie criminelle
- médecine légale
- police technique et scientifique
La criminologie et la psychologie seront étudiés. Ainsi qu’un peu d’histoire, un peu culture ne fait pas de mal 😉
Le droit : c’est poser un cadre légal pour vivre en société.
Pour ce qui est du droit c’est extrêmement vaste et seulement 2 branches seront étudier : le droit pénal et le droit judiciaire, qui font partie de la famille du droit interne. (oui parce qu’il existe plusieurs famille en droit : le droit public qui s’oppose au droit privé et le droit interne qui s’oppose au droit international) Bref ! Je vous met le lien sur les autres branches pour la curiosité 🧐
Le droit pénal : fixe les comportements contraires à la loi – les « infractions » – et détermine les sanctions pénales qui leur sont applicables. Le droit pénal se distingue du droit civil : Le droit pénal concerne les rapports entre l'individu et la société dans son ensemble.
Le droit judiciaire : quant à lui régit l'organisation des tribunaux, la procédure civile et la preuve. Il régit la manière dont les personnes vont exercer leurs droits.
Évidemment, il est difficile de comprendre l’humain sans s’intéressait un minimum à son système nerveux. Alors pourquoi pas quelques petites infos sur les neurosciences et la neurophysiologie mais plus particulièrement à la neuropsychologie
Les neurosciences : c’est l’étude du système nerveux du point de sa structure.
A contrario la neurophysiologie : c’est l’étude des fonctions du système nerveux. (physio : fonctionnement, logie : étude).
La neuropsychologie : relation entre le cerveau et le fonctionnement psychologique (fonctions cognitives, comportements, émotions)
Et voilà pour cette intro 😊 au prochain blog on verra notre premier chapitre qui se portera sur la psychologie : son histoire, ses disciplines, son but…
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Parution du 22/06/23
Cyril Vidal, L'avenir de la fonction de notaire, Réalité(s) ou simulacre ?, éd. EMS, « Business science institute », 2023, 238 p.
Le notaire est à la fois un chef d'entreprise et un officier public. De cette complémentarité naît pourtant un paradoxe : comment concilier une exigence de rentabilité compétitive pour l'entreprise et une mission de service public en dehors de tout cadre concurrentiel et de toute recherche de rentabilité ? Par quel moyen cela est-il possible ? Sans doute grâce à la réglementation de la profession de notaire. Or, la loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques dite « loi Macron » est venue redéfinir les règles en libéralisant le cadre d'exercice de la fonction de notaire. Au dire de certains notaires, on aurait « changé les règles du jeu en cours de route ! ». Le notaire chef d'entreprise se trouve donc face à une (re)réglementation de sa profession et doit affronter une incertitude managériale. Grâce à une prise de recul, et une (re)construction de ce qu'est la réalité, l'auteur de cet ouvrage propose, par une approche de la discipline du droit sous l'angle du management stratégique, d'apporter au notaire des recommandations managériales lui permettant de repenser sa fonction. Cyril VIDAL. L'auteur dirige plusieurs sociétés dans le domaine de l'informatique notariale depuis plus de 22 ans. Il mène des travaux de recherche sur l'avenir de la fonction de notaire et s'intéresse à l'incidence et au rôle des outils informatiques sur l'évolution de la pratique notariale. La valorisation de ses travaux se fera par la création d'une deep tech et le développement d'outils informatiques open source. Docteur en administration des affaires du Business Science Institute et de l'iaelyon School of management de l'université Jean Moulin Lyon 3, il est également titulaire d'un Master of Business Administration de l'ESC Clermont Business School, d'un master finance de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et d'un master droit des affaires de l'université Paris 2 Panthéon-Assas.
Code civil 2024, annoté, Dalloz, 123e éd., 2023, 3462 p.
Code de commerce 2024, annoté, Dalloz, 119e éd., 2023, 3970 p.
Code de procédure civile 2024, annoté, Dalloz, 115e éd., 2023, 3554 p.
Code de procédure pénale 2024, annoté, Dalloz, 65e éd., 2023, 3456 p.
Code pénal 2024, annoté, Dalloz, 121e éd., 2023, 3322 p.
