Tumgik
#liberté de réunion
jesanson · 2 years
Text
La reconnaissance des libertés par le droit constitutionnel
La reconnaissance des libertés par le droit constitutionnel
Le droit constitutionnel correspond à la reconnaissance, l’encadrement et l’affirmation des libertés et droits fondamentaux aux citoyens. La reconnaissance par les textes de droits et libertés fondamentaux aux citoyens Les droits et libertés fondamentaux garantis par le droit constitutionnel Le droit constitutionnel est une forme d’expression de la liberté. Le Doyen Mirkine-Guetzevitch de la…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
the-bibrarian · 1 year
Link
Hi! This is a very important petition against a uniquely brutal anti-riot squad. Only french citizens can sign it, but if it reaches 100,000 signatures our assembly has to examine it, and it already has more than 87,000!
Even if you can’t sign it, can you reblog this so it reaches as many french people as possible on tumblr dot com the website and app?? 
238 notes · View notes
lisaalmeida · 3 months
Text
Poème :
′′ Ce n'est rien de ton corps ′′
Jaime Sabines
Ce n'est rien de ton corps,
Ni ta peau, ni tes yeux, ni ton ventre,
Ni cet endroit secret que nous connaissons tous les deux,
Fosse de notre mort, fin de notre enterrement.
Ce n'est pas ta bouche-bouche
qui est comme ton sexe -,
ni la réunion exacte de tes seins,
Ni ton dos doux et doux,
Ni ton nombril, où je bois.
Ce ne sont pas tes cuisses dures comme le jour,
Ni tes genoux d'ivoire au feu,
Ni tes petits pieds sanglants,
Ni ton odeur, ni tes cheveux.
Ce n'est pas ton regard - c'est quoi un regard ?-
Triste lumière égarée, paix sans maître,
ni l'album de ton oreille, ni tes voix,
Ni les cernes qui te laissent dormir.
Ni ta langue de vipère non plus,
flèche de guêpes dans l'air aveugle,
ni l'humidité chaude de ton étouffement
qui tient ton baiser.
Ce n'est rien de ton corps,
Pas de brin, pas de pétale,
Pas une goutte, pas un gramme, pas un instant :
C ' est juste cet endroit où tu étais,
ces mes bras têtus.
Jaime Sabines (25 mars 1926-19 Mars 1999)
Il était un poète et politicien mexicain reconnu comme l'un des grands poètes mexicains du XXe siècle.
Peinture :
Belarmino Miranda Montoya - De la série Manantial, 2005
Huile sur toile, 110 x 150 cm
Belarmino Miranda Montoya, né à Medellin (Colombie) 1966
′′ Amoureux de l'AMOUR, je pense que je suis un peintre fidèle à l'amour pour la femme ; je veux juste exprimer la beauté de son corps, à l'intérieur d'un fort mais très pur érotisme, sans aucune occultation, de femmes qui sont des emblèmes de la perfection physique, des corps qui crient, livrent, approximation, femmes qui s'imposent.
Je peins l'amour qui n'a pas peur de révéler quoi que ce soit, parce qu'il donne, mais toujours avec un grand humanisme, hautement signifiant, toujours de la main de maîtres anciens et toujours amoureux des femmes hautement poétiques qui irradient beauté, joie et beaucoup d'érotisme ′′
′′ Un artiste ordinaire se contente de son œuvre. Un artiste extraordinaire ne trouve jamais la perfection, il y a toujours autre chose à ajouter, à chercher, un coup de pinceau de plus, une note de plus, une ligne de plus.
La beauté d'une œuvre d'art est dans l'œil de l'observateur. L ' art est dans l'essence de tout être humain, les uns pour le créer et les autres pour l'admirer."
Source : SABINES, JAIME. <<Poèmes en liberté>>. Alliance éditoriale
Tumblr media
21 notes · View notes
fashionbooksmilano · 11 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Man Ray et la mode
RMN, Paris 2019, 248 pages, 19.8 x 27.8 cm, ISBN 978-2711874309
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Cet ouvrage est publié à l'ocasion de l'exposition "Man Ray et la mode" organisé par la Ville de Marseille et la Réunion des musées nationaux - Grand Palais
C'est en 1922, alors qu'il vient d'arriver à Paris, que Man Ray fait ses premiers pas dans la photographie de mode. Il réalise alors de nombreux portraits de figures marquantes d'un milieu parisien mêlant membres de la a colonie américaine, représentants de la bonne société, artistes, écrivains... Il bénéficie assez vite de commandes dans le domaine de la publicité et de la mode en raison de son style aisément identifiable, celui du groupe surréaliste, qui joue à merveille du scandale et de la provocation. Son travail parfaitement maîtrisé, tempéré par un classicisme de bon ton, pimenté par un érotisme lisse génère des images pleinement assimilables par ses commanditaires. Au tournant des années 1930, Man Ray évolue vers un style plus spontané, conforme à l'évolution du modèle féminin que des artifices techniques - solarisation, inversion négative, découpage, superpositions - mettent brillamment en valeur. Les années passées sous contrat avec le magazine américain Harper's Bazaar (1934-1939) consacrent la liberté technique et formelle du photographe et marquent son apogée dans ce domaine. A travers le regard d'un artiste, peintre et photographe, c'est aussi les relations entre la mode de toute une époque, celle de l'entre-deux-guerres, et sa représentation qui sont ici mises en lumière.
02/07/23
orders to:     [email protected]
ordini a:        [email protected]
twitter:@fashionbooksmi
instagram:         fashionbooksmilano
                         designbooksmilano
tumblr:               fashionbooksmilano
                         designbooksmilano
24 notes · View notes
albad · 1 month
Text
Tumblr media
FAIRE MONTER LES NÉONAZIS POUR AFFAIBLIR LES FASCISTES ? LA STRATÉGIE BRILLANTE DU MACRONISME
«Face au RN, on essaye de faire monter Marion Maréchal. On la considère, on fait des débats avec elle.» Ce sont les propos hallucinants tenus par un Ministre de Macron dans le journal Libération.
Celui ci explique tranquillement que le gouvernement assume désormais de faire monter le parti fasciste Reconquête pour «affaiblir » le Rassemblement National et « limiter la casse aux européennes ».
Les managers cyniques et autoritaires qui nous gouvernent ont fait depuis longtemps le pari du fascisme. Plutôt que d'opposer à la famille Le Pen une véritable campagne anti-raciste ou sociale, c'est à dire la seule façon réaliste de contrer les idées d'extrême droite, ils privilégient un parti encore plus extrême, dont le dirigeant, pétainiste assumé, a été condamné à plusieurs reprises pour des provocations à la haine raciale répétées.
Pour rappel, la stratégie des macronistes avait déjà été utilisée dans les années 1980 par le Parti Socialiste. A l'époque, le projet du gouvernement Mitterrand était de faire monter le FN pour « affaiblir » la droite classique, celle de Chirac et du RPR.
François Mitterrand, président socialiste, avait alors demandé à la chaîne Antenne 2 de donner la parole à Jean-Marie Le Pen, que personne ne connaissait, pour «diviser» la droite. En 1981, le Front National comptait moins de 300 adhérents et recueille 0,18% des suffrages. En 1988, après sa médiatisation massive, Jean-Marie Le Pen faisait 14,38% des voix. La classe politique, et le Parti Socialiste en particulier, portent une écrasante responsabilité dans cette escalade.
Le FN avait été créé le 5 octobre 1972, lors d’une réunion privée qui n'avait réuni que 70 personnes. Ce n'était qu’un obscur groupuscule composé de quelques dizaines de membres. Un parti confidentiel réunissant des néo-nazis, d’anciens collaborationnistes, des SS, des colonialistes et des criminels de guerre. Le parti fasciste n'a dû sa fulgurante ascension qu'aux trahisons répétées de la gauche qui ont écœuré le prolétariat, à sa médiatisation complaisante outrancière, et au soutien assumé d'une grande partie des milliardaires et des médias français.
