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#malvoyants
francepittoresque · 4 months
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6 janvier 1852 : mort de Louis Braille, inventeur de l’alphabet pour aveugles ➽ http://bit.ly/Louis-Braille-Inventeur Inventeur du système tactile à point saillants à l’usage des personnes aveugles ou malvoyantes, Louis Braille, professeur distingué dont la vie tout entière s’était écoulée dans le dévouement, le calme, les douceurs de l’amitié, la pratique du bien, mourut à 43 ans
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Tactile Tour en Ré
Tactile Tour en Ré
Le “Tactile Tour” de l’Association Valentin Haüy s’invite sur l’ile de Ré du 1er au 30 avril 2024 au Musée Ernest Cognacq à Saint Martin de Ré. Un voyage tactile et sensoriel pour tous, à découvrir au musée Ernest Cognacq ! “Tactile Tour“, une exposition à toucher. L’accès à la culture et à l’art pour les personnes aveugles ou malvoyantes est au cœur des actions de l’association Valentin Haüy…
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2t2r · 8 years
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Comment un mal-voyant voit le monde par George Redhawk [GIF]
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/comment-un-mal-voyant-voit-le-monde-par-george-redhawk-gif/
Comment un mal-voyant voit le monde par George Redhawk [GIF]
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neozoneorg · 2 years
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bouxmounir · 2 years
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Les livres en grand volume, un marché de l'occasion à part entière
Les livres en grand volume, un marché de l’occasion à part entière
Les maisons d’édition spécialisées “en gros caractères” impriment les ouvrages dans une police jusqu’à deux fois plus grande. Un meilleur confort pour les personnes âgées, handicapées, dyslexiques. Et une bonne idée pour la fête des mères. “C’est bien, car avec l’âge c’était impossible de déchiffrer les mots. Je répète le goût de la conférence ». Huguette, octogénaire, avec seulement 4/10 sur…
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VENDREDI 25 AOÛT 2023 (Billet 1 / 3)
Nous sommes allés mercredi au cinéma, avec Marie-Ange (T.), en milieu d’après-midi… et nous avons vu un film EXCELLENT à tous points de vue !!!
La critique que nous avons choisie pour vous en parler dit tout, très bien, de ce qu’on en a pensé. Ce n’est pas la peine d’en rajouter sauf, peut-être, pour vous donner une idée de notre degré d’adhésion au film (scénario, mise en scène, interprétation de la comédienne principale – elle aurait mérité largement la Palme de l’Interprétation Féminine ! – de toute la distribution, l’enfant inclus, la musique, le crescendo émotionnel, etc.), nous lui avons attribué en sortant tous les 3, ce qui est archi-exceptionnel, ❤️❤️❤️❤️❤️ sur 5 !!!
Notre conseil : n’y allez pas… courrez-y !
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« ANATOMIE D’UNE CHUTE » (2h 32min), une Palme d’Or magistrale
La réalisatrice française Justine Triet, qui a reçu la récompense suprême du Festival de Cannes en mai, dissèque la vie à deux et livre un film de procès. Avec Sandra Hüller, remarquable en veuve sur le banc des accusés.
« Qu'est-ce que vous voulez savoir ? » La première réplique d'« Anatomie d'une chute » est prononcée par Sandra Voyter, écrivain allemande reconnue, interviewée par une étudiante chez elle, un chalet isolé à la montagne, légèrement grisée par les verres de vin. Son fils de 11 ans, malvoyant, s'occupe du chien. À l'étage, Samuel, son mari français, travaille. Ou il fait semblant, poussant le volume de la musique à fond.
Deux heures et demie plus tard, le spectateur en saura beaucoup sur Sandra. Sa vie privée, son travail, ses infidélités, tout son linge, sale ou propre, sera déballé sur la place publique au cours de son procès. Elle est accusée d'avoir tué son mari, retrouvé le crâne fracassé au pied de leur chalet. Suicide ou homicide ? Le médecin légiste n'exclut pas l'intervention d'un tiers.