Jean Sliwa, L'import-export présenté, expliqué et commenté pour les TPE et PME, Éd. du Puits Fleuri, 2e éd., 2023, 400 p.
Cet ouvrage propose des réponses techniques, juridiques et pratiques basées sur l'expérience de personnes de terrain (dirigeants d'entreprise, comptables, chargés export, acheteurs et vendeurs, commissionnaires en douane, transporteurs, banquiers...) afin de répondre aux interrogations légitimes de tout dirigeant de TPE ou PME, ou ses représentants, tenté de passer à l'acte. Jean Sliwa est ancien cadre supérieur des douanes où il a exercé notamment des fonctions de responsable de bureaux de douane, de comptable public, d'enquêteur, de fondé de pouvoir.
Jean-Michel Bruguière, Le droit du copyright anglo-américain, Dalloz, « Connaissance du droit », 2023, 250 p.
Le copyright est l'ensemble des droits exclusifs de nature économique conférés par la loi à des personnes, physiques ou morales, sur certaines catégories d'oeuvres et de produits culturels. Le copyright, objet de ce livre, est le copyright anglo-américain. Sa finalité est de mettre en valeur la richesse de ce système, sans ignorer, lorsque cela est possible, les liens qu'il entretient avec le droit d'auteur continental, à travers des questions aussi variées que l'objet des prérogatives, les conditions et les titulaires de la protection, la nature du droit, son exploitation, sa violation et les moyens de défenses. La deuxième édition de cet ouvrage introduit un nouveau chapitre sur les droits dits voisins et plus particulièrement celui des artistes-interprètes. Il revient sur les grands arrêts récents du droit du copyright (fair use, droit de communication au public, work made for hire...) et les réformes notoires (CASE Act, Music Modernization Act...), sans oublier les conséquences du Brexit pour le Royaume-Uni (European Union (Withdrawal) Act). Jean-Michel Bruguière est professeur à l'Université Grenoble-Alpes, directeur du CUERPI (CRI), avocat Of Counsel Cabinet Deprez, Guignot & Associés.
Aloïse Quesne (dir.), Quel(s) droit(s) pour les animaux ?, Mare & Martin, « Droit & Science Politique », 2023, 176 p.
« On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux », affirmait Gandhi. En conséquence, notre civilisation ne gagnerait-elle pas à accorder des droits aux animaux ? Dans le sillage de La sensibilité animale. Approches juridiques et enjeux transdisciplinaires, le présent ouvrage explore des sujets complexes sous un angle pluridisciplinaire et comparé : la découverte de l’individualité animale et sa traduction juridique, l’octroi de la personnalité juridique aux animaux ou encore la reconnaissance de droits fondamentaux, à l’image de ceux destinés à protéger les animaux qui accomplissent un travail. Les droits des animaux sont mis en perspective avec les droits de la Nature, dans la mesure où plusieurs États ont déjà attribué la personnalité juridique à des entités naturelles comme des fleuves, des montagnes ou des forêts. Les questions relatives à la formation des magistrats, la juste application des textes qui répriment la maltraitance animale, ainsi que la création d’un Défenseur des droits des animaux sont également abordées au sein de cet ouvrage, dans l’objectif de garantir leur bien-être et de défendre leurs intérêts. Aloïse Quesne est maître de conférences en droit privé à l’université d'Évry Val d’Essonne, membre du Centre de Recherche Léon Duguit et membre associée de l’Institut Caennais de Recherche Juridique. Lauréate 2014 du Prix de Droit de la Fondation Droit Animal, Éthique & Sciences, elle est responsable de la ligne de recherche "Vers la reconnaissance de droits aux animaux" au sein de la Chaire Normandie pour la Paix. Contributions de Éric Baratay, Florence Burgat, Georges Chapouthier, Jean-Paul Costa, Marine Lercier, Michaël Lessard, Michèle Lis-Schaal, Pauline Malléjac, Stphane Pessina, Aloïse Quesne, Gilles Raoul-Cormeil, Laëtitia Romeiro Dias.