Faire monter l'extrême droite pour «affaiblir » la droite, puis aujourd'hui faire monter des néo-nazis pour affaiblir des fascistes est non seulement une stratégie abjecte moralement, mais aussi criminelle, puisqu'elle ne profite qu'à l'extrême droite. Depuis les années 1980, la classe politique n'a pas cessé de se droitiser, en calquant ses propos et ses idées sur ceux de Le Pen. Des dizaines de lois sécuritaires et anti-immigrés ont été votées. La droite n'a pas été « divisée » par la manœuvre de Mitterand, elle s'est radicalisée, puis a conquis tout le champ politique.
Lorsqu’il était président, Nicolas Sarkozy était conseillé par l’idéologue fasciste Patrick Buisson. Plus tard, le politicien d’extrême droite Paul-Marie Coûteaux rédigera les discours de Fillon. A présent, Macron ne cache plus ses liens avec Zemmour et ses références au pétainisme. Et le RN est électoralement le premier parti de France.
Et le plus fou dans tout cela ? Ceux qui choisissent de faire « monter » Reconquête sont les mêmes qui diffament à longueur de journée la gauche, qui qualifient la France Insoumise, premier mouvement d'opposition de France, d'être « anti-républicain », « antisémite » voire « terroriste », et qui répriment implacablement toutes les voix réclamant la justice sociale, la liberté et l'égalité. Le centre-gauche est désormais qualifié « d'extrémiste » alors que les héritiers de Pétain sont des interlocuteurs validés par le gouvernement.
Nous sommes à la veille du fascisme, et les responsabilités écrasantes de la classe dirigeante et de leurs médias aux ordres ne devra pas être oubliée dans la catastrophe qui s'installe déjà.
---
Source : https://www.liberation.fr/politique/contre-le-rn-la-macronie-veut-faire-monter-marion-marechal-20240429_T5WBJLZ5IJDKFC3IFZ2ZS4ECVU/?redirected=1
4 notes · View notes
Text
Duodi 2 Germinal an CCXXXII
(Jeudi 21 mars 2024 / Thursday, March, 21, 2024)
🇨🇵 Texte en français et en anglais / Text in French and English 🇬🇧/🇺🇲
Tumblr media Tumblr media
Le calendrier républicain, adopté pendant la Révolution française, était une tentative de rompre avec le passé monarchique et catholique en instaurant un système de mesure du temps basé sur les valeurs républicaines et agricoles. Chaque jour du calendrier républicain était dédié à une plante, un animal, un outil ou un événement symbolique, reflétant ainsi les idéaux de la Révolution.
Le mois de Germinal dans le calendrier républicain français représente le renouveau et la vitalité de la nature au printemps. Du 20 mars au 19 avril, Germinal est le mois où la terre se réveille de son sommeil hivernal, où les bourgeons éclosent et où les premières fleurs colorent les paysages. Il incarne le début de la saison des semailles et le travail de la terre, symbolisant ainsi l'espoir et la promesse d'une nouvelle récolte. Germinal rappelle également les idéaux républicains de liberté, d'égalité et de fraternité, en invitant chacun à contribuer à l'essor de la société et à cultiver un avenir meilleur.
Dans le calendrier républicain français, le 2 Germinal est une date particulière dédiée à la célébration du platane, un arbre emblématique au sein de la nature et de l'histoire. Cette journée revêt une signification profonde, non seulement en raison de l'importance écologique du platane, mais aussi de son lien avec les idéaux révolutionnaires qui ont façonné la France moderne.
Le choix du platane pour le 2 Germinal n'est pas anodin. Cet arbre majestueux incarne des qualités qui résonnent avec les idéaux révolutionnaires. Tout comme la Révolution a apporté un renouveau radical en France, le platane symbolise la renaissance et la croissance. Son tronc robuste représente la stabilité et la résilience, tandis que ses feuilles larges offrent une protection et une ombre généreuse à tous ceux qui en ont besoin.
Pendant la Révolution française, les platanes ont souvent été témoins des événements historiques. Leurs branches ombragées ont abrité des réunions secrètes, des débats animés et des rassemblements populaires. Les révolutionnaires, cherchant refuge sous les frondaisons des platanes, ont discuté de liberté, de justice et de l'avenir de la nation. Ainsi, le platane est devenu un témoin silencieux mais puissant de l'aspiration du peuple français à une société plus égalitaire et juste.
Aujourd'hui, la célébration du platane le 2 Germinal dans le calendrier républicain français rappelle l'héritage de la Révolution et l'importance de préserver notre environnement naturel. Les platanes, avec leur beauté et leur utilité écologique, continuent d'enrichir nos villes et nos paysages. Il est crucial de protéger ces arbres remarquables en veillant à leur entretien et à leur conservation, perpétuant ainsi le lien entre passé révolutionnaire et présent écologique.
En conclusion, la journée du 2 Germinal dans le calendrier républicain français offre l'occasion de réfléchir aux liens entre la nature, l'histoire et les idéaux républicains. En honorant le platane, nous rendons hommage aux révolutionnaires qui ont façonné notre nation tout en nous engageant à protéger notre environnement pour les générations futures.
***
The Republican calendar, adopted during the French Revolution, was an attempt to break with the monarchical and Catholic past by establishing a system of time measurement based on republican and agricultural values. Each day of the Republican calendar was dedicated to a plant, an animal, a tool, or a symbolic event, thus reflecting the ideals of the Revolution.
The month of Germinal in the French Republican calendar represents the renewal and vitality of nature in spring. From March 20 to April 19, Germinal is the month when the earth awakens from its winter slumber, when buds open, and when the first flowers color the landscapes. It embodies the beginning of the sowing season and the work of the land, symbolizing hope and the promise of a new harvest. Germinal also recalls the republican ideals of liberty, equality, and fraternity, inviting everyone to contribute to the development of society and to cultivate a better future.
In the French Republican calendar, the 2nd of Germinal is a special date dedicated to the celebration of the plane tree, an emblematic tree within nature and history. This day holds profound significance not only due to the ecological importance of the plane tree but also its connection with the revolutionary ideals that shaped modern France.
The choice of the plane tree for the 2nd of Germinal is not arbitrary. This majestic tree embodies qualities that resonate with revolutionary ideals. Just as the Revolution brought about radical renewal in France, the plane tree symbolizes rebirth and growth. Its sturdy trunk represents stability and resilience, while its broad leaves provide protection and generous shade to all in need.
During the French Revolution, plane trees often bore witness to historical events. Their shaded branches sheltered secret meetings, lively debates, and popular gatherings. Revolutionaries, seeking refuge beneath the plane tree's canopy, discussed freedom, justice, and the nation's future. Thus, the plane tree became a silent yet powerful witness to the French people's aspiration for a more egalitarian and just society.
Today, the celebration of the plane tree on the 2nd of Germinal in the French Republican calendar recalls the legacy of the Revolution and underscores the importance of preserving our natural environment. Plane trees, with their beauty and ecological utility, continue to enrich our cities and landscapes. It is crucial to protect these remarkable trees by ensuring their maintenance and conservation, thereby perpetuating the link between the revolutionary past and the ecological present.
In conclusion, the day of the 2nd of Germinal in the French Republican calendar provides an opportunity to reflect on the connections between nature, history, and republican ideals. By honoring the plane tree, we pay tribute to the revolutionaries who shaped our nation while committing ourselves to protect our environment for future generations.
3 notes · View notes
frenchfatadmirer · 3 months
Text
Je crois que ce qui me pose le plus de problèmes (à titre personnel, pas de kink shaming) avec le death feedism, c'est que je vois le feedism comme une pulsion de vie. Un élan de joie. Certes, il pousse presque inévitablement à l'excès, mais l'excès n'est pas forcément un saut vers l'abîme.
