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#Droit comparé
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Parution du 22/06/23
Cyril Vidal, L'avenir de la fonction de notaire, Réalité(s) ou simulacre ?, éd. EMS, « Business science institute », 2023, 238 p.
Le notaire est à la fois un chef d'entreprise et un officier public. De cette complémentarité naît pourtant un paradoxe : comment concilier une exigence de rentabilité compétitive pour l'entreprise et une mission de service public en dehors de tout cadre concurrentiel et de toute recherche de rentabilité ? Par quel moyen cela est-il possible ? Sans doute grâce à la réglementation de la profession de notaire. Or, la loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques dite « loi Macron » est venue redéfinir les règles en libéralisant le cadre d'exercice de la fonction de notaire. Au dire de certains notaires, on aurait « changé les règles du jeu en cours de route ! ». Le notaire chef d'entreprise se trouve donc face à une (re)réglementation de sa profession et doit affronter une incertitude managériale. Grâce à une prise de recul, et une (re)construction de ce qu'est la réalité, l'auteur de cet ouvrage propose, par une approche de la discipline du droit sous l'angle du management stratégique, d'apporter au notaire des recommandations managériales lui permettant de repenser sa fonction. Cyril VIDAL. L'auteur dirige plusieurs sociétés dans le domaine de l'informatique notariale depuis plus de 22 ans. Il mène des travaux de recherche sur l'avenir de la fonction de notaire et s'intéresse à l'incidence et au rôle des outils informatiques sur l'évolution de la pratique notariale. La valorisation de ses travaux se fera par la création d'une deep tech et le développement d'outils informatiques open source. Docteur en administration des affaires du Business Science Institute et de l'iaelyon School of management de l'université Jean Moulin Lyon 3, il est également titulaire d'un Master of Business Administration de l'ESC Clermont Business School, d'un master finance de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et d'un master droit des affaires de l'université Paris 2 Panthéon-Assas.
Code civil 2024, annoté, Dalloz, 123e éd., 2023, 3462 p.
Code de commerce 2024, annoté, Dalloz, 119e éd., 2023, 3970 p.
Code de procédure civile 2024, annoté, Dalloz, 115e éd., 2023, 3554 p.
Code de procédure pénale 2024, annoté, Dalloz, 65e éd., 2023, 3456 p.
Code pénal 2024, annoté, Dalloz, 121e éd., 2023, 3322 p.
Jean Sliwa, L'import-export présenté, expliqué et commenté pour les TPE et PME, Éd. du Puits Fleuri, 2e éd., 2023, 400 p.
Cet ouvrage propose des réponses techniques, juridiques et pratiques basées sur l'expérience de personnes de terrain (dirigeants d'entreprise, comptables, chargés export, acheteurs et vendeurs, commissionnaires en douane, transporteurs, banquiers...) afin de répondre aux interrogations légitimes de tout dirigeant de TPE ou PME, ou ses représentants, tenté de passer à l'acte. Jean Sliwa est ancien cadre supérieur des douanes où il a exercé notamment des fonctions de responsable de bureaux de douane, de comptable public, d'enquêteur, de fondé de pouvoir.
Jean-Michel Bruguière, Le droit du copyright anglo-américain, Dalloz, « Connaissance du droit », 2023, 250 p.
Le copyright est l'ensemble des droits exclusifs de nature économique conférés par la loi à des personnes, physiques ou morales, sur certaines catégories d'oeuvres et de produits culturels. Le copyright, objet de ce livre, est le copyright anglo-américain. Sa finalité est de mettre en valeur la richesse de ce système, sans ignorer, lorsque cela est possible, les liens qu'il entretient avec le droit d'auteur continental, à travers des questions aussi variées que l'objet des prérogatives, les conditions et les titulaires de la protection, la nature du droit, son exploitation, sa violation et les moyens de défenses. La deuxième édition de cet ouvrage introduit un nouveau chapitre sur les droits dits voisins et plus particulièrement celui des artistes-interprètes. Il revient sur les grands arrêts récents du droit du copyright (fair use, droit de communication au public, work made for hire...) et les réformes notoires (CASE Act, Music Modernization Act...), sans oublier les conséquences du Brexit pour le Royaume-Uni (European Union (Withdrawal) Act). Jean-Michel Bruguière est professeur à l'Université Grenoble-Alpes, directeur du CUERPI (CRI), avocat Of Counsel Cabinet Deprez, Guignot & Associés.
Aloïse Quesne (dir.), Quel(s) droit(s) pour les animaux ?, Mare & Martin, « Droit & Science Politique », 2023, 176 p.
« On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux », affirmait Gandhi. En conséquence, notre civilisation ne gagnerait-elle pas à accorder des droits aux animaux ? Dans le sillage de La sensibilité animale. Approches juridiques et enjeux transdisciplinaires, le présent ouvrage explore des sujets complexes sous un angle pluridisciplinaire et comparé : la découverte de l’individualité animale et sa traduction juridique, l’octroi de la personnalité juridique aux animaux ou encore la reconnaissance de droits fondamentaux, à l’image de ceux destinés à protéger les animaux qui accomplissent un travail. Les droits des animaux sont mis en perspective avec les droits de la Nature, dans la mesure où plusieurs États ont déjà attribué la personnalité juridique à des entités naturelles comme des fleuves, des montagnes ou des forêts. Les questions relatives à la formation des magistrats, la juste application des textes qui répriment la maltraitance animale, ainsi que la création d’un Défenseur des droits des animaux sont également abordées au sein de cet ouvrage, dans l’objectif de garantir leur bien-être et de défendre leurs intérêts. Aloïse Quesne est maître de conférences en droit privé à l’université d'Évry Val d’Essonne, membre du Centre de Recherche Léon Duguit et membre associée de l’Institut Caennais de Recherche Juridique. Lauréate 2014 du Prix de Droit de la Fondation Droit Animal, Éthique & Sciences, elle est responsable de la ligne de recherche "Vers la reconnaissance de droits aux animaux" au sein de la Chaire Normandie pour la Paix. Contributions de Éric Baratay, Florence Burgat, Georges Chapouthier, Jean-Paul Costa, Marine Lercier, Michaël Lessard, Michèle Lis-Schaal, Pauline Malléjac, Stphane Pessina, Aloïse Quesne, Gilles Raoul-Cormeil, Laëtitia Romeiro Dias.
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9rytna · 4 months
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Cours Systèmes Juridiques Comparés (SJC)
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coolvieilledentelle · 4 months
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Dans le célèbre langage des fleurs, le mimosa est chargé de symboles : la sensibilité, la tendresse, la certitude, l'élégance. Mais, le plus répandu est celui de l'amour secret .
De toute évidence, les abondants pompons dorés du mimosa lui valent d’être comparé au soleil. Un parallèle plutôt flatteur pour cet arbre, dont on dit qu’il serait un symbole d’affection, de chaleur humaine et de joie. Offrir du mimosa est donc une attention remplie de tendresse. C’est un signe d’amitié et de profonde estime envers son destinataire. Gorgé de lumière, le mimosa se prête également très bien aux gestes de réconfort adressés à quelqu’un qui traverserait une période difficile.
Lorsqu’il apparaît dans les rêves, le mimosa est porteur d’un message rassurant. Il vient dire au songeur “Tout va bien, tu es en sécurité”.
En Italie, le mimosa est traditionnellement offert à la gent féminine le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Mais par-dessus tout, le mimosa est un symbole d’ouverture. Il est particulièrement conseillé aux personnes introverties ou timides, qui ont tendance à se replier sur elles-mêmes et peinent à nouer des liens avec les autres.
Le mimosa est préconisé pour amener de l’harmonie dans les relations. Lorsqu’une personne éprouve de la difficulté à s’ouvrir aux autres, elle peut parfois adopter une attitude hostile, comme une carapace qui la protègerait d’un éventuel rejet tout en le provoquant. Ce cercle vicieux entraîne un isolement qui peut être difficile à vivre, et celui ou celle qui le subit n’a souvent qu’une envie : s’en défaire.Grâce à son aura solaire, le mimosa aide à voir le monde d’un autre œil, à retrouver la joie de vivre et le mordant qui nous fait parfois défaut. Pour transformer les plus gros ronchons en joyeux lurons, il faudra sans doute plus que quelques branches de mimosa, mais c’est un premier pas ! … Voilà la petite histoire
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Episode 6 - Partie 4
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J'aime le "parent qui reste au chevet de son enfant toute la journée", mais Leo a tout un tas de personne dont il doit s'inquiéter :т
Aussi, je sais que leur taille comparée n'arrête pas de changer. Est-ce que veux surveiller ça de plus près ? Nan
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Début de l'épisode | Précédent | Version Anglaise | Prochain épisode
Masterpost
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Tout les droits pour ce comics appartiennent à Cass
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albad · 7 months
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OCCIDENT : LA FIN DE L'HÉGÉMONIE ?
Deux cartes symétriquement opposées. D'un côté, le soutien militaire à l'Ukraine : uniquement le camp Européen et anglo-saxon. De l'autre, la reconnaissance de la Palestine : le monde entier, sauf l'Europe et les USA. Le camp occidental contre le reste du monde.
Une grande puissance militaire qui tente d'annexer le pays voisin, plus petit, en tuant des civils. L'Ukraine et la Palestine auraient pu être comparées car elles subissent le même sort : l'une attaquée par la Russie, l'autre colonisée par Israël. Pourtant, le président ukrainien fait le choix inverse. Il ne cesse de défendre de toutes ses forces l’État israélien. En 2020, l'Ukraine s'est même retirée du Comité pour l'exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. En 2023, Volodimir Zelensky affirme que la Russie serait derrière l'offensive du Hamas, liant le sort de l'Ukraine à celui d'Israël. Il a même demandé à venir en Israël, ce qui lui a été refusé. Pourtant, en 2014, l'ambassadeur palestinien en Ukraine soutenait «l'intégrité territoriale de l'Ukraine» au Donbass.
Ce double standard sur l'Ukraine et la Palestine illustre l’hypocrisie occidentale. En dehors des pays riches, personne ne soutient les bombardements de Gaza ni ne croit aux mensonges éhontés de l'armée israélienne. Déjà en 2022, les occidentaux avaient été «surpris par la réticence de grands pays du Sud à les suivre dans leur condamnation de l’invasion de l’Ukraine» écrit Le Monde. Les USA parviennent de moins en moins à dicter au monde quelle guerre doit être considérée comme «juste» ou «injuste», qui doit être vu comme «l'axe du bien».
Voir les USA qui sèment la guerre aux quatre coins de la planète s'émouvoir de certaines victimes civiles en méprisant les autres scandalise le Sud global. De même, les dirigeants occidentaux qui se succèdent à Tel-Aviv au moment où les civils meurent par milliers à Gaza ne peuvent que choquer partout, en dehors du pré-carré occidental.
Au niveau mondial, l'appui militaire à l'Ukraine comme le soutien inconditionnel à Israël sont minoritaires. Ce n'est plus la guerre froide avec l'Ouest contre l'Est, c'est le Sud global contre les pays riches. Par son arrogance, son militarisme et son double discours, l'occident s'est isolé.
Contre Attaque.
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14 / 02 / 2024
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Chers lecteurs ! Joyeuse Saint-Valentin 🌹💞
Vous ne le savez peut-être pas mais je n'ai jamais célébré cette journée en couple, alors j'ai imaginé une histoire sur ce que j'aurais aimé vivre, comme je l'ai fait les années précédentes.
Aujourd'hui je publie une histoire inspirée par "l'art" (illustrations créées par Intelligence Artificielle) de @dragonslayher sur Deviantart. Il a représenté le chanteur / acteur Ross Lynch (âgé actuellement de 28 ans) et l'acteur Tom Holland (âgé de 27 ans) étant en couple au lycée. Si cette histoire vous plaît je publierais certainement ce qui s'est passé avant (Chapitre 1) et après (Chapitre 3) cette histoire (Chapitre 2).
Dans cette histoire, c'est un univers parallèle où Tom âgé de 17 ans et Ross âgé de 18 ans, avec leur différence de taille actuelle, auraient été ensemble au lycée et amoureux. Il est plus facile pour moi d'imaginer Tom Holland comme un mignon garçon dominé plutôt que comme un dominant, même si je l'ai déjà décrit ainsi dans des histoires précédentes.
Je suis également excité par Ross Lynch et je l'ai décrit ici comme un sportif géant et dominant. Vous pouvez également imaginer cette histoire comme ce qu'aurait été un film entre ces deux magnifiques acteurs.
J'ai mis cette histoire parmi celles sur les CÉLÉBRITÉS AMOUREUSES mais ce ne sont pas ici les réelles stars qui sont mises en scènes mais des variants de réalités parallèles, c'est-à-dire dans un autre monde.
Je dédie cette histoire à tous les célibataires, en vous souhaitant de passer une bonne soirée seul et en espérant que mon histoire vous apportera de la joie. 😊
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
CÉLÉBRITÉS AMOUREUSES #16
ROSS LYNCH x TOM HOLLAND
LE GRAND SPORTIF ET SON PETIT GARS
CHAPITRE 2 - SAINT-VALENTIN AU LYCÉE
Tom Holland était un joli pompom boy de son lycée. Il n'avait d'yeux que pour son amoureux, le quaterback Ross Lynch. Ross Lynch était le plus bel homme du lycée, car il était le plus grand et le plus musclé. Avec son long nez droit, son sourire étincelant, son odeur chaude de sueur masculine, ses doux cheveux blonds magnifiquement coiffés, ses yeux bleu charmants, il avait tout d'un prince. Capitaine et quaterback de l'équipe de soccer du lycée, il était littéralement le Roi du lycée, car il dépassait tout le monde de minimum une tête, alors personne n'osait le contredire ou lui manquer de respect. Et pourtant, cet homme magnifique, naturellement autoritaire et qui n'avait pas besoin d'élever la voix pour être obéi des professeurs comme des élèves, était bisexuel.
Oui, et il était depuis récemment le fier petit ami de Tom Holland, un garçon cheerleader! Celui-ci ne pouvait y croire : depuis son premier jour au lycée, il était immédiatement tombé amoureux de Ross Lynch sans même avoir entendu le soix de sa voix, n'avoir respiré l'odeur de sa sueur, goûté à son corps, masser ses muscles ou tout simplement avoir pu lui parler ou l'écouter. Depuis, Tom Holland avait fait toutes ces choses, et personne n'avait plus jamais embêté le mignon petit garçon depuis qu'il était officiellement l'amoureux de Ross Lynch. Car, quel contraste il y avait entre eux !
Âgé d'un an de moins que Ross Lynch, Tom Holland était un joli garçon de 17 ans, un peu musclé mais avec un petit cul rond, alors que Ross était très musclé et avait un gros cul ; des cheveux bruns quand ceux de Ross sont blonds ; des yeux marrons alors que ceux de Ross sont noisettes... Mais la différence notable et majeure est la taille : même si Tom Holland mesure 1 m 69, ce qui est raisonnable, il a l'air minuscule comparé à Ross Lynch, qui mesure 1 m 83, donc plus d'une tête de plus que son amoureux.
Ross Lynch étant désiré de la quasi totalité des lycéens, beaucoup avaient espéré qu'un grand mâle blanc dominant et sportif, bon élève et séducteur, ne soit pas intéressé par ce garçon insignifiant. L'inverse s'était produit. C'est justement le caractère discret de Tom Holland, son aspect de mignon petit garçon doux et rieur qui avait plu à Ross Lynch. Il voulait être protecteur envers son garçon, qui, quoiqu'agé d'un an de moins que lui seulement, était son bien le plus précieux. Par amour et adoration envers, Tom Holland avait rejoint l'équipe de cheerleaders dans l'unique but de pouvoir admirer la musculature de son gigantesque petit ami.
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Voir et entendre son petit ami donner des ordres à ses coéquipiers émoustillait toujours Tom Holland, qui savait qu'il était la petite chose de son mec. Pouvoir respirer l'odeur de sa chaude sueur virile était une belle récompense pour toutes ces heures dépensées à apprendre des chorégraphies et des chansons dont le seul but était de glorifier la puissance et la beauté des athlètes dont Ross Lynch était le capitaine. Devenu le petit-ami du roi du lycée qui était candidat à sa propre réélection pour le prochain Bal de Promo, Tom Holland avait gagné en popularité auprès des lycéens.
En ce 14 février, jour de la Saint-Valentin, Tom Holland était dans un couloir, vêtu de son uniforme de pompom boy composé dun tee-shirt moulant aux manches courtes et d'une jupe plissée arrivant bien au-dessus des genoux. Ce contraste entre la masculinité des bras musclés de son petit ami et sa féminité par sa jupe excitait Ross Lynch, ouvertement bisexuel. Cela avait pour effet que les garçons et les filles du lycée rêvaient presque tous d'être en couple avec lui. Mais, même si certains espéraient toujours qu'ils rompent, la beauté du couple que formaient Ross et Tom avaient fini par les convaincre de la sincérité de leurs sentiments.
Des pas affirmés retentirent dans le couloir. Ross Lynch, l'homme le plus grand du lycée, était gigantesque pour son âge et tout le monde baissait la tête en signe de respect ou alors osait admirer la perfection de son visage. D'une allure assuré et un peu arrogante, Ross Lynch arriva au niveau du casier de son grand amour.
ROSS LYNCH : "Comment va mon bébé aujourd'hui 😏 ?"
Tom se retourna et sourit immédiatement en voyant son divin amoureux. Le haut de la tête de Tom arrivait à peine au-dessus des impressionnants pectoraux de son amant. Pour se regarder les yeux dans les yeux, Ross Lynch devait baisser la tête et Tom devait la lever.
TOM HOLLAND : "Mieux maintenant que je te vois 😁."
ROSS LYNCH : "Bonne réponse, bébé."
Vêtu de son teddy en cuir, d'un jean qui moulait son gros cul rond et son immense bite juteuse et ses couilles pleines, Ross Lynch avait un bras posé contre les casiers, empêchant des losers de s'en approcher tant qu'il se trouvant devant. Il adorait contempler son garçon de haut pour le voir le regarder avec adoration.
ROSS LYNCH : "Viens là, tu mérite ton bisou."
Ross Lynch prit Tom Holland par la taille, et le colla contre lui pour embrasser son front, son nez et ses oreilles, faisant rire son petit ami.
TOM HOLLAND : "Et moi ? 😅"
ROSS LYNCH : "Quoi, "toi" ?"
TOM HOLLAND : "Je n'ai pas le droit de t'embrasser, s'il te plaît ?"
ROSS LYNCH : "Je vais devoir y réfléchir... Mais non je rigole, ne fait pas cette tête, bébé ! Tu as le droit à un baiser !"
Tom embrassa le cou chaud de son amoureux et en profita pour respirer l'odeur de sueur masculine.
ROSS LYNCH : "Viens, on doit aller en cours."
Ce matin là, Tom avait le bonheur d'avoir un cours commun avec Ross Lynch, qui avait un an de plus que lui. Les deux amants en profitèrent pour s'asseoir l'un à côté de l'autre. Tout au long du cours, Tom Holland regardait, admiratif, la perfection du visage de Ross Lynch, se demandant pourquoi il ne lui avait encore rien offert en ce jour particulier de la Saint-Valentin, leur première ensemble. Autour de lui des roses et des boîtes de chocolats, des cartes et des ballons, des bonbons et des peluches étaient échangés entre les amoureux. Lui n'avait rien reçu.
Ross Lynch avait-il oublié ? Impossible, car en temps que Président des élèves - un de ses innombrables titres au lycée - il dirigeait le comité d'organisation des fêtes du lycée : les ballons et les guirlandes roses et rouges ornaient les portes et les plafonds du lycée.
Tom se demandait s'il était puni d'une quelconque désobéissance envers Ross, s'il avait manqué de respect, s'il n'avait pas assez bien massé ses longs pieds ou sucé sa belle bite la dernière fois qu'ils avaient passés un moment intime.
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Perdu dans ses pensées, Tom Holland n'entendit par la professeur dire : "Tom, je sais que Monsieur Lynch est le plus bel homme qui ait jamais vécu sur Terre, que MichelAnge doit être triste de ne pas l'avoir eu pour modèle et que nous passerions tous nos journées entières à admirer sa magnifique splendeur, mais, mais, tu dois te concentrer un peu plus sur le cours et un peu moins sur la perfection de son visage !"
Cette intervention provoqua un léger rire, mais respectueux, sans moquerie, car quiconque aurait manqué de respect au petit ami aurait définitivement perdu l'usage d'un bras ou d'une jambe. Ross Lunch prit la douce petite main de Tom dans la sienne qui en mesurait quasiment le double pour le rassurer.
Après une journée à espérer n'importe quel cadeau de la part de l'homme de ses rêves, Tom se résigna, craignant que Ross Lynch, fidèle à sa réputation de séducteur, ne le quitte le jour de la Fête des Amoureux. En sortant du lycée, il vit Ross appuyé contre sa voiture.
"Monte.", lui dit Ross d'un ton calme mais qui ne supposait aucune réponse.
En petit ami obéissant, il voulait plaire à son géant. Il monta en voiture, et Ross lui claqua ses petites fesses avant de fermer la portière. Il aimait cette sorte d'androgynie chez Tom, le fait que Tom soit petit et mince avec une jupe courte comme une fille, musclé aux cheveux courts comme un gars. Il posa son long bras musclé derrière la nuque de Tom et l'embrassait sur la joue de temps à autre. Tom Holland ne savait pas à quoi s'attendre de la part de Ross Lynch.
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Ils arrivèrent dans une forêt, et, avant qu'ils ne se garent, Ross mit un ruban sur les yeux de Tom. Il lui demanda de s'habiller sans regarder. C'était un pantalon, un tee-shirt blanc et un gilet en cuir.
Une fois arrivés à destination, Ross guida Tom, lui mit une chaîne autour du cœur dont il se servir comme une laisse pour guider Tom Holland derrière lui comme s'il était son toutou. Tom Holland se considéré comme la propriété de Ross, il voulait lui appartenir pour l'éternité, alors être son animal de compagnie ne le dérangeait pas.
Pourtant lorsqu'il sentit les bras puissants de Ross le porter pour les derniers mètres, il comprit. Oui, la surprise. Celle qu'il espérait tant. Ross le posa à terre, retira le ruban et Tom découvrit une table sut une plate-forme recouverte de pétales de roses rouges, des bougies cachées dans des buissons, des plats délicieux les attendaient. Ross avait envoyé ses serviteurs préparer le lieu, mais c'est lui qui l'avait conçu et choisi le menu que ses cuisiniers personnels avaient faits. Tom eut les larmes aux yeux en voyant ça : jamais personne ne lui avait aussi élégamment témoigné de l'amour !
