Tumgik
#j'aime les homos
queergraffiti · 7 months
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"J'♡ les homos" ("I love homos")
Québec, Canada
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sorryfranquin · 4 months
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j'aime bien dessiner du yaoi de spirou et fantasio mais en vrai j'ai du mal à voir les persos comme homos/gay d'ailleurs je trouve que tout l'intérêt c'est de shipper deux mecs (a priori) hetero qui finissent par avoir une relation juste par résultat de leur constante proximité
après je trouve aussi qu'il y une certaine marque d'Angst™ au fait que ce soit deux mecs hétéros qui ont des liens hyper forts et parfois qui baisent mais qui savent plus ou moins que l'un des deux finira par se trouver une femme et que toute leur histoire sera du passé. mais ils n'ont pas le droit d'être triste en d'en parler parce que rien que de le mentionner ça brise l'équilibre délicat de leur pseudo-amitié et ça en fait un problème dont ils doivent s'occuper plutôt qu'un vague truc qui flotte entre eux un accord mutuel muet...
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 106
C'est la dernière semaine de l'ancienne organisation (travail et baises).
Mercredi,
Jean fait sa dernière passe chez le vieux au valet. Dès que nous entrons, j'annonce la nouvelle au client. Il est content et nous demande d'attendre 5mn. Il revient avec mon enveloppe. Elle me parait plus épaisse que d'habitude. Le temps de monter à la chambre, je l'ouvre et effectivement il a ajouté 50%. Ça a du bon le changement de personnel !
Bien que la confiance se soit installée, je ne voudrais pas qu'il s'autorise sur Jean des " excentricités " pour sa dernière passe et je préfère rester avec eux.
Ce n'est pas désagréable d'autant plus que le valet (toujours aussi stylé et appétissant) vient me servir. Il m'offre un verre et comme j'écarte les cuisses (ce qui plaque bien mon jeans sur ma bite bandée) il s'agenouille et dégrafe ma braguette. Je lui prends la tête ente mes mains et après qu'il eut dégagé ma queue, lui force (façon de parler, il est consentant) la bouche. ;C'est un vorace en manque, il me l'avale jusqu'aux couilles. Je dois plutôt le ralentir que le pousser à m'avaler entier ! Pendant ce temps là sur le lit à baldaquin, Jean se fait démonter la rondelle. Je relève le valet et lui ordonne de quitter le bas. Je vais l'enculer à demi-déshabillé. Il s'exécute et de lui-même se penche en appui sur un dossier de fauteuil, écartant des deux mains ses fesses. Sa rondelle glabre me fait toujours autant d'effet et kpoté, je m'enfonce avec délice dans ce trou.
J'ai bien fait de rester avec Jean car je surprends une ou deux fois le client tenter des trucs pas " catholiques " style, enculage sans kpote et au final jutage dans la bouche de Jean. Les deux fois un regard appuyé à suffit à éviter le pire. Je jute dans la kpote bien calé au fond du valet. Trop bon ! De son coté Jean à fini. Douches rapides et nous rentrons. Jean me remercie d'être resté avec lui car il aurait été mal pour refuser les excès (vu la différence de force entre lui et son client). Je lui dis que c'est normal, je me suis toujours bien occupé de lui. Il me demande s'il doit continuer à amener des jeunots à sa mère. Je lui réponds que cela vaudrait mieux sinon elle risque d'être méchamment en manque.
Il me dit alors que la moyenne d'âge va augmenter, les portes du lycée s'étant refermées. Par contre des copains étudiant en manque et surtout en manque de baise plus originale qu'en position du missionnaire, il en trouve quand il veut. Je lui dis qu'il la gère comme il veut, pour moi, maintenant ce n'est qu'une source de revenu parmi d'autre. Je lui demande de continuer à enregistrer. Peut être découvrirons nous un " spécial pervers " dans le lot. Il me dit que le bourge qui avait enculé son pote c'était déjà pas mal. J'en conviens. Je le laisse devant sa porte, je ne tiens pas particulièrement à rencontrer sa reum.
Jeudi, Je passe chez Emma. J'aime bien mes jeudis " hétéros ". Elle est chaude comme à notre deuxième rencontre. Aussitôt la porte de la maison passée, elle me saute dessus. Elle est nue et ses bras autour de mon cou, ses cuisses sur mes hanches, elle se colle à mon cuir comme une sangsue. Nous nous roulons un patin d'enfer alors que je la plaque contre le premier mur venu. Je bande sous le cuir et ne peux libérer mon sexe. Elle le sait et serre encore plus les cuisses autour de ma taille.
Sa chatte commence à mouiller mon cuir, je nous pousse jusqu'au séjour et la dépose sur la table. Je dé zippe ma combi en partant du base et kpote ma bite raide avant de lui défoncer la chatte. C'est chaud et ça rentre tout seul ! Elle reste accrochée à mon cou et nous continuons à mélanger nos salives. C'est pas mal, mais elle sait que je préfère son cul (c'est souvent le cas chez les bis tendance très homo !).
Je la retourne, ses pieds au sol, les seins écrasés sur le plateau de la table, je regarde quelques seconde ce cul avant de le perforer de ma bite. Hargggh que la résistance d'un anus est plus plaisant que la mollesse d'une chatte ! J'ôte mes gants de moto et lui prend les épaules pour appuyer chacun de mes coups de reins. Ça lui soulève les pieds du sol. Elle apprécie la force de l'enculage.
Je glisse une de mes mains sur sa chatte et joue avec son clito. Je sens aussitôt son anus se serrer convulsivement. C'est encore meilleur ! Je glisse ma deuxième main sur un sein. Entre la stimulation anale, celle clitoridienne et le malaxage de son téton gauche, elle abdique et jouit bruyamment. Je suis obligé de maintenir ses hanches de mes deux mains pour éviter d'être éjecté de son corps.
Je continu des va et vient désordonnés, bloqué dans mes mouvements par les contractions de son anus. Mais c'est trop bon et j'en rempli ma kpote. Fatigué, je me retire et me couche, dos sur la table à coté d'elle. Elle rampe sur moi et se colle sur mon coté. Nous restons quelques instants. J'attends qu'elle sorte de l'état post coïtal en lui caressant délicatement le dos. Un bon 1/4 heure plus tard, elle se relève sur un coude le regard fixé sur moi. Je ne bouge pas.
Elle dé zippe ma combi du bon coté pour l'enlever, écarte les pans et relève mon t-shirt pour me caresser les pecs et les abdos. Je ne bouge toujours pas la laissant dans ses pensées. Elle finit par me dire " bonjour ", c'est vrai que nous n'avions pas eu le temps de nous saluer ! Elle se penche sur mon nombril, pose sa langue dessus t remonte doucement. Passage sur mes tétons encore raidis par le plaisir, glissement sur ma pomme d'Adam et atterrissage sur mes lèvres pour une pelle langoureuse.
Après quelques instants, je me redresse. Je descends de ;la table, m'extirpe de ma combi et la dresse sur une chaise. Je pars me doucher. Au passage dans la chambre je choisis un shorty dans la collection qu'elle a acquise pour moi et me coule dans la douche. Emma me rejoint quelques minutes plus tard alors que je me rince et reste sous le jet brûlant, délassant mes muscles. Je la savonne, la caressant plus que l'étrillant. Ses seins sont encore hypersensibles et le passage de mes paumes sur les tétons la fait frissonner. Je la rince et nous restons embrassés sous le jet. Une fois séchés, j'enfile le shorty, Emma un peignoir et nous allons prendre un café à la cuisine.