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cabinetaci · 2 years
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criminalité en col blanc Paris
Le Cabinet ACI est la destination ultime pour les pratiques de criminalité en col blanc Paris. En effet, nous traitons une forte proportion d'infractions pénales non violentes telles que la corruption publique, les fraudes, le blanchiment d'argent, délit d’initié, abus de position dominante, etc. Avec plus de 40 ans d'excellence, nous nous concentrons sur la résolution de vos problèmes. Avec des stratégies éprouvées et des approches pratiques, notre équipe d'avocats professionnels s'attaque à tous les aspects de votre affaire. Pour plus d'informations, cliquez sur le lien cabinetaci.com
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e642 · 3 months
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Je me suis inscrite à un colloque sur le tdah et le droit pénal (en gros qu'est ce qu'il se passe quand tu fais une dingueries dans ton boulot ou dans la vie en général à cause de ce trouble, de manière consciente ou pas) et c'est aujourd'hui. 7h-17h, ça rigole zéro. J'étais en retard et j'ai rien mangé, actuellement j'écoute des gens parler de moi (ouais j'me sens visée un peu avec ce trouble) tout en étant en hypo, c'est un delire. Je n'ai que 3h de sommeil en plus, j'ai peur de m'endormir, mais jsuis au premier rang.
Vous noterez le comble actuel... une tdah qui assiste à un colloque pendant quasi 8h non stop mdrrr, j'me suis sentie ambitieuse. Regardez j'suis déjà sur mon téléphone car incapable de me concentrer sur un truc. Jpp aled
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Le philosophe produit des idées, le poète des poèmes, l’ecclésiastique des sermons, le professeur des traités…
Le criminel produit des crimes.
Si on regarde de plus près les rapports qui existent entre cette dernière branche de production et la société dans son ensemble, on reviendra de bien des préjugés.
Le criminel ne produit pas que des crimes : c’est lui qui produit le droit pénal, donc le Professeur de droit pénal, et donc l’inévitable traité dans lequel le professeur consigne ses cours afin de les mettre sur le marché en tant que «marchandise».
Il en résulte une augmentation de la richesse nationale, sans parler de la satisfaction intérieure que selon le professeur Roscher, témoin autorisé, le manuscrit du traité procure à son auteur.
Plus : le criminel produit tout l’appareil policier et judiciaire : gendarmes, juges, bourreaux, jurés, etc., et tous ces divers métiers, qui constituent autant de catégories de la division sociale du travail, développent différentes facultés de l’esprit humain et créent en même temps de nouveaux besoins et de nouveaux moyens de les satisfaire.
La torture, à elle seule, a engendré les trouvailles mécaniques les plus ingénieuses, dont la Production procure de l’ouvrage à une foule d’honnêtes artisans.
Le criminel crée une sensation qui participe de la morale et du tragique, et ce faisant il fournit un «service» en remuant les sentiments moraux et esthétiques du public.
Il ne produit pas que des traités de droit pénal, des codes pénaux et, partant, des législateurs de droit pénal : il produit aussi de l’art, des belles-lettres, voire des tragédies, témoins non seulement La Faute de Msüllner et Les Brigands de Schiller mais aussi Œdipe et Richard III.
Le criminel brise la monotonie et la sécurité quotidienne de la vie bourgeoise, la mettant ainsi à l’abri de la stagnation et suscitant cette incessante tension et agitation sans laquelle l’aiguillon de la concurrence elle-même s’émousserait. Il stimule ainsi les forces productives.
En même temps que le crime retire du marché du travail une part de la population en surnombre et qu’il réduit ainsi la concurrence entre travailleurs et contribue à empêcher les salaires de tomber au-dessous du minimum.
La lutte contre la criminalité absorbe une autre partie de cette même population.
Ainsi le criminel opère une de ces «compensations» naturelles qui créent l’équilibre et suscitent une multitude de métiers «utiles».
On peut démontrer par le détail l’influence qu’exerce le criminel sur le développement de la force productive :
— Faute de voleurs, les serrures fussent-elles parvenues à leur stade actuel de perfection ?
— Faute de faux-monnayeurs, la fabrication des billets de banque ?
— Faute de fraudeurs, le microscope eût-il pénétré les sphères du commerce ordinaire ?
La chimie appliquée ne doit-elle pas autant aux tromperies et à leur répression qu’aux efforts Légitimes pour améliorer la production ?