Ross prit la laisse de Tom et le guida à table, où les deux amoureux dégustèrent les mets fins, s'amusant à se mettre les plats dans la bouche de l'autre.
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Ross se leva, embrassa son mignon petit garçon et l'emmena regarder la nuit étoilée. Ross s'allongea contre un arbre. Il prit Tom dans ses bras, si fort qu'il pouvait aisément supporter le poids du corps du léger et mignon Tom sur lui, lui caressant ses cheveux bruns. 
TOM HOLLAND : "Merci de m'avoir emmené voir les étoiles, mais j'ai la chance d'en admirer une tout les jours : toi."
Narcissique, Ross aimer la flatterie. Surtout si elle venait du mignon petit garçon qui le voyait comme un dieu vivant et pour qui il aurait tué sans remord. 
ROSS LYNCH : "C'est bien. Continue." 
TOM HOLLAND : "Je n'ai pas besoin d'être éclairé par le Soleil si tu es face à moi." 
ROSS LYNCH : "Pas mal. Ne t'arrête pas." 
TOM HOLLAND : "Je mourrai si je ne pouvais pas te voir. Je t'aime plus que tout au monde, tu es un diamant, rien ni personne ne t'égale, je t'aime, merci d'être mon amoureux..." 
ROSS LYNCH : "Ça va, bébé, ça va ! Gardes en pour la prochaine Saint-Valentin. D'ici là tu auras le temps de t'améliorer en flatterie. Quand on est le petit ami d'un dieu on doit être reconnaissant."
 TOM HOLLAND : "Je le suis ! Je ferais tout pour toi !"
 ROSS LYNCH : "Tommy, mon bébé, tu es le plus mignon, le plus doux des garçons qu'un roi comme moi puisse désirer. Quiconque te fera le moindre mal subira d'atroces représailles. Tu es plus précieux à mes yeux que le plus pur des diamants."
Tom s'en voulait d'avoir voulu un cadeau : Ross Lynch est à lui-même un cadeau ! Celui-ci se pencha pour embrasser Tom Holland quand...
BBBBBBbbbRRRRRrrrrrrPPPPPppppppTTTTTTTtttttttt!!!!!!!!
Un rot tonitruant sentant la viande et le chocolat souffla sur le visage de Tom, dont la joli petite mèche se retourna en raison de la puissance du rot. Ross Lunch hurla de rire d'avoir roté au visage de son garçon, mais Tom respirait l'odeur de la bouche de Ross et le remercia pour son rot : tout ce qui venait de Ross Lynch était précieux et devait être apprécié.
Le beau maître gazeux, tenant toujours la chaîne en main, admira les étoiles en compagnie de son adorable petit garçon, et Tom s'endormit dans ses bras musclés, au comble du bonheur en cette Saint-Valentin.
 FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
Dear readers ! Happy Valentine's day 💞🌹
You may not know it but I've never celebrated this day being in couple, so i imagined a story about what I would have liked to live, as i did in the previous years.
Today I'm publishing a story inspired by the "art" (illustrations created by Artificial Intelligence) of @dragonslayher on Deviantart. It depicted singer/actor Ross Lynch (currently 28 years old) and actor Tom Holland (aged 27) being a couple in high school. In this story, it's a parallel universe where Tom aged 17 and Ross aged 18, with their current height difference, would have been in high school together and in love. It's easier for me to imagine Tom Holland as a cutie boy dominated rather than as a dom, even though I've already described him that way in previous stories.
I am excited by Ross Lynch too, and I've described him here as a giant dominant jock. You can also imagine this story as what a movie would have been between these two gorgeous actors 🥵.
It's a story about CELEBRITIES IN LOVE but it's not the real versions of the stars here, more variants from a parallel universe.
I dedicate this story to all the single persons, wishing you to spend a good evening alone and hoping my story will bring you joy. 😊
If you like this story I will definitely post what happened before (Chapter 1) and after (Chapter 3) this story (that's why it's already Chapter 2).
PERSONAL FICTIONAL STORY
CELEBRITIES IN LOVE #16
ROSS LYNCH x TOM HOLLAND
- THE TALL JOCK AND HIS SMALL BOY - CHAPTER 2 - HIGH SCHOOL'S VALENTINE'S DAY
Tom Holland was a pretty cheerleader at his high school. He only had eyes for his lover, quarterback Ross Lynch. Ross Lynch was the most handsome man in school because he was the tallest and most muscular. With his long straight nose, his sparkling smile, his warm smell of male sweat, his soft, beautifully styled blond hair, his charming blue eyes, he had everything of a prince. Captain and quarterback of the high school soccer team, he was literally the King of the school, because he was at least a head taller than everyone, so no one dared to contradict him or disrespect him. And yet, this magnificent man, naturally authoritarian and who did not need to raise his voice to be obeyed by teachers and students alike, was bisexual.
Yes, and he was most recently the proud boyfriend of Tom Holland, a boy cheerleader!
Tom couldn't believe it: since his first day in high school, he had immediately fallen in love with Ross Lynch without even having heard the six of his voice, having breathed the smell of his sweat, tasting his body, massaging his muscles or simply being able to talk to him or listen to him. Since then, Tom Holland had done all these things, and no one had ever bothered the cute little boy since he was officially Ross Lynch's love interest. Because what a contrast there was between them!
A year younger than Ross Lynch, Tom Holland was a pretty boy of 17, a little muscular but with a small round ass, while Ross was very muscular and had a big ass; brown hair when Ross's is blond; brown eyes while Ross's are hazel... But the notable and major difference is the height: even if Tom Holland measures 1 m 69, which is reasonable, he looks tiny compared to Ross Lynch, who measures 1 m 83, so more than a head taller than her lover. Ross Lynch being desired by almost all high school students, boys and girls, many had hoped that a tall, dominant and athletic white male, a good student and seducer, would not be interested in this insignificant boy.
The opposite had happened. It was precisely the discreet character of Tom Holland, his appearance as a cute, sweet and laughing little boy that appealed to Ross Lynch. He wanted to be protective of his boy, who, although only a year younger than him, was his most precious possession. Out of love and adoration, Tom Holland had joined the cheerleading team for the sole purpose of being able to admire the muscles of his gigantic boyfriend.
Seeing and hearing his boyfriend giving orders to his teammates always excited Tom Holland, who knew he was his boyfriend's little thing. Being able to breathe in the smell of his warm virile sweat was a great reward for all those hours spent learning choreographies and songs whose sole purpose was to glorify the power and beauty of the athletes of which Ross Lynch was the captain. Having become the boy of the high school school's king, who was a candidate for his own re-election for the next Prom, Tom Holland had gained popularity among high school students.
On February 14, Valentine's Day, Tom Holland was in a hallway, dressed in his cheerleader uniform consisting of a tight-fitting short-sleeved T-shirt and a pleated skirt reaching well above the knees. This contrast between the masculinity of his boyfriend's muscular arms and his femininity through his skirt excited Ross Lynch, openly bisexual. This had the effect that the boys and girls in high school almost all dreamed of being in a relationship with him. But, even if some still hoped that they would break up, the beauty of the couple that Ross and Tom formed had finally convinced them of the sincerity of their feelings.
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Assertive footsteps sounded in the hallway. Ross Lynch, the tallest man in school, was gigantic for his age and everyone either bowed their heads in respect or dared to admire the perfection of his face.
With a confident and slightly arrogant look, Ross Lynch arrived at his great love's locker.
ROSS LYNCH: “How is my baby today 😏?”
Tom turned around and immediately smiled upon seeing his divine lover. The top of Tom's head barely came above his lover's impressive pecs. To look each other in the eye, Ross Lynch had to lower his head and Tom had to raise it.
TOM HOLLAND: “Better now that I see you 😁.”
ROSS LYNCH: “Good answer, baby.”
Dressed in his leather teddy, jeans that hugged his big round ass and his huge juicy cock and his full balls, Ross Lynch had one arm resting against the lockers, preventing losers from approaching him as long as he was finding in front. He loved looking down on his boy to see him look at him with adoration.
ROSS LYNCH: “Come here, you deserve your kiss.”
Ross Lynch grabbed Tom Holland by the waist, and pulled him close to kiss his forehead, nose and ears, making his boyfriend laugh.
TOM HOLLAND: "And me? 😅"
ROSS LYNCH: "What, 'you'?"
TOM HOLLAND: “Am I not allowed to kiss you, please? 😊”
ROSS LYNCH: "I'll have to think about it... 🤔But no, I'm kidding, don't make that face, baby! 😂 You have the right to do one kiss!"
Tom kissed his lover's warm neck and took the opportunity to breathe in the scent of male sweat.
ROSS LYNCH: “Come on, we have to go to class.”
That morning, Tom had the pleasure of having a joint class with Ross Lynch, who was a year older than him. The two lovers took the opportunity to sit next to each other. Throughout the class, Tom Holland stared in awe at the perfection of Ross Lynch's face, wondering why he hadn't given her anything yet on this special Valentine's Day, their first together. Around him roses and boxes of chocolates, cards and balloons, sweets and stuffed animals were exchanged between the lovers. He had received nothing.
Had Ross Lynch forgotten? Impossible, because as Student President - one of his countless titles at high school - he headed the organizing committee for the high school celebrations: balloons and pink and red garlands decorated the doors and ceilings of the high school.
Tom wondered if he was being punished for any disobedience to Ross, if he had been disrespectful, if he hadn't massaged his long feet well enough or sucked his beautiful cock well enough too, the last time they hung out.
Lost in his thoughts, Tom Holland did not hear the professor say: "Tom, I know that Mr. Lynch is the most beautiful man who ever lived on Earth, that Michelangelo must be sad not to have had him as a model and that we would all spend our entire days admiring his magnificent splendor, but, but, you need to concentrate a little more on the lesson and a little less on the perfection of his face!”
This intervention provoked a slight laugh, but respectful, without mockery, because anyone who had disrespected the boyfriend would have definitely lost the use of an arm or a leg. Ross Lunch took Tom's soft little hand in his, which was almost twice the size, to reassure him.
After a day of hoping for any gift from the man of his dreams, Tom resigned himself, fearing that Ross Lynch, true to his reputation as a seducer, would leave him on Lovers' Day. As he left the school, he saw Ross leaning against his car.
"Come up.", Ross told him in a calm tone but which did not assume any response.
As an obedient boyfriend, he wanted to please his giant. He got into the car, and Ross smacked his little butt before closing the door. He liked this kind of androgyny in Tom, the fact that Tom was short and thin with a short skirt like a girl, muscular with short hair like a guy. He put his long muscular arm behind Tom's neck and kissed him on the cheek from time to time.
Tom Holland didn't know what to expect from Ross Lynch. They arrived in a forest, and, before they parked, Ross put a ribbon over Tom's eyes. He asked him to dress without looking. It was pants, a white t-shirt and a leather vest.
Once at their destination, Ross guided Tom, put a chain around his heart which he used as a leash to guide Tom Holland behind him as if he were his dog. Tom Holland considered himself Ross's property, he wanted to belong to him for eternity, so he didn't mind being his pet. Yet when he felt Ross' strong arms carrying him for the last few meters, he understood.
Yes, the surprise. The one he hoped for so much. Ross put him on the ground, removed the ribbon and Tom discovered a table on a platform covered with red rose petals, candles hidden in bushes, delicious food waiting for them. 🌹
Ross had sent his servants to prepare the place, but it was he who had designed it and chosen the menu that his personal cooks had made. Tom had tears in his eyes when he saw this: no one had ever shown him love so elegantly!
Ross took Tom's leash and guided him to the table, where the two lovers tasted the fine dishes, having fun putting the dishes in each other's mouths.
Ross got up, kissed his cute little boy and took him to watch the starry night. 🌌
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Ross lay down against a tree. He hugged Tom, so tight that he could easily hold the weight of the light, cute Tom's body on top of him, stroking his brown hair.
TOM HOLLAND: “Thank you for taking me to see the stars, but I have the chance to admire one every day: you.”
Narcissistic, Ross loves flattery. Especially if it came from the cute little boy who saw him as a living god and for whom he would have killed without remorse.
ROSS LYNCH: "That's good. Keep going."
TOM HOLLAND: "I don't need to be lit by the Sun if you're facing me."
ROSS LYNCH: "Not bad. Don't stop."
TOM HOLLAND: "I would die if I couldn't see you. I love you more than anything in the world, you are a diamond, nothing and no one equals you, I love you, thank you for being my lover.. ."
ROSS LYNCH: "It's okay, baby, it's okay! Save some for next Valentine's Day. Until then you'll have time to get better at flattery. When you're the boyfriend of a god you have to be grateful."
TOM HOLLAND: "I am! I would do anything for you!"
ROSS LYNCH: "Tommy, my baby, you are the sweetest, sweetest boy a king like me could want. Anyone who does you the slightest harm will suffer terrible retaliation. You are more precious to me than the purest of diamonds."
Tom was angry with himself for having wanted a gift: Ross Lynch is a gift to himself! He leaned over to kiss Tom Holland when...
BBBBBBBbbbRRRRRrrrrrrPPPPPppppppTTTTTTTtttttttt!!!!!!!!
A thunderous belch smelling of meat and chocolate blew into Tom's face, whose pretty little locks flipped due to the power of the burp. Ross Lunch howled with laughter for burping in his boy's face, but Tom breathed in the scent of Ross's mouth and thanked him for the burp: anything from Ross Lynch was precious and should be appreciated.
The handsome gassy master, still holding the chain in his hand, admired the stars in the company of his adorable little boy, and Tom fell asleep in his muscular arms, at the height of happiness this Valentine's Day.
END OF THE STORY
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studygrammeuse · 8 months
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Et vous la rentrée ? Comment ça s'est passé ? 🌷
De mon côté, j'ai rendez-vous lundi avec systèmes juridiques comparés, mon premier CM de master ! Je vous en dirai plus dès lundi soir !
En attendant, je profite de mes derniers jours entre mes cours de Coréen, mes cours de chinois et la préparation de mon organisation pour ce premier semestre. La fac m'a mis les cours de DU de droits asiatiques en même temps que des CM. On m'avait prévenue mais ce n'est pas pratique du tout. Mais Studygrammeuse ne se laissera pas faire ! 💪🏻💪🏻💪🏻🫶🏻🫶🏻🫶🏻
Passez encore un beau mois de septembre, on aura plein de belles choses à se raconter !
En attendant, je vous laisse aller écouter le podcast Paroles d'étudiants ! 🪩
À très vite !
Stud 🧡
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steff-02 · 3 months
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Quelle journée ! Je ne sais même par où commencer tellement que j’ai envie de vous dire pleins de choses ! 😂 veuillez m’excuser si je m’éparpille un peu…
La journée commence un peu plus tôt que toutes les précédentes. À 7h20 nous partons chercher la voiture. Arrivé à la voiture, je me rends compte que je n’ai pas pris mon permis de conduire. Je remonte en vitesse à l’appart, prend mon permis (et celui à maman au passage, au cas où..), je redescends et hop cette fois-ci on est parti. Nous avons environ 140km à faire pour rejoindre San Fransisco de Macoris. Google Map nous prévoit un temps de trajet de 2h40 ! 😱 bon,…il prend déjà en compte le trafic intense pour sortir de la capitale 😅. Il y a tellement de circulation qu’il nous faut plus d’une heure pour faire les premiers 25km…il faut que j’oublie un peu mes règles de conduite suisses…comme dit l’expression, « à Rome, fait comme les Romains ». Alors on s’impose, on force le passage et on avance 😂. On a traversé des paysages sublimes, aux pieds des montagnes couvertent de forêts tropicales verdoyantes 🥰 Malgré que je ne me suis pas arrêté faire de photos, il y a quand même eu plus d’embouteillages que ce que prévoyait Google, alors la marge de 30 minutes que j’avais pris à déjà été entièrement grignotée…mais quand je me rends compte, à quelques mètre du point d’arrivée, que je me suis trompé pour entrer l’adresse; j’ai commencé à perdre patience 😅 on fait encore un petit détour d’une demi heure, on arrive en catastrophe, on s’excuse beaucoup à notre arrivée, on fait pipi et voilà, il est 11h et on peut enfin commencer la visite 😂💪🏼
Nous visitons aujourd’hui une plantation de cacao 🍫🍫 ! Nous rejoignons deux français, qui patiente déjà depuis un moment… On commence la visite par apprendre comment faire pousser le cacao. Soit on fait germer les graines et on les fait pousser (il faudra 3 ans avant que cet arbre produise du cacao), soit après avoir planté la graine et 3 mois de pousse, on y greffe une branche d’un arbre qui produit du cacao de très bonne qualité, l’arbre commencera à faire des fruits après un an seulement et de très bonne qualité 😉 Ensuite, la guide nous présente les différentes cabosses, et en ouvre une. Nous avons pu goûter les fèves de cacao fraîches. Seul la pulpe blanche se mange et elle est très sucrée et ici avec un léger goût de mangue 🤣. Toutes ces fèves sont récoltées puis fermentées durant 5 jours avant d’être séchées durant environ 8 jours (ça dépendra aussi de la météo ⛈️🤷🏽‍♂️). Quand elles sont bien sèches, elles sont torréfiées durant une quinzaine de minutes, avant d’être concassées puis l’enveloppe de la fève doit être séparée du grain de cacao. Autrefois, chaque fève était écrasée à la main lorsqu’elle était encore chaude puis toutes les écorces devaient être triées…sacré boulot ! Le cacao doit alors être broyé, et très vite, grâce à l’huile contenue dans les graines, une pâte se forme. Nos guides y ajoute un peu de sucre et en forme une boule ( on a pu goûter et c’est déjà délicieux ! 🥰). Ils vont laisser sécher totalement cette boule. Elle sera ensuite moulue et ils auront un nouveau stock de chocolat en poudre pour faire des gâteaux ou des chocolats chaud ;) Les machines à l’usine, elles, sont un peu plus performantes et peuvent rendre le chocolat extrêmement lisse, puis le tempèrent et moulent de belles tablettes de chocolat brillantes et croquantes ! 🍫 Nous avons ensuite dégusté plusieurs type de chocolats avec des teneurs en cacao différentes. Étonnement, même le chocolat noir 80% n’était pas très amer, comparé aux tablettes que nous trouvons dans le commerce en Europe.
Après la visite, nous avons eu droit à un copieux repas dominicain. Pour accompagné le riz et une sorte de ragoût de poulet, nous avons eu droit à des bananes plantains. C’est une variété de banane qui se mange uniquement cuite. Grillée, frite ou bouille ! C’est très bon mais assez bourratif 😅
Après avoir fait un dernier tour dans la plantation, nous prenons la route direction Santo Domingo. Nous faisons taxi pour les deux français avec qui nous avons partagé la visite. Ils n’ont pas de voiture alors nous les avons avancé jusqu’au prochain village afin qu’ils prennent un bus pour rejoindre Puerto Plata, tout au nord de l’île.
Il est presque 18h lorsque nous arrivons à l’hôtel. L’entrée à Saint Domingue était de nouveau assez sportive mais plus fluide que ce matin. On avait pas vraiment la force de retourner souper en ville, alors après s’être posé un moment, on est retourné souper dans le resto en bas de l’appartement, comme le premier soir ;)
PS: ci-dessus, la deuxième image représente les différentes étapes pour obtenir la pâte de cacao.
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kiala-story · 1 year
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•Il lève la main contre toi•
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Mention : Violence - Angoisse - Pleure - Injure - Blessure
Personnages : Mikey - Ran - Taiju - Sanzu
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Mikey (Kanto) :
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Comment en sommes-nous arrivés là ?
C'était la nuit de trop.. la fois de trop !
Tu avais attendu ton petit ami une bonne partie de la nuit car tu étais très inquiète.
Il finit par rentrer vers 4h du matin avec son uniforme blanc et ses cheveux longs a peine coiffé.
Tu te lèves inquiète et te dirige vers lui énervé.
"Bon sang Mikey mais où étais-tu encore ?" lui dis-tu serrant les dents de toutes ses forces.
Un regard noir et profond sans aucune compassion envers toi.
"Cela ne te regarde pas" Finit il par dire froidement avant de te contourner pour aller se placer dans le canapé.
Tu le suis déterminé à avoir des explications de sa part.
"Je voudrais que tu me répondes quand je te parle !" Dis tu le regardant droit dans les yeux.
Avant même que tu puisses redire quelque chose il se lève et frappe le mur juste à côté de ta tête, te laissans sans voix toute tremblante.
"A qui crois-tu parler ?" Son regard pesant sur le tient prêt à te tuer à tout moment.
"Je...Je parle à mon copain ! Celui avec un bon coeur !" Cris tu contre lui.
Il se mit donc à rire, te laissans perplexe à sa réaction.
"Moi ? Ton copain ? Tu n'es personne pour moi." Dit-il avec certitude dans sa voix.
Des larmes incontrôlables coules de tes yeux subitement après ces paroles dures.
"Mik- !" Tu ne eu le temps de finir ta phrase qu'il colle à sa main sur ton visage écrasante à tête contre le mur.
Une douleur de lancinant la tête tres violemment devenant presque insupportable.
Une énorme angoisse ce créé en voyant son regard plus dur que celui d'avant.
"Tu n'es personne pour moi ! Retiens bien ça." Dit-il en enlevant sa main ta tête pour se rassoir son canapé tranquillement.
Trop choquée tu prends ton sac à main ta veste et tu pars en courant de la maison afin de t'éloigné le plus possible de cet homme violent qui a là-bas c'est un gars bienveillant et aimant.
Ran :
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Tu t'attendais vraiment pas à ce que ce jour arrive.
Tu avais entendu plusieurs rumeurs à son sujet... Mais tu t'es dit qu'avec toi il ne serait pas violent...
Du moins c'est ce que tu pensais.
J'avais passé une longue journée au lycée tu finis par rentrer accompagné de ton meilleur ami avec qui tu as une excellente complicité.
Il était clair que vous étiez assez proches mais pas assez pour vous puissiez être en couple vu que tu étais avec Ran et que lui avait déjà également une copine.
Tu avais beau expliquer à ton petit copain que ce n'était qu'un simple ami, celui-ci ne le vois pas de cette manière.
Tu dis aurevoir à ton ami qui part de son côté, tu finis par rentrer dans l'appartement de ton petit ami pour y passer le week-end comme toutes fins de semaines.