Nous papotons, je lui fais part de ma nouvelle organisation (travail à la maison en indépendant, pas le recrutement de mes deux nouvelles putes !), elle me félicite d'avoir fait le pas et me demande si je suis toujours " escort ". Je lui dis - oui bien sûr. Du coup elle me demande si je pourrais me libérer un samedi soir, elle voudrait que je l'accompagne à une soirée organisée par un des associés de feu son mari. Quand je lui en demande la raison, elle me dit vouloir se débarrasser d'un soupirant auprès de son portefeuille d'action ;en lui montrant qu'elle n'a besoin de personne pour mener sa vie. L'idée d'être un homme objet ne me fait pas peur, il faut juste que j'obtienne l'accord de Marc. La date annoncée me laisse le temps d'acquérir un vernis de connaissance du milieu des affaires auprès du père de Ric. Pour ce qui est du commerce, ma petite affaire m'a appris les rudiments de l'offre et la demande et niveau culturel, mon éducation m'a laissée de beaux restes.
Nous refaisons l'amour avec plus de tendresse, la furie étant passée avec notre premier rapport.
Dès que Marc rentre je lui parle de la demande d'Emma. Il me dit être d'accord. Depuis notre clash, nos rapports ont évolués et il me fait confiance. Il sait que même si je m'investi plus en tant qu'escort, c'est lui que j'aime.
Nous passons la soirée à faire l'amour. Je le fais monter doucement en pression alternant pipes avec gobages de couilles et léchages du périnée. En apéritif, je réussis à le faire juter dans ma bouche. Je le bois et il me prend la bouche pour en récupérer une partie. Petit dîner et nous remettons cela. Simplement, dans notre lit (chose assez rare il est vrai) il m'a fait l'amour divinement. Ses baisers, ses caresses et la force de sa pénétration font de lui un amant parfait. Après m'avoir amené à le supplier de m'enculer, il s'est exécuté pour mon plus grand plaisir. Chaque centimètre se sa queue participe à la montée de l'excitation. Je m'applique à lui rendre la pareille en serrant mon anus pour lui masser la verge, arrivant à le bloquer quand il n'y laisse que le gland. Nous continuons ainsi, faisant varier les positions jusqu'à ce qu'il explose dans mon cul écrasant mes cuisses sur mon torse afin de pouvoir me rouler un patin. Sans me toucher, je jute entre nos deux corps collés. Avant de nous endormir je lui dis que je l'aime et j'ai le plaisir de l'entendre me le dire aussi (ce qui est rare même si cela fait quelques temps qu'il en a convenu).
Vendredi
C'est mon dernier jour chez mon patron, je lui amène Jimmy pour le présenter et qu'ils fassent connaissance. L'entretien se passe bien. Je lui fais visiter la boite, le vestiaire avec son placard, ses cottes et ses chaussures de sécurité, la salle de repos, les quelques bureaux. Son charme agit déjà sur celle qui s'occupe de l'administration (et qui n'est autre que la femme du boss), je ne m'en fait plus pour lui !
Au retour, je lui dis qu'il est très sexy dans sa combi de travail à double zip. Il rigole et verifie de sa main l'effet qu'il à produit sur moi. Je bande dur. Sans que je ne demande rien, il me déboutonne le ;jeans et me pipe alors que je conduis. Heureusement que la voiture connait le chemin, car je n'ai pas vu grand-chose de la route. Arrêté dans la cour de la maison, j'ai pris sa tête entre mes mains et la bloquant contre le volant, je lui ai sodomisé la gorge. Il m'avait trop excité de ptit con ! J'ai juté dans a gueule en lui disant de tout avaler pour pas tacher le cuir des siège. Quand nous sommes sortis, Samir et Ammed nous attendaient. Samir voulait savoir comment s'était passé l'entretien d'embauche. C'est Jimmy qui lui a dit qu'il était pris et de tourner sur lui-même pour faire admirer la cotte grise et bleue. Samir m'a remercié d'avoir tiré Jimmy de l'avenir de dealer qui l'attendait.
Dès le samedi après midi, j'ai été chercher Ed. A partir du moment où il prend son portable, ses parents le laisse faire ce qu'il veut. Je lui montre ses quartiers, qui sont les même que ceux de Jimmy et lui dis que le lit est assez grand pour eux deux (deux mètres par deux, pour deux crevettes d'1,65m par même pas 50Kg).
En attendant, WE de formatage au futur taf. Nous passons le plus clair de notre temps au donjon. De temps à autre, Marc nous rejoint pour se vider les couilles. J'organise des pauses où nous profitons de la piscine. Autant je laisse Jimmy prendre le soleil, un beur bronzé ça le fait, autant Ed se couvre d'un peignoir quand on se repose sur les chaises longues, lui son attrait de blond c'est aussi sa peau très blanche. A la fin du W, avec Marc nous les double-sodomisons. Je les ai préparés comme il faut et ils sont demandeurs. Après un galop sur la selle équipé de notre plus gros gode (le 28 x 7.5) où Ed a expliqué (fort de son expérience de cavalier) à Jimmy comment mimer les mouvements. Nous avons commencé par Jimmy. Mes jambes emmêlées à celles de Marc, nos bites collées, couvertes de graisse, j'ai demandé à Jimmy de venir s'assoir dessus. Le gland de Marc juste entré dans le sphincter, j'ai senti le mien pousser à la porte. Un petit coup de cul et Jimmy l'a fait passer. La suite a été un vrai délice. Lentement il s'est assis sur nos cuisses. Ed à coté n'en perdait pas une miette, il savait que plus tard ce serait son tour. Jimmy l'a rassuré en nous disant que c'était trop bon ! Avec notre aide, il a amorcé un mouvement de pompe qui avait l'air de lui faire autant plaisir qu'à nous.
Après quelques instants, ça a été le tour d'Ed. Avec lui il faut toujours un peu de poppers pour faciliter la chose. Une fois bien callés dans on cul, nous avons vu notre ptit beur venir lui bouffer la tige. J'ai laissé faire. Quand il s'asseyait sur nos cuisses, il sortait de la bouche de Jimmy pour y rentrer dès qu'il retirait nos bite de son cul. Poppers, pipe ou excitation du moment, toujours est il qu'il s'est déchainé et s'est défoncé l'anus sur nos bites raides à un rythme infernal. Bien stimulés par la première double-sodo, nous avons tout lâché quand lui-même tapissait la gorge de son comparse de son sperme.
Nous nous sommes retrouvés tous les 4 dos sur les tatamis à récupérer de nos efforts. Pas longtemps, Ed s'est rappelé que Jimmy n'avait pas joui et a vite remédié à cela. Petite pipe et 30 secondes plus tard il avalait le sperme. Ils sont revenus vers nous, Jimmy se couchant sur moi alors qu'Ed se posait sur Marc. Petits bisous et ils se sont endormis leurs têtes callées dans le creux de nos épaules.
Avec Marc, nous nous sommes regardés et avons décidé de ne pas bouger tout de suite. Du coup nous nous sommes endormis aussi et c'est Samir et Ammed qui nous réveillés. Isolé, le temps ne passe pas avec la même vitesse dans le donjon.
Douches pour tout le monde et j'ai raccompagné Ed quand Samir se chargeait de Jimmy.
Quand il faisait son petit sac à dos, je lui ai offert un plug de travail, pour qu'il puisse en semaine se roder l'anus accompagné de son pot de graisse.
Comme l'autre fois, son frère était seul à l'attendre. C'est un gentil môme. Quand nous avons passés la porte, il nous a sautés au cou. C'est vrai qu'il a du s'ennuyer ferme, seul pendant deux jours. Il a cuisiné Ed pour savoir ce qu'il avait fait du WE. Ce dernier a éludé en inventant des balades en moto. A mon départ j'ai nettement senti sa petite bite raide sous son short contre mon cuir. Du coup j'ai glissé dans l'oreille d'Ed que bientôt il faudra qu'il lui apprenne à se masturber !
