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#comment tomber enceinte facilement
toffavoyance · 1 year
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Astuce pour stimuler l'ovulation de la femme.
Astuce pour stimuler l’ovulation de la femme. Cette plante appelée Dessiliguè-tin et les feuilles dessiliguè-man ou hysope a d’autres vertus extraordinaires que je tiens à révéler ce jour de la tabaski, fête du mouton. En dehors de sa réputation de procurer la sainteté et la pureté à ceux ou celles qui en font usage,elle fait booster la fertilité à l’homme et à la femme. 1- la femme :boire en…
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lesillusionsterrestres · 10 months
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Victor
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— Ma femme elle voulait accoucher dans l’eau. C’est vrai hein, c’est vrai de ouf. Dans certaines maternités, ils font ça. Mais comme elle a jamais été enceinte, elle a pas pu réaliser son rêve. Aujourd’hui, on n'est plus ensemble, parce que tu vois, elle m’a quitté. Elle adorait l’eau mais elle supportait pas l’alcool, et comme je bois que ça, de l’alcool, ça l’a fait fuir. Enfin bref, voilà quoi. Hey, Brigitte, au fait, tu sais que j’étais beau gosse quand j’étais jeune ? — T’es pas encore tout à fait vieux. — Non mais quand j’étais tout jeunot, tout minot comme dirait mon ami Gillou, au sortir de l’adolescence quoi. J’étais vraiment beau gosse hein, de ouf ! Le mec dont toutes les meufs rêvent au lycée, que toutes les meufs regardent, eh ben, c’était moi. Je t’assure. Je les faisais toutes tomber, comme des mouches. J’étais un bourreau des cœurs. Tu peux pas savoir comment je plaisais, Brigitte, de ouf. — Oh mais j’imagine. — Y a que ma femme qui a fini par me résister. C’était au moment où j’étais plus irrésistible, sauf pour le pinard. Je lui résiste pas non plus à vrai dire : moi et le pinard c’est une grande histoire d’amour. Mais c’est pas le pinard qui accouchera de mon enfant dans l’eau.
Victor, il devait avoir moins de 40 ans mais on lui en donnait 60. Je le crois quand il me dit qu’ils les faisaient toutes craquer dans une autre vie. Au milieu de son visage usé, de son teint verdâtre et sa peau burinée par un soleil trop ardent, il avait gardé le regard intact d’une beauté flamboyante. Ses yeux bleus d’une intensité déstabilisante était comme la preuve de sa majesté perdue.
— Trop belles tes baskets Toto ! Mais c’est qu’elles sont flambant neuves en plus ! — Ouais, ils sont sympas chez Emmaüs. Bon, d’habitude ils me refilent que des godasses trop petites ou trop grandes, ou trop moches, mais là franchement j’ai eu de la chance, je peux me la péter.
Il avait sorti une énième cannette de bière de son immense de sac en plastique de supermarché. Et comme de sa main tremblante il avait cassé la languette en voulant l’ouvrir, il a sorti de sa sacoche toute rafistolée un coupe-ongle, a sélectionné la lime à ongles tranchante et a fait un trou dans le toit d’aluminium. De la mousse a giclé et il a continué à parler. — Tu sais ce que je voudrais de ouf moi, Brigitte, quand je serai vieux, mais vraiment plus vieux, tu sais ce que je voudrais de ouf ? — Non, balance, qu’est-ce que tu voudrais de ouf ? — Je voudrais faire comme toi, écrire. Écrire des beaux livres pour faire rêver les enfants. — Ben vas-y mon gars. Attends pas d’être trop vieux. Fais-le maintenant. — Ben ouais, de ouf, de ouf. Faut que je le fasse maintenant. Mais demain, parce qu’aujourd’hui j’ai trop bu, le brouillard c’est pas un super co-auteur. — Fais-le maintenant Victor. Aujourd’hui. Demain, c’est incertain. Le meilleur moment de la vie, c’est maintenant. Tiens, prend cette feuille et ce stylo. Avec ça tu peux refaire le monde et la vie, et faire rêver n’importe qui, petits et grands, écrire le passé, le futur et même le présent. Pas demain Victor, aujourd’hui, maintenant, tout de suite. Quand tu seras trop vieux, eh ben, tu seras trop vieux. Et ce sera une excellente excuse pour pas t’y mettre. — Merci Brigitte, tu déchires de ouf. Bon, je vais y aller, ça fait une heure que je te raconte ma vie, je parle trop. — Écris mon pote, écris. — Merci de m’avoir écouté en tout cas Brigitte, et bonne soirée ! — Allez, bonne soirée. Et j’te préviens, reviens pas si t’as pas écrit ! Et lève le coude sur la boisson. Je vois bien ta tête : je sais, c’est pas facile. Ça te paraît même impossible. Mais si t’y arrives, j’suis sûre qu’elle reviendra, ta gonzesse, et vous l’aurez cet enfant qui va naître dans l’eau. — C’est trop tard, Brigitte. — C’est jamais trop tard Victor, jamais trop tard.