Le feedism, c'est la gourmandise. Je fais ce post en français parce que malheureusement l'anglais n'a pas d'équivalent précis pour ce joli mot. La gourmandise, c'est le plaisir jouisseur de la bonne chère, sans le travers de l'avidité. C'est une tentation mutine, un pas de côté un peu osé. C'est le frisson galvanisant d'un pantalon dans lequel on ne rentre plus, l'exaltation de nouvelles vergetures. C'est une accumulation de petits riens, une transgression délectable, d'autant plus que pour le commun des mortels elle est complètement décorrélée de la puissance sexuelle qu'elle représente pour ses adeptes.
Et puis c'est le goût pour le goût, le plaisir assumé pour la nourriture. La réunion des plaisirs de la chair et de la chère, leur intrication profonde. Manger d'abord pour manger, savourer, se donner le temps et la liberté de s'adonner à un plaisir décrié par la culture du régime. Mais aussi manger pour grossir, grossir pour grossir. Accepter de prendre plus de place. S'étendre. Ici l'anglais est plus pratique : combien de jeux de mots sur l'ambiguïté de "personal growth". Et bien sûr, manger et grossir pour assouvir un désir sexuel, profond, inconnu, primitif, comme imprimé en nous-mêmes, dans notre propre préhistoire : une préhistoire intime, psycho-sexuelle, personnelle, qui varie selon chacun de nous, mais aussi un besoin à la fois si simple et si entier qu'il paraît provenir des prémices de l'espèce humaine elle-même : survivre par l'alimentation et la reproduction de l'espèce. Choisir la fertilité, le plein, le rond. La synthèse étrange et pourtant si logique qu'opère notre fétichisme entre la sexualité et la nourriture rappellent que dans l'Antiquité gréco-romaine, les plaisirs n'étaient pas partitionnés comme ils le sont aujourd'hui. On parle souvent du fait qu'il n'y avait pas d'homosexualité dans la Grèce et la Rome antique, malgré la quantité de comportements que l'on qualifierait aujourd'hui d'homosexuels. C'est tout simplement parce que le concept de sexualité n'existait pas : ce plaisir n'était pas distinct des autres. Le feedism, c'est en quelque sorte la refondation fétichiste de l'idéal hédoniste. Le syncrétisme des tordus qui s'invite au symposion.
C'est une perte de contrôle revendiquée, parfois un manifeste : mais je préfère quand elle reste une force de vie, un cri de liberté qui enjoint à faire fi des convenances, des injonctions à la fois à la mesure, à la minceur et à la productivité, pour revendiquer un droit au plaisir qui sort de la morale de notre époque qui instaure un contrôle des corps à l'aune de l'exigence de rentabilité, plutôt que quand le feedism devient l'allégorie de l'hubris humain, où la gourmandise pécheresse atteindrait des sommets qui se trouveraient punis dans la maladie ou la mort.
Ce ne sont que des vues personnelles ; je sais bien que les gens qui choisissent le death feedism ne sont pas responsables de la couleur plus sombre que prennent leurs désirs, même si le feedism fait parfois des rares fétichismes à se vivre presque systématiquement comme un mode de vie.
Sur ce, continuez tous à vous gaver, ça vous va bien ;)
4 notes · View notes
lesgenouxdanslegif · 8 months
Text
IL Y AURA QUOI DANS POINT DE COTE 5 ?
C’est la question à 1 million.
• Une préface signée Anne-Lise Rousset Séguret. Assez logique avec la salade de cailloux en couverture.
• ENVERS ET COINTRE TOUT : un grand papier pour un petit gars avec un cœur gros comme ça. Cyril Cointre a vécu des millions de trucs et nous raconte tout.
• LA LIBERTÉ AU BOUT DES PIEDS : certains détenus ont eu le droit de courir le Grand Raid de La Réunion. Enquête sur un programme qui redonne goût à la vie.
• GESTE TECHNIQUE : les 10 commandements pour réaliser une belle entorse de la cheville.
• METS LA COCO ET ON DÉMARRE : Corinne Favre n’a pas sa langue dans sa poche et tant mieux, c’est terriblement rafraîchissant.
• CLASHER DANS LA SOUPE : l’article coup de poing, celui qui fait bobo à son ego.
• OBSESSIONS : nos 21 obsessions de l’année, nos 21 raisons de vivre.
• DE QUELLE COULEUR EST LA COMPRESSION BLANCHE DE KILIAN ? : plongée terrifiante dans ce qui a certainement été le pire de notre sport : la compression blanche.
• MADAME PROPRE : Odile Baudrier, lanceuse d’alerte au sujet du dopage. Une femme courageuse pour un sujet passionnant.
• PLUS QUE LA DESCENTE ! : les bénévoles, on vous aime énormément. Et parfois un peu moins. Portraits robots de personnes qu’on voit le dimanche matin.
• SANCHEZ, TOUJOURS DEBOUT : on se lève et on applaudit bien fort Aurélien Sanchez, premier Français à terminer la Barkley. Spoiler : il nous a fait rêver.
• ANTON KRUPICKA N’EXISTE PAS : on ne peut pas en dire plus.
• L’OLMO SAPIENS : Marco Olmo existe lui bel et bien. On a enquêté sur ce personnage légendaire.
• JOUER SUR LES DEUX TABLEAUX : des tableaux célèbres et nos cerveaux malades. Inutile d’en dire plus.
• Y’A RIEN QUI VA : des coureurs dans la galère = le truc le plus beau du sport le plus stylé de l’univers.
Dispo en pré-commande jusqu’au 15 octobre.
Tumblr media
4 notes · View notes
bonheurportatif · 1 year
Text
Quelques trucs bien en janvier
1er janvier Boulotter un sachet de bonbons tout en conduisant Lire de l'espagnol Démêler les cheveux de sa fille
Tumblr media
2 janvier Créer un doc unique à partir des vieux trucs bien 2022 Acheter d'occase, à deux pas de chez soi, pile la tête de lit que nous voulions Acheter une nouvelle scie sauteuse et s'en servir de suite 3 janvier Être libéré de son intervention scolaire plus tôt que prévu Faire une sieste Aller au cinéma pour la première fois depuis longtemps 4 janvier Contacter sans traîner le service après-vente et obtenir une réponse satisfaisante Bien avancer sur le gros travail du moment Revoir Liberté-Oléron 5 janvier Avoir le temps d'un petit croissant avant la première réunion de la journée Recevoir les vœux du Colonel Moutarde Voir le magnifique Godland de Pàlmason 6 janvier Boucler l'écriture d'une "balade sonore" S'épargner un aller-retour sur l'île Être franc sur l'inconfort d'une décision que l'on nous demande de prendre 7 janvier Préparer sa célèbre salade d'endives/cerneaux de noix/raisins blonds/fourme d'ambert S’acquitter fissa de la visite au salon d’orientation Cuisiner son célèbre chili sin carne con tofu 8 janvier Prestement évacuer la corvée de la galette Voir coup sur coup deux renards dans les phares de la voiture Voir les nuages jouer avec la pleine lune
Tumblr media
9 janvier Écouter tomber les grains Jongler pas trop mal avec plein de tâches différentes Trimballer partout son bouquin du moment pour ne rien perdre de sa lecture 10 janvier Noter une nouvelle idée (un truc avec un jeu de cartes) Rédiger un texte sur demande pour un site que l'on aime bien Aller en famille au cinéma 11 janvier Bricoler, plutôt efficacement Récupérer ses nouvelles affiches Recevoir quelques mails sympathiques, dans le flux habituel des mails chiants 12 janvier Faire rentrer la journée au chausse-pied, mais la faire rentrer Boulotter des petites tartines roquefort/crème d'asperges/tomates S'accorder sur la bonne ampoule pour le bon éclairage 13 janvier Rentrer par la plage Découvrir le plus beau planisphère de la ville Commander un livre prétendument indisponible
Tumblr media
14 janvier Écouter Pascal Comelade dans la voiture avec sa fille Trouver le temps de lire, et de courir Dîner chez de vieux amis 15 janvier Bouquiner toute la matinée Récupérer un gros bahut pour la cuisine Entendre la tempête enfler tandis qu'on se met au lit 16 janvier Recevoir une carte postale de vœux de James Bond Sortir plus tôt de l'atelier Dîner tôt, et profiter d'une plus longue soirée 17 janvier Désolidariser le plateau du bahut d'un trait de scie bien ajusté Regarder sauter les milliers de petits grêlons sur les tuiles de la maison d'en face Mini-binger la nouvelle série sur le sexe dans l'art sur Arte 18 janvier Écouter une chanson en croate Écouter un poème en pachto Écouter un dialogue en russe et en cantonais 19 janvier Se réveiller sans réveil Supprimer plus de 1 300 mails, et réorganiser sa messagerie Rénover le bahut de la cuisine 20 janvier Dégivrer le pare-brise en faisant couler doucement de l'eau dessus Se voir entrer dans le brouillard Démarrer ultra-facilement un feu 21 janvier Fabriquer un ensemble d'étagères de cuisine Écouter un poème en mongol Écouter un poème en malgache 22 janvier Fixer en deux temps trois mouvements une petite console murale Rouler à travers champs dans les lumières pâles d'un soleil pâle Marcher chaudement couvert dans la nuit froide 23 janvier Commencer la journée en prenant le temps d'un peu de lecture S'octroyer un même temps de lecture après le déjeuner, avant de retourner à sa tâche Reprendre sa lecture en fin de soirée.
