#série de la chevelure | Explore Tumblr Posts and Blogs

lilias42 · 9 months

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Série de portrait : la génération des grands-parents !

Bon ! ça fait un moment que je travaille sur eux alors, les voici : les principaux personnages de la génération des grands-parents !

Ces deux-là auront une petite scène qui leur sera consacré mais, pour le moment, voici déjà leur visage en gros ! Il s'agit des grands-parents de Sylvain du côté de son père Isidore : Erika Gautier, héritière puis margravine de leur marche, et Halfdan qui est un commerçant et ancien soldat sreng. Personne ne connait le père d'Isidore à part les plus proches amis d'Erika, surtout sous Clovis où elle sait que le tyran aurait tué son fils mais, le secret est resté dans la famille malgré toutes les pressions qu'elle a subi. Sylvain n'a su qui était son grand-père que quand il est devenu adulte de sa mère (car évidemment que Fregn est arrivé à retrouver la vérité et à recoller les morceaux), car Isidore refuse de parler à qui que ce soit de son père et préfère traiter sa mère de p*te et de traitresse à Faerghus, plutôt que d'admettre qu'elle n'a aimé qu'un homme dans sa vie, soit Halfdan, et donc qu'il est à moitié Sreng, même s'il adorait son père quand il était petit. Ici, j'ai tenté de donner la même position qu'académie!Sylvain à Halfdan pour marquer le lien de parenté, ainsi que leurs couleurs mais, en inversé, histoire de marqués qu'ils sont en couple.

Fun fact : sur mon carnet, les cheveux d'Halfdan (en crayon de couleur "sanguine" pur) ont plus la couleur de ceux de Sylvain qu'Erika qui les a orange plus vif malgré les deux couches de rouge mais là, ils font plus bruns et ceux d'Erika font plus roux-rouge comme Sylvain donc, on s'y retrouve !

+le motif au feutre sur le torse d'Erika était censé être l'emblème de Gautier mais, je me suis emmêlé les pinceaux en la passant au noir alors, ça ressemblait plus à celui de Gloucester alors, je l'ai retravaillé pour que le motif ressemble à un soleil stylisé avec une lune à cause d'Halfdan qui lui disait qu'au soleil, sa chevelure semble prendre feu et briller. Pour ses deux grains de beauté sous l'oeil, même si ce n'est pas du tout une légende scandinave, j'avais entendu dire qu'au Japon, un grain de beauté sous l'oeil symboliserait une larme et un destin tragique, ce qui irait bien à Erika qui n'a jamais pu vivre son amour avec Halfdan au grand jour, puis qui s'est vu rejeté par son fils à cause de cet amour. Par contre, elle aurait beaucoup aimé voir son petit-fils se rapprocher des srengs et embrasser complètement ses origines grâce à Fregn (avec qui elle s'entendait très bien).

Deuxième couple : Guillaume et Aliénor ! Si je suis un peu déçue de l'expression de Guillaume qui manque de mordant comparé à celui qu'il pouvait être, je suis plutôt contente d'Aliénor sur laquelle j'ai expérimenté plein de trucs ! (notamment les lunettes, c'est une des première fois que j'en fais !) Normalement, elle a un reflet roux dans les cheveux mais après une couche de jaune, puis une d'orange clair, puis une autre de jaune pour la rendre plus blonde que rousse, puis encore une autre d'orange pour tenter de lui redonner un peu de reflet, j'ai jeté l'éponge et passer une dernière couche de jaune pour qu'elle soit blonde, tant pis. Son foulard aussi est une expérimentation. Les photos qui m'ont servi de modèle reprennent des modes plus anciennes que pour Guillaume mais, je trouvais que ça lui allait bien vu qu'elle est la magicienne du groupe et que son style est un peu vieillot, il vise surtout le pratique.

Pour les couleur aussi, j'ai utilisé les deux même crayons pour leurs vêtements mais, en inversé. Aliénor ne porte même pas de couleur la liant à la famille Dominic car, elle a complètement épousé les intérêts des Fraldarius donc, elle porte leurs couleurs, notamment sur son voile où c'est le plus voyant et son chapelet porte l'emblème de Fraldarius. Pour Guillaume, il a les cheveux noirs de sa famille qui partent dans tous les sens domestiqués avec sa tresse, et il porte son alliance autour du cou pour éviter de la perdre ou qu'elle ne le gêne au combat quand il tire à l'arc ou manie Moralta, même si son rôle de protecteur est plus mis en avant avec Aegis à son bras ici (bras droit vu que comme quasi tous les Fraldarius, il est gaucher)

Ensuite, on a Nicola à gauche, et la matriarche Catherine Charon de l'autre !

Nicola n'est pas colorié car, je n'ai pas pile le bon brun pour ses cheveux alors, il attendra que je mette la main sur un bon crayon de bonne qualité pour avoir des couleurs. Ils sont censé être brun très foncé à la limite du noir, ce qui lui permettait de se faire passer pour Guillaume quand ils étaient petits et que des assassins de Clovis ou d'autres tentaient de le tuer, même si Guillaume lui a toujours formellement interdit de se faire passer pour lu afin d'éviter qu'il ne se fasse tuer par erreur (et ceux qui auraient touché à un cheveu de son meilleur ami et quasi frère adoptif auraient tous signé leur arrêt de mort) Quand ils seront plus vieux, Nicola aura le visage bien plus carré et sera plus grand que lui alors, cela évitera à Guillaume de s'inquiéter pour ça. Dans l'idée que j'en ai, physiquement, il ressemble un peu à Gilbert mais, en vraiment bon compagnon et chevalier malgré ses origines roturières et le fait qu'il ne sera jamais adoubé pour rester au service des Fraldarius.

