Tumgik
#bref pas mal amoché.
lolochaponnay · 4 months
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C'est un gars qui rentre dans un bistrot, il est tout égratigné dans la figure, sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché. - Alors ses copains lui demandent ce qui lui est arrivé. - Le gars répond: - Je viens d'enterrer ma belle-mère! Les autres de lui répondre : - Quel est le rapport avec tes égratignures? Le gars répond : - Mais c'est qu'elle ne voulait pas!
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Histoire 8 / "ah, mais vous avez fini par dire oui", par la police lors d'un dépôt de plainte.
J'avais déjà subi des rapports non consentis au cours de ma vie.
Ça m'avait fait beaucoup de mal, mais je n'avais pas encore assimilé à ce moment-là que ce que j'avais vécu était grave, car j'étais en couple avec l'agresseur.
En 2018, alors que j'avais 19 ans, j'organisais une petite soirée jeu de société avec quelques amis (on était 4 en tout). Je venais de finir mes concours après ma deuxième année de prépa et je voulais décompresser. La prépa c'est dur, j'étais au fond du trou (dépression tmtc) et les violences sexuelles que j'avais déjà subi m'avait bien amoché et fragilisé. En profitant de cela, et du fait que la personne dont j'étais amoureuse était présente et que j'avais honte que l'on me voit si vulnérable ou que personne ne vienne m'aider, mon violeur en a bien profité.
J'ai fini par porter plainte 2 mois plus tard. La police horrible. J'avais l'impression de n'être qu'un numéro ou du travail supplémentaire. La policière de l'accueil m'a demandé de témoigner et a noté ce que j'ai dit. Non sans ajouter "ah, mais vous avez fini par dire oui" J'ai dû attendre des heures dans la salle d'attente parce que l'on voulait que je vois une brigadière. J'aurais préféré un être humain. La policière du début était partie faire son sport donc les notes je pouvais me brosser. J'ai du tout raconter de nouveau dans un openspace où des gens venait et partait encore et encore. Où j'étais presque traitée comme une délinquante. Interrompue sans arrêt. Je n'ai été "respectée " que lorsque je leur ai donné le mot de ma psy qui affirmait ma situation. J'ai eu peur de la police pendant plusieurs années après ça. J'ai redoublé ma prepa.
J'ai durant toute cette année dû retourner dans l'établissement scolaire avec mon violeur. J'avais des nausées tous les matins. L'administration m'a dit ne rien pouvoir faire et de prendre sur moi. J'ai rassemblé le maximum de ce que je pouvais trouver. Les messages qui évoquaient mon viol. Les témoignages d'autres filles qu'il avait harcelé, agressé, pu embrasser de force.
J'ai dû mener l'enquête seule, la police ne faisait rien et passer mes concours pour les écoles d'ingé en même temps. J'ai pris une avocate pour essayer d'accélérer les choses. Après trois années de trauma, dépression sévère, décrochage scolaire… j'ai reçu un appel. J'étais convoquée au tribunal.
On m'a dit que mon absence de consentement était prouvée et qu'on me croyait, mais qu'il n'y avait pas de preuve que lui m'ait violé car il a déclaré qu'il croyait que j'étais d'accord. Donc il suffit de dire "je savais pas" et on a le droit de tout faire à quelqu'un, faut croire.
J'ai voulu faire appel, me porter partie civile, l'avocate m'a ghostée et pris en otage mon dossier pour que je ne puisse pas aller voir ailleurs. Elle a pris l'argent mais elle a rien branlé. Mon violeur est actuellement libre comme l air.
Après 6 ans de thérapie, ça m'handicape toujours au quotidien. Je viens de démissionner de mon boulot d'ingénieur car je n'arrive plus à gérer le stress de mon travail et le stress depuis le viol. Bref j'ai une tache à l'encre noire dans mon cœur et lui il est libre comme l'air, prêt à en tacher d'autres. Je vous souhaite une bonne journée quand même ^^'.
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manue-ringo · 11 months
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Chapitre 33 : Retour inespéré
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Ce bruit soudain, le réveilla instantanément. Il se leva en catastrophe avant de se saisir de son arme qu'il pointait derrière la porte de son bureau :
- Qui est là ? Répondez ! S'exclama-t-il.
- Ouvrez, vous verrez bien. Répondu une voix féminine.
Mulder sentit son pou s’accélérer. Il ne pouvait pas croire ce qu'il entendait. Il tiqua un instant avant d'ouvrir prudemment la porte.
- Vous ? C'est une plaisanterie ? Dit il d'une voix fébrile.
La jeune femme brune rétorqua à son tour :
- Salut. Et non vous ne rêvé pas agent Mulder. C'est bien moi. Dit elle.
Son visage avait des égratignures et son corps semblait blessé à quelques endroits.
- Vous en faite une tête. Ne soyez pas ridicule, laissez moi entrer que je vous explique. Avait-elle repris avec impatience.
Elle prit soin de refermer la porte derrière elle.
- Navré de vous déranger à une heure pareille, mais j'aurais besoin de soins comme vous pouvez le voir. Où est votre chère et tendre ? Dit elle spontanément.
Mulder ne réalisait toujours pas que l'agent Parker se tenait juste devant lui, saine et sauve.
- Euh, Scully ? Elle est chez elle bien sûr. Je peux l'appeler si vous voulez. Dit il d'un ton maladroit.
- Si ce n'est pas trop vous demandez. Rétorquas t’elle dans un sarcasme.
Il appela Scully en urgence puis attendu avec elle son arrivé.
- Merci, vous êtes serviable. Dit elle en s'installant tranquillement sur son siège. Elle sortit une cigarette de sa poche.
- Vous ne devriez pas fumer avec votre état. Dit Mulder.
Elle le fixa froidement puis reprit :
- Depuis quand vous souciez vous de mon bien-être ? Vous avez perdu l'esprit ? Dit-elle d'un air moqueur.
Il ne sut quoi répondre. Il ne pouvait que lui donner raison.
- Vous avez raison. Écoutez, je tiens sincèrement à m'excuser pour mon comportement. Je n'aurais jamais dû vous dire ces choses... commença t-il.
- Je ne suis pas venu pour parler de ça et encore moins pour me réconcilier avec qui que ce soit d’ailleurs. J'ai juste besoin de l'aide d'un médecin et il se trouve que votre charmante partenaire en est un. Dit elle avec froideur.
Mulder sentit une pointe d'amertume l'envahir.
- Vous semblez être un peu amoché vous aussi. Vous vous êtes battu ? Avait-elle fait remarqué.