JARDINIER
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+
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lonesomemao · 7 months
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LE VENT AMOUREUX DE MINUIT
L'habit blanc
Tout le monde l'a blanc
Ou maculé de sang
Ce n'est pas un pays
Mais un état d'esprit
Celui du mâle dominant
Et mon pays que j'aime
Pour lui que de poèmes
Je le salis et je le nettoie
Avec une force homo pourquoi pas
Grâce à de grands écrivains
Tel André Gide ou Jean Cocteau
Vendredi 1er septembre 2023
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oceannacaldin · 11 months
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Homo-Sapienne (Pride rec)
On continue sur la lancée de mes recommandations partielles et partiales de livres queer pour le mois des fiertés ! Le précédent est ici.
Homo-Sapienne de Niviaq Korneliussen
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Quelqu'un me disait récemment à propos d'un autre livre : c'est un premier roman et il a des maladresses, mais elles y rajoutent de l'humanité au lieu de le desservir. Et en rouvrant Homo Sapienne au hasard, je me dis que ça s'applique grave à ce roman.
Homo-Sapienne, donc, c'est cinq histoires qui s'emboîtent et se complètent les unes et les autres où on suit cinq jeunes à un moment charnière de leurs vies à Nuuk, la capitale du Groëland. Qui découvre sa sexualité, son genre, qui choisi de vivre, qui choisi de pardonner...
Plus largement, on est entre le roman social et le côté own voice, et c'est un de ces romans où le mélange est particulièrement réussi parce que les deux se nourrissent et se répondent.
Et puis, c'est mon genre de roman préféré, où les personnages sont faillibles, ne font toujours pas les bons choix, et où il y a un choix assez consistant de toujours se tourner vers la guérison et l'avenir quelque soit ce qu'il s'est passé avant. Et je trouve ça assez rare comme équilibre, dès qu'on se tourne vers la frange très... écrite de la littérature.
Justement, pour parler de la langue et de l'écriture, il y a un très beau travail de traduction pour rendre l'aspect multilingue du roman (originellement un tryptique entre le groënlandais, le danois et l'anglais) et bon, j'aime les langues, et j'aime comment elle va de l'une à l'autre pour dire des choses différentes.
Allez, juste pour vous faire entendre ce que ça peut donner :
And then something like, qu'est-ce qu'il se passe, tu vas bien, tu pars, que vas-tu faire, tu me quittes, osovider, osovider, osovider*, and I'm like il faut que tu m'écoutes, asseyons-nous pour parler, je t'aime, je ne suis pas heureuse, tu n'es pas heureux, je trouve que ma vie manque de quelque chose même si on ne manque de rien, j'ai besoin d'être moi-même parce que nous ne sommes pas heureux etc., and the drama begins, n'es-tu pas en sécurité, pourquoi ne veux-tu pas rester avec moi, qu'est-ce que j'ai fait, est-ce que j'ai fait quelque chose de mal, ai-je été maladroit, and the golden words like, non, j'en ai assez de la sécurité, tu n'as rien fait de mal, je veux me débrouiller tout seule, je me trouver, moi moi moi and never you, it never is and so on (...). *osovider est la transcription phonétique de "og sa videre" le danois pour "et cetera".
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albert-prous · 1 year
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E2497
les gosses j'aime pas j'aime pas les arabes j'aime pas les noirs j'aime pas les juifs j'aime pas les écolos j'aime pas les mille pattes j'aime pas les blonds j'aime pas les femmes j'aime pas les homos j'aime pas les bébés j'aime pas les vieux j'aime pas lire j'aime pas écrire je n'aime pas les chiens de chasse je n'aime pas les vaches sans cornes j'aime pas les spectacles j'aime pas le cirque j'aime pas la télé j'aime pas la plage j'aime pas le dimanche j'aime pas noël j'aime pas le gruyère dans les plats j'aime pas les pâtes j'aime pas le riz lorica squamata il aime les tomates farcies
prous
E2497
les gosses j'aime pas
j'aime pas les arabes
j'aime pas les noirs
j'aime pas les juifs
j'aime pas les écolos
j'aime pas les mille pattes
j'aime pas les blonds
j'aime pas les femmes
j'aime pas les homos
j'aime pas les bébés
j'aime pas les vieux
j'aime pas lire
j'aime pas écrire
je n'aime pas les chiens de chasse
je n'aime pas les vaches sans cornes
j'aime pas les spectacles
j'aime pas le cirque
j'aime pas la télé
j'aime pas la plage
j'aime pas le dimanche
j'aime pas noël
j'aime pas le gruyère dans les plats
j'aime pas les pâtes
j'aime pas le riz
lorica squamata
il aime les tomates farcies
prous
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leblogdebrillante · 6 years
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Cette émergence des soirées queers plus mixtes contribuerait-elle, justement, à une dilution et à l’effacement des cultures lesbiennes ? « D’une certaine manière oui, c’est peut-être l’effet pervers », confie Sophie Morello qui, si elle apprécie la mixité du clubbing queer, y compris de sa propre soirée, regrette le manque d’espaces spécifiquement lesbiens : « Il n’y a pas un club à Paris qui soit labellisé gouine, moi ça me choque » . Pour elle, si on parle toujours autant du Pulp, c’est justement parce que peu d’initiatives lesbiennes existent aujourd’hui : « C’est très difficile pour les gouines d’investir l’espace public », explique la DJ, travaillant sur un documentaire qui évoque en partie cette invisibilisation. « Les gouines restent des personnes extrêmement minorisées, ce sont des femmes, et des gouines. Évidemment que c’est plus dur, il y a plein de gens et de patrons de clubs que ça n’intéressent pas. Le monde de la nuit est essentiellement tenu par des hommes. C’est compliqué de se sentir légitime pour les femmes », analyse la DJ, qui évoque Bourdieu et une socialisation qui reste extrêmement genrée : « Les femmes ont beaucoup plus de mal à prendre les initiatives commerciales ».
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girafeduvexin · 3 years
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10, 14 et 15 pour les asks Kaamelott ?
10. Headcanon du fandom que j'aime pas : hhhmmmm. Je trouve que Perceval est un peu trop infantilisé et on l'écrit comme beaucoup plus con qu'il est. Ça m'a frappé en revoyant les premiers livres, il dit des trucs intelligents, qu'on oublie un peu, par exemple quand il fait remarquer à Arthur et Lancelot que le dragon des tunnels est bien trop gros pour rentrer dans les tunnels, quand il débat de oui ou non les routes pavées, quand il discute avec Arthur des gardes qui se bourrent la gueule - il comprend pas tous les mots mais il dit quand même que c'est normal, les mecs sont seuls donc ils boivent etc c'est une vraie discussion, enfin ça reste un adulte quand même, parfois immature mais c'est pas non plus un bébé selon moi et il est tdah. C'est typiquement le personnage qui est un peu "flanderizé" -> tous ses traits sont exagérés.
14. Unpopular opinion : LANCELOT ET PERCEVAL SONT HOMOS allez bye, jsp si c'est impopulaire mais je la vois pas souvent sooooo.
15 : PERCEVAL ET L'ÉPÉE, LE GRAAL, qu'on avance dans le mythe arthurien évidemment !
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Mutants
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Nous sommes des mutants grandioses.
Nous décapitons le temps ,le vide ,la norme afin de percer l'éternité là où les cris des aliens artistiques cherchent le souffle du Divin .
Mutants.
Des femmes-enfants aux regards d'ovni saignés par la lame de l'existence qui souffle rance !
Nous faisons dansées nos mains baignées de peinture Verte comme la liberté des ovnis cherchant un regard d'Amour dans le chaos .
Je n'ai pas fait le tours du monde .
J'ai fait le tours de moi même ,de mon monde et de mes galaxies puis une partie de celles des êtres que j'aime ,à travers les regards des rues et des inconnus également.
J'ai vu des clochards prophétiques,des musiciens incompris et touchant ,des violeurs aux yeux de fouines ,des animaux avec leur âme ,des arbres avec leur cri ,danse et soupirs propres à chacun .