Mais deux heures et demie plus tard, la vérité se dérobe. Toute la vérité, rien que la vérité, échappe. L'ombre d'un doute subsiste. On le doit à l'interprétation de Sandra Hüller, implacable, opaque, rétive à toute concession. On le doit surtout à l'écriture et à la mise en scène de Justine Triet, qui cosigne avec son compagnon, le réalisateur Arthur Harari, un scénario riche en références sans jamais se laisser écraser par elles.
L'accusée est ici une femme puissante dont on apprend que le mari était professeur et dépressif. Il faisait la classe à leur fils à la maison tout en essayant, lui aussi, d'écrire malgré son incapacité à créer. Cette inversion des rôles, pour ne pas dire déconstruction, n'est pas innocente. Elle peut sembler théorique, elle est au contraire formidablement incarnée. De l'interview journalistique à l'interrogatoire judiciaire, la parole n'est jamais neutre dans « Anatomie d'une chute ». Elle instaure un rapport de force. Si Triet aime tant filmer les tribunaux, c'est par goût de la joute oratoire, forme qui assume pleinement le sens du combat.
La cinéaste ne fait pas l'économie d'un vrai film de procès. Avec des experts en criminologie et des psychiatres qui se contredisent, des passes d'armes entre un avocat de la défense en apparence fragile (Swann Arlaud) et un avocat général (Antoine Reinartz) sans pitié, « Anatomie d'une chute » est le meilleur film de procès français depuis « L'Hermine », de Christian Vincent, avec Fabrice Luchini en président de cour d'assises troublé par un amour secret au sein du jury (Nous avions énormément aimé ce film mais « Anatomie d’une chute » lui est largement supérieur – NDLR du Blog).
Un seul flash-back vient casser le huis clos de la salle d'audience. Un enregistrement sonore diffusé comme pièce à conviction s'incarne à l'image. Une dispute violente entre Sandra et Samuel. Ils ne parlent pas le même langage. L'anglais, langue tierce et terrain de négociation, n'apaise pas les esprits. Ils se crachent au visage leur incompréhension et leur ressentiment. Le sexe, le succès, la charge mentale, l'« économie » du couple, tout y passe. La jalousie de Samuel pour Sandra, qui l'éclipse ou l'écrase, crève les yeux. La scène, démente de vérité cruelle, fait passer Bergman pour un cœur tendre.
« Je ne crois pas à la réciprocité dans le couple, dit Sandra à la barre. C'est naïf et déprimant. » Triet montre que, dans le couple comme ailleurs, l'égalité ne se donne pas, elle se prend. D'ailleurs, l'égalité n'existe pas. La vie à deux est une démocratie sans cesse mise à mal par des coups d'État. « Anatomie d'une chute » est la dissection au scalpel de conjoints avec enfant. Daniel, malvoyant depuis un accident, découvre l'histoire de ses parents lors du procès. Il est joué par Milo Machado Graner, impressionnant malgré sa coupe au bol. La vraie plaidoirie, c'est à lui qu'on la doit. Mais cela ne signifie pas que la vérité sort de la bouche d'un enfant.
(Source : « Etienne Sorin, critique cinéma au Figaro »)
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kylosbreedingkink · 1 year
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This one is for @diningwiththeasquiths
It uh. Is nothing like what I first thought in my head. And is longer than I planned by a lot as this was to be a drabble lol. It's also quite strange.
Still accepting prompts if anyone's interested. Stuff that can be just a scene or smth a bit stranger like this.
He can see why the artefact was so hard to find. A device said to gift the user the most valuable thing in the galaxy, but at the price most were unwilling to pay.
But Kylo didn't care. He had paid and paid and paid, all his life. What was this new malvoyance going to take from him that others hadn't already?
It had taken him weeks to track it down when he finally put his full focus on it. Seeking out in the Force, hours upon hours of meditation. Reaching further than he thinks even his Uncle realised was possible. Then there was the journey, to this small backwater moon, with life so primitive that they could scarcely understand that space travel was a thing.