Pour la matriarche Catherine, elle a les cheveux verts des nabatéens, mais ses yeux sont aussi bleu que ceux de sa petite-fille Cassandra / Catherine. Cette dernière reprendra d'ailleurs son nom pour lui rendre hommage : c'est un prénom relativement courant donc, elle ne se fera pas pincer dessus, ça permet de rappeler son affiliation aux Charon, et de montrer son respect pour sa grand-mère. Plus femme de loi que de guerre, c'est elle qui a mise en place une très grande partie de l'appareil idéologique justifiant le coup d'Etat de Ludovic, notamment en s'appuyant sur les travaux de ses ancêtres de la guerre du Lion et de l'Aigle, Sybille et Irina Charon-Ordélia. Malgré tout, c'est une combattante à mains nues confirmés, ce que j'ai tenté de rappeler avec les cicatrices qu'elle a sur les mains : ne vous fiez pas à son air de bureaucrate très souvent enceinte (elle a eu douze enfants après tout et blague elle-même sur le fait qu'elle a défié les statistiques en ayant onze filles d'affilés [ce qui est l'idéal pour une famille très matriarcale comme celle des Charon] et pour sa dernière grossesse, elle a eu son seul garçon avec Kimon, qui est devenu le petit frère le plus gâté et embêté par ses soeurs de l'histoire !), elle casse aussi des bouches comme sa fille Héléna qui lui ressemble beaucoup de caractère en moins cassant, et sa petite-fille Cassandra qui casse autant des bouches qu'elle !

(pas de dessin de son mari par contre, les hommes Charon sont inexistant dans ma tête sauf par obligation scénaristique ou quand c'est Théo qui a un passe-droit)

Et enfin, faites entrer le roi pour le dernier avec Ludovic ! Ici, il est un peu plus âgé que pour les autres qui sont plus de l'époque du coup d'Etat contre Clovis. Ici, je dirais que Ludovic est à la fin de sa vie quand il est rongé par la tuberculose mais, il restera jusqu'à la fin un roi fort et fier qui regarde droit devant lui et continue à avancer pour le bien de son Royaume malgré son propre corps qui le trahit !

Comme Simplex, il a les yeux vairons : un bleu roi comme tous les Blaiddyd, l'autre bleu d'eau comme l'oeil qu'à donné Pertinax à Simplex après la révolution contre les maitres et la fin de l'esclavage. Pour lui, ça peut aussi montrer son lien privilégié avec les Fraldarius. D'ailleurs, lui aussi est habillé au couleur de Guillaume et Aliénor : il ne porte que du sarcelle ou du bleu-vert, aucun bleu tout court un peu sombre comme Dimitri ou Lambert, pour bien montrer son lien avec la famille du Loup et le fait qu'il est contre la manière de penser de sa famille et surtout de Clovis.

Et voilà ! J'espère qu'ils vous ont plu !

#fe3h #dessin de curieuse #fe3h oc #j'espère que ça vous plait surtout !#j'en ai mis du temps dessus !!!#C'est long le coloriage !#Mais je suis contente du résultat- surtout pour Ludovic et Aliénor qui sont les plus réussi pour moi #surtout Ludovic- je trouve qu'on voie plutôt bien son coté maladif mais déterminé #et aussi le côté légèrement hautain / très sure d'elle de Catherine ! Cette femme sait ce qu'elle vaut et assume !#Celui qui est le moins réussi je dirais que c'est Guillaume...#regard pas assez caractériel... faudrait que j'apprenne à le faire...#enfin c'est déjà bien #et promis un jour je vous raconterais l'histoire d'Erika et Halfdan c'est un des objectifs vu leur histoire !

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mmepastel · 2 years

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On vient de voir la petite série L’histoire de Lisey, d’après Stephen King et réalisée par Pablo Larraín, avec Julianne Moore, Clive Owen, Jennifer Jason Leigh.

Honnêtement, c’est trop gore pour moi, un peu trop lent, un peu trop n’importe quoi.

MAIS : c’est une belle histoire d’amour, et l’idée de l’étang qui régénère, inspire et et aspire m’a plu.

Soyons francs, ce que j’ai adoré, ce sont les images. C’est sublime, à commencer par la piscine naturelle des Landon, leur maison, l’atelier de Scott. Le tout enrobé de brume et de feuillage rougeoyant de l’automne que l’on retrouve dans la chevelure de Julianne, tandis que son visage pâle se fait l’écran mouvant de ses souvenirs troublants, où la toile où le fou imprime sa violence.

Bravo à Pablo Larraín qui a créé un univers fort d’une beauté envoûtante et vénéneuse. Sans ça, je pense que je n’aurais pas tenu le coup (une partie de l’histore est quand même sacrément sordide).

#cinéma #series #l’histoire de lisey #Stephen King #julianne moore #beauté

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lysakarell · 1 year

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Outlander, L'Écosse, contrée lointaine de l’amour a la guerre

Diana Gabaldon détrône les plus grandes histoires d'amour en créant Sassenach et son Highlander avec Le chardon et le tartan!

Fascinant, une promesse de palpitations intemporelles! Un récit qui donne l'envie d'aimer pour le meilleur et pour le pire!

Et si, avec des si beaucoup de choses seraient différentes. Mais osons-le…

Si le temps ne fonctionnait pas comme on le perçois d’après nos horloges.

Si le passé serait notre futur et que le futur pourrait être notre passé.

Peut-être que la perception de la réalité que nous créons dans le confort de notre foyer saurait être très différente.

Si fuir et se battre était devenue ma réalité pour sauver ma vie ?

Si à cause de mes connaissances je serais accusée de sorcellerie ?

Si j’aurais vécu les guerres qui ont forgé nos nations ?

Si celui qui m’est destiné m’attendait 200 ans plus tôt ?

Serais-je encore celle que je suis à notre époque ?

Certainement que vous vous poseriez ses questions, si tout comme Claire Randall (née Beauchamp) vous auriez traversé les pierres de Craigh Na Dun. Vous savez, ces étranges regroupements rocheux érigés et dressés que l’on retrouve aux quatre coins de la planète, ceux que l’on surnomme des ménhirs. De somptueux monuments mégalithiques qui selon d'anciennes légendes Écossaises; serait en fait un passage, qui pour certaines personnes, les ferait voyager vers d’autres siècles. En quelque sorte vers leur destin...