// Dédé ANYOH //
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https://claudiosaracino.com/prodotto/tu-puoi-avere-un-figlio-metodo-dcs/ comment tomber enceinte rapidement et facilement apres 40 ans meme si c'est pas possible? téléchargez l'audio DCS: TU PEUX AVOIR UN FILS (TOMBER ENCEINTE) https://claudiosaracino.com/prodotto/tu-puoi-avere-un-figlio-metodo-dcs/ fertilitémasculine #spermogramme #fertilité 🟢🇫🇷 1 MONDE MYSTERIEUX TON SUBCONSCIENT…hypnose DCS unique au monde pour ton bien téléchargez l'audio DCS: NON PASSE NEGATIF https://claudiosaracino.com/prodotto/... #hypnose #secret #mystere SLTP SI TU AS DES SUJETS OU DES ARGUMENTS QUE TU AIME DEVELOPPER, ECRITS LES LA ET LE DR CLAUDIO SARACINO GRATUITEMENT VA DEVELOPPER CE QUI TU DESIRES, D'ACCORD? TU PEUX, SI TU LE DESIRES, INDIQUER MEME DES THEMES OU ARGUMENTS NEFS... MERCI ET SLTS Sltp ecoutes ma pensée et, si tu le desires, poses des commentaires... #hypnose#methodedcs#hyonosedcs #methodedcs#hypnose #hypnosedcs #mp3dcs #drclaudiosaracino #losangeles#beverlihills#californie#usa#etasunit#drssarinabrunini#autohypnosedcs#methodedcs#mp3dcs#audiodcs #hypnosedcs#drclaudiosaracino#hypnose . Une de plus grandes différences par rapport à d’autres disciplines comme le yoga, la méditation, le yoga, le mendfulness, le mantra, le zen etc c’est que toi tu peux aider un de tes chers qui ne veut pas ton aide ou il ne peut pas avoir ton aide Ecoutes ce que j’ai à dire et partagés cette vidéo avec tes amis...IL NE FAUT PAS CROIRE😳IL FAUT SEULEMENT FAIRE ACTION😳il y a ce qui fait et ce qui ne fait pas...😳SEULEMENT A TOI LE CHOIX ⚔ 💪🏿YouTube👇🏿 https://www.youtube.com/channel/UCcNG... 👉🏿Facebook👇🏿 https://www.facebook.com/ipnologiasso... 👉🏿Instagram👇🏿 https://www.instagram.com/benessereip... 👉🏿twitter👇🏿 https://twitter.com/drsaracino 👉🏿Tiktok👇🏿https://vm.tiktok.com/GKxqYj/ 👉🏿sito:👇🏿 https://www.ipnologiassociati.com
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pompotee · 1 year
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Bonjour, il est tard je sais et je suis désolé mais j'ai besoin de parler je ne sais comment fonctionne ce réseau sociaux mais si je peux dire ce que je ressens alors c'est le bon endroit.
Je suis un garçon de 16 ans et je suis en dépression depuis 2 ans pratiquement 3, j'ai était hospitalisé après avoir parlé à mes parents de ma ts j'ai réussi à me sentir mieux mais là ça fait 3 semaines que rien ne vas.
Je n'arrête pas de pleurer je ne dors plus.
Je pense que il y a plusieurs raisons qui sont ces dernières, je n'arrive pas à trouver ma place, je n'arrive pas à renoué des contacts avec mon père,je suis peut-être enceinte et je ne sais pas si ça va vraiment avec mon copain (1 an de relation) il compte partir en Australie l'année prochaine avant ces études et il veut rompre vu qu'il n'aime pas la distance et c'est pas facile à encaisser.
Voilà les raisons pour laquelle je vais mal.
Et là ça fait 1 semaines entière que je ne pense que à une chose, me faire du mal.
Tout les soirs je pleure en me battant contre l'envie de prendre mon briquet ou mon cutter et de dessiner sur mon corps j'ai juste envie de faire ça.
Je n'ose pas en parler à mon copain ou à ma famille je pense être assez fort pour ne rien me faire mais j'en ai terriblement envie et c'est tellement dur de ne pas me toucher.
Ce poste est totalement ridicule et il vas sûrement être supprimé mais ça fait du bien de pouvoir parler et de décrire ce que je ressens je ne veux pas forcément d'aide enfin si je pense en vouloir mais je sais que je n'en cherche pas en posté ceci.
Si vous tomber sur ce poste je suis désolé si je vous ai fait du mal à parler de quelque chose qui vous rappelle de mauvais souvenir, vous êtes des personnes merveilleuse et n'en doutez pas, je vous aime.
Au revoir, je pense revenir de temps en temps pour raconter ma vie alors je vous dit juste Au revoir.
Merci
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christophe76460 · 1 year
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🪴 Dieu soutient ta foi !Comme nous l’avons vu hier, lorsque nous répondons “Oui” à Dieu, Il commence à œuvrer surnaturellement en nous et à accomplir des miracles pour répondre à nos pas de foi.
