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#christique
anatmantv · 1 year
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« Comment apprendre à m'aimer? » - Myriam
Cachée derrière, « Comment apprendre à m’aimer? » il y a comment apprendre à me désidentifier de Myriam qui ne s’aime pas. Pourquoi ? Parce que ma nature profonde, c’est d’être amour. En vérité, pour tout te dire, tu t’aimes déjà, sinon tu n’aurais pas créé cette incarnation, tu ne serais pas là, tu serais déjà parti ailleurs, faire autre chose. Donc déjà, tu t’aimes en fait, mais tu as…
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erwan-corre · 1 year
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Ce soir, le cracheur de feu est revenu à Rennes !
Là, un soir de Mai sur la Place Saint-Germain où il est déjà souvent passé..
C'est le printemps et même un été torride qu'il nous annonce !
Magnifique magicien, quasi christique ! 
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thehermitsacedia · 2 years
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Je me rappelle Qu’il me parlait aussi, que la lumière est belle ! Je l’aime d’être bon, moi qui suis le mauvais. Oh ! le temps d’un éclair, hélas ! si je pouvais Au fond de mon chaos voir son ombre apparaître ! Je l’adore, ô terreur, plus que Jephté son prêtre, Plus qu’Amos son prophète et David son chanteur.
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aainaalyaa · 11 months
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“Adam a appris le Nom, quels étaient les Noms? Étaient-ils des codes spirituels profonds qui n'ont pas été transmis à l'humanité avant l'apparition du principe de plaisir?
N'avez-vous jamais pensé à quels étaient les codes? N'avez-vous jamais pensé à ce qu'ils pourraient être?
Ne vous souvenez-vous pas de la première révélation?
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Le Secret des Secrets
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energiologue · 20 days
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ÊTRE SEUL.
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Très chers amis, je suis Jeshua. J’ai été un porteur de l’énergie du Christ sur Terre. Je suis venu apporter le désir d’une conscience améliorée sur Terre, et vous avez été parmi ceux qui ont reçu cette impulsion afin de l’assumer et de la répandre davantage. Vous appartenez à un groupe d’Âmes qui ont été des pionniers…
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raisongardee · 5 months
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"A ces derniers, il n’est pas demandé de gagner, mais de savoir endurer et souffrir comme des hommes, de repousser le plus loin possible les limites du courage dans l’ascension christique comme dans la descente aux Enfers. Autrement dit, de faire montre d’autant de ressources physiques que de santé morale. Vainqueur du Tour en 1931 et en 1934, puis directeur sportif, Antonin Magne ne cesse de le répéter :"Il n’y a pas de gloire sans vertu." Le Tourmalet comme l’Isoard se doivent d’être des sommets au propre comme au figuré. Le champion n’est pas toujours le vainqueur de l’étape mais celui qui a surmonté l’ordalie, qui n’a pas mis pied à terre, qui n’a pas perdu les pédales. Un chevalier ne déchoit pas pour peu qu’il ramène son cheval à l’écurie."
Patrick Buisson, La fin d’un monde. Une histoire de la révolution petite-bourgeoise, 2021.
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Profitons de ce que le président états-unien Biden vient d’éliminer tout signe chrétien de la Maison Blanche (pas de chasse aux œufs pour les enfants cette année) et déclare ce jour (Pâques) comme celui de "la visibilité transgenre" …pour rappeler un brin de théologie post-lacanienne.
"Le Saint-Esprit est l'entrée du signifiant dans le mot. C'est certainement ce que Freud nous a apporté sous le titre de pulsion de mort". (Jacques Lacan - Le Séminaire, livre IV, La relation d'objet)
La résurrection, comme le remarque déjà Hegel, cela ne veut pas dire que le Christ se soit réincarné, c’est à dire revenu dans un corps, c'est là précisément qu'intervient la notion de Saint-Esprit dans la trinité chrétienne.