C'est à travers la spectaculaire rudesse de la splendeur des Highlands que Diana Gabaldon brode ce premier tome de la série de romans Outlander. Une justesse qui crève le coeur se ressent comme si nous, le lecteur ne devenions qu'un avec le personnage principal. Claire, la Sassenach (qui signifie étrangère ou Anglais en gaélique) est une infirmière de la Seconde Guerre mondiale, féministe avant l'heure, elle voyage en Écosse pour sa deuxième lune de miel avec son époux Frank Randall, un historien passionné par la généalogie. Suite à une visite solitaire à Craig Na Dun elle se voit propulsée à travers le temps en 1743 ... À cette époque, elle y rencontre Jamie Fraser, ce Highlander à la chevelure de feu.

Les conditions de vie sur les terres Écossaises durant le soulèvement des rébellions jacobites étaient une lutte intolérable entre les Écossais et les Anglais.

L'auteure calque intelligemment certains faits historiques à une profonde romance qui relie l'aventure et le fantastique.

Une concoction qui croise les univers les plus improbables en une épique saga à en devenir. Évidemment qu'il ne serait pas possible de se contenter que d'un roman pour vivre à souhait la passionnante et oh trop brulante liaison entre l'étrangère et le guerrier. Ce livre se lit à une vitesse incroyable, de la page 11 à la page 530 le temps file dans l'espace-temps, ne reste plus que l'envoutement, ensuite le désir de lire le suivant, parce que jamais cette intensité ne devrait s'arrêter. Bien heureuse que selon les rumeurs l'écrivaine serait présentement à l'écriture du tome 10 !

Avec toute l'admiration que j'ai pour l'écriture de ce trésor des régions sauvages, je ne le conseille en aucun cas à un lecteur sensible ou de moins de 18 ans. Le language utilisé est parfois grossier quant à certaines situations osées et d'autres extrêmement choquant. Il est important de se rappeler que ceci est une fiction espérant démontrer, les temps de guerre, les sévices, les convictions, les meurs, les espoirs et les coutumes d'antan, certaines ne sont en aucun cas excusable et demeure intolérable.

Nous avons ici un portait d'autrefois le plus difficile fut-il à vivre pour nos ancêtres, ceux qui ont fondé nos pays et nos héritages en donnant leurs vies, leurs sangs, leurs âmes.

La série Outlander dédie une saison par roman, il est extrêmement rare d'être emportée par une émission autant que le livre original. Quoi qu'il en soit Ronald D. Moore assure adéquatement une fidélité à la hauteur des attentes en développant des personnages autant réels à l'écran, donnant ainsi vie à notre héroïne Claire personifiée par l'étonnante Caitríona Balfe donnant admirablement la réplique à Sam Heughan son Jamie enfin en chair et en os.

Un aller simple vers le désir de défendre ce qui nous appartient et de préserver ce que l'on aime, à n'importe quel prix!

Texte : Lysa Karell

Pour les chroniques littéraires : De Shakespeare à Senécal

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lissfactor · 16 days

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Dévoilement des secrets de beauté du lissage japonais à Paris

Paris, symbole de l'élégance et du style, est réputée pour adopter les tendances beauté du monde entier. Parmi ces tendances, les lissages japonais et les traitements de lissage naturels ont acquis une immense popularité auprès des Parisiens à la recherche de cheveux lisses, brillants et faciles à coiffer. Approfondissons l'application profonde de Lissage japonais Paris et Soin lissant naturel Paris.

Le charme du lissage japonais des cheveux :

Le lissage japonais, ou « Lissage japonais », est une technique révolutionnaire qui transforme les cheveux crépus et indisciplinés en mèches lisses et soyeuses. Cette méthode implique l’application d’une solution spéciale qui rompt les liens dans les cheveux, leur permettant de se remodeler pour prendre une forme plus droite et plus maniable. Le processus est méticuleux et nécessite des professionnels qualifiés pour garantir des résultats optimaux.

Atteindre une douceur naturelle :

Pour celles qui préfèrent une approche plus naturelle du lissage des cheveux, « Soin lissant naturel Paris » propose une solution douce mais efficace. Ce traitement utilise des ingrédients naturels tels que des extraits botaniques et des huiles essentielles pour dompter les frisottis et améliorer la brillance naturelle des cheveux. Contrairement aux traitements chimiques agressifs, les traitements de lissage naturels donnent la priorité à la santé et à la vitalité des cheveux, les laissant doux, nourris et magnifiquement lisses.

Le processus:

Lissage japonais Paris et Soin lissant naturel Paris impliquent tous deux une série d'étapes pour obtenir les résultats souhaités. Les cheveux sont d'abord nettoyés et préparés avant l'application de la solution lissante. Pour le lissage japonais, les cheveux sont ensuite méticuleusement lissés à l'aide d'outils thermiques, tandis que les traitements de lissage naturels peuvent impliquer des masques ou des sérums nourrissants supplémentaires pour améliorer l'état des cheveux. Le résultat final est des cheveux luxueusement lisses qui respirent la santé et la vitalité.

Avantages au-delà de la beauté :

Au-delà de leur attrait esthétique, le lissage japonais et les soins de lissage naturels offrent des avantages pratiques. Des cheveux lisses et faciles à coiffer nécessitent moins de temps de coiffage, ce qui rend les routines matinales plus faciles et plus efficaces. De plus, ces traitements aident à protéger les cheveux des dommages environnementaux, en réduisant la casse et les pointes fourchues au fil du temps. Avec un entretien approprié, les résultats peuvent durer plusieurs mois, permettant aux individus de profiter de beaux cheveux sans effort, jour après jour.

