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#Cinéma contemporain
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Daaaaaali ! Quentin Dupieux
Chronique d'un film loufoque et drôle !
FAN-TAS-TI-QUE aurait ponctué Daaaaaali en visionnant le film de Quentin Dupieux ! Que ces deux-là étaient faits pour se rencontrer ! Absolument pas autobiographie, mais un vrai hommage à ce comédien, cet hurluberlu narcissique, mégalomane mais complètement esseulé que fut cet artiste prodigieux ! Jeune journaliste (Anaïs Demoustier) décide de réaliser une interview de Daaaaaali qu’elle…
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wowajafavo · 2 years
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L'art contemporain mode d'emploi flammarion paris
#http://vk.cc/c7jKeU#<p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><center>L'ART CONTEMPORAIN MODE D'EMPLOI FLAMMARION PARIS >> <strong><u><a href= rel="nofoll#<br>#<br> </p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p>L'art contemporain. Elisabeth Couturier. Auteur. Edité par Flammarion - paru en DL 2009 L'art contemp#L'art contemporain mode d'emploi : Elisabeth Couturier: Amazon.fr: Livres.#Livre. Art contemporain : ce qu'il doit aux chefs-d'oeuvr Elisabeth Couturier. Auteur - Flammarion - 2021. Le guide. Une découverte des sou#Cinéma contemporain#mode d'emploi : présentation du livre de Jean-Baptiste Thoret publié aux Editions Flammarion. Le cinéma est un art populaire#Réservez votre livre parmi plus d'1 million de titres : romans#jeunesse#BD#manga#scolaire#bestseller#polars beaux-arts#sciences humaines.#SFlammarion. Après le succès de son précédent ouvrage#L'Art contemporain#mode d'emploi#Elisabeth Couturier donne les clés pour comprendre et apprécierL' art contemporain : mode d'emploi / Elisabeth Couturier. Livre. Couturier#Elisabeth. Auteur. Edité par Flammarion. Paris - 2009.#L'art contemporain mode d'emploi#Elisabeth Couturier#Flammarion. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de#La librairie Gallimard vous renseigne sur Art contemporain#mode d'emploi (L') de Éditeur : FLAMMARION Date de parution : 25 décembre 2009 Rayon : ART#Son propos ? Donner les clés de lecture de cette nouvelle photographie qui#depuis quelques années#envahit galeries et musées d'art contemporain tout en#</p><br>https://mucocujicok.tumblr.com/post/694472703704530944/iphone-4-mode-demploi-bouygues-tel
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fidjiefidjie · 11 months
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Sculpture 👌de Brigitte Bardot d'Adolfo Mariani 2017 ,inspirée d'une aquarelle de Milo Manara installée Place Blanqui à St Tropez
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Bel après-midi 👋
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(petite histoire poétique du cinéma, Une partie de campagne, Jean Renoir)
les visages questionnaient les lumières ; la lumière épousait le vertige des sentiments ; et le divin se taisait dans cet échange de silence, de peur de briser l’image, ses mots superflus
© Pierre Cressant
(dimanche 20 novembre 2022)
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raoullemercier · 8 months
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2023 Arles, tour Luma Une cabane de cinéma : La serre du bonheur, 2018 Agnès Varda
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edgarmoser · 9 months
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aloïse sauvage - l'album "sauvage"
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aloïse sauvage - fumée
2022
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thomas-querqy · 11 months
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« Sick of myself » réalisé par Kristoffer Borgli avec... 😍
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ccnountche · 1 year
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Les sept lauréats des Journées Nationales du Livre et du Vin
Depuis leur création en 1996, les Journées du Livre et du Vin s’attachent à la célébration d’une triple alliance, celle de la littérature, du vin et de l’amitié. Tous les ans, ce rendez-vous unique, attendu comme un « rituel », se fait grâce à l’enthousiasme inaltérable et collectif de 200 bénévoles, et grâce à l’engagement des partenaires privés et publics de l’organisation.
