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#cercueil and co
unalm · 4 months
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239.
Les cercueils portent tous des noms genre Wilton, Exeter, Balmoral et Buckingham, comme pour suggérer l’idée que le défunt entrera dans l’au-delà en tant que membre de la gentry britannique. Parmi les options au choix, finition cuivre, poignées en bronze ciselées à la main et capitonnage en crêpe couleur champagne avec oreiller et coussinets assortis. Les modèles haut de gamme sont équipés du système breveté de matelas ajustable Eterna-rest, et certains ont un couvercle intérieur décoré – grottes illuminées avec incrustation de la Madone ou reproduction de la Cène. Seule l’envahissante omniprésence de la mort empêche ce business de sombrer totalement dans la farce.
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goldenrose1110 · 1 year
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Tombe Maléfique (Anthony Lockwood x lecteur fem)
Résumé : Lockwood & co doit s'occuper d'une tombe maléfique .
Warning : sorry pour les fautes d'orthographes
Nous étions donc en ce moment même en route pour cette tombe non identifiée et qui d'après Mr Sander , contenait un type deux (un esprit plus ou moins fort) à l'intérieur .
Bien évidemment dis comme ça sa donne pas envie mais pour quatre agents qui ont besoins d'argent et peu de client on fait avec et franchement j'ai connue pire que cette situation, malheureusement pour nous les cimetières regorges de fantômes .
Nous marchions jusqu'à arrivé vers les groupes de personnes qui travaillé ici comme Mr Sander nous la dit le cimetière prends vie la nuit . Je marchai distraitement en observant les différentes catégories de personne sui s'y trouvaient , je peux voir des gens responsable de la sécurité ainsi que ...
Je fut coupé dans ma réflexion par Anthony qui s'adressa à Lucy, "Et eux ce sont les fossoyeurs des gars bien vraiment"
George et moi lui répondirent du tac au tac " Tu leur à jamais adressé la parole" ce qui me valus un de regard de sa part e après une courte période de bataille de regard, il détourna alors le regard pour répondre à moi ou à George ou peut être les deux qui sait après tout "Ils font un peut peur"
je lâcha alors un petit ricanement que seul lui pouvait entendre malgré le fait que je sois à environs un pas de plus que lui devant, sans m'y attendre il attrapa alors mon avant bras de façon à ce que l'on soit poitrine contre poitrine .
Il tenait fermement mon bras mais pas assez pour me blesser il s'approcha de façon à ce que nos souffles se mélange et rendre mes genoux encore plus faible qu'il ne l'était déjà il me chuchota alors "Joue pas à ce jeux Y/N" et pour seule réponse il me laissa pour compte derrière lui à réfléchir à ses paroles .
Je repris mes esprits lorsque j'entendait une femme brune qui je le devinait était une sensibles, vous savez ils sont doués mais ceux de Highgate sont trop effrayés ou bien snobs pour manier la rapière .
"Quel connard" avait dis cette femme en s'adressant à George après que ce dernier lui ai fait un de ces commentaire désagréable mais vrai on doit se l'admettre . En les voyant arrivés au marche, je réalisé que je n'avais toujours pas bougé de ma place ou Anthony m'avait laisser . Mr Sander tentait de rassuré les personnes qui refusés de croire que nous étions de vrai agent et non un bande de clown ici pour faire mumuse .
Anthony cette amoureux de l'attention ne put s'empêcher de prendre le relai pour rassurer ces personnes qui ne me semblait pas plus aimable que Mr Sander au vus des regards que je recevais de la part de certaines personnes de ce groupe .
Quelqu'un bloqua alors soudainement mon champ de vision.
" tu es sûre d'aller bien ? Depuis ton malaise ..."
je coupais alors si vite que je m'impressionner moi-même "je vais bien vraiment c'est juste que ces personnes m'inspires pas grande confiance si tu vois de quoi je veux parler"
Il m'adressa alors un regard compatissant et mit un bras autour de mon épaule pour me conduire la où George et Lucy nous attendait, ce qui voulait dire l'intérieur de ce bâtiment très chaleureux , tellement que j'en eu froid dans le dos .
Une fois à l'intérieure nous apprîmes que les gens qui aurait du techniquement être avec nous et nous aider si c'est le bon mots avaient simplement déterrés cet inconnus et que nous devions maintenant nous débrouillez seul ce qui n'était pas prévu du tout mais comment faire face un homme pareil et qui pouvait nous faire tomber et fermer l'agence en un appel .
Voilà comment nous nous sommes retrouvés à devoir faire face à un cercueil en métal qui contenait ce type deux et bien sur comme on nous l'avaient dis des nausées ainsi que des vertiges pourraient subvenir .
George et moi devions tracer le cercle avec la chaîne en métal pour contenir l'esprit pendant que le devaient trouvés la source et par la suite mettre le filet en métal dessus et comme sa l'esprit sera de nouveau contenu, George étudié vite fait le cercueil en faisant toute sorte de théorie historique tandis que je luttait contre mes vertiges .
Anthony et Lucy faisaient les gaies pour être sure que personne ne venait nous interrompe Mme Joplin les avaient rejoint après avoir appris que son mari nous avaient envoyés là-bas seul .
George et moi décidâmes d'ouvrir le cercueil après avoir trouvé la brèche par laquelle il s'échappait suite à sa George fut come hypnotisé par une sorte de miroir, je demandais alors à Lucy la filet mais cette dernières avait comme un mal de tête je dirais et n'entendait rien alors finalement c'est Anthony qui venu m'aider et mis le filet sur le squelette aussitôt les vertiges, les maux de têtes, les nausées disparurent et sans le contrôler mes jambes lâchèrent et deux bras me rattrapèrent par la taille, je me laissais alors aller des ses bras et me reposais contre son torse . Après quelques secondes nous nous relevèrent et Mme Joplin qui était parti sans que j'y prête grande attention revint avec des personnes . Après que Anthony mets dit qu'il allait signer les papiers de Mr Sander, j'alla voir Lucy qui semblait s'être blessé avec sa rapière " eh bah sa aura était plus compliqué que prévu, ça va toi ? Comment tu te sens ?"
"Honnêtement j'ai connu mieux je me sens encore nauséeuse mais ça devrai aller" m'avait-elle dit .
Je cherchais alors George du regard et je vu qu'il avait dépassé le cercle et en compagnie de Mme Joplin s'approchant tous deux du cercueil encore ouvert seulement recouvert du filet de maille ce qui était très immature venant de lui et je commença alors à aller vers eux pour leur dire de sortir quand soudain George glissa et que en tentant de se relever enleva une partie du filet qui libéra l'esprit de cet homme inconnu .
"GEORGE" criai-je alors en courant vers lui tandis que le vent se lever et qu'une ombre grise sortait avec cette homme sans réfléchir Lucy qui était en marche vers le fantôme lança sa rapière se qui permit à George de remettre le filet tandis que l'esprit était affaiblie et distrait grâce à Lucy .
Par la suite Mme Joplin et George sortirent tous deux du cercle je le prit alors dans mes bras et lui en retour lorsque l'on se détacha l'un de l'autre, Lucy vint nous voir et serra à son tour George, pendant se temp je cherchais alors mon petit ami et le trouver entrain de trottiner vers nous ou plus tôt vers moi et me prit dans ses bras en me serrant si fort que mes pieds quittèrent le sol pendant quelques secondes au vus de la différence de taille après qu'il mets reposé à terre il déposa alors un baiser sur mes lèvres et y déversa toute sa peur et nous furent malheureusement interrompue .
"sa vous dit du thé quand on rentre les amoureux" dit alors Lucy George commença alors le chemin du retour suivi par Lucy et Anthony qui avait maintenant son bras autour de ma taille pendant que nous marchions vers Lockwood & co .
Voilà c'est finit j'espère sa vous aura plus.
J'ai écrit sur Anthony Lockwood car on doit se l'admettre il est super hot et que je n'est trouvé aucun écrit sur lui.
Encore désolé pour les fautes j'ai fait au mieux.
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royaumesoublies · 3 years
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Le 15 octobre 1840, sous les yeux des marins français et des habitants de l’île de Sainte-Hélène, le cercueil de Napoléon s’élève pour se poser sur le pont de la frégate la Belle-Poule. Cette œuvre d’Isabey, prêt du Château de Versailles  et présentée dans l’exposition "Napoléon n'est plus", immortalise ce moment.  
Le bruit et la fumée des salves d’artillerie, le soleil qui se couche derrière les rochers noirs de l’île parent la scène de couleurs d’incendie, comme un retour des Enfers. Après vingt-cinq ans d’exil, le corps de Napoléon part retrouver la terre de France.  
Eugène Isabey n’a pas assisté à la scène, qui s’est jouée dans l’Atlantique Sud à sept mille kilomètres des côtes européennes, mais il s’est documenté avec soin. La précision de la représentation, ici, paraît transcendée par la solennité de l’instant. Le temps, comme suspendu avec le cercueil au-dessus du pont, entre deux mondes, donne à ce moment fugace des airs d’apothéose.
Eugène Isabey, "Embarquement du cercueil de Napoléon à bord de la Belle-Poule"© RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / Gérard Blot  
L’exposition “Napoléon n’est plus” est co-organisée avec la Fondation Napoléon
#2021AnneeNapoleon
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ohwhenthesaints21 · 3 years
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Vendredi 1er Octobre
Sainte Thérèse de l'enfant Jésus
On commence octobre avec une sainte assez contemporaine et assez fame Sainte Thérèse de l'enfant Jésus aka Marie-Françoise Thérèse Martin aka Sainte Thérèse de Lisieux aka la meuf dont Natacha Saint Pierre a utilisé les poèmes pour faire des chansons. Je peux pas faire mieux là.
La petite Thérèse est née de base à Alençon, dans une famille catho de 9 enfants dont seulement 5 filles ont survécu. Pour aider la maman de Thérèse meurt quand elle a 4 ans. Papounet part donc avec ses 5 filles sous le bras à Lisieux où vit tonton, le frère de leur défunte maman.
La pauvre Thérèse est la petite dernière, elle essaie de se raccrocher à une de des sœurs comme figure maternelle mais une a une elles entrent au couvent ! Avec toute cette ambiance catho Thérèse elle commence à entendre une petite voix, pas de la schizophrénie mais juste Jésus qui la guide dans sa vie. C'est une nouveauté chez les cathos, d'habitude les saints ils avaient tous des visions dans leurs songes ou des apparitions (kikou Bernadette soubirous)mais pas comme Thérèse le Jésus en mode Jiminy Cricket, perché sur ton épaule.
Avec tout ça la Thérèse veut rentrer au couvent. A 9 ans la mère supérieure du couvent de sa sœur lui dit qu'elle est bien mignonne, qu'elle garde la foi encore un peu jusqu'à 16 ans, âge auquel on peut rentrer au couvent. Mais bon, quand à 15 ans son autre sœur se barre au couvent Thérèse elle en a ras la casquette et demande à y rentrer pour de bon. Clairement les règles sont les règles, tout le monde l'envoie bouler. Du coup Thérèse va voir le gars qui fait les règles aka le Pape, tant qu'à faire. Et elle est assez convaincante puisqu'il l'autorise à rentrer au couvent. Elle sait ce qu'elle veut la Thérèse.
Elle entre au carmel de Lisieux et elle est vraiment à fond dans la foi, la mère supérieure lui conseille d'écrire ses souvenirs d'enfance et sa vie pour se canaliser un peu quoi, attention spoil, ce sera un best-seller après sa mort. Mais voilà, pas de sainteté sans drama, voilà qu'elle est atteinte de la tuberculose alors qu'elle a à peine la vingtaine. Trop moche la vie. Mais sainte Thérèse ce n'est que joie et amour, elle promet de faire pleuvoir sur la terre des milliers de roses, et termine ses manuscrits par le mot amour. Et pour consoler les autres elle leur dit "vous inquiétez pas les gars, je ne meurs pas, j'entre dans la vie".