Lorsque l’ange est venu visité Joseph par un rêve, il a compris que cela venait réellement de Dieu.
Il ne comprenait pas, en effet, comment Marie avait pu tomber enceinte de façon surnaturelle, ni pourquoi Dieu avait choisi une telle voie pour eux. Mais il savait qu’il avait été visitée par un ange, et que cela venait de Dieu.
Comme Marie, Joseph a dû choisir entre ce qui était juste et ce qui était facile, entre l’opinion des gens et son amour pour Dieu et pour sa future épouse.
Joseph a fait le bon choix, et en conséquence, Dieu a multiplié ses rêves et ses révélations. Par exemples, Dieu lui a montré en rêve que :
1. Ils devaient fuir en Égypte, pour être libres du plan d’Hérode (Matthieu 2:13).
2. Ils pouvaient rentrer en Israël, car le roi Hérode était mort (Matthieu 2:19-20).
3. Ils devaient se rendre en Galilée, afin que les Écritures s’accomplissent (Matthieu 2:22-23).
Oui, lorsque nous décidons de suivre Dieu, même si nous ne comprenons pas tous les détails, Il se révèle de différentes manières, et Il nous montre clairement les étapes à suivre. Il ne nous abandonne jamais à notre propre sort !
C’est exactement ce qu’a vécu Abraham lorsque Dieu lui a dit : “Quitte ton pays et ta famille, et va dans le pays que Je te montrerai” (Actes 7:3, LSG) Ce plan ne comportait aucun détail, mais Dieu était avec lui.
J’ai personnellement expérimenté cela à de nombreuses reprises : par des rêves, mais aussi par des visions que je recevais durant mes temps de prière, ou par une conviction profonde au fond de moi, comme un doux souffle qui m’aidait à franchir les étapes suivantes.
Mon ami(e), Dieu soutient ta foi ! Mets de côté tous les obstacles et les peurs, pour faire des pas de foi avec confiance ! Il se tient à tes côtés, et Il fera des miracles dans ta vie !
Pour ce Noël, je prie pour que tu puisses faire des pas de foi dans ce que Dieu te montre, et que tu puisses voir Sa précieuse main à l’œuvre dans ta vie et dans celle des autres.
Tu es un Miracle !
Christian Misch
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bonjourmoncycle · 2 years
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Projet bébé : comment tomber enceinte grâce à la connaissance de ton cycle menstruel
Projet bébé : comment tomber enceinte grâce à la connaissance de ton cycle menstruel
“Ça y est, on est prêts, on veut avoir un enfant.” Vous y pensez depuis un certain temps, et vous avez pris votre décision : vous voulez devenir parents. C’est déjà un très beau chemin de parcouru ! Vient alors THE question : comment tomber enceinte facilement ? Projet bébé : comment fait-on un enfant ? Disclaimer : ceci n’est pas un paragraphe sur la marmotte et le papier d’alu. Disclaimer…
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vipijitaru · 2 years
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Test de grossesse clearblue mode d'emploi samsung
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           Condition d'utilisation. Lire attentivement la notice. Précautions d'emploi. Ce manuel appartient à la catégorie Tests de grossesse et a été évalué par 1 plus les autres propriétaires de Samsung Galaxy A7 ont de chances de vous Comment fonctionne Clearblue? Lorsque vous êtes enceinte, votre organisme sécrète l'hormone de grossesse hCG (gonadotrophine chorionique humaine). Ce test Il vous permet également d'effectuer des tests de grossesse. Le Moniteur de Fertilité Clearblue Advanced est composé d'un mini-ordinateur à écran tactile et Condition d'utilisation. Lire attentivement la notice. Précautions d'emploi. Facile à réaliser : il suffit d'uriner sur la bandelette du test. Mode d'emploi clair en anglais ou lisibles ci-dessous en français. GARDEZ À L'ESPRIT- laFiable à plus de 99 % dès la date présumée de vos règles. • Lisez attentivement cette notice avant de faire le test. À quel moment faire le test ? 1. E Clearblue Calculateur de cycle ADVANCED: Augmente les chances de tomber enceinte naturellement. vous indique vos jours les plus fertiles. Trois tests de grossesse différents : urinaire, sanguin, salivaire. Pour optimiser ce test, prenez le temps de lire la notice. Faites-le à jeun le matin
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alexar60 · 3 years
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L’hôtel particulier (15)
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Les 14 chapitres précédents sont ici.
Chapitre 15 : Pour quelques euros
Vous n’imaginez pas le nombre de personnes qui s’intéresse à vous dès que vous gagnez au loto. Je n’avais rien dit publiquement en dehors de quelques amis. Pourtant, ils furent nombreux à chercher à me rencontrer ou m’écrire pour me réclamer une part. J’avais reçu tellement de demandes qu’à la fin, je trouvais cela pitoyable. Certains avaient un beau projet, d’autres demandaient en signalant que c’était de l’argent facile. Et puis, il y avait aussi les opportunistes, les cousins éloignés que je n’avais pas vus depuis vingt ans ou les anciens camarades de classe qui se souvenaient subitement avoir été mon voisin de table à la cantine. Enfin, j’ai vu passer beaucoup de gens pour me solliciter financièrement.