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radioroquette · 2 years
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RR17—2# Les programmes du lundi 17 octobre au jeudi 17 novembre
• Les créations sonores de RR * Gauthier Keyaerts, Vincent Tholomé « Chant 26 * how to ne pas dormir à bali » (4’59) • Les mots ont la parole par Françoise Donadieu * Le mot « essoufflement » (7’28) • La voix du large de Lili Le Gouvello * Caroline Colas, Comment j’ai pu tenir debout ? (19’23) • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Guinée, Brésil & Afro-caribéen (10’) • En attendant la plage —écritures contemp. * Pascale Petit, une voix nouvelle à Tournez la Plage (16’03) • Les rencontres de RR * Itinéraire Danse Festival 4ème édition, Au son de CUBA (27’06) • Le billet cinéma de Benoît Muller * Journal cinéphile de septembre (28’10) • La ville sans salades ni ambages de Sébastien Madau * Faites vos jeux (4’) • Les rencontres de RR * Le Cri du Court, un festival qui prend ses marques (32’23) • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Spécial Jamaïque (10’) • Quartiers de culture —Théâtre contemporain * « Condor » de Frédéric Vossier (42’36)
Les interludes : Sekouba Bambino « It’s a man's man's man's world » (Guinée) * Ginga « Falador passa Mal » (Brésil) * The Bongo Hop « La Napa » (France) / (Afro-caribéen) ¬ Spécial Jamaïque : King Tubby « Take Five » * Gregory Issacs « Mr. Cop » * Maxi Priest « Wild World »
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bouxmounir · 2 years
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Avec l'exposition "When Basketball Inspires", une vingtaine d'artistes auditionnant le ballon orange
Avec l’exposition “When Basketball Inspires”, une vingtaine d’artistes auditionnant le ballon orange
Par Alice Mascher Publié le 17/12/2021 à 14h15, Ma journée le 20/12/2021 à 16h48 Trajectory Studio revient avec “When Basketball Inspires” édition 2 à découvrir du 17 au 23 décembre. © Antoine Magnien X Folkr Le studio Trajectory Creation Studio vous propose une nouvelle édition de votre exposition Quand le basket inspireun terrain de votre art pour vous retirer dans le 10e du 17 au 23…
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Divertimento - Film
Orchestre philharmonique Divertimento décrit le parcours pendant une année de jumelles, l’année de leur Bac. Zahia (Oulaya Amamra) et Fettouma (Lina El Arabi) ont intégré le prestigieux Lycée Racine à Paris célèbre filière musicale qui permet d’approcher les plus grands. Depuis, leur plus tendre enfance, elles sont bercées par la musique symphonique classique. Fettouma pratique le violoncelle et…
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raisongardee · 1 year
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Les élites dirigeantes ne cachent plus leur intention d’organiser le monde selon leurs intérêts, et le libéralisme montre de plus en plus clairement le visage violemment réformateur qu’il a en réalité toujours eu. Le voile vaguement humaniste qui a longtemps pu le rendre sympathique se déchire à présent sous nos yeux.
Au début de ce si��cle encore, la contestation politique portait sur des choses que le plus grand nombre pouvait trouver relativement abstraites : l’oubli du sacré, la mécanisation des modes de vie, le repli individualiste et la fin des communautés, la dégradation des milieux naturels, la corruption des élites et des mœurs… tout cela ne préoccupait finalement qu’une minorité d’insatisfaits, et n’affectait pas l’existence d’une masse encore ivre des avantages hérités des Trente Glorieuses.
Seuls les plus sensibles et informés sentaient que quelque chose n’allait pas, et que le vert était dans le fruit du monde moderne. Nous étions marginalisés par notre intérêt pour les périodes précédentes, souvent moqué et sans force face aux arguments du progrès technique et du nouveau confort. L’image du passé était envahie par la condition ouvrière du XIXe siècle, les guerres du XXe, ou encore un moyen âge dont le cinéma ne savait mettre en scène que les brumes hivernales. En ne brillant que sur les villes modernes, même le soleil semblait témoigner contre nous.  
Il n’en est plus tout à fait de même aujourd’hui, dans un contexte économique, social et culturel qui écrase de plus en plus violemment les gens ordinaires. Les "grands récits" américanisés ont perdu une part de leur magie, le décor est usé et laisse entrevoir les vieux rouages du libéralisme.  