Le Saint-Esprit, c'est un nom pour la vie au-delà de la vie, par delà le cycle biologique de la génération et de la corruption, le Saint-Esprit n'est rien d'autre que la permanence de l'ordre symbolique lui-même, là où nous sommes toujours déjà, en tant que "parlêtres", transubstantialisés (en sujet).
Or le Saint-Esprit désigne aussi la "communauté des croyants", en d'autres termes le (nouveau) lien social naissant de l'Autre (l'ordre symbolique) après l'avènement christique.
C'est ainsi qu'il faudrait entendre la réponse du Christ lorsqu'on lui demande où il sera après sa mort: "Chaque fois qu'il y aura de l'amour entre deux d'entre vous, je serai là."
Là, ce n'est nulle part ailleurs que dans la parole, la parole d'amour.
Quel est donc le rapport entre le Saint-Esprit et la pulsion de mort freudienne?
Si au célèbre "Gott ist tot" Lacan substitue sa formulation "Dieu est inconscient", ce n'est pas pour modérer l'impact de la déclaration nietzschéenne, au contraire, c'est un fait de pure logique, la mort du Christ est strictement indissociable de son autre côté: l'immortalisation du corps ("Christ n'est pas mort") qui signale qu'il y a quelque chose dans le corps humain qui est plus que le corps humain, un objet partiel, obscène, non-mort...
L'objet petit a.
Quand Paul (Romains VII, 4) dit que les chrétiens meurent à la loi (juive) à travers le corps du Christ, il convient de s'arrêter sur ce paradoxe: la loi a été surmontée par ce qui est étroitement lié au péché parmi les hommes, car le site de cette lutte - et son surmontement - n'est pas la loi mais bien le corps.
Attention, pour le psychanalyste, le corps n’est pas à confondre avec l’organisme...
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ameretat · 11 months
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Anne Dufourmentelle, Éloge du risque :
Au risque de la passion
“La passion ne se soigne que par elle-même” Fourier
On veut l'intensité sans le risque. C'est impossible.
L'intensité c'est le saut dans le vide, la part d'inédit, ce qui n'a pas encore été écrit et qui pourtant en nous est en attente, de précisément ça. La passion est une disposition qui naît en nous depuis l'enfance, que l'on peut faire croître ou diminuer mais totalement altérer, jamais. Elle exige comme le chevalier de la foi kierke-gaardien un passage à l'infini, une hyperbole. Le chemin n'est pas défini, ni le comment, ni l'usage, ni la raison qui saurait nous guider. L'amour abrite de tels risques. Et pourtant que de répétitions s'y côtoient...
Parce qu'après, si vite après le premier vertige, la peur fait relais, ensuite ce n'est qu'un rattrapage qui prend plus ou moins de temps pour prendre acte de la défaite des sentiments. Alors... faudrait-il ne pas croire aux renoncements, aux alibis, aux serments, aux mirages, et pourtant aimer ? Savoir que c'est le désir qui veut, tout le reste s'organise autour, plus ou moins secrètement. Et le désir s'attache au corps, mais à un corps hors-corps impossible à rassembler en mot, en vision, en acte qui est tout aussi bien de l'âme. Aucun pacte ne peut en fixer la limite ni la durée, sinon le sexe qui ne s'épuise ni dans la jouissance, ni dans la répétition.
Qui voudrait de cette délivrance?
Mais il y a une autre passion, ou du moins un événement que l'on a appelé du nom de Passion, c'est celle du Christ. Une passion qui est celle de l'incarnation, d'un dieu fait homme. La Passion ici désigne-t-elle le martyr, le corps supplicié de celui qui se laissa condamner et trahir, par son ami ? Ou est-ce un autre événement que l'on désigne par ce nom, qui fait signe dans l'humilité et la trahison vers la possibilité du plus sacré, et dans l'acquiescement à un ailleurs absolu ?
Que nous soyons croyants ou non, cette Passion appartient à notre mémoire, à notre rapport au monde et au langage. Toute passion, en ce sens, paie son tribut à cette autre scène, christique, qui nous propose un retournement de la sauvagerie en grâce.