A sa mort à 24 ans pas de pluie de roses mais une grande popularité , avec les 3 versions de son bouquin "histoire d'une âme ". C'est aussi la sainte patronne des missions parce que quand elle était au carmel la mère supérieure lui a demandé de prier pour des missionnaires en afrique et en chine. Et comme ils sont revenus vivants et pas trucidés par les autochtones on s'est dit qu'elle n'était pas un trop mauvais choix pour protéger les missionnaires. Et puis la seconde guerre mondiale est passé par là, et plein de soldats au bout de leur vie, on les comprend, on prié la petite Thérèse, la "petite voix" de la chrétienté, la petite sœur de tous les cathos et s'en sont sorti.
Mais surtout elle a guéri plein de gens, avant et après sa mort. Dans les années 20 d'ailleurs une petite Édith atteinte d'une moche maladie de l'oeil, est emmenée par sa grand-mère sur la tombe de sainte Thérèse et elle guérit ! Cette petite Édith devenue Édith Piaf fera bien ses petites prières à sainte Thérèse tous les soirs avant d'aller se coucher !
Elle est canonisé en 1925 et enterré dans le cimetière du carmel de Lisieux mais sa célébrité progressant, les gens affluent du monde entier pour piquer des fleurs et de la terre de sa sépulture. Comme ça devient tendu on transfère ses reliques. Après sa canonisation et face à l'affluence à Lisieux l'évêque de Bayeux appelle au don pour construire une basilique. Le diocèse a déjà peur pour ses sousous mais finit en 1954 l'énorme basilique de Lisieux à été entièrement financée par les dons des fidèles du monde entier ! Beau crowdfunding! La basilique et le cercueil de Thérèse en cire plus vraie que nature, reçoivent quand même 600 000 visiteurs par an, c'est le deuxième lieu de pèlerinage après Lourdes s'il vous plaît. Et puis comme elle est française, qu'elle est célèbre et qu'elle rapporte de la thune à notre économie elle est co sainte patronne de la france, avec Jeanne d'arc. Big up la Normandie.
Fun fact: c'est la seule meuf qui a fait le Parc des Princes après sa mort : pour le cinquantenaire de sa mort ses reliques y ont été exposées pour l'adoration. A retenir pour le cinquantenaire de la mort de Johnny ?
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furiefrancaise · 3 years
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Un camarade ayant passé 7 années dans les Forces spéciales a accepté de répondre à des questions (sans langue de bois), nous l’en remercions!
-Salut,  présente-toi...
Puisqu’on ne se connaît pas je me présente, je suis un Monsieur.  Plus sérieusement, je suis un jeune entrepreneur (salut à toi), je  dirige deux sociétés dans l’industrie textile, également gérant d’un  Domaine oléicole et d’événementiel en Provence et accessoirement j’ai  passé sept ans dans la marine nationale au sein des forces spéciales. Je continue à appliquer, transmettre et entretenir ce savoir-faire pour  des missions privées, certaines rémunérées d’autres pour les idées. La  dernière en date : le Haut-Karabakh.
- Peux-tu nous parler de ton passé de militant politique ? Quelles  furent les raisons de ton engagement ?
J’ai le GUD dans la peau comme l’illustre un tatouage que je porterai  jusqu’au Valhalla si je ne perds pas ma jambe illuminée par ces trois  lettres en caractère gothique d’ici là... Blague à part, mon engagement de jeunesse dans la mouvance nationaliste  révolutionnaire est la continuation logique de celui de mon père en ses  jeunes années, car je l’ai toujours considéré comme un modèle d’homme et  par conséquent un exemple à suivre.  Et puis quand on voit ce qu’il y a en face, ce qui m’a pousser à  défendre le bon côté c’est avant tout la « Cuestión de estética ».
-À quel âge décides-tu de rejoindre l'armée française ? Pourquoi ?
Je me suis engagé dans l’armée à 16 ans, en intégrant l’école des  mousses après une pré-adolescence un peu turbulente et très itinérante  où je me suis fait renvoyer d’à peu près tous les collèges et autres  pensions dans lesquelles j’atterrissais, à chaque fois pour assez peu de  temps...  Après une fugue un peu plus longue et turbulente que les autres où j’ai  fait mon petit remake pré-pubère d’orange mécanique sur le pavé parisien  avec ma bande de droogies à croix celtique, je me suis fait rattraper  par la maréchaussée, une batte ensanglantée dans la main avec comme  perspective d’avenir immédiate la prison pour mineur. Je commençais à devenir vraiment ingérable alors en sortant de garde à  vue, mon père en a eu ras le bol de me voir me complaire dans mon rôle  de cancre bagarreur professionnel : il a décidé que mes gitaneries  étaient finies et en conséquence, a organisé un dîner avec un de ses  amis qui a joué le rôle d’un proto Pascal le grand frère en plus street  cred’, cet éducateur musclé à la mandale aussi facile que la queue de  détente, est un homme qui est aujourd’hui mon parrain de cœur et de béret vert, également mon associé ; Marco. Un ancien commando marine,  légende vivante de Lorient aujourd’hui devenu condottiere des temps  modernes.  « La prison ou l’armée, tu choisis. » C’est comme ça qu’il m’a frontalement posé le défi.  L’École de la rue à Paname où l’école du crime à Lorient  J’ai choisi la deuxième option.  Pour la semaine.  Et la première, pour les perm’s.  Au final je suis allez au bout des deux ; du Commando de Montfort  jusqu’à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.
- Intégrer les Forces Spéciales, c'était ton objectif premier ? Ou bien  est-ce plus une opportunité que tu as saisi par la suite ?
Je suis un absolutiste. Dieu vomi les tièdes. Je n’ai jamais envisagé rien d’autre que de servir au sein d’une unité  des forces spéciales. Déjà parce que Marco m’avait posé le défi, je me devais donc de le  relever après une parole d’homme donnée et ensuite parce que je n’ai jamais envisagé l’échec ; et en cas d’échec à Lorient, j’aurais de toute façon tenté d’intégrer une autre unité des forces spéciales ou des services spéciaux et ce jusqu’à ce que je réussisse ou que je sois définitivement réformé, médicalement parlant.
-Un souvenir marquant lors du mythique stage co ?
Oui, un mot de la devise de la république qui prend tout son sens là bas : égalité. Au département Commandos, pas de passes droits.  D’ailleurs, j’ai une petite anecdote à ce propos, les deux fils d’un célèbre instructeur, Marius, faisaient partie de mon stage commando, eh bien en dépit de leur ascendance ils ont échoué.  Là-bas l’égalité n’est pas un vain mot. Au fond de la cuve à 4°, peu importe d’où vous venez, qui sont vos parents, qui vous êtes, ce qui compte c’est ce que vous faites, vous réussissez ou vous échouez. Au stage commando de Lorient c’est peut-être l’un des seuls endroits de France où le mot égalité n’est pas qu’un paravent de belles idées creuses servant à décorer les frontispices des édifices publics.
- As-tu été fréquemment déployé sur des théâtres d'opérations extérieures ? Peux-tu nous dire dans quels pays ?
Je suis tenu au confidentiel défense jusqu’en 2022, d’où mon anonymat.  Je peux simplement vous dire que je suis parti en mission plusieurs fois en Afrique et au Moyen-Orient, principalement.
- Peux-tu nous raconter comment tu as vécu lors de tes missions, sur le plan physique, mental, psychologique ?
D’un point de vue physique, j’ai assez mal vécu la digestion de la gastronomie locale pour le moins baroque, et l’absence complète du beau sexe européen est toujours pesante pour le guerrier qui aspire naturellement à tirer un coup après en avoir tiré plusieurs...
- La mort est un risque pour un soldat, encore plus pour un FS. As-tu réussi à te faire à cette idée ? Comment ?
Il y a une phrase tirée du film l’Armée des ombres du grand Melville, adaptation du roman de Kessel qui pourrait à peu près résumer ma pensée à ce propos:  « C'est impossible de ne pas avoir peur quand on va mourir. C'est parce que je suis trop borné, trop animal pour y croire. Et si je n'y crois pas jusqu'au dernier instant, jusqu'à la plus fine limite, je ne mourrais jamais. Quelle découverte ! Et comme elle plaîrait au patron ! » La mort, à donner ou à recevoir fait parti du métier, c’est le jeu.  Quand on signe on le sait ou alors on s’abstient.  Mais il y a une différence entre savoir et comprendre.  Et comme le disait Eschylle, c’est une loi, souffrir pour comprendre.  Dans l’abstrait, dans la fougue et l’inconscience de la jeunesse ardente post adolescente, la mort n’existe pas tant qu’on n’a pas dansé avec elle en collé-serré.  Elle peut-être très légère pesant seulement quelques grammes d’acier me frôlant la tête à 720 mètres secondes sortant de la bouche d’une kalash, ou plus lourde comme les cercueils drapés de tricolore dans lesquels reposent les copains qu’on veille pendant toute une nuit sans sommeil, sans paroles, ça c’est une réalité concrète, une piqure de rappel qui nous fait comprendre qu’elle est là.  On le sait. On n’en parle pas.  Pour faire ce qu’on fait, on est bien obligé de ne pas trop y penser autrement ce serait totalement paralysant.  Dans l’action, seule la rage de vivre donc de vaincre compte.  En puis de toute façon : « Viva la Muerte! »
- Quel regard portes-tu sur ces 7 années d'engagement ?
J’ai connu le meilleur comme le pire. Je n’ai aucun remords, aucun regrets, il n’y a que là-bas qu’on peut vivre de telles aventures dans notre petit monde moderne aseptisé, alors si c’était à refaire, je le referai, sans aucune hésitation.  J’ai rencontré des hommes exceptionnels, des frères d’armes mais aussi des types d’une médiocrité humaine insondable. J’ai connu les grandeurs mais aussi les servitudes de la vie militaire.  Une chose est sûre, être dans l’institution c’est forcément limitant, il y’a toujours un plus gradé au dessus de vous, c’est le concept même de l’armée. Maintenant, j’ai enfin retrouvé ma liberté.
- Que fait un FS quand il retourne à la vie civile ?
Il va aux putes où il va voir sa femme. Parfois, les putes des uns sont les femmes des autres. C’est pas pour rien qu’il y a toujours un ascenseur et une cage d’escalier.  La guerre à toujours fait plus de cocus que de morts !
- Un mot pour ceux qui comme toi seraient tentés par cette aventure ?
Bonne chance.
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magic-office · 5 years
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La lunchbox que tous vos collabs vont vous envier
« Tu viens à la cantine ?
Non, déso, aujourd’hui j’ai lunchbox.
Si les flageolets de votre self, ou ceux du café d’en bas, commencent à vous créer de sérieux ballonnements (voir à ce sujet notre article Comment faire caca au bureau en toute discrétion) mais que perdre votre soirée à préparer votre déjeuner du lendemain vous déprime, il existe une solution : la lunchbox prête en cinq minutes chrono qui va vous faire économiser vos tickets resto et surtout,  vous donner une vraie bonne raison de savourer votre pause-déjeuner (autre que les blagues désopilantes de Gégé de la compta).
Rassurez-vous, pas besoin d’être une instagrameuse rassasiée après trois feuilles de kale pour apprécier les vertus de votre lunch box nouvelle génération.
C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs soupes (ou pas)
Comme vous disait votre maman avant que vous ne partiez à l’école en pleurnichant, un bon écolier doit avoir de bons outils. Ce vieil adage maternel s’applique aussi à la lunch box : sans récipient adapté, pas de déjeuner réussi. Il faut trouver le bon compromis entre le caisson isotherme multifonctions (qui ressemble à un cercueil de cryogénisation pour légumes) et le tupperware en plastique tout tristoune. Bref, déterminer LE récipient qui vous donnera envie de l’ouvrir.