Même si ce grand dévoilement transforme lentement les convictions, la majorité de nos contemporains reste cependant sans réaction. Nous ne parlons pas des complices d’un système ouvertement inhumain, de ces minorités pathologiques qui restent toujours un aussi petit nombre que les résistants opérationnels, mais de la grande majorité qui ferme les yeux et refuse de voir les choses en face. Elle se détourne de ce qu’il lui est trop pénible d’envisager, et laisse le nœud se serrer aussi longtemps qu’elle peut encore respirer. Un tel aveuglement est certainement un moyen de s’épargner le malaise de la conscience, une sorte de mécanisme de sauvegarde par lequel le cerveau se met en veille et protège une intégrité psychologique menacée par la panique. Cette stratégie s’explique aussi longtemps que l’inaction reste indolore, tant que l’incendie qui ravage les premiers étages n’a pas encore atteint le nôtre, mais elle laisse aussi le mal grandir jusqu’au point de non-retour. Il est vraiment démoralisant de voir une humanité incapable d’assumer sa situation objective, aveugle aux signes qui devraient pourtant l’alerter. Un tel refoulement est peut-être le phénomène naturel par lequel nous ne faisons face qu’à la mesure de notre capacité d’endurer.
La "rationalité limitée" avec laquelle les flagrants délits de violence politique et sociale sont envisagés repose sur des types d’arguments dont il est facile de faire l’expérience :
Le déni, qui repousse sans cesse les limites du choquant et de l’inacceptable, et permet par exemple de ne pas sourciller à l’idée de signer à soi-même une permission de sortie ou de porter un masque en plein air. D’où les "il faut voir le bon côté des choses", "ça a toujours été comme ça c’est pas nouveau", "tu te prends un peu trop la tête".  
Le discrédit, qui disqualifie une réalité ou un argument en raison de l’indignité d’un de ses éléments constitutifs. De même que la corruption du clergé a largement ridiculisé la religion, les actes de violence ou complots imaginaires permettent de discréditer toutes les résistances au pouvoir en place. D’où les "tu vois bien que c’est pas clair tout ça", "quand tu vois ce qu’a fait untel tu doutes quand même un peu excuse-moi", "oui on croyait ça au début, puis on s’est aperçu qu’untel…"
Le soupçon, qui conduit à douter de tout ce qui n’a pas l’évidence d’un fait simple et direct, et à n’accorder foi qu’à ce qui est visible et immédiatement vérifiable. Le miroir déformant des médias justifie largement un tel scepticisme, mais contribue aussi à tout diluer dans un doute hyperbolique qui cantonne la réflexion à la sphère individuelle et triviale. C’est ainsi qu’on peut à bon droit "se méfier d’internet", qui est cependant aussi le seul canal d’information qui échappe au contrôle de l’Etat. D’où les "tout est faux", "de toute façon ils sont tous pourris", "on ne peut faire confiance à personne".
L’étiquetage, qui consiste à manipuler des noms et caractères a très forte charge émotionnelle, et qui s’imposent comme des évidences a priori et universellement partagées. Tout ce qui est ainsi nommé est considéré selon la programmation et puissance affectante de l’étiquette. Après le célèbre "facho", le plus récent "complotisme" fait automatiquement regarder les faits comme des fantaisies. D’où également les "c’est encore un truc d’extrême-droite ça", "c’est raciste", "homophobe", "antisémite", "intolérant", "rigide" ou "jugeant".
De telles lectures de la situation impliquent les émotions sans la moindre analyse objective, et restent donc aussi susceptibles d’affecter les mieux armés. Dans un texte de 1945, René Guénon évoquait déjà "un secret qui est mieux gardé que tout autre : c'est celui de la formidable entreprise de suggestion qui a produit et qui entretient la mentalité actuelle, et qui l'a constituée et, pourrait-on dire, "fabriquée" de telle façon qu'elle ne peut qu'en nier l'existence et même la possibilité, ce qui, assurément, est bien le meilleur moyen, et un moyen d'une habileté vraiment "diabolique", pour que ce secret ne puisse jamais être découvert."