Mon ex et moi avions gardé contact même si je l’évitais à cause de ses dernières fréquentations. Juste avant notre séparation, elle s’était fait tatouer une rose bleue sur la hanche droite. La rose était magnifique et n’avait aucune symbolique à ses yeux. Elle m’avait juste dit qu’elle avait eu cette vision pendant un rêve, plutôt, ce qu’elle n’avoua jamais, pendant un trip. Marion était devenue accro à l’héroïne et gaspillait son argent dans cette drogue. J’avais beau expliquer les effets nauséabonds sur sa vie et notre relation mais elle s’en fichait et, même si elle assurait arrêter pour me faire plaisir, elle continuait en cachette dans des endroits sordides genre squats ou maisons abandonnées.
Depuis le jour de l’achat du billet de loto, je n’avais pas revu Marion. Elle s’éloigna de moi et de nos amis pour ses mauvaises habitudes. Trois mois plus tard, elle réapparut en sonnant à l’interphone de mon ancien appartement. Je la fis entrer en espérant qu’elle aille mieux. Mais je fus surpris voire écœuré en découvrant une Marion maigre comme jamais. Les joues creuses, les genoux cagneux,  les bras ressemblant à des cotons tiges et recouverts de traces de piqures, elle n’était plus qu’un tas d’os faisant pitié.
Assise sur mon canapé, elle accepta de boire une tasse de café. Je pouvais lire dans son comportement un réel malaise. Elle se recroquevilla sur elle-même collant ses maigres jambes qui semblaient n’en faire qu’une. Toutefois, elle répondit à mes questions sur son travail, sa famille qui la soutenait. Elle avoua même être inscrite à une cure de désintoxication. Cependant, son sourire triste, ses yeux brillants, ses joues rouges laissèrent à penser qu’elle mentait depuis le début de la discussion. Lorsqu’elle demanda si ma nouvelle fortune était vraie, je compris la raison de sa présence.
-          Comment as-tu su ? demandai-je.
-          J’ai…j’ai besoin que tu m’aides, murmura-telle en baissant la tête.
Elle tenait la tasse fumante avec les deux mains. Nous soupirâmes ensemble. Moi, pour dire : « Nous y voilà ! », elle pour se préparer à répondre à ma question exigeant des réponses précises et honnêtes.
-          Combien ?
-          Trente mille euros.
-          Tant que ça ?
-          Je suis dans la merde, Arthur ! Je dois trente mille euros.
Une larme se prépara à perler le long de son œil. Je remarquai ses cheveux gras et me souvins qu’avant, elle aimait les laver presque tous les jours. Je remarquai aussi qu’elle n’était pas maquillée contrairement au temps où nous faisions connaissance. Elle avait fait ce choix de passer aux drogues dures, j’étais en droit de la laisser tomber mais finalement, j’eux mal au cœur. J’étais prêt à les lui donner. Par contre, j’avais des conditions et surtout, je voulais des réponses. La connaissant, je restai silencieux et attendis patiemment qu’elle ne dévoile son problème.
-          Pour payer mes doses, j’ai accepté de vendre de la drogue. Mais, j’ai trop pris pour moi et ils me réclament trente mille euros.
-          Et tu crois que je peux les sortir comme ça ? affirmai-je sèchement.
Elle releva la tête. La goutte traça un chemin sur la joue. Puis, elle se pinça les lèvres.
-          Je peux te les rembourser plus tard. Je peux te les rendre en nature si tu veux. Je peux te les rendre avec mon cul.
Soudain, elle posa la tasse sur la table basse et se leva pour monter dessus et s’agenouiller tout en relevant sa jupe. Elle baissa son slip et attendit dans cette position. Je vis une partie de son tatouage, la tige ainsi que le bas de la rose bleue.
-          Je serai ta chienne…tu pourras me prendre comme tu veux… Je ferai tout ce que tu voudras quand tu voudras…je préfère que ce soit toi, parce qu’ils le feront ou pire… Je t’en supplie.
Les sanglots dans ses mots provoquèrent en moi une peine énorme.  Je tremblai encore plus qu’elle. Dès lors, je me levai et partis chercher mon chéquier.
-          Rhabille-toi, s’il te plait, dis-je doucement.
Elle releva la tête, toujours les larmes aux yeux. Elle remonta sa culotte et se sentis encore plus gênée qu’à son arrivée. Elle me regarda écrire sur le chèque que je laissai sur le bureau de mon ordinateur. Puis, je pris mon téléphone et contactai mon banquier pour lui annoncer que je faisais un virement d’une somme importante, quarante mille euros.
-          J’y mets une condition, ajoutai-je-en raccrochant. Je te laisse le temps de régler tes problèmes mais dans trois jours, avec Léopold, on passera chez toi et tu nous accompagneras pour un hôpital ou une cure de désintoxication. Je me montre peut-être naïf mais j’espère qu’il reste encore un brin de lucidité en toi.