Dans les rues animées de Paris, où style et sophistication règnent en maître, Lissage japonais Paris et Soin lissant naturel Paris sont devenus des rituels de beauté indispensables pour celles qui recherchent une chevelure impeccable. Que vous optiez pour la précision du lissage japonais ou la douceur des soins de lissage naturels, l'objectif reste le même : libérer tout le potentiel de vos cheveux, sans effort. Pour en savoir plus sur ces soins transformateurs, rendez-vous sur lissfactor.fr et embarquez pour un voyage vers la perfection capillaire.

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raimeiha · 9 months

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柊み子 - Hiragi Miko

17 ans || 12 juin Mesure 1 mètre 52

Humaine || B- || Ryūketsu Ordre des Démons Impériaux || Famille Hiragi || Armée Démoniaque Impériale du Japon || Brigade Gekki || Escouade Miko

Hiragi Miko est l'une des Sergents de l'Armée Démoniaque Impériale du Japon. Elle dirige sa propre escouade, composée de soldats assez talentueux sur qui elle peut compter et pour qui elle pourrait donner sa vie. Elle est la nièce de Tenri Hiragi et a d'ailleurs été recueillie par ce dernier suite à la mort de ses parents causée par le virus de 2012. Cependant, elle ne reçoit aucun traitement de faveur ni même quoi que ce soit pour autant.. au contraire.

Sous son adorable minois, se cache en vérité une petite démone à mauvais caractère. Bien qu'elle n'en ait pas l'air à première vue, Miko est du genre à taquiner un peu -beaucoup- ses proches. Shinya est d'ailleurs sa victime préférée, et ce, malgré le fait que les autres Hiragi le regardent de haut et le traitent presque comme un chien. Miko est l'une des seuls à l'apprécier vraiment et à le considérer comme un grand-frère. Ce trait de caractère lui est venu à force de rester avec sa cousine, Shinoa.

Même si elle adore Kureto et qu'elle est très proche de lui malgré le fait qu'ils ne se voient pas tant que ça, Miko a horreur d'être approchée par des personnes qui ont pour unique but de bien se faire voir par leur supérieur, ou de se rapprocher de ce dernier. Même si elle est de bonne humeur, Miko n'hésitera pas à sortir ses griffes et à envoyer bouler le premier qui vient l'ennuyer. Elle déteste que l'on vienne la déranger pour des idioties.

La jeune Hiragi ne doute jamais d'elle et réfléchit toujours à deux fois avant de foncer dans le tas. En dehors de tout cela, elle peut se montrer assez agréable et ne juge pas à la première impression.

Miko est de petite taille, atteignant à peine la barre du mètre cinquante-deux, et possède une longue chevelure brun rosé ainsi que des yeux vert émeraude. La plupart du temps, elle attache en partie ses cheveux en arrière, un peu comme Shinoa. Complexée par sa petite taille, elle n'aime pas vraiment être taquinée à ce sujet.

流血 - Ryūketsu

Ryūketsu est une arme démoniaque de type possession. Il fait partie de la série des démons noirs. Il a été scellé dans une lance noire décorée d'un dragon rouge sang s'enroulant autour de la hampe. Sa lame est plus longue que la moyenne. Cette lance peut être séparée en deux pour être accrochée à la taille quand elle n'est pas utilisée.

Le démon qui se cache derrière cette arme a l'apparence d'un homme dans la trentaine. Il possède des yeux rouges et une longue chevelure ébène, sous laquelle sont dissimulées des oreilles pointues. Il porte des vêtements traditionnels japonais qui sont en partie en lambeaux. Son haut est ouvert de sorte à montrer une partie de son torse marqué par des cicatrices. Il en a également une sur la joue droite et plusieurs sur les bras. Ryūketsu est très calme et ne parle que très rarement à son hôte, mais il l'apprécie tout de même.

Lorsque l'hôte de Ryūketsu fait appel à lui, ses capacités physiques sont décuplées. Pour l'instant, personne ne connaît encore toute l'étendue de la puissance de cette arme démoniaque, étant donné que Miko n'a jamais souhaité dévoiler cela.. A vrai dire, elle n'a pas encore rencontré d'adversaire assez fort qui pourrait la pousser à le faire. Cependant, d'après elle, son nom lui irait à merveille..

• Recherches :

- Hyakuya Yuichiro → Un garçon bien intéressant pour elle, puisque sa cousine en est sous le charme. Décidée à apprendre à le connaître pour savoir s’il est digne de Shinoa, une belle amitié pourrait bien naître entre eux.

- Narumi Makoto → Un collègue avec qui elle pourrait se lier d’amitié, à force de le croiser dans les couloirs des bâtiments de l’armée et de collaborer avec son escouade. Il pourrait même y avoir une toute autre relation naissante entre les deux...

- Hiragi Shinya → Son cousin par adoption, avec qui elle adore passer du temps. Elle pourrait lui demander de la former à dévier les attaques à distance ou de l’aide pour se perfectionner dans l’utilisation des fudas.

• Je peux aussi accepter des jeux avec d'autres membres de sa famille.

#OC #OnS #Hiragi Miko

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omagazineparis · 9 months

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Domptez vos frisottis: révolutionnez votre été avec nos astuces capillaires pratiques!