Tumblr media
24 janvier Faire une sieste crapuleuse Passer à la librairie Être accueilli par des félicitations, sans d'abord savoir pour quoi 25 janvier Venir à bout de la longue liste d'articles à écrire Retrouver le temps d'un peu de sport Écouter le nouveau morceau de guitare que sa fille s'est appris à jouer 26 janvier Saisir une centaine de nouveaux secrets avec les étudiants Visiter mes librairies Apprendre qu'un événement auquel on ne souhaitait pas trop participer ne va finalement pas se tenir 27 janvier Ne pas travailler aujourd'hui Résister à l'achat d'une saloperie à la supérette Avoir un fou rire familial devant un film 28 janvier Sentir au matin que les jours ralongissent Faire un échange de prisonniers sur l'aire de covoiturage Nettoyer la vitre de l'insert
Tumblr media
29 janvier Expédier les grands-mères aussitôt après le café Discuter d'adulte à adulte avec sa plus jeune nièce Voir le cul blanc d'un bambi s'échapper dans la forêt 30 janvier Ne pas lutter contre la sieste Passer la serpillière sur un sol collant Se gaver de tartinades 31 janvier Bouiner sur le net Raconter l'histoire du chien-karaté Profiter d'un peu de temps pour fouiller dans les vieux projets
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
10 notes · View notes
if-you-fan-a-fire · 10 months
Text
Tumblr media
"Accusé d'avoir incité des ouvriers à la grève," La Patrie. July 25, 1943. Page 43. --- Accusé d'avoir encouragé les ouvriers de la Canadian Vickers à faire la grève et de les avoir incités à la continuer. David Côté, un jeune homme d'environ 35 ans, a comparu, ce matin, devant le juge Edouard Tellier qui a fixé l'enquête de l'inculpé au 27 juillet prochain en le remettant en liberté moyennant un cautionnement de $950. ---- Côté fut appréhendé, hier soir par la gendarmerie royale lors d'une radio réunion des ouvriers de l'United Shipyards, à l'Assistance publique. L'arrestation fut pratiquée tellement discrètement que les amis de Côté ne s'aperçurent de sa disparition que lorsque vint le moment d'entendre le discours qu'il devait prononcer en public. Des agents de la R.C.M.P. se seraient approchés de lui, puis l'auraient invité à les suivre sans éveiller l'attention. Me Auguste Mathieu occupe pour la poursuite.
Voici maintenant les autres comparutions, de moindre importance. devant le juge Tellier, ce matin.
André Patrice, inculpé de faux prétexte, subira son enquête le 27.
M. Fitzpatrick, accusé d'avoir fait un faux chèque, s'est avoué coupable. Sentence le 29.
Albert Trudeau, inculpé de vente de liqueurs alcooliques, aura son procès le 6 août. Trudeau déclare qu'il n'a jamais vendu de boisson de sa vie mais que lors de son arrestation, il était avec des amis dans une taverne. Comme ils ne pouvaient plus obtenir de bière. Trudeau alla en chercher deux bouteilles chez-lui. L'un de ses compagnons, pour le dédommager, déposa alors sur la table une pièce de 30 sous, d'où l'arrestation pour vente de spiritueux.
André Pinel, sans domicile connu, s'est avoué coupable d'avoir volé un clavgraphe d'une valeur de $45. Sentence le 29. Pinel passera trois jours à la Sûreté.
M. Jones, inculpé d'avoir volé un et une somme d'argent de $12, a plaidé non culpabilité. Enquête le 27 et caution de $500.
1 note · View note
claudehenrion · 1 year
Text
Ad-mi-nis-trés - ( II ) : l'erreur de la sur-administration
  Tout problème peut être étudié sous plusieurs angles, qui vont permettre d'en faire évoluer la perception, donc les solutions possibles, et une Administration, fut-elle triomphante, mortifère, ou les deux à la fois, ne fait pas exception. Dans sa grande mansuétude, elle nous permet (encore. Mais jusqu'à quand ?) de parler des études théoriques qui ont été menées sur les raisons de son existence et de sa domination absolue sur les citoyens et la tyrannie de fait, plus ou moins ‘’soft’’, qui en découle.
Vivre à longueur d’année dans un pays sur-administré permet, à défaut de justifier le ‘’pourquoi’’ de la chose, de réaliser que la devise nationale est :‘’Rien ne doit être simple et tout doit être compliqué’’. Les étrangers ont créé un mot pour parler de nous : l’Absurdie, destination touristique ''improbable''' qui attire donc autant qu'elle repousse.  Et il est vrai que, vu de Sirius ou d'Alpha-du-Centaure, nous le rappelions hier, si on appelle “démocratie” le trognon de liberté révocable ''ad nutum'' et conditionnelle que nous concède chichement notre administration (qui est ''formatée'', par système, pour prendre beaucoup... plutôt que donner un peu !)… on pourrait presque croire qu'on est heureux. Il suffit d'oublier ce que les mots ''démocratie'' et ''liberté'' voulaient dire en d'autres temps --pas si éloignés--  et de désigner par ces noms les ersatz d'autonomie révocable ad nutum qui nous sont concédés en tant que ''Assujettis'' –notre nouvelle qualification administrative.
De manière surprenante, pourtant, il existe une réponse scientifique : c'est la ’‘Théorie des systèmes”. Cette discipline relativement récente est née de la Thermodynamique dans les années 1960, et s'intéresse au comportement et à l'évolution des systèmes complexes. Or personne ne peut nier que toutes les sociétés modernes sont des systèmes complexes, à commencer par les Etats eux-mêmes, avec leurs Constitutions et la structure de leurs ministères, ou encore les grandes administrations : par exemple, peut-on concevoir des systèmes plus complexes que notre Sécurité sociale, notre assurance chômage, la fiscalité “à la française’', ou nos tristement célèbres Services publics (qui sont ’’à la française’’, eux aussi... ce qui explique pourquoi personne n'a jamais voulu les imiter !) ?