- C'est une longue histoire. Commençons par vous, que vous est il donc arrivé ? On vous a cherché partout. Dit Mulder avec gravité.
- Disons que j'ai été retardé. Bref, ça n'a plus d'importance. Bon sang, c'est quoi cet endroit ? Dit elle avec aversion.
- C'est mon bureau. Dit Mulder dans un soupir.
- C'est pire que dans mes cauchemars. Vous êtes le type le plus bizarre que je connaisse. Dit Parker en scrutant autour d'elle.
Mulder fut tout son possible pour ne pas répliquer à ces dires. Il ignora ses remarques puis reprit :
- Écoutez, nous avons encore pas mal de questions à régler et nous n'avons plus beaucoup de temps devant nous. Nous avons besoin de votre aide. Dit il.
Parker parut amusé. Un sourire narquois se dessina au coin de ses lèvres.
- Vous avez l'air désespéré. Pour votre gouverne, il me semble que j'ai suffisamment rempli la part de mon contrat. L'agent Pendrell vous a fourni tout ce qu'il vous fallait pour réouvrir cette affaire. Avait-elle répliqué sèchement.
- En effet, mais il reste encore quelques détails à régler. Notamment pour votre père. Commença-t-il.
- Ne mêlez pas mon père à ça ! Ça ne vous concerne pas, c'est de ma vie privée qu'on parle ! S'exclama-t-elle en se relevant brusquement.
- Aie. Bordel, mais que fait l'agent Scully ? J'ai très mal aux côtes ! Maugréa Parker. Elle se tâtait pour voir l'étendue des dégâts. La jeune femme semblait mal en point.
- Pardon, je ne voulais pas vous mettre en colère. On reparlera de ça un peu plus tard si vous le voulez bien. Vous avez l'air de souffrir de vos blessures.
Mulder parut embarrassé de voir la jeune femme ainsi. Il ne savait pas comment gérer ça. Il avait besoin de Scully au plus vite. - Vous devriez peut-être vous rasseoir, ça sera plus confortable pour vous. Proposa-t-il hésitant.
- Taisez-vous ! Je ne supporte pas que l'on me dise ce que je dois faire. Dit elle d'un ton hautain.
Heureusement, l'agent Scully ne tarda pas à les rejoindre quelques minutes plus tard...
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fallenrazziel · 5 years
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Les Chroniques de Livaï #388 ~ POUR TE PROTEGER, J'IRAI EN ENFER (septembre 845) Erd Gin
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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J'en étais sûr, je savais bien que Mariele était derrière tout ça ! Ca me peine un peu que ma fiancée ait si peu confiance en mes capacités de soldat pour me mettre sa grande soeur sur le dos, mais je peux pas lui en vouloir ; je vais combattre des géants mangeurs d'hommes... Ce qui est fait est fait et Nadja est tout à fait compétente de toute façon.
Je craignais qu'elle soit tout le temps sur mon dos mais il n'en est rien. Elle prend soin de nous quand on est blessé mais autrement, elle sait garder ses distances. Elle est timide avec les gens qu'elle ne connaît pas, mais bizarrement elle ne l'est pas avec le caporal-chef. J'ai comme l'impression qu'ils se comprennent très bien. Il lui donne même des responsabilités plus importantes, soi-disant parce qu'elle est plus âgée et sérieuse. Bref, elle a bien fait son trou parmi nous.
J'ai noté qu'elle avait pas eu droit au rituel d'admission, le caporal-chef ne lui a rien fait nettoyer. Bah, si elle est comme Mariele, tout doit être nickel autour d'elle je parie.
Comme Gunther et moi fonctionnons bien ensemble, le caporal-chef a coordonné Nadja avec Claus. Il a d'abord rechigné un peu, prétendant ne pas vouloir faire équipe avec "une fille" - je le soupçonne d'être un peu macho -, mais il a bien constaté que le test de l'autre jour n'était pas un accident : elle est vraiment douée, presque autant que lui, et en tout cas plus que Gunther et moi. Ces deux-là seront assignés aux coups de grâce, et nous au fauchage de jambes, c'est sûr. Même si on attend de nous que nous soyons polyvalents et capables d'agir en solo aussi efficacement.
C'est pourquoi je suis parti m'entraîner tout seul aujourd'hui. Il fait moins chaud que d'habitude et le terrain d'entraînement est libre à cette heure : les cadets des brigades d'entraînement sont partis et les explorateurs vaquent à leurs occupations, notamment les cours de théorie. Je suis bien tranquille !
Enfin presque... Je perçois du mouvement sous les arbres et je me faufile dans les buissons pour mieux voir. Je reste sur le cul. Au milieu des titans de bois éclairés par les rais de lumière, je distingue la haute silhouette du major Erwin qui parle de façon animée en agitant les bras. Je ne l'ai jamais vu dans une telle agitation, c'est presque flippant. Mais au bout d'une minute, je comprends mieux ce qui se passe. A côté de lui, je devine la présence du caporal-chef, qui gesticule lui aussi en secouant la tête.
Ouhlà, y a un problème ? J'aimerais bien savoir ce qu'ils disent mais ces deux-là ont des yeux et des oreilles partout, ils me repèreraient. Je pourrais toujours leur dire la vérité, que je suis venu m'entraîner en solo et que je les espionne pas, mais...
Apparemment, le major essaie d'argumenter sur un sujet important avec le caporal-chef mais il a du mal. Je sais moi-même à quel point c'est dur de le convaincre. Mais j'ai entendu dire qu'il finissait toujours par accepter les vues de Smith. Ca me paraît mal barré quand même. Ils quittent les lieux à grandes enjambées, toujours en se disputant, et je peux enfin sortir de ma cachette. Ouf ! J'espère que cette discussion n'aura pas de répercussion sur l'humeur du leader ; on est toujours les premiers à en faire les frais en général...
Mais de quoi ils parlaient ? Bah, si ça doit me concerner, je le saurais bien assez tôt.
J'actionne mes gâchettes et décolle vers une branche basse, en regardant les mannequins inoffensifs en contrebas. Je serais bien allé jusqu'à Rose pour me friter avec les vrais, mais on nous a formellement défendu de faire ça sans la présence d'un vétéran. Je vais me contenter de ça.
Je m'élance sur le premier à ma portée et tranche sa nuque en mousse déjà bien amochée quand je me rends compte que je suis pas seul. Mais c'est pas vrai, c'est un défilé aujourd'hui ou quoi ?! Je voudrais être tranquille, bon sang de... !