En trouvant sans cesse de nouveaux moyens de s’attaquer à la propriété, le crime fait naître sans cesse de nouveaux moyens de la défendre, de sorte qu’il donne à la mécanisation une impulsion tout aussi productive que celle qui résulte des grèves.
En dehors du domaine du crime privé, le marché mondial serait-il né sans crimes nationaux ?
Et les nations elles-mêmes ?
Et depuis Adam, l’arbre du péché n’est-il pas en même temps l’arbre de la science ?
(Éloge du crime par Karl Marx. Cette notule écrite entre 1860 et 1862, fut intégrée par son éditeur à la Théorie de la plus-value, dans le tome IV du Capital)
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mauriziomarco7 · 6 months
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Arrêt de la Cour suprême des États-Unis :
Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n’y a plus d’appel et toutes les voies d’appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT de passer jusqu'à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations.
L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de 100 autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d’une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l’hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d’avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
Vous pouvez voir l'actualité sur le lien suivant :
https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay
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simonrileyfiction · 4 months
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Inattendu - 1 (Simon Ghost Riley)
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Je tiens à préciser que cette fiction s'inspire de l'idée de départ de SigLoverofWords. Il s'agit d'une rencontre entre Simon et un personnage féminin fondée sur un échange de messages.
Le reste de l'histoire est bien évidemment écrit à ma sauce :) !
[0161765 4321] : Demain, 5h tapantes, ne soit pas en retard.
[Moi] : ?
[0161765 4321] : J’déconne pas Johnny, je t’attendrais pas.
Perplexe, je regarde l’écran en fronçant les sourcils. L’expéditeur de ce message s’est sans doute trompé de numéro. En tout cas, il ne semble pas de très bonne humeur.
[0161765 4321] : J’suis pas ton putain de baby-sitter. Si t’es pas là à l’heure j’te laisse rentrer à pied.
Je réalise qu’il s’agit sans doute de quelque chose d’important. Si ce fameux Johnny ne reçoit pas le message, il risque de passer une sale journée. Je décide alors d’appeler ce fameux numéro afin de prévenir l’expéditeur de ce sms.
L’inconnu décroche dès la première sonnerie, ce qui me prend un peu de court.
"Qu’est-ce que tu veux encore ?!" me répond une voix grave teintée d’un fort accent britannique.
"Euh… Excuse-moi… Je ne suis pas la personne que tu essaies de contacter", je balbutie en jouant nerveusement avec mes doigts, "tu as fait un faux numéro."
L’inconnu ne me répond pas mais il respire avec difficulté, ce qui m’interpelle instantanément.
"Je voulais m’assurer que tu n’attendes pas Johnny pour rien demain matin", je continue la voix tremblante.
"C’est gentil à toi", me répond-il en murmurant d’une voix rauque.
Cet homme ne semble pas aller bien.
"Est-ce que tout va bien ?"
L’inconnu ne répond pas mais je l’entends toujours respirer bruyamment.
"Monsieur ?"
"Oui."
"Je m’appelle Maya", je continue d’une voix qui se veut plus posée.
"Maya, je suis désolé de t’avoir dérangé."
"Tu ne me déranges pas !" Je m’empresse de répondre. "Comment tu t’appelles ?"
L’inconnu semble hésiter.
"Simon."
"Enchantée Simon ! Alors comme ça, tu fais le taxi ?" Je lance sur un ton plus léger.
Simon ne me répond pas tout de suite. Sa respiration est toutefois moins saccadée.
"Je dois prendre un de mes collègues devant chez lui pour aller au travail demain matin", m’explique-t-il, "sa voiture est au garage."
"Et ça arrive souvent à ton collègue d’être en retard ?" je demande, curieuse.
"Tout le temps, je passe ma vie à l’attendre", râle-t-il.
Je ne peux m’empêcher de retenir un petit rire : "Il a l’air d’être un sacré personnage."
"Ah ça… "soupire-t-il.
"Je peux te demander ce que vous faites tous les deux comme métier ?"
"Oui, tu peux, mais je ne peux pas te répondre."
Surprise, je hausse les sourcils.