J'ai vu une dame inconnue ,naïve et candide à la Gare du Nord à Paris
Nous avons pris un café ensemble et elle est partie sans que je ne l'ai jamais revu en me remerciant comme si nos rencontres étaient cosmique et que nous avions appris chacune l'une de l'autre en perçant un secret de l'univers et de l'éther qui est une symphonie
.
Je peut percevoir avec très grande force une infime et minuscule partie des âmes .
Elles remplissent mon histoire comme si chaque être que je rencontrais était une partie de mon roman qui se terminera dans l'au delà de ma planète d'artiste parias et extatiques ,je l'espère.
Les mutants sortent dans la rue ,des asiles psychiatriques.
On regarde de travers leur mutilations d'âmes ou sur leur bras ,leur gueule célestes , somptueuse et ecorchée vive .
Ce sont des êtres qui dansent de travers comme des méduses diva et théâtrales venant d'une autre galaxie .
Ce sont ceux et celles qu'on déteste , dont on se moque parfois ou admire ébahis comme des nébuleuses incroyables qui trébuchent avec leur fesses triangulaires et leur grand chapeau psychédélique car elles ont le coeur trop lourd sur leur main et leur esprit sont trop étourdis dans la beauté de leur étoiles .
Les âmes mutantes ont souvent une grande féminité pures et particulières en elles .
Elles sont très sensibles ,plus puissantes que la plupart des hommes mais également dures ,douces ,vaginales , sécrètes,pudiques,fortes et excentriques avec un reflet volcanique et tendre à la fois ..
Elles représentent tout les êtres les plus marginaux ,des personnalités égocentriques sortant de manga et d'hôpital de dingue à la fois ,des clochards puissant ,bon mais puants avec des gueules qui aboient avec les pieds qui flanchent ,des drogués lumineuses qui cherchent à s'en sortir ,des taulards aux coeurs d'artichaud possédant derrière leur violence une âme de clown ,de fou ou de voyou trop doux et sensible.
Dans mon roman à moi ,j'ai subit des viols à l'âge adulte et à l'âge enfant des insultes ,des coups de poings ,claques ,harcèlements ,humiliations ,coups de chaussures et d'âmes douloureux et parfois profondément insoutenables armés de cris et d'expérience abominables proche de la torture émotionnelle voir physique parfois même .
J'ai arpenter et voyager dans d'autres pays et galaxie sous drogues mais la plupart du temps sans et parfois même plus fort sans rien consommer.
J'ai entendue sans substance et soudainement une voix spirituelle absolument puissante,totalement inattendue et improbable hors de mes propres pensées à propos de la Couleur Verte ,vécu toutes sortes de phénomènes mystiques -chrétiens ,cosmiques voir des transes chamaniques extrêmement intenses et incroyables avec des sorties astrales hors du corps et signes de l'univers extrêmement fort concernant la Couleur Orange.
J'ai vécu bien évidemment aussi des extases avec Dieu au point de pleurer et de hurler de joie .
Je l'ai également vu rentré dans mon corps pour me sauvée du suicide et m'entraîner vers l'amour miraculeux et la folie exceptionnelle et salvatrice de l'Art .
Dans ma vie j'ai effectivement beaucoup vécu en gardant le souvenir de cet infirmier en pédopsychiatrie qui m'a explosé le crâne contre le mur en m'insultant alors que je pleurais de douleur après m'avoir déshabilée le pantalon puis pratiquement plantée une seringue de force remplie de calmant assommant dans les fesses .
J'ai aussi appris avec la pluie sinistre la mort d'une ancienne amie de 25 ans peut être le même jour où pratiquement en même temps qu'un des sombres viols que j'ai vécu en fuyant le foyer de mes parents lorsque je me sentais mal avec eux.
Je recherchait encore inconsciemment un père dans un esprit malsain pour moi même et mes poèmes.
J'ai connue les surdoses extrêmes,profondes ,des black out et overdoses de drogues dures médicamenteuses en me baladant à l'extrémité du bord de ce fleuve qu'est la toxicomanie où j'ai faillit tombée et les vagues des tentatives de suicides très lourdes où votre entourage terrifiée croit vous perdre devant ses propres yeux .
Ma première tentative de suicide ,je l'ai fait à l'anniversaire de mes 16 ans ou quelques jours après car la vie aigre et immonde comme un cachet croqué que je menais était insignifiante .
Je n'avais ni amitiés ,ni encore de talent artistique apart la clarinette et le peut de poésie que j'avais abandonnée en plus de toutes ces railleries, maltraitances graves ,rejet et humiliation que j'ai vécu .
Tout le long de mon existence j'ai fait peut être des dizaine de tentative de suicide ou peut être un peut moins ,chacune pour des homme que je considérais comme un nouveau père de substitution remplaçant ce bourreau émotionnel en m'attachant de manière exclusive à tout ces êtres qui finissaient par me lâcher ,ayant pris peur de cette fusion .
Mon corps et mon âme ont également faillit se defenstrée du 12 ème étage devant un homme sans empathie qui était quand à lui ce faux premier amour et qui m'a au final donnée ses drogues à lui pour que je lui fiche après la paix , regardée durement et sans amour ni moindre amitié après m'avoir empêchée physiquement de commettre l'irréparable alors que j'etait en larmes .
J'ai fait de l'auto stop en pleine nuit dans une forêt ou dans un lieu lugubre et il m'est arrivée toutes sortes de rencontres improbables lors de fugues ou d'aventures dramatiques,farfelues ou merveilleuses dignes de films cinématographiques loufoques .
J'ai regardée et suivie une étoile dans le ciel de la nuit quand j'étais complètement perdue et émotionnellement très mal dans une immense ville que je ne connaissait pas du tout ,très loin de chez moi et de l'appartement que je connaissais peut ,sans mon portable ni rien et pratiquement et même en suivant l'étoile j'ai retrouvé au bout d'une demie heure ou plus le chemin des personnes qui m'avaient hébergée .
C'est là que j'ai compris que le miracle existe car l'existence en elle même est un miracle de Dieu qui est un clown-punk merveilleux et tout être mérite cette énergie splendide et absolument sacrée , sans dogmes ni repentances fausses et réactionnaires que ce soit des trans et homos qui s'assument avec courage ,des clochardes éveillés errant dans la rue et cherchant un espoir ,des toxicomanes avec un fond de lumière infinie , des prostituées avec du coeur , des fous et des folles incomprises et artistes extraordinaire.
La pire souffrance dans mon existence à été de hurler de larmes en redevenant enfant, à la limite de vomir ,avec les sanglots tordus et brutes qui criaient sur ma peau ,dans tout mon corps qui s'etouffait en se violant lui même les veines , s'arrachant les tripes,subissant des millions de crises cardiaques de l'âme devant des hommes ou même des femmes qui me regardaient avec incompréhension ,moquerie ou colère car cela passait pour des simples caprices de môme.
Pourtant en moi même je hurlait et m'etranglait dans cette torture qu'était mon cri violent d'enfant renaissant a la surface dans une fontaine éparpillée de sang noire pourtant étoilée .
Je hurlait comme un guerrier éventré ,avec les yeux arrachés mais on ne voyait qu'une merdeuse réclamant une sucette alors je pleurais encore .
J'écris cachée derrière un écran sans affronter le regard des gens .
Je hurle mon art dans les mots ,dans la scène et les couleurs en me déballant dans l'exhibition extrême voir insolente et ceci pour ne pas mourir définitivement mais ma pudeur immense voir trop grande qui cache ma poitrine de femme ,ma flamme à travers une arme qui rougit rejaillit toujours.
Elle fleurit toujours discrètement dans mon être ecorchée vif et totalement Multicolore,le Coeur Vert, et la puissance Orange et Rouge comme une Aurore qui combat la mort.
Aujourd'hui la lumière de mes veines qu'est ma Peinture et mes Couleurs ont séchée mes larmes à jamais .