Je me pose sur le second titan pour regarder qui se ramène. Je le connais, c'est celui qui a rejoint l'escouade de chef Hanji. Keiji, je crois. Je vole vers lui et je le salue - il le fait aussi. Eh, tu es venu t'exercer aussi ? Si on pouvait évite de se gêner, ce serait bien - il approuve. Moi je reste par là, regarde de l'autre côté, il y a plein de titans ! Tu pourrais leur faire leur fête, non ? Il me répond avec un sourire carnassier un peu forcé et s'apprête à s'éloigner quand je l'arrête. J'y peux rien, je suis un peu curieux et on m'a tellement raconté de choses sur...
Je m'accroupis à côté de lui et lui demande si c'est vrai ce qu'on raconte à propos de chef Hanji. Je veux dire... le caporal-chef dit qu'elle est brillante mais folle à lier, et qu'il a bien failli lui tordre le cou plus d'une fois, haha ! C'est vrai, elle est vraiment comme ça ? Elle vous fait faire des trucs déments ?
Keiji soupire et rétorque que tout est vrai. Ben mon vieux, on a tiré le gros lot, nous c'est le fanatique de la propreté ! C'est une vraie torture mais c'est pas si cher payé pour faire partie de l'élite ! Keiji m'informe que chef Hanji est plus que jamais obsédée par sa captureuse de titans, qu'elle en a refait les plans et veut absolument les montrer au major. Je l'ai vu passer tout à l'heure avec le caporal-chef, ça avait l'air de barder. Mais... une captureuse de titans ?! Ca promet ! Et vous servirez d'appâts je suppose ?
Il n'est pas catégorique mais répond que c'est un peu pour ça qu'il est là, il est l'attaquant de l'escouade et veut parer à toute éventualité. Genre, elle te collerait en première ligne pour les attraper ?! Elle serait capable ? Le caporal-chef laisserait pas faire ça ! Je sais pas ce que tu en penses mais tout me laisse croire que les gradés préparent des trucs... Tu trouves pas bizarre qu'on ait encore aucune perspective de sortie ? S'il faut rassembler des fonds, ça risque de prendre du temps. A mon avis, on est pas près d'y aller...
C'est pas plus mal, ça nous laisse le temps de peaufiner notre technique. Il me dit au revoir et va s'entraîner plus loin.
Bon, je veux plus d'interruption maintenant ! Je vais tellement dégommer ces mannequins qu'il faudra les remplacer après mon passage !
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[Toshira] After the fight
Petit One Shot se déroulant juste après l'arc de Tora, pendant les jours suivant la bataille contre son père et Jun. Après avoir laissé ses gênes prendre le dessus et lui faire perdre le contrôle de ses actes, elle avait finit par terminer hospitalisé, son corps trop faible ne l'ayant pas supporté. Hijikata lui de son côté, était bien décidé à faire son travail comme il le fallait, en bon policier qu'il était.
Hijikata avait toujours détesté les hôpitaux. L'ambiance morose et le calme constant qui y régnaient, leurs chaleur presque étouffante et l'odeur typique de désinfectant et de médicaments qui lui agressait les narines le mettait plus que mal à l'aise. Il n'en avait que de mauvais souvenirs et avait toujours fait en sorte de les éviter le plus possible.
Pourtant aujourd'hui, il était venu ici de son plein grès. L'incident qui s'était déroulé il y a quelques jours avait secoué le centre ville : plusieurs Yato s'était battus entre eux en pleine journée, ce qui avait finit par détruire un bon nombre de bâtiments et semer la panique auprès des habitants. Les auteurs avait finit par s'en aller avant l'arrivée du Shinsengumi, à l’exception d'une personne qui avait dû être transporté d'urgence à l’hôpital après avoir été retrouvé inconsciente et en piteuse état à l'issue de cette bagarre. C'était pour cette raison qu'il était en ce moment même entrain de parcourir ces longs couloirs résonnants. Il devait l'interroger sur ce qu'il s'était passé, et appliquer des sanctions si nécessaire.
Bien que Kondo-san lui ai affirmé que quelqu'un d'autre pouvait s'en charger, il avait insisté pour le faire lui-même, prétextant devoir de toute manière passer non loin de l’hôpital aujourd'hui. Un mensonge évident, étant donné que son emploie du temps indiquait clairement qu'il devait patrouiller à l'exact opposé à cette heure là. Son supérieur le savait sans doute mais n'avait pas rechigné et l'avait même encouragé à y aller, lui disant qu'elle « serait certainement contente de le voir ». Comme si il était là pour ça. Il venait uniquement faire son travail, rien de plus. Enfin, c'est ce qu'il continuait de se répéter à lui même encore et encore pour s'en convaincre.
La scène à laquelle il avait assisté quelques jours plus tôt pendant son jour de congé lui avait tout simplement glacé le sang. Tora, la gentille gérante de la supérette du quartier, habituellement serviable, douce et remplie de joie de vivre était devenue son exact opposé en l'espace de quelques secondes. Comme possédé, elle s'était jetée sur un des assaillants, un sourire carnassier bien différent de celui doux et accueillant qu'elle portait habituellement sur le visage, et l'avait tabassé avec une force surhumaine qu'il ne lui connaissait pas. Après avoir vu Seira en danger à cause de l'un d'eux, la rage avait pris le contrôle de son corps et il était clair qu'elle n'était pas consciente de ce qu'elle faisait, son regard complètement vide et l'envie de tuer qu'elle dégageait en étant la preuve. Hijikata savait qu'elle n'était pas elle même à ce moment là. L'expression terrorisé qu'elle afficha lorsqu'elle eut repris conscience et jeté un coup d’œil à ses mains ensanglantées ne pouvait quitter ses pensées. Elle avait l'air d'une enfant qui venait de se faire prendre entrain de faire une bêtise, sauf que cette fois-ci, la bêtise en question n'était rien d'autre que les bâtiments en ruines aux alentours et l'homme à moitié mort qu'elle tenait par les cheveux.
Hijikata s'était senti impuissant à ce moment là, incapable de faire quoi que ce soit hormis regarder la scène les yeux écarquillés.
Arrivé à l'étage désiré, il aperçut Seira au loin qui venait de sortir de la chambre au bout du couloir, appartenant sans aucun doute à celle qu'il venait lui aussi visiter. Même à plusieurs mètres d'elle, il pouvait voir à quel point elle semblait épuisé des récents événements, et sa théorie se confirma quand il la vit s'étirer et bailler à s'en décrocher la mâchoire, en prenant quand même le soin de vaguement mettre sa main devant sa bouche. C'est seulement quand elle remarqua sa présence qu'elle repris contenance en affichant une mine radieuse, comme pour cacher son évidente fatigue, mais ses yeux cernés la trahissais immédiatement. Elle trottina silencieusement vers lui pour ne pas gêner les autres patients de l’hôpital, les mains enfouies dans les poches de son kimono.