L'été arrive avec son lot d’émotions. La joie des vacances, la chaleur des rayons du soleil, et...les frisottis! Cette vague capillaire qui surgit sans préavis et transforme votre chevelure en une masse incontrôlable. Mais ne craignez plus, car nous avons compilé une série de conseils et astuces capillaires pour vous aider à combattre ces frisottis estivaux. Vous voilà prêtes à défriser l'été! La vérité sur les frisottis: de quoi s'agit-il? Pour mieux combattre l'ennemi, il faut d'abord le comprendre. Les frisottis ne sont rien d'autre que vos cheveux réagissant à l'humidité dans l'air. Un phénomène encore plus fréquent pendant les mois chauds et humides de l'été. Pourtant, ces ondulations capricieuses ne sont pas une fatalité. Hydrater : l'astuce capillaire indispensable L'hydratation est le maître mot dans la lutte contre les frisottis. C'est le manque d'hydratation qui pousse vos cheveux à absorber l'humidité de l'air, entraînant l'apparition des frisottis. Pour cela, misez sur des soins capillaires nourrissants et hydratants. Non seulement ils renforceront la barrière naturelle de vos cheveux, mais en plus, ils donneront un bel éclat à votre chevelure. Un masque hydratant fait-maison: votre nouvel allié Voici une recette simple et efficace: mélangez une banane mûre avec une cuillère à soupe de miel et une de huile d'olive. Appliquez le mélange sur vos cheveux, laissez agir pendant une demi-heure puis rincez. Une astuce capillaire naturelle pour des cheveux doux, hydratés et sans frisottis! Les bons gestes à adopter Avoir les bons réflexes peut également vous aider à prévenir les frisottis. Par exemple, privilégiez un séchage naturel de vos cheveux. La chaleur du sèche-cheveux peut en effet dessécher la fibre capillaire et favoriser les cheveux emmêlés. Ensuite, utilisez un peigne à dents larges plutôt qu'une brosse, pour éviter de casser vos cheveux et stimuler les frisottis. A lire également : Balayage blond sur cheveux bruns : comment obtenir ce look à la maison Vers des coiffures anti-frisottis Certaines coiffures peuvent aussi aider à dompter vos frisottis. Les chignons, les tresses ou les queues de cheval sont de bonnes options pour contenir vos cheveux. Et pourquoi ne pas accessoiriser avec de jolis bandeaux ou foulards pour ajouter une touche estivale à votre look? Maintenant que vous êtes armées de ces précieux conseils, dites adieu aux frisottis et embrassez l'été avec confiance et beauté. N'oubliez pas, chaque chevelure est unique, alors n'hésitez pas à expérimenter et à trouver les astuces capillaires qui fonctionnent le mieux pour vous. Et surtout, partagez vos découvertes et succès capillaires avec nous en commentant ci-dessous. Nous avons hâte de vous lire! Read the full article

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lours-postal · 1 year

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2023 – 70

et la censurée ?

#lours postal #carte postale #noir et blanc #série des mains #série de la chevelure #série chez nous à Lille #série de l'atelier #Emma #modèle Emma #Emmarcescible #Emma pour toujours #artpostal #mailart

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lours-file-a-telie · 9 months

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philatélie 48

@equipe

Encore merci

#lours file à télie #carte postale #cachet postal manuel #couleur #philatélie #bureau temporaire #art postal #affranchissement philatélique #cachet des fêtes johanniques de reims #mailart #art collaboratif #série de la chevelure #série des remerciements

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lours-se-met-en-4 · 2 years

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A4 – 007

#lours-se-met-en-4 #carte postale #couleur #format DIN A4 #série des diptyques #série de la chevelure #Emma #quoi qu'il en suit #cachet postal manuel #art postal #mail art

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edolasft · 9 months

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De la Lumière au Ténèbres : Chapitre 9

L A V E N G E A N C E

Alors que le groupe présent a Balia Dark quitte le jardin lugubre pour retourner a l'intérieur du manoir, un orage se fit entendre. Le ciel gronde, et la lumière quittait peu à peu le ciel, se plongeant d'avantage dans les ténèbres. Le Royaume de Fiore pourrait rapidement ne plus jamais revoir la lumière du soleil. Mais c'est pour stopper ces phénomènes étranges que le groupe en mission devait poursuivre son chemin et rapidement mettre une raclée au maître de Balia. Rapidement c'est Erza qui sert de guide dans le manoir, muni d'une carte qu'elle avait par chance dénichée dans la bibliothèque elle mène a bon port ses camarades, mais leur avancé se fait toujours avec prudence, ils ne sont pas a l'abris d'une nouvelle série de piège.

Du côté de la guilde de Fairy Tail, tout le monde commence peu à peu à se remettre de l'attaque de Rimboper. Les mages faiblement blessés c'était rapidement remis grâce a l'aide de Wendy ou de Polyussica qui était vite venu aider les membres de Fairy Tail. Certains avaient commencé a retirer les débris de la guilde et a remonter les portes principales d'autres allaient en ville s'assurer que tout allait bien, les autres aident les derniers blessés mais tout semble rapidement revenir a la normale au grand soulagement de la mage de rang S qui semblait s'inquiéter pour son frère cadet. Mais ce qui inquiète surtout les autres membres de la guilde, c'est le temps que met leur maître pour revenir. Quoi qu'il en soit, puisque la situation semble s'améliorer au quartier général, Mirajane prend une grande décision. Elle veut aller prêter main forte au premier groupe déjà parti. Cela semble être de la folie pour certain, mais la démone semble déterminée a partir à leur rencontre. Cette décision est partagée par sa soeur Lisana, mais également par le trio de Raijin qui semble prêt a suivre Mirajane. A ces cinq mages vont s'ajouter Wendy et Carla mais également Levy.

Rapidement l'ensemble des mages se retrouvent au porte de la guilde prêt a partir, lorsqu'une voix grave se fait entendre derrière eux. En se retournant ils virent Lily déterminé a les accompagner, il voulait a tout prix rejoindre Gadjeel. C'est donc ce nouveau groupe de mages qui se préparent pour rejoindre la guilde de Balia Dark et venir prêter main forte au premier groupe.

De retour du côté de l'équipe sur les lieux, ils devaient monter plusieurs escalier. En efeft selon la carte que détenait Erza, le maître de la guilde devait siéger dans l'unique tour de ce manoir. Ils devaient donc se rendre rapidement a l'endroit le plus haut de ces lieux. Lucy et Juvia étaient toujours sur le dos de Grey et Natsu. Mais la mage de l'eau semble petit à petit retrouver des forces et elle demanda alors a son camarade de la reposer au sol pour qu'elle puisse grimper seule les escaliers, mais Grey refuse et lui demande de récupérer autant de force qu'elle puisse parce qu'il sait qu'en arrivant en haut de ces marches un combat pouvait les attendre et elle devait être au maximum de ses capacités. Souriante face a cette intention, Juvia n'insiste pas et reste donc sur le dos de Grey qui continue de monter.