Pour les adeptes de repas chauds, mieux vaut privilégier une lunch box isotherme ou passant au micro ondes (en vente chez Ikea, Greenweez). Pour ceux qui considèrent qu’un repas doit être beau avant d’être bon, mieux vaut jouer sur la transparence pour se mettre les papilles en appétit ; pour ça, un bocal en verre ou plastique fera l’affaire. Enfin, la version bento comblera celles et ceux qui aiment compartimenter leur nourriture (ou les nostalgiques des plateaux-repas servis en réunion). Il existe même des sacs à main isothermes chez le-panier.
En rang d’oignon
Votre contenant choisi, voici venu le moment de déterminer son contenu. Pour un repas aussi rassasiant que réjouissant à l’œil et au palais, la règle d’or est de faire le bon mix, approuvé par tous les nutritionnistes : légumes-féculents-protéines.
Qu’elle soit à la viande ou au yaourt, votre sauce doit tapisser le fond de votre box, histoire d’éviter que les autres ingrédients ne s’imbibent. Mieux : prévoir un petit récipient de sauce à part, voire demander à votre office manager (vous ?) qu’il achète une bouteille d’huile et de vinaigre pour l’ensemble des collabs. Ensuite, pensez la répartition en fonction du poids de vos ingrédients : en premier viennent les ingrédients lourds (généralement les féculents) et en dernier les ingrédients légers ou fragiles, comme la salade.
Varier les plaisirs
La variété est l’autre maitre mot de votre lunch box. Il suffit parfois de quelques ingrédients phares pour customiser un repas : si le surgelé ne vous effraye pas, Picard propose une large variété gamme de produits abordables et de bonne qualité (et la bonne nouvelle, c’est qu’ils acceptent les tickets restaurants). Les boulettes kefta transforment un simple mélange de boulgour, carottes, noisettes et raisins secs en déjeuner oriental. Les edamame, eux, associés à du saumon en tranche, de l’avocat et un lit de riz brun, vous embarquent au Japon. Les mélanges tout prêts de boulgour, quinoa, lentilles… de chez Bjorg ou Céréal Bio constituent également une bonne alternative aux riz et autres pâtes.
Pour achever d’épater vos co-bureau : un fond composé de sablés ou galettes type Goulibeur, deux cuillères à soupe de Lemon Curd (en vente chez Marks&Spencer), des morceaux de meringue concassées parsemées sur le dessus, et hop ! Voilà une tarte au citron du délice. A décliner à l’infini, en remplaçant le lemon curd par de la compote ou de la mousse au chocolat, les biscuits sablés par des crêpes dentelles, les meringues par des raisins secs ou des amandes effilées.
On vous laisse, on a faim.
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wildoute · 7 years
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" Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom,Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète -- verbe nul à l'instar de cinq occis --, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, oeil offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque ; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée ; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'...). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale ! Timide, il nia ce sursaut. Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté...) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu ; ce sacré bedeau (quel bât ce Jésus !). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut. Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Pétard ! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire... Le Phenix, ève de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale ; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei... Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche(l'an ici taverne gelée dès bol...) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur ! ** * Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées... S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal(obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M... !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis,  servile  repu  d'électorat,  cornac,  Lovelace.  De  visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane ! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel- base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville...) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert- il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra ! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle(étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca... : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se(nom d'Ali- Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte... Nos masses, elles dorment ? Etc... Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé,notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé,ha, le maximum Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé ! Cain ! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas- tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise ; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master- (sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole !) Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu(Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t- il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart. " Georges Perec, Au Moulin d'Andé, 1969
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gontalde · 4 years
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30/03 et 31/03
revue de presse
Afghanistan: Hundreds of prisoners were released in Paktia and Nangarhar due to coronavirus epidemic, but in Herat female detainees started a riot because they were not included in  President Ghani's decree. 6 were injured including guards and prisoners.
https://www.ajc.com/news/state--regional/city-under-seige-coronavirus-exacts-heavy-toll-albany/xC9NO677gfDQSaGEQDXSAN/amp.html?__twitter_impression=true
🇨🇫 200,000 testing kits and 100,000 masks & other protective gear touch down in Bangui, Central African Republic, to help stem the coronavirus outbreak in one of the world's most fragile countries.
🇨🇳 Equipment donated by the founder of Chinese retail giant Alibaba.
🇮🇱 MDA medic who came to conduct a coronavirus test in Jerusalem this morning was attacked by Ultra-Orthodox jews who threw rocks at him, he was lightly wounded and his vehicle was damaged.
Israel is having a very hard time trying to cope with them because of their insistence to ignore the health ministry's guidelines. @COVID19Up
🇧🇾 Few measures have been enforced to curb coronavirus in Belarus - instead, people are being urged to drink vodka and go to saunas.
The country - specifically its president - has shrugged off concerns about the COVID-19 outbreak, starkly illustrated on Sunday with the nation's football matches continuing as normal. @COVID19Up SOURCE
https://news.sky.com/story/coronavirus-belarus-president-refuses-to-cancel-anything-and-says-vodka-and-saunas-will-ward-off-coronavirus-11965396
🇪🇸 Spain health emergency chief Fernando Simon, who leads the country’s response to voronavirus epidemic and maintains regular contact with Prime Minister Pedro Sanchez, has tested positive for COVID-19, the ministry confirmed on Monday.
🇭🇺 Hungarian Parliament passes bill that gives PM Orbán unlimited power & proclaims:
- State of emergency w/o time limit - Rule by decree - Parliament suspended - No elections - Spreading fake news + rumors: up to 5 yrs in prison - Leaving quarantine: up to 8 yrs in prison
🇮🇷 Heartbreaking, this man who works as a peddler explains why he can't go home and stays on the streets trying to sell his stuff: "How am I going to eat."
Let's not forget that all over the world, from sao paulo to Tehran, there are workers who can't work from home.
Note: A peddler is a specific type of salesperson: someone who travels from town to town selling their wares. @COVID19Up
A disturbing scene from Nevada where social-distancing boxes were painted on a concrete parking lot for the homeless to sleep in.
🇲🇾 Une pénurie mondiale de préservatifs se profile dans le monde. Le plus  grand producteur mondial, la Malaisie, n’en fabrique plus depuis une semaine en raison du confinement adopté pour lutter contre la propagation du Covid-19.
🦠 Au moins 8 souches du Sars-COV-2 se propagent à travers le monde
Mais le cofondateur de Nextstrain, Trevor Bedford, a déclaré que les mutations sont si petites qu'il n'y a pas de souche du virus qui soit plus nocive. "Ces mutations sont complètement bénignes et utiles comme pièce de puzzle pour découvrir comment le virus se propage", a déclaré Bedford au point de vente. Il a déclaré que les différentes souches permettent aux chercheurs de voir si la transmission communautaire est répandue dans une région, ce qui peut indiquer si les mesures de verrouillage ont été efficaces.
Source
🇫🇷 Face au manque de cercueils, le gouvernement a commandé des tôles à Arcelor Mittal. Ces dernières serviront à la fabrication de cercueil pour éviter une pénurie. (Républicain Lorrain)
🇵🇹 Le maire de Lisbonne, Fernando Medina, suspend les loyers de tous les HLM de sa ville. La mairie a pris cette mesure afin de venir en aide aux ménages fragilisés par l’épidémie de Covid-19. (Record)
🇩🇿 L'Algerie étend l'utilisation de la chloroquine comme traitement à tous les cas bénins de #coronavirus détectés. Les autorités sanitaires viennent de donner leur aval mais ce traitement doit être donné en milieu hospitalier. (TSA)
🏎 Le patron de Red Bull Motorsport Helmut Marko a conseillé à ses pilotes d'être infecté par le #COVID19. Il souhaitait entraîner les pilotes dans un camp, "un lieu idéal" pour être infecté puisque selon lui, ils auraient été immunisés. (ORF)
🇰🇭 Le Cambodge va interdire certaines exportations de riz à partir du 5 avril pour garantir la sécurité alimentaire locale pendant la crise des coronavirus , a déclaré le Premier ministre Hun Sen lundi 30 mars. (Reuters)
INFO: Ils exportent 40% vers l'UE En 2018, le pays a exporté 620 000 tonnes de riz, dont 40 % vers les pays de l'Union européenne.
🇬🇧 Le fabricant d’aspirateurs Dyson, va fournir en urgence 10 000 respirateurs aux hôpitaux britanniques dépassés par le nombre de patients en réanimation. D’autres respirateurs seront exportés vers d’autres pays. (Le Parisien)
🇧🇪 Trop de violations du confinement en Belgique, la police demande de dénoncer les voisins qui ne le respectent pas (presse)
Après deux semaines de confinement en Belgique, les autorités constatent que les règles sont trop souvent bafouées par une partie de la population. Comme la France, la Belgique n’impose pas un confinement total. On peut sortir faire ses courses ou faire du sport et, contrairement à ce qui se passe en France, il n’y a pas besoin d’attestation. Les sorties ne sont pas non plus limitées à un périmètre autour d’un kilomètre du domicile.
Pourtant, les autorités belges notent de trop nombreuses violations des règles. Le quotidien La Libre Belgique, rapporte qu’« outre les rassemblements en rue et dans les parcs en journée, certains éprouvent toujours le besoin de faire la fête chez eux, en soirée, avec des amis.
Du coup, la police multiplie les interventions à domicile et demande à la population de dénoncer les voisins qui bafouent le confinement en organisant des « lockdown parties ».
Sur RTL Belgique, la ministre de la Santé, Maggie De Block, a regretté ce matin de voir certains jeunes hospitalisés dans un état grave. « C'est dommage de voir ces jeunes aux soins intensifs, a-t-elle expliqué. C'est eux qui ont rigolé des mesures que nous avons prises face au coronavirus ».
De l’autre côté de la frontière, en France dans le département du Nord, le site Info Roubaix révèle que le standard du 17 (Police Secours) à Lille reçoit de très nombreux appels de gens dénonçant leurs voisins qui ne respectent pas les consignes de confinement. « On a plus l'impression d'être standardiste que policiers », confie un agent du Nord.
🇧🇾 Le président biélorusse refuse d'annuler quoi que ce soit - et dit que la vodka et les saunas empêcheront le coronavirus. (Sky)
La situation se tend au Brésil entre certains dirigeants de l'Armée et le gouvernement brésilien. Des sources internes font état de tensions grandissantes.
⚠️ Au niveau de l'Union Européenne, des experts commencent à faire des recommandations, parlant d'un confinement jusqu'à juin.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/coronavirus-des-hopitaux-craignent-une-penurie-de-medicaments-en-reanimation_2122350.html
https://www.theverge.com/2020/3/30/21199664/usns-comfort-hospital-ship-nyc-coronavirus-size-beds-history-navy
https://blogs.mediapart.fr/mmeyer/blog/300320/refusons-que-leurs-vies-soit-sacrifiees-au-nom-de-leconomie
https://abaslescra.noblogs.org/on-demande-notre-liberation-immediate-et-la-fermeture-du-centre-communique-du-mesnil-amelot/
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🇧🇷 Facebook deleted Bolsonaro's video on coronavirus because he was giving false information that triggered their policy on removing content that could endanger people. @COVID19Up
🇺🇸 Ford Motor Co said on Monday it will produce 50,000 ventilators over the next 100 days at a plant in Michigan in cooperation with General Electric's healthcare unit, and can then build 30,000 per month as needed to treat patients afflicted with the coronavirus.
Ventilators built by Ford, GM and others could be used in other parts of the United States where the peak case loads are expected later.
GM said Sunday it plans to produce up to 10,000 ventilators a month by this summer at a plant in Kokomo, Indiana. @COVID19Up
🇸🇾 Syrian pharmacists are reporting a big increase in demand for Viagra, birth control, and pregnancy tests since quarantine started. @COVID19Up SOURCE
🇮🇱 600 IDF soldiers will be reinforcing Israel police forces from tomorrow & assisting them in their mission of limiting the spread of COVID-19.