« Tu as l'air encore plus morte que d'habitude. » lança le policier, directement après qu'elle ai atteint sa hauteur.
« Contente de te voir aussi, Toshi. »
Il ne tiqua pas à l'entente de ce surnom. Depuis qu'elle avait entendu Kondo-san l'appeler ainsi il y a un moment de ça maintenant, elle avait pris la mauvaise habitude de faire pareil, malgré les nombreuses fois ou il lui avait crié d'arrêter. Il ne prenait même plus la peine de le faire maintenant et préférait l'ignorer, sachant très bien qu'elle n'arrêterait de toute manière pas.
« Rentre chez toi, tu vas commencer à faire peur aux gens.
- Mais non t'inquiète pas ça va, j'ai juste l'impression de commencer à entendre les couleurs. » exagéra t-elle.
Le regard d'Hijikata s'arrêta brièvement sur le bandage enroulé autour du front de la jeune femme. Le remarquant, elle poursuivit :
« Oh ça ? Rien de grave, à part avoir gracieusement mangé le sol, je n'ai pas eu grand-chose. Bref, je suis contente que tu sois venue, j'attendais que Gin-chan arrive pour ne pas laisser Tora toute seule mais maintenant que tu es là je vais pouvoir aller me prendre un café à la machine du rez de chaussé. »
Sans lui laisser le temps de répondre, elle commença sa marche après lui avoir fait un bref signe en guise d’au revoir, mais s'arrêta net, comme si elle venait de se souvenir de quelque chose. Tout en posant sa main sur son épaule, elle le regarda droit dans les yeux avant de poursuivre :
« Au fait Toshi, je ne sais pas si tu es là pour lui rendre visite ou pour faire ton travail mais dans tout les cas fais attention, elle est bien assez mal en point comme ça, pas besoin de lui faire subir un interrogatoire qui la fera encore plus culpabiliser. » l'avertit elle. Elle ne semblait pas le menacer mais sa voix était étrangement sérieuse, contrairement à son ton sarcastique habituel.
« J'ai pas besoin qu'on m'apprenne à faire mon travail, surtout par toi. »
Seira se contenta d'afficher un sourire en coin en haussant les épaules et continua son chemin pour de bon cette fois, disparaissant au détour d'un couloir.
Après avoir frappé de plusieurs petit coup la porte, Hijikata prit une grande inspiration avant de poser sa main légèrement tremblante sur la poignée. Pourquoi se sentait-il si angoissé ? Il ne venait faire que son travail après tout, comme tout bon policier, il était de son devoir de venir questionner une de celle qui avait semé le K.O en ville, rien de plus. Alors pourquoi cette sensation de malaise ne voulait le quitter, comme s'il avait peur de voir ce qui se trouvait derrière cette foutue porte ?
Prenant son courage à deux main, il pénétra dans la pièce. La jeune Yato était bien là, assise sur son lit, le regard perdu dans le paysage que lui offrait la fenêtre de sa chambre. Hijikata ne manqua pas de voir les bandages enroulés autours de son coup, son front, son bras et ses deux chevilles, lui faisant se demander si elle pouvait au moins ne serait-ce que marcher. Il remarqua également que ses cheveux était inhabituellement lâché, détail totalement insignifiant qu'il se surprit d'ailleurs à avoir vu et encore plus à avoir pensé que ça lui allait bien, le moment n'étant pas du tout propice à ce genre de pensées. Quoi qu'il en soit, Seira n'avait pas menti sur son état et il ressentit un pincement au cœur en la voyant si amoché, elle qui avait toujours détesté la violence.
Bien qu'il n'ai pas été spécialement discret en arrivant, Tora ne semblait pas l'avoir entendu entrer dans sa chambre. Pour preuve, elle ne s'était même pas retourné pour lui faire face et avait toujours les yeux rivés sur la fenêtre, apparemment perdu en plein monologue intérieur. Il toussota légèrement pour lui signaler sa présence, ce qui fit sursauter la jeune femme qui daigna enfin se tourner vers lui. Seulement, au lieu de l’accueillir avec son stupide sourire habituel, seul une expression de tristesse se forma sur son visage.
« H-hijikata…-san. » Murmura t-elle.
Il entendit sa voix faiblir en prononçant cette dernière syllabe. Sans rien ajouter de plus, ses yeux s'embuèrent de larmes et elle éclata en sanglot, ce qui fit rater un battement au cœur d'Hijikata. Il ne s'attendait pas à cette réaction de sa part et la voir aussi triste le rendait étrangement mal. Embarrassé, il passa une main dans sa chevelure noire et vint s’asseoir sans un mot à côté d'elle sur son lit, essayant tant bien que mal de trouver les mots justes pour aborder le sujet sans la blesser d'avantage.
« On m'a raconté ce qu'il s'est passé… » Il n'eut le temps de finir sa phrase qu'elle le coupa.
«  Pardon, je suis qu'un monstre, un monstre. Tout est de ma faute, j'ai toujours essayé de rejeter cette partie de moi mais j'ai échoué, je ne vaux pas mieux qu'eux. Je suis désolé Hijikata-san, je suis désolé…Si je n'étais jamais venue sur Terre il ne m'aurait jamais retrouvé et personne n'aurait été bless-
- De quoi est ce que tu parles ? Kondo-san m'a prévenu ce matin que tu t'étais retrouvé au milieu de l'incident d'il y a quelques jours alors je suis venu voir comment tu allais. Apparemment, des Yato serait passé dans les environs pour une histoire de vengeance ou quelque chose du genre. C'est une bonne chose que tu ai été là pour les retenir, aucun innocent n'a été blessé grâce à toi. »
Il avait très bien compris que ce n'était pas par hasard qu'elle avait été prise dans le combat et il était clair qu'elle avait dû faire quelque chose pour que deux Harusame s'en prenne à elle, surtout que la situation laissait clairement paraître que les trois Yato se connaissait parfaitement. Cependant, il préféra se taire. Ça ne lui ressemblait pas de ne pas être franc et encore plus de mentir, il le savait très bien mais il jugea qu'il n'était pas nécessaire de remuer le couteau dans la plaie en lui disant qu'il avait assisté à toute la scène et qu'il se doutait que quelque chose ne collait pas, ça ne ferai que la blesser d'avantage et il ne supporterai pas d'aggraver la situation. Hijikata détestait voir une femme pleurer, et Tora n'était pas une exception à la règle.