Outre une aide formidable à la compréhension du monde, la première chose importante que nous a permis de découvrir la Théorie des systèmes a été que ’‘la fonction première d’un système est d'assurer sa propre conservation”, ce qui veut dire que, avant tout éventuel “service rendu”, l'énergie (c'est-à-dire, en fin de compte, tout l'argent) consommée par un système –donc, ipso facto, ''par toute administration’’-- doit d'abord servir à sa bonne marche et à sa survie… Cette idée (souvent ressentie, rarement étudiée) est un premier pas important dans la compréhension des raisons de l'obligation de soumission permanente à des forces aveugles, voire hostiles : nous payons pour que des organes remplissent une fonction... et eux bouffent notre argent pour perdurer : le rejet est réciproque ! 
C’est pourquoi il est injuste de pester contre leur incapacité chronique à ne pas se réformer, à ne pas lutter avec la force voulue contre les déficits, la drogue, ou l’invasion en cours : mis à part quelques normes idiotes et d’aléatoires contrôles inefficaces, notre administration est devenue incapable de produire ce qu’on serait en droit d’attendre d’elle : des résultats. C’est par définition et par système que le temps des fonctionnaires se passe en réunions stériles, en ‘’notes de service’’ internes, en querelles de préséance (les ridiculement célèbres ‘’Horloges’’ du Quai dOrsay !), en comparaison d’indices, en grèves, etc... : toute l’énergie est ‘’bouffée’’ par le ‘’primum vivere’’, et il n’y a plus de ‘’niaque’’ pour le ‘’deinde agere’’ attendu. 
Les chiffres sont cruels, ce qui n'est pas grave : ils y sont habitués, et nous aussi ! Mais là où ''ça coince et ça fait mal'', c'est de découvrir que,  dans notre  Comptabilité Nationale (donc : des chiffres non-discutables), les dépenses de l'Etat se sont élevées, pour 2021 –dernière année disponible-- à 567 Milliards €, soit 22,7 % du PIB, et celles des APUC (Sic ! Ça veut dire : les Administrations PUbliques Centrales) à 612 Milliards €, soit 24,4 % du PIB... càd, en additionnant les deux, une petite moitié de notre richesse nationale... hors Hôpitaux et hors tout ce qui relève des administrations territoriales.  On frémit devant ces chiffres... qui tournent autour de 90 %, officiellement. L'administration serait donc un système quasi ''fermé'' qui ''bouffe'' la totalité de ses ressources pour sa seule survie... La Théorie des systèmes nous a fait prendre conscience de l'étendue de cette horreur !
‘’La fonction crée l’organe’’, disaient Lamarck et Darwin. Ils avaient peut-être raison, mais avec une exception de taille : l’Administration ! Chacun peut en effet, sans réfléchir bien longtemps, citer des tiroirs entiers pleins d'exemples de “machins” inutiles et indéfendables qui persistent, contre toute sagesse, toute raison et toute intelligence, et où c'est l'existence (souvent injustifiable) d'un organe inutile qui a fabriqué une pseudo-fonction qui n'a aucune raison d'être, mais qui refuse de mourir : on a oublié pourquoi tel ou tel comité Théodule est là... alors il y reste (il en existerait plus de 700 répertoriés, aux noms à mourir de rire... jaune, car c'est nos sous qui sont volés au delà du raisonnable pour ces niches à sinécures)
Plus grave encore : la seconde loi de la théorie des systèmes précise que ’'pour contrôler un système complexe, il faut un système plus complexe que lui-même’’. En clair, nos sociétés pouvaient fonctionner tant que des “systèmes”,  même complexes, pouvaient être dirigés par ce système hyper-complexe qu'est notre cerveau (NDLR : avec 100 milliards de neurones et 20 000 fois plus de synapses, le cerveau humain est la plus formidable machinerie individuelle qui puisse être. Il faut féliciter le bon Dieu d'avoir inventé un tel machin tout seul (sans même avoir besoin de l'aide très coûteuse de MacKinsey, lui !) et le remercier de nous en avoir confié un à chacun ! Si on était aussi malin qu’on le croit, on tirerait de cette évidence scientifique toutes les conséquences qui s'imposent. On en est loin, puisqu’on fait même... tout le contraire ! Pas étonnant qu'on soit paumé !).
Mais à partir du moment où on enchaîne les ordinateurs en séries, en cascades, en réseaux ou en hiérarchies etc… pour multiplier à l'infini leurs capacités (NDLR – et donc leur pouvoir, mais ce dernier point échappe (volonté, masochisme, ou stupidité ?) à tous ceux qui pratiquent le sport dangereux de faire joujou avec ''plus costaud qu'eux''), la tentation est trop forte, pour ceux qui croient pouvoir le faire, de se donner à eux-mêmes un pouvoir que, à force de patience, de ruses et d'usure, ils ont “fauché” aux politiques qui, ayant l'inconvénient d'être élus, ont la faiblesse d'être ''de passage'', ce que n'est pas un fonctionnaire, dont le poste est quasi-éternel par statut --les syndicats y veillent farouchement, intelligemment !
La question du moment, à plusieurs milliards de dollars, est : l'intelligence artificielle va t-elle réussir à remettre en question l'actuelle mise sous tutelle de nos sociétés –et de la nôtre tout particulièrement, la pauvre société française, tiraillée, maltraitée, explosée, si malheureuse-- par une Administration devenue toute-puissante et tentaculaire, et qui semble ''indéboulonnable'' en l'état actuel des choses ? Je suis prêt à prendre un pari sur 10 ans –je ne risque rien : je serai soit déjà bien installé dans un autre monde, soit complètement gâteux dans celui-ci : l'IA va supprimer la plupart des jobs actuellement occupés plus que tenus par nos armadas de ponctionnaires... On peut aussi parier que les syndicats vont arriver à organiser, avec leur tutelle obéissante, des ''rapports de force'' (tordre le bras de l'adversaire se dit ''négocier'' en volapûk CGT !) tels que non seulement pas un job n'aura été supprimé en fin de course, mais qu'ils en auront fait embaucher des armées, au prétexte de ''maintenir l'emploi'' (sic ! Comme si ça pouvait être un objectif ! Ces prétendus ''progressistes'' sont des caricatures de conservateurs  !).
Dans une telle configuration des rapports de force, l'homme ne peut que devenir, au mieux, qu'un sous-système de ces ensembles hyper-puissants qui finiront –-c'est une question de temps– par être plus complexes que le cerveau humain qui les a fabriqués : nos systèmes complexes sont déjà devenus des trucs autonomes, monstrueux, débridés, en passe d'échapper à tout contrôle, et qui semblent bien partis pour écrabouiller leur créateur. Et si on veut bien ôter les œillères dont on nous a peu à peu dotés, n'est-ce pas, en fin de compte, un reflet de ce que nous avons fait avec notre “Créateur”, Dieu : garder tout ce qui nous arrange, refuser Sa paternité et notre dépendance, et tourner le dos à ce qui est contraignant ? Manque de bol, ce dont nous avons voulu nous ''libérer'' (Tu parles !) était et est toujours nécessaire au fonctionnement de l'ensemble. Cette libération est un vrai esclavage, car sans “devoirs”, l'Humanité  n'a plus droit à… des Droits ! La théorie des Systèmes est claire : tout se tient, tout dépend de tout... (à suivre). 
H-Cl.
2 notes · View notes
darkpalmor · 1 year
Text
22 FEVRIER 2023
Programme ou programme, il faut choisir
Tumblr media
1°) Fragment à illustrer (10 minutes) : Qui sont-ils ? Voici un fragment de Cornélius Fronton, précepteur de Marc-Aurèle, au début d’un ouvrage lacunaire, Principes de l’Histoire : « errants, dispersés, il n’est point de but à leurs voyages, ils marchent, non pour arriver à un lieu, mais au soir. » On développera l’image qui s’en dégage, librement, en une dizaine de lignes. On pourra tenter de donner une identité aux « ils ».