When he searches in their minds for hints of what he's after, there's nothing. His own shout of annoyance drowned out by the screams and sobs of those he had just searched. He knows it's here. He can feel it pulse in his body, like a quick beating heart. He can even feel it respond to his own power, it's beady eye focused on him.
"The rooks have what you seek! Just please, leave us alone!" The shrill voice of an elderly woman, terrified, picks up. 
So to the rooks he went.  Followed as they circled in the sky, completing murmurations above him. A sight he couldn't help but get carried away in, each of the rooks flying perfectly with one another, dipping and diving, in sync with the Force as it flowed around them and through them.
And when they went to roost, he disturbed them. Wandering around the trees of the rookery. Ignoring the calls of indignity as their sleep was disturbed.
Until he saw it. It looked like nothing more than a shiny black piece of transperisteel, like something the ones above him just liked the look off so kept it around for decoration. It seemed both innocuous and nocuous in one, even the supposed darkness of the artefact not being that dark afterall. Not now he was close enough to truly feel it.
He reaches out to touch, just to be granted with a close up reflection of one of the rooks in its shiny surface and the gentle tink noise of its beak as it connected with the object.
And just like that, he understood. He understood the rooks. He understood the object. He understood what they were all doing here. And he understood his purpose too, as he stepped away from the object that has been guilty of no crime on shortened legs, and spread his new wings in the twilight. Realising that he should feel anger and fear, two emotions familiar to him, but not seeing the point anymore.
Really, he just felt he didn't care about anything. Ben. Kylo. The Dark. The Light. Snoke. Luke. Rey. Tai. Hux. None of it mattered. It was all inconsequential to him.
Trivial matterings of a man now gone.
For once, he finally felt free. 
And what a dangerous feeling that was.
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claudehenrion · 1 year
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Vous avez dit ‘’infantilisation’’ ?
  Tout le monde connaît cette phrase cruelle du Prophète Ezechiel : “Malheur à la Cité dont le roi est un enfant”. A la réflexion et après nos bientôt six années d’exil en Macronie, on est en droit de se demander si une preuve de vraie sagesse ne serait pas :  ’‘Malheur à la Cité dont le roi traite ses sujets en enfants’’ : ces deux maux nous frappent chaque jour; et on ne sait plus lequel nous fait le plus de mal… Même les “voix de son maître” qui sont les plus imperméables à toute intelligence (Prototypes : Patrick Cohen ou Ruth Elkrief….) commencent à se plaindre, sur les ondes, que nos “leaders”, covid aidant, passent leur temps à nous infantiliser.
Personne n'a oublié cette grandiose séquence-télé pour débiles mentaux où Ursula von Der des Ders expliquait très sérieusement, gestes-barrière à l'appui, comment il faut se laver les mains lorsqu'on est un citoyen adulte et vacciné (quatre fois à ce jour, officiellement. Attendons la suite !). Les télés passaient cette kolossale insulte à l'intelligence plusieurs fois par jour.  Mais depuis, on a eu droit à un florilège noir dans le genre “concours Lépine des idées à interdire, des inventions inutiles et des mesures plus vexatoires que thérapeutiques, mais appliquées”... Les forêts peuvent brûler, les rayons des magasins être vides, les stations service être débordées à force d'être vides, l'hôpital peut crever –et les patients bien plus encore !– mais la mise à pied, par caprice du chefaillon, de 200 médecins, de 5 700 pompiers, de 12 000 “soignants” (ou 20 000, car on ne sait plus : nos ‘’excellences’’ capricieuses ont honteusement bidouillé les chiffres pour nous faire croire que leur réintégration ne servirait à rien –’'Il n'en reste pas 500’’, affirmait Véran, Sinistre “Porte-bobards du gouverne-ment” avec aplomb, comme si c'était vrai ! Mais nous, on les aime “Parce qu'ils le valent bien”… alors on ne les compte pas !)… est une tache sur notre pays.