Et alors que les deux mages se mettent d'accord, Gadjeel cris soudainement de faire attention, avec vivacité tous les mages esquivent une soudaine attaque survenu de l'obscurité. Natsu fronça les sourcils et reconnu alors une odeur familière. Sort alors de l'obscurité un homme vêtu de noir, sa chevelure rousse et ce sourire narquois. C'était sans aucun doute que les mages de Fairy Tail reconnaissent Rimboper. Rapidement Natsu confit Lucy a Elfman et s'élança vers leur ennemi les deux poings enflammés. Erza lui cria de ne pas se précipiter une énième fois mais en vain, Natsu arrive près de Rimboper mais sans surprise, le mage noir repousse facilement le dragon slayer grâce a une énorme explosion noire. Natsu vola dans les escaliers et alla s'écraser contre un des murs, Erza et Grey profita de cette opportunité pour l'attaquer. Vêtu de son armure de léopard pour gagner en vitesse elle s'élance contre lui, Grey fait diversion avec ces lances de glaces que sans soucis Rimboper détruit, mais les éclats de glace lui brouille un court instant la vue, c'est a ce moment là que la mage de rang S en profite pour attaquer. La sentant venir, Rimboper se fit légèrement touché par l'épée de la mage aux cheveux écarlates mais esquiva le coup fatale en se téléportant devant Natsu. Tous furent surpris par sa vitesse d'exécution... Le mage noir attrapa alors la tignasse rose de Natsu et posa sa main contre le ventre du dragon slayer.

La voix de Lucy résonne alors dans les escaliers, elle était dans les bras de Elfman, et la mage stellaire supplie alors son adverse de laisser tranquille son camarade. Mais il ne fut pas pris de pitié, il n'était pas là pour faire de cadeau.

Lucy vit son regard noir, elle prit peur et se rappela de cette nuit, où Natsu avait presque sacrifier sa vie pour elle. Elle sort des bras de Elfman tremblante, et fit quelque pas en sa direction se tenant au mur en pierre. Les larmes coulants sur ses joues rouges. Natsu essaya de lui dire de reculer. Erza lui prit son bras et lui dit de ne pas faire une chose stupide. Mais la blonde fait lâcher l'emprise qu'avait la mage aux cheveux écarlates sur elle. Elle se positionna en position de combat, elle leva ses mains et ferma les yeux. Le mage de Balia la regarde les sourcils froncés, il lui ordonne de ne rien faire où il ferait exploser Natsu. La mage stellaire pose ses mains sur ses clefs, une douce lumière dorée s'y échappe, elle sentit une douce puissance magique s'émaner en elle, elle avait pu récupérer un peu, et elle décide donc d'attaquer Rimboper avec une incantation magique puissante.

« En quête du pouvoir stellaire, Ciel ouvre toi à moi ! Montre moi la puissance des étoiles, guide moi vers la lumière stellaire, que toutes les étoiles répondent a mon appel ... »

A la prononciation d'une telle formule, Rimboper lâche soudainement Natsu, il devait vite arrêter la blonde dans son action. Alors que les mages furent éblouis par la puissante lumière dorée qui émane de la blonde, Natsu hurla a Lucy d'arrêter ce qu'elle faisait, qu'elle allait encore s'épuiser pour rien. Mais la mage stellaire semblait prête a se battre. L'ennemi se dirige alors malgré sa faible vision a cause de la lumière, vers Lucy, mais en s'approchant une lumière encore plus éblouissante qui l'entoura, le stoppa dans sa progression.

« Montrez moi votre apparence, Avec l'éclat tel Tetrabiblos, Oh je suis le maître des étoiles, L'aspect est devenue complète, Ouvre ta porte maléfique, Oh 88 étoiles du Ciel, Resplendissent ! »

Face a ces nouvelles paroles, Rimboper tente d"intervenir avec un de ses sorts. Des flammes noirs sortent de sa main et se dirige vers Lucy en pleine invocation stellaire. Au moment où les flammes allaient entrer en collision avec le corps de la mage de Fairy Tail, elle ouvre brusquement ses yeux, une grosse rafale de vent balaye les débris autour d'elle, les mages de Fairy Tail se protège comme ils peuvent alors que Natsu continue de lui crier d'arrêter de faire des folies. Elle termina son incantation ....

« URANO METORIA »

Des planètes, des étoiles, du vent, de la lumière dorée, et une mage blonde au milieu de tous ça. L'attaque se lança et transperça Rimboper qui se mit a hurler de douleur. L'homme ne put rien faire pour contrer cette attaque puissante que venait de réaliser Lucy avec une assurance et une détermination sans faille. La lumière disparut, un énorme nuage de poussière brouille la vision des mages qui étaient partis se protéger, seul Natsu se met a courir vers la blonde pour la soutenir après cette attaque spectaculaire. On vit alors au sol le corps du mage noir, immobile, il ne se relève pas. Etait-elle venue a bout de lui ? ...

Les autres mages la rejoignent et la regardent surprise. Elle détenait une telle puissance en elle, mais cela lui demandé des forces surhumaines, et en utilisant ce sort, elle avait perdu connaissance. Natsu la porta doucement et soupira lourdement, il la traita d'idiote et regarde alors ses camarades. Ils se mirent d'accord pour poursuivre leur ascension mais un soudain tremblement de terre les fait se stopper lorsqu'ils arrivèrent enfin en haut des marches face a une immense porte. Restant sur leurs gardes, ils regardent autour d'eux avant d'être surpris lorsque la porte vola en éclat devant leur yeux, donnant l'accès a une immense pièce à l'atmosphère sombre et effrayante. Au fond de cette pièce les mages pouvaient sentir la présence d'une aura puissante qui les glaça sur place. Plongé dans le noir total et dans le silence, ce silence sinistre fut brisé par des bruits de pas puis par des applaudissements.