D’où viennent-ils ? Bagages réduits dans une seule main, déboussolés, le peu qu’ils transportent est leur entière et seule richesse. Chaussures éculées, jambes dures, l’œil aux aguets, ils ne connaissent pas les chemins qu’ils empruntent. Leur seule certitude est qu’ils ne feront pas demi-tour. Ils avancent. Leur ambition n’est pas d’arriver quelque part, mais de fuir, de trouver le repos temporaire qui leur donnera la force de repartir, toujours plus loin. Ils en forment pas de troupes compactes ou organisées, ils rejoignent parfois d’autres fuyards, s’adaptent à leur rythme, puis les dépassent ou bifurquent. Errants, dispersés, il n’est point de but à leurs voyages, ils marchent, non pour arriver à un lieu, mais au soir. Et si cela doit être le soir de leur vie, au moins auront-ils pu s’éloigner davantage de la guerre qui les a mis en marche.
2°) Les sons qui émeuvent (5 minutes) : Rapide recension de quelques sons qui produisent un émoi, et comment, et pourquoi ? Réponse sous forme de liste légèrement explicative.
Le petit bruit de l’allumette qui s’enflamme, explosion minimaliste, sorte de pschttt suivi d’un grésillement régulier, me rappelle le feu qu’on m’autorisait à allumer dans le fourneau familial, et je replonge aussitôt dans cette atmosphère d’enfance, avec le souvenir de ma fierté quand j’arrivais à n’utiliser qu’une seule allumette, sans la casser ni la souffler. Et même si ce son est éloigné de moi, je ressens, ou j’imagine ressentir, l’odeur qui s’en dégageait.
3°) Peut mieux faire… » (10 minutes) : Appréciation à discuter ! On dira comment on reçoit cette façon de juger.
Appréciation qui n’engage que son destinataire et jamais son auteur, le « Peut mieux faire » est une infamie solaire, une sorte de gifle donnée à distance à des élèves dont on ne sait pas exactement quoi penser. Sont-ils « bons » ? « Mauvais ? » Peuvent-ils vraiment mieux faire, et qu’est-ce que « mieux faire » ? L’enseignant qui n’en sait rien du tout se dédouane à bon compte, et lâche ces trois mots parce qu’il n’a le courage ni de féliciter ni de blâmer, mais il renvoie aux parents du destinataire la charge de lui faire la leçon, alors que lui-même n’y est pas parvenu. C’est d’une lâcheté inacceptable, plus encore quand elle est aggravée par sa suite presque automatique : « Peut mieux faire, s’il le veut. » Combien d’enfants a-t-on découragés ainsi ?
4°) Écriture longue (15-20 minutes) : Transposition par changement de point de vue. On commencera par un premier récit à deux ou trois personnages, puis un deuxième récit avec le point de vue d’un de ces personnages, et ainsi de suite. Une action sera au cœur du récit : un geste incivil, ou une violence en public.
Sur la Place de la Liberté, ce mardi ensoleillé, c’était la réunion des « punks à chiens » et de leurs amis, avec les ingrédients habituels de leurs attroupements : aboiements, jets de cannettes, gestes expressifs et bras qui se lèvent en fonction du niveau sonore. Et une claque a retenti, brutale et sèche, suivie d’abord d’un silence immédiat et d’une empoignade. Trois individus se roulaient au sol, les chiens s’écartaient peureusement, et les rares passants faisaient de même, en observant la scène du coin de l’œil : surtout, pas d’intervention, on ne se mêle pas de ce genre d’incidents. Les cris des combattants étaient bas et étouffés, tout concentrés qu’ils étaient sur leur bagarre. Et cela s’est arrêté très vite. Tous debout, en petits groupes, ils montraient le silence embarrassé d’une troupe qui s’est donnée en spectacle, qui a vu dégénérer une discussion à laquelle tous ne participaient pas, l’inquiétude d’être au centre des regards. Et puis un grand gaillard est monté sur un des bancs de béton et a commencé à en interpeller un autre, prenant à témoin tous les autres et les chiens. Je vous avais dit qu’il ne faut pas lui parler de clopes ! Il veut arrêter et il a du mal. Alors si toi, Georges, gros malin, tu lui mets ton briquet sous le nez, il croit que tu te paies sa tête. Il ne faut pas t’étonner s’il t’en a filé une bonne. Tu sais bien qu’il a du réflexe, même le matin, et qu’il aime bien frotter. Ledit Georges, qui se palpait la mâchoire, bafouillait des explications à deux de ses comparses en meilleur état que lui, et qui le soutenaient après l’avoir relevé. Ce n’était pas une affaire de clopes ! Le petit Marcel s’était trop approché à son goût, et il puait tellement de la gueule qu’il avait voulu le repousser, lui faire comprendre de garder ses distances, quoi. Oui, il tenait son briquet à la main. Oui le briquet était allumé. Et alors ? Il n’allait pas lui foutre le feu ? C’était juste pour le tenir à distance, pas pour lui en proposer une ! L’auteur du premier coup, Marcel à la main leste, s’était retranché derrière un banc, avait rapproché de lui ses chiens et son sac à dos, et ronchonnait. Moi je fume si je veux, j’arrête quand je veux, c’est pas les autres qui vont me dire ce que je fais. Pourquoi il raconte ça, l’autre ? Il veut me défendre ? De quel droit ? Je n’ai pas besoin de lui comme défenseur ! Le Georges je l’ai tapé parce qu’il allait marcher sur la patte de mon chien. Il faisait l’intéressant avec son nouveau briquet, il se tortillait en se rapprochant avec son rire bête et ses vieilles blagues. Et vous savez ce qu’il m’a dit, cet enfoiré ? Tu viens danser, ma belle ? Moi, quand on me dit ça, je cogne. Tout le monde le saura maintenant.
5°) Code postal. Oui, mais encore ? Deux minutes de laisser-aller...
Chérie de mon cœur, donne deux euros au facteur. … Je vais fermer cette enveloppe et la confier au Hasard majuscule, comme une bouteille à la mer. Tu ne vas pas me croire ? J’ai oublié ton code postal… Bien sûr, je vais indiquer ton nom et ton prénom, le nom de ta rue aussi, mais j’ai perdu le numéro. Tu vois dans quel état tu me mets quand je pense à toi ? Le nom du village, c’est bon, le département aussi. Je vais donc laisser l’administration des Postes se débrouiller. Et ils sont très forts, tu le sais puisque tu me lis. Et je vais dessiner plein de petits cœurs rouges sur l’enveloppe, autour de ton nom, je vais coller deux timbres au lieu d’un seul. Joyeux anniversaire ! Je t’embrasse. Bernard. PS. Si j’ai bien calculé et le facteur est bon, tu dois trouver cette carte au jour exact
2 notes · View notes
verver · 1 year
Text
SANS REGRET
SANS ESPOIR
Extrait 38
Il partit sur la pointe des pieds pour rentrer chez lui.
En chemin il s'aperçut que des larmes coulaient discrètement sur ses joues.
A ce moment l'enquête était terminée depuis huit jours .
Maintenant, le temps était au beau fixe , cela jouait positivement sur le moral de Simone.
Simone avait son réfrigérateur remplit pour la semaine.
Ray devait revenir la voir en fin de journée, elle le savait bien qu'il était un peu débordé par les papiers à remplir. Cette enquête criminelle qui avait troublé beaucoup de monde continuait à faire des ravages dans les esprits.
Donc Simone avait fait le plein d'alcool.
En fin de journée, Ray se rendit chez son amie comme convenu.