Comme ce sont des chiffres officiels, et on peut donc les “n-tupler” sans risque de se tromper ! La seule faute, impardonnable, de tous ces gens admirables pour leur courage était leur non-panurgisme. Mais, seul parmi les peuples civilisés, notre  chef ne cède pas, Na ! Et il ne faut pas oublier de parler des mensonges officiels, devenus une drogue addictive pour Véran, ivre de sa nullité militante : il est “shooté au mensonge” en permanence !… Mais nous… rien ne nous interdit de proclamer la vérité : le covid a été une véritable bénédiction pour les cons et les funestes qui sont accrochés aux manettes. C'est simple, il n'y a pas une seule des mesures inutiles, néfastes et contre-productives qui ont été prises qui ne nous ait été imposée avec des faux-arguments puérils et des anti-raisonnements enfantins : ils s’imaginent que nous sommes aussi immatures et aussi parfaitement nuls qu'eux !
Sans que le besoin se fasse réellement sentir, nos leaders aveugles (dans leur volapük énaniste, ils voudraient qu'on dise “malvoyants”, Ce n'est pas assez précis, dans leur cas !) nous traitent… au niveau intellectuel, affectif et conceptuel qui est celui qu'ils ont atteint... ce qui explique que nous puissions nous sentir infantilisés ! Mais là où ça devient vraiment grave, c'est que, le covid se trouvant maintenant enfin ramené à ses vraies dimensions (i.e. Véran admettant avoir menti, Péronne enfin blanchi d'avoir dit vrai sur tout, Pfizer avouant que ceux qui rejetaient ses vaccins avaient raison –puisqu'ils n'isolent ni protègent et n'empêchent pas la transmission, et que c'est l'arrivée d'un variant moins agressif qui leur a permis d'inventer le bobard du “les vieux et les cas graves meurent moins”…  Ils nous prennent vraiment pour… ce qu'ils sont !), ils continuent sur le même rythme, à propos ce tout et de rien. Le porte-bobards du gouverne-ment est toujours en poste, le Président est de plus en plus noyé et sans boussole, les ministres de plus en plus transparents et les français de plus en plus près de la crise de nerfs : l'exaspération est totale et la situation, grave. La ‘’réforme des retraites’’ invoquée est une cristallisation de pathologies infiniment plus inquiétantes que les 64 ans !.
Il faut regarder ce qu'il en est à tous les étages, sans hésiter à approfondir notre quête. Un exemple très récent : sentant que l'heure de la vérité vraie approche, la menteuse Buzyn se met à moins  mépriser ceux qui ont vu clair dans son jeu, et se met à pousser des cris sur un mode aigu. Mais comme c’est une vraie menteuse chronique, comme son successeur Véran, on ne peut savoir quand elle dit, une fois de temps en temps, un petit bout de “non-mensonge”. Et si elle raconte qu'elle a effectivement prévenu “qui de droit” (ou plutôt, dans le cas présent, “qui de gauche”!), mais sans être écoutée… c'est pour rester fidèle à la version la plus mensongère de son mensonge. Et le copinage ainsi étalé s'est terminé sur ou par une légion sans honneur qui a révolté la France entière –et les légionnaires bien plus encore. Ces épisodes grossiers ne font pas honneur, légion ou pas, à leurs inventeurs responsables-coupables : nous, nous ne sommes plus en maternelle !
A force d'être traités en “minus habens”, les pauvres français risquent de se sentir complètement crétins –ce qui est sans doute un des buts poursuivis : moins ils auront de réactions “adultes”, plus ils seront manipulables et plus on pourra leur faire avaler n'importe quoi. Car non seulement ils doivent avaler le “Fumer tue” et ses laideurs, le fameux “5 fruits et légumes” quotidien (d'où la jolie prière laïque : “Notre Macron qui êtes odieux, donnez-nous aujourd'hui nos 5 fruits et légumes quotidiens”!), et non seulement ils n'ont plus le droit de regarder à la télé un reportage sur les techniques de vinification au temps des gaulois sans que le speaker n'interrompe le commentaire pour glisser un “bien sûr… à consommer avec modération” à la fois condescendant, impérieux, exaspérant, méprisant, et inutile, mais ils doivent maintenant faire leur lessive aux heures creuses (le matin entre 3 heures 19 et 4 heures 44, “ça devrait le faire”. Autrement, gare à la fessée !), et ils doivent impérativement “baisser, éteindre, décaler”! (NDLR - à raison de 10 spots par jour et par chaîne, c'est une idée juteuse pour les régies des chaînes ! On est en droit de penser que c’est McKinsey qui a eu cette idée, pour dichotomiser et piquer sa “com” au passage  : une vache à lait, n’est-ce pas,  ‘’faut la traire’’ !).