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havaforever · 4 months
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LE TEMPS D'AIMER - Comme avec son film précédent Suzanne, Katell Quillévéré nous offre à nouveau un grand moment de cinéma. Nous retrouvons ici la singularité qui fait la force de cette réalisatrice : beauté absolue de la photographie, composition et lumières, maîtrise du traitement de la temporalité (et de l'art de l'ellipse) sur une période qui se prolonge sur sur une vingtaine d'années. Réussite également pour ce "film d'époque" au caractère mélodramatique qui sait éviter les pièges de l'un et de l'autre. Ainsi parvient-il à nous éblouir par son traitement résolument moderne.
Ce récit, aussi intense que sensible, amène une réflexion fine sur la psychologie de personnages marqués au fer rouge par la société. Katell Quillivere film avec justesse la destinée d'une femme, la complexité de la maternité, de la sexualité, du couple. Les questions identitaires qui traversent le temps, amènent à repenser encore notre société actuelle.
Cette jolie pépite est une magnifique peinture de deux personnages qui n'auraient pas dû se rencontrer et qui pourtant prendront "le temps de s'aimer". Leur incarnation par Anais Demoustier et surtout Vincent Lacoste (qui joue un rôle à contre emploi) est prodigieuse. L'évolution de cette femme tondue d'après guerre, et de cet homme diminué par la poliomyélite, est passionnante et souvent surprenante. Ils sont fabuleux et il est difficile de quitter ces deux personnages.
NOTE 17/20 - Hymne à l'Amour, foi en la possibilité d'une réparation (thème cher à la réalisatrice), Le temps d'aimer est un bijou précieux à la fois universel et très contemporain.
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(petite histoire poétique du cinéma, la vocation)
une ville travelling avant, une ville travelling arrière, sinueuse sur le fil de la colline comme un hommage aux mouvements des images ; tendue en équilibre, régulière et droite, la ligne gracieuse et légère que vous avez suivi durant votre jeunesse jusqu’à concevoir inconsciemment le mouvement parfait du cinéma qu’elle induisait ; l’origine peut-être au milieu de cette rue unique de votre choix futur, ville amour du mouvement aérien des images : San Miniato, ville natale des frères Taviani
© Pierre Cressant
(jeudi 17 août 2006 - vendredi 25 août 2023)
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nnjzz · 7 months
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CONTUMACE + CIGUË + BLASE OF 69 + BORDS BRUTS
SAMEDI 07.10
CONTUMACE CIGUË BLASE OF 69 BORDS BRUTS
20:00 portes
20:36 action !
CAFÉ de PARIS 158, r Oberkampf 75011 M° Ménilmontant P.A.F. 6€ https://www.facebook.com/events/696971665740688
CONTUMACE
De la guitare bien Synthi ?
Lionel " que-l'on-ne présente-plus " Fernandez ( SISTER IODINE, ANTILLES, MINITEL, HAINE, IBIZA DEATH, ... ) instille - en mini-chapitres bien condensés - la bande-son marécageuse et lancinante d'un long cauchemar éveillé.
C'est du cinéma ( d'horreur ) pour l'oreille, charriant en intraveineuses bien chargées leur  potion-mystère.
" ( ...) la tonalité est (... ) radicale et bruitiste. (... ) avec la volonté d’en explorer ici le versant post-industriel et minimal/électronique. Travail autour du signal dont il s’agit de contourner le routage traditionnel, ce disque frappe par la cohérence de son propos et son caractère sans concession. Le caractère contraint du dispositif, son réductionnisme, constituent la principale caractéristique opératoire du disque : minimal au sens d’une économie de moyen qui s’impose comme levier créatif, c’est du côté de la double filiation Throbbing Gristle/Esplendor Geometrico qu’il faut ici se tourner. Mais ceci avec une ambition esthétique bien éloignée de la citation trop appuyée, ou du revival rétro-futuriste un peu trop rencontré ces derniers temps.