Elle me remercia, prit le chèque et promit de se faire soigner. Cependant, je me doutais qu’elle ne tiendrait pas parole. Quand, nous passâmes chez elle, elle n’était pas là. Léopold veilla plusieurs nuits devant son appartement, seulement elle n’y retourna plus.
En repensant à cette histoire, j’attendais Tatiana dans une salle d’attente de l’hôpital où elle travaillait. Elle avait pu voir une de ses amies, gynécologue qui l’accueillit afin de faire un test de grossesse. Cela parut con pour une infirmière, mais elle avait peur de se planter tellement l’idée d’être enceinte la perturbait. C’était dans ce même hôpital que je vis Marion pour la dernière fois.
J’avais reçu un appel de la gendarmerie me convoquant à la morgue afin d’identifier un corps. Elle avait coupé les ponts avec tout le monde, y compris sa famille qui la renia. Aussi, elle avait encore le chèque dans la poche lorsqu’elle fut retrouvée. Une overdose…ce mot résonna dans mon esprit comme un coup de poignard. Accompagné de Léopold, nous nous retrouvâmes dans une chambre froide, vide de tout. Un mec en blouse blanche nous demanda de le suivre jusqu’à une espèce de table recouverte d’un drap qu’il déplia dévoilant mon ex-copine de la tête aux épaules dénudées. Les lèvres cyanosées, la peau de la même couleur que le lait, les paupières fermées, elle semblait dormir. Léo s’effondra, il tomba en sanglot. Je déglutis pour empêcher ma tristesse de jaillir avant de hocher la tête pour annoncer qu’on la connaissait.
-          C’est bien Marion Piriac, annonçai-je à un gendarme présent.
Nous fîmes rapidement nos adieux à Marion avant que le légiste ne recache son visage avec le drap. Puis nous quittâmes le bâtiment. Mon pote se chargea de prévenir les parents de Marion. Ils étaient amis d’enfance.
Lorsque la porte s’ouvrit, je me levai et oubliai la mort de Marion. Tatiana se présenta avec un énorme sourire affiché. Elle s’empressa de se jeter dans mes bras. La gynécologue qui l’avait suivie afficha aussi un sourire béat avant de me féliciter.
-          C’est confirmé, Arthur ! Tu vas être papa, cria mon amie.
Je sentis à la fois comme un poids et une délivrance envahir mon esprit. Je ne savais plus quoi faire ni quoi dire. Alors, je ris aux éclats sans remarquer quelques personnes présentes qui applaudirent à l’annonce de Tatiana. Je sortis de l’établissement avec ma compagne, les yeux remplir de larmes, mais de belles larmes avec un goût agréable…et qui réchauffent le cœur.
Alex@r60 – février 2021
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French/Français : Leona Kingscholar X Readerfem! provocatrice
Pour la compréhension de tous, le Reader est une femme et possède la capacité de renforcer ses muscles. Cependant, ça la fatigue énormément ! Bonne lecture.
Pas de Lémon/nsfw
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Durant la nuit, j'entends au loin Grim tousser. Ce n'est pas de la comédie j'ai l'impression.
C'est au lever du jour que je constate que mon compagnon de chambre grelotte, m'approchant, je le réveille doucement et il m'annonce ne pas se sentir bien. Soupirante, je lui fais remarquer qu'il avait pris un bain froid soi-disant pour que ses poils soient doux. Me râlant dessus, il éternue tout en se pelotant sous la couette. Touchant son front, je lui demande de m'attendre le temps que je me prépare. Vêtement et masque enfilé, je pose sur mes épaules mon manteau puis y met Grim sur moi avant de refermer le tout. Je dois le maintenir à sa température, le pauvre n'a même plus la force de protester.
Dans l'allée principale, j'ai l'air d'une femme enceinte mais la tête de Grim ressort un peu pour prendre l'air. Entendant mes amis au loin, je les salue puis Deuce s'inquiète de ma santé en pensant me servir de Grim comme d'un chauffage. Chose à quoi je réponds en exposant l'intelligence de mon compagnon. Ace se moque de lui mais le pauvre est tellement faible qu'il a seulement la force de le regarder méchamment. J'annonce au garçon que je pars afin d'amener Grim à l'infirmerie. Ace me conseille de ne pas arriver en retard au cours de Crewel et j'hoche simplement la tête.
L'animal déposé, le mot d'excuse de son absence et de mon retard en poche, je fonce directement en cour. Lorsque mon professeur ferme la porte, j'arrive à m'engouffrer dans celle-ci sous les petits applaudissements d'Ace. Il n'en rate pas une !
- Puis-je savoir la raison de votre retard Fuyu, me demande Crewel menaçant.
- Eh bien, ris-ai-je un peu en voyant son fouet frapper doucement sa main. Grim est tombé malade, je l'ai amené à l'infirmerie... Voici nos mots.
- Hum, prononce-t-il en les regardant. Je vais prendre votre mot de retard, espérant que ce genre de chose ne se reproduise pas.
- Oui monsieur, m'excuse-ai-je en m'asseyant.