Dans la même rubrique “Comment jeter par les fenêtres l'argent déjà été gaspillé en dépenses inutiles”, mais en revenant dans la sous-rubrique ’“Covid-19” (qui a ceci de bien qu'on peut grâce à lui, faire croire aux naÏfs qu'on a bouché tous les trous quand on met toute la poussière sous le tapis, raconter n'importe quoi en espérant être cru –par de moins en moins de gens, tout de même). Dans ce registre, on a découvert il y a un mois que l'Elysée, en grand besoin “d'assurer son coup”, avait miraculeusement débloqué 483 millions d'aides exceptionnelles à la presse. Ce n'est pas pour rien qu'Emmanuel Macron, avait été qualifié par “le Parisien” de “candidat des médias, fabriqué pour servir” (sic !)… Mais l'homme de la rue, plutôt bon et gentil par essence, ne voit pas toutes ces grosses ficelles… NB : est-ce parce qu'il est brave qu'on le traite en enfant immature, qui ne voit rien ?
Aujourd'hui, entre la crise ukrainienne, les déchirements de l'Europe,  la mise à poil de nos armées par distribution inconsidérée de nos canons César et de nos AMX 10RC et l'effondrement de notre influence en Afrique –résultat prévisible de nos errements/erreurs vis-à-vis des russes–, la crise économique mondiale et l'état catastrophique de la France, poussée “dans la rue” sciemment et volontairement par leur arrogance… nos soi-disant “élites” commencent à perdre le contrôle de leurs comportements. Les plus récentes prestations de nos ministres et du président lui-même montrent une nette tension des esprits et de la pensée (?).
De deux choses l'une : soit ils admettent que leur stratégie de déni permanent est intrinsèquement mauvaise, et ils retrouvent nos bons vieux fondamentaux qui ont fait leurs preuves… et l'espoir peut renaître. Soit ils persistent et ils font ‘’leurs’’ les erreurs de cabinets internationaux dont le seul savoir faire est de truquer les réalités… et je préfère de beaucoup ne pas imaginer la suite…
H-Cl
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porcom · 2 months
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Anatomie d'une chute
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"Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple."
Étrangement, j'ai trouvé tout de ce film ordinaire, voir très ordinaire. Ça aurait pu être beaucoup mieux. L'idée, bien que déjà exploité à maintes reprises, est intéressante. Les dialogues d'entrés de jeux m'ont tués, bla bla bla et bla bla bla. Mais je ne sais pour qu'elle raison, j'y suis resté accroché et j'ai quand même bien aimé au final.