Un oiseau chante ce matin et je remercie ce Clown punk qu'est Dieu de m'avoir donnée la vie.
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Nébuleuse
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acceptationdesoi · 3 years
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sortir du placard ?
Je vais raconter mon histoire pas du tout originale, de mon "NON COMING OUT". Voilà, j'ai 45 ans, marié avec ma femme depuis plus de 20 ans, avec qui j'ai eu trois magnifiques enfants. Dès mon plus jeune age, j'ai été attiré par les garçons. Je me revoie ado feuilletant le catalogue des "3suisses" et de "la Redoute", en train de mater les beaux corps des hommes dans la section lingerie. Ma famille étant très catholique et pratiquante, l'homosexualité est au mieux, "un choix", au pire une déviance ou une maladie mentale. Donc je ne m'imaginais pas du tout comme étant homosexuel. À l'age de 13 ans, j'ai eu une relation sexuelle avec un autre garçon de ma chambre d'internat. Bien que je ne l'avais pas désiré et souhaité, je l'ai "subi" sans vraiment la subir. Ça m'a beaucoup perturbé à l'époque. Je pense que je n'étais pas prêt. J'ai grandi ensuite sans vraiment connaître l'amour. Je ne sais pas si je suis réellement tombé amoureux de quelqu'un un jour. 0 fille et 1 relation sexuelle non vraiment désiré avec un garçon, pendant mon adolescence. Triste constat. Jeune adulte, j'ai rencontré celle qui allait devenir ma future femme. Ce que j'aime chez elle c'est sa gentillesse, son intelligence, et nous nous entendons super bien. Je ne peux pas dire que je suis "fou amoureux", comme je peux le voir autour de moi, mais il serait pour moi difficile de vivre sans elle. Nous avons l'air de l'extérieur d'un couple solide. Mais ce couple tiens au prix de concessions (comme pour tous les couples qui "tiennent"). J'ai dis assez rapidement à ma femme que j'étais aussi attiré par le corps des garçons. Elle m'a dit que c'était normal d'avoir des "fantasmes", mais que le principe des "fantasmes" étaient qu'ils valaient mieux ne pas les réaliser... Quelques années plus tard, je lui en ai reparlé, en lui disant que ce n'était pas de simples fantasmes, que j'avais vraiment ce désir là, et que je ne pouvais pas l'effacer de moi, que cela faisait partie intégrante de moi. Elle a beaucoup pleurée, mais m'a accepté tel que j'étais. À la seule condition que je "ne passe pas à l'acte". Vis à vis de ma femme, et uniquement de ma femme, je suis un bisexuel ... non pratiquant. Vous vous doutez bien que la situation n'étant pas tenable pour moi, j'ai rompu le "contrat" (très occasionnellement), et j'ai eu des relations sexuelles avec d'autres hommes. Cela me permet d'être vivant ... tout en ayant un fort sentiment d'''imposture". Un imposteur car je ment à ma femme sur mes désirs réels, sur le qui suis-je vraiment ? Un homosexuel ? Un bisexuel ? En fait, ma vie est un choix de "non choix" (assez paradoxal). Je n'ai aimé aucun homme, alors pourquoi devrais-je vouloir m'afficher homo ? C'est sûr que j'ai choisi une vie hétéro-normative pour ne pas avoir à me justifier et vivre en "paix", mais finalement ma vie est faite de remord et est rempli de culpabilité. Cornélien ... je suis dans une impasse. Je me demande si il est possible de vivre toute une vie dans ce "mensonge" ? Merci de m'avoir lu. J'avais besoin d'en parler
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 55
Je me levais tôt le dimanche matin (je n'ai pas besoin de beaucoup de sommeil, ça me fait gagner du temps) et descendais prendre un café. Il me fallut quelques instants, que j ;"émerge vraiment du sommeil, pour réaliser que quelqu'un s'excitait sur les machines de muscu.
Je descendis l'escalier m'attendant à voir Seb et c'est Nicolas que je trouvais en slip, suant sur le banc à développé couché. Alors que j'échangeais mon shorty pour un Jock, je lui dis bonjour et le prévenais qu'il n'était pas dans l'équipement adéquat. Il s'excusa et me dit que n'ayant pas prévu de passer un WE entier chez nous, il n'avait pas de change. Je pris un autre Jock dans l'armoire et le lui jetais sur le ventre en précisant que c'était le seul vêtement autorisé dans cette salle. Il reposa la barre chargée à 60 Kg et se leva pour me dire bonjour et se changer. En discutant de sport, je me suis échauffé et nous avons alterné sur le poste . j'appris qu'il avait fait pas mal d'aviron plus jeune mais que depuis qu'il bossait, c'était devenu plus dur de continuer et qu'il se contentait des WE sport avec ses amis et de baiser régulièrement (pour la souplesse !). Je le félicitais ironiquement sur ses beaux restes à son age (il a quand même 5 ans de plus que moi) ce qui me valu une belle bourrade à l'épaule à la rotation suivante. ;3/4 heure plus tard, nous ôtions la sueur par une bonne douche. Comme Nicolas s'apprêtait à remettre son slip de la veille, je lui dis de prendre plutôt un maillot parmi ceux disponible sur l'étagère à coté des jocks (moi, perso, j'aime pas remettre un slip deux jours de suite !). après deux essais, il se fixa sur un speedo bleu qui lui moulait le paquet comme il faut. Nous sommes remontés à la cuisine et avons discuté tout en buvant un café. Je lui demandais comment il trouvait ça la baise entre mec. Il me dit que c'était encore meilleur que les souvenirs qu'il avait de sa période adolescente, même si, depuis, il avait bien pris son pieds à baiser les meufs. Je lui disais que je préférais les mecs car on sait mieux que la plus pro des meufs ce qui nous fait triquer et triper un max. Je lui dis que ce qu'on avait fait la veille n'était qu'un pâle échantillon de baise entre mecs et que sans sombrer dans des pratiques extrêmes, y'avait encore plus excitant. Il me dit que si c'est le cas, il faudra qu'il essaye !
Marc nous a rejoint vers 9h mais ce n'est qu'à 10h que Seb s'est levé. Entre temps nous avons appris de notre invité quelques uns de ses goûts, surtout sur son approche du sexe. Comme tout bon épicurien, la recherche du plaisir et son obtention ouvre les portes aux expériences insolites. Avec les meufs, il nous a dit en avoir baisé dans le train (et pas couchette), dans un ascenseur et même sur le capot de sa voiture dans son parking souterrain avec le risque de se faire surprendre. Mais il appréciait surtout d'être avec un pote sur la même meuf, ça l'excitait plus encore. Marc lui a fait remarquer que si la présence de mec le faisait bander plus fort quand il baisait une meuf c'est qu'au pire il était bi, au mieux un homo refoulé. Il nous avoue qu'il s'était fait quelques branlettes avec des copains devant des film porno et qu'il les matait des que leurs queues étaient bien raide. Une ou deux fois ils s'étaient échangés leurs mains et que ça les avait fait jouir plus fort encore.
Seb nous dit alors que nous pourrions l'initier aux pratiques du donjon. Devant les yeux interrogateurs de Nicolas, Marc dit Ok pour cet après midi et nous envoya nager car il avait quelques dossiers à étudier. Nous avons passés la fin de matinée dans l'eau à nager, jouer et surtout Seb et moi à refuser de dire à Nicolas ce qui se cachait sous le mot " donjon ".
Brusquement une " bombe " nous est tombée dessus provoquant un tsunami de piscine. Arnaud venait de se joindre à nous ! Alors qu'il tentait de se faufiler entre nous, je l'attrapais par une jambe et le tirais à moi. Sans résistance, il mit ses bras autour de mon cou pour me rouler un patin vorace. Il en veut dès le matin le petit ! je notais qu'il était de moins en moins farouche, s'arrachant de mes bras pour nager vers Seb puis Nicolas et leur dire bonjour pareillement !