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flora-eis · 4 months
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Il faut que tu comprennes que mon bonheur n'existe que parce que tu en fais parti. Je ne peux pas simplement te regarder partir, mal, sans être à tes côtés. Ni supporter que tu choisisses pour moi ce qui doit faire mon bonheur.
Tu pointais mes traumas pour ne pas penser aux tiens et tu refuses qu'ils prennent sur mon bien être. Pourtant toi tu as été là quand j'étais au fond, je peux et je veux être là pour toi aussi. Seul on va plus vite, à deux on va plus loin. Tu n'as pas à garder tout ton mal-être pour toi, je t'aime et je veux t'aider. Je ne ferai pas le travail pour toi, mais je veux t'aider, t'épauler, être à tes côtés quand tu grandis.
J'ai bien compris, je t'ai entendu, je sais ce qu'il y a en toi. Ton besoin de te retrouver ne peut se faire que seul, sans personne qui ne prenne la place dans ta tête. Mais sache que tu n'es pas seul. Que je vais t'attendre. Tu veux que je trouve quelqu'un qui peut me donner ce que j'attends, mais toi tu peux me le donner. Pas aujourd'hui, pas demain, mais ce n'est pas grave. Je suis patiente. Patiente et amoureuse. De toi, de ce que tu étais, de ce que tu es, de ce que tu sera. Je te veux égoïste, je te veux franc, je te veux vivant. Je veux des plages et des montagnes, des champs de souvenirs et des veillées au feu de nos baisers.
Je suis triste de ce qui t'a mené à être là, je suis triste de devoir lâcher cette main le temps que tu te retrouves. Il n'y a aucune certitude que je la reprenne, aucune promesse, aucun mot, papier, étoile, dieu, qui ne puisse me jurer que l'on se retrouvera. Juste l'espoir qu'un jour tu te réveilles en pensant à mon dos contre le tien, au café que je te prépare. Être compagnon du quotidien et de nos folies. Je veux pouvoir t'épauler quand tu es fatigué, te faire rire quand tu es plein de courbatures, accueillir ta tristesse quand la vie est rude.
Je veux que tu n'ais pas à te dire à ma place ce qui est bon ou non. Je peux te laisser partir deux ans, si, au moment où tu passes la porte, tu me dises que tu reviens. Que je reçoive la certitude que tu penses à moi de temps à autre, et qu'à ton retour l'appartement soit lumineux de nos retrouvailles. Je veux partager ton affection et ton bonheur. Que l'on se promène sur la plage avant de rejoindre nos amis. Que tu sois loin des vicissitudes de ce monde. Sans doute grandir dans l'idée des martyrs m'a donné la capacité d'endurer plus que ce que certains ne pourraient, car j'ai gardé cette naïveté christique de "l'après". Après 40 jours de déluge, où l'espoir de la colombe avec sa branche, cette histoire coule dans mon esprit. Je navigue dans une coquille de noix, de courant d'air en raz de marée, espérant retrouver l'arbre au sommet duquel jirai écrire.
Dans ce jardin je creuse un trou, dans lequel je pose, maigres dons, les lettres, quelques cheveux et je murmure ton nom. Sans doute que les roseaux qui pousseront à cet endroit soupirerons ton nom aux secrets perdus.
[Août 2023, lettre non envoyée]
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a-room-of-my-own · 6 months
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C'est fou à quel point les filles du dit-"Tiers-Monde" sont américanisées à fond. Il y a deux jours, une femme sur twitter avait rédigé un tweet qui expliquait pourquoi elle était anti-immigration et toutes les féministes ont révoqué sa carte en la traitant de raciste, de suprémaciste blanche et en lui demandant pourquoi elle ne s'autoflagelle pas sur les connards profitant du tourisme sexuel. C'est fou à quel point la vision LFIste est présente...