"Pas de problème", je réponds rapidement. "Ça fait très James Bond comme réponse."
Simon lâche un ricanement étouffé et je souris, heureuse de voir qu’il semble aller un peu mieux.
"Et toi Maya ? ça t’arrive souvent de discuter avec des inconnus au beau milieu de la nuit ?"
"Eh bien non-figures-toi ! J’étais en train de travailler sur mon TD au moment où j’ai reçu tes messages. J’ai profité de la distraction pour penser à autre chose qu’à mon commentaire d’arrêt."
"Tu es étudiante ?"
"Yep !"
"Qu’est-ce que tu étudies ?" me demande-t-il avec curiosité.
"Le droit pénal et les sciences criminelles", je réponds en m’étirant sur ma chaise, "pour mettre les méchants en prison."
"Oh je vois, une âme de justicière donc", lâche-t-il sur ce que je comprends être un ton de plaisanterie.
"Venant de James Bond lui-même je prends ça pour un compliment", je rétorque en baillant.
"Il est 3h du matin, tu devrais dormir", souligne-t-il d’une voix plus douce.
"Pas de repos pour les justiciers !" Je lance sur un ton faussement enjoué. "J’ai travaillé toute la soirée pour gagner un peu d’argent alors je me retrouve à me pencher sur mes cours un peu tard, je l’admets."
"Qu’est-ce que tu fais comme boulot ?"
"Je travaille dans une station service."
"Je vois."
"Ouais, c’est moins passionnant que ton travail d’agent secret", dis-je en ricanant.
Un silence confortable s’installe, je baille de nouveau.
"Je suis désolée !" je m’exclame en réalisant, je te tiens éveillé !
"C’est pas un souci", me répond Simon.
"Mais tu dois récupérer Johnny à 5h ! Comment tu vas faire ?"
"Je ne vais pas dormir, je dois me lever dans peu de temps."
"Oh, je suis vraiment désolée", je balbutie.
"Ne t’excuse pas. Je vais devoir te laisser Maya. Repose toi bien."
"Merci Simon, bon courage pour ta journée."
Il raccroche.
Je prends le temps d’enregistrer son numéro et j’éteins la lampe qui se trouve à mon chevet.
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claudehenrion · 5 months
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Et si on parlait du Talmud ?
Au lendemain d'une marche contre l'antisémitisme (qui ne sert absolument à rien, mais qui fait croire qu'on fait quelque chose), l'idée n'est peut-être pas idiote de parler de cette ''tranche'' de la spiritualité occidentale qui est si malmenée depuis –disent certains-- le 7 octobre (d'autres disent : des millénaires !). Nous parlons souvent, dans ce Blog, de l'Evangile, et pour cause : les lecteurs fidèles savent que je vois là notre seule chance de résister à la ''chute finale'' en cours... On parle aussi, moins souvent, du Coran, qui ne met pourtant pas de gants pour s'imposer dans nos vies et dans nos villes... Mais le Talmud est l'oublié de notre culture, son peu d'attrait pour le prosélytisme le mettant loin de la lumière des projecteurs.
Si j'ai l'audace de me lancer dans un tel sujet, c'est parce que je me souviens d'avoir suivi pendant toute une année les cours du Lundi du Grand Rabbin Sitruk dont l'intelligence, l'humour et le brio me fascinaient : la proximité ''sur le fond'' de nos cultures, de nos sources et de nos histoires devrait nous rapprocher davantage. (On peut remarquer que si Vatican II puis le Pape François ont chassé pour l'un puis pourchassé pour l'autre le latin comme étant un indésirable perturbateur, ils ont conservé, dans la liturgie post-conciliaire, de nombreux souvenirs de nos origines hébraïques !).
Le Rabbin Sitruk enseignait ''la Foi d'Israël'', et je buvais ses paroles, tout en restant évidemment fidèle à celle de mes Pères... C'était un temps (dans les années '90) où on savait encore faire la différence entre écouter et militer, entre comprendre et rejeter, entre argumenter et insulter. De nos jours, et pour le plus grand malheur de l'intelligence, en deuil de ce qu'elle fut, toute pensée qui a l'audace de s'écarter de la stupide et néfaste ''doxa'' gaucho-progressiste est qualifiée ou disqualifiée d'extrême droite, automatiquement, sans la moindre raison, mais juste... ''parce que''. Et il paraît qu'il faut voir une insulte dans ce qualificatif disqualifiant.