They will patrol, isolate & secure areas in Israel. @COVID19Up
🇸🇪 Sweden: Soldiers prepare equipment and contruction employees work in a conference centre that is being turned into a field hospital for patients of COVID-19 in the Stockholm region. @COVID19Up
🇨🇳 China sent a team of medical experts to 🇻🇪Venezuela to help the country fight the COVID-19 pandemic, the Chinese Foreign Ministry announced on Monday. The team arrived on Monday local time. @COVID19Up
🇮🇱 Les tests au Covid-19 de Benjamin Netanyahu sont négatifs. Le Premier ministre israélien ne serait pas infecté. Il reste en quarantaine. (médias locaux)
🇹🇷  la Turquie lance un appel aux dons pour lutter contre le Covid-19. #Erdogan a donné 7 mois de son salaire, soit environ 350 000 livres turques (env. 47 600 €). Les ministres ont fait don de plusieurs mois de salaire.  (Le Figaro)
🇺🇸 Le gyrophare de l'Empire State Building a éclairé la ville de New York toute la nuit et les sirènes des ambulances n'ont cessées de retentir.
31/03 https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/echanges-le-lait-en-poudre-produit-dimportation-dont-les-chinois-ont-peur-de-manquer https://www.rt.com/news/484537-pakistan-india-trains-coronavirus-hospitals/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=RSS https://www.rt.com/news/484545-sweden-teens-coronavirus-challenge/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=RSS https://www.dailystar.com.lb/News/Middle-East/2020/Mar-31/503594-iran-says-attack-by-terrorists-inside-turkey-halts-natural-gas-exports.ashx https://middle-east-online.com/en/iraq-burying-coronavirus-dead-nightmare https://www.middleeasteye.net/opinion/coronavirus-dystopia-israelis-experience-small-taste-what-life-palestinians https://www.middleeasteye.net/news/coronavirus-egyptian-billionaire-threatens-suicide-if-shutdown-exceeds-two-weeks https://www.middleeasteye.net/news/coronavirus-tunisia-lockdown-robot https://www.aljazeera.com/news/2020/03/kill-coronavirus-rohingya-india-200331035538875.html https://www.aljazeera.com/news/2020/03/domestic-abuse-rises-lockdown-france-fund-hotel-rooms-200331074110199.html
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/03/30/coronavirus-des-associations-de-soignants-exigent-en-refere-la-requisition-des-moyens-de-production-de-medicaments-et-materiel_6034954_3224.html
https://edition.cnn.com/2020/03/30/europe/soviet-strongmen-coronavirus-intl/index.html
https://edition.cnn.com/2020/03/30/europe/portugal-migrants-citizenship-rights-coronavirus-intl/index.html
https://edition.cnn.com/videos/world/2020/03/30/coronavirus-india-migrant-workers-lon-orig-bks.cnn
https://www.theguardian.com/business/2020/mar/31/oil-prices-trump-putin-saudi-arabia-saudi-arabia-shell
https://www.bbc.com/news/world-africa-52093343
https://www.bbc.com/news/world-europe-52104955
https://www.scmp.com/week-asia/economics/article/3077745/coronavirus-indias-outsourcing-firms-struggle-serve-us-british https://www.channelnewsasia.com/news/asia/coronavirus-malaysia-ministry-tips-wives-nagging-doraemon-mco-12593708 https://www.channelnewsasia.com/news/world/australia-particle-accelerator-covid-19-coronavirus-fight-12594054 https://apnews.com/dffb2fa43d0c5fddc4508f2558603e67
https://warontherocks.com/2020/03/start-the-negotiations-end-the-afghan-war-now/
https://www.latimes.com/world-nation/story/2020-03-30/crammed-in-filthy-cells-political-prisoners-fear-infection
https://www.latimes.com/world-nation/story/2020-03-30/indian-doctors-are-being-infected-trolled-and-evicted-as-they-battle-covid-19
https://mg.co.za/article/2020-03-31-police-use-sjamboks-and-rubber-bullets-to-enforce-hillbrow-lockdown/ https://mg.co.za/coronavirus-essentials/2020-03-30-police-and-military-abuses-raise-concerns-amid-lockdown-defiance/
https://allafrica.com/stories/202003310398.html
https://www.leconomiste.com/article/1059705-chloroquine-la-piste-chinoise-fait-son-chemin
https://news.abs-cbn.com/news/multimedia/photo/03/31/20/disinfection-against-coronavirus-in-quezon-city
https://santiagotimes.cl/2020/02/29/u-s-signs-peace-deal-with-taliban-to-end-afghan-war/
https://news.abs-cbn.com/news/03/31/20/philippines-to-turn-convention-centers-hotels-into-covid-19-quarantine-sites
https://news.abs-cbn.com/business/03/31/20/philippines-eyes-rice-imports-as-contingency-covid-19-task-force
🇻🇪 🇨🇳 La Chine a envoyé une équipe d'experts médicaux au Venezuela pour aider le pays à lutter contre la pandémie de COVID-19, a annoncé lundi le ministère chinois des Affaires étrangères. L'équipe est arrivée lundi.
https://abbott.mediaroom.com/2020-03-27-Abbott-Launches-Molecular-Point-of-Care-Test-to-Detect-Novel-Coronavirus-in-as-Little-as-Five-Minutes
https://www.washingtonpost.com/technology/2020/03/30/worker-strike-instacart-amazon-whole-foods/#click=https://t.co/H3jLcsVKVr
🇫🇷 🇨🇭 Le chimiste suisse INEOS, propriétaire du club de foot de Nice, va construire en 10 jours en France une usine de gel hydroalcoolique
Propriétaire de l’OGC Nice, la société chimique suisse INEOS annonce par l’intermédiaire du club qu’elle va construire une usine de désinfectant pour les mains en France en 10 jours seulement !
Cette usine pourra fabriquer 1 million de bouteilles par mois, et les fournira gratuitement aux hôpitaux. Une partie sera vendue dans le commerce.
🇫🇷 ✈️ L’aéroport d’Orly, qui avait vu son activité très réduite, ferme ses portes ce soir, 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires en moins pour ADP
Invité d’Europe 1 ce matin, Augustin de Romanet, PDG du groupe Aéroport de Paris (ADP), est revenu sur la mise en sommeil de l’aéroport d’Orly à partir de ce soir.
À 23h59, l'aéroport du sud de Paris fermera ses portes pour une durée indéterminée et n'accueillera plus que les vols d'État, les vols sanitaires et les déroutements d'urgence.
Depuis deux semaines, Orly avait vu une réduction radicale de ses vols. Si en temps normal, 640 avions décollent et se posent tous les jours, ils n'étaient plus qu'une vingtaine hier.
« Habituellement, nous avons 85.000 à 100.000 passagers par jour. Hier, nous avions 2.000 passagers. Maintenir une infrastructure de cette taille, tout l’équipement, représentait une charge élevée pour ADP et pour les compagnies. Donc on va regrouper les vols à Roissy-Charles-de-Gaulle », a expliqué Augustin de Romanet. « C’est une difficulté, mais ce n’est rien par rapport aux gens qui sont en réanimation ».
La crise sanitaire du coronavirus va coûter un milliard d’euros de chiffre d’affaires en moins pour Aéroports de Paris.
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🇫🇷 Le Syndicat National des Enseignements du Second degré, s’incline devant les «circonstances exceptionnelles» de la crise sanitaire liée au Covid-19 et ont accepté un BAC2020 avec 100 % de contrôle continu. (Libération)
31/03 La Russie a envoyé 600 ventilateurs et 100 virologistes et épidémiologistes militaires à l'Italie suite aux entretiens entre le Président Vladimir Poutine et le Premier ministre italien Giuseppe Conte samedi dernier. Des images de camions militaires russes en route de Rome vers l'épicentre du coronavirus de Bergame ont circulé en ligne cette semaine.
Problème :
"Quatre-vingt pour cent du matériel russe est totalement inutile ou peu utile à l'Italie. En bref, ce n'est guère plus qu'un prétexte", a déclare une source anonyme.
Elle prétend que les fournitures russes consistent en du matériel de désinfection, un laboratoire de terrain pour la stérilisation et la prévention chimique, et d'autres outils similaires.
Selon elle, Poutine poursuit une stratégie purement géopolitique et diplomatique, tandis que Conte a accepté l'aide afin d'assurer une bonne relation personnelle avec Moscou pour la suite.
— 🌐 Flash-Info : La chloroquine 🇫🇷 (LCI)
Le CHU d'Angers annonce le lancement d'une vaste étude pour "clore le débat" sur la chloroquine.
Répondant aux "standards scientifiques et méthodologiques les plus élevés", elle doit être réalisée "dans des conditions qui ne laisseront pas de place au doute dans l'analyse des résultats", comme l'assure le Professeur Vincent Dubée, investigateur principal du projet. Baptisée Hycovid, elle portera sur 1300 patients atteints du Covid-19, et sera menée avec 32 autres centres hospitaliers en France "On a une position de neutralité vis-à-vis de cette molécule. On a évidemment tous un grand espoir que cette molécule soit active dans le Covid. Néanmoins, nous sommes conscients des limites des résultats des études publiées par l'équipe du Pr Raoult", a-t-il ajouté.
Pour permettre la plus grande neutralité, l'étude sera menée en double aveugle: ni les patients ni les médecins ne sauront si le patient reçoit de la chloroquine ou un placebo. — 🌐 Flash-Info : Un hôpital de Londres a annoncé mardi le décès d'un adolescent de 13 ans testé positif au coronavirus. 🇬🇧 (LCI)
"Le décès a été notifié au médecin légiste et nous ne ferons aucun autre commentaire", a indiqué l'établissement britannique.
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🌐 Flash-Info : Des soldats US envoyés en renfort à la frontière avec le Mexique 🇺🇸 (Reuters)
Le Pentagone va envoyer environ 500 soldats à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique afin d'assister les agents fédéraux frontaliers sur fond de crise sanitaire due au coronavirus, a appris mardi Reuters de trois représentants américains.
L'administration Trump craint que le coronavirus incite davantage de migrants illégaux à tenter de rejoindre les Etats-Unis, alors que la pandémie affecte une économie mexicaine déjà en difficulté, a déclaré l'un des représentants, s'exprimant sous couvert d'anonymat. — 🇮🇷🇩🇪🇫🇷🇬🇧France, Germany and the United Kingdom confirm that INSTEX has successfully concluded its first transaction, facilitating the export of medical goods from Europe to Iran. INSTEX and its Iranian counterpart STFI will work on more transactions and enhancing the mechanism. @COVID19Up—
— 🇹🇳 Several hundred Tunisians demonstrated in a working class district of the capital, demanding government support and protesting a week-old lockdown against the coronavirus pandemic that has disproportionately impacted the poor. @COVID19Up
American Media, ABC News:
>Pres. Trump on extended federal social distancing guidelines: — "It's absolutely critical for the American people to follow the guidelines for the next 30 days. It's a matter of life and death, frankly." — American Media, ABC News: — "I want every American to be prepared for the hard days that lie ahead," Pres. Trump says.
"We're going to go through a very tough two weeks...This is going to be a very, very painful two weeks."
🔗 ABC News (@ABC)
🇫🇷 La CGT a annoncé avoir déposé plainte mardi contre Carrefour et contre la ministre du Travail Muriel Pénicaud, estimant que les salariés de la distribution manquaient de protection face au COVID-19.
🇹🇲 Au Turkmenistan il est interdit de prononcer le mot coronavirus, tous ceux qui seront pris à porter des masques et prononcer le mot coronavirus à l'exterieur seront immédiatement arrêtés par la police, le mot coronavirus a même été supprimé des brochures de santé.
(https://www.gazeteduvar.com.tr/dunya/2020/03/31/turkmenistanda-korona-virusu-yasaklandi/)
🇺🇸 Mercredi, 81 milliards de dollars de loyers commerciaux et résidentiels seront dus aux États-Unis, et personne ne sait combien de locataires ne pourront pas, ou ne voudront pas, payer suite aux très nombreuses pertes d'emploi dû au coronavirus.