 C’est certainement américanisé,  mais ce que je remarque dans les tentatives de faire systématiquement du relativisme culturel, c’est avant tout que les hommes issus de l’immigration ne sont pas vus comme des sujets, ou en tout cas comme des adultes, capable d’adhérer à une idéologie ou de faire leurs propres choix.
Ce que je trouve assez drôle avec nos féministes locales et celles qui sont influencé par l’idéologie identitaire à l’américaine, c’est qu’elles sont à la fois capable d’identifier des résidus de patriarcat dans l’éducation des hommes occidentaux et en même temps incapables de penser qu’une culture infiniment plus patriarcale, misogyne et violente, puisse avoir des conséquences sur le comportement des hommes élevés avec ces valeurs.
Elles voient ces hommes fondamentalement comme des victimes, et leur vision de la victime n’est pas une personne autonome, douée de libre arbitre à qui il est arrivé quelque chose, mais une identité. Ainsi à partir du moment où une personne est victime, elle ne peut pas mal faire. On lui retire sa complexité. On lui retire son individualité et elle devient une espèce de figure christique, sacrificielle qui ne peut pas faire ou penser le mal. Si elle commet des actes violents, c’est parce qu’elle y a été poussée. Si elle adhère à une idéologie meurtrière, c’est probablement qu’elle ne l’a pas comprise.
Associé à de l’égoïsme fondamentalement bourgeois, dans le sens où elles ne sont que très peu confronté à ces hommes, c’est très facile d’ignorer les violences commises et leurs causes tout en s’insurgeant sur le non-respect de l’écriture inclusive.
Pour les femmes issus de ces communautés, le problème est différent. Je pense que dans une large mesure c’est une question de loyauté et c’est une question de double contrainte. Dénoncer ce qui se passe dans sa propre communauté peut déclencher un rejet de la part des siens et peut aussi alimenter des stéréotypes. C’est une crainte qui n’est pas du tout sans fondement.
Il y a des femmes qui ont le courage de le faire forcé de constater que souvent elles le payent extrêmement cher. Déjà ça ne les immunise pas contre les réflexes racistes de certains mais en plus elles se retrouvent mises au ban. Et de la même façon, il ne faut pas voir une femme vivant à l’intérieur d’une société très patriarcale comme une victime sans complexité et il est tout à fait possible pour une femme dans une société de cette nature, d’être victime d’une oppression qu’on pourrait, dans ce cas, qualifier de systémique, tout en y participant activement.
C’est d’ailleurs de cette façon que ce système perdure pendant des générations, puisque les femmes qui sont victimes, peuvent, à leur tour, endosser un rôle d’oppresseur envers des femmes plus jeunes, envers leurs belles filles envers leurs propres filles.  C’est comme cela effectivement qu’on retrouvera des femmes qui défendrons les comportements de leurs frères, quand bien même ces comportements seraient d’une extrême violence.  Ce sont les mêmes qui se feront gardiennes de l’honneur de la famille, les mêmes qui feront la police de l’habillement auprès de leur petite sœur ou de leurs cousines.
Je pense que même nous, en tant que féministes, on doit comprendre que les femmes d’une manière générale peuvent être victimes d’un certain nombre de choses, mais que le statut de victime ne fait pas disparaître pas la complexité des individus. On aura toujours des femmes qui soutiendront des hommes misogynes, qui seront misogynes elles-même, qui se réjouiront de crimes commis sur d’autres femmes, et ce ne sera pas une erreur ou une incompréhension de leur part. Ce sera un choix.
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claudehenrion · 1 year
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Voici Noël… Douce nuit… Sainte Nuit…                                      Jouez, hautbois… Résonnez, musettes…
 Pour les chrétiens (et pour tous les hommes qui se souviennent que les mots ont un sens), Noël est une fête religieuse... Pour certains, qui ont conservé les plus poétiques des symboles païens (le bel arbre, le Père Noël, les cadeaux, la Bûche), cette fête n'a pas d'autre sens que celui des 4 lettres qui la désignent. D'autres, qui croient trouver refuge dans la boustifaille et la grande foire pour oublier un instant les limites de leur condition humaine, ''font la fête'', mais sans plus savoir ni quoi ni pourquoi... Mais depuis peu, les chrétiens ont pris conscience que leur existence suffit, à elle seule, à provoquer la haine féroce d’islamistes et de quelques poignées de gens qui se croient ''libres'' et qui se disent ''penseurs'' mais qui, n'étant ni l'un ni l'autre, sont devenus les garde-chiourmes maniaco-woko-vétilleux d'une tyrannie qui n’est plus capable de voir le monde qu'en termes de l'interdiction de l’Autre...