Force est de reconnaître que, pour la majorité de nos contemporains, le ''Talmud'' appartient à cette nébuleuse de mots que l'on emploie sans avoir la moindre idée de ce qu'ils recouvrent. Au mieux, ion y voit une partie de la Torah (Loi écrite transmise par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï), que les chrétiens appellent ''le Pentateuque'', c'est-à-dire la traduction de la Torah, qui remplit "cinq rouleaux", penta-teuque en grec. Le Professeur Marc-Alain Oiknine, co-producteur de l'émission ''Judaïques'' sur France-Culture, dit que le Talmud ''parcourt tous tes sujets de la vie quotidienne, de la mort à l'agriculture, via le droit civil, le droit pénal, la famille, ou... le désir, en 6 chapitres sur la relation de l'Homme avec la terre, le temps, la société, le sacré et la mort''! En fait, toutes les préoccupations liées à la vie.
Les ''gentils'' (dits ''goyim'', = les goys : les nations des non-juifs) ont souvent ironisé sur la méthode employée pour s'approcher de la vérité, qui consiste à poser des questions sans fin (NDLR : au temps où on parlait français, on employait le verbe ''talmudiser'' pour dire : chercher la petite bête...). Le philosophe Emmanuel Levinas explique que : ''le malheur est dans la réponse à une question ! On ne s'arrête pas de poser des questions sans jamais être arrêté par une réponse … car elle ferme la recherche et la discussion''. (NB : il utilise, ailleurs, le mot ''ruminer''!). Dans les ''Yeshivot'' (écoles talmudiques), ces confrontations tendent à montrer combien le monde est multiple, complexe, nuancé, subtil...
Le code juridique hébraïque qui est sorti de cette Loi orale transmise de génération en génération (depuis 5784 ans, date (?) du Bereshit --en hébreu : בראשית = commencement), a été compilé, au III è siècle de notre ère, à Tibériade par Rabbi Yeshuda Hannassi : la Mishna (= la répétition) est devenue le socle sur lequel s'appuie la Loi d'Israël. Ce Talmud, dit ''de Babylone'', a été imprimé pour la première fois en 1523 par un vénitien, chrétien, Daniel Bomberg, faisant ainsi du Talmud une articulation constante entre le rite et le rythme de la pensée humaine, refus de tout enfermement de notre pensée dans une vérité unique. Le monde a bien oublié tout cela...
(NDLR : En se replongeant dans les ''fondamentaux'', on comprend mieux pourquoi la pensée juive est rejetée par les enfermés doctrinaires de toute espèce, des politiques aux journalistes et des faux ''Experts'' du covid, hier, (qui étalaient leur absence totale de savoir en invoquant un impossible –car mortel-- ''consensus scientifique'' (sic !), à l'opposé total de ce qu'est la science !), à tous les puristes intégristes de l'Islam, aujourd'hui, qui ont aussi une seule réponse à tout : leur religion à eux. Comme les chrétiens des siècles ''obscurs'' (en 1244 à Paris, ou en 1553 à Rome), les ''islamo-progressistes'' actuels brûlent... de brûler le Talmud en place publique, ''et pas que''.... Sauf que eux ne sortent pas du moyen-âge et devraient savoir... ce qui a été découvert depuis, grâce à l'absence perpétuelle de tout ''consensus scientifique'', justement ! Là où le monde moderne croit tout savoir, la pensée juive érige le doute et le questionnement en valeurs de base.