"Je suis rentré !" Dis-tu avec joie.
Tu vois ton petit ami torse nu les cheveux détacher au vent en train de fumer sur le balcon.
Ton regard se dresse automatiquement sur son tatouage parcourant une bonne partie de son corps.
Tu te rapproches de lui afin de venir lui afin de l'enlacé après cette dure journée.
"Bébé ?" Dis tu te rapprochant de plus en plus de lui
"A quoi tu joues ?" finit il part dire te regardant avec un regard glacial.
Tu arrêtes tout mouvement essayant de comprendre sa réaction.
Pour quelle raison dire demander ça ?
"Je te demande pardon ?" Le regarde tu le questionnant.
Sa mâchoire se resserre, Il jette sa cigarette du haut du balcon te ramenant contre le mur plaçant ses mains autour de ton cou.
"Tu veux me quitter pour lui c'est ça ?!" Dit-il vert de jalousie.
Tu places tes mains sur les siennes pour desserrer un maximum la pression sur ton cou t'empêchant de respirer.
"Ra-..argh" Tu essayes de respirer cela dit c'était possible, il resserrer sa prise de plus en plus.
"Ce mec te donnera rien comparé à moi !" Criats t-il hystériquement.
Tu te débat le plus possible réussissant à retirer ses mains, tu tombe au sol toussant reprenant ta respiration difficilement.
"Ce n'est qu'un....putain d'ami !" Essaya tu de lui dire.
Réalisant ce qu'il venait de faire il tenta une nouvelle approche pour te serrer contre lui.
"Béb-... Je.. Je suis désolé...pardon ! Je ne voulais pas...!" Bégaya t il.
Tu ne lui laissera pas le temps d'essayer que tu te leva d'un coup courant vers sa porte prenant au passage ton sac les larmes coulant sur t'es joues brulante et la peur au ventre.
Les cris de ton petit copain raisonna dans toute l'apartement.
"Y/N ! Je t'en prie reviens !" Criats t-il en fond.
Courant dans les rues de Roppongi sans but précis tu voulais juste te tenir loin de ce garçon qui voulais clairement te tuer.
Taiju :
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Tu connaissais déjà sa réputation d'un violent.
Mais stupidement ton coeur est tombé amoureux de lui, te laissant croire qu'il avait changé
Quelle naïveté as-tu fait...
Tu avais passé une bonne journée à l'université, tu avais décidé de rentrer tranquillement pour te détendre.
Enfin rentrés chez ton copain tu ne le voyais pas à la maison... Tu t'en inquiétez pas plus que ça puis pars dans la salle de bain.
Tu prends une douche tranquillement puis tu entends un gros claquement en bas.
Tu te mets en pyjama vite fait et descend pour rejoindre ton copain.
"Taiju ?" Dis tu le cherches dans la maison.
Son regard se tourne directement vers toi revenant sur ses pas. Il t'a pris violemment par les épaules te surprenant.
"Où étais-tu bordel ?!" De crier a-t-il dessus.
"Comme tous les jours j'étais à la fac bébé" dis-tu calmement
Cela dit tu viens de comprendre que tu étais rentré 2 heures plus tard que d'habitude... En soit tu n'avais absolument pas prévenu.
Mais pour toi cela ne justifiait pas sa réaction actuelle
"J'étais à la bibliothèque en train de réviser mes cours sais rien !" Comment ça tu a haussé le ton
Soudainement un douleur sur ta joue s'installe en quelques secondes te retrouvant au sol.
Il venais de te frapper sans aucune raison. Tu reste choqué de son attitude.
"N'osent même plus aussi le ton contre moi" Dit-il d'un ton très calme.
Tu n'as même pas répondu trop effrayée de ce qu'il pourrait te faire ensuite. Tu as simplement hocher la tête.
D'un coup tu penses à la porte d'entrée que tu avais heureusement oublié de verrouiller à ce moment-là.
Taiju te tourna le dos pour repartir a ses activités.
Tu en profita pour d'un coup d'adrénaline tu te lèves pour te dirigé en courant vers la porte et partir le plus loin possible.
Sur le moment il n'a pas eu le temps de te rattraper.
Il reste la choqué repensant à ses actes soudaine, ses yeux s'écarquille en repensant à tout ce qu'il avais fait subir à ses frères et soeurs.
Il regrettait toujours ses actes et quand il a pensé à ce qu'il t'a fait actuellement il voulut se frapper lui-même.
Il s'en voulait terriblement...
Depuis ce jour tu n'as plus voulu allez en cours de peur qu'il vienne devant la fac, tu la supprimer de partout.
Quant à lui Il désespérait de ne plus te voir et de plus avoir de contact avec toi.
Sanzu (Kantô) :
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Sanzu et toi êtes ensemble depuis ta première année de lycée.
Sanzu à un côté assez fou ce qui t'a fait craquer chez lui.
Car tu étais un peu près pareil, assez folles dans ta vie tous les jours.
Mais quelque chose en ce moment à déraper chez lui...
Il rentrait sois il était violent ou te parlais mal par moment il t'ignorait ou alors il te faisait des crises de jalousie pour rien.
Chaque jour est une surprise... Donc tu ne pouvait jamais savoir ces réactions.
En ce jour actuelle il était rentré complètement fou.
"Sanzu ?" Dis tu le regardant rentrer à la maison.
"Y/N...Pourquoi es-tu si cruelle avec moi ? Hum ?" Dit il s'approchant tout un téléphone à la main
Tu ne comprenais pas actuellement ce qui se passait il était complètement fou son visage avait changer complément.
"Comment ça ?" Répond-tu
Il allume son téléphone et te montre plusieurs photos qui te laisse sans voix.
"C'est bien toi sur ces photos non" dit t'il avec sa voix dur et froide.
"Bébé...Comment tu ces photos ? C'était il y à longtemps quand j'étais avec mon ex..." dis-tu tremblante.
Je ne savais pas que ces photos sexy de toi que tu avais envoyé il y a longtemps à ton ex allait ressortir pendant ta relation actuelle.
Ce qui te questionnait le plus était de savoir comment il avait eu ses photos..
"Avec moi tu sors des excuses à chaque fois... Mais avec lui tu avais l'air de te lâcher" Dit il avec toujours autant de violence.
Si tu avais décidé au fond de toi de ne plus faire ce genre de photo c'est parce que avec ton ex ii c'est passé énormément de problème avec ça.
Ce que Sanzu ne savait pas c'est qu'à cause de ces photos là tu as eu une toutes t'es années de collège gâcher à cause du harcèlement que tu as subit et des violence et chantage de toin ex.
"Tu ne connais rien de mon passé tu n'as pas à me dire ça !" Criats tu contre lui.
Ses mains viennent entourer ton cou se plaçant au-dessus de toi mettant tout son poids pendant que toi tu es en train de t'étouffer sur le canapé.
"Argh...San-...zu" Essaye tu de respirer
"Arrête de mentir! Tu ne m'aime plus ? Tu le préférais lui pas vrai ?! Tu continue de lui en envoyé hein !? " Cria-t-il hystériquement
Tu commences à tousser et et à te débattre pour échapper de son emprise, paniquer.
"Argh..Je-...t'en pris" Dis tu manquant d'air.
Il écarquille les yeux soudainement retirant ses mains brutalement de ton cou, tu tombe sur canapé pour pouvoir reprendre ton souffle correctement.
Tu étais à 2 doigts de vomir à force de tousser brutalement.
Bébé ? Qu'ai-je fais ? " dit-il tremblant regardant ses mains.
Il tente de s'approcher de toi mais tu recules jusqu'à te prendre le dos contre le mur de la salle.
"Ne..- t'approche pas !" Cris-tu contre lui les larmes au yeux.
"Attends...Y/N! Pa-pardonne moi !" Répond-il en criant en retour
Tu te relève d'un coup pour partir de l'appartement avec t'es jambes tremblantes sous le regard attristé de ton petit ami qui ne savais plus quoi faire.
Tu t'arrête devant la porte te retournant une dernière fois vers lui.
"Tu es une personne violente, je pensais naïvement que tu m'aimais sincèrement. Mais un homme qui s'attaque a une femme.... N'est rien d'autre qu'un déchet Sanzu. Prenons nos distance pendant un moment, j'ai besoin de m'éloigner et que tu réfléchisse sincèrement a t'es actes stupides." dis-tu le regardant de haut.
Suite à t'es paroles tu quitte l'appartement laissant Sanzu dans la réflexion totale.
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raphraconte · 8 months
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2023年09月13日 Sous-titres.txt
Aujourd'hui, j'ai terminé de sous-titrer le concert de Casiopea que le groupe a fait pour ses 20 ans en 1999, sorti en DVD. Les concerts de Casiopea sont connus pour avoir des parties parlées amusantes par le claviériste Minoru Mukaiya entre les musiques pour créer un lien entre le groupe et l'audience.
Un collectionneur de ce groupe a par le passé transcrit les parties parlées des concerts sortis commercialement sur son site Internet. Cela facilite grandement leur traduction, ce qui m'a permis d'en faire des sous-titres ! Et c'est ce qu'il y avait de vraiment facile au final... N'importe qui peut faire des sous-titres pour n'importe quelle vidéo du moment que vous en avez la motivation ! Ce n'est pas forcément utile si vous avez tendance à regarder uniquement ce qu'il y a sur les plateformes de streaming, mais voici tout de même comment je m'y suis pris...
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Tout d'abord, la vidéo m'a été fournie par un des membres du groupe Discord dont je fais partie. J'ai ensuite crée un fichier .txt avec l'application bloc-notes. On peut plus simplement en créer un en faisant un clic-droit dans l'explorateur de fichier.
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Ensuite, tout dépend des logiciels que vous avez. L'idée ici est de transformer ce fichier texte en fichier .srt (en le renommant à la racine), ce qui permettra à des logiciels comme VLC d'afficher les sous-titres écris dedans. Pour éditer le contenu du fichier, il est préférable d'avoir un logiciel acceptant le plus de formats possible, comme Notepad++.
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Si vous n'en avez pas, alors vous pouvez d'abord éditer les sous-titres dans le fichier .txt depuis l'application bloc-notes avant de convertir le tout en fichier .srt.
En ce qui concerne le formatage, c'est assez simple. On indique d'abord un index pour le texte à afficher pour donner un ordre d'affichage. Ensuite, on indique la durée durant laquelle le texte sera affiché, en l'écrivant de cette manière:
00:00:02,000 --> 00:00:04,000
Dans l'exemple ci-dessus, le texte sera affiché de la deuxième à la quatrième seconde de la vidéo. Il suffit ensuite d'écrire le texte que l'on souhaite afficher en dessous, et le tour est joué. Vous n'avez plus qu'à sauter une ligne et recommencer le processus. Voici un exemple concret d'un formatage comparé à son action une fois les sous-titres insérés sous VLC:
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Comme vous pouvez le voir, des textes ayant des intervalles qui se chevauchent n'apparaissent pas superposés sur VLC (pratique). À chaque fois que le fichier est modifié, il faut cependant le ré-importer ! Si vous vous demandez où rajouter ces sous-titres, c'est ici:
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Et voilà, si jamais vous voulez faire un travail de sous-titrage vous-même, c'est facile ! Ce sera juste plus ou moins long en fonction de la quantité de texte et de votre détermination...
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mes-envies-de-culture · 10 months
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Un amour de Slam Dunk sur grand écran
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Si vous êtes un grand fan de Slam Dunk de Takehiko Inoue, ce film est à voir absolument.
Même si à la réalisation de The First Slam Dunk, le mangaka Takehiko Inoue prend quelques largueurs par rapport à l’histoire originelle, le film est une véritable pépite. Le manga Slam Dunk, sorti en 31 tomes entre 1990 (numéro 42 du magazine Weekly Shonen) et 1996 et dès le départ le succès est au rendez-vous (basketteur ou pas). La série s’est vendue à plus de 170 millions d’exemplaires dont 120 millions sur le marché japonais . 
Le manga est édité en France depuis 1999 aux éditions Kana et même si c’est un succès les chiffres de vente ne sont pas aussi faramineux qu’au pays du Soleil Levant.
Certains fans regretteront peut être la fin de son histoire même si c’est bien à l’auteur que le choix appartient et non au lecteur. Dans tous les cas, Slam Dunk est devenue une véritable référence pour les mangas traitant le sport.
La version papier du manga met en scène Hanamichi Sakuragi, du lycée Shohoku, qui décide d’incorporer l’équipe de Basket uniquement pour séduire Haruko Akagi. Il est vrai que jusqu’ici, il s’était fait éconduire par une cinquantaine de jeunes filles. C’est le début d’une vocation avec ses compagnons de jeu que sont Takenori Akagi, Kaede Rukawa, Mitsui Hisashi et Ryota Miyagi. Ils ont un objectif ultime : décrocher le titre national…
Avant cette sortie en salle de The First Slam Dunk au cinéma en cet été 2023, l’œuvre internationale, a déjà eu le droit à quatre films d’animation entre 1994 et 1995 ainsi qu’une série de 101 épisodes sortie entre 1993 et 1996,... et surtout, il a incité de nombreux jeunes japonais(e) à se tourner vers ce sport.
Dans cette version, nous suivons le meneur de jeu Ryota Miyagi. En effet, on vit le passé tragique du jeune garçon qui a perdu son frère Sota lors d’une virée en mer 8 ans auparavant. Ce drame est également le moteur qui guide Ryota à se surpasser pour devenir encore meilleur dans cette discipline. En effet, il a souvent été comparé à son aîné. Promesse tenue : l’émotion est au rendez-vous… Il ne faut pas oublier qu’au-delà de la balle orange, Slam Dunk est également une belle et grande histoire d’amour.
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allen-san · 11 months
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Seiyuu Debitto : Mitsuki Saiga / Yūki Yonai ( Anime 2016 )
Seiyuu Jasdero : Shoutarou Morikubo / ??? ( anime 2016 )
Nom avec Debitto ( David ) : Jasdebi .
Origine : américaine
Taille : 163 cm
Poids : 47 kg
Âge : autour de 17 ans
Anniversaire : 21 décembre
Groupe sanguin : B
omposés de Jasdero ( ci-dessus ) et Debitto(David les Jasdebi incarnent le Lien.
Debitto et Jasdero sont deux adolescents plein de fougue, très impulsifs et grossiers. Ils détestent Cross, car ce dernier a constamment réussi à les semer en leur laissant ses dettes à payer. Ces deux jeunes garçons se maquillent et ont un look plutôt spécial, habillés avec des pantalons noirs moulants pleins de trous, des t-shirts trop grands, des bottes et un long manteau avec de la fourrure et ce qui leur donne un physique androgyne.
Comparé à son frère, Jasdero semble être un peu plus bête que celui-ci. Il possède une antenne perchée au dessus du crâne, ainsi qu'une bouche cousue (mais qui ne l'empêche pas de parler). Sa chevelure est longue, blonde et bouclée, qu'il clame « somptueuse chevelure d'or ». Il est souvent utilisé comme cheval pour tirer une calèche (ce qui laisse supposer qu'il possède une certaine endurance ainsi qu'une certaine force). Jasdero prononce très souvent « Hi » ou « Hi hi » en fin de phrase.
Debitto, quant à lui, est brun avec une mèche de cheveux barrant son œil droit. Il parait un peu plus mal élevé et plus intelligent que Jasdero.
Ils ont le pouvoir de matérialiser ce qu'ils désirent, à condition qu'ils pensent à la même chose en même temps. Ils possèdent chacun un revolver non chargé qu'ils ont acheté sur un marché noir. Les projectiles qu'ils tirent avec leurs armes varient en fonction de la couleur prononcée par les Jasdebi : ils peuvent être de glace (« boum : bleu »), de feu (« boum : rouge ») ou peuvent créer des « lunettes trompeuses » (« boum : pourpre ») qui plongent leurs adversaires dans une illusion. Ils peuvent fusionner pour ne devenir qu'une personne : Jasdebi.
Pour cela ils doivent chanter une chanson puis se tirer dessus avec leurs revolvers. Possédant une longue chevelure blonde (rappelant Jasdero) à la base brune (rappelant Dabitto), il utilise ses cheveux comme armes et comme autres membres. Son maquillage rappelle aussi celui des deux adolescents. Son physique, toujours androgyne, porte à confusion, mais Jasdebi est un homme. Doté toujours du caractère impulsif presque immature et du pouvoir de matérialisation, Jasdebi devient donc un puissant ennemi qui donnera beaucoup de fil à retordre à Arystar Krory.
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namjinsuperior · 1 year
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La relation du Yoonkook dans le Bangtan Universe
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Sachez que ce n'est que mon interprétation et que je me base sur les notes/les MVs et la différence entre Taehyung/Namjoon & Jimin/Hoseok.
Comme vous le savez lors de la création du BU, BH a crée des paires dans cet univers. Dans une théorie que j'avais traduite, il existait plusieurs paires selon la timeline du BU, mais les paires principaux reste:
Yoongi / Jungkook
Namjoon / Taehyung
Hoseok / Jimin
Notons aussi que ses paires se rapporte à un hyung et un maknae et que la majorité du temps, le maknae voue un respect a ce hyung.
Hors sujet: Dans quelques autres timelines ses paires changent. Vous pouvez retrouver:
Yoongi/Jimin
Namjoon/Jungkook
Hoseok/Taehyung
Même si comme dit précédemment, la base hyung/maknae reste le focus principal avec les premières paires cités.
Pourquoi donc je vois la relation de Yoongi et Jungkook différemment dans le Bangtan Universe comparé aux deux autres ?
Regardons déjà du côté de Namjoon et Taehyung. Nous savons, par rapport aux notes et dans certains MVs, que Taehyung admire Namjoon. C'est un peu comme son grand-frère/père qu'il n'a jamais eu, n'a jamais été présent.
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Namjoon a déjà vu les blessures qu'inflige le père de Taehyung à lui-même, même si on ne sait pas qu'il sait ou non si c'est son père. Quand celui-ci ne veut pas rentrer chez lui, il squatte littéralement dans le conteneur de Namjoon.
Sans parler du fait que Namjoon est celui qui va "libéré" Taehyung de garde à vue ou récupérer celui-ci quand il est au poste de police. Je ne sais pas comment je pourrais expliqué ça, Namjoon aurait un "droit" sur Taehyung comme si c'était quelqu'un de sa famille.
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La relation qu'entretient Namjoon et Taehyung est assez particulière aussi.
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Mais pour moi: NJ & TH → liés par une relation fraternelle, Taehyung aspire et souhaite ardemment être en présence de Namjoon et en dépend.
Pour Hoseok & Jimin, c'est encore différent. Ils ont une amitié sur le fait qu'ils sont "malades" tous les deux et se trouve mutuellement. Hoseok est au courant de la maladie de Jimin, bien qu'il ne sache pas la raison. Il a déjà rencontré la mère de Jimin aussi.
Quand a Jimin, il a sauvé Hoseok. Je pense que parmi les 3 relations, c'est celle qui est la plus classique et normal selon moi.
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Bon venons au sujet principal de ce thread, la relation du Yoonkook. On a plusieurs "indices". Pensez-vous qu'il s'agit uniquement d'une amitié très forte ou clairement d'une relation ?
Déjà rien que les notes portent à confusion.
Yoongi et Jungkook se connaissent via le lycée et "leur amitié" a grandi grâce à un objet en particulier qui est très précieux notamment pour Yoongi, mais qui est libérateur pour Jungkook, je parle évidemment du piano.
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Yoongi à défendu Jungkook lors de son altercation avec le professeur, ce qui a fait qu'il a été viré de l'école et c'est à ce moment précis de l'histoire que les 2… bah… ne se voient pas autant que Jungkook le voudrait.
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Et je pense que la plus grosse partie du BU qui met le doute sur leur relation c'est les MVs.
Je pense que beaucoup connaissent cette théorie, enfin, je suppose. Celle de la chemise. Ici avec le lit.
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Cette chemise qu'on retrouve notamment dans Euphoria sur le dos de Jungkook ou ici, autour de la taille de JK dans Fake Love, dans YNWA, dans Run.
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Ou qu'on retrouve des fois sur Yoongi.
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Et dans le Webtoon n'oubliez pas que Jungkook était avec Yoongi.
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Je finirai par ceci:
Tu ne te su*cides pas parce que quelqu'un t'ignores (JK) et quand la personne est morte, tu ne te brûles pas dans une chambre d’hôtel si c'était uniquement une amitié, même si ce que je viens de dire, il y a beaucoup de chose qui joue avec la situation pour que cela ne viennent que de ça uniquement. Yoongi a clairement envie de m*urir, JK ce sens abandonné par Yoongi et detesté par sa famille donc bon, ça aide pas…
Bonus: Et dans le Highlight Reel, les filles qui apparaissent, seul la fille qui est avec Yoongi apparaît dans une autre scène que le concerné, celui de JK et du fameux briquet Y.K (dont des théories dit que c'est pour YoonKook même si personnellement, je vois plus ça comme YoonKi).
Bon j'hésite entre JK ou la fille qu'on voit dans Highlight Reel mais je ne sais pas, je crois pas qu'elle apparaissent vraiment dans les notes 🤔
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Update: Petite mise à jour de temps en temps quand on aura des indices. Je viens de retrouver ça 🤣
Bon, j'hésite entre JK ou la fille qu'on voit dans Highlight Reel.
La scène du Webtoon où JK est avec Yoongi me fait énormément penser à ça. Yoongi à rompu avec JK ?
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claudehenrion · 1 year
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Allonzenfants de la Patri-i-i-eu…
 Cet “édito” date un peu. J'ai commencé à l'écrire il y a 15 jours, sous le coup d'une forte “déceplère” –mélange de déception et de colère que notre Président semble vouloir susciter à longueur d'année, comme s’il voyait vraiment les français-de-base avec un béret vissé sur la tête et une baguette sous le bras… alors qu’au contraire, ce sont en majorité des braves types, plus qu'il ne le croit : même si une immense majorité, déçue, dit ne plus rien attendre du personnel politique, ils sont tout de même quelque 10 millions à revenir, à chaque allocution… pour entendre le bout de Marseillaise tronquée qui décrit bien notre époque, et qui est suivi par… le néant !