De nombreuses villes ont temporairement interdit les expulsions, mais les partisans de la grève demandent que le paiement des loyers soit supprimé, et non retardé, pour ceux qui sont dans le besoin pendant la crise.
Sans une remise légale des loyers pendant la crise, les locataires risquent d'être poursuivis en justice ou expulsés dès la réouverture des tribunaux en charge de ces affaires, ce qui pourrait se produire dès la mi-juin dans certains états.
L'idée d'une grève des loyers résidentiels a pris racine dans une grande partie de l'Amérique du Nord.
Des draps blancs sont accrochés aux fenêtres des appartements en signe de solidarité avec le mouvement qui prend de l'ampleur sur les réseaux sociaux. (The Guardian)
— 🇺🇸 Les Etats-Unis ont dépassé le million de tests effectués (1 048 971) en un peu plus de 2 semaines. Plus de 184 000 cas ont été officiellement détectés. Le pays mène plus de 100 000 tests par jour.
— 🇨🇳 Une recherche indique que les jeunes patients COVID19 sont susceptibles d'être retestés positifs sans présenter aucun symptôme évident. Des méthodes de détection plus sensibles du Coronavirus SARS-CoV-2 sont nécessaires pour surveiller ces patients pendant le suivi. (Global Times)
🇨🇳 La Commission nationale de la santé de la Chine a annoncé qu'elle commencerait à signaler les cas asymptomatiques. À ce jour, au ... 🇨🇳 Un chat à poil court à Hong Kong testé positif pour le COVID-19, ce qui en fait le quatrième animal après que deux chiens et un chat aient été testés positifs, a rapporté gov.hk le 31 mars.
https://www.gazeteduvar.com.tr/dunya/2020/03/31/turkmenistanda-korona-virusu-yasaklandi/
— 🌐 Flash-Info : Trois hauts-dignitaires de l'ONU et de l'OMC alertent sur le risque de pénurie alimentaire au niveau mondial, en raison des perturbations sur la chaîne d'approvisionnement liées à la pandémie de coronavirus. (LCI)
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katiezstorey93 · 6 years
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RUSH P Ron HowardSortie DVD/BLU-RAY — Review — (biopic/action)
Mondo-mètre :
Carte d’identité : Nom : Rush Père : Ron Howard Livret de famille : Chris Hemsworth (James Hunt), Daniel Brühl (Nikki Lauda), Olivia Wilde (Suzy), Pierfrancesco Favino (Ragazzoni), Alexandra Maria Lara (Marlene), Natalie Dormer (Gemma), Tom Wlaschiha (Harald), Christian McKay (Esketh)… Date de naissance : 2013 Majorité au : 25 septembre 2013 (en salles) / 29 janvier 2014 (en vidéo) Nationalité : USA, Angleterre, Allemagne Taille : 2h03 Poids : 38 millions $
Signes particuliers (+) : Un bolide lancé à 400 à l’heure et piloté par un Ron Howard virtuose de la route. Rush est l’un des meilleurs films de l’année, dépassant sa seule condition de biopic sur la rivalité entre deux sportifs, pour embrasser des thématiques bien plus grandes sur l’homme, sur sa folie, sur le dépassement de soi, sur l’expérience du flirt avec les extrêmes limites de la vie pour en ressentir toute la saveur vibrante. Intense, angoissant, poignant, spectaculaire et viscéral offre au passage à ses deux comédiens stars, un superbe numéro d’acteur dans un movie élégant et minutieux. Une magistrale tant visuelle tant story et sensorielle.
Signes particuliers (-) : x
RON HOWARD PIED AU PLANCHER
Résumé : Années 70, deux pilotes talentueux se retrouvent face à face en Formule 3 et livrent une grosse bataille. Le britannique James Hunt, d’un côté , playboy charmeur, cool et élégant tous pour son charisme. De l’autre, l’autrichien Nikki Lauda, surnommé ” face de rat   “, être renfermé, réfléchi et désagréable. De cette concurrence entre deux personnalités fortes renvoyant à deux idéaux de vie diamétralement opposés, va naître un duel p légende de l “histoire du game, à la rivalité exacerbée…
L’INTRO :
Deux ans après l’échec de son anecdotique Le Dilemme, sorti en France dans l’indifférence générale, le père de Cocoon et Willow Ron Howard fait un retour fracassant avec Rush, récit investissant les années 70 pour narrer la rivalité sportive sur les circuits de Formule 1 entre deux compétiteurs de légende, Nikki Lauda et James Hunt, battle qui aura atteint son paroxysme au terme d’une saison mémorable et historique en 1976. Ron Howard conjugue exercices qu’il a plusieurs reprises par le passé, le biopic sous tension et le film sur le monde du sport. Ou quand Apollo 13 entre en collision avec De L’ombre à la Lumière (déjà un biopic sportif sur l’histoire d’un boxeur) et que de leur choc frontal nait un chef d’œuvre dépassant le récit de sa easy histoire vraie pour embrasser des thématiques and grandes. Cerise sur le gâteau, Rush est dominé par une superbe distribution offrant à deux excellents comédiens mésestimés, l’occasion de se livrer à un astounding numéro d’acting, d’un côté le germanique et talentueux Daniel Brühl qui incarne un Nikki Lauda au physique atypique dit p ” rat ” et p l’autre, l’américain Chris Hemsworth, acteur trop catégorisé et qui se glisse là dans la peau du pilote charmeur irrésistible James Hunt. Un casting où l’on retrouve également l’élégante Olivia Wilde, la alluring Natalie Dormer ou encore l’épatant italien Pierfrancesco Favino (ACAB)…
L’AVIS :
Si vous aimez la F1, alors vous aurez l’illustration intense et magnifique p l’un des plus beaux et des plus grands duels de du sport. Et si au contraire vous n’aimez pas, aucune importance, Rush étant avant tout une terrible histoire de folie humaine, de compétition, d’égos, de passion et de rage, une histoire forte sur l’expérience du flirt avec les limites de l’abandon total à l’ivresse p l’existence dans toute son character et son ressenti, sublimée par un Ron Howard que l’on n’avait pas vu aussi brillant depuis son outstanding Apollo 13. Une passionnante affaire d’hommes où l’exploration des vie passe par la confrontation dangereuse avec la lisière de la mort. Ou remark des êtres extrêmes peuvent aller jusqu’à la défier pour se sentir vivant that is vraiment.
Ron Howard met en scène et fictionnalise un sommet p l’histoire de la F1 dans un movie avant tout sur l’essence même du sport et le rapport intrinsèque et viscéral qui le lie si férocement à l’homme, qui le pousse, qui le transcende, qui le libère et le déchaîne. Angoissant, exaltant, palpitant, Rush est le pendant en movie d’un documentaire comme Senna (fighter d’œuvre d’Asif Kapadia), une odyssée exceptionnelle sur deux hommes exceptionnels que tout opposait. L’un était un playboy hédoniste redoutable et obsessionnel, un chasseur impulsif et inconscient mué par la force de la fire brute et p l’instinct, l’autre un homme and réservé, plus réfléchi, concevant son métier avec calcul et raisonnement, compensant son manque de folie sensorielle par une intellect aiguisée et une maîtrise totale de son environnement.
C’est un Ron Howard sublimé que l’on retrouve ici, plus que jamais that is virtuose. Ses comédiens avalent tandis que lui nous fait renifler le gas des pneus surchauffés, au son des moteurs vrombissants et de la vitesse à filer des frissons. Rush prend aux tripes, les nouent, les fulfilled aux supplices, à plus forte raison si l’on ne connait pas l’épilogue p ce bras de fer d’anthologie entre deux rivaux acharnés. Tout est parfait dans ce travail que méritant BO d’Hans Zimmer rajoutant des litres d’emphase aux prestations du duo celebrity au sommet de leur ability, du travail sonore surpuissant à la reconstitution de et minutieusement étudiée. En chef d’orchestre, le cinéaste se montre brillant avec une mise en scène tendue au cordeau, épique, virevoltante et créative, soulignant le duel ces fous du volant pour le porter au rang de claque désarçonnante. Les changements de rythme du movie se font au diapason des changements de rapport de ces boîtes à vitesses monstrueuses, l’utilisation des archives est faite avec parcimonie dans un summum d’émotion, la réalisation est inspirée comme jamais dans sa filmographie avec un imparable jonglage entre courte et longue focale, strategy à raz du bitume et vue d’ensemble, en adéquation avec un montage malléable alternant le cut efficace implacable et la mobilité gracieuse impeccable. Mais rien n’aurait pu être si transcendé sans un scénario rendant de façon optimale cette opposition divine entre deux dieux en leur royaume. Et là encore, en plein dans le mille. L’intelligence du découpage s’approchant de la devotion se nourrie d’une narration magistrale (le script est signé Peter Morgan, derrière Le Dernier Roi D’Ecosse, Frost/Nixon, Skyfall ou The Damned United, magnifique pépite sur le monde du football anglais des années 70, déjà) naviguant entre ses deux co-héros, un exercice pourtant au combien difficile, par des mouvements dramaturgiques et narratifs irréprochables d’équilibre, p finesse et de grâce. Au gré des moments, au gré des courses qui s’enchaînent, des caractères qui s’affirment, Rush monte crescendo en puissance et en régime pour se diriger fatalement vers un final étourdissant livrant sa plus belle bataille et prouesse.
Impressionnant et dantesque, Rush est la démonstration que le sport et son sens du dépassement de soi peuvent livrer les plus belles aventures humaines. Au volant d’un bolide lancé à plein régime et fendant l’air sur son passage, Ron Howard nous fait vivre une expérience terrassante, immersive et inoubliable, une balade spectaculaire baignant dans l’ambiance des paddocks avec toute la pression qui anime et agite ce monde au souffle suspendu le temps de courses aussi craintes qu’exaltantes. Ce souffle en apesanteur, on l’a aussi, comme si on y étaitcomme la peur au ventre, la pression lourde sur les épaules, tout ça mêlé à l’excitation, comme si l’on était coincé avec ces amoureux du threat dans ces sièges baquets p ces monoplaces semblables à des cercueils sur roues ou à des bombes lancées à pleine vitesse à travers la piste. Récit d’une addiction effrayante pour l’adrénaline comme source de l’euphorie primaire de la vie, Rush restera comme l’un des plus beaux films de cette année 2013 et une powerful histoire de rivalité/amitié/respect entre deux pilotes, deux géants, deux idéaux et deux de vie diamétralement antagonistes, mais unis par un même gamedes par une lutte à la fois fraternelle et jalousement haineuse. Pourtant, il se dégage de cette impression de unworthy, un parfum d’aventure que l’on souhaiterait presque connaître that is non-sens, auquel on presque goûter. Plus movie au sujet à couper le souffle porté par un suspense that is rebutant un moment fort et ahurissant p cinéma, pour les non-initiés tétanisant. Ron Howard signe une réussite incontestable, un de choix judicieux et par une maîtrise de chaque . Appelé à devenir un classique du genre, ce tour de force au lyrisme real nous balançant d’un grand coup dans le dos au bord de la piste au plus près du danger et des sensations, est une surprise stupéfiante et inouïe, remplissant and qu’allègrement les intentions dessinées par son cahier des charges en se dédouanant des pièges qui le guettaient (surenchère d’effets spéciaux et d’action bourrine, facilités d’écriture, dénaturalisation p l’esprit et des valeurs du sport etc). Une claque aller/retour qui ses lettres de noblesse au genre en p ne s’aliéner aucun diploma son accessibilité à tous. Montez dans vos voitures, enclenchez la première et foncez (avec prudence) en salles pour assister sur grand écran à l’une des plus belles batailles faite homme p l’année.