Par un de ces raccourcis saisissants dont le destin joue parfois, c'est le 7 octobre dernier, ''Dies irae, dies illa ( = jour de colère s'il en fut !), qu'aurait dû s'ouvrir la ''semaine des chrétiens de Terre Sainte''. Personne n'a parlé de cette festivité locale, nulle part, et c'est une insulte à l'intelligence et à la vérité ! J'aurais donc dû ou pu vous parler d'un ''Shabbat'' d'automne, le soleil caressant joliment les pierres jaunes de la Ville Sainte, les ''Khavash'' (= gardes) en grande tenue ouvrant la porte de Jaffa, le Saint Sépulcre vibrant du Te Deum, les foules en liesse... Mais toute lumière s'est éteinte sur cette terre si riche en souvenirs de l'Histoire de l'humanité. Un volcan s'est réveillé et a explosé, détruisant tout, et plus que tout : l'espoir. ''La haine a engendré la haine'', a dit Sa Béatitude le Cardinal Piermaria Pizzabella (NDLR : quel joli nom, pour un porteur de la bonne parole !).
Le diable s'est levé, sur un monde sans justice et sans paix... c'est-à-dire un monde sans Dieu, les dégueulasseries indescriptibles de meurtriers ensanglantés ne pouvant décemment pas être acceptées comme ''faites au nom de Dieu''... quel qu'il soit. ''Allahou Akbar'', que j'ai connu phrase de prière, est devenu synonyme d'appel au meurtre du Blanc, sur la planète entière. Et de l'autre côté, la vengeance est considérée comme devenant ''de droit'', dans certaines circonstances et lorsque l'admissible est dépassé : dans l'absolu, il n'y a plus de relativité... et qu'importent alors le Talmud, la Torah, les Evangiles, tous les ''Shalom'', ''Salam'', ''Pax vobiscum'' (devenu : 'La Paix soit avec vous'')... Il reste la violence, devenue un ''marqueur'' de notre époque.
La Terre, notre chère vieille Terre, est ravagée, détruite, esquintée pour longtemps. Une toute petite lumière persiste à luire dans le cœur de quelques ''Hommes de bonne volonté'' qui veulent encore voir un frère –même éloigné-- dans l'Autre. Dépêchez-vous de la –et de les-- contempler : elle vacille et ils disparaissent. Pourtant, il ne reste plus qu'elle... et eux, pour un tout petit peu de temps, encore !
H-Cl.
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duxvonzazer · 6 months
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Je découvre que le père du droit moderne japonais est 🇫🇷.
Gustave Boissonade rédigea en grande partie le code pénal et civil 🇯🇵.
C'est une figure très respectée au 🇯🇵: la tour principale de l'université Hōsei de Tokyo construite en 2001 porte son nom (Boissonade Tower)
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dooareyastudy · 10 months
Note
Que penser de la vidéo sur Konbini, de Rafik Chekkat qui analyse les comparutions immédiates? Perso je suis scandalisée...
Rafik Chekkat est avocat donc je pense qu'il parle d'expérience.
Il faut rappeler qu'en droit, la comparution immédiate est réservée aux cas de flagrance et à certains délits (donc, des "petites" peines de prison) donc ce n'est pas tout le monde qui va passer par là.
Toutefois, selon Rafik Chekkat, ce n'est pas nécessairement aussi flagrant que ça puisqu'il déplore que des affaires passent en comparution immédiate alors qu'il y aurait eu besoin de temps pour exploiter des images de vidéosurveillance, rechercher des témoins etc. Je ne sais pas dans quelle mesure ça reflète son expérience personnelle (la pratique peut varier d'un parquet à un autre) ou une tendance générale à utiliser la comparution immédiate un peu à tort et à travers.
Un autre point qu'il relève et avec lequel je suis d'accord, c'est le manque de temps laissé à l'avocat pour préparer la défense. Même si les faits reprochés à la personne sont censés être flagrants, ça reste un risque pour les droits de la défense. L'image de la justice en souffre également, il a raison de le souligner : qu'est-ce que c'est que cette justice qui court après le temps, à laquelle on impose des délais comme à n'importe quelle entreprise en flux tendu ? Mais au-delà de l'image, c'est surtout la qualité de la justice (que ce soit le travail en amont des policiers et des procureurs ou le travail des avocats et des magistrats) qui peut en pâtir.
Je n'ai pas d'expérience personnelle à relater à ce sujet, je ne fais pas de droit pénal (et j'en suis très heureuse). Mais si tu es vraiment intéressée par la question, je connais un ouvrage de socio qui traite de la question (je ne l'ai jamais lu, donc je ne sais pas trop ce que ça vaut). Ça s’intitule Comparutions immédiates, enquête sur une pratique judiciaire et c'est d'Angèle Christin !