Vers midi, Bruno nous a rejoint et nous avons organiser un brunch sur la terrasse. Les conversations dérivaient sur les vacances de chacun, Bruno et Arnaud allant passer 3 semaines en août sur la cote d'azur, Seb, Nicolas et leur groupe d'amis louant 15 jours une villa avec piscine en Espagne sur les hauteurs de Calpé (sur la méditerranée).
Après le café, Marc me dit d'aller préparer Nicolas au sous sol pendant qu'ils se mettraient en scène au donjon. Je fis signe à Nicolas de me suivre et nous sommes aller à la salle de douche. En chemin, je lui expliquais que pour avoir droit d'entrer au donjon, il y avait quelques formalités : lavement, il connaissait de nom mais pas en pratique, toilettage pileux (pas de grands poils sur le torse mais, taillés à 1cm). Il accepta trop intrigué par ce qu'il allait découvrir. Il me fallut bien 20mn pour nous préparer (surtout lui). Le torse taillé, il admit que c'était plus sexy, les couilles rasées de près et le cul propre (il a bien aimé les sensations provoquées par le remplissage de son cul) en tong et Jock, nous avons rejoint les autres.
Je le fais entrer dans le sas. Il y fait noir dès que la porte se referme. J'ouvre le rideau et sous nos yeux, un spot éclaire Bruno en train d'enculer Arnaud menotté en croix contre le mur, un autre dévoile Marc qui se fait sucer par Seb installé sur un sling et un troisième attire le regard sur la selle aménagée d'un gode. Nicolas reste muet le temps d'assimiler ce qu'il voit. Puis, il se tourne vers moi. Je lui propose alors soit de se placer comme Seb ou comme Arnaud à moins qu'il préfère que ce soit moi.
La sodomie active le tentait et je me retrouvais au coté de Seb à téter le noeud de son pote. Il prit vite l'habitude de m'envoyer son gland flirter avec mes amygdales.
Du coté des voisins, Arnaud avait décidé de tester la " selle ". après que Bruno l'ai détaché, il vérifia que le gode mis en place ne dépassait pas ses capacités et sous nos yeux, s'assit doucement dessus. Bien lubrifié par les va et vient de Bruno, il s'est retrouvé rapidement les fesses sur le cuir. Nous 4 avions cessé et avec Bruno, nous l'entourions tous. Il se mit en mouvement, prenant appui sur les étriers, il s'est mis à trotter puis galoper. Nous avions les yeux rivés sur sa rondelle dilatée. Les cuisses brûlantes, il se posa un instant le gode bien carré au fond de son cul. Bruno le souleva et le remis debout. Arnaud, Seb et moi sommes retournés nous installer sur les 3 slings parallèles. Les pieds bien calés dans les lanières et les mains accrochées aux suspentes, nous avons attendu nos enculeurs. Marc montra à Nicolas comment préparer un cul et enkapotés, Marc encula Seb, Nicolas se faisait le cul déjà assouplit d'Arnaud placé au milieu et Bruno venait me perforer l'anus.
De 3 enculeurs, c'était à celui qui la rentrerait le plus profond. Quand aux 3 enculés, les gémissements de plaisirs allaient bon train.
Marc délaissa Seb. Après avoir changé de kpote il se plaça derrière Nicolas et le pliant sur Arnaud, lui enfila sa bite dans le cul. Surpris Nicolas laissa échapper un petit cri mais se laissa pénétrer. Seb, libre, vint se placer à leurs têtes et après quelques passage d'une bouche à l'autre, trouva sa place dans la bouche de Nicolas, les couilles au chaud dans celle d'Arnaud.
Je les aurais bien rejoint mais ne voyant pas de place où me glisser, je suis resté avec Bruno. Nous sommes allés sur les tatamis et je me suis mis à 4 pattes le torse collé au tapis et le cul bien relevé. Bruno s'est accroupit t me la remise bien profonde. Accroché à mes hanches, il s'est achevé, provoquant ma propre éjaculation. Calmés mais pas rassasiés, nous avons rejoint le quatuor qui n'en finissait pas de niquer. Je me collais au dos de Marc et le pris dans mes bras, mes doigts jouant avec ses tétons et ma bouche lui embrassant le cou. Bruno dans le dos de Seb lui enfilait peut être 2 ou 3 doigts. Ça a eu pour effet de le faire jouir, éclaboussant le visage de son pote Nicolas de son sperme. J'ai senti que Nicolas se vidait dans Arnaud et Marc, avec un dernier coup de rein dans le sien. Quand ils se sont redressés, les ventres de Nicolas et Arnaud étaient collant du sperme d'Arnaud. Tout le monde avait pris son plaisir et déversé son trop plein de sperme ! Nicolas apprécia les installations sanitaires du donjon. C'est tout propres que nous avons pu aller nous délasser dans la piscine.
Quand il est parti avec Seb, il dit à Marc que c'était quand on voulait qu'il reviendrait.
JARDINIER
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muslim-flint · 4 years
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DKSBFKDNS gringe qui dit qu'il préfère le cinéma parce que c'est moins douloureux et t'as pascal qui dit "du coup à choisir entre les deux tu garderais le cinéma" et l'autre pute répond............"ouais nan mais je garde la musique parce que j'aime bien morfler aussi" okay edgy homo
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cellobis · 5 years
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Avatar pour un dialogue
...
- Alors là tu m’épates, tu compliques et multiplies. Il te fallait un pluriel, donc nous, les trois Algérois, sorte d'autre trinité pour te répondre à tes incessantes questions, c'est ça ?
- Oui tu as tout compris. Dans mon troisième livre qui devient au moins pour moi un pavé lourd à digérer, j'avais besoin d'un personnage fort avec qui dialoguer au début de mes chapitres.
Il y a ... blabla
Il y a... blabla
Et il y a le maître de lettres, le jeune esthète que je n'ai jamais rencontré si ce n'est par son blog. Il est brillant, il est beau, il est jeune, il est homo, il est poète, et surtout, il écrit comme un Dieu. Et moi, ben, j'aime ce qui brille, ce qui est beau, ce qui est jeune, ce qui est homo, ce qui est poète. Il arrive à me toucher parfois jusqu'aux larmes. Il me fout parfois des claques. Ça me remet les idées en place, j'encaisse, mais un peu maso. j'adore. Ou il me fait la gueule et ne répond plus que par des silences, je dois lui pomper l'air avec mes petites misères, même qu'y en a eu de graves, tu le sais. Dommage, car comme les deux autres, j'aurais bien voulu le regarder dans le fond des yeux aussi le temps d'un café à Paris ou ailleurs, on ne risque vraiment pas grand-chose. Qu'il m'explique pourquoi j'aime tant les garçons, alors que vous deux, les jeunes premiers, vous n'aimez rien que les filles, et me jugez, je le sais malgré vos silences.
Prof. de lettres, il a l'âge de mon quatrième fils qui aussi s'interroge sans cesse. S'ils sont beaux comme des dieux grecs, ils sont particulièrement intelligents. Mais entre un fils et un père il y a des fausses pudeurs qui font que certaines conversations sont impossibles fondamentalement. Comme si la chair de la chair, empêchait la fusion des esprits. Il y a là, du fait de la filiation une inégale égalité même s'il y a beaucoup de respect qu'il n'est pas nécessaire de traduire avec des mots futiles plus pauvres que certains silences. Entre père et fils de sang, il faut inexorablement qu'un jour l'ancien disparaisse, qu'un jour le fils devienne père à son tour pour rétablir la balance transgénérationnelle du temps.