Il avait passé cette huitaine dans les papiers administratifs, les réunions, les visites des autorités, journalistes et autres joyeusetés de ce genre.
Il n'eut même pas le temps de sonner, qu'il entendit :
- Entre Ray !
- C'est pour toi ! dit-il en tendant un bouquet de fleurs et des livres , chose qui chez lui était rare.
Simone toute étonnée le remercia chaleureusement.
- Merci Ray ! elle l'embrassa tendrement.
Il retira sa veste et se vautra confortablement sur le canapé.
- Ça te dérange pas la musique ? demanda Simone.
- Non ! J'aime !
- Une vodka ?
- Oui ! bien tassée ! s'il te plaît...il pensa...et c'est reparti !
Du canapé Ray jeta un coup d'œil sur les disques , il y avait des machins africains jazzy.
Ray était intéressé, il étudiait les vinyls en ingurgitant un autre verre.
La télévision fonctionnait le son coupé, Ray était hypnotisé par les conneries qui défilaient sur l'écran.
Simone avait plein de chaînes, un nombre impressionnant.
Ray a éteint le poste au moment où un individu ouvrait une boîte pour chat.
Le rythme africain continuait imperturbable.
Ils sont passés aux banalités d'usage tout en sifflant un verre de vodka.
Ray n'étant pas très expansif , il lui fallait du temps pour se lancer dans une discussion.
- Tu vas bien Simone ?
- Oui Ray et toi ?
- J'en sais rien, je suis triste , j'en ai marre de ce boulot de merde et de ses suites, toute cette paperasse à remplir, ces comptes à rendre et tous ces souvenirs imprégnés dans ma tête, c'est malsain, j'en ai marre !
- Oui c'était une sale affaire.
Il discuta un peu de cette enquête, il sentait qu'il décompressait un peu en parlant à son amie.
En robe de chambre, elle était attirante, de plus elle était déjà bourrée mais elle gardait une oreille attentive.
- Tu sais Ray ! tu peux me le dire si il y a une autre fille !
Ray ne voyant pas le rapport avec discussion, lui répondit avec un certain amusement :
- Oui je sais ! on se cache rien tout les deux ! c'est dans le contrat n'est-ce pas ?
- Ne le prend pas comme ça ! bien sur c'est dans nos accords. Ce qui me fait poser cette question c'est l'intuition féminine, je ressens que derrière cette enquête il y a autre chose ! voilà !
- Ah ! l'intuition féminine ?
- Eh oui ! mon vieux ! il faut t'y faire !
Il lui raconta que depuis le départ de son amie Marie , il avait du mal à s'en remettre.
- Mon pauvre Ray ! t'as pas de chance !
- Je crois que tu as raison !
- En plus cette affaire t'as bouffé !
Ray commençait à en avoir un coup dans le nez , déjà il ne comptait plus ses verres.
- Merde ! c'est moche ! qu'est-ce que tu vas faire maintenant ?
- J'en sais rien !
- Paie une personne pour faire des recherches sur elle .
Ray la fixa et se demanda si Simone ne se payait pas de sa tête. Ne sachant sur quel pied danser , il répondit évasivement :
- Je m'en fiche finalement ! je lui laisse sa liberté , elle est jeune malgré tout ! tu comprends ?
- Bien sur Ray !
Simone était toujours nue sous sa robe de chambre et Il matait son corps qu'il entrevoyait par moment, corps encore désirable .
- Elle a profité de moi ! dit Ray.
- Oui peut-être !
- Comment peut-être ? s'énerva Ray.
- Oui elle t'as pas forcé ?
- Beuh ! c'est vrai dit-il en se calmant, n'en parlons plus !
Ray se retrouva à poil sur le lit comme d'habitude , Simone était au dessus de lui ne dérogeant aux bonnes traditions.
.......................................................
Un grand merci pour les photos que j'ai emprunté.
Plus particulièrement à :
- Redcatblog mon ange des photos.
- Genix_x qui m'éclaire tous les matins avec ses beaux textes.
- Un grand merci à Alexie et son blog rêverievagabonge pour ses bonnes idées et son précieux soutien. 💞
2 notes · View notes
lisaalmeida · 1 year
Text
Poème :
′′ Ce n'est rien de ton corps ′′
Jaime Sabines
Ce n'est rien de ton corps,
Ni ta peau, ni tes yeux, ni ton ventre,
Ni cet endroit secret que nous connaissons tous les deux,
Fosse de notre mort, fin de notre enterrement.
Ce n'est pas ta bouche-bouche
qui est comme ton sexe -,
ni la réunion exacte de tes seins,
Ni ton dos doux et doux,
Ni ton nombril, où je bois.
Ce ne sont pas tes cuisses dures comme le jour,
Ni tes genoux d'ivoire au feu,
Ni tes petits pieds sanglants,
Ni ton odeur, ni tes cheveux.
Ce n'est pas ton regard - c'est quoi un regard ?-
Triste lumière égarée, paix sans maître,
ni l'album de ton oreille, ni tes voix,
Ni les cernes qui te laissent dormir.
Ni ta langue de vipère non plus,
flèche de guêpes dans l'air aveugle,
ni l'humidité chaude de ton étouffement
qui tient ton baiser.
Ce n'est rien de ton corps,
Pas de brin, pas de pétale,
Pas une goutte, pas un gramme, pas un instant :
C ' est juste cet endroit où tu étais,
ces mes bras têtus.
Jaime Sabines (25 mars 1926-19 Mars 1999)
Il était un poète et politicien mexicain reconnu comme l'un des grands poètes mexicains du XXe siècle.
Peinture :
Belarmino Miranda Montoya - De la série Manantial, 2005
Huile sur toile, 110 x 150 cm
Belarmino Miranda Montoya, né à Medellin (Colombie) 1966
′′ Amoureux de l'AMOUR, je pense que je suis un peintre fidèle à l'amour pour la femme ; je veux juste exprimer la beauté de son corps, à l'intérieur d'un fort mais très pur érotisme, sans aucune occultation, de femmes qui sont des emblèmes de la perfection physique, des corps qui crient, livrent, approximation, femmes qui s'imposent.
Je peins l'amour qui n'a pas peur de révéler quoi que ce soit, parce qu'il donne, mais toujours avec un grand humanisme, hautement signifiant, toujours de la main de maîtres anciens et toujours amoureux des femmes hautement poétiques qui irradient beauté, joie et beaucoup d'érotisme ′′
′′ Un artiste ordinaire se contente de son œuvre. Un artiste extraordinaire ne trouve jamais la perfection, il y a toujours autre chose à ajouter, à chercher, un coup de pinceau de plus, une note de plus, une ligne de plus.
La beauté d'une œuvre d'art est dans l'œil de l'observateur. L ' art est dans l'essence de tout être humain, les uns pour le créer et les autres pour l'admirer."