Même Hollande, à la fois nul et malfaisant, est battu ! Le gouffre se creuse comme jamais, entre les français et leur président (NDLR - Un lieu commun veut que l'on dise “et les élites”, mais c'est faux… tant est grande l'impression de vide sidéral qu'émettent l'Elysée et ses petits marquis sans noblesse. D'un autre côté, la nullité ahurissante des “touttcellzéceu” qu'il choisit pour l'entourer est telle qu'on comprend qu'il ait envie de gouverner seul !). Il est convenu de parler de mépris, de hauteur, d'arrogance… et il y a un peu de tout ça, c'est certain. Mais “pas que’’, et c'est là que tout déraille : il croit savoir, lui, ce que personne d'autre qui lui n'aurait compris et il pontifie donc depuis des sommets auxquels nous n'avons pas accès. Un vieux proverbe dit que “on peut avoir raison contre beaucoup… mais pas contre tout le monde”, mais pas lui. Il est une démonstration, voire la preuve consternante de ses propres limites : plus les français, exaspérés, lui hurlent (ou “casserolisent”) leur “ras-le-bol”, plus il assure qu'il les a compris et qu'il a changé ou va le faire… moins ils trouvent qu'il comprend et qu'il change. Est-ce que ça se soigne, Docteur?
En fait, son erreur remonte à loin ! Lorsqu'il a annoncé, puis répété et commenté, ès-fonctions, qu'il n'y avait pas de culture française mais des valeurs empruntées ici et là (qu'il s'est toujours bien gardé de “lister”, et pour cause : ce n'est qu’un agrégat d'idées chrétiennes mal comprises et “devenues folles”, pour parler comme le ferait Chesterton. Autant elles avaient un sens dans leur contexte, autant, étant récitées comme un mantra, elles ne veulent rien dire : on ne peut que “être d'accord” avec cette enfilade de truismes, de lieux communs et d'affirmations gratuites ! Tous les français qui écoutent  ses péroraisons pensent, abasourdis, que ce sont des effets de manche, des galéjades d'estrade. Mais pas du tout : sa méconnaissance de ce que sont la France et  les français est telle qu'il croit aux poncifs, clichés et contre-vérités qu'il éructe… Ce qui est grave, c’est que… culture, histoire, colonisation, fausse extrême droite et vraie extrême gauche, envies, rêves, rejet de ses faux “progrès”, mais rejet aussi du changement, besoin de stabilité... il a tout faux !
Mais en réalité, le fatras de pensées imparfaites qu'il croit pouvoir servir de re-fondement à la  permanence et à la sauvegarde de notre civilisation (à laquelle aucune autre ne peut être comparée  puisqu'elle a apporté à l'humanité un degré de bien-être réel, de bonheur potentiel et de réalisations dans tous les domaines, tels qu'aucune autre, jamais, n'avait même osé envisager…) remonte à bien plus loin : le mal qui ronge nos sociétés trouve sa source dans l’idée (fausse) d’un progrès cantonné aux domaines de la science, de la technologie, de l’économie et de l’organisation sociale, qui seraient l’alpha et l’oméga des besoins nécessaires à l'amélioration de la condition humaine –redéfinie pour l'occasion : “le Progrès” des progressistes n'en est pas un, et pourtant, en France, tout l'espace estampillé “Progrès” a été occupé par un radicalisme fait d'anticléricalisme par système, d'humanisme vidé de tout sens, et d'un républicanisme de bazar… d'où que les discours de nos dirigeants soient interchangeables, décourageants, et mortifères.
Une pensée est dite ‘’progressiste’’ lorsqu'elle voit dans tout “présent” un  progrès par rapport à toute époque passée, réputée primaire, ignorante et néfaste, alors que, paradoxalement, elle ne fait pas nécessairement un progrès du présent, qu'elle elle peut au contraire dénigrer au nom de la recherche d'une amélioration plus radicale, en prônant des valeurs dites “modernes” –qui ne sont, en réalité, que différentes. D'où la dérive intellectuelle qui a fait du progressisme une volonté d'imposer tout changement réputé social (?), même obtenu par la violence (par là même justifiée !). Au terme d'une évolution contrainte –mais globalement peu favorable à l'humanité et aux vraies aspirations des hommes– la dérive actuelle a débouché sur une croyance très largement répandue (bien que rien, jamais, nulle part, n'ait pu la justifier, et pour cause : les prémisses sont fausses !) : “gouverner, ce ne serait plus conserver, protéger et améliorer : c'est trans-for-mer”.  
Macron tient à cette fausse croyance : dans chacun de ses gestes, de manière presque “sectaire”, il est prêt à tout –il le prouve chaque jour, hélas !) pour que personne ne puisse croire qu'une pensée “autre” soit possible : il y a le bon (lui) et les autres, tous mauvais ! Rien, dans son inculture, ne vient lui souffler qu'avant de tout chambouler (ce qui veut dire : détruire l'existant, par définition), il faut essayer de “faire marcher, améliorer, perfectionner, etc… ” La seule chose qui compte, dans le système de mal-penser d'un progressiste, c'est qu'il faut et qu'il suffit de tout changer y compris l'Homme –et même en commençant là : “Du passé, faisons table rase”, chante l'Internationale. Tout est dit : l'échec est prévisible.
L'un après l'autre, ses discours tournent en rond autour les mêmes mauvaises idées : “il suffit que ce soit ’‘autre” pour que ça soit mieux’’. Alors il promet, d'ici au 14 juillet, “un monde du travail pacifié, des hôpitaux sauvés de la ruine (ou son impéritie les a plantés), des changements ’'perceptibles” à l'école’’ (traduction en français : on va continuer à laisser couler le niveau des élèves, mais Pap N'Diaye va mettre la puissance et l'endettement de notre Etat moribond au service d'une néfaste “inclusion”, d'une “mixité” perverse, des l'idéologies mortifères d'un égalitarisme-par-le-bas et d'un “endégueulassement” pour pervertir gravement notre jeunesse : rien ne doit freiner la mort de la race blanche !). Merci, Macron.
Pour “réamorcer la pompe” après ces quelques jours de repos, on se doit de demander combien ont coûté à notre Etat-mendiant le déploiement ridicule de 4500 gardes (3000 + 1500) pour surveiller un ballon rond dans un stade… où il ne s'est rien (vraiment : RIEN) passé. Cette terreur omni-présente qui transforme Paris en caserne, atteint des sommets… dans sa profondeur ! Et ce n'est pas le moindre des maux dont nous souffrons : à force de nous soumettre à un syndrome de confinement, de silence et de soumission, le pouvoir récolte la tempête : notre ex- ‘’Ville Lumière’’, n’est plus qu’une horreur, hâvre pour black-boks et ultra-gauche.
Au début de cet “édito”, je vous parlais de ma “déceplère”, ma “déception-colère”, qui est un état d'esprit amer et même triste qui m'est –normalement– étranger, et je m’en veux de donner l'impression que je ressasse : c'est vrai, pour une fois. Mais à qui la faute ? Et comment faire, devant ces champs de ruines ?
H-Cl.
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bienvenuechezmoi · 1 year
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Arrêtez de chier sur nos vieux/vieilles. Les vieux/vieilles ne votent pas à droite et à l'extrême droite ; iels votent la modération. La modération dans le collectif actuel c'est Macron bien qu'iels s'auto sabottent leur retraite. Nos vieux/vieilles iels ont grandi dans la peur des extrêmes, du fascisme de la seconde guerre mondiale au totalitarisme communiste de l'URSS.
La modération aujourd'hui c'est Macron, c'est de droite mais pas d'extrême droite. Nos vieux/vieilles c'est la partie de la population qui a le moins voté pour Lepen comparé à la jeunesse des 18-35 ans. J'avais fait un post il y a longtemps avec les sources. Nos vieux/vieilles ils ont pas voté Lepen mais ils ont pas voté Malenchon non plus. Soyons d'accord, Mélenchon c'est du social démocrate et pas du tout de l'extrême gauche mais encore une fois dans le collectif actuel Mélenchon est vu dans l'extrême gauche.
Les jeunes ont le plus voté Lepen-Melenchon-Macron.
Alors non nos vieux/vieilles ne votent pas l'extrême droite.
Quant aux cinquantenaires, nos boomers favoris. Iels ont voté Lepen en contradictions avec Macron qui leur proposent une retraite toujours plus tard (rdv avril 2023) et un néolibéralisme qu'iels ne cautionnent pas. Mais nos cinquantenaires iels ont grandi avec l'effondrement de la gauche, la désillusion du bloc de l'Est qui les impactent et qui les empêchent de voir Mélenchon comme un candidat sérieux. A cela s'ajoute une propagande de décrédibilisation de la gauche française (pas si de gauche d'ailleurs). Hollande a fait du mal à nos cinquantenaires aussi.
Voilà. Et nous ? Et nous je ne sais pas. Et nous je ne comprends pas ce qui se passe. Moi j'ai voté Merluche bien sur. Moi je vois ceux et celles qui ont voté Macron, je les côtoie régulièrement. Iels sont dans le flot des années 2000 et ne voient pas ce qui approche. Iels ne voient pas les changements et ne veulent pas voir que ça change parce qu'iels sont plutôt bien et profitent du système. Et je croise de temps en temps ceux et celles qui ont voté Lepen et plus. Je les comprend sans les comprendre. En bac+5 je les méprise car iels ont choisi la facilité intellectuelle ; dans les classes populaires j'ai plus d'empathie. Pour eux/elles, dans tous les cas, c'était Lepen ou Mélenchon.
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17 / 11 / 2022
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🇫🇷 FRANÇAIS / FRENCH 🇫🇷
L'histoire que je publie aujourd'hui est inspiré de plusieurs fantasmes que j'ai. Je préfère ne pas dire lesquels ce sont ni en dévoiler plus sur l'intrigue. Je précise juste quelques choses : le héros est blanc mais n'est pas nommé. Il est soumis à des hommes Arabes. Libre à vous d'imaginer autrement la couleur de peau des personnages. De même, les images sont faites pour l'illustration. S'il vous plaît, n'hésitez pas à rebloguer, liker et surtout commenter pour que je sache votre avis dessus, que je me sente encouragé. J'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture 😘
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
* UN CHIEN BLANC POUR LES ARABES *
- CHAPITRE 1 - VIVRE AVEC MAHMOUD -
Il ne pouvait pas exister plus de contraste que celui entre moi et mon colocataire Mahmoud. Viril, il était grand, mesurant 1 m 80 et pesant 75 kg. Mais au-delà de sa taille, il était musclé, poilu, barbu, et ce bel arabe était dominateur, naturellement autoritaire et tout simplement impressionnant.
Surtout comparé à moi, un petit blanc mince, pas trop maigre mais quand même mince. Son gros cul poilu rebondi contrastait avec mon petit cul blanc imberbe. Et son énorme bite poilue était trois fois plus grande que ma petite bite blanche. Mes traits faciaux étaient plus féminins mais pas au point que je ressemble pour une fille. Et évidemment ma peau pâle contrastait avec la couleur de peau hâlée de cel homme oriental. Autant dire que cet homme était impressionnant.
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Ayant désiré m'émanciper de ma famille, j'avais trouvé un appartement en collocation avec Mahmoud. Âgé de 26 ans, soit 3 ans de plus que moi, il était incontestablement le chef de l'appartement.
Quand il recevait ses amis, j'avais ordre de ne pas sortir de la pièce. Lors de ses soirées, il venait me voir pour une seule chose : péter dans ma chambre. Il rentrait, lâchait son pet et referait immédiatement la porte de ma chambre. Les fenêtres s'ouvraient avec une clé et il faisait exprès de garder la clé avec lui pour ne pas que je puisse ouvrir la fenêtre afin d'aérer l'odeur de ses pets. Progressivement, Mahmoud se comportait envers moi de manière beaucoup plus autoritaire.
Quand il rentrait à l'appartement, il balançait ses chaussures dand l'entrée sans chercher à les ranger, il allait se poser sur le canapé pour se gratter les couilles, et sifflait pour que je lui apporte à boire (généralement une bière) et à manger (quelque fois des chips).
Ce jour-là, il rentra chez nous. Comme je n'avais pas le droit d'amener d'amis car il ne voulait pas voir de Blancs, il disait toujours qu'il est "chez lui", car c'est lui qui avait la plus grande chambre (le double de la mienne) et il était le seul de nous deux à faire des soirées.
J'étais dans la cuisine, préparant son dîner, ayant déjà mis la table pour éviter de le déranger avec les bruits de couverts, lorsqu'il arriva de son travail. Il s'allonge dans le canapé et siffla, me donnant la désagréable impression d'être son chien de compagnie. Je suis arrivé dans le salon de l'appartement, il était déjà en train de gratter ses grosses couilles poilues en regardant une émission à la télévision.
MAHMOUD : "Bière."
MOI : "Oui, Mahmoud. Tout de suite, Mahmoud."
Je suis retourné dans la cuisine pour prendre une bière. Je suis revenu dans le salon la bière à la main et je l'ai tendu à Mahmoud qui ne m'a pas dit merci ni même regarder.
Pour lui, j'étais juste une main qui apporte une bière. Je n'étais pas une personne. Cela aurait signifié me traitait avec respect. Et cela, Mahmoud n'en avait aucune intention.
Quand à moi, vous vous demandez sûrement pourquoi j'obeissais aveuglément. Tout simplement parce que j'avais déjà essayé. Mais une baffe à chaque joue données par ses grandes mains viriles, juste pour avoir contester son autorité, ça vous passe l'envie de vous rebeller.
Depuis, j'étais un simple jeune homme blanc de 23 ans servant de domestique à son colocataire, un grand mâle arabe viril de 3 ans de plus que lui. Entre nous, il n'y avait pas de véritable relation de maître et serviteur. J'étais simplement à son service.
Et la raison de mon obéissance s'explique aussi par le fait que je n'ai pas d'argent. Oui, je m'étais servi de mes économies en prenant un appartement, désireux d'être indépendant. Mais j'avais englouti mon argent dans mes parts de loyer pour l'appartement, au lieu de trouver une collocation une fois que j'aurais eu un travail. Or, à la sortie de mon parcours universitaire, je ne m'étais trouvé ni stage ni emploi.
Mahmoud avait cru se montrer gentil en m'autorisant à rester avec lui à condition que, en contrepartie du fait qu'il paie tout le loyer, je doive faire toutes les tâches ménagères. Quand il était seul, il faisait forcément les tâches lui-même et éviter de salir le moins possible pour éviter d'avoir à trop nettoyer.
Mais depuis qu'il savait que j'étais là pour nettoyer derrière lui, il ne se gênait pas pour tout laisser traîner derrière lui, laisser des goûtes de pisse sur la cuvette et des traces de merde dans les toilettes, des poils dans la baignoire, et il balançait ses vêtements sales sur mon lit chaque fois qu'il voulait qu'ils soient nettoyés.
Bref, j'étais son esclave mais il me traitait gentiment, aimait de temps à autre discuter avec moi (c'était lui qui parlait et je devais l'écouter), regarder la télévision avec lui (il choisissait le programme et il lui arrivait de poser ses pieds sur mes épaules puisque j'étais assis par terre, ....
Lorsque vient le moment du repas, Mahmud se lève en lâchant quelques pets sur mon passage sans s'excuser. Tandis que Mahmoud mange, je reste debout la carafe d'eau à la main pour le resservir dès qu'il me fera signe. Quand à moi je dois manger dans la cuisine, après lui, pendant qu'il regarde les informations à la télé ou quelque chose d'autre. Quoiqu'il en soit, j'étais debout prés de lui pendant qu'il mangeait le repas que j'avais préparé.
MAHMOUD : "Bon, toujours pas de projet de stage ou de réponses à tes demandes d'emplois ?"
MOI : "Non malheureusement."
MAHMOUD : "Bon écoute c'est pas que ça me dérange de payer le loyer c'est juste que c'est bizarre de savoir que tu es là toute la journée à faire le ménage. J'ai pitié de toi. Écoute, je peut te proposer un poste de rayonneur au magasin. Ça consiste à mettre les nouveaux produits en rayons. Rien d'épanouissant mais bon...."
MOI : "Oh oui merci Mahmoud! Ton oncle va me laisser postuler ? Personne ne sera contre le fait que le colocataire du co-gérant postule pour un emploi ?"
MAHMOUD : "Eh bien, tu ne seras pas le seul à postuler. Mon oncle te fera sans doute passer un entretien d'embauche ou alors te mettra au test pendant une semaine. Viens donc demain au magasin. Tu verras, je suis sûr que tu trouveras un emploi au magasin de mon oncle."
Ce que Mahmoud appelait "le magasin de mon oncle" était en fait SHOP'ING un grand magasin géré par son oncle Djamel, un gros arabe viril d'une cinquantaine d'années. Il était le symbole de la réussite sociale. Son magasin était situé en centre ville, accueillait beaucoup de clients en raison de sa superficie et de la diversité des produits disponibles.
Mahmoud était le gérant du magasin, son oncle Djamel s'occupant de la partie administrative tandis que Mahmoud était beaucoup plus focalisé sur les employés. Bref, un poste d'employé ne serait pas de refus, même si cela consistait à mettre en rayon des articles.
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- CHAPITRE 2 - TRAVAILLER À SHOP'ING -
Je suis arrivé dans le grand magasin SHOP'ING, espérant pouvoir commencer la période d'essai. Djamel, directeur du magasin et oncle paternel de mon colocataire Mahmoud m'a fait rentré dans son bureau. Vêtu d'un élégant costume bleu mettant en valeur son gros ventre proéminent, Djamel était un grand homme barbu. Je me suis dit que Mahmoud lui ressemblerait sans doute dans le futur. Il me posa des questions habituelles avant de me conduire dans une pièce pas très loin de son bureau, où, assis face à une table, attendait un beau jeune homme arabe.
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De mon âge et à peine plus grand que moi, il était néanmoins musclé, et avait l'air viril malgré son sourire charmeur. Les cheveux noirs couverts de gel, sa peau mate était éclatante, et il donnait une impression d'être très à l'aise là où il était tout en étant conscient qu'il devrait faire preuve de modestie étant donné le poste convoité.
Nous nous sommes serrés la main pour nous souhaiter bonne chance pendant la période d'essai qui débutait. Chacun de nous avait des rayons dont il devait s'occuper.
Le bel arabe de mon âge, Medhi, s'est très vite entendu avec moi. Nous étions tellement proches que nous mangions ensemble, nous apprenions à nous connaître.
Aussi quand il me demandais d'aller ranger ses rayons à sa place car il avait un rendez-vous médical, je le faisait. Il était 15 h et nous étions censé finir à 18 h, mais ça ne me dérangeais pas.
MEDHI : "T'es sur que ça te dérange pas de faire mon taf à ma place ? T'es le meilleur, gars !"
Une fois que j'ai eu fini de ranger les rayons dont devais s'occuper Medhi, je suis retourné aux miens.
DJAMEL, patron de SHOP'ING : "Eh bien dis moi, Medhi a fini si tôt qu'il est déjà parti ? Il est plus rapide que toi on dirait."
MOI : "Oui Monsieur, Medhi est un excellent employé."
Je défendais Medhi, pensant qu'il en aurait fait de même pour moi. J'ignorais qu'il passait surtout du temps auprès de Djamel pour se faire aimer de lui. Il montrait de la personnalité et du charisme qui lui valurent l'amitié des autres employés, la majorité étant des hommes arabes.
Le troisième jour, j'étais en train de ranger des pots de yaourt, quand il vint me voir.
MEDHI : "Eh mec ça va ? Bon écoute je voulais qu'on échange un peu nos idées sur l'amélioration des rayons. Tu trouve pas que on pourrait proposer des idées au patron ?"
MOI : "Ouais je suis d'accord. Je me disais qu'on pourrait améliorer le rayonnage en le faisant par ordre alphabétique. Par exemple ranger les produits de ceux commençant par A jusqu'à Z."
MEDHI : "Oui bah okay je sais ce que alphabétique veut dire, débile ! Bon ouais je pensais à la même chose, on pourrait faire ça par couleurs ausis. Bon allez je retourne travailler. Euh ah non c'est vrai c'est l'heure de ma pause du matin. Ça te dérange de continuer mon rayonnage, mon gars sur ?"
MOI : "Oui okay, je vais y aller."
Medhi est allé voir Djamel, le patron de SHOP'ING, afin de lui révéler son idée pour le magasin, qui était en fait la mienne : celle de ranger les produits par ordre alphabétique ! Évidemment que trier les articles par couleur n'avait aucune logique, mais il avait fait semblant que c'était l'idée qu'il allait donner au patron, alors qu'en fait il allait donner la mienne !
Les jours passaient et Medhi se montrait tellement gentil avec moi en apparence que je ne lui refusais rien : il me faisait faire son travail mais s'en attribuait le mérite. Il prêtextait être malade juste pour me demander de le couvrir lorsqu'il arriverait au travail plus tard qu'à l'horaire prévu.
Ainsi, j'étais au magasin dès 7 heures du matin et je faisais sa part du travail avant la mienne pour laisser croire à Mahmoud où à son oncle le patron, Djamel, que le travail avait été fait par Medhi et que si ce dernier n'était pas dans les rayons c'est peut-être qu'il avait été au travail. Il aurait été simple pour Mahmoud, son oncle ou n'importe quel employé haut placé dans la hiérarchie du magasin d'avoir accès aux caméras de surveillance afin de vérifier mes propos.
Cependant, la majeure partie des employés étant des hommes Arabes dominants, Medhi était toujours cru plutôt que moi, d'autant que son caractère drôle et son attitude sociable lui avaient valu l'amitié des autres vendeurs et employés, même quand c'était des hommes bien plus gros ou musclés ou plus, bref plus masculins que lui.
Quand aux employés blancs, la plupart occupaient des postes subalternes, comme nettoyer les sols ou les toilettes. À l'instar de Mahmoud dans notre collocation ne tiraient généralement pas la chasse d'eau des toilettes car cela leur plaisait de savoir qu'un homme blanc allait se retrouver face à son gros tas de grandes crottes puantes.
Medhi profitait du fait que j'avais fait son travail à sa place pour me faire passer aux yeux du patron et des autres employés comme un homme peu sûr de lui, fainéant et trop lent dans son exécution des tâches. Il profitait de n'avoir rien à faire puisque j'avais tout fait pour lui afin de mieux comprendre le magasin en restant auprès du patron et en le flattant. Dès que je lui parlait d'une idée que j'avais pour l'entreprise, il me disait soit qu'elle est géniale, soit qu'elle ne vaut pas la peine d'être dite au patron, mais il prétendait toujours que le patron était occupé lorsque j'avais une bonne idée, et quand il disait que mon idée était mauvaise, cela me passait l'envie d'aller la dire au patron.