« Je dois l'avouer, je suis surpris. Je me rends compte que mes pions sont moins puissants que dans notre monde, cela doit sûrement être du a votre lumière qui les affaibli. Mais cela n'excuse pas la piètre performance de ce misérable "bras droit". »

A peine eu t-il terminé de prononcé ces paroles qu'il sort de l'ombre et fait face aux mages de Fairy Tail plus énervé que jamais. Il leva sa main et prononça une simple formule magique "Téneubreus Artfo", un trou noir se forme sous le corps du roux qui venait d'être vaincu par la blonde et ce dernier fut entraîné au fond du gouffre, tous fut surpris par son geste ... Comment peut-il simplement détruire ses alliés ? Cela était impardonnable. Un combat sanglant allait démarrer d'une minute à l'autre ... Les membres de Fairy Tail étaient prêt a en découdre et se venger pour tous les dégâts causés par cette guilde noire.

Du côté des membres de Fairy Tail qui veulent rejoindre ceux déjà sur les lieux, ils venaient de quitter Magnolia et commencent a emprunter la route qui les mènera vers la forêt enchantée lorsque devant eux se dressent deux hommes. Un de petite taille et l'autre assez robuste. C'était Luxus et Makarov qui semblaient revenir. Surpris en voyant certains membres de la guilde devant lui, le maître les questions. En apprenant leurs intentions, il ordonna a ses "enfants" de rebrousser chemin, de retourner à la guilde sur le champ. Surpris, les mages contestent sa décision, mais le maître de Fairy tail ne leur laisse pas le choix, le groupe de soutien du alors rebrousser chemin a l'étonnement général.

De retour au manoir, le combat avait démarré les membres de Fairy Tail commence vraiment à s'épuiser.

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franckdoutrery · 1 year

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Des étrennes royales

Autrefois le Nouvel An se préparait de longue main. Dans la semaine précédant les vacances de Noël, l’école suspendait en partie les leçons habituelles pour se consacrer à la fameuse « lettre de vœux », celle qu’on lirait à haute voix devant nos parents au matin du premier jour de l’an. Maître Albert nous avait fourni à cet effet une double feuille de papier toute en couleurs, où figurait tantôt un paysage enneigé, tantôt une rose de Noël ou une branche de houx, avec en guise d’en-tête une magnifique lettrine dorée contenant en écriture gothique la majuscule M, conçue comme initiale de notre compliment : Mes chers parents. Suivait un espace ligné qu’il fallait remplir en écrivant de notre plus belle plume – et sans fautes d’orthographe – tout ce qu’en ce beau jour on souhaitait à nos parents chéris : santé, chance et longue vie, à commencer par cette nouvelle année, qui serait à coup sûr débordante de bonheur, d’amour et de joie. On les remerciait de nous avoir donné la vie, de nous avoir choyés avec toutes sortes de soins, de cadeaux et de conseils. La chance inouïe que nous avions d’être leurs enfants ! De jouir de leur générosité, de leur bon exemple et de leur protection de tous les instants ! Outre ces souhaits qui ne nous coutaient pas cher, on formulait aussi des promesses plus risquées, qui ressemblaient beaucoup à celles déjà faites à saint Nicolas quelques semaines plus tôt et qui s’étaient avérées si efficaces en termes de récompenses sucrées. Tout au long de l’année on allait être sages, obéissants au doigt et à l’œil, enfants dévots à l’église, élèves appliqués à l’école, faisant nos devoirs au lieu de jouer, exécutant sans rechigner les travaux et corvées de la vie quotidienne.

Le Nouvel An était aussi le jour des visites. On entendait par là le plaisir – ou l’obligation – d’aller voir tel oncle ou telle tante pour leur souhaiter la même chose qu’à nos parents, mais en plus modeste et plus succinct. Il suffisait alors de leur faire la bise en disant « Bonne année ! » pour qu’on soit invité à un dessert fait de tranches de pain d’épice, de gâteaux ou d’autres viennoiseries, ce qui constituait tout de même pour nous la raison essentielle de la coutume. Pour certaines familles comme la nôtre, ce rite comportait en outre une variante curieuse qui consistait à rendre visite au bourgmestre. A quoi était dû ce privilège ? Au fait que mon frère puîné était le septième d’une série de huit garçons et que selon une habitude ancestrale, ce septième exemplaire d’une lignée purement mâle devenait d’office le filleul du roi régnant, en l’occurrence Léopold III. Aussi ce frérot avait-il été baptisé avec le prénom du souverain, même si on l’appelait communément Pol, diminutif Polleke. Or un des avantages d’être le filleul du roi était d’avoir droit tous les jours de l’an à des étrennes sous forme de monnaie sonnante et trébuchante. Le roi s’occupait-il donc lui-même de faire parvenir leur enveloppe aux innombrables filleuls du royaume ? Vous n’y pensez pas ! Il était prévu que son remplaçant local y pourvoirait. Et son remplaçant le plus proche de nous était le bourgmestre.