Une expression interrogatrice se forma sur son visage avant de pousser un soupir de soulagement, comme apaisé par sa réponse. Sans ajouter un mot, elle se contenta de doucement poser sa tête sur l'épaule du policier qui se tendis instantanément, essayant tant bien que mal d’empêcher ses joues de rougir alors que la Yato laissait couler les larmes qu'elle retenait depuis visiblement bien trop longtemps. Il n'avait aucune idée de ce qu'il se passait dans la tête de la jeune femme à ce moment là, de pourquoi elle se mettait dans un état pareil et de pourquoi l'incident l'affectait autant mais il n'ajouta rien, préférant lui offrir le peu de réconfort que pouvait lui offrir sa présence.
***
Combien de temps étaient ils restés ainsi ? Peut être un bon quart d'heure, voir même plus ? Il n'en savait rien. A force de pleurer, Tora avait finalement fini par s'endormir sur son épaule après s'être enfin calmé. Il semblerait qu'elle avait finis par sortir toute les larmes qu'elle le pouvait, se qui laissait penser qu'elle en avait gros sur le cœur depuis un long moment. Posant délicatement sa tête sur l'oreiller de son lit en prenant soin de ne pas la réveiller, Hijikata s'en alla vers la porte, décidé à partir. Seulement, alors qu'il s’apprêtait à sortir, il entendit son nom, appelé par une voix basse à moitié endormie :
« Hijikata-san… » Ses yeux étaient toujours fermé et sa voix presque inaudible.   
« Mmh ? Qu'est ce qu'il y a encore ?
Merci. »
Un faible sourire apparu brièvement sur son visage, et, à sa vu, le policier détourna le regard, embarrassé. On dirait bien qu'il allait devoir trouver une bonne excuse pour n'avoir rien pu tirer de ce pseudo interrogatoire.
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musesahics · 7 years
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Samedi, 11 novembre 2017.
Hier, j’étais plein de courageuses résolutions... oh, je me sentais comme un guerrier... Aujourd’hui, elles sont bien amochées.
Hier, donc, je me couchais... “il ne faut plus se soucier des éventuelles passions de Laura” dans la tête... invincible... dans le cœur, en des endroits dans le corps, bref, je ne sais pas vraiment où... mais quelque part en moi, juste avant la boucherie des illusions.
J’étais convaincu que c’était gagné... comme un déclic qui débloquerait tout... clic, clac... les 3 septs... la richesse, toutes les pièces qui me tombent dessus, m’écrasent, ensevelissent mon apparence impassible, puis mon sourire, enfin épanoui, 29 ans après le début de la merde... La joie infinie, c’était bon, j’étais enfin heureux.
Mais non... La gueule dans le mur, mais tout doucement, comme si je ne le voyais pas... Et le sourire dessus, sans que je m’en rende compte, s’était tout doucement mis à l’envers... et tire maintenant cette sale gueule jusqu’au goudron.
C’était mal connaître la vie... “Tu le savais pourtant”, j’en finis par m’engueuler moi-même. Oui, c’est vrai, je le sais comment qu’elle est cette vie à la con. Elle est tordue, des bosses partout, puis des cratères, du chaud à en crever, juste après de la neige, parfois tout en même temps même... Mais jamais de ligne droite, paisible, prévisible... le truc qu’en suis des yeux sans même les ouvrir, juste dans l’imagination... Le truc un peu chiant en fait... On est content de la connaître comme ça en fait... Alors oui, c’était vraiment mal connaître la vie!
Dans cette vie, il est difficile d’être constant... avec toutes ces surprises bossues, creuses, de toutes les formes et toutes les couleurs... Et puis aussi avec les émotions, qui, comme des ricochets, perturbent cette petite source de vie qu’il y a en nous.
Il faut savoir les contrôler... les apprivoiser même, car chacune peut nous être utile : la tristesse pour nous forcer à ralentir, nous reconstruire et se focaliser sur les problèmes ; le bonheur pour décupler nos envies de créer, de construire, d’exister. Elles peuvent servir à tant de choses, si on les capture, les comprends et les articule dans le bon ordre, un rythme entraînant, une inlassable mélodie, parfaitement.
Quand elles nous submergent, quand on les subit, c’est une chienne d’histoire... C’est elles qui nous contrôlent, comme d’affreuses marionnettes, idiotes et égoïstes. On se met à radoter alors comme des pauvres vieux... pathétique, ennuyeux, incontinents. On se pisse partout dessus, de la misère, de la mélancolie, des regrets et des remords. Beurk, tout droit, honteux, s’apitoyant, pendant que le monde bouge, on laisse mourir la vie en nous.
J’avais un peu de pisse sur moi aujourd’hui... du manque surtout... de la jalousie aussi, comme hier soir. Maintenant, ça va mieux... Elles se sont rangées sur le papier, mais c’est de l’entrainement, du travail acharné tous les jours, les nuits aussi... Une éthique... une régularité, quelques inévitables prières journalières.
J’ai encore pensé à ce que Laura pouvait faire... je me suis demandé surtout si elle pouvait passer des moments de tendresse avec un autre... pendant que moi, là, je me torture le cerveau et le cœur. 3 lignes de faiblesses, mais mises en animation à travers ma vie.
Bref, je suis entrain de colmater les fuites, de trouver des réponses, je me psychanalyse. Au fond, pourquoi les gens sont-ils jaloux? Ce n’est pas de l’amour comme beaucoup ont l’air de le penser, c’est tout le contraire de l’altruisme. Les gens sont jaloux parce qu’ils ont peur de ne pas être si importants. Effectivement, la jalousie ne se manifeste que quand on a des sentiments pour quelqu’un, mais ce n’est qu’une condition. C’est de l’égoïsme en fait, bien déguisé, maquillé... mais quand le masque tombe, ce n’est plus si beau.
C’est même laid en fait... On n’est jamais jaloux à cause de l’autre, c’est en nous. “Et si finalement, d’autres pouvaient lui plaire?”, “Et si en fait, je ne suis pas le meilleur à ses yeux?”, “Merde, et si je ne l’épanouissais pas totalement?”... Et ben oui, ce sont de naïfs peureux ces jaloux. A croire que notre petit être, grain de sable dans l’univers, ce rien... pouvait avoir une quelconque substance du tout... de la complétude... de l’infini...
Je sais, ce n’est pas facile à avaler... Ca reste coincé dans la gorge pour toujours... Ca nous pèse... Crack... les pieds 30 centimètres dans le sol... On n’en ressort jamais, cela restera toujours. Mais on finit par s’habituer... et ça permet de mieux voir ce qui nous attend au bout du tunnel.