En réalité, sous prétexte que nous étions "amis", celui que j'aurais dû considérer comme mon rival pour le poste que je convoité allait répéter aux patrons toutes mes idées, car il n'y en avait aucune qu'il trouvait mauvaise : il le disait simplement de temps en temps que j'avais de mauvaises idées afin de ne pas donner l'impression qu'il allait toutes les répéter. C'était pourtant bien ce qu'il faisait, gagnant l'estime du patron grâce à cela.
La semaine s'écoula sans que Medhi n'ait fait son travail lui-même et sans que les idées d'organisation du magasin qu'il avait proposé ne soient les siennes.
Le dernier jour de notre semaine de test, j'essayais jusqu'au bout de prouver ma valeur en finissant de ranger les produits. Il vint me voir tandis que je rangeais les rayons dont je devais m'occuper, après avoir fait les siens à sa place.
MEDHI : "Mec, j'ai un secret à te dire. Il paraît que le meilleur moyen d'avoir le job c'est de lécher les pieds du patron! C'est Ayoub qui me l'a dit. Il paraît que Djamel aime que l'on vienne ramper à ses pieds pour le supplier de vénérer ses pieds. Putain tu t'imagines lécher les gris pieds puants d'un arabe de 50 ans ! Wesh jamais je fais ça, moi ! Putain c'est mort pour le boulot tout ça parce-que je veut pas mettre ma langue sur de grosses semelles sales et sucer les orteils d'un vieil homme gros ! Bon voilà maintenant on sait la réalité de ce que c'est le monde du travail. Allez, je retourne bosser."
Et il s'en alla pour aller regarder son téléphone : c'était sa façon à lui de "travailler". Pourquoi m'avoir dit que le seul moyen d'obtenir le poste de rangeur d'articles dans les rayons était-elle de supplier Djamel d'avoir l'honneur de vénérer ses pieds. Il n'était pas question que je me prosterne aux pieds d'un gros arabe de 30 ans de plus que moi juste pour avoir un salaire ! Mais la perspective de rester l'homme de ménage se Mahmoud me décida à mettre ma fierté de côté pour faire ce sacrifice.
J'étais face à un dilemne : si ce qu'Ayoub avait dit à Medhi était vrai, alors la seule façon d'être sur d'avoir le poste était que j'aille dans le bureau du patron pour me prosterner à ses pieds afin de les lécher. Je n'étais pas fier d'avoir à faire cela, mais j'y étais résolu.
Je me suis rendu dans le bureau de Djamel, j'ai toqué à la porte et j'ai reçu l'invitation à rentrer. Il était confortablement installé sur un fauteuil en cuir, ses pieds chaussés posés sur un repose-pieds, et il lisait des papiers.
DJAMEL : "Que puis-je pour toi, garçon ?"
MOI : "J'ai terminé mes tâches de la journée et je me demandais je pouvais vous être utile d'une autre manière. Vous êtes un patron si occupé, peut-être voudriez-vous vous détendre par un massage des pieds ? J'en serai honoré en tout cas, monsieur."
DJAMEL : "Me masser les pieds? Oh oui ça j'en aurais bien besoin. Mets toi à genoux et retire mes chaussures, petit !"
Je me suis agenouillé, j'ai retiré les chaussures du patron qui souriait en voyant le petit blanc à genoux. J'essayais de ne pas penser à l'humiliation en me disant que le pire avait sans doute était d'être enfermé dans ma chambre et que son neveu Mahmoud n'y vienne que pour lâcher ses pets quand il recevait ses potes. J'étais donc à genoux, et quand j'ai retiré les chaussures du patron, celui-ci m'arrêta.
DJAMEL : "Tiens passe moi un de mes souliers."
Je lui ai donné une de ses chaussures, et il l'a posé sur sur mon visage pour que mon nez rentre dans l'intérieur de la chaussure, m'obligeant ainsi à respirer l'odeur de sa chaussure.
DJAMEL : "Dis-moi, mes pieds sentent bon ? Ah ahha, vous les Blancs alors !!..."
Contraint de respirer l'odeur fétide de ses pieds, je prenais de grandes inspirations pour que ma respiration soit régulière, sinon je me serais étouffé avec cette puanteur.
Puis, il m'a ordonné de masser ses pieds. J'ai pris ses pieds dans mes mains, des pieds qui n'étaient pas longs mais larges. Il avait gardé ses chaussettes, mais l'odeur des pieds était présente. Une odeur chaude, légèrement puante, car moins que celle de l'intérieur des chaussures. J'appuyais bien sur les semelles, les talons, je faisais craquer doucement les orteils, je faisais tout pour lui procurer du plaisir et j'ai fait semblant que j'aimais lui servir de masseur de pieds.
MOI : "Vos pieds sont si larges, monsieur. Quelle puissance ! C'est un plaisir de les masser pour vous. J'espère que je suis un bon employé."
DJAMEL : "Oui tu n'es pas trop mauvais, mais j'aimerais savoir si tu es aussi doué avec tes mains qu'avec ta langue. Lèche mes pieds."
Je devais faire semblant d'être surpris de cette demande, je n'étais pas censé savoir que lui lécher les pieds était le moyen d'obtenir un poste dans son magasin.
J'ai retiré ses chausettes, les ai posé dans ses chaussures, et je me suis rapproché de ses pieds.
DJAMEL : "D'abord, renifle bien entre les orteils pour bien t'impregner de l'odeur. Voilà. C'est bien. Oui met ton petit nez blanc entre mes orteils. Et donne de légers baisers sur mes pieds. Voilà... Hum... Oui c'est doux... Tu as de bonnes lèvres.... Bon maintenant lèche mes pieds pendant que je corrige ces papiers, j'ai pas que ça à faire de superviser un lécheur de pieds."
MOI : "Merci encore, monsieur, pour m'accorder l'honneur de vous lécher les pieds."
Je me suis rapproché de ces gros pieds charnus et comme il l'avait demandé j'ai continué à alterner entre des baisers sur ses semelles et ses orteils, mais aussi donner de grands coups de langue. Ses pieds salis par la sueur étaient humidifiés par ma douce langue et il commençait à m'oublier, considérant cela naturel qu'un garçon blanc de 30 ans de moins que lui vénére ses pieds.
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Je prenais plusieurs orteils dans la bouche en même temps, et j'allais des orteils les plus à gauche à ceux le plus à droite. Et je recommençais. Cela dura une heure, une heure à lécher des semelles et prendre les orteils d'un vieil arabe gros en bouche.
Au bout d'une heure, il m'a donné un petit coup de pied au visage, m'a fait remettre ses chausettes et ses chaussures et ensuite il a désigné la porte d'un geste de la main.
DJAMEL : "Dehors."
MOI : "Oui Monsieur."
Je suis sorti du bureau et un sourir est apparu sur mon visage. Pour avoir lèché les pieds de mon gros patron arabe, j'avais réussi à obtenir un emploi. J'étais confiant dans l'avenir.
Quelques heures plus tard, comme nous étions le dernier jour de la semaine d'essai, Djmal nous a convoqué Medhi et moi dans son bureau. Debout face à notre patron, moi étant plus petit que Medhi, nous attendions le verdict de Djamel : qui allait-il prendre ?
DJAMEL : "Vous avez tous deux été de très bons employés cette semaine, mais l'un de vous a été clairement plus talentueux que l'autre. Organisé, rapide, consciencieux, m'ayant proposé des idées intéressantes pour l'avenir il a fait preuve d'investissement et d'esprit d'équipe. C'est ce dont SHOP'ING a besoin. Je sais ses capacités et je suis sûr qu'il en montrera d'autres à l'avenir. Cette personne, c'est...... Medhi ! Félicitations mon brave, voilà déjà ton premier versement de salaire pour ton mois de travail, j'ai hâte de te voir ici, et je ne doute pas qu'un grand gaillard comme toi gravita rapidement les échelons, peut-être chef de secteur dans le magasin !"
MEDHI : "Merci beaucoup, boss, je vous suis reconnaissant de vos encouragements. J'ai hâte de travailler avec vous."
MOI : "Mais, mais,... J'ai lèché vos pieds, monsieur, j'ai sucé vos orteils, Monsieur !!!"
DJAMEL : "Tu crois que ça te rend digne de travailler pour moi ! Non, par contre je sais que tu as désespérément besoin d'argent. Non pas que ça m'aurait déplu de te savoir boniche de mon neveu. Mais Mahmoud m'a convaincu qu'un poste pourrait te convenir, je vais lui demander de t'en parler lui-même."
Mahmoud est arrivé dans le bureau de son neveu.
-
- CHAPITRE 3 - AGIR EN CHIEN -
Mahmoud s'est placé à côté de son oncle, le patron Djamel. Mahmoud, ce grand arabe viril très dominateur de trois ans de plus que moi - ce puissant macho masculin barbu qui me faisait faire son ménage et lâchait des pets puants dans ma chambre pour éviter d'énerver ses amis à cause de ses pets mais surtout dans le but de m'humilier - était l'homme qui m'avait conseillé de postuler à un emploi à SHOP'ING, le magasin de son oncle Djamel.
Alors que, sur les conseils de mon rival et ami Medhi, un bel arabe musclé de mon âge, j'avais lèché les gros pieds sales de mon patron cinquantenaire, voilà que j'apprenais que celui-ci avait choisi d'engager Medhi alors que c'est moi qui avait fait son travail toute la semaine et il s'était attribué le mérite des idées que je lui avais soufflé.
Après avoir contesté la décision de mon patron, j'attendais de savoir le métier que Mahmoud avait trouvé pour moi dans le but de me faire obtenir un salaire afin que je paie enfin ma part du loyer de notre collocation.
MAHMOUD : "Bon, tu n'as pas été aussi talentueux que Medhi dans la capacité à ranger des articles sur des étagères. Si même ça c'est trop dûr pour toi, alors il n'y a plus qu'un seul emploi disponible. SHOP'ING a reçu une livraison de produits de DOGGYDog, une marque pour les chiens : des croquettes, des niches, des gamelles, des laisses, des colliers, des jouets en plastiques... Bref, des trucs de chiens."
DJAMEL : "J'ai accepté d'en faire la promotion car nos études montrent qu'il y a plusieurs propriétaires de chiens dans les environs, et DOGGYDog voudrait qu'on se serve d'une mascotte afin d'attirer les clients à aller voir les produits de leur marque. Mahmoud, montre leur le costume de Fluffy."
Mahmoud sortit d'un gros carton un grand déguisement de chien composé d'une combinaison marron et blanche rappelant la fourrure d'un chien, et une grosse tête d'un chien avec des longues oreilles, de gros yeux ronds, et une expression joyeuse avec une large bouche d'où sortait une fausse langue en tissu. Il y avait aussi un faux collier de chien, une paire de gants et une paire de chaussures ressemblant à des pattes canines, il y avait aussi une queue de chien. Bref, c'était un cliché de chien qui n'était pas voulu pour être réaliste - même si tous les éléments du corps d'un chien étaient présents -mais plutôt quelque chose de coloré et tendre afin d'attirer les regards. C'était un costume drôle de chien censé être porté par un humain de taille moyenne, ni trop grand ni trop petit.
MAHMOUD : "Je te présente Fluffy, la mascotte de DOGGYDog ! C'est toi qui va porter le costume, et tu distribuera des flyers et des prospectus aux clients."
MOI : "Quoi ? Vous voulez que je me déguise en chien pour faire de la pub pour croquettes ? Je vous rappelle que j'ai fait des études dans de grandes universités !"
MEDHI : "AHAH HAHAHAHA!!!!! Ouais et regarde où ça t'a mené : être déguisé en mascotte de chien pour des Arabes !!! Ahahah ça te correspond tellement d'être un chien ! Vas-y aboie un peu ! Woof wooof ! Wooof wooof ! C'est qui le bon toutou à son papa ? C'est toi ! Ahahahahahhah !!!!"
MOI : "Putain mais arrête !!!"
DJAMEL : "Non mais, respecte tes supérieurs ! Maintenant que Medhi a obtenu un emploi, il est plus faut placé que toi dans la hiérarchie de l'entreprise, tu devrais t'adresser à lui en disant "Monsieur" et lui parler avec autant de déférence qu'à moi et Mahmoud, et à n'importe quel employé de SHOP'ING ! Il a le droit de traiter en toutou, car c'est ce que tu es si tu accepte ce poste !"
MAHMOUD : "Quand à toi, Medhi, ne crie pas victoire trop vite, car c'est toi qui devras l'aider à installer son costume de chien."
D'un regard reconnaissant, je témoignait à Mahmoud un remerciement silencieux. Je lui était gré d'avoir pris ma défense alors que son oncle venait de m'ordonner de me calmer et n'avait rien dit à Medhi qui lui rigolait sans gêne. Je me suis dit que le loyauté et la servilité dont j'avais fait preuve depuis que j'étais devenu son colocataire expliquaient que Mahmoud ait voulu remettre Medhi à sa place. Avoir nettoyé ses toilettes pendant plusieurs mois valait bien cette satisfaction personnelle de vengeance face à celui qui s'était prétendu mon ami mais qui commencait à montrer son vrai visage : celui d'un arabe supérieur désireux de rabaisser un blanc, qu'importe qu'il ait le même âge que lui. Pourtant, cette fois devait être la seule où il prendrait ma défense et tenterait de me protéger.
MEDHI : "Oui Monsieur."
Il essayait de garder un ton qui soit respectueux sans être soumis, tout en étant affirmé sans être insolent. Mais je senti dans sa voix une pointe de colère et une envie de me faire payer cet affront.
Djamel et Mahmoud nous ont congédiés et nous sommes allés en salle de pause. Je n'y avais jamais été car j'avais toujours eu le travail de Medhi à faire en plus du mien pendant que lui allait se détendre en discutant avec les employés.
Quand nous sommes arrivés dans la salle de pause qui était une large salle avec plusieurs tables et des chaises, les mâles arabes étaient en train de rire et discuter bruyamment. Qu'ils soient assis sur les tables ou sur les chaises, ils étaient de toute façon placés au-dessus des rares employés. Ceux-ci étaient allongés au sol avec les pieds (avec ou sans chausettes) des collègues arabes sur leur visage, ou alors ils étaient occupés à masser ou lécher les pieds des Arabes.
Les hommes blancs ne marquaient aucune émotion sur leur visage, se concentrant sur les longs orteils à sucer, les semelles sales à lécher, les chaussettes à renifler, les chevilles à masser.... Tous étaient ignorés par les arabes qu'ils servaient, comme si, pour ces derniers, il était normal de parler entre mâles pendant que des langues et des mains d'hommes blancs léchent et masser leurs pieds virils.
Medhi arriva et salua les collègues arabes avec qui il avait largement eu le temps de sympathiser pendant qu'il prenait d'interminables pauses, m'obligeant à travailler pour lui.
MEDHI : "J'ai eu le job !!!"
Les employés arabes se sont levés pour aller féliciter Medhi, sans remarquer ni se soucier s'ils marchaient au passage sur les visages des employés blancs sur lesquels reposaient leurs pieds suants.
LES HOMMES ARABES : "Bienvenue parmi nous, Medhi !"
MEDHI : "Ouais on peut dire que j'aurais travailler dur pour ça !! Ahahahahaha !! J'en reviens pas que tu ai lèché les pieds de Djamel !"
AYOUB, un des employés arabes : "Qui lécherait les gros pieds puants d'un vieil arabe? Pourquoi le blanc a fait ça ?!"
MOI : "Alors déjà "le blanc" il est en face de toi et ensuite si je l'ai fait c'est parce-que tu as dit à Medhi que lécher les pieds de Djamel était un moyen infaillible d'obtenir le poste que je convoitais !!"
Ayoub, un grand arabe d'une quarantaine d'années, très poilu et barbu, s'approcha de moi, me regarda avec dédain et ouvrit sa bouche vers moi.
BBUUUUURRRRPPPPPPP !!!!!! BBBBBURRRRRPPPPP!!!! BBBBRRPTTT!!!!
LES HOMMES ARABES : "AHAHAHAHAHA HAHAHAHA!!!!! Ouais vas y, continue Ayoub ! Rote lui à la gueule, à ce con de blanc ! Ouais putain t'as les meilleurs rots, rote encore Ayoub ! Ayoub ! Ayoub ! Ayoub !"
Ayoub sourit et réouvrit la bouche, tandis qu'un arabe derrière moi a maintenu mon visage fermement dans la direction de la bouche du gros arabe poilu.
AYOUB : "BBUUURRRPPPPPBUUURR !!!!!! PPTTTRRRRRPPP!!!!!! Oh putain ouais !!!! BBBBBBRRRRRPPPTTTTTT!!!!! Oh putain que ça fait du bien !!!! BUUURRPPPPP !!!! Renifle ça, le blanc !! BRPPRRPPPRTTTTT !!!! Alors écoute moi bien : deha tu vas baisser d'un ton BBBBPPRRRRTTTT !!!!! et ensuite tu vas rester à ta place. BBRRRRPPTTTTT !!!! Et je sais pas ce que tu inventes mais j'ai jamais dit à Medhi qu'il fallait lécher les pieds de Djamel pour avoir le poste BBBRRPPTTTT !!! BBBBRRRPPPPPTTTT !!!!!! Alors n'essaye pas de justifier ton envie de lécher des pieds d'arabes en mentant ! BBBBBPRRTTTTR !!!! On sait tous très bien que les hommes blancs ne sont que des chiens aux pieds des vrais mâles, les Arabes !! N'est ce pas les gars ?"
LES HOMMES ARABES : "Ouais, les Blancs sont des chiens ! Dites-le, les blancs !"
LES EMPLOYÉS BLANCS, d'une seule voix : "Oui Maîtres, nous sommes des chiens !"
J'étais absolument dégouté par les rots qu'avait produit Ayoub dans ma bouche et sur mon visage, mais je fit semblant de ne pas être si dérangé que ça afin de lui passer l'envie de recommencer à me roter dessus. J'avais compris que ma souffrance le faisait rire et donnait envie à ses amis de l'encourager à continuer. Son haleine fétide était immonde, mais le pire restait à venir.
MEDHI : " AHAHAHHAHAHAHAHAH!!!!! AHAHAHAHAHA !!!! C'est moi qui ai tout inventé, je voulais voir si tu étais aussi soumis au point d'aller lécher les pieds d'un vieil homme gros comme Djamel !!! Ahahahahaha !!!! Mais alors là te voir te faire roter à la gueule c'est mieux qu'un film !!!!"
LES EMPLOYÉS ARABES : "AHAHAH HAHAHA!!!! Ce blanc n'est qu'un chien !"
MEDHI : "Oh ça oui, il va être le chien du magasin !"
AYOUB : "Que veut tu dire par là ?"
MEDHI : "SHOP'ING va promouvoir DOGGYDog, une marque d'articles pour chiens. Notre petit blanc ici présent va être la mascotte de la marque, il va devoir distribuer des flyers devant le magasin déguisé en chien et seulement en aboyant !!!"
LES HOMMES ARABES : "Ahah hahaha hah ça c'est un job fait pour un blanc ! Ahahahahaha !!"
J'étais en colère de ne pas être assez fort pour pouvoir réagir à cette humiliation, mais de toute façon les employés arabes étaient plus nombreux, en plus d'être masculins, grands, poilus.... Je ne savais pas s'il était plus dégradant de vénérer des pieds des employés dans l'intimité de la salle de pause, ou être seul face aux clients, déguisé en chien.
J'ai revêtu le costume de Fluffy le chien mascotte de DOGGYDog pour m'entraîner à porter le poids du costume sur moi.
MEDHI : "Le patron a peut-être dit que je devrais t'aider à enfiler ton costume mais tout ce que je vais faire c'est m'assurer que tu puisse le mettre tout seul."
J'ai enfilé le costume par-dessus mes vêtements car je n'osais pas retirer mes vêtements devant Medhi. Il était tellement plus grand et musclé que moi que je me sentais féminin comparé à lui. Le costume mis, il a posé l'énorme casque représentant une tête de chien sur ma tête. Il a rigolé, m'a pris en photo et m'a posté sur les réseaux sociaux pour que l'on se moque de moi. J'étais assez chanceux qu'il n'ait pas écrit mon vrai nom sur la description de la photo, ni que l'on voit mon visage.
Le lendemain, je suis venu au magasin des 7 heures du matin afin que les premiers clients puissent me voir dès le matin et que la campagne de publicité pour la marque DOGGYDog soit un succès. J'étais déguisé à faire des gestes joyeux pour aller vers les clients, les enfants et quelques adultes aimaient prendre des photos avec moi, faire des câlins. Je m'amusais, profitant de mes études théâtrales pour faire preuve d'initiative avec les clients.
Pendant quelques jours, tout s'est bien passé, à part le fait que je n'avais presque pas de pause, que j'étais debout toute la journée et que je devais répondre aux clients du magasin uniquement en aboyant.
Malgré l'humiliation de porter un costume de mascotte, de faire de grands gestes ridicules et faire des câlins avec les clients, ce travail n'était finalement pas si difficile.
Cela aurait pu être même excellent si les ados et les jeunes hommes adultes des environs ne venaient pas aussi souvent que possible pour m'humilier, me frapper, jeter mes flyers par terre pour ensuite me voir à quatre pattes les ramasser.
UN DES JEUNES HOMMES : "Là t'es un vrai chien, à quatre pattes ! C'est sur que le mec dans ce costume n'est qu'un loser, qui accepterait de faire ce métier de merde ?!"
MOI : "WOOF !!! WOOOF !! WOOF !! WOOF !"
Les jeunes riaient, me frappaient, me donnaient des claques même s'ils prenaient aussi des selfies avec moi. La plupart étaient des jeunes hommes Arabes âgés de 15 à 25 ans, aimant faire du bruit près de moi pour m'énerver et rigoler de ma réaction. D'autres m'obligeaient à aboyer pour les faire rire. J'ai toujours réussi à obéir et à garder mon calme, mais les coups, les insultes, les crachats et les rires me brisaient psychologiquement jour après jour.
Je rêvais d'échapper à cet enfer, mais il semblait que je n'en voyais pas le bout.
Quand je rentrais à 22 heures à l'appartement, je constatais que j'avais encore la vaisselle à faire, car Mahmoud ne débarrassait jamais son assiette sale. Certes je n'avais plus à faire à manger pour lui car il rentrait plus tôt que moi, mais cela ne signifiait pas que je ne devais pas masser ses pieds tandis qu'il finissait de regarder une série télévisée ou un film, ni que je n'avais pas les toilettes, la salle de bain ou ses vêtements à nettoyer. Ce rythme de vie était extenuant, je n'avais plus une minute à moi.