- Bien, mise à part l'absence de Grim... Tout le monde est présent. Le proviseur a jugé bon de vous offrir un avant-goût de ce que vous aurez lors des deux prochaines années. Pour ce faire, vous serez sous la tutelle d'un de vos aînés durant une journée complète. Cette journée se déroulera demain, comptant sur vous pour vous comporter comme de bon chiot face à vos aînés. Si j'ai vent d'un quelconque comportement indésirable, vous aurez le droit à une punition exemplaire.
- Oui, annonce tout le monde.
- Bien, sur ce, commençons.
Durant le cour, je me concentre du mieux que je peux, demain risque d'être fort intéressant !
En sortant de la classe, quelqu'un me rentre dedans, sous mes protestations, j'y aperçoit Leona. Bon sang, son commentaire sur le fait que je lui ai rentré dedans m'agace. Je lui fais remarquer que je sors de ma classe et qu'il est un peu sur mon chemin. Il réplique que c'est son chemin et qu'il ne m'a pas vu à cause de ma taille. Protestant pour défendre mon 1 mètre 70 si chèrement acquis, il souffle simplement des narines avant de partir. Deuce me conseille de ne pas trop l'énerver mais Ace m'encourage à entrer dans cette voie. Me tournant vers eux, j'annonce que je ne pense pas être avec Leona pour demain. Avouant même que ce serais le comble de tomber sur lui comme accompagnant demain. Après tout, je vais seulement apprendre à sécher les cours et à procrastiner.
Lors de nos attributions, je regarde en rage l'emploi du temps ainsi que le nom de mon accompagnateur
- Vous sentez cette odeur les gars, demande-ai-je.
- Laquelle, me demande Deuce.
- L'odeur de la putain d'ironie, dis-je en montrant ma feuille. J'ai Leona Kingscholar.
- Super, râle la voix de mon accompagnateur. De tous les herbivores potables, il fallait que je tombe sur la pire.
- Je te rassure, t'es pas un cadeau.
- Tu devras me suivre et ne pas trop faire de bruit. C'est une chance pour toi de te tenir à mes côtés alors ne la gâche pas inutilement.
- Oui, oncle Leona, souris-ai-je.
Sous ses grognements, Crewel nous souhaite une bonne journée. Regardant les garçons, ils m'envoient tout leur courage et leur soutien. Allez, courage T.P, c'est juste 8 heures à être à ses côtés. Même si ce sera 8 heures de luttes acharnées. Attendant qu'il parte, je regarde notre emploi du temps, c'est cour de potion. En plus avec Crewel, ça risque de donner. Mais je ne tiens pas à lui donner raison, à la moindre occasion, je prends le bâton qu'il me tend pour lui frapper les chevilles.
Après avoir enfilé nos tenues de chimiste, je me tiens prête à voir ce que donne les cours de potions. Se plaçant au centre de la pièce, le but est d'aider nos aînés dans la préparation d'une potion. Celle-ci demandant à être préparé avec le plus grand soin, celui qui dirige le tout est notre aîné mais le professeur nous offre tout de même les étapes ainsi que des photos en couleur comme référence. Au moment où la feuille tombe dans mes mains, Leona s'empresse de la prendre en m'ordonnant de ne pas trop interférer dans sa manière de faire.
Non mais ! Pour le moment, et même si ça m'embête, je me surprends à admirer sa précision concernant les dosages. Je me contente de faire les mélanges de mon côté afin de bien être vu par le professeur. Quand la prochaine étape arrive, je prends l'ingrédient mais Leona m'arrête en disant que je me trompe. Je lui répète que non en se basant sur ce que pouvait donner cet ingrédient avec la couleur sur la fiche. Riant à mon nez, je prépare rapidement la potion pour arriver à la même étape. Tendant le tout à Leona, je lui annonce qu'on va voir qui a gagné. Lorsque le professeur passe à côté de nous, il nous demande la raison pour lesquels il y a deux potions. Souriante, je coupe Leona qui allait se donner raison, j'explique alors au professeur qu'on a eu un différent et qu'il voulait voir qui avait raison dans l'histoire. Regardant Leona, j'ajoute que même nos ainés peuvent faire des erreurs. Le prof hoche simplement la tête tandis que Leona grogne toute sa haine sur moi en disant simplement avoir de la chance. Il ne veut simplement pas avouer que j'ai eu raison.
Au cours de Trein, je ne suis pas étonnée de le voir dormir en moins de 3 secondes. Voyons le bon côté des choses, il fait acte de présence. Remarquant le regard du professeur sur mon accompagnateur, je le réveille brutalement en lui marchant sur le pied. Râlant de ce que j'ai fait, le professeur demande à Leona de ne pas amener une de ses élèves prometteuses vers le bas. Je souris alors et remercie le professeur de ce compliment. En y ajoutant même, à voix basse, que ma présence pourra peut-être l'aider.