Noël... Ce mot était autrefois synonyme de douceur, de beauté et d'harmonie. Il rappelait la naissance d'un enfant dans une crèche, petit bébé sans défense, mais parlait aussi d'un Dieu se faisant Homme pour l'amour de nous, ce qui n'est pas rien (car si le récit chrétien est faux, comment expliquer le tsunami formidable qui a tout balayé devant lui pendant 2000 ans et plus et qui bouleverse et unit, de nos jours encore, 2,3 milliards de terriens, 1/3 de l'Humanité, en progression constante).
Aujourd'hui, les médias et ceux qui se croient intelligents –quelques dizaines ou centaines de mille... mais qui contrôlent les merdias-- voudraient nous faire croire que toute cette beauté, si douce au cœur et à l'âme, se serait abâtardie  en une bacchanale consumériste qui tirerait sa pauvre  légitimité de son absence de raison d'être et du dépassement de toutes les limites raisonnables. Alors... en réaction contre ce viol de toute vérité, pourquoi ne pas terminer l'année en riant de l’atroce cacophonie que notre époque oppose à tout ce qui touche aux sujets religieux ?
Que l'on soit croyant ou pas, de toute confession et de toute origine, la naissance d'un petit enfant juif dont l’Histoire a conservé la trace a été un bouleversement immense pour l’humanité, nous l'avons rappelé récemment. Deux mille ans plus tard, on a enfin compris que cette heure, arbitrairement fixée à minuit –et au fond, pourquoi pas ?-- a été la plus importante de tous les temps. Mais on ne réalise pas toujours que le contenu non-religieux du message christique est aussi grand que celui (religieux, donc réservé à ceux qui l'ont entendu) qui a forgé notre civilisation, l'Histoire, la pensée, la culture... et le monde, bien au-delà des limites admises. 
Les répercussions et les conséquences de la Révélation dans plein d’autres domaines que ceux liés à la foi chrétienne qui a tant a étonné le monde romain, polythéiste, le monde juif, monothéiste, et la suite des siècles jusqu’au nôtre, tout pétri de technique et si fier de son savoir en bribes... sont loin d’avoir toutes été comprises, et sont loin de leur propre essoufflement, comme le démontrent les progrès de la science. (NDLR : si nous en parlons souvent, c'est parce que c'est le phénomène le plus révolutionnaire et paradoxalement le plus civilisateur qui ait jamais existé).  Il n'empêche... A l'opposé absolu de la nullité actuelle, systémique, stéréotypée, et franchement moche, vous souvenez-vous comme ils étaient jolis, ces chants qu'on appelait “des petits Noëls’‘ ? Douce nuit… Il est né, le divin enfant… Minuit, Chrétiens… Les anges dans nos campagnes… Entre le bœuf et l’âne gris… Adeste, fideles..., et tant d'autres… (Je suis prêt à parier que vous en avez fredonné au moins un, en   lisant : ils sont, simplement, ''beaux, point final''.