( Section 26 ) 
CONTUMACE / LIONEL FERNANDEZ se lance dans une corrida statique avec lui-même, faite de miniatures synthétiques, de lacérations fréquentielles, de concaténations austères & de mouvements pétrifiés, le tout avec 666 paires de lunettes de soleil au pays de la nuit éternelle ( pour ) une musique de pure distanciation sociale, tel un shoot sonique superbement angoissant, formidable relent fantomatique_bruitiste Throbbing Gristelien._yes! ( Cave 12 )
" On laisse derrière soi l’écoute de cette musique, la quittant avec un sentiment de malaise, un peu honteux du plaisir pris dans ce masochisme sonique. (... )
Lionel Fernandez reprend les stratégies soniques de la musique industrielle portées sur de courtes unités de temps, fracturant notre écoute, chaque titre semblant une étape nous faisant franchir les cercles de l’enfer contemporain. Step by step passant d’un morceau inquiétant à un autre tout aussi oppressant, délétère.
Aucune envolée fracassante avec sa Fender, de claquage de cordes métalliques, de corps cogné rudement pour en extirper ces bruits sourds oppressants qui rappelleraient la dépense festive de Sister Iodine, la promesse d’une danse en apnée. Il ne s’embarrasse pas de patterns rythmiques qui fixeraient notre écoute dans une métronomie rassurante, jouissive, mais efface nos repères, nous perd dans l’angoissante solitude des machines. On songe aux mantras lancinants des tondeuses à gazon (... ), aux sifflements des frigidaires, aux crépitements des néons, tous ces soliloques solitaires des objets industriels qui font la musique de notre modernité dans notre absence.
Guitares et synthétiseur EMS sont joués ici avec une rage rentrée, la tension palpable pour autant. La musique de Lionel Fernandez s’écoule comme un poison dans nos veines, saturant notre écoute de laideurs électriques, de lumières blanches troublantes, corps perdus dans les lignes de fuite des circuits électriques. Musique de frottements, d’usures, qui nous laisse épuisé, vaguement nauséeux comme après une gueule de bois, alors pourquoi y replonger ? Parce qu’elle nous parle de notre présence aux mondes, de cette oppression bruitiste qui nous entoure et reconfigure notre rapport à l’autre, parce qu’elle dit notre angoisse d’être séparé, seul dans la symphonie électrique des objets célibataires." ( Revue & Corrigée / Michel Henritzi )
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CIGUË Une autre manière d'aborder l'instrument et de d'infuser petit à petit sa concoction vénéneuse : Catherine Guesde fait ( aussi ) de la guitare électrique - augmentée par tout un attirail électronique, distillant ainsi du drone ( " approximatif " dit-elle ), allant même jusqu'à flirter avec des ébauches des mélodies fantomatiques ( quoi ? ! ) et tissant des textures capiteuses d'un certain  " indus rural " ( paraîtrait-il ) avec. Elle a publié plusieurs albums en cassette dont une en duo avec l'Australien Kole Galbraith. Une certaine idée d'un cadeau empoisonné.
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BLASE OF 69 Les plus averti.e.s d'entre vous auront deviné de quoi il y retourne :   deux duos parisiens, excellents et électroniques de surcroît - BLASON + CLASS OF 69 - fusionneront ( commande spéciale du N_J ) de manière éphémère ( mais - qui sait ? ) et que l'on anticipe des plus oufs.
On a confiance - ces Messieurs savent y faire !
Étant donné qu'il s'agit d'une première, on ne dispose à ce jour d'aucun lien illustrant cette future rencontre - ou clash ? - des Titans, on vous re-soumet néanmoins quelques indices afin d'établir quelques hypothèses quant à la teneur de cette occurrence.
BORDS BRUTS Chloé et Lucas forment le duo-joker de la soirée :  repérés dans la fameuse série BROKEN IMPRO ( se déroulant plus ou moins bimensuellement au Chair de Poule sous la houlette du maestro Roro Perrot ) : ils manipulent électronique, cassettes, micro-contacts, voire une machine à coudre et puis quoi encore.
Projet tout nouveau - pas de lien utilisable non plus pour le moment. Fly - Jo L'Indien
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edgarmoser · 9 months
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aloïse sauvage
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