👍 Aimé
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yes-bernie-stuff · 3 months
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MARDI 13 FÉVRIER AFFRONTER SON GÉANT
« AVEC UNE FRONDE ET UNE PIERRE, DAVID FUT PLUS FORT QUE LE PHILISTIN » 1 SAMUEL 17.50
Chuck Swindoll a dit : « Goliath me rappelle un lanceur de javelot malvoyant. Il n’a aucun record, mais tout le monde le craint ! Chaque jour, Goliath arpentait la vallée en proférant des menaces. Les troupes israélites tremblaient de peur ! L’intimidation avait fonctionné, jusqu’à ce que David se présente au nom du Seigneur des Armées et tue le Philistin avec une simple pierre. Cet épisode montre deux vérités intemporelles. 1) On ne gagne pas un combat en usant des techniques de l’ennemi. Quand on se bat avec les armes du monde, on devient comme le monde. La Bible précise que David n’avait pas d’épée à la main. Son arme la plus puissante, celle qui le rendait unique et victorieux, c’était son intime bouclier de la foi. Celui-ci l’a préservé de la peur, a éclairci sa vision, et lui a donné de l’assurance au milieu du chaos. 2) Abattre des géants demande du talent et de la discipline. Faire tournoyer la fronde de l’Esprit est bien plus délicat que de brandir le gourdin de la chair. Paul dit : “Nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais […] contre les dominateurs des ténèbres d'ici-bas, contre les esprits du mal dans les lieux célestes” (Ep 6.12). N’oubliez pas, la lutte n’est pas un sport d’équipe. Goliath a dit : “Choisissez un homme qui descende contre moi” (1S 17.8). Tant que dure la bataille, vous êtes l’unique cible de l’Ennemi. Si vous affrontez votre géant personnel, soyez comme David : confiez-vous à Dieu, chargez votre fronde, et laissez Dieu remporter la victoire pour vous. »
B365 — Plan de lecture Job 40-42
Prière du jour Mon Dieu, aide-moi à affronter mes géants.
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culturevsnews-blog · 4 months
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Anatomie d'une Chute De Justine Triet Avec Sandra Hüller, Swann Arlaud, Milo Machado-Graner
Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute. Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple. Chronique : “Anatomie d’une Chute”, un film intrigant et…
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francepittoresque · 1 year
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6 janvier 1852 : mort de Louis Braille, inventeur de l’alphabet pour aveugles ➽ https://bit.ly/350sIHt Inventeur du système tactile à point saillants à l’usage des personnes aveugles ou malvoyantes, Louis Braille, professeur distingué dont la vie tout entière s’était écoulée dans le dévouement, le calme, les douceurs de l’amitié, la pratique du bien, mourut à 43 ans
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[EXPO LA ROCHELLE] Le "Tactile Tour" de l' @associationvalentinhauy s'invite à La Rochelle du 3 février au 1er mars 2023 à la @mediathequemichelcrepeau @larochelleagglo #tactiletour #exposition #larochelle #valentinhaüy #avh #malvoyants #aveugles #mediathequemichelcrepeau #thisislarochelle #larochelle17000 #larochelleensemble #jaimelarochelle #art #artpourtous #avh17 (à Médiathèque Michel-Crépeau) https://www.instagram.com/p/CoDKR15rdKN/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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ppwbm-blog · 6 months
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L’ère de l’inclusion : de l’audio pour un numérique plus accessible ?
Le texte de  Lola Jankowiak pour HYPER RADIO ( https://tinyurl.com/37ksjx74 ) souligne le défi persistant de l’accessibilité numérique pour les personnes en situation de handicap, citant le président français Emmanuel Macron appelant à un “rattrapage massif”. L’audio est mis en avant comme un levier crucial, avec des innovations telles que des gilets vibrants et des dispositifs pour malvoyants,…
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neozoneorg · 2 years
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entomoblog · 6 months
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Pour éviter les chenilles toxiques, les oiseaux se fient aussi aux plantes
See on Scoop.it - EntomoScience
"Des scientifiques ont démontré que, pour la chenille du papillon goutte-de-sang, les fleurs jaunes de la jacobée jouent un rôle protecteur."
  Nathaniel Herzberg
Publié le 10 octobre 2021 à 17h00, modifié le 02 novembre 2021
  Zoologie. Le papillon goutte-de-sang est une attraction. Adulte, il arbore sur l’extérieur de chacune de ses ailes noires un point d’exclamation rouge vif auquel s’ajoutent, sur l’arrière, deux taches de cette même couleur carmin. Attention danger ! Ses prédateurs potentiels sont ainsi avertis : même affamé, mieux vaut passer son chemin. Car l’évolution a doté l’insecte, présent notamment en France, de substances chimiques particulièrement désagréables, voire nocives. Elle y a ajouté un signal visuel évident, de quoi informer même les plus malvoyants. Le goût et la couleur, une double protection mise en évidence en 1867 par le grand Alfred Russell Wallace et baptisée, en 1890, par son collègue Edward Poulton du doux nom d’« aposématisme ».