Tandis qu'avec un jeune étranger à la famille, c'est beaucoup plus facile, malgré les fossés que tout sépare, différences d’âge, de culture, d'origines, de races, de lieux de vie, etc... alors tout par un blog, devient congruent, rendant l'impossible possible par échanges de textes qui touchent nos âmes, et d'émotions poétiques qui éveillent nos sens. Tu sais, ils sont nombreux tous ces jeunes, mais lui en particulier. Son écriture est un cran au-dessus de la moyenne et l'inscrit d'ores et déjà dans le registre des grands. Je n'ose imaginer où il va parvenir d'ici quelques années, on en reparlera . Quoi qu'il en soit, sans le savoir, il m'a redonné le goût d'écrire, d'oser se confier. Un blog au début ça n'a l'air de rien, c'est impersonnel et on ose se livrer, puis petit à petit, cela prend de l'importance. Des fans se candidatent comme fidèles followers et adressent critiques et coups de cœur . Ce n'est pas rien ces coups de cœur. Non plus à l’inverse, les silences qui envoient en estocs des coups directs au cœur. On s'attend, on se lit, on se répond, on s'écrit.
Dis-moi, Abder, il y a un truc qui m'échappe. C'est tous les Algériens, c'est tous les Algérois qui sont comme ça ? Vous, tous les trois quand vous me regardez, vous me piquez jusqu'au cœur, pourquoi, explique-moi, step
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lounesdarbois · 5 years
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Vincent somnolait presque en écoutant M*. Ses fautes de syntaxe l’épuisait. 
“Le plus important c'est les hommes qui travaillent pour toi... En fait ce serait intéressant de pouvoir faire qu'il dise qui il va mettre dans le gouvernement... Et si t’as majorité au parlement ? Et ce qui est hyper frustrant c'est que c'est éclaté alors que si tu pouvais faire un petit shopping dans chaque programme bah... si de façon complètement absurde il se retrouvait président ça m'étonnerait pas qu'il inspire confiance de façon complètement intime... moi ce que j'aime bien c'est que c'est un type qui... C'est quelqu'un​ qui ale sens des choses... Au niveau coût du citoyen c'est ce à quoi il a le plus attrait... C'est la référence de ce que tu vois les musées, et ça fait référence à un âge d'or qui est révolu... Par rapport à l'UNESCO... La sensation qu’il exprime est un imaginaire très puissant pour partir...”
Vincent fermait presque les yeux. La mélodie lointaine de Metronomy, l'ivresse contrôlée, les parfums, les lumières douces... Vincent imagina ce qu’il dirait à Clara quand elle arriverait. 
- Nan t'es pas d'accord?
La tête de M* s'imposa à nouveau. Vincent eut un haut-le-cœur. M* vit Vincent froncer les sourcils. Le jour viendrait où par couches de sédimentation successives la grammaire connue n'aurait plus de sens; le rhéteur tortillerait impuissamment des phrases pour expliquer l'horreur à venir sans pouvoir être compris d'auditeurs formés au seul globbish et à une décoction de français restreinte à un créole de 200 mots. Vincent se repassa  mentalement le visage de Macron, de Bergoglio, de Laurent Solly. Des influx rapides lui  passèrent dans les bras ; sans s’en rendre compte il ferma les poings.
 Quelque chose avait changé dans la pièce.C’était la musique.
 - C'est du afrotrap! cria une voix d'homme manifestement efféminée. Trois ou quatre uccloises d'école de commerce commencèrent à onduler méchamment du bassin devant les hommes, opérant des va-et-vient d'expertes en prenant des mines canailles. Cette vision agressa les nerfs agacés de Vincent.
“Du rap tribal tout le monde peut en faire, mais quand c'est Kroblanc et Amalek vous leur jetez la pierre alors que ces crapules de racailles disent cent fois pire depuis 20 ans à chaque album”.
- De quoi? fir M* étonné.
- Moi aussi je veux me racler toutes les glaires et lâcher un mollard... Quelque chose qui sort! Qui sort! Parce que moi ça fait 20 ans que je la boucle pour être poli et on m’ignore, et quand je m’énerve on me bannit, mais quand eux ces mange-merde de racailles qui vous méprisent ils s’énervent, vous Blancs soumis vous leur cirez leurs pompes... Mais qu'est ce que vous y connaissez ? Eh! Eh, passez moi ce micro les bouffonnes!  Et tout en octo -nonasyllabes!
 La voix de Vincent couvrait les scantions du rappeur mais laissait place dans les intervalles au marquage du beat, ainsi les invités purent constater qu'il était bien en rhythme, jamais off beat.
 Esclave heureux dans ton stalag
Qui suce les rax les roms les ricains!
Ton taf d'une vie paiera les bagues
De chaque orteil d'un gros africain!
Cire le cuir de pompes à deux plaques 
Paie l'amende à l'heure bon crétin!
Madame le juge la blanchablak
Enfanteuse de fils de putain
Porte une robe rouge du sang des flaques
De foules de babtous demain du tien!
 Vincent hurlait maintenant par-dessus le morceau d'afrotrap.
 Madame le juge la blanchablak
Enfanteuse de fils de putain
Porte une robe rouge du sang des flaques
De foules de babtous demain du tien!
 Anticipant la stupeur générale jetée par son intervention, Vincent prit l'initiative, et s'effondra littéralement dans le canapé, entre deux types. Son voisin de droite lui tapa sur la cuisse, c'était le type à la voix efféminée.
- C'est vachement punk mec! J'suis fan!
N'y tenant plus, Vincent se tourna vers le fan qui d'abord n'eut de lui que l'haleine d'alcool.
- Ne crois tu pas que les cathos tradis qui font des enfants dès 20 ans dans une société abortive et reprotoxique sont dialectiquement les punks d'aujourd'hui ? Et que Michel Foucault dans Surveiller et Punir exsudait la passion sadomasochiste classique des homos fascinés par l'hétéro viril, qu'en fait ces prisons panoptiques, cet ordre coercitif, le fascinaient? Sais-tu qu’au vingtième siècle toutes les mélodies qui ont connu un succès mondial étaient composées en Angleterre, pays à cette époque le moins métissé du monde ; qu'en conclus-tu sur les conditions nécessaires à l’expression d'un génie musical authentiquement neuf ? Que dans le verbe être, l'accent circonflexe désigne le ciel comme notre vraie patrie d'où nous sommes exilés ici avec tous ces cons? Il désigna d'un revers les cercles humains massés au fond de la pièce.  
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claudehenrion · 2 years
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Pour une feuille d'érable...
 Plusieurs ''lecteurs-amis'' (qui me connaissent plus que mes ''Amis-lecteurs'' !) se souvenant de mes années à la Direction générale du groupe canadien Massey-Ferguson (alors leader mondial des matériels agricoles), me demandent de parler de la ''Marche outawaise'' (on peut dire ''ottaviens''. J'aime moins) des camionneurs en furie contre la folie vaccinale. Deux petits problèmes : cela va bientôt faire 20 ans que je ne suis plus retourné au Canada... et Mathieu Bock-Côté, ce ''MBC'' que j'admire autant que j'admirais Eric Zemmour avant lui, a pris une position que je ne comprends pas, et avant d'être en désaccord avec cette intelligence prodigieuse, j'aurais préféré attendre un peu ! Mais tant pis, ''quand faut y aller, faut y aller'' !
Depuis quelques jours, le monde ébahi découvre un aspect inattendu du peuple canadien qui, jusqu'ici, ressemblait plutôt à une version pacifiée des USA : les mêmes gens, à peu près, mais souriants, polis, j'oserais dire ''civilisés''... On adorait leur accent fleurant bon notre XVII è siècle, on ne comprenait pas la haine anti-française des anglophones (à qui leur ample majorité aurait dû donner calme et sérénité). Et surtout, on se demandait comment ils pouvaient supporter plus de deux minutes un chef d'Etat primaire, primitif et primate comme Julien Trudeau, qui a vraiment tout de l'imbécile parfait. Mais tout est balayé par une marée humaine de ''gilets jaunes fois dix'', que rien, quoi que dise MBC, ne semble pouvoir arrêter.