En sport, je m'échauffe avec Leona qui ne semble toujours pas ravis. C'est un 500 mètres, bien que je ne doute pas des capacités de mon partenaire, j'aimerai voir jusqu'où peuvent aller mes pouvoirs. Un renforcement musculaire n'use pas beaucoup de magie, j'ai appris à respirer avec Deuce et Jack. En plus de savoir correctement courir ! Le lion ne refusera jamais un défi, surtout si c'est une question de fierté.
- Leona, dis-je. On peut courir à deux et voir qui fera le moins de temps possible ?
- Tu oses me défier, demande Leona. Tu n'es qu'une herbivore.
- As-tu peur de perdre ?
- La victoire serait trop facile, ris Leona.
- Eh bien, ça sera une occasion de me faire taire.
Tapant doucement son torse, son regard et ses gestes veulent tout dire. Les élèves semblent déglutir mais Rook, lui, semble s'intéresser par la tournure des événements. Nous nous plaçons tous les deux sur la piste, je me sens prête ! Au coup de sifflet, nous commençons à courir. Au départ, mes muscles sont à peine renforcés et un petit écart se creuse. Lui tirant la langue, un grognement rageur traverse sa gorge où il commence à accélérer. Quand l'écart est beaucoup trop grand, je commence à faire bouger rapidement mes jambes ainsi que ma magie afin d'arriver à sa hauteur. Même si c'est dur de maintenir le tout sur 500 mètres, le désir de lui faire ravaler son clapet m'aide à avancer. Sur les derniers mètres, nous franchissons la ligne d'arriver en même temps où le prof annonce également le temps que nous avons effectués. Reprenant mon souffle, je m'avoue accepter un ex-aequo. Pour ne pas trop perdre la face. Cependant, Léona n'a pas l'air d'accepter car il considère ça comme une défaite, l'ai-je poussé à bout ?
Après les cours, je pars rejoindre mes amis mais Leona m'amène dans un coin isolé afin de me coincer contre un mur.
- Si t'essayes de me pousser à bout, annonce Leona. T'as réussi.
- Merci, souris-ai-je. Cette journée a été très instructif pour moi.
- Pff, la seule chose que tu faisais été de me casser les pieds.
- Vraiment, dis-je un peu rouge en sentant son souffle sur mon visage. Je suis ravie alors.
- Comment je peux faire taire cette bouche, se demande Leona en rapprochant son visage du mien.
- Eh bien, il y a différentes manières. Mais je ne suis pas sûr qu'elle te convienne.
- Mais j'imagine qu'elle convient à toi. Tu es vraiment la seule personne qui a su sortir de ma zone de confort.
Je le remercie de ce compliment, glisse mes mains sur ses côtes. Me délectant de son regard chaud sur moi puis de la forme de ses muscles, je le tourne contre le mur. Attendant surement que je fasse quelque chose, je frôle mes lèvres avec les siennes. J'ai envie de me jeter dans ses bras mais ce serait lui donner raison. M'éloignant sous sa frustration, je rejoins mes amis en jetant un dernier regard à Leona.
Mais ce jeu à l'air de lui plaire.
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poesieordinaire · 6 years
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R comme résistance (”fuck ta morale et ta sympathie”)
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Je ne sais pas toi, mais perso, j’ai la désagréable impression que l’Histoire se répète inlassablement. Par exemple, en ce moment : un petit président qui fait la morale aux pauvres et le kéké avec des cailles de cités ? Mmmm, attends… Ouais, je confirme, déjà vu. Un gouvernement qui fait mine de se soucier à la fois de l’état de la planète et de la santé de ses habitants mais qui refuse de bannir l’interdiction pure et simple du glyphosate, mortel désherbant ? Ah ben oui, c’est fou, déjà vu aussi ! Des abrutis qui remettent sans cesse en cause le droit des femmes à disposer librement de leur corps, entre autres inepties ? Oh putain, j’y crois pas, déjà vu aussi ! Et tous les ans, bordel ! Depuis presque quarante ans maintenant… Tu comprendras donc que je commence à être légèrement fatiguée par le sujet.
Car oui, si tu as Internet, une radio ou une télé, tu sais comme moi que depuis sa dépénalisation en 1975, l’avortement n’est toujours pas facile d’accès pour la totalité de la population française qui pourrait en avoir besoin (êtres humains pourvus d’un utérus et être humains pourvus d’un pénis qui ne souhaitent pas avoir d’enfant tout court ou pas d’enfant là tout de suite présentement ; et je résume l’affaire à la France parce que sinon, on est encore là après-demain, hein). La faute, pêle-mêle, non-exhaustivement mais principalement, au manque d’information, à la désinformation, au manque de spécialistes, aux déserts médicaux et à la clause de conscience dont jouissent les praticiens. En clair : s’ils jugent qu’un acte va à l’encontre de leur éthique, ils ont le droit de la faire jouer et donc tout simplement de refuser de le pratiquer. Ou de multiplier les rendez-vous inutiles pour pousser ni vu ni connu les patientes à dépasser la date légale d’intervention et donc ne pas avoir à admettre qu’ils veulent l’utiliser. Pratique, non ?