(Les vrais James Hunt et Nikki Lauda)
Le Test DVD/Blu-ray : Si comme vous pouvez vous en doutez, on conseille fortement l’achat p Rush, movie indispensable à toute étagère p cinéphile mais aussi tout simplement aux amateurs de bons films, on ne saurait que trop vous diriger vers l’achat du Blu-ray. Incontestablement, Rush se prête idéalement au format HD p part la qualité de son image et le soin apporté à son esthétique et aux détails. La découverte de Rush en route est un choc visuel qui fait écho à sa découverte en salles. L’image haute définition magnifie le travail de Ron Howard et fulfilled littérairement le spectateur à genoux, le souffle coupé. Le travail sonore fournit un puissant DTS-HD en 5.1 qui achève de rendre cette claque non seulement spectaculaire mais aussi fichtrement immersive. Une expérience qui ne perd absolument rien dans son passage du grand au petit écran grâce à une galette plus que soignée dans son rendu picture. Côté bonus, grâce à un documentaire passionnant, il est possible de revivre la véritable histoire du duel Lauda/Hunt à partir d’archives extraordinaires. Le traditionnel producing of permet quant-à lui d’en savoir plus sur les prouesses techniques époustouflantes d’un film admirable de réalisme (le tout pour un funding étonnamment réduit). 14 moments de, Enfin. Le meilleur reste à venir. Fidèle à sa politique tarifaire honnête, Fox Pathé Europa propose un lancement à seulement 14,99$. A ce prix là, n’hésitez plus, foncez comme une F1 !
Bande-annonce :
Nicolas Rieux, 13 septembre 2013
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traductionomax · 6 years
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Tournoi 2018 de la NCAA : raisons de croire en chacune des équipes du Sweet 16
Après le premier week-end historique et inoubliable du tournoi 2018 de la NCAA, les équipes qui participeront au Sweet 16 sont maintenant connues. Non seulement une équipe classée première tête de série du tournoi masculin a perdu pour la toute première fois contre une autre classée 16e, mais plusieurs équipes favorites se sont également inclinées. D’ailleurs, depuis l’adoption du classement par têtes de série en 1979, il s’agit de la première année où aucune des quatre meilleures équipes d’une région donnée ne participe au Sweet 16.
Dans cette édition bien spéciale du March Madness où règne plus que jamais la parité, les probabilités que triomphe l’une des meilleures équipes comme Villanova ou Duke semblent plus élevées. Ce n’est probablement qu’une perception faussée par les derniers résultats, qui ne tient pas compte du caractère dominant affiché par les deux équipes en plein tumulte du premier week-end, mais si le destin doit faire en sorte que cette édition annuelle ne se passe aucunement comme prévu, on recommande aux équipes favorites pour participer au Final Four d’être très prudentes.
Le chemin au titre est tout grand ouvert pour les équipes restantes, et nous avons compilé une liste de raisons de croire que chaque équipe peut aspirer aux grands honneurs. Commençons par la région du Sud, où les 1ère et 4e têtes de série ont été éliminées, la 2e tête de série fut victime d’une remontée sans précédent et la 3e tête de série a subi le sort de Sister Jean.
RÉGION DU SUD
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Shai Gilgeous-Alexander, joueur le plus utile de Kentucky jusqu’ici. USATSI
Kentucky (5e tête de série) 
Bienvenue à Catlanta. La communauté partisane des Wildcats, surnommée la Big Blue Nation, sera de passage à Atlanta cette fin de semaine pour encourager son équipe et avantager encore plus la troupe de John Calipari. Sur le court, Shai Gilgeous-Alexander constitue la raison de Kentucky de croire au titre. Même si Kevin Knox est le vrai joueur vedette, Gilgeous-Alexander est le type de joueur en mesure de faire remporter des matchs de tournoi de par sa capacité à découper la défense lorsqu’il a le ballon et à réaliser de grands jeux défensifs grâce à sa taille.
Nevada (7e tête de série) 
Bien que Nevada ne soit pas membre des principales conférences de la NCAA et que l’on ait jamais prise au sérieux, elle est aujourd’hui frénétique après avoir dévasté les formations de Texas et de Cincinnati. Il vaut mieux croire au Wolfpack, car aucune équipe ne voudra l’affronter s’il vient de tromper à nouveaux les experts.
Kansas State (9e tête de série)
On peut croire en Kansas State, car les Wildcats sont prêts pour une autre bataille. La bande de Bruce Weber est l’une des quatre équipes du Big 12 à avoir terminé avec un dossier intraconférence gagnant, les autres étant Kansas, West Virginia et Texas Tech, toujours en lice. Même si elle ne compte aucune victoire imprévisible, l’équipe a joué de manière constante, et on ne peut s’imaginer qu’après être passés à un panier de vaincre Kansas au Allen Fieldhouse, les Wildcats se sentiront intimidés ou déclassés face à Kentucky.
Loyola-Chicago (11e tête de série)
Grâce aux rapports de dépistage de Sister Jean et aux bonnes vibrations ressenties dans l’entourage de Loyola, l’équipe aspire encore au titre. Même si l’on ignore tous les scénarios romanesques, voire hollywoodiens que pourrait créer l’équipe négligée chérie, Loyola s’avère la meilleure du tournoi jusqu’ici en situation difficile. Les Ramblers ont défait les co-champions de la SEC en saison régulière ainsi que la 3e tête de série du tournoi de l’ACC par un total de trois points, gagnant même un match à la dernière seconde.
RÉGION DU SUD
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Jordan Poole cloue le cercueil de Houston grâce à un panier à la dernière seconde. USATSI
Michigan (3e tête de série)
Parfois, les matchs les plus difficiles d’un long tournoi sont disputés avant le Final Four. On se doit donc de croire que les Wolverines ont déjà joué ce match, comme en témoignent le panier fatidique de Jordan Poole face à Houston et la lutte endiablée que se sont livrée les deux équipes. Il s’agit d’un tournoi très compétitif, et la victoire remportée in extremis face à Houston pourrait bien procurer aux Wolverines l’étincelle qu’il leur faudra lors des matchs à venir.
Gonzaga (4e tête de série) 
Il faut croire en Gonzaga, parce que si les Bulldogs avaient dû perdre un match, ils auraient dû le faire face à UNC-Greensboro. Zach Norvell Jr, joueur de première année, connaît un tournoi de fin de saison du tonnerre, et même si Gonzaga a perdu de nombreux joueurs lui ayant permis d’atteindre le Final Four l’an passé, l’organisation sait parfaitement ce qu’il faut faire pour gérer de telles situations.
Texas A&M (7e tête de série) 
La taille importe, et incidence du duo composé de Tyler Davis et Robert Williams s’est avérée telle que North Carolina, équipe championne l’an dernier, n’y pouvait rien. Texas A&M n’a pas joué à son meilleur cette saison, mais l’équipe dispute maintenant de très bons matchs grâce à ces attaquants.
Florida State (9e tête de série)
On ne peut compter Florida State pour battue. De par sa profondeur et sa polyvalence, l’équipe de Leonard Hamilton est extrêmement dangereuse, et ses joueurs imposants et athlétiques peuvent donner du fil à retordre à n’importe quelle équipe – comme ceux de Florida State l’ont fait dimanche pour vaincre Xavier – en exerçant de la pression partout sur le court et en contre-attaquant presque à chaque occasion. Xavier semblait avoir la victoire au bout des doigts à plusieurs reprises, sauf que les Seminoles sont revenus de l’arrière pour surprendre la 1ère tête de série au deuxième tour.
Source : https://www.cbssports.com/college-basketball/news/2018-ncaa-tournament-one-reason-to-believe-in-every-sweet-16-team/
Traduction : Maxime St-Onge  ([email protected])
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the-entangler · 7 years
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Le Grand Palindrome, Georges Perec
9691 ,EDNA' D NILUOM UA CEREP SEGROEG
Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh… rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire.. Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei… Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur !
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Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées… S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira…), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca… : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.
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rollingstonemag · 7 years
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/pour-quelques-gram-parsons-de-plus/
Pour quelques Gram (Parsons) de plus
18 septembre 1973, Gram Parsons succombe à Joshua Tree. La disparition du guitariste des Byrds fut encore plus mouvementée que sa trop courte carrière
C’est l’histoire d’un gosse doué qui voulait être une star, avait tout pour le devenir, et qui succomba aux rituelles chimères que la célébrité met sur la route des candidats à la gloire. Une histoire mouvemen- tée et tragique, qui fait désormais partie de la grande épopée du rock, celle qui raffole de mythes et de mystères. Une histoire d’apparence banale, sexe, drogues et rock’n’roll, refrain connu. Et qui se termine comme tant d’autres, avant et après elle : un artiste talentueux mort d’une overdose dans une chambre d’hôtel. Ou comment Gram Parsons, l’un des inventeurs de la musique country-rock, l’un des acteurs clés des Byrds et des Flying Burrito Brothers, disparut à 26 ans, à l’aube d’une carrière qui aurait pu bouleverser encore davantage le cours de la musique.
Nous sommes le 18 septembre 1973, près de ce qu’on nommera plus tard le parc national de Joshua Tree, au sud-est de la Californie. Un désert de rocs et de dunes, entre Mojave et Colorado, chichement orné de buissons, de cactus et de l’espèce d’arbre qui lui a donné son nom. Un site unique, devenu peu à peu une sorte de sanctuaire naturel pour la culture hippie des années 70 et même après (U2 lui consacrera un album éponyme, en 1987). Un lieu propre à la méditation cosmique, fréquenté par la crème des artistes californiens, Tom Waits, Neil Young, Crosby et sa bande… Il paraît même que la nuit, pour peu qu’on plane un peu, on peut y apercevoir des ovnis zigzaguant entre les étoiles… C’est là que Parsons aime à se rendre régulièrement, entouré d’amis. Il y a même ses habitudes, louant chaque fois la même chambre dans le Joshua Tree Inn, le modeste motel du coin.
Cette journée du 18 septembre ressemble à un jour comme les autres. Gram Parsons est arrivé la veille, accompagné de son assistant Michael Martin, de la petite amie de ce dernier, Dale McElroy, et d’une vieille copine de collège, Margaret Fisher. Une journée arrosée, comme à l’accoutumée, de solides rasades de Jack Daniel’s, agrémentées des diverses substances illicites, héroïne, morphine, barbituriques, que Gram Parsons a désormais l’habitude de consommer.
Vers dix heures du soir, Margaret Fisher découvre le chanteur inanimé dans sa chambre. Après quelques tentatives infructueuses pour le ranimer, elle se résout à appeler une ambulance. Transporté à l’hôpital de Yucca Valley, Parsons est déclaré mort à minuit et demi, soit le 19 septembre. L’autopsie confirmera le décès par overdose d’alcool et de drogues. Dès le lendemain, les journaux annoncent la disparition du musicien. On retrace sa courte carrière, de l’International Submarine Band, son premier groupe, à son récent album solo, sobrement intitulé GP et enregistré en compagnie d’une débutante nommée Emmylou Harris, son amitié avec Keith Richards avec qui, aux dires de ce dernier, il co-composa la chanson “Wild Horses”, et ses errances françaises aux côtés des Stones dans la Villa Nellcôte pendant l’enregistrement chaotique d’Exile on Main St. Ses frasques aussi : démissionnaire des Byrds pour avoir refusé de jouer en Afrique du Sud, viré des Burrito Brothers pour alcoolisme. La presse rappelait son physique de beau gosse fragile et déglingué, d’ange déchu, comme le nom du groupe qui l’accompagnait en tournée. Son vrai patronyme, enfin, Ingram Cecil Connor III, pas très affriolant sur une pochette de disque…
Ce triste fait divers aurait pu se conclure ainsi. Sauf que rien dans la trop brève vie de Gram Parsons n’a de rapport avec une quelconque normalité. Appelé en urgence, Phil Kaufman, le mana- ger de l’artiste, débarque de Los Angeles sur les lieux du drame. Aussitôt, il planque la pharmacie ambulante de son poulain décédé, soustrait les témoins aux interro- gatoires de police et va réaliser un coup d’éclat qui restera dans les annales. Le beau-père de Gram, Bob Parsons, réclame le corps pour l’enterrer en Louisiane, dans le but non avoué de bénéficier ensuite de l’héritage du chanteur. Kaufman sait que Gram a émis le souhait d’être incinéré à Joshua Tree. C’est même un serment que les deux hommes se sont fait, lors de l’enterrement de Clarence White, le guitariste des Byrds, décédé deux mois avant.