Je sais, ça rassurerait de croire qu’on existe pour plus longtemps que l’éphémère... Merde, faites un effort là-haut... On ne peut pas laisser quelque chose de vivant ici? Une partie de nous, genre le truc qu’on appelle l’âme au moins... On vous laisse prendre le corps... Non? Bon... une trace alors? Juste une petite de rien du tout... Une étincelle, une minuscule lueur, un signe... Qu’il y ait un sens à ces conneries... qu’on se rappelle de nous... qu’on ne disparaisse pas pour toujours...
Non.
C’est comme si on l’avait explosé sur la tête ce “non”. Une bombe nucléaire sur le crâne. On en dort pas pendant des nuits les premières fois... et puis, on oublie... ça se barre... ça reste muet en nous... mais on en aura toujours conscience.
Alors je les comprends les jaloux... Je me comprends moi-même, vu la pisse que je fais dégouliner ces derniers temps. On aimerait au moins qu’il y ait quelques belles illusions, tant qu’on est encore là... Mais “non”, encore ce “non”.
Il faut essayer de se résigner... la possessivité, quelle merde... De toute façon, tout ce qui est propriété, ça a toujours foutu la merde. On n’appartient qu’à soi-même, et encore... C’est peut-être pas vrai du tout. 
Bref, ça donne presque envie d’être échangiste ces conneries... Allez, baisez-la ma Laura... Y’a pas de problème, salissez-la, traitez-la comme une pute... Ca me dérange pas du tout, hein? Ca ne remet pas du tout en cause ce que je lui donne, ce que je lui ai donné. Je lècherai tout, y’a vraiment pas de problème... Je suis une pute, sans aucune fierté. Oh, fermez-la, jamais je ne pourrais descendre si bas dans la laideur.
Mais alors, comment on fait pour gérer cette émotion la, cette putain de jalousie? Je n’ai pas encore complètement trouvé... J’ai quand même une piste : c’est l’amour équilibré et réciproque.
Ces belles illusions peuvent durer jusqu’à la fin de notre vie... Je n’ai jamais dit le contraire... Ce sont d’autres émotions finalement, et on en revient à ce que l’on disait avant... Il faut savoir les apprivoiser, c’est du travail. Ces émotions, c’est l’amour donc, mais un amour avec une certaine éthique... L’amour altruiste, en fait, éperdument altruiste... Sacrifier sa vie pour la vie de l’autre, point barre.
Mais je crois que c’est assez rare à rencontrer... Et c’est une montagne de travail.
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toropicanalolol · 7 years
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Ces fanfics dont vous ne verrez jamais la fin.
Yo yo yo tout le monde. 
Voilà un article que j’aurai du faire depuis longtemps, mais il s’est passé beaucoup de chose entre le moment où j’ai annoncé mon arrêt d’écrire poney et aujourd’hui. Entre mon nouveau travail, mon déménagement chez mes parents, ma remise en question via ma chaîne YouTube, mes nouvelles idées de fictions etc... J’ai du mal à m’y retrouver. Mais bon, faut bien le faire un jour, donc voici la liste des fictions MLP que j’ai faites et qui sont toujours en cours... mais que je ne terminerais jamais.
Attentions ça va être long. 
Aurore Boréal
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L’idée de cette fic était tout sauf originale, mais le but était quand même de la faire sous une forme encore jamais faite. Une guerre humain VS Equestria, sur tous les fronts (avant, pendant et après) tout en veillant à prendre en compte le plus de facteur possible (la météo, les radiations des centrales à l’abandons etc...). On aurait eu des scènes avant que le conflits éclate, cad voir des poneys espionner les humains, puis les humains tentez de dialoguer avec Celestia, déterminer à vouloir changer les humains, des trahisons, des ultimatums, des attentats et j’en passe.
Puis on aurait eu un chapitre centrale : une grande bataille en plein Manhattan, extrêmement violente, suivit par un sergent se retrouvant embarqué dans un hélicoptère pour couvrir les parachutistes des poneys qui les tuaient en pleins vols, mais l'hélicoptère se serait crashé, le héro du chapitre se serait retrouvé avec un autre régiment tentant d’éliminer un groupe de licorne prenant en otage des civils, jusqu’à trouver la localisation de Celestia et de s’y rendre mais pas jusqu’au bout. Pris dans un guêpier, le sergent tentera de s’en sortir au péril de la vie des autres mais se fera assommer contre un mur par un grand terrestre, et à son réveil, le sergent se retrouve en haut de l’Empire State Bulding, à côté de Celestia, qui lui parle et lui explique pourquoi elle fait ça, que ce n’est pas juste pour venger Luna mais de rebâtir l’humanité qui a fondé sa civilisation sur des erreurs, avant de lancer un sort qui provoquera une éruption solaire qui anéantira tout appareil électrique sur Terre.
Une bonne partie de la fic aurait été un post apo, se passant en France où là aussi la guerre fut féroce, où l’on suit un lieutenant qui se retrouve malgré lui avec une mission qui pourrait mettre fin à la guerre : un fichier vidéo où l’on voit des poneys et des humains s’entendre en bon terme et aussi s’entraidant pour survivre. Il se retrouvera avec une jument abandonné, et tout au long du voyage, ils tenteront de s’aider malgré la réticence du lieutenant jusqu’à devenir amie, et être eux mêmes une preuve comme quoi l’entente est possible.
Egalement un passage en trois chapitre assez similaire où Spitfire se retrouve sur Terre, pouliche, alors qu’elle était porté volontaire pour tester un portail, elle des d’autres poneys dont Thunderlane qui aurait fini comme elle en pleins milieu d’une base américaine. L’une tentera de survivre avec un enfant pendant plusieurs années dans un monde en ruine tandis que l’autre aurait également grandis mais chez les humains, à travailler pour eux jusqu’à trahir ses semblables malgré lui. 
La fin aurait été marqué par la capture du lieutenant par les poneys qu'il l’embarquerons à Equestria, où il fera face à Celestia masquant sa folie tout en lui montrant qu’elle a su changer les humains avec en exemple des enfants qu’elle a fait capturé alors qu’ils étaient nourrissons.
Quand à la jument, elle se retrouvera dans un bunker caché dans le sud de la France, abritant de grande figure politique des deux camps : plusieurs présidents dont celui de la France et des USA, Twilight et Fancy Pants. Leurs but étant de neutraliser Celestia, ils utiliserons la vidéo pour la diffuser partout sur Terre pour les seules humains ayant encore de la technologie.