Le pire était de voir mon rival Medhi vivre sa meilleure vie. Avec son salaire et sa position de chef de rayon qu'il avait fini par obtenir étant donné que son charisme d'alpha lui avait valu l'estime de Djamel, Medhi avait trouvé un nouvel homme blanc à humilier et à contraindre à faire son travail. Quand j'avais la permission de rentrer faire pipi (la seule fois de la journée, car sinon je portais une couche en cas d'extrême urgence), il m'arrivait de passer devant la salle de pause et voir Medhi se faire lécher ses pieds virils par un des employés blancs, discutant avec les autres employé arabes qui avaient chacun un lécheur de pieds.
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- CHAPITRE 4 - FORCÉ DE RENIFLER -
Djamel a été mis au courant par Mahmoud que me le déguisement de Fluffy le chien ne produisait pas le résultat escompté : les jeunes mecs violents ne pouvaient pas être chassés en raison du fait que la bagarre avait lieu à l'extérieur de l'enceinte du magasin (alors que j'étais pourtant un des employés), donc ils continuaient de me frapper et me cracher dessus. Cela effrayait les parents qui ne laissait plus leurs enfants prendre des photos avec moi ni ceux qui souhaitaient prendre les catalogues des produits DOGGYDog que j'étais chargé de donner à l'entrée du magasin.
Dans son bureau, le gros Djamel était assis face à Medhi qui était son employé préféré. Il lui rappelait lui plus jeune.
DJAMEL : "Nous ne voulons pas virer notre petit blanc, mais nous ne pouvons pas non plus nous priver d'une mascotte. Or il ne peut pas rester sous le déguisement de Fluffy, il donne trop envie aux jeunes des environs de venir le frapper."
Medhi se garda bien de dire que c'était certainement la photo qu'il avait pris de moi qui avait donné envie aux jeunes des quartiers environnants de venir me frapper pour humilier un loser. Bref, alors que c'était lui qui était à l'origine de ma première forme d'humiliation, il proposa une idée de rendre ma déchéance encore plus totale.
MEDHI : "Et si nous lui faisions porter un costume de chien qui soit disons .... Plus réaliste ? Nous pourrions le faire passer pour un vrai chien et il serait installé près des produits DOGGYDog afin que les clients puissent voir un chien tester les produits de la marque sous leurs yeux. Cela leur donnerait envie d'en acheter pour leurs propres animaux. Ce qui est le but n'est ce pas ?"
DJAMEL : "Comme toujours c'est toi le meilleur employé ici, Medhi !! Tu proposes les meilleurs idées ! Que ferais-je sans toi ?!"
MEDHI : "Merci mon patron"
Mahmoud, jaloux de l'influence grandissante de Medhi auprès de son oncle, tenta de l'empêcher de profiter trop rapidement de sa victoire.
MAHMOUD : "Très bien, mais c'est toi qui va t'occuper de la commande du costume de chien plus réaliste, et c'est toi qui promènera le chien en laisse autour du magasin pour qu'il puisse se déplacer un peu."
MEDHI : "Être payé à promener un petit blanc en laisse à quatre pattes, ouais cest vraiment le métier de rêve pour moi !"
De nature généralement sarcastique et hypocrite - puisqu'après tout il s'était fait passer pour mon ami uniquement pour me piéger - Medhi était pour une fois sincère : oui, me promener en laisse ne le dérangait pas. Ce qu'il préférait c'était de savoir que j'étais un mec blanc de son âge qui ne prenait absolument aucun plaisir à ça.
Il s'écoula une semaine avant la réception du déguisement réaliste de chien. Cette fois-ci, pas de grosse tête énorme pour faire rire les enfants. C'était un déguisement qui imitait à la perfection la peau d'un chien. Le pelage marron était très crédible, la texture des oreilles et du museau semblait réelle.
Un masque de chien fut accroché par Medhi sur ma tête, et il accrocha une laisse à mon collier. Pour que je donne l'impression d'être un vrai chien, il avait replié mes jambes sur elles mêmes et les avait attachés à des lanières.
Je marchais donc sur mes genoux, mais j'avais des genouillères afin de me permettre de marcher vite sans risquer de me briser les os des genoux.
De même, mes bras avaient été repliés et attachés, je marchais sur mes coudes mais j'avais quand même une protection. De même que pour le précédent déguisement, il y avait des trous aux niveaux des yeux et du museau pour que je puisse voir et respirer, mais la différence était que cette fois-ci ma langue sortait du masque, afin de donner l'impression que j'étais tellement un chien.
Je n'osais pas me rebeller : c'était soit ça, soit perdre un salaire et redevenir le domestique ménager de Mahmoud. Sauf que si j'étais son serviteur, je n'avais pas d'argent et pas d'argent signifie pas de maison à moi. Je ne comptais pas revenir chez mes parents sans avoir eu un travail, alors je tant pis si cela consistait à me faire passer pour un chien.
MEDHI : "J'ai eu mon baccalauréat de justesse parce-que j'ai forcé un petit blanc à faire mes devoirs tout au long de l'année, j'ai jamais été à l'université et me voilà chef de rayon d'un grand magasin. T'as fait des grandes études, tu connais pleins de trucs mais te voilà réduit à devoir aboyer et être tenu en laisse par des arabes! On a beau avoir 23 ans tous les deux, toi et moi on est pas égaux ! Qu'est-ce que j'aime ça de voir des blancs à mes pieds !"
Medhi attacha la laisse de mon collier près du rayon DOGGYDog, remplit un bol DOGGYDog de croquettes DOGGYDog.
MEDHI : "Mange, clébard !"
Malgré le goût pas très bon des croquettes de chiens que j'étais contraint de manger pour faire la promotion de la marque DOGGYDog , je m'y suis habitué en me disant que c'était comme des croûtons, des gâteaux secs ou des céréales.
Les clients et leurs enfants venaient me caresser, j'aboyais devant eux, ils s'amusaient à me verser des céréales quand mon bol était vide et je passais mes journées à mâcher des croquettes. Dans mon autre gamelle il y avait une eau absolument dégoûtante : c'était le jus des chausettes des employés arabes du magasin !
Chaque matin un des employés Arabes du magasin SHOP'ING versait dans une de mes deux gamelles une portion d'eau qui avait été mélangée à ses chaussettes sales qu'il avait porté pendant une semaine pour être sur que la sueur et la saleté se soient accumulés. Je me prenais à penser que les croquettes de chien aux légumes étaient presque meilleurs que le jus de chaussettes puant de mâles arabes !
J'avais beau être attaché à côté des articles, le magasin était si grand que tout le monde n'allait pas vers le rayon des articles de chien. Le rayon de chien étant au fond du magasin pour ne pas être mélangé avec les légumes ou les vêtements ou l'électronique, les clients qui me voyaient étaient peu nombreux.
Le magasin SHOP'ING était bien placé dans la ville et accueillait de très nombreuses personnes en raison de la multitude et diversité d'articles proposés. Les clients étaient variés : des hommes et des femmes, des vieilles personnes et des enfants, des couples comme des célibataires, des Noirs et des Blancs, des Arabes et des Asiatiques, des hétéros et des homos, des riches et des plus pauvres, des gens en bonne santé, musclés, et d'autres qui étaient obèses. Bref, des gens très différents les uns des autres.
Alors que j'étais allongé au sol à manger mes croquettes, Medhi prit ma laisse en main et m'ordonna de le suivre.
MEDHI : "Dès qu'on croise un mec je veut que tu ailles vers ses pieds et que tu les renifle, que tu lèche ses chaussures. Ça doit donner l'impression que tu es un chien attiré par les odeurs de pieds d'hommes. Je veut rigoler et tu vas servir à ça."
Dans l'incapacité de protester et ne pouvant sortir moi-même du déguisement de chien, j'étais contraint de suivre Medhi. Il tenait la laisse et je marchais à ses côtés. Dès que nous passions près d'un homme, j'allais vers ses pieds pour les renifler et les lécher. S'il avait des chaussures ouvertes, je sucait ses orteils et donnait des coups de langues, s'il portait des chaussures fermées je les léchais tout simplement. Inutile de dire que les chaussures que je préfèrai lécher étaient les bottes de cuir et les escarpins de costumes d'hommes sortant de leur travail dans des bureaux. Les pires chaussures étaient les baskets puantes des jeunes ados ou les bottes sales des ouvriers crasseux.
Les jours passaient et je je rentrais plus à la maison chez Mahmoud : même les employés me voyaient comme un vrai chien. Quand aux employés blancs, ils n'avaient pas été mis au courant du fait que j'étais dans le déguisement.
Progressivement, les clients ont trouvés cela drôle qu'un chien vienne lècher leurs pieds pendant qu'ils faisaient leurs courses, mais Medhi trouvait toujours de nouvelles humiliations à me faire subir.
MEDHI : "Puisque je dois te faire faire des promenades dans le magasin, on va jouer. À partir de maintenant, tu vas renifler les culs des hommes. Pas ceux des femmes car on ne voudrais pas avoir de problèmes de harcèlement sexuels, mais je suis sûr que même les hommes vont trouver ça drôle qu'un chien vienne renifler leur cul. On va vérifier ça."
Medhi vit un arabe obèse qui avait un énorme cul. Ses fesses étaient gigantesques, elles étaient énormes et prenaient beaucoup de place derrière lui. Il avait l'air pauvre et puant.
MEDHI : "Bingo. Voilà un gros plouc sale, tu vas aller coller ton nez contre ses fesses et inspirer l'odeur de son cul. T'occupe pas de sa réaction, c'est moi qui gère. Si jamais il se plaint je ferais semblant que c'est toi qui as voulu faire ça."
Il m'a donné un discret coup de pied au cul, j'ai été vers le gros cul de l'arabe pauvre et j'ai reniflé sa raie du cul. Surpris qu'on respire l'odeur de son énorme cul puant, il se retourna et rigola.
MEDHI : "Excusez le chien du magasin, il est excité par les odeurs de culs ! Il n'aime rien d'autre que les pets et les culs puants !! Ahahah !"
LE GROS ARABE AU CUL ÉNORME : "Non je comprends, ne m'étant pas essuyé le cul après avoir chié, l'odeur doit être assez forte. S'il aime les pets, ça vous dérange pas si je lui pète dessus ?!"
MEDHI : "Non au contraire, plus il y aura de pets et plus ils seront puants, et plus il sera heureux ! Tu as compris le chien, renifle bien tout !"
Sous les rires cruels de Medhi qui était le seul au courant que je n'étais pas un vrai chien, je fut contraint de renifler le trou du cul du gros arabe.
LE GROS ARABE : "Ça arrive bientôt, chien !"
PPPPPRRRTTTTTTTTRRRPRRTTRRRTTTTRRT !!!!!! PPPPPPPRRRRRRRTTTTTTTT!!!!!!! PPPPPPPPPRRRRRTTTTTTTPPPRRRTT!!!!!! PPPRRRTTTTT!!!!!
LE GROS ARABE : "Encore un peu !"
PPPPPPPPPRRRTTTTTTT !!!!!! PPPPPPRRRRTTTTT!!!!!! PPPPRRTTRTTRTRTT!!!!!
LE GROS ARABE : "Et voici les derniers, sale cabot !"
PPPPPPPPPPPPPRRTTTTTTTTTRRRTTTTT PPPPPPRRTTTTRTRRTRRTTTPPPPTTT PPPPPPRRRRRTTTTT PPPPPPRRRRRTTTT PRRRRTTTTTTTTT!!!!!
LE GROS ARABE : "Merci d'avoir laissé votre chien renifler mes pets, j'ai mangé une salade de choux aux fromages avec des oignons, et je me retenais de péter de crainte de faire fuir les clients !"
MEDHI : "Je suis sûr que le chien a adoré !"
MOI : "Woooof woof woof woof!!"
MEDHI : "Vous savez comme sont les chiens, ils aiment renifler des culs ! Celui-ci aime les pets, et également ceux des humains !"
Medhi était si fier de m'avoir fait renifler les pets d'un gros plouc arabe pas lavé depuis plusieurs jours que nos promenades dans le magasin consistait pour moi à renifler et lécher les chaussures des hommes, mais aussi renifler leur cul et pets.
Certains venaient directement me péter dessus mais d'autres attendaient que je vienne à eux.
Medhi privilégiaient les culs les plus gros, ceux des hommes les plus pauvres, puants et moches, principalement des arabes (mais aussi des hommes de d'autres couleurs de peau et origine ethnique), car il savait que sous le déguisement se cachait un joli garçon blanc d'origine aisé.
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- CHAPITRE 5 - LE CHIEN DE MAHMOUD -
Si contrairement à l'ancien déguisement celui-ci était d'un tel réalisme que personne n'aurait pensé qu'il puisse y avoir un humain à l'intérieur, Djamel ne voulait pas prendre le risque que la police - qui me cherchait depuis qu'un avis de recherche avait été lancé par ma famille - ne vienne jusqu'à lui. Il a donc proposé à son neveu Mahmoud de me garder en tant que chien de compagnie.
Il m'a ramené à la maison, pensait je, pour me permettre de me laver, d'enlever enfin ce costume. J'avais tellement mal aux bras et aux jambes à force d'être attachés et marcher sur mes coudes et sur mes genoux.
Mahmoud prit ma laisse, me fit marcher jusqu'à sa voiture et m'ordonna de grimper dans le coffre de la voiture. Je n'y suis pas arrivé, car après toit ce que j'avais ce n'étaient pas des vrais pattes canines, alors il m'a simplement pris dans ses bras, pour ensuite me jeter violemment dans le coffre !
Nous avons roulé plusieurs heures avant que nous ne sortions dans un laboratoire blanc.
À peine suis-je sorti du coffre de la voiture que deux hommes en blouse blanche m'ont attrapés, m'ont posés sur une planche blanche et m'ont attachés par des lanières. Je me débattais, mais il était très difficile pour moi de bouger. Tout se passait trop vite, et je me demandais où était passé Mahmoud.
MOI : "Où suis-je ? Où est mon maître ?"
LE DOCTEUR : "C'étaient tes dernières paroles."
Le docteur était un maigre arabe terrifiant qui était payé cher pour faire des modifications corporelles sur des individus. Leur consentement n'était pas son problème, et ses employés qui faisaient les opérations ne s'en souciaient pas non plus.
Une piqûre dans le bras et une autre dans le cerveau, et je m'endormis instantanément. J'ignorais qu'on m'avait administré une importante dose de somnifère et d'antidouleur. À mon réveil, je voulu parler.
MOI : "WOOF !! WOOOF !! WOOF !! WOOOF !! WOOFFWOOOFFF !!!! WOOF! WOOF!"
Seuls des aboiements sortaient de ma bouche ! Je n'arrivais pas à me voir, mais je sentais ma langue sortir de ma bouche, elle était plus longue d'habitude. J'étais toujours attaché à la planche, mais je reconnus la voix de mon maître qui souhaitait me voir.
Heureux qu'il vienne me chercher de là où j'étais, je voulu lui parler mais, une fois de plus seuls des aboiements sortaient de ma bouche.
LE DOCTEUR : "Comme vous le voyez, monsieur, votre ancien colocataire est devenu un vrai chien. Nous avons greffé un pelage imitant celui d'un vrai chien, nous avons greffé masque de chien sur son visage et avons étiré sa peau et modeler son visage afin qu'il devienne de la même forme du masque. Comme vous le voyez il a des moignons et n'a plus de main, nous avons greffé des pattes de chiens à ses bras et jambes. Nous avons également greffé une queue de chien près de sa raie du cul, et bien sûr nous avons allongé sa langue afin qu'elle puisse rentrer profondément dans un cul ou n'importe où en fait. Oh, j'allais oublié l'essentiel. Nous l'avons castré à votre demande, et ses cordes vocales ont été brisés. Ou plutôt remplacées. Voyez vous, nous avons implanté dans son cerveau un organe reproduisant chez lui la capacité à aboyer comme un chien. Nul ne pourra savoir ce qu'il veut dire."
MAHMOUD : "Donc chaque fois qu'il voudra parler avec des mots, seuls des aboiements de chiens sortiront ? Même s'il est censé faire une phrase logique ?!"
LE DOCTEUR : "Oui, les chiens savent parler, mais ils ne se comprennent qu'entre eux. Or, votre chien ne pourra être ni compris de vous, puisque vous ne parlez pas le langage des chiens, ni par les autres chiens qu'il rencontrera, car il était un humain de base donc ses mots ne seront pas les mêmes que ceux des autres chiens. Une vie de souffrance l'attend, mais je crois que c'était votre volonté."
MAHMOUD : "Oui, en effet. Mais je pense qu'il sera plus heureux ainsi. Merci encore docteur."
LE DOCTEUR : "C'est moi qui vous remercie"
Je n'en revenais pas : au lieu de me libérer, Mahmoud avait payé une importante somme d'argent à un docteur sadique afin de me transformer en chien ! Mes membres avaient été raccourcis pour que j'ai la taille d'un chien, ma langue était plus longue, et je ne pouvais plus parler. Heureusement j'avais encore mes autres sens !
J'avais une laisse autour du cou et je marchais aux pieds de Mahmoud, qui paraissait être davantage un géant comparé à quand j'étais un humain. Je ne revenais pas de ce qu'il venait de faire pour empêcher la police de remonter jusqu'à son oncle pour que l'on me retrouve : il m'avait fait opéré par un docteur sadique pour me transformer en chien.
Ma nouvelle vie commençait.
De retour à la maison, je fit conduit dans un petit panier. J'avais beau connaître l'appartement, le re-découvrir en tant que chien me semblait bizarre. Au moins je n'aurais plus à faire les tâches ménagères. Mais j'ignorais si savoir que ce bel arabe hétéro allait me posséder pour le reste de mes jours était rassurant ou effrayant.
Les jours suivants, Mahmoud m'a entraîné à obéir, mais j'avais déjà eu le comportement d'un chien quand j'étais sous forme de chien à SHOP'ING. Il profita de mon habitude à agir en chien pour passer plus rapidement au plaisir de posséder un animal de compagnie. Nous faisions des promenades au parc, et il lui arrivait de payer des gens pour me faire faire des promenades avec d'autres chiens.
Marcher aux côtés de mon maître n'était pas déplaisant, mais ce qui l'était c'était de devoir renifler et lécher les trous du cul des chiens. En comparaison, j'aurais souhaité reniflé les pets puants des clients de SHOP'ING !! Mon maître riait très fort chaque fois que j'étais contraint de lécher et renifler les culs des chiens devant moi. Il m'obligeait à le faire surtout aux chiens les plus gros et masculins en terme d'apparence. Ce n'était pas assez dégradant pour lui de me faire lécher les culs des chiens petits et mignons, il préférait que cela soit les culs des chiens les plus menaçants.
Tous mes biens avaient étaient vendus par Mahmoud qui s'était servi de l'argent de la vente pour acheter des objets DOGGYDog : laisse, collier, jouets en plastique, gamelle, panier disposée au pied de son lit.
Je dormais à ses pieds, et il m'obligeait à lécher ses pieds jusqu'à ce qu'il s'endorme et aussi pour le réveiller. Il n'était pas dérangé à l'idée de me faire lécher son corps car il savoy qu'en réalité j'étais un humain. Jamais il n'aurait rien fait avec un vrai chien, mais se faire vénérer par un garçon blanc transformé en chien, c'était le moyen garanti de pouvoir se faire lécher le corps quand il voulait ! Il fallait bien sur que je me sois nettoyé la bouche après avoir passé la journée à renifler et lécher les culs des chiens dans la rue et au parc.
Un jour Mahmoud reçu la visite d'un ami, Abdulah. Je ne l'avais jamais vu car j'avais toujours été caché lors de ses soirées.
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Abdulah était un géant : mesurant 1 m 87, il était une montagne de muscles avec des épaules démesurément larges, des bras énormes, et il était vêtu de cuir noir. À ses côtés un géant doberman noir très apeurant. J'avais l'air d'un caniche à côté de lui !
ABDULAH : "Brutus, va t'occuper avec Fluffy, la chienne de Mahmoud. Lui et moi allons parler entre hommes. Toi tu vas rester avec Fluffy."
Fluffy était le nom ridicule que m'a donné, et le grand Doberman n'a pas cherché à être galant : il a écrasé son gros cul puant sur moi, mon nez est rentré aussitôt dans son anus. J'ai aboyé pour qu'il se relève mais il s'est contenté de me péter dessus. L'odeur était horrible mais j'ai bien compris que, comme pour son maître, la seule attitude possible était la soumission. Ma langue très longue s'est enfoncée dans son trou du cul et il continuait de lâcher des pets sur ma langue. Puis, après avoir détendu son anus, j'ai eu la désagréable surprise de voir qu'il était en érection. Il est monté sur moi, m'a pénétré violemment et m'a baisé sauvagement. Mes aboiements ont alertés nos maîtres. Le géant Abdullah, le musclor intimidant, explosa de rire.
ABDULAH : "Eh bien mon terrible Brutus a trouvé sa future femme !"
MAHMOUD : "Mon chien est un mâle, Abdulah !"
ABDULAH : "Mon Brutus s'en fout, tout ce qu'il aime c'est baiser et soumettre, il s'en fout de qui il baise. Comme moi. Je suis fier de toi, Brutus, continue de baiser cette pute ! Fluffy n'est qu'un pédé !"
Les maitres nous ont regardés baiser longuement. Puis j'ai passé ma nuit la bite de Brutus dans mon cul, et il ne sortait de mon cul que pour venir me péter au visage. J'étais maintenant soumis à un autre chien !
Le maitre sadique bisexuel Abdullah, cet arabe qui était l'homme le plus musclé que j'ai jamais vu, venais régulièrement chez Mahmoud pour que Brutus se soulage en moi. Les deux amis faisaient des balades, moi seul était en laisse car Brutus est si loyal qu'il n'était parfois pas en laisse. Je me faisais baiser par lui dans les buissons tandis que nos maîtres discutaient. Puis je léchais le cul de Brutus pour le remercier de m'avoir baiser.
Quand Mahmoud a invité à une soirée son cousin, son demi-frère, un ami ainsi que le géant Abdulah, tous sont venus avec leurs chiens. Ces hommes Arabes étaient tous de grands mâles barbus, virils et musclés. J'étais vraiment un inférieur face à eux. Je me suis donc fait baiser sous leurs rires par un doberman, un dalmatien, un dogue et un pitbull. J'étais même l'esclave des chiens dont je reniflais les pets et mangeais les crottes qu'ils me chiaient à la bouche !