Au départ, Phil Kaufman fait mine d’accepter que le cercueil soit emmené à l’aéroport de Los Angeles, à destination de New Orleans. Il enrôle le fidèle Michael Martin, emprunte une camionnette déglinguée et réussit à subtiliser le corps de son ami, au prix de moult tractations avec des employés aussi peu scrupuleux qu’indifférents. Revenus dans le désert de Joshua Tree, les deux complices, passablement alcoolisés, arrosent le cercueil d’essence et y mettent le feu. Ils ne seront condamnés, deux mois après, qu’à des amendes d’environ 1000 dollars chacun pour le vol du cadavre et les dommages causés. Quant au beau-père, Bob Parsons, qui réussit à récupérer les restes de son beau-fils pour l’enterrer à la Nouvelle-Orléans, il décédera un an plus tard d’une cirrhose du foie… sans avoir jamais touché un sou de l’héritage de l’artiste.
Si, de son vivant, gram Parsons n’a jamais décroché aucun tube, son influence, elle, n’a cessé de croître. Même si son album posthume, Grievous Angel, publié juste après sa mort, n’a recueilli qu’un succès d’estime, des artistes comme Emmylou Harris, bien sûr, mais aussi les Eagles, Tom Petty ou Elvis Costello se revendiquent de ce que Gram Parsons lui-même appelait la “Cosmic American Music” : ce mélange idéal de country et de rock dont on peut entendre les prémisses, entre autres, sur l’album des Byrds Sweetheart of the Rodeo.
Aujourd’hui, une plaque commémorative a été placée à l’entrée du parc de Joshua Tree, simplement agrémentée de ces quelques mots : “Safe at home”. Le parfait résumé de l’histoire d’un ange qui voulait voir les étoiles de près, et qui a fini par arriver à bon port.
Philippe Barbot
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murphyncoffee-blog · 7 years
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Nouvelle. L'amour a ses coeurs fanés.
1// - Anatol est rentré. Isis avait lancé ça, comme ça, en plein dîner, entre une bouchée de pommes de terre et d’un bout de pain. J’étais pas vraiment certain qu’elle attendait une réponse, alors j’ai simplement haussé les épaules pour montrer que j’avais entendu, mais que je n’avais rien à dire, comme souvent ces tant-ci. Je ne connaissais aucun Anatol, et je crois qu’à ce stade, la liste des amis de ma femme m’importait plus. Je l’ai entendu posé bruyamment sa fourchette, et si elle n’avait pas soupiré de mécontentement, je n’aurais même pas pris la peine de lever les yeux vers elle. - Quoi ? Elle avait les bras croisés sur sa poitrine, les dents serrés, et je crois même qu’elle était au bord des larmes. Ce fut à mon tour de soupirer, agacé de passer pour le méchant de l’histoire. La situation devenait réellement pesante pour nous deux, et j’avais beau y mettre du bien, la façon dont Isis avait de se placer systématiquement en victime avait pour don de me mettre hors de moi. - Anatol. Mon frère. J’ai froncé les sourcils. Non, vraiment, je ne voyais pas. Et je la connaissais sa famille, ça oui, ses oncles, ses tantes, ses neveux, ses parents.. Mais son frère Anatol, en plus de ne pas connaître le prénom, le seul vrai que je lui connaissais s’appelait Felix. J’étais en train de me repasser mentalement les noms des invités de notre mariage quand elle s’est finalement décidé à préciser sa pensée. - Ana, mon frère militaire. - Ah, oui ! Il est rentré ? C’est bien, ça. Voilà pourquoi je n’avais aucun souvenir de lui. Isis en parlait que très peu, et durant nos cinq ans de vie commune, je ne l’avais jamais rencontré. Il était dans l’armée depuis ses dix huit ans, et il n’avait pas pour habitude de prendre des semaines de vacances. Isis haussa les épaules, et je compris finalement que si elle était au bord des larmes, ce n’était pas à cause de mon manque de réaction. - Oh, Iz’, viens. J’ai ouvert les bras pour qu’elle vienne s’y blottir, ce qu’elle a fait dans la seconde, se laissant finalement aller aux sanglots. L’idée ne m’avait pas traversé l’esprit une seule seconde, pourtant, c’était évident. On ne rentre de la guerre que pour une permission, pour une blessure ou dans un cercueil. On est resté comme ça de longues minutes, sans rien dire, le bruit de ma respiration et ses pleurs comme seuls mélodies. Etrangement, j’arrivais presque à en apprécier la situation, comme si voir Isis souffrir était la seule chose qui arrivait encore à me rappeler à quel point je l’aimais. Aujourd’hui encore, je m’en veux de ce genre de réflexion.
2// - Diane m’a invite au bungalo. Elle et Ana vont y rester quelques temps.. et j’ai pensé que se serait une bonne idée, pour nous. - Pour nous ? C’est toi qu’elle a invité, pas moi. Elle avait encore balancé ça en milieu de repas, à croire que c’était le seul moment où elle arrivait à rassembler assez de courage pour m’adresser la parole. L’histoire restait encore flou pour moi, j’avais juste cru comprendre que son frère était sorti de l’hôpital, et que ses séquelles étaient plus psychologique que physique. L’air de la mer devait probablement lui faire le plus grand bien. Quant à moi, je n’avais ni le temps, ni même l’envie, pour une réunion de famille au bord de la plage. - Mais je vais pas y aller toute seule.. c’est à six heures d’avion d’ici et je – - Isis, tu penses vraiment que dans la situation actuelle, me retrouver parmi ta famille, c’est réellement une bonne idée ? - S’il te plait ! On a pas pris de vacance ensemble depuis des années, ça nous ferait du bien, je suis sûre que – - Mais du bien de quoi ? Tu veux des vacances à deux ? Bien, très bien, partons à deux. Ou quoi ? T’as besoin d’un arbitre ? Tu veux enfin que quelqu’un te prenne à pitié et t’excuses pour ce que t’as fait ? C’est pas plutôt ça que tu veux ? - Ça n’a rien à voir ! Elle est sortie de table avant que je n’ai eu le temps de l’arrêter, mais j’étais certain d’avoir vu des larmes. J’étais pourtant bien trop énervé pour m’en soucier. Qu’elle pleure, tant pis, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même.
3// Je l’ai regardé se ronger les ongles, le dos collé au siège, pendant dix bonnes minutes avant d’enfin lui prendre sa main en soupirant. - On va pas se crasher. Détends-toi, on en a pour toute la matiné. Elle m’a lancé un de ses regards assassins. Je connaissais très bien sa peur de l’avion, mais depuis notre mariage et la routine qui s’était installé, nous n’avions jamais pris de vole et je restais novice dans ce genre de situation. Et ma patience ayant pris un sacré coup ces derniers mois, je n’avais pas réellement envie de la consoler de quoi que ce soit. Pourtant, mon manque de gentillesse à son égard commençait doucement à me faire me sentir coupable, comme si au fond, j’étais le coupable et qu’elle était celle qui prenait tous les coups. C’est pour ça que j’avais d’abord refusé ces vacances. Je ne voulais pas être entouré de personnes qui prennent parti pour notre situation. Nos amis avaient eu la grande bontée de nous laisser régler cette histoire sans s’en mêler, mais je savais très bien que la famille d’Isis serait beaucoup moins partiale. Je ne les connaissais que très peu. J’avais rencontré Isis peu après qu’elle ait quitté sa famille pour l’autre bout du pays, et le voyage était plutôt onéreux, nous ne nous étions pas permis de rendre visite à chaque Noël, nous contentant du mariage, de quelques coups de fils, et de visite exceptionnelle. Mais je savais qu’Isis avait du mal à se passer de sa soeur et de ses frères. Encore plus en ce moment. Isis était la petite dernière, la plus précieuse, peut-être la plus aimée aussi. Sa grande soeur, Ella, son frère Andy -dont j’avais totalement oublié l’existence jusqu’à récemment-, et son autre frère Driane étaient ce qu’elle aimait le plus dans sa vie. Elle avait grandit avec eux dans l’une des plus grande ville du pays avant de débarquer dans la capitale. Contrairement à moi, elle venait d’une famille très aisée dont l’argent n’avait jamais fait parti de leur préoccupation. Si sa grande soeur avait choisi de suivre une voie artistique, du genre chef de décor dans l’industrie du cinéma, ses frères et elle avaient suivi la voie de leurs parents en devenant médecin. Andel était (d’après ce qu j’ai compris) médecin militaire, Driane s’occupait de la chirurgie plastique et Isis s’était dirigée vers la neurologie. Moi, avec mon pauvre petit poste d’enseignant d’histoire dans un lycée public, je me sentais rarement à ma place dans ces dîners de famille. Je n’étais pas le genre idéal, et j’en avais parfaitement conscience. Isis m’en avait fait prendre conscience. C’est pour ça que j’appréhendais, persuadé que je passerais ces deux semaines à encaisser les leçons de morales et les règles d’un mariage sacré qu’Isis avait pourtant bafoué sans scrupule. - Ella a réarrangé le bungalow.. à la mort de papa, elle voulait s’occuper, aller de l’avant, ça reste très semblable d’après les photos, mais plus moderne. Le salon s’est agrandi, elle a abattu le mur de la bibliothèque, c’est plus grand, c’est bien. Elle a arrangé le chemin vers la plage aussi, avec des pierres et tout ça, pour que ce soit plus soigné, tu vois ? Apparemment y aurait une douche aussi.. Il fait un peu froid pour se baigner en ce moment, mais c’est une bonne idée.. J’ai laissé Isis parler toute seule, préférant garder sa main dans la mienne en fermant les yeux. Elle n’était pas quelqu’un de bavarde, surtout pas quand elle me savait de mauvaise humeur. Mais elle était stressée, peut-être morte de peur, et je savais qu’elle essayait de se changer les idées en tournant la conversation sur quelque chose qu’elle maîtrise et qu’elle connaît. Tant mieux si ça la rassure, mais qu’elle ne s’attende pas à ce que je discute nuance de peinture avec elle pendant toute la durée du vol.
4// - Isis ! J’ai reconnu la voix d’Ella immédiatement, et Isis aussi, lâchant ma main pour sauter dans les bras de sa soeur. Elles se ressemblaient énormément, les mêmes traits de visage, même couleur de peaux, de cheveux, le même rire espiègle. Leur différence d’âge se trahissait dans le sourire plus enfantin d’Isis, et dans les quelques rides du visage d’Ella qui parcouraient son front et entouraient ses lèvres. J’avais l’impression d’avoir à faire à deux gamines qui se retrouvaient après des semaines de séparation, et bien sur, c’était le cas. J’ai rejoins le petit groupe, nos valises à la main, essayant d’éviter les quelques passagers du train encore sur le quai. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai remarqué l’homme qui se tenait un peu en retrait. Malgré son sourire à la vue de ses soeurs, on ne pouvait échapper à l’air fatigué qui creusé son visage. - Andy ! Il se joignit aux embrassades, et moi je suis resté là, comme un con, avec cette impression que je n’avais rien à foutre ici.