  Cette stratégie de survie, assez courante dans le monde animal, mais aussi végétal, n’a cessé de passionner les biologistes. Ils en ont approfondi la compréhension des mécanismes tout au long du XXe siècle. Une équipe de l’université de Bristol vient pourtant de réaliser un saut majeur, publié dans la revue Current Biology, jeudi 7 octobre : « Pour la première fois, nous avons montré que les oiseaux reconnaissaient le danger en observant non seulement la proie mais aussi la plante qui l’héberge », résume Callum McLellan, le premier signataire de l’étude.
  Cette fois, les scientifiques se sont intéressés aux larves de la goutte-de-sang qui, à vrai dire, ressembleraient plutôt à des cils de tigre. Ces chenilles, toutes rayées de noir et de jaune, grandissent sur une seule et unique plante : le séneçon de Jacob, ou jacobée. C’est d’elle, du reste, que proviennent les alcaloïdes toxiques accumulés par l’animal. « Nous nous sommes simplement demandé si les oiseaux associaient la proie et la plante », indique le jeune doctorant.
  Une série d’expériences a donc été réalisée. D’abord les chercheurs ont installé de fausses chenilles (des tubes de papier hébergeant des vers), noir et jaune d’une part, vert olive d’autre part, sur des jacobées et sur des ronciers. Ils ont ainsi pu constater que les deux facteurs – plante et insecte – influaient. Et se cumulaient. Les oiseaux rejetaient plus que toute autre l’association des tigres de papier et des fleurs jaunes de la jacobée. En construisant ensuite des plantes artificielles, ils ont fait varier formes et couleurs, installant les pétales des unes sur les tiges des autres. Résultat : c’est d’abord et avant tout la teinte jaune qui informe le prédateur du danger. Les fleurs de jacobée piquées sur des branches de ronciers ont joué leur rôle d’épouvantail. « Nous le supposions, mais j’avoue que nous avons été surpris », admet Callum McLellan. La couleur, d’abord, mais aussi la forme de la plante. Et l’article avance une explication : « Les oiseaux ont besoin de trouver des indices hors de la saison de floraison ou encore le matin, avant l’ouverture des fleurs. »
  Mais comment les oiseaux disposent-t-ils d’un tel discernement ? Inné ou acquis ? Pour le déterminer, les scientifiques ont fait varier l’âge des merles, mésanges et autres pies. Ils ont observé que les jeunes passereaux naïfs privilégiaient au contraire les tubes aux couleurs vives – les plus visibles – et que la nature de la plante n’était alors d’aucune aide pour la chenille. De quoi conclure que ce sont bien l’expérience et l’apprentissage qui inscrivent le comportement.
  Ces constats induisent alors une question : « Si l’hôte peut donner l’information, quel avantage l’animal a-t-il à prendre une couleur vive, au risque de se signaler auprès des prédateurs naïfs ? » L’article apporte trois réponses. D’abord, toutes les plantes n’offrent pas d’indices suffisamment visibles. Ensuite, la plante peut flétrir, surtout quand des chenilles s’en nourrissent. Enfin, les larves doivent parfois changer d’hôte, sortir à découvert. Entre deux maux, l’évolution a donc choisi le moindre. S’exposer sur un temps court pour mieux se protéger ensuite. Avec ceinture et bretelles."
  Nathaniel Herzberg
  Birds learn to avoid aposematic prey by using the appearance of host plants, Current Biology, 7/10/2021 https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(21)01288-4
  Bernadette Cassel's insight:
  Sur le même sujet
  Les oiseaux ne se contentent pas d'apprendre les couleurs des proies dangereuses, ils peuvent également apprendre l'apparence des plantes sur lesquelles vivent ces insectes - De phys.org - 8 octobre 2021, 17:08
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