ABDULAH : "Il faut qu'on marie Brutus à ton pédé de chien, Mahmoud !"
Abdullah disait cela car Brutus était si dominant qu'il me voulait à lui seul.
Quand Mahmoud partait en voyage, il me faisait garder par Abdullah, et Brutus restait chez Mahmoud quand Abdullah devait s'absenter. Brutus était violent avec moi, il me pétait dessus, mangeait ma part de croquettes même s'il lui arrivait de manger les restes des maîtres. Moi j'avais sois les croquettes qu'il n'avait pas mangé, soit ses crottes. Mais j'oubliais que j'étais un humain.
Au magasin SHOP'ING, je continuais d'être promené en laisse pour renifler les pieds et les culs des hommes, mais je tombais amoureux de ce grand doberman noir.
J'étais fou amoureux de Brutus et celui-ci me le fit comprendre en mettant sa langue dans ma bouche et en m'embrassant. Nous avons été mariés lors d'une cérémonie où furent confiés tous les mâles au courant de mon identité d'humain : Djamel, Medhi, Ayoub et les autres arabes du magasin, le docteur et ses employés qui m'avaient transformés en chien, ainsi que les proches de Mahmoud.
Abdullah et Mahmoud ont achetés une maison ensemble, se sont chacun trouvé une personne à aimer : Abdullah le géant bisexuel s'est marié avec un grand arabe viril comme lui, Mahmoud avait une jolie femme, et moi et mon mari Brutus étions à leurs pieds.
J'avais totalement oublié mon identité, les connaissances que j'avais accumulés par mes études et mes lectures, et ma famille. Tout ce qui faisait ma vie était réveiller mon Brutus par un lèchage de cul, me faire baiser par lui, être promené au parc par mes maîtres, lécher les pieds de Abdullah et son mari le grand arabe musclé, ainsi que ceux de Mahmoud et sa femme, manger des croquettes et des crottes. C'était ma vie.
Mon mari restait mon supérieur, mais nous avions notre propre niche dans le jardin où il s'allongeait sur mon pour lécher mes oreilles. Ou alors je léchais son cul. Sur mon collier, il y avait écrit : "Propriété de Mahmoud et Brutus.". J'étais fier d'appartenir à un arabe et au grand chien d'un autre mâle arabe. J'avais compris mon infériorité de blanc et j'étais plus heureux à lécher des pieds de mâles arabes, renifler des pets de clients et faire l'amour avec mon mari, Brutus le grand doberman qui me protégait et me dominait.
J'avais trouvé un mari protecteur, viril et dominant. C'était un grand doberman mais j'étais heureux d'être aux pieds des Arabes et marié à ce chien qui était l'amour de ma vie !
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇸🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇸
The story I'm posting today is inspired by several fantasies I have. I'd rather not say which ones they are or reveal more about the plot. I just specify a few things: the hero is white but is not named. He is subject to Arab men. You are free to imagine the skin color of the characters differently.
Likewise, images are made for illustration. Please do not hesitate to reblog, like and especially comment so that I know your opinion on it, that I feel encouraged. I hope you'll like her. Happy reading 😘
PERSONAL FICTIONAL STORY
* A WHITE DOG FOR ARABIAN MEN *
- CHAPTER 1 - LIVING WITH MAHMUD -
There couldn't be more of a contrast than the one between me and my roommate Mahmoud. Manly, he was tall, measuring 1.80 m and weighing 75 kg. But beyond his size, he was muscular, hairy, bearded, and this handsome Arab was dominating, naturally bossy and simply impressive. Especially compared to me, a thin little white guy, not too skinny but still slim. His big plump hairy ass contrasted with my hairless little white ass. And his huge hairy cock was three times bigger than my little white cock. My facial features were more feminine but not to the point that I look for a girl. And obviously my pale skin contrasted with the tanned skin color of this oriental man. Suffice to say that this man was impressive.
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Having wanted to emancipate myself from my family, I had found a shared apartment with Mahmoud. 26 years old, 3 years older than me, he was the apartment manager.
When he received his friends, I had orders not to leave the room. During his parties, he came to see me for one thing: to fart in my room. He would come in, let out his fart and immediately close the door to my room. The windows opened with a key and he purposely kept the key with him so that I couldn't open the window to ventilate the smell of his farts. Gradually, Mahmoud behaved towards me in a much more authoritarian way.
When he came back to the apartment, he would throw his shoes in the hall without trying to put them away, he would sit on the sofa to scratch his balls, and whistle for me to bring him a drink (usually a beer) and to eat (sometimes crisps).
That day he came home. Since I wasn't allowed to bring any friends because he didn't want to see white people, he always said he was "at home" because he had the biggest bedroom (twice the size of mine) and he was the only one of us to party.
I was in the kitchen, preparing his dinner, having already set the table to avoid disturbing him with the noise of cutlery, when he arrived from work. He lies down on the couch and hisses, giving me the unpleasant impression of being his pet dog.
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I arrived in the living room of the apartment, he was already scratching his big hairy balls while watching a program on television.
MAHMOUD: "Beer."
ME: "Yes, Mahmoud. Immediately, Mahmoud."
I went back to the kitchen to have a beer.
I came back into the living room with beer in hand and handed it to Mahmoud, who didn't say thank you or even look. To him, I was just a hand bringing a beer. I was not a person. Because that would have meant treating me with respect. And that, Mahmoud had no intention of doing so. As for me, you are surely wondering why I obeyed blindly.
Simply because I had already tried. But a slap on each cheek given by his big virile hands, just to challenge his authority, makes you want to rebel. Since then, I was a simple young white man of 23 serving as a servant to his roommate, a large, virile Arab male 3 years older than him. Between us, there was no real master-servant relationship. I was simply at his service.
And the reason for my obedience is also explained by the fact that I have no money. Yes, I had used my savings by taking an apartment, wanting to be independent. But I had swallowed my money in my rent shares for the apartment, instead of finding a roommate once I got a job.
However, at the end of my university career, I had found neither an internship nor a job. Mahmoud thought he was being nice by allowing me to stay with him on the condition that, in return for paying all the rent, I had to do all the household chores. When he was alone, he necessarily did the tasks himself and avoided soiling as little as possible to avoid having to clean too much.
But since he knew I was there to clean up after him, he didn't mind leaving everything behind him, leaving drops of piss on the bowl and traces of shit in the toilet, hairs in the bathtub , and he threw his dirty clothes on my bed whenever he wanted them cleaned.
In short, I was his slave but he treated me kindly, liked to chat with me from time to time (he was the one talking and I had to listen to him), watch television with him (he chose the program and sometimes to put his feet on my shoulders since I was sitting on the ground, ....
When meal time comes, Mahmud gets up, letting out a few farts as I pass without apologizing. While Mahmoud is eating, I stand with a carafe of water in my hand to pour it back as soon as he gives me a sign. As for me, I have to eat in the kitchen, after him, while he watches the news on TV or something. Anyway, I was standing next to him while he ate the meal I had prepared.
MAHMOUD: "Well, still no internship project or answers to your job applications?"
ME: "No, Mahmud, unfortunately."
MAHMOUD: "Well listen, it's not that I mind paying the rent, it's just that it's weird to know that you're here all day doing the housework. I pity you. Listen, I can offer you a position as a shelving unit at the store. It consists of putting new products on the shelves. Nothing fulfilling but good.... "
ME: "Oh yes thank you Mahmoud! Your uncle is going to let me apply? Nobody will be against the co-manager's roommate applying for a job?"
MAMHOUD: "Well, you won't be the only one applying. My uncle will probably give you a job interview or put you on a test for a week. So come to the store tomorrow. You'll see, I'm sure you will find a job at my uncle's shop."
What Mahmoud called his "uncle's store" was actually SHOP'ING a department store run by his uncle Djamel, a fat, manly Arab in his fifties. He was the symbol of social success. His store was located in the city center, welcomed a lot of customers due to its size and the variety of products available. Mahmoud was the store manager, his uncle Djamel taking care of the administrative part while Mahmoud was much more focused on the employees. In short, an employee position would not be refused, even if it consisted of putting items on the shelves.
-
- CHAPTER 2 - WORKING AT SHOP'ING -
I arrived at the SHOP'ING department store, hoping to start the trial period. Djamel, store manager and paternal uncle of my roommate Mahmoud ushered me into his office. Dressed in an elegant blue suit showing off his large, prominent belly, Djamel was a tall, bearded man. I told myself that Mahmoud would probably look like him in the future. He asked me the usual questions before leading me to a room not far from his office, where, seated opposite a table, a handsome young Arab man was waiting.
About my age and barely taller than me, he was nevertheless muscular, and looked manly despite his charming smile. The black hair covered in gel, his dark skin was glowing, and he gave the impression of being very comfortable where he was while being aware that he would have to show modesty given the coveted position. We shook hands to wish each other good luck during the trial period that was beginning. Each of us had rays to take care of.
The handsome Arab of my age, Medhi, got along with me very quickly. We were so close that we ate together, we got to know each other. So when he asked me to put away his rays for him because he had a medical appointment, I did it. It was 3 p.m. and we were supposed to finish at 6 p.m., but I didn't mind.
MEDHI: "Are you sure you don't mind doing my job for me? You're the best, man!"
Once I was done putting away the shelves that Medhi had to take care of, I went back to mine.
DJAMEL, boss of SHOP'ING: "Well tell me, Medhi finished so early that he's already left? He's faster than you, it seems."
ME: "Yes sir, Medhi is an excellent employee."
I defended Medhi, thinking he would do the same for me. I didn't know that he mainly spent time with Djamel to make him love him. He showed personality and charisma which earned him the friendship of the other employees, the majority of whom were Arab men. On the third day, I was putting away pots of yogurt when he came to see me.
MEDHI: "Hey man, how are you? No listen, I wanted us to share our ideas on improving the shelves. Don't you think we could suggest some ideas to the boss?"
ME: "Yeah, I agree. I thought we could improve the shelving by doing it in alphabetical order. For example, storing products from those starting with A to Z."
MEDHI: "Yes well okay I know what alphabetic means, idiot! Well yeah I was thinking the same thing, we could do that by colors too. Ok, I'm going back to work. Uh ah no it's true it's the time for my morning break. Do you mind continuing my shelving, mate ?'
ME: "Yeah okay, I'll go."
Medhi went to see Djamel, the boss of SHOP'ING, to reveal to him his idea for the store, which was in fact mine: that of storing the products in alphabetical order! Of course sorting the items by color didn't make any sense, but he had pretended that was the idea he was going to give the boss, when in fact he was going to give mine!
The days passed and Medhi appeared to be so nice to me on the surface that I refused him nothing: he made me do his job but took the credit for it. He pretended to be sick just to ask me to cover him when he arrived at work later than expected.
Thus, I was at the store at 7 a.m. and I was doing his share of the work before mine to let Mahmoud or his uncle the boss, Djamel, believe that the work had been done by Medhi and that if the latter did not wasn't on the shelves, maybe he had been at work. It would have been easy for Mahmoud, his uncle or any high-ranking employee in the store to have access to surveillance cameras to verify my words. But most of the employees being dominant Arab men, Medhi was always believed rather than me, especially since his funny character and his sociable attitude had earned him the friendship of the other salesmen and employees, even when they were men. much bigger or muscular or more, in short more masculine than him.
As for the white employees, most held menial jobs, such as cleaning the floors or the toilets. Like Mahmoud in our roommate, they generally didn't flush the toilets because it pleased them to know that a white man was going to find himself facing his big pile of larges stinky droppings.
Medhi took advantage of the fact that I had done his job for him to make the boss and the other employees look at me as unsure of himself, lazy and too slow in his execution of tasks. He took advantage of having nothing to do since I had done everything for him to better understand the store by staying with the boss and flattering him. As soon as I told him about an idea I had for the company, he would either tell me that it's great or that it's not worth telling the boss, but he always pretends that the boss was busy when I had a good idea, and when he said my idea was bad, I wanted to tell the boss.
In reality, under the pretext that we were "friends", the one I should have considered my rival for the position I coveted was going to repeat to the bosses all my ideas, because there was none that he found bad: he just said it once in a while that I had bad ideas so as not to give the impression that he was going to repeat them all. Yet that was what he was doing, earning the esteem of the boss thanks to it. The week passed without Medhi having done his work himself and without the ideas for organizing the store he had proposed being his own.
The last day of the week arrives, he came to see me while I was arranging the shelves I had to take care of, after doing his for him.
MEDHI: "Man, I have a secret to tell you. It seems that the best way to get the job is to lick the boss's feet! It's Ayoub who told me. It seems that Djamel likes people to come and crawl at his feet to beg him to worship his feet. Damn you imagine yourself licking the stinky gray feet of a 50-year-old Arab! Wesh, I never do that! Damn it's dead for the job all because I don't want to put my tongue on big dirty soles and suck the toes of a fat old man! Well now we know the reality of what the world of work is. Come on, I have to get back to work."
And he went to look at his phone: it was his way of "working". Why did he tell me that the only way to get the job of tidying up items on the shelves was to beg Djamel to have the honor of worshiping his feet. There was no question of me bowing to the feet of a fat Arab 30 years older than me just to get a salary! But the prospect of remaining the cleaning man of Mahmoud made decide me to put my pride aside to make this sacrifice.
I was faced with a dilemma: if what Ayoub had said to Medhi was true, then the only way to be sure of getting the job was for me to go to the boss's office and bow down at his feet to to lick them. I was not proud to have to do this, but I was determined.
I went to Djamel's office, knocked on the door and received the invitation to come in. He was comfortably seated in a leather chair, his shod feet resting on a footstool, and he was reading some papers.
DJAMEL: "What can I do for you, boy?"
ME: "I finished my tasks for the day, sir, and I was wondering if I could be of use to you in another way. You are such a busy boss, maybe you would like to relax with a foot massage? I I would be honored in any case, sir."
DJAMEL: "Massage my feet? Oh yes, I really need that. Get on your knees and take off my shoes, kid!"
I knelt down, I took off the shoes of the boss who was smiling when he saw the little white boy on his knees. I tried not to think about the humiliation by telling myself that the worst had probably been to be locked in my room and that his nephew Mahmoud only came there to let go of his farts when he received his friends. So I was on my knees, and when I took off the boss's shoes, he stopped me.
DJAMEL: "Here, pass me one of my shoes."
I gave him one of his shoes, and he put it on my face so that my nose went inside the shoe, forcing me to breathe in the smell of his shoe.
DJAMEL: "Tell me, do my feet smell good? Ah ahha, you white people are so stupid !!..."
Forced to breathe in the foul smell of his feet, I took deep breaths to make my breathing even, otherwise I would have choked on the stench. Then he ordered me to massage his feet. I took his feet in my hands, feet that weren't long but wide. He had kept his socks on, but the smell of the feet was present. A warm smell, slightly stinky, because less than that of the inside of the shoes. I pressed the soles well, the heels, gently crunched the toes, did everything to give him pleasure, and pretended that I liked being his foot massager.
ME: "Your feet are so wide, sir. What power! It's a pleasure massaging them for you. Hope I'm a good employee."
DJAMEL: "Yes, you're not too bad, but I'd like to know if you're as good with your hands as with your tongue. Lick my feet."
I had to pretend to be surprised at this request, I wasn't supposed to know that licking his feet was the way to get a job at his store. I took off his socks, put them in his shoes, and moved closer to his feet.
DJAMEL: "First, sniff well between your toes to soak up the smell. That's it. That's good. Yes, put your little white nose between my toes. And give light kisses on my feet. That's it. .. Um... Yes it's sweet... You have good lips.... Well now lick my feet while I correct these papers, I don't really have to do supervising a foot licker."
ME: "Thank you again sir for granting me the honor of licking your feet."
I moved closer to those big meaty feet and as he had requested I continued to alternate between kissing his soles and his toes, but also giving great licks. His sweaty feet were moistened by my soft tongue and he was beginning to forget me, considering it natural for a white boy 30 years younger than him to worship his feet. I took several toes in my mouth at the same time, and went from the leftmost toes to the rightmost. And I started again.
It lasted an hour, an hour licking soles and taking the toes of an old Arab big in the mouth. After an hour, he kicked me lightly in the face, made me put my socks and shoes back on, and then waved his hand at the door.
DJAMEL: "Get out."
ME: "Yes sir."
I walked out of the office and a smile appeared on my face. For having licked the feet of my fat Arab boss, I had managed to get a job. I was confident in the future.
A few hours later, as it was the last day of the trial week, Djmal summoned Medhi and me to his office. Standing in front of our boss, me being smaller than Medhi, we waited for Djamel's verdict: who was he going to take?
DJAMEL: "You were both very good employees this week, but one of you was clearly more talented than the other. Organized, quick, conscientious, having offered me interesting ideas for the future, he shows commitment and team spirit. That's what SHOP'ING needs. I know his abilities and I'm sure he will show more in the future. This person is is...... Medhi Congratulations my good, here is already your first salary installment for your month of work, I can't wait to see you here, and I have no doubt that a big guy like you quickly climbed the rungs, maybe sector manager in the store!"
MEDHI: "Thank you very much, boss, I appreciate your encouragement. I look forward to working with you, sir."
ME: "But, but... I licked your feet, sir, I sucked your toes!!!"
DJAMEL: "Do you think that makes you worthy of working for me? No, but on the other hand I know that you desperately need money. My nephew Mahmoud, your roommate, convinced that a job might suit you, I'll ask him to tell you about it himself."
Mahmoud arrived in his nephew's office.
-
- CHAPTER 3 - ACTING LIKE A DOG -
Mahmoud sat next to his uncle, the boss Djamel. Mahmoud, this tall, virile, very dominating Arab, three years older than me - this powerful, bearded male macho who made me do his housework and released stinky farts in my room to avoid annoying his friends because of his farts but especially in the purpose of humiliating me - was the man who advised me to apply for a job at SHOP'ING, his uncle Djamel's store.
While, on the advice of my rival and friend Medhi, a handsome muscular Arab of my age, I had licked the big dirty feet of my fifty-year-old boss, here I learned that he had chosen to hire Medhi then that I had been doing his job all week and he had taken credit for the ideas I had given him.
After challenging my boss's decision, I was waiting to find out what job Mahmoud had found for me in order to get me a salary so that I could finally pay my share of the rent for our flatsharing.
MAHMOUD: "Well, you weren't as talented as Medhi in the ability to put items on shelves. If even that is too hard for you, then there is only one job available SHOP'ING received a delivery of products from DOGGYDog, a brand for dogs: kibble, kennels, bowls, leashes, collars, plastic toys... In short, dog stuff."
DJAMEL: "I agreed to promote it because our studies show that there are several dog owners in the area, and DOGGYDog would like us to use a mascot in order to attract customers to go to see their brand products. Mahmoud, show them Fluffy's costume."
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Mahmoud pulled out of a big box a large dog costume consisting of a brown and white jumpsuit reminiscent of a dog's fur, and a big head of a dog with long ears, big round eyes, and a happy expression. with a wide mouth from which a fabric false tongue protruded. There was also a fake dog collar, a pair of gloves and a pair of canine paw shoes, there was also a dog tail. In short, it was a cliché of a dog that was not intended to be realistic - even if all the elements of a dog's body were present - but rather something colorful and tender in order to attract attention. It was a funny dog ​​costume meant to be worn by an average sized human, neither too big nor too small.
MAHMOUD: "I present to you Fluffy, the mascot of DOGGYDog! You will wear the costume, and you will distribute flyers and leaflets to customers."
ME: "What? You want me to disguise myself as a dog to advertise dog food? I remind you that I studied at major universities!"
MAHMOUD: "As for you, Medhi, don't shout victory too quickly, because it is you who will have to help him put on his dog costume."
With a grateful look, I showed Mahmoud a silent thank you. I was grateful to him for having defended me when his uncle had just ordered me to calm down and had said nothing to Medhi who laughed at him without embarrassment. I told myself that the loyalty and servility I had shown since becoming his roommate explained why Mahmoud wanted to put Medhi in his place. Having cleaned his toilets for several months was well worth this personal satisfaction of revenge against the one who had claimed to be my friend but who was beginning to show his true face: that of a superior Arab eager to belittle a white man, even if he is the same age as him. Yet this was to be the only time he would come to my defense and try to protect me.
MEDHI: "Yes sir."
He tried to keep a tone that was respectful without being submissive, yet assertive without being insolent. But I felt in his voice a hint of anger and a desire to make me pay for this affront.
Djamel and Mahmoud dismissed us and we went to the break room. I had never been there because I had always had Medhi's work to do in addition to mine while he went to relax and chat with the employees.
When we got to the break room which was a large room with several tables and chairs, the Arab males were laughing and talking loudly. Whether they were seated on the tables or on the chairs, they were in any case placed above the few white employees.
The white men were lying on the ground with the feet (with or without socks) of the Arab colleagues on their face, or they were busy massaging or licking the Arabs men's feet. The white men showed no emotion on their face, concentrating on long toes to be sucked, dirty soles to be licked, socks to be sniffed, ankles to be massaged... All were ignored by the Arabs they served, as if, for the latter, it was normal to talk between males while the tongues and hands of white men lick and massage their virile feet.
Medhi arrived and greeted the Arab colleagues with whom he had had plenty of time to sympathize while he took endless breaks, forcing me to work for him.
MEDHI: "I got the job!!!"
The Arab employees rose to congratulate Medhi, not noticing or caring if they walked past the faces of the white employees on whom their sweaty feet rested.
ARAB MEN: "Welcome aboard, Medhi!"
MEDHI: "Yeah, you could say that I would have worked hard for that!! Ahahahahaha!! I can't believe you licked Djamel's feet!"
AYOUB, one of the Arab employees: "Who would lick the big stinky feet of an old Arab? Why did the white boy do that?!"
ME: "So firstly 'the white boy' is in front of you and then if I did it it's because you told Medhi that licking Djamel's feet was an infallible way to get the job that I coveted!!"
Ayoub, a tall Arab in his forties, very hairy and bearded, approached me, looked at me with disdain and opened his mouth to me.
BBUUUUURRRRPPPPPPP!!!!!! BBBBBURRRRRPPPPP!!!!
ARAB MEN: "AHAH HAHAHAHA!!!!! Yeah go ahead, keep going Ayoub! Burp him in the face, that stupid white guy! Yeah damn you have the best burps, burp again Ayoub! Ayoub! Ayoub! Ayoub!"