Le final aurait été marqué par une bataille à huis clos pour libérer le lieutenant au prix de la vie de la jument, marquant un point supplémentaire dans l’amitié. Puis à une évacuation de Canterlot car pendant cette bataille, un groupe d’humain ne faisant pas partie d’un camps ont déposés une tête nucléaire dans le château, tout en ayant assassiné Celestia au passage.
Bref, et ça ce n’est qu’un apperçu de tout ce qu’il y aurait pu y avoir. Ajoutez à ça les chapitres où l’on voit Celestia se perdre dans sa folie, celui où l’on aurait vu le lieutenant livrer la jument à un régiment pour la faire prisonnière avant de se rendre compte de son erreur, puis le chapitre qui devait donner le feu vert au poneys pour attaquer, à savoir, un missile tout droit dans le passage entre la Terre et Equestria, détruisant tout l’Empire de Cristal dont Shining Armor et Cadence. Les poneys auraient d’abord riposté en cachette après avoir générer des tempêtes sur tout le globe, puis en téléportant une grande partie d’Equestria directement sur Terre en pleins milieu du pacifique, provoquant alors une vague tellement grande qu’elle aurait anéantit tout le monde occidentale et la côte ouest des USA.
Si j’avais fais cette fic en entier, elle aurait été plus longue qu’Oblivion’s King. Et franchement j’ai d’autres idées qui me paraisse plus intéressante sans compter que j’ai pas envie de passer ma vie à écrire MLP toute ma vie.
Triple Zéro
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Bon là par contre, je vais pas résumer toute l’histoire, y’a déjà eu 9 chapitres dont un OS hors série mais qui aurait fait vite le liens dans la timeline principale avec un autre OS faisant suite au premier.
Donc, Jack devient braqueur mais contrairement à ses compagnons, il restera discret avec sa fortune car son projets est de monter un plan qui consistera à évader Greensmile de prison. D’abord, sa jument lui en dissuadera mais restera déterminé lorsqu’il lui rendra visite, totalement amoché à cause de son compagnon de cellule. Il fera tout pour l’aider et monter un plan avec de quoi largement payer le matériel et ses camarades, jusqu’à ne plus pouvoir commettre de braquage et se sentir obligé d’aller voir une zèbre (Zecora) qui demandera un service en échange d’argent et d’une autre faveur qui mettra son couple en danger, chose qui s’arrangera assez vite.
Ils parviendront à libérer Greensmile en se faisant d’abord passer pour un bus de transfert de prisonnier, assisté par Red Heart usurpant son rôle d’infirmière pour son petit copain participant à l’évasion. Tout se passe bien jusqu’à ce que le père de Jack fasse tomber la couverture car voulant absolument lui aussi sortir. Malgré ça, ils parviendront à s’échapper dont Red Heart officiellement devenu une hors la loi.
Pendant ce temps chez les Wonderbolts, tout va pour le mieux, même pour Spitfire quand soudain, une violente intrusions se passe dans la tour de l'escadrille, faites par Night Mist, ancienne amie de la pégase jaune (que l’on retrouve dans l’OS Mega Drive) jusqu’à tomber nez à nez face à elle, folle de rage, voulant tuer Feldjaeger mais qui se fera éliminer par ce dernier alors qu’il avait également commander l’exécution de son petit ami.
Voici le deuxième OS en question, inachevé : Turbo Killer
Spitfire savait déjà que quelques choses sentaient mauvais chez les Wonderbolts mais pas au point de voir une jument aussi calme devenir folle. Elle tentera alors de savoir vraiment ce qui se passe jusqu’à faire appel à des pro pour espionner le PDG, à savoir l’équipe de Dallas dont Jack et Greensmile, qui feront face à Spitfire et Rainbow Dash. Ils finiront par faire équipe, découvrant au passage à quel point Feldjaeger est une énorme ordure, ce dernier ayant fait des attouchement à Rainbow Dash en échange de voir Spitfire chez les Wonderbolts. Touché par ce geste, les deux juments ne cachent plus leurs amour l’une pour l’autre.
L’affaire éclatera au grand jours, la fortune de Feldjaeger est dévoilé, tous ses meurtres prémédité dont les Hotlines ce qui le fera tomber mais mettant alors en cause une affaire politique qui mettra les USA et la Russie en froid jusqu’à une possible guerre. Twilight tentera de mettre ses amies à l’abris mais découvrira d’elle même ce que la politique a fait d’elle, jusqu’à ne pas avoir pleuré la mort de Pinkie Pie lors d’un braquage qui a mal tourné.
Pendant le chaos mondial sur le point de sombrer dans la guerre, l’équipe de Jack en profite pour faire un ultime braquage dans l’une des plus grande banque des USA à Washington, qui se terminera par une grande course poursuite incertaine.
Le cancer de Spitfire s’intensifie, jusqu’à l’obliger à aller dans un centre médicale spécialisé situé en France en bord de mer sous les conseils de Rarity. Spitfire mourra dans les bras de Rainbow Dash, sur la plage.
Voilà, la fanfic aurait durée une dizaine de chapitre supplémentaire. J’aurais vraiment bien aimé la finir sachant que dans cet histoire j’avais très peu de règle à me soumettre, mais voilà, encore une fois, j’ai envie de passer à autre chose au point de sacrifier cette histoire.
DEVIL 
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Bon, là il aurait été question de plusieurs OS, avec le point en commun d’être très sombre.
J’en prévoyais pas mal, 5 ou 6. 
Après Limiteurs, il y aurait eu Insomnie, un OS qui se passerait que dans Equestia, juste avec des poneys. L’histoire aurait commencé comme une journée comme les autres sur le point de vue des Cakes, jusqu’à remarquer que personne ne viens au Sugarcube Corner avant de comprendre que quelque chose de grave se produit dans le monde entier, d’abord en constant que leurs petits ne se réveillerons plus jamais, mais que tous les poneys/griffons/zèbres/tout ce qui parle, qui se sont endormis depuis la matinées, meurent dans leurs sommeils. 
Tout s’explique par Luna qui est plongé elle aussi dans un coma mais qu’une entité encore plus démoniaque que Nightmare Moon tue tous ceux qui s’endorme dans leurs rêves. Les manes6 tentent alors de régler le problèmes de leurs côtés, Starlight essaient de mettre au point un sort pour garder les poneys éveiller et Twilight tente d’aider Celestia qui veille sur sa soeur tandis que la population et les pays voisins exige un acte plus radicale pour stopper le génocide. 