5// - Alors, comme ça, c’est toi qui a épousé ma soeur ? La voix d’Andel était beaucoup plus douce que je ne l’avais imaginé. Roque, mais douce. Le parfait mélange d’une âme meurtri dans un corps jeune. J’ai croisé son regard dans le miroir du parsoleil et j’ai tenté un sourire. Les Morgenstern n’avaient pas oublié ma présence mais je sentais bien que je n’étais pas totalement intégré à la famille, la faute à Isis, peut-être, qui avait tendance à se mettre de le plus loin de moi, même dans la voiture où elle s’accrochait à la portière plutôt qu’à moi. - Faut croire. J’en déduis que tu es le frère dont on ne m’a jamais parlé ? Il a tourné la tête sur Ella qui continuait de fixer la route, se concentrant sur sa conduite plutôt que sur son frère. Même si je devinais un malaise, il ne l'accentua pas. - Comme on dit, loin des yeux loin du coeur. - C’est toi qui a décidé de partir, souffla Isis, mais je n’étais pas certain que quelqu’un d’autre que moi l’ai entendu. J’ai froncé les sourcils, mais elle fixait le paysage plutôt que de répondre à mes questions silencieuses. - Mais ces quelques jours nous permettront de faire connaissance. J’ai cru comprendre que tu enseignais ? - C’est ça. Je ne sauve pas des vies, mais j’aime ce que je fais. - Tu construies des vies, ajouta Isis, cette fois-ci, elle avait parlé suffisament fort pour que sa soeur et son frère l’entende.
6// - Le bungalow est magnifique, finit par dire Isis afin de briser le silence pesant qui s'installer dans la chambre que l’on nous avait attitré. Je défaisais soigneusement ma valise, rangeant mes habits dans les armoirs, tout en haussant les épaules à sa remarque. Je connaissais l’endroit, nous y avions passé quelques étés ensemble, avec sa famille aussi, puis son père est décédé, et cette disparition a ébranlé la famille, suffisament pour que les habitudes se perdent. J’ai froncé les sourcils avant de me tourner vers Isis. Le visage collait à la fenêtre, elle essayait de deviner la mer malgré la noirceur de ce début de soirée. - Ton frère n’était pas à l’enterrement de ton père ? Je ne me souviens pas l’y avoir vu.. - Candelane ? - M’oblige pas à apprendre son prénom.. Elle a esquissé un sourire. Ils avaient tous des prénoms étranges dans sa famille, une particularité à laquelle que sa mère tenait tout particulièrement. Isis pour Isidora, Ella pour Petronella, Driane pour Valesdrian et Andy ou Andel pour Candelane. A telle point que sa mère a été surprise quand je lui ai répondu que Bianca n’était pas un de mes surnoms. - Non, il n’était pas là. L’armée ne laissent pas rentrer ses soldats pour si peu.. maman ne lui a jamais pardonné si tu veux tout savoir. - Tu lui a pardonné, toi ? Elle a semblé réfléchir, puis elle a recommencé à fixer la fenêtre. - Ce n’est pas ce que je lui reproche..
7// -Isis m’a raconté ce qui s’est passée.. Ella a parlé tout bas, exactement de la même façon que sa soeur quand elle a peur d’aborder un sujet. Mais je n’ai rien dit, continuant de frotter le plat avec mon éponge pendant qu’elle essuyait les verres et qu’Isis et Andel discutait dans la salle à manger. -Elle n’aurait jamais dû faire ce qu’elle a fait. - Mais ? Demandais-je, m’attendant à ce qu’elle lui trouve une excuse. - Y a pas de mais. Elle n’aurait pas dû faire ce qu’elle a fait. Les rôles auraient été inversé, j’aurais tout fait pour qu’elle te quitte. Je n’avais vraiment pas envie de parler de ça. Pas avec elle, pas avec ma femme dans la pièce d’à coté. -Je comprend que tu ne lui pardonnes pas. Pourtant t’es là. Toujours. Tu l’aimes. J’ai lâché un rire plutôt mauvais. -Ouais, c’est merveilleux l’amour, hein. Si je n’étais pas aussi en colère contre Isis, contre Ella, contre moi-même aussi, je me serais surement mis à pleurer. -Et elle t’aime aussi, elle – -Ne t’avance pas sur ses sentiments. On sait tous que ce n’est pas vrai. Elle a soupiré, cherchant ses mots. -Tu connais Isis.. tu sais qu’elle fuit les problèmes, qu’elle ne se bat que pour ce qui lui importe.. -Tu veux quoi ? Que je lui remercie de ne pas avoir demandé le divorce. La cafetière a bipé, signalant que le café était près, mettant court à notre discussion. -Elle ferait tout pour pouvoir se racheter et faire oublier ses erreurs.. merci de lui en laisser la chance.
8// Je suis parti me coucher sans boire de café, fatigué par le voyage, par les sourires forcés et la fausse joie qui m’oblige à faire croire que mon mariage est heureux alors qu’on sait tous qu’il se noie. Isis est restée tard, parlant et rigolant avec sa soeur et son frère. Je lui en veux pas, elle ne les a pas vu depuis très longtemps. J’étais déjà endormi quand elle est venue se coucher, embrassant mon front comme à son habitude, et je n’ai pas eu la force de la repousser quand elle a m’a enlacé en posant sa tête sur mon épaule.
9// -Ella et Isis sont parties faire des courses pour se midi, expliqua Andel en lançant une nouvelle tournée de café. Encore endormi, habillé d’un vieux pull et d’un vieux jogging, j’ai seulement hoché la tête sans réellement comprendre ce qu’il venait de me dire. Malgré l’hiver, le soleil était fort présent, baignant le bungalow d’une lumière jaune aveuglante. -Je pense qu’elles vont en faire souvent, des sorties comme ça. Alors j’espère que t’es un peu bavarde parce qu’on risque de vite s’ennuyer. J’ai frotté mon visage en soupirant. -Tu le découvriras après mes trois tasses de café. Il a sourit et sortit trois tasses propres de placard. -J’ai hâte.
10// Je m’étais lancé dans la confection d’une salade grecque pour l’entrée du midi, et étrangement, Andel semblait très enthousiaste. Ce n’est que bien plus tard que j’ai compris que la variété de nourriture en afghanistan était bien limité. Les filles n’étaient toujours pas rentrée mais téléphonait toutes les dix minutes pour avoir un avis sur les aliments à acheter. -Tu fumes, remarquais-je alors qu’il allumait sa troisième cigarette de la matiné. -Et tu bois, rétorqua-t-il en pointant mon verre du doigt. Son sourire laissait sous entendre que sa remarque était purement innocente, mais mon regard a surement lui faire comprendre que la situation était bien plus compliqué que ça.
11// -Andel est bien silencieux.. soufflais-je au creux de l’oreille d’Isis, allongé sur moi dans le hamac. Elle portait un chpeau de paille qui recouvrait une partie de son visage alors que je me contentais de mes lunettes de soleil. Nos pieds emmelaient, mes bras enlacées sa taille.. ces moments de douceurs et ce genre de trêve étaient bien rare, j’en profitais autant que je pouvais. L’air n’était pas vraiment chaud, mais le soleil tapait suffisamment pour que nous restions dehors avec un simple plaide pour nous couvrir. -Il l’a toujours été.. c’est pire depuis qu’il s’est engagé.. - Tu t’en souviens. Elle a hoché la tête en soupirant. -Je venais d’avoir seize ans.. mes parents ont pété un cable. Aucun de nous n’a compris.. -Et il est revenu.. -Quelques années, le temps de faire ses études de médecine. Puis il est reparti. J’ai l’impression qu’il fuyait quelque chose.. ou quelqu’un. -Ton père ? -Non.. elle semblait réfléchir, je n’ai jamais trouvé qui. Mais quelqu’un qu’on ne connaissait pas sans aucun doute. -Il repartirait encore, tu penses ? -Il est revenu parce qu’il n’avait pas le choix.. il trouvera un autre moyen pour fuir. J’ai tourné la tête en direction d’Ella et Andel, assis sur la terrasse à quelques mètres de nous. La jeune femme dessinait dans son carnet de croquis pendant que son frère avait l’air de tresser des fils.. un bracelet peut-être ? -C’est ça que tu lui reproches ? Ai-je finalement demandé en me rappelant de notre conversation de la veille. Elle n’a rien dit, mais je la connaissais suffisamment pour savoir qu’elle avait besoin que je la sers un peu plus fort contre moi.
12// Je n’ai pas été surpris en me réveillant dans un lit vide, Isis m’ayant prévenu qu’elle et sa soeur irait en ville se renseigner sur les événements festives du week-end. Mais il était encore tôt, le soleil ne perçait pas encore entièrement les rideaux, et dans le silence étrange du bungalow, seuls des cris étouffés trahissait une présence. Par pur réflexe, je me suis levé, encore en caleçon pour vérifier ce qu’il se passait. J’ai hésité quelques secondes en réalisant que les plaintes, transformés en cris provenaient de la chambre d’Andel. En ouvrait, je l’ai trouvé endormi, le visage abimé d’une grimace épouvantable, comme s’il devait supporter une douleur physique insoutenable. Je ne comprenais pas ce qu’il disait, mais ses gémissements ne m’ont pas fait douter. -Andel ! Hey ! Réveille toi ! Je l’ai secoué assez violemment afin de le réveiller. Il a sursauté, me sautant presque au coup, les mains en position d’attaque. Le souffle haletant, je l’ai vu observer la pièce à la recherche d’un quelconque danger. Je me suis risqué à poser ma main sur son épaule nue. -C’est moi, Bianca, le mari d’Isis, il n’y a rien, t’es en sécurité ici. Son regard continuait d’analyser la situation, comme s’il n’était toujours pas sorti de son cauchemar. On est resté comme ça de longues minutes, lui encore en alerte, moi répétant inlassablement qu’il ne craignait rien. Il a fini par se calmer, prennant son visage dans ses mains, essayant de calmer son fou rire nerveux. -Désolé.. j’ai.. vraiment passé un sale nuit. -C’est rien.. je vais aller te faire du café. J’ai tenté un sourire auquel il a répondu maladroitement. Je comprennais doucement que cet homme était bien plus abimé qu’il ne laissait paraître.
13// -trouble du Stress Post Traumatique, expliqua Ella quand à table le soir, nous nous étions retrouvé à trois, Andel ayant décidé de se coucher plutôt. Isis a froncé les sourcils, buvant une nouvelle gorgée de sa tisane. -Il revit la guerre dans son sommeil, c’est ça ? Demandais-je. -Ca c’est quand il arrive à dormir, la plus part du temps il est en état de d’hyperstimulation, de l’hypervigilance.. il a des médicaments mais je suis pas certain qu’ils aident beaucoup. Je voyais bien qu’Ella s’efforcait de rendre l’exeplication simple alors qu'évidemment, Isis avait dû deviner dès le premier regard. On ne parlait pas beaucoup de son métier à deux. Elle m’avait fait comprendre dès le départ qu’elle ne voulait pas que sa vie de couple se confonde avec le boulot. Cette déclaration sonne étrangement amer à présent.. mais je m’étais toujours efforcé de respecter cela. Les rares fois où elle en parlait, c’était lorsqu’elle avait réussi une opération avec succès ou que l’échec était trop dur à supporter pour ses épaules. -On peut pas faire grand chose, hum ? Demandais je puisque qu’aucune des deux ne semblait décider à parler. -C’est un psy qui lui faut, souffla Isis. -Il en voit déjà un, informa Ella, me laicant l’impression qu’il s’agissait d’un reproche à l’égard de sa soeur. -Alors il lui manque du temps. Il est revenu il n’y a que trois semaines. Il lui faudra des années pour s’en remettre.. en admettant qu’il s’en remette un jour. La remarque d’Isis plongea la pièce dans un nouveau silence qui ne fut rompu que lorsque qu’Ella alla se coucher.
14// -T’es vraiment trop con ! Le rire d’Isis explosa dans la pièce alors que je continuais de la coincer sous moi. Ella et Andel étaient partis tot ce matin et Isis avait jugé que c’était une raison suffisante pour me réveiller à coup de baiser. J’étais de bonne humeur bien que fatigué, une chance pour elle. J’avais enduré ses baisers mais elle je semblais pas amusés de mes caresses sur les zones que je ne connaissais trop bien et qui la faisait rire à chaque fois que j’éffleurais ça peau. -Bianca arrête ! Je vais m’étouffer. -Mince tu as découvert mon plan machiavélique ! Elle
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