Ayoub smiled and opened his mouth again, while an Arab behind me held my face firmly in the direction of the big, hairy Arab's mouth.
AYOUB: "BBUUURRRPPPP!!!!! BBBRPTTT !!! BUUURRPPPPTTTRRRRRPPP!!!!!! OH fuck! BBBBBBRRRRRPPPTTTTTT!!!!! Oh damn it feels good!!!! BUUURRPPPPP!!!! Sniff that, white boy !! BRPPRRPPPRTTTTT!!!! So listen to me: deha you're going to lower your voice BBBBPPRRRRTTTT!!!!! and then you're going to stay in your place. BBRRRRPPTTTTT!!!! And I don't know what you're making up but I never told Medhi that you had to lick your feet from Djamel to get the job BBBBRRPPPPPRTTTT!!!!!! So don't try to justify your desire to lick Arab feet by lying! BBBBBPRRTTTTR!!!! We all know very well that white men are only dogs at the feet of the real males, the Arabs!! Isn't it guys?"
ARAB MEN: "Yeah, white people are dogs! Say it, white guys !"
THE WHITE EMPLOYEES, with one voice: "Yes Masters, we white men are just dogs!"
I was absolutely disgusting by the fact that Ayoub burped in my mouth and on my face, but I thought that if I pretended I was not disgusted he would not want to continue.
MEDHI: " AHAHAHHAHAHAHAHAHAH!!!!! It's me who invented everything, I wanted to see if you were also submissive to the point of going to lick the feet of an old man as big as Djamel!!! Ahahahahaha!!! But then seeing you get burped in the face is better than a movie!!!!"
ARABS EMPLOYEES : "AHAHAH HAHAHA!!!! That white man is just a dog!"
MEDHI: "Oh yes, he's really going to be the store's dog!"
AYOUB: "What do you mean by that?"
MEDHI: "SHOP'ING is going to promote DOGGYDog, a brand of articles for dogs. Our little white guy here is going to be the brand's mascot, he's going to have to distribute flyers in front of the store dressed as a dog and only barking!!!"
ARAB MEN: "AHAH HAHAHA HAH that's a job for a white man! AHAHAHAHAHA! !"
I was angry that I was not strong enough to be able to react to this humiliation, but anyway the Arab employees were more numerous, in addition to being male, tall, hairy...
I did not know if there it was more degrading to worship employees's feet in the privacy of the break room, or to be alone in front of customers, disguised as a dog. I put on the costume of Fluffy, the dog mascot of DOGGYDog, to practice carrying the weight of the costume on me.
MEDHI: "The boss may have said that I should help you put your costume on, but all I'm going to do is make sure you can put it on yourself."
I put on the costume over my clothes because I didn't dare to take my clothes off in front of Medhi. He was so much bigger and more muscular than me that I felt feminine compared to him. The costume put on, he put the huge helmet representing a dog's head on my head. He laughed, took my picture and posted me on social media to be laughed at. I was lucky enough that he didn't write my real name on the photo description, or show my face.
The next day, I came to the 7 a.m. store so that the first customers could see me in the morning and the advertising campaign for the DOGGYDog brand would be a success. I was disguised making happy gestures to go to customers, children and some adults liked to take pictures with me, hugs. I had fun, taking advantage of my theatrical studies to show initiative with customers.
For a few days everything was fine, except that I had almost no breaks, was on my feet all day and had to respond to customers in the store only by barking.
Despite the humiliation of wearing a mascot costume, making ridiculous grand gestures and cuddling with customers, this job was ultimately not that difficult.
It could have been even great if the teens and young adult men in the area didn't come around as often as possible to humiliate me, beat me, throw my flyers on the ground and then see me on all fours picking them up.
ONE OF THE YOUNG MEN: "There you're a real dog, on all fours! Surely the guy in that costume is just a loser, who would agree to do this shitty job?!"
Young people were laughing, hitting me, slapping me even though they were also taking selfies with me. Most were young Arab men between the ages of 15 and 25, who liked to make noise near me to annoy me and laugh at my reaction. Others made me bark to make them laugh. I always managed to obey and keep my composure, but the blows, the insults, the spitting and the laughter broke me psychologically day after day. I dreamed of escaping this hell, but it seemed like there was no end to it.
When I returned to the apartment at 10 p.m., I noticed that I still had the dishes to do, because Mahmoud never cleared his dirty plate. Sure, I didn't have to cook for him because he was home earlier than me, but that didn't mean I didn't have to massage his feet while he finished watching a TV show or a movie, or that I didn't have the toilet, bathroom or clothes to clean. This pace of life was exhausting, I didn't have a minute to myself.
The worst part was seeing my rival Medhi living his best life. With his salary and his position as department manager, which he had finally obtained since his alpha charisma had earned him Djamel's esteem, Medhi had found a new white man to humiliate and coerce into doing his job.
When I was allowed to go to pee (the only time of the day, because otherwise I wore a diaper in case of extreme emergency), I happened to pass by the break room and see Medhi being licked his manly feet by one of the white employees, chatting with the other Arab employees who each had a foot licker.
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- CHAPTER 4 - FORCED TO SNIFF FARTS -
Djamel was made aware by Mahmoud that the Fluffy the dog disguise was not producing the desired result: the violent young guys could not be chased away due to the fact that the fight was taking place outside the compound of the store (even though I was one of the employees), so they kept hitting me and spitting on me. The frightened parents no longer wanted to let their children take pictures with me, as well as the people who wanted to take the catalogs of DOGGYDog products that I was responsible for giving at the entrance to the store.
In his office, fat Djamel sat opposite Medhi, who was his favorite employee. He reminded him of him when he was younger.
DJAMEL: "We don't want to fire our little white guy, but we can't deprive ourselves of a mascot either. But he can't stay in Fluffy's disguise, he makes the young people in the area really want to come and hit him."
Medhi was careful not to say that it was certainly the photo he had taken of me that had made young people from the surrounding neighborhoods want to come and hit me to humiliate a loser. In short, while it was he who was at the origin of my first form of humiliation, he proposed an idea to make my downfall even more total.
MEDHI: "What if we made him wear a dog costume that would be let's say.... More realistic? We could make him look like a real dog and he would be installed near the DOGGYDog products so that customers could see a dog testing the brand products in front of their eyes. It would make them want to buy some for their own animals. That's the point, isn't it?"
DJAMEL: "As always, you are the best employee here, Medhi! You give the best ideas! What could I do without you?!"
MEDHI: "Thank you my boss"
Mahmud, jealous of Medhi's growing influence with his uncle, tried to prevent him from profiting too quickly from his victory.
MAHMUD : “Very well, but you are the one who will take care of the order of the more realistic dog costume, and you will be the one who will walk the dog on a leash around the store so that he can move around a bit."
MEDHI: "Being paid to walk a little white boy on all fours on a leash, yeah, that's really the dream job for me!"
Generally sarcastic and hypocritical in nature - since after all he had pretended to be my friend only to trick me - Medhi was sincere for once: yes, he didn't mind walking me around on a leash. What he preferred was knowing that I was a white guy his age who took absolutely no pleasure in this humiliation.
It was a week before the realistic dog disguise was received. This time, no huge big head to make the kids laugh. It was a disguise that perfectly imitated the skin of a dog. The brown coat was very believable, the texture of the ears and muzzle looked real.
A dog mask Medhi put on my head, and he hung a leash on my collar. To make me look like a real dog, he had folded my legs in on themselves and tied them with straps. So I walked on my knees, but I had knee pads so I could walk fast without risking breaking my knee bones. Also, my arms had been folded and tied, I was walking on my elbows but I still had protection.
As with the previous costume, there were holes in the eyes and muzzle so that I could see and breathe, but the difference was that this time my tongue was sticking out of the mask, to make it look like I was such a dog.
I dared not rebel: it was either that or lose my salary and become Mahmoud's housekeeper again. Except if I was his servant, I had no money and no money means no house of my own. I didn't intend to come back to my parents without having had a job, so I don't care if it consisted of pretending to be a dog.
MEDHI: "I barely got my baccalaureate because I forced a little white guy to do my homework throughout the year, I've never been to university and here I am as department manager in a department store. You've studied a lot, you know a lot of things but you're reduced to bark and be held on a leash by Arabs men! We may be both 23 years old, but you and I are not equal! I like it so much to see white people at my feet!"
Medhi attached my collar leash near the DOGGYDog counter, filled a DOGGYDog bowl with DOGGYDog kibble.
MEDHI: "Eat, mutt!"
Despite the not very good taste of dog food that I was forced to eat to promote the DOGGYDog brand, I got used to it, telling myself that it was like croutons, biscuits or cereals. Customers and their children came to pet me, I barked at them, they had fun pouring me cereal when my bowl was empty and I spent my days chewing kibble.
In my other bowl there was absolutely disgusting water: it was the juice from the socks of the Arab store employees!
Every morning one of the Arab employees of the SHOP'ING store poured into one of my two bowls a portion of water which had been mixed with his dirty socks which he had worn for a week to make sure that the sweat and dirt had gone away. accumulated. I thought vegetable dog kibble was almost better than smelly Arab male sock juice!
Although I was tied up next to the items, the store was so big that not everyone was going to the dog items section. Since the dog department was at the back of the store so as not to be mixed with the vegetables or the clothes or the electronics, the customers who saw me were few.
The SHOP'ING store was well placed in the city and welcomed many people because of the multitude and diversity of items on offer. The customers were varied: men and women, old people and children, couples and singles, blacks and whites, Arabs and Asians, straight and gay, rich and poor, healthy, muscular people, and others who were obese. In short, people very different from each other.
While I was lying on the ground eating my croquettes, Medhi took my leash in hand and ordered me to follow him.
MEDHI: "As soon as we meet a guy, I want you to go to his feet and sniff them, lick his shoes. It must give the impression that you are a dog attracted by the smell of men's feet. I want to laugh and you will be used for that."
Unable to protest and unable to get out of the dog disguise myself, I was forced to follow Medhi. He held the leash and I walked beside him. As soon as we passed near a man, I went to his feet to sniff and lick them. If he had open shoes I sucked his toes and licked my tongue, if he wore closed shoes I just licked them.
Needless to say, my favorite shoes to lick were the leather boots and court shoes of men coming out of office work. The worst shoes were the stinky sneakers of young teenagers or the dirty boots of filthy workers.
The days passed and I didn't come home to Mahmoud anymore: even the employees saw me as a real dog. As for the white employees, they had not been made aware of the fact that I was in disguise.
Gradually the customers found it funny that a dog came to lick their feet while they were shopping, but Medhi always found new humiliations to inflict on me.
MEDHI: "Since I have to take you for walks in the store, we will play. From now on, you will sniff the asses of men. Not those of women because we don't want to have problems with sexual harassment, but I I'm sure even men will find it funny when a dog comes and sniffs their ass. We'll check that out."
Medhi saw an obese Arab who had a huge ass. His buttocks were gigantic, they were huge and took up a lot of space behind him. He looked poor and smelly.
MEDHI: "Bingo. Here's a big dirty redneck, you're going to stick your nose against his buttocks and inhale the smell of his ass. Don't worry about his reaction, I'm in charge. If he ever complains, I'll pretend it was you who wanted to do this."
He gave me a discreet kick in the ass, I went to the big ass of the poor Arab and I sniffed his asshole. Surprised that we smelled the smell of his huge stinky ass, he turned and laughed.
MEDHI: "Excuse the dog in the store, he's turned on by the smell of ass! He doesn't like anything but farts and stinky asses!! Ahahah!"
THE BIG ARAB WITH THE HUGE ASS: "No, I understand, since I didn't wipe my ass after shitting, the smell must be quite strong. If he likes farts, do you mind if I fart on him?!"
MEDHI: "No, on the contrary, the more farts there are and the stinkier they will be, the happier he will be! You understood the dog, sniff everything carefully!"
Under the cruel laughter of Medhi who was the only one aware that I was not a real dog, I was forced to sniff the fat Arab's asshole.
THE BIG ARAB: "It's coming soon, dog!"
PPPPPRRRTTTTTTTTRRRPRRTTRRRRTTTTRRT!!!!!! PPPPPPPRRRRRRRTTTTTTT!!!!!!! PPPPPPPPPRRRRRTTTTTTTPPPRRRTT!!!!!! PPPRRRTTTTT!!!!!
ARAB MAN WITH HUGE ASS: "A little more!"
PPPPPPPPPRRRTTTTTTT!!!!! PPPPPPRRRRTTTT!!!!!! PPPPRRTTRTTRTRT!!!!!
THE FAT ARAB: "And here are the last ones, dirty pooch!"
PPPPPPPPPPPPPPRRTTTTTTTTTRRRTTTTT PPPPPPRRTTTT !!!!!!!! TRRTRRTTPPPPTT PPPPPPRRRRTTTTT PPPPPPRRRRRRTTTT PRRRRTTTTTTTTT!!!!!
THE FAT ARAB: "Thank you for letting your dog sniff my farts, I ate a cheese coleslaw with onions, and I was holding myself back from farting for fear of scaring away the customers!"
MEDHI: "I'm sure the dog loved it!"
ME: "Wooof woof woof woof!!"
MEDHI : "You know how dogs are, they like to sniff butts! This one like men's farts too !"
Medhi was so proud of having me sniff the farts of a fat Arab hick that hadn't been washed for several days that our walks in the store consisted of me sniffing and licking the men's shoes, but also sniffing their asses and farts. Some came directly to fart on me but others waited for me to come to them.
Medhi favored the biggest asses, those of the poorest, stinkiest and ugly men, mainly Arabs (but also men of other skin colors and ethnic origins) because he knew that under the disguise was hiding a pretty white boy.
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- CHAPTER 5 - MAHMUD'S PETDOG -
If, unlike the old disguise, this one was so realistic that no one would have thought there could be a human inside, Djamel did not want to take the risk that the police - who had been looking for me since that a wanted notice had been launched by my family - does not come to him. So he offered his nephew Mahmoud to keep me as a companion dog.
He took me home, I thought, to allow me to wash up, to finally take off this costume. My arms and legs hurt so much from being tied up and walking on my elbows and knees. Mahmoud took my leash, walked me to his car and ordered me to climb into the trunk of the car. I couldn't do it, because after all what I had weren't real canine paws, so he simply took me in his arms, then threw me violently into the trunk!
We rode several hours before we came out to a white lab.
As soon as I got out of the trunk of the car, two men in white coats grabbed me, put me on a white board and tied me with straps. I was struggling, but it was very difficult for me to move. Everything was happening too fast, and I wondered where Mahmoud had gone.
ME: "Where am I? Where is my master?"
THE DOCTOR: "Those were your last words."
The doctor was a terrifying skinny Arab who was paid dearly to do body modifications on people. Their consent was not his problem, and his employees who did the operations didn't care either.
A prick in the arm and another in the brain, and I fell asleep instantly. I did not know that I had been given a large dose of sleeping pills and painkillers. When I woke up, I wanted to talk.
ME: "WOOF!! WOOOF!! WOOF !!! WOOOF !!!! WOOFFWOOOFFF!!!! WOOF!! WOOOF!!"
Only barking came out of my mouth! I couldn't see myself, but I felt my tongue sticking out of my mouth, it was usually longer. I was still attached to the board, but I recognized the voice of my master who wanted to see me. Glad he came to pick me up from where I was, I wanted to talk to him but once again only barking came out of my mouth.
THE DOCTOR: "As you can see, sir, your former roommate has become a real dog. We have grafted a coat imitating that of a real dog, we have grafted a dog mask on his face and stretched his skin and modeled his face so that it becomes the same shape of the mask. As you can see he has stumps and no longer has a hand, we have grafted dog paws to his arms and legs. We have also grafted a dog tail near his asshole, and of course we lengthened his tongue so it could go deep into an ass or anywhere for that matter. Oh, I almost forgot the main thing. We castrated him at your asks, and his vocal cords have been shattered. Or rather replaced. You see, we implanted an organ in his brain that reproduces in him the ability to bark like a dog. No one will be able to know what he means."
MAHMOUD: "So whenever he wants to speak with words, only barking dog's sounds will come out? Even if he is supposed to make a logical sentence?!"
THE DOCTOR: "Yes, dogs can speak, but they only understand each other. Now, your dog cannot be understood by you, since you do not speak the language of dogs, nor by the other dogs you he will meet, because he was a basic human so his words will not be the same as those of other dogs. A life of suffering awaits him, but I believe it was your will."
MAHMOUD: "Yes, indeed. But I think he will be happier that way. Thank you again doctor."
THE DOCTOR: "It's me who thanks you, sir."
I couldn't believe it: instead of freeing me, Mahmoud had paid a large sum of money to a sadistic doctor to turn me into a dog! My limbs had been shortened to the size of a dog, my tongue was longer, and I could no longer speak. Luckily I still had my other senses!
I had a leash around my neck and walked at the feet of Mahmoud, who looked more like a giant compared to when I was a human. I couldn't believe what he had just done to prevent the police from going back to his uncle to find me: he had had a sadistic doctor operate on me to turn me into a dog.
My new life was beginning.
Returning home, I drove in a small basket. Although I knew the apartment, re-discovering it as a dog seemed strange to me. At least I wouldn't have to do housework anymore. But I didn't know if knowing that this handsome straight Arab was going to own me for the rest of my life was reassuring or scary.
The following days, Mahmoud trained me to obey, but I had already behaved like a dog when I was in dog form at SHOP'ING. He took advantage of my habit of acting like a dog to switch more quickly to the pleasure of owning a pet.
We went for walks in the park, and sometimes he paid people to take me on walks with other dogs. Walking alongside my master was not unpleasant, but what was was having to sniff and lick the dogs assholes. In comparison, I would have liked to sniff the smelly farts of SHOP'ING's customers!! My master laughed out loud every time I was forced to lick and sniff the dogs' asses in front of me. He made me do it especially to the bigger and more masculine dogs in terms of appearance. It wasn't degrading enough for him to have me lick the asses of the cute little dogs, he preferred it to be the asses of the most threatening dogs.
All my goods had been sold by Mahmoud who had used the money from the sale to buy DOGGYDog items: leash, collar, plastic toys, bowl, basket placed at the foot of his bed. I slept at his feet, and he made me lick his feet until he fell asleep and also to wake him up. He didn't mind me licking his body because he knew I was actually human. He would never have done anything with a real dog, but being worshiped by a white boy transformed into a dog was the guaranteed way to get his body licked whenever he wanted! I had to be sure I cleaned my mouth out after spending the day sniffing and licking dogs's asses on the street and in the park.
One day Mahmoud received a visit from a friend, I had never seen him because I had always been hidden during his parties. Abdulah was a giant: six feet tall, he was a mountain of muscle with inordinately broad shoulders, enormous arms, and he was clad in black leather. At his side a very scary giant black doberman. I looked like a poodle next to him!
ABDULAH: "Brutus, go take care of yourself with Fluffy, Mahmud's dog. He and I will talk between men. You will stay with Fluffy."
Fluffy was the ridiculous name I was given, and the big Doberman didn't try to be gallant: he crushed his big smelly ass on me, my nose immediately went into his anus. I barked for him to get up but he just farted at me. The smell was horrible but I understood that, as for his master, the only possible attitude was submission. My very long tongue dug into his asshole and he continued to fart on my tongue.
Then, after relaxing his anus, I had the unpleasant surprise to see that he was erect. He climbed on top of me, penetrated me violently and fucked me wildly. My barking alerted our masters. The giant Abdullah, the intimidating musclor, burst out laughing.
ABDULAH: "Well my terrible Brutus has found his future wife!"
MAHMUD : "My dog ​​is a male, Abdulah!"
ABDULAH: "My Brutus doesn't care, all he likes is to fuck and submit, he doesn't care who he fucks. Like me. I'm proud of you Brutus, keep fucking that bitch! Fluffy is just a fag!"
The masters watched us fuck for a long time. Then I spent my night Brutus' cock in my ass, and he only came out of my ass to come and fart in my face. I was now submissive to another dog! The sadistic bisexual master Abdullah, this Arab who was the most muscular man I have ever seen, regularly came to Mahmoud's house for Brutus to relieve himself in me.
The two friends were going for walks, only me was on a leash because Brutus is so loyal that he was sometimes off the leash. I was getting fucked by him in the bushes while our masters were talking. Then I licked Brutus' ass to thank him for fucking me.
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When Mahmoud invited his cousin, his half-brother, a friend and the giant Abdulah to a party, they all came with their dogs. These Arab men were all large, bearded, virile and muscular males. I was really inferior to them. So I got fucked under their laughter by a doberman, a dalmatian, a mastiff and a pit bull. I was even the slave of the dogs whose farts I sniffed and ate the droppings they shit in my mouth!
ABDULAH: "We have to marry Brutus to your fag dog, Mahmoud!"
Abdullah said that because Brutus was so dominant that he wanted me all to himself. When Mahmoud went on a trip, he had Abdullah watch me, and Brutus stayed with Mahmoud when Abdullah had to be away. Brutus was violent with me, he farted on me, ate my share of kibble even if he happened to eat the remains of the masters. I had either the croquettes he hadn't eaten or his droppings. But I forgot that I was human.
At the SHOP'ING store, I kept being walked around on a leash to sniff men's feet and asses, but I fell in love with this big black doberman. I was madly in love with Brutus and he made me understand that by putting his tongue in my mouth and kissing me.
We were married in a ceremony where all the males aware of my human identity were entrusted: Djamel, Medhi, Ayoub and the other Arabs in the store, the doctor and his employees who had transformed me into a dog, as well than those close to Mahmoud.
Abdullah and Mahmoud bought a house together : the bisexual giant Abdulah found an hunky arabe husband, Mahmud found a wife, and me and my husband Brutus were at their feet. My husband remained my superior, but we had our own niche in the garden where he lay on top of my to lick my ears. Or I was licking his ass.
I had completely forgotten my identity, the knowledge that I had accumulated through my studies and my reading, and my family. All that made my life was waking up my Brutus by licking his ass, getting fucked by him, being walked in the park by my masters, licking the feet of Abdullah and his husband the tall muscular Arab, as well as those of Mahmoud and his wife. I was eating kibble and droppings. It was my life.
On my necklace, there was written: "Property of Mahmoud and Brutus.". I had found a protective, virile and dominant husband. He was a big doberman but I was happy to be at the feet of the Arabs and married to this dog! He was the love of my life.
END OF THE STORY
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