Les jours passent et déjà, des millions de poneys sont mort, mettant Celestia de plus en plus dans un étaux tandis qu’il deviens presque impossible de rester éveiller. Des manes6 succombent, Twilight commence à se retourner contre Celestia qui décide de bannir de Canterlot quiconque voudra la mort de sa soeur, la mettant dans une colère noire. Et alors que tout le monde de préparait à mourir, Luna fini elle aussi par mourir du sabot de sa sœur qui se volatilise, laissant un mot à Twilight comme quoi c’est à elle de reprendre le trône. 
Le but de cet OS aurait été d’exploiter les réactions des personnages face à une situation aussi critique tout en exploitant au maximum le potentiel des pouvoirs de Luna ou Celestia et des conséquences sur le monde. 
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L’OS suivant aurait porté le nom de cette série, DEVIL, avec un simple scénario tournant autour de Rarity, se mariant avec un poney dont on se fiche du physique ou du nom. Le scénario aurait été une descente au enfer, avec d’abord des remarques désobligeante envers l’entourage de Rarity dont sa soeur, puis directement à elle, en passant par du chantage sur leurs mariage jusqu’à du viol conjugale. Rarity tentera malgré tout de se confier à ses amies qui d’abord n’y croient pas devant la gentillesse de son étalon jusqu’à ce que Twilight soit suffisamment curieuse pour aller fouiller dans ses affaires, chose qui ne plaira pas à l’époux qui l’assomera et tentera de la tuer tout en faisant passer ça pour un accident. Sauf que Rarity arrivera au bon moment et protèrera Twilight jusqu’à tuer à sabot nu son “époux” dans une violence sans nom. La fic se terminant sur une note neutre de Rarity prise en charge par Celestia, tentant de ramener l’élément de la générosité traumatisé à jamais. 
Là aussi le aurait été d’exploité la réaction des personnages mais de manière plus subtile, mais surtout de voir la réaction des personnages face à autant de violence. 
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Pour la suite, j’aurais repris un vieille OS où là par contre, on aurait eu une fic 100% dans le monde des humains, où MLP est ce qu’il est pour ce vrai : un univers fictif. On y suivrait le quotidiens d’un bronie vivant au USA, cachant sa passion pour les poneys car son entourage n’est pas du tout ouvert à ce genre de chose. 
Le père est chef de chantier mais surtout un grand conservateur pro Trump et favorable à la suprématie blanche qui refuse que son fils aille vivre ailleurs car la famille est plus importante. Sa soeur a déjà un copain de 26 ans alors qu’elle en a à peine 18 et prépare même le fait d’avoir un enfant, la mère n’a plus aucune personnalité sous peine de se faire reprendre par le père (voir s’en prendre une), ce dernier fier que sa fille continue d’assurer sa descendance.
Le héro travail avec son père. Son salaire est gardé par ce dernier. La seule chose qu’il ne garde pas est sa vie privée sur internet. Le héro a vraiment l’impression d’être le seul au monde a aimer MLP, le fandom semble bien loin et il n’arrive pas à aller à des meet up car sa famille l’en empêche. Les seules personnes avec qui il a parlé de ça, c’était avec des collègues de travail qui en parlait en mal, très mal, obligeant le héro à faire de même.
Pour sortir de cette tourmente, le personnage principale s’imagine parfois parler avec un personnage du show suivant les situations lorsqu’il est seul, histoire voiler sa vision du monde cruel qu’il l’entoure mais aussi pour masquer sa solitude. Mais les choses vont encore plus loin quant ces personnages imaginaires se manifeste sans l’avoir demandé et que ces derniers lui disent que Equestria existe et qu’il peut y aller. Cela deviens plus effrayant quand ces apparitions interagissent avec le monde réel. 
Le héros, perdu dans ses pensées, décide un jour de s’en aller. Quitte a prendre le risque de perdre la vie actuelle qu’il détestait. Mais il a un accident en pleine forêt, gravement blessé aux côtes. En se relevant, il constate alors que Luna se tiens en pleins millieu de la route, devant ce qui ressemble à la voiture de son père qui l’avait suivit, fusil en main. Le héros comprend alors que Luna est vraiment là puisque que le père tente de lui tirer dessus avant de se faire prendre le fusil par magie puis à son tour de se faire prendre en joue par la jument, qui attend le feu vert du héro pour tirer. Il refuse, mais oblige le père à s’en aller, sans lui, sous peine de lui mener un enfer en révelant ce qu’il fait à son salaire et la manière dont il l’exploite. 
La fin semble heureuse, où le héro pourra jouir d’une meilleur vie à Equestria, sauf que la vérité est bien plus sombre : le héro est en vérité dans le comas, et qu’il restera un légume aveugle et sourd à son réveille. 
Pas vraiment de but dans cette fic mise à part de montrer comment les gens IRL voient le fandom MLP, une vision extérieur très souvent négative. Y’aurait eu pas mal de fait divers qui me sont arrivés pour de vrai dans cette fic (sauf pour ma famille ofc).
Enfin bref, j’avais d’autre idée d’OS mais là sur le coup ça me reviens pas (et c’est peut-être pas plus mal).
Donc voilà ce que j’avais sur l’agenda avant de le foutre au feu. J’ai d’autres projets dont vous aurez des nouvelles bientôt, et je veux avancer ailleurs. Ecrire sur les poneys c’est cool mais franchement j’ai l’impression de tourner en rond et de passer à côté de beaucoup de chose. Si jamais vous avez envie de reprendre l’une de ses idées, ça me pose absolument aucun problème, vous avez même le droit de me poser des questions pour plus de détails. 
Concernant la fic d’Arianne, je vais essayer de faire un effort et de la finir si tout va bien d’ici là, il ne reste qu’un seul chapitre. Après je promet rien.
Allez je vous laisse une allégorie de moi il fut une époque. 
Bisous.
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ky3n-blog1 · 7 years
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Enterrement de belle mère
C’est un gars qui rentre dans un bistrot, tout égratigné sur la figure, sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché.
Alors ses copains lui demandent ce qui lui est arrivé.
Le gars répond: – Je viens d’enterrer ma belle-mère !
Les autres lui répondent : – Quel est le rapport avec tes égratignures ?
Le gars répond :
– Mais c’est qu’elle ne voulait pas !
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lolochaponnay · 11 months
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C'est un gars qui rentre dans un bistrot, il est tout égratigné dans la figure, sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché. - Alors ses copains lui demandent ce qui lui est arrivé. - Le gars répond: - Je viens d'enterrer ma belle-mère! Les autres de lui répondre : - Quel est le rapport avec tes égratignures? Le gars répond : - Mais c'est qu'elle ne voulait pas!
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