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contesdefleurs · 10 months
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Mes lectures : Paroles d'honneur
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Titre livre/saga : Paroles d'honneur
Autrices : Leïla Slimani et Laetitia Coryn
Numéro : Unique
Édition : Les Arènes BD
Genre : Documentaire, reportage
Illustration : Laetitia Coryn, Sandra Desmazières
Parution : 2017
Note : 3.5/5
CW/TW : Sexualité, homophobie, racisme, misogynie, sexisme, agressions
Résumé : Rabat, été 2015. Suite à la parution de son livre "Dans le jardin de l'ogre", un roman cru et audacieux qui aborde la thématique de l'addiction sexuelle, Leila Slimani part à la rencontre de ses lectrices marocaines. Face à cette écrivaine franco-maghrébine décomplexée qui aborde la sexualité sans tabou, la parole se libère. Au fil des pages, l'auteur recueille des témoignages intimes déchirants qui révèlent le malaise d'une société hypocrite dans laquelle la femme ne peut être que vierge ou épouse, et où tout ce qui est hors mariage est nié : prostitution, concubinage, homosexualité. Le Code pénal punit toute transgression : un mois à un an de prison pour les relations hétérosexuelles hors mariage, six mois à trois ans de prison pour les relations homosexuelles, un à deux ans de prison pour les adultères. Soumises au mensonge institutionnalisé, ces femmes nous racontent les tragédies intimes qui égrènent leurs vies et celles des femmes qui les entourent : IVG clandestines, viols, lynchages, suicides. Toutes sont tiraillées entre le désir de se libérer de cette tyrannie et la crainte que cette libération n'entraîne l'effondrement des structures traditionnelles. À travers cette BD, il s'agit de faire entendre la réalité complexe d'un pays où l'islam est religion d'État. Et où le droit des femmes passera, avant tout, par la défense de leurs droits sexuels.
Avis
Une BD qui permet de mettre en lumière de nombreux aspects sur la manière dont le patriarcat au Maghreb, et plus particulièrement au Maroc, se manifeste et exerce un pouvoir avec violence (symboliquement, physiquement, socialement) sur les femmes. De multiples dialogues sous la forme de témoignages illustrés mettent en scène le vécu de femmes différentes vivant dans une société misogyne, conservatrice, où culturellement sont ancrés des habitudes nourrissant les oppressions subies par les femmes. Tantôt, nous apprendrons ce que peuvent vivre les femmes face à la (non-) découverte de leur sexualité dans un pays où il est interdit de vivre toute forme de vie sexuelle en dehors du mariage, et où le tabou sur la sexualité des femmes, et la pudeur, sont dominants. Tantôt, on apprendra ce qu'elles peuvent endurer à cause du manque d'expérience et de leur silence, en parlant notamment des avortements, souvent clandestins, de la gestion des IST, etc. Tantôt, il s'agira de s'intéresser au poids de la religion dans une société conservatrice cishétéronormée, et comment l'homophobie peut se manifester (en abordant la place du voile en société, plus particulièrement en public, et l'instrumentalisation du Coran pour justifier ces violences et l'existence du pouvoir patriarcal qui pèse sur les femmes en public comme en privé dans leur vie conjugale). Et, tantôt, sera abordé le sujet de la prostitution qui est dissimulé et qui soulève d'autres questions sur le poids de la société sur les corps des TDS. Deux bémols cependant à noter : d'abord, "les africaines" pour désigner les femmes noires au Maroc, et plus généralement au Maghreb, ça semble négrophobe dans la mesure où l'Afrique est un continent, pas une population, sans parler du fait qu'être noire et marocaine c'est possible. Ensuite, parler de schizophrénie pour parler des comportements paradoxaux que l'on doit adopter pour survivre, donc adopter différentes attitudes, c'est un peu usant. Utiliser des troubles pour parler de ces situations que l'on est obligé-e de vivre parce que racisme, c'est psychophobe en plus de contribuer aux clichés sur eux. Des femmes imams féministes sont citées à la fin de la BD si ça vous intéresse, donc n'hésitez pas à aller checker les dernières pages.
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