La France, seule parmi les nations civilisées, a rétrogradé la “douce Nuit” de Noël au rang d’orgie obligatoire, convenue et con venue, à la fois interdite dans ce qu'elle a de beau, et obligée dans ce qu'elle offre de pire (business commande... fausse tolérance force... et laïcisme militant oblige !). Dieu a disparu du ''quotidien'' de la plupart de nos concitoyens, au ''profit'' (?) de saturnales de dindes farcies et de foie gras à la grippe aviaire : la ''Tolérance-sic'' et la ''Laïcité-re-sic'' ont donné naissance à une néo-pseudo-religion, intégriste, intolérante, impitoyable comme aucune autre sauf, peut-être, l'islam mal compris qui ravage le monde : le laïcisme officiel, sous ses oripeaux et sa fausse bien-pensance, n'est qu'une caricature qui s'ignore d’une espèce d’iso- religion qu'on ferait, tous, beaucoup mieux d'ignorer.
Goinfrerie à tous les étages et gros pères Noël très laids, transpirants, et répétant ''Ho...Ho...'' à chaque coin de rue... le niveau artistique et la poésie de ce qui reste l’événement le plus important de l’Histoire ont ils été significativement “anoblis” par le passage de ce qui était une fête religieuse à ce qui est une fête laïque ? Comme chaque année, nous pouvons évaluer les dégâts : iI faudra au moins des “soldes d’hiver” et des galettes feuilletées (dites ''des Rois''), pour nous faire oublier tout ce gâchis ! (NDLR -- Un détail triste et rigolo tout-à-la fois : une de mes arrière grands-mères, que j'adorais, est morte un 1er janvier, centenaire comme presque tous mes ancêtres depuis 350 ans, des ''suites'' d'un réveillon trop copieux (et –mais on ne me l'a pas dit-- sans doute très arrosé !). La gourmandise peut donc bien tuer ! RIP. 
Au nom d'une soi-disant tolérance toute en militantisme intolérant, on a demandé à Dieu de ne plus être ''au centre du village'', et aux cloches de ne plus sonner –ça pourrait heurter “des gens”, nous explique-t-on sans mourir de honte-- et, comble de la crétinerie, on demande à des juges très syndiqués très à gauche de dire si la naissance du Christ a eu lieu ou non dans une crèche !  Au lieu de dire : “Je pense que Dieu n’existe pas”, ils voudraient qu’on précise  : “Mais toi non plus, tu ne peux plus croire à de telles sornettes”. Allah, à la rigueur ! Mais Dieu ? Ah ! Ça, non !
L'athéisme, qui rejetait le Dieu, réputé par eux indémontrable, d'un dogme qu'ils prétendent trop structuré, factice et imposé, est devenu une religion qui rejette toute divinité de façon bien plus structurée, tout aussi indémontrable, aussi factice et dix fois plus imposée... et violente à en être incurable... alors que, si l'on va au fond des choses, le fait de dire : “je ne crois pas en Dieu”, c’est reconnaître son existence... tout en se se positionnant personnellement par rapport à Lui, ce qui est un droit non-négociable... ”Dieu”, que ça plaise ou non,  est un nom propre devenu nom commun car il appartient à l’humanité, qu'elle accepte ou pas ce cadeau.
Or la France, pour son malheur et le nôtre, est aujourd’hui dirigée (?) par des intégristes du rejet de toute la culture judéo-chrétienne, dont ils sont tous, pourtant, l'impur produit, à 100 % ! Ce refus est grave, mais moins que le vide culturel qui va avec : comme ils le font avec tous les problèmes qu’ils sont incapables de résoudre (chômage, immigration, sécurité, éducation, économie, covid, hôpital, éclatement du pays par leur seule faute...), nos ''Nuls'' abordent celui-ci par le mauvais côté... Par leur faute, nous avons perdu le sens de Noël sans le remplacer par quoi que ce soit (On va me dire : ''Mais ce n'était pas facile''. C’est une raison de plus de ne pas y toucher !). ''Le fait que quelque chose marche à peu près bien n'est pas une raison suffisante pour en changer''. Mais nous avons égaré la sagesse, en chemin !