Car il n’est pas anodin de raconter que ''des camions ont convergé vers la Capitale fédérale qu'ils ont bloquée'' : la notion de ''Truck'' (théoriquement, c'est un camion. En fait, c'est beaucoup plus) couvre outre Atlantique un ''monde'' que la patrie des ''Routiers sont sympa'' ne peut pas comprendre. D'abord, la taille de ces engins, qui ne se déplacent que dans un univers de dinosaures du crétacé supérieur : ils sont à nos plus gros camions ce qu'un Patagotitan mayorum (40 tonnes et 35 m. de long) aurait été à un phacochère. On est dans le ‘’too much’’  et le ‘’pincez-moi, je rêve’’ !
Ce gigantisme a engendré une espèce de ''micro-civilisation'' qui a ses  critères propres, sa conception de la vie et des rapports humains et sociaux, ses modes vestimentaires, son jargon, ses comportements... et une forme de complexe de supériorité, au fond compréhensible : ''mâter'' un monstre de cette taille n'est pas à la portée du premier venu ! Du coup, un ''homo-truck-driver'' (au sens viril du terme) est à un homo sapiens moyen ce qu'un ''biker'' Hells Angels ou Outlaws est à un parfait gentleman, passé par Oxford et Eton et en train de jouer au badminton ! Mais dans un pays où les distances sont ‘’iso-intersidérales’’, leur rôle est encore plus fondamental que ne l'est le transport routier chez nous. Il n'y a qu'en Australie que j'ai croisé des convois comparables à ceux du Canada, des monstres de 400 m de long, dits ''body and six'' (= un tracteur et 6 remorques !). En voir un est déjà une expérience dont on se souvient... or eux, ils les font obéir ! Et c'est cette ''race'' -là d'hommes que Trudeau, avec toutes ses mesures imbéciles d'apprenti tyranneau progressouillard, a réussi à se mettre à dos ! Bravo ou Bingo, au choix ! De notre côté de l'Atlantique, on rigole devant le ridicule de ce ‘’chef’’ contraint de se faire exfiltrer vers un lieu secret par les ''Mounties'', mais c’était plus prudent, plus sage. 
Les médias français, embourbés dans leur obéissance subordonnée au plus léger froncement de sourcil du pouvoir (il faut se souvenir que, lors du G8 de Taormine, Trudeau et Macron s'étaient découverts ''appartenant à la même race''... ce qui explique beaucoup de choses !), ont tout de même relayé un peu la nouvelle, en minimisant son ampleur : ''ce mouvement ne représente qu’une faible tranche d’une population marginale, tant l’ensemble des mesures covido-sanitaires semblent acceptées par tous'' (ils auraient mieux fait de se taire : 44 % des canadiens vaccinés soutiennent les Truckers en colère... que les journalistes n’ont pas hésité à assimiler à des suprémacistes blancs racistes néo-nazis mangeurs de noirs et d'enfants, communistes, etc..  (Le jargon habituel, quoi. Vous pouvez extrapoler !). Malheureusement, ce discours, habituel dans notre univers en voie d'asservissement où il passe inaperçu, a mal survécu à la collision avec les images qui circulent sur les réseaux sociaux : une ambiance bon enfant, des foules denses, des familles souriantes et des gens qui échangent embrassades et nourriture.
La consternation –logique– qui a suivi cette constatation ne s’est guère calmée lorsque le Premier ministre canadien, Justin Trudeau a discrètement pris la fuite et déclaré un petit Covid bien commode pour se mettre en quarantaine au secret, loin de l’agitation camionneuse. Il n'a réapparu devant la presse qu'après plusieurs jours... qui lui ont manifestement été nécessaires pour pondre un discours qui, loin d'apaiser les tensions, en a remis une bonne couche : au lieu d'esquisser un débat sur la fin des obligations et des restrictions destinées (?) à lutter (?) contre une pandémie dont tout indique qu’elle touche à sa fin, il a choisi la voie douteuse d’un bon jet d’huile sur le feu, en assimilant, à la suite des médias aussi bêtes que lui, les camionneurs (qui ne demandaient que ''la fin de l’obligation vaccinale et des restrictions sanitaires'') à des ''mâles blancs, racistes, sexistes et trans-phobes'' (ce qu'ils sont sans le moindre doute possible, dans leur culture, leur virilité et leur imaginaire... sauf que pour eux, il s’agit à la fois de leur honneur et de leur fierté !).
Trudeau s’est généreusement ridiculisé avec ce discours, d’autant qu'une majorité de canadiens (54 %) partagent les idées des camionneurs. La ''petite minorité'' que s'entête à croire voir le clown progressiste au pouvoir est en fait une majorité de plus en plus solide qui supportera de moins en moins de se faire insulter : d’autres villes canadiennes (Québec, Toronto,  Winnipeg...) vivent aussi des blocages routiers (même un peu plus ''light''), et l’Alberta (1,25 fois la France !) envisage de dynamiter toutes les restrictions sanitaires, passe compris... pendant que la presse et des officines gouvernementales continuent de présenter ces mouvements comme autant de petits prurits de minoritaires irréductibles, contre lesquels il serait envisagé de répondre avec l'armée : les forces de police semblent vraiment débordées et très peu suivies par la population. Même si cette extrémité semble impossible en l'état, le seul fait qu'elle ait été évoquée en dit long sur Trudeau et ses progressistes, qui rêveraient qu'on les croie démocrates (Rappel : ces deux mots sont incompatibles, par définition, n'en déplaise à notre iso-Trudeau à nous !).
Pour les progressistes, là-bas comme ici, la démocratie et l’expression populaire sont acceptables tant qu’elles suivent les dadas des gouvernants... qui sont même prêts à fermer les yeux sur de ''légers débordements'' (lire : émeutes, pillages, incendies criminels) tant que les revendications des casseurs sont ''dans leur bon sens''. Nous autres, français, sommes payés (ou plutôt : ''rackettés'' !) pour savoir que le Pouvoir progressiste est prêt à expliquer que pillages et violences sont des ''manifestations légitimes et globalement pacifiques'', et que la presse se fouillera pour trouver des groupuscules fascistes et des exactions abominables (brandir un drapeau, par exemple !) justifiant la répression la plus ferme – quitte à rappeler parfois les méthodes de régimes totalitaires : il ne faut jamais oublier ni pardonner l'insupportable violence d'Etat déchaînée par Valls contre ''la Manif pour tous'' !
Si vous appartenez a un clan dont les revendications déplaisent au pouvoir en place et aux médias qu’il subventionne, tous les coups seront permis contre vous, et l’écrasement de vos protestations ne fera pas rougir les grands défenseurs de la démocratie et des droits fondamentaux. Du reste, les forces de police, jusque là chargées de protéger le citoyen des racailles, ressemblent de plus en plus à une Garde prétorienne. Cette mue, visible dans l’attirail, les moyens, les tactiques et la couleur (du bleu au noir), ne doit rien au hasard : pour faire passer des réformes, des contraintes et des politiques publiques de plus en plus impopulaires, le peuple est un frein, et la répression violente est assumée (mot très à la mode à l’Elysée).
La démocratie dont se gargarisent politiciens et médias n’existe plus depuis un bon moment et à mesure que les manifestations se font plus nombreuses et que les mouvements populaires gagnent du terrain, on sent poindre des envies de répression de plus en plus fermes. Jusqu'où ? Les ''complotistes'', les ''emmerdés'', les ''conservateurs'', les ''populistes'', les catholiques, et les vrais démocrates ''à l'ancienne'' en ont une idée assez précise qui s'appelle : l'expérience, et elle est douloureuse ! ''Camionneurs de tous pays, unissez-vous''... il n’est pas trop tard ! Alors... La suite ? Bien malin qui peut le dire. La logique voudrait que Trudeau dise une phrase qui lui sauverait la face et qu’il retire ses inepties. Mais il est si bête...
H-Cl
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gangoffourcheeses · 7 years
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!
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