C’était donc mon frère Polleke qui accompagnait tous les ans notre mère chez ce notable pour y recevoir ses étrennes. Sauf cette année-là, où une appendicite le clouait au lit et qu’il fallut le remplacer dare-dare pour ne pas rater l’enveloppe. Et le choix de ma mère tomba sur moi. Pensant rendre visite non au roi mais tout de même à un grand vizir, je m’étais attendu à voir un édifice monumental qui soulignerait la noblesse de son résident. Au lieu de quoi, on entrait dans une maison, bourgeoise certes, avec vestibule et belle pièce, mais sans les lambris et les ors qu’on imagine en pensant au palais royal. Une autre déception concernait son occupant. C’était un homme trapu tout en rondeurs, qui fumait un gros cigare à la Churchill et m’appelait Léopold. Derrière lui, sur le pourtour de la cheminée, trônait d’ailleurs l’auguste tête à la chevelure bouclée de notre souverain. Le bourgmestre voulait savoir si le filleul de ce Léopold (il me prenait décidément pour mon frère Polleke) travaillait bien à l’école, s’il était bon en calcul et en orthographe, s’il allait défendre plus tard notre patrie contre l’envahisseur. Questions auxquelles tant ma mère que moi-même répondions sans hésiter par l’affirmative. Tirant alors un gros nuage de son cigare, il plongea sa main dans sa poche intérieure, en sortit son portefeuille et donna un billet de cent francs à ma mère.

Cent francs, un magot, un trésor, le gros lot ! Qu’est-ce qu’on ne faisait pas à l’époque avec une telle somme ! La générosité de notre souverain était vraiment sans limite ! J’y voyais tout de suite une année entière de friandises à consommer, une montagne de bonbons, de chocolat et de massepain. Or après avoir remercié le bourgmestre, ma mère plia le billet en quatre et le fit disparaître dans sa sacoche. « Pour la tirelire commune », dit-elle en souriant.

Les chagrins de l’enfance sont les plus durs à surmonter. Au point que parfois ils hantent encore la vieillesse.

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experimentaltranslation · 2 years

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5.4 Archimboldo translation (à la Eliana Vicari)

Materials.

• A text for translation that centers around a particular lexical or figural field (see below).

Steps

• Modulate the lexical or figural field found in the text into different one.

Examples

• Original text : “Madame Groichant”, an ‘Arcimboldo verbal’ by Jacques Roubaud

Mme Groichant était crémeuse, abondante, à haute et compliquée chevelure chocolatée, s’apparentant par bien des aspects aux innombrables éclairs, religieuses et charlottes que défournait quotidiennement et excellemment son mari ; elle était dodue comme un croissant aux amandes et lente comme la fonte d’un vacherin. Sa lenteur naturelle était encore aggravée par son incapacité arithmétique notoire, ainsi que par les exigences tumultueuses de la série des neufs petits Groichant, sortis annuellement et successivement du four conjugal avec la réussite et l’enthousiasme des célèbres puits d’amour de leur père. (La Belle Hortense, 76-77).

• Modulations : “Les sœurs de Mme Groichant”, three samples by Eliana Vicari. Translated and/or inspired by yours truly.

Ms. Francpoise

Ms. Francpoise was fresh, juicy, with very and complicated orangey hair, resembling in a number of ways the innumerable strawberries, watermelons, blackcurrants and cherries that her husband selected excellently and daily; velvety and tender like a peach, she was however hard and long to cook like beans. She was naturally slow, and this was aggravated by her infamous arithmetic inabilities, as well as by the tumultuous exigencies of the collection of nine little Francpoises, who popped out yearly and successively from the conjugal cabbage patch with the success and enthusiasm of their father’s famous “personalized passionfruit.

Ms. Tournepeau

Fleshy, pulpy, vaguely aged, with a frankly horsey grin and a smidgen of bovine in her eye, Ms. Tournepeau resembled in a number of ways the innumerable guinea fowl rolls, turkeys stuffed with chestnut, and geese with sauerkraut that her husband stocked excellently and daily; she was plump as a capon stuffed with foie gras and slow as a stew. She was naturally slow, and this was aggravated by her infamous arithmetic inabilities, as well as by the tumultuous exigencies of the collection of nine little Tournepeaus who were delivered yearly and successively from the meat locker with the success and enthusiasm of their father’s famous slow-cooked pork.

Ms. Zoles

Ms. Zoles was dry, airing her arid knockers like flounders in a barrel. She wore a tiny smile like a puffer-fish from atop which she gazed like a whiting out of water. Sleeping with the salmon and eating at all hours, she was fishing for compliments much the way her husband voraciously gutted his mussels. She was slippery as a red herring, thin and svelte as a young eel. Moreover, she had accrued a turbot-like speed by means of her notorious mathematical abilities, which she needed much more than an anchovy needs a bicycle because she had to respond to the boisterous demands of the many mini Zoles in the sea, who appeared annually and successively from the conjugal trawler, which produced many oysters to fry.

Variation:

• Arcimboldo gendertranslation: translate changing the gender. Originals by Eliana Vicari.

Mr. Ébilachion

Mr. Ébilachion was perfectly made-over, immaculate, beautified, his face moisturized, his moustache unctuous and moist, luxuriant as a brush. His head glistened, admirably deplumed down to a hair’s breadth. He resembled in a number of ways the innumerable exfoliations and depilations, manicures, pedicures and filings that his wife undertook excellently and daily. He was polished, tonified, slimmed, firmed, sculpted like a god, and yet… strange but true… slow… slow like the setting of a no-chip nail polish. He was naturally slow and this was aggravated by his infamous arithmetic inabilities, as well as by the tumultuous exigencies of the collection of nine little Ébilachions, born yearly and successively from the eternal conjugal wax heater with the success and enthusiasm of their mother’s famous massages, accompanied by the her sweet affectionate voice whispering: “just lay there and look pretty.”

Mr. Couvelnail

Mr. Couvelnail had tattooed arms, his left ear pierced with an ornamented hoop, his tight, clean-shaven hairstyle was oddly striped, resembling in a number of ways the innumerable nets, snoods and gangions that his missus baited and hooked excellently and daily. He was plump as a whale in algae and slow as an old man against marlins and sharks. He was naturally slow and this was aggravated by his infamous arithmetic inabilities (his old lady so well-schooled ‘twas hard to count the fish!), as well as by the tumultuous exigencies of the collection of nine little Couvenails, spawned yearly and successively from the creel with the success and enthusiasm of the famous guilled pleasures of their motherfish who, it is said, had a flounder with a swordfish at every port.

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