Source : SABINES, JAIME. <<Poèmes en liberté>>. Alliance éditoriale
Tumblr media
8 notes · View notes
Text
👉🏼 🔴 Lisez ou Regardez votre Revue de presse du 28 mai 2024 sur ce lien. L’actualité du secteur de la justice s’installe dans les quotidiens. Les sujets se rapportant à la justice continuent de faire l’actualité, l’intérêt des quotidiens étant partagé entre la tenue des assises devant démarrer ce mardi et le procès en diffamation contre un activiste et un imam. Dialogue National : Dame Justice à la barre du Projet; UFOA-A – Foot féminin. Le Sénégal écrase la Guinée et se qualifie pour la finale. ,Revue de presse du 28 mai 2024 ,UFOA-A – Foot féminin,Regardez , Revue ,presse , 28 mai 2024 ,Dialogue National , Dame Justice ,barre du Projet, UFOA-A ,Foot ,féminin ,Sénégal ,écrase , Guinée , qualifie , finale,DÉPÊCHES ,REVUE DE PRESSE,SENEGAL,PRESSE,REVUE ,secteur , justice , quotidiens,Revue de presse ,Dakar, Revue de presse du 28 mai 2024 sur ce lien : Dialogue National : Dame Justice à la barre du Projet [caption id="attachment_366576" align="alignnone" width="1280"] conseil des mimistres - kafunel.com - palais de la république[/caption] Lundi, à la veille du démarrage des travaux des assises de la justice, une première réunion s’est tenue au CICAD, le centre international de conférence de Diamniadio, avec à la baguette le professeur Babacar Guèye, facilitateur desdites assises, rapporte Vox Populi. Etaient présents à cette réunion, le directeur de cabinet du président de la République, les présidents, vice-présidents, rapporteurs de commissions et les membres de la commission scientifique. “Ils ont discuté de l’organisation et de l’animation des assises”, histoire de déblayer le terrain, selon Vox Populi. Le journal précise que neuf thématiques seront à l’ordre du jour, parmi lesquelles le statut des magistrats, le Conseil supérieur de la magistrature, les conditions de détention, le régime de la privation de liberté, entre autres points. Un des enjeux de ces assises est de doter le pays d’une “justice qui redonne confiance” [caption id="attachment_366638" align="alignnone" width="1280"] Revue de presse du 28 mai 2024 sur ce lien : UFOA-A – Foot féminin[/caption] En attendant de pouvoir entrer dans le vif du sujet, certains quotidiens reviennent sur l’importance d’une réforme de la justice. Cette question renvoie à “des enjeux colossaux”, indique Enquête, citant des acteurs de la société civile dont Moundiaye Cissé et Alioune Tine, engagés depuis plusieurs années sur ces questions. “Il faut définitivement mettre un terme à la justice à deux vitesses”, plaide par exemple Alioune Tine, président fondateur de l’ONG Afrikajom Center et expert indépendant des Nations unies. Le quotidien Yoor-Yoor donne la parole aux citoyens sur le sujet. Il en ressort que l’un des enjeux de ces assises est de doter le pays d’une “justice qui redonne confiance” aux populations, ce qui suppose indépendance et impartialité, selon le journal. “Malmenée et souvent au banc des accusés, la justice est perçue comme une arme politique pour casser des adversaires ou des voix discordantes. Le rôle central du pouvoir judiciaire dans plusieurs dossiers a participé à écorcher l’image de la justice”, analyse le quotidien Kritik’. Justice torpillée par le régime précèdent  [caption id="attachment_366577" align="alignnone" width="1280"] Conseil Des Ministres Du Mercredi 22 Mai 2024[/caption] Il revient ensuite sur un cas particulier : la dernière loi d’amnistie votée sous le prédécesseur du président Bassirou Diomaye Faye, estimant que cette initiative a participé à torpiller la justice, selon les mots de cette publication. “Le président sortant a posé un acte fort regrettable à quelques jours de la fin de son mandat à la tête de l’Etat. Macky Sall a prétexté une réconciliation de la patrie” avec elle-même, mais il “avait aussi pour objectif de remettre dans le jeu politique ses plus fervents adversaires”. Il s’agit du duo actuellement au pouvoir, Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, libérés de prison à la faveur de cette loi d’amnistie portant sur les
faits liés aux manifestations politiques ayant secoué le pays entre février 2021 et février 2024. →A lire aussi Baku hôte d’un forum international sur le dialogue interculturel Comme une pièce versée au débat, plusieurs journaux rappellent qu’en 2018, il s’était tenu une concertation sur la modernisation de la justice, “malheureusement, bon nombre [des] recommandations [issues de cette rencontre] avaient fini au dépotoir de Mbeubeuss, car n’ayant jamais été appliquées par le prédécesseur de Bassirou Diomaye Faye”. Vox Populi signale qu’il s’agit de “19 mesures pour +l’équilibre des pouvoirs+ et sur le statut des magistrats”, ajoutées à “12 recommandations pour l’autonomisation du Conseil supérieur de la magistrature avec un +recul de l’exécutif+, le président de la République n’y siégerait plus”. En droite ligne de ces questions judiciaires, le journal Le Quotidien revient sur la gestion du Fonds Covid 19 et signale que s’il avait suivi les réquisitions du parquet, le garde des Sceaux aurait dû faire enclencher les poursuites pénales contre des responsables de 9 ministères alors en charge de la gestion des fonds du Programme de résilience économique et sociale (PRES) ou Force Covid. “Depuis le 18 avril 2024, ajoute Le Quotidien, quand la demande lui a été transmise, le ministre de la Justice n’y a toujours pas donné suite”. 👉🏼 🔴 Lisez ou Regardez votre Revue de presse du 28 mai 2024 sur ce lien : UFOA-A – Foot féminin En attendant, la justice se penche sur des cas brûlants, comme cette affaire de diffamation pour lequel un activiste et un imam ont été attraits devant la justice. “Six mois requis pour imam Ndao et Bah Diakhaté”, affiche L’As, au sujet d’une affaire d’offense au Premier ministre Ousmane Sonko ayant valu un procès aux concernés. Ils devront prendre leur mal en patience jusqu’au 3 juin prochain, après avoir fait face hier lundi au juge des flagrants délits de Dakar, rapporte le même journal. “Bah Diakhaté et imam Ndao risquent gros”, renchérit Les Echos, quotidien selon lequel le procureur a requis contre les deux mis en cause six mois de prison ferme, de même, le parquet a demandé “la destruction des vidéos et audios ainsi que le retrait des propos des plateformes”. L’info note surtout que cette affaire a surtout donné l’occasion à la défense de faire le procès du régime en place, alors que Bah Diakhaté et imam Ndao sont poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles et offense envers une personne exerçant les prérogatives présidentielles”, à savoir le chef du gouvernement. Selon Walfquotidien, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, les prévenus “ont reconnu certaines de leurs erreurs, mais ont, parfois, fait volte-face”.
0 notes
christophe76460 · 10 days
Text
Tumblr media
Réjouissons-nous toujours dans le Seigneur Bien-aimés car nous sommes les héritiers de son royaume, un royaume de justice et de paix qui n'aura jamais de fin.
Nous sommes son peuple, conduits par son Esprit, appelés à le représenter, à l'honorer et à être les témoins de sa grâce.
Cherchons toutes les occasions d'annoncer le Salut en Jésus-Christ.
Aujourd'hui est un jour de choix pour le faire.
Il est vivant à jamais et Il désire que nous soyons tous inscrits dans le livre de Vie.
Nous connaissons la joie, le bonheur que procurent la liberté et l'espérance du Salut.
La grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ (Jean 1:17).
Partageons-les sans hésitation!
Soyons des sources de bénédictions entre ses mains!
Ouvrons nos bouches pour transmettre aujourd'hui dans nos réunions familiales les trésors des cieux qui ont une valeur éternelle!
Soyons bons les uns envers les autres et la bénédiction de Dieu reposera toujours sur notre vie.
Notre Créateur récompense ceux qui l'aiment, ceux qui obéissent à ses commandements et qui ont le cœur pur.
Il se révèle à ceux qui prennent le temps d'écouter sa voix, à ceux qui ont les yeux et les oreilles spirituelles ouverts, à ceux qui choisissent de le placer au centre de leur vie.
Soyons donc ses imitateurs, comme des enfants bien-aimés et marchons dans l’amour, de même que le Christ nous a aimés et s'est livré lui-même à Dieu pour nous en offrande et en sacrifice comme un parfum de bonne odeur (Éphésiens 5:1-2).
Bonne et belle journée!
Soyez tous bénis!
Que la lumière du Seigneur Jésus-Christ, notre Roi de Gloire, brille puissamment dans vos cœurs.
Portez avec amour le message du salut
0 notes