Voici revenu le temps des vacances ''de Noël''. Par convention, nos chemins, sans se séparer, vont s'écarter, pour quelques jours. Certaines journées vont être vides, sans vous, et j'en suis déjà  triste... Retrouvons-nous dès le Lundi 9 janvier 2023, si Dieu le veut, ‘’date à vite reporter sur vos agendas’’, selon la formule consacrée. Et d'ici-là, de tout mon cœur, je vous souhaite un très, très JOYEUX NOÊL, un bon début d'année... et une troisième étoile sur les maillots bleus de ceux qui adorent se déguiser en sportifs-en-chambre : c'est, paraît-il,  un nécessaire indispensable pour hurler, devant un poste de ‘’télé’’ !
H-Cl
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anatmantv · 1 year
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Laissez les énergies d'amour s'exprimer à travers vous. Laissez la vie être la vie au-delà de l'identité, du "Je".
Voici un extrait de notre atelier d’éveil et de transformation qui a lieu chaque dimanche : « Augmentation de votre vitalité. Être la vie. Guérison du cœur. Saison 4 Episode 52 » : Je vais maintenant lire le groupe au niveau du 4ᵉ chakra afin de transmettre vibrations et réalisations. J’avais besoin de réaliser et de voir que plus j’allais laisser amour s’incarner à travers ce corps, plus…
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riotbrrrd · 11 months
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Marrant d'enchaîner direct sur babylon babies après avoir relu trop semblable à l'éclair parce que mycroft et toorop sont le même genre de gars, pas parce qu'ils sont des tueurs mais parce qu'ils obtiennent tous les deux un degré de confiance inexplicable de la part d'hommes politiques. Mycroft a le droit d'écrire des argumentaires pour des projets de loi, Toorop passe de random mercenaire bosniaque à conseiller stratégique pour un prince ouïgour sans que ce soit jamais expliqué.
Et ils protègent tous les deux une figure christique probablement fabriquée en laboratoire.
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mariepascaleremy · 1 year
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14 février St Valentin
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Comme toutes nos fêtes, la St Valentin existait déjà à l'époque pré-christique, sous un autre nom et une autre apparence... Sous sa forme actuelle, nous la devons au Pape Gélase Ier qui voulait christianiser les Lupercales, grandes fêtes païennes dédiées à l'amour et à la fécondité, organisées par les Romains du 13 au 15 février au nom du dieu Faunus Lupercus. Gélase 1er aurait choisi un martyre chrétien, le prêtre Valentinus, pour incarner la christianisation des Lupercales. Arrêté un 14 février,  Valentinus mourut en martyre parce qu'il transgressait la loi de l'empereur Claudius : il mariait les soldats en cachette (ceux-ci étaient obligés de rester célibataires). À noter qu'il existerait 7 saints se prénommant Valentin, tous célébrés le 14 février, nous ne sommes sûrs de rien quant à Valentin. Ce sont là des détails, ce qui importe c'est de célébrer aujourd'hui le passage d'une fête lunaire à une fête solaire, le passage des liens du sang (basés sur la sexualité) aux liens en esprit (basés sur la fraternité/sororité). Et rien n'empêche de fêter cela avec son amoureux ou amoureuse. BONNE ST VALENTIN À TOUS !
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aainaalyaa · 1 year
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“Après avoir lu (ce qui se manifeste indépendamment des densités), que comprend-on au-delà du bord des raisons ? La question à poser n'est pas de savoir où cela se trouve, mais plutôt ce qui fait que l'on a besoin de comprendre. Quelle est la nature de l'échange entre les extrêmes ?
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Le point — L'Origine de la Non-Totalité
Apprenez à vous connecter sans désirer posséder et vous connaîtrez le véritable Amour.
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energiologue · 4 months
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L’ATLANTIDE ET LA LUTTE INTÉRIEURE DES ARTISANS DE LUMIÈRE
Les Artisans de Lumière font chemin depuis de nombreuses incarnations. Dans cet article, je vais vous parler de leur rôle de bourreau à l’époque de l’Atlantide, et ensuite de leur rôle de victime suivant cette période. Je vais vous parler de leur lutte intérieure issue de ces expériences conflictuelles, et comment ces dernières les ont menés vers la naissance en eux-mêmes de la conscience…
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