Bon. Si vous le voulez bien, posons-nous ici quelques lignes pour un plus ou moins court aparté. Et demandons-nous quelles pourraient être les raisons d’un tel refus. J’ai beau réfléchir, je n’en vois que deux. Allez, trois en poussant un peu. 1. Le médecin en question a une définition toute personnelle du mot « éthique » et il considère que si ça ne le fait pas kiffer (genre, il préfèrerait largement faire des touchers rectaux), il n’est pas obligé de le faire. 2. Le médecin en question a été forcé de choisir la gynécologie, il déteste les femmes, elles le font grave chier à tomber enceintes sans le vouloir à tout bout de champ et pour les punir d’être si connes, il décide que c’est un acte d’éducation médicale (et donc de prévention, puisqu’elles risquent de recommencer si on les laisse faire librement) que de leur refuser l’avortement, un peu comme on refuserait de céder aux caprices d’un enfant. 3. Le médecin en question croit en dieu et au Nouveau Testament. Et donc à l’immaculée conception. Et franchement, quelle femme aurait envie de consulter un gynéco qui croit dur comme fer qu’un jour, y a une meuf qui est tombée enceinte sans sperme mais par la grâce d’un simple coup de vent ? Nan mais sérieux, j’veux dire, même ma nièce de huit ans, elle sait comment ça marche ! Et elle n’a manifestement pas fait huit à dix ans d’études pour en arriver là… Enfin bref, finissons-en avec ça et précisons simplement que, dans ces trois cas, à mon humble avis, ces gens n’ont rien à faire en école de médecine. L’orientation scolaire est un véritable problème en France, je suis au moins d’accord avec le contenu de ce marronnier-ci.
On ne s’est pas beaucoup éloignés de la bergerie, mais revenons tout de même à nos moutons et à aujourd’hui (enfin, à hier au moment où je publie), avec l’archevêque de Paris qui s’insurge contre la possible suppression de ladite clause de conscience. Alors, euh, comment dire… Déjà, ça commence à faire beaucoup, là... Mais j’essaye de garder mon calme. Fun fact n° 1 : l’État et les Églises sont séparés par la loi depuis 1905. Donc, ta gueule. Fun fact n° 2 : ton organisation compte en son sein un nombre pas croyable de pédophiles de par le monde et tes sbires protègent invariablement les coupables. Donc, ta gueule. Et puis d’abord, de quoi tu parles, bonhomme ? Qu’est-ce que t’y connais aux gonzesses et à ce qu’elles ont à l’intérieur ? T’es gynécologue ? Petit copain ? Mari ? Père d’enfants en bas âge ? Femme ? Femme enceinte ? Je ne crois pas prendre trop de risque si je réponds « a priori non ». Donc, ta gueule, putain ! Si y a vraiment un truc qui m’exaspère plus que d’autres en ce moment, plus que les catholiques non progressistes, c’est les mecs qui interviennent pour expliquer aux filles comment vivre leur vie. À toi qui penses savoir mieux qu’une femme ce que ça fait que d’être une femme, qui penses comprendre ce que c’est que de saigner tous les mois, d’avoir constamment peur pour son intégrité physique et de craindre, chaque jour que le dieu de merde de l’archevêque de Paris fait, de perdre des droits fondamentaux durement gagnés (et je ne parle même pas d’une hypothétique égalité ; ah t’as vu, j’ai perdu mon calme, voilà !), je t’invite à t’asseoir, à boire un grand verre d’eau et à essayer de toutes tes petites forces d’envisager que les femmes puissent avoir un avis prévalent sur la question. Puis, quand elles ont quelque chose à dire, à les écouter sagement. Et si vraiment tu n’en es pas capable, si malgré tes efforts, tu n’y arrives pas, alors je t’invite à t’asseoir, à boire un grand verre d’eau et à essayer de t’auto-sucer. Ça t’évitera au moins de déblatérer des conneries.
Après tout ça, tu me diras « Y a pire : y a les femmes qui pensent comme ça… ». Ce à quoi je répondrais : « Oh eh, c’est bon, je suis déjà assez énervée comme ça, ne m’emmène pas sur ce terrain-là ! ». Sur celui de « tous les hommes ne sont pas comme ça » non plus, s’il te plait. On avait remarqué, on n’est pas complètement écervelées et ça ne fait qu’une fois de plus que déplacer, minimiser voire éviter le débat (je te rappelle la date de la loi Veil ou t’as compris que c’était juste pas normal qu’on en soit aujourd’hui encore là ?). Alors non, tous les hommes ne sont pas comme ça, mais on oublie tous ceux qui, en plus, n’aiment pas les enfants. Et là, ça vaut pour les femmes aussi (ah ben, super, on en parle quand même, finalement) : être contre l’avortement, c’est globalement être pour le malheur des enfants. J’essaye d’imaginer ce que c’est que d’être élevé par des (mais souvent juste un) parents qui ne t’a pas désiré… Et je ne crois pas avoir besoin de pousser plus loin le raisonnement.
Allez, on va tout de même finir sur des mecs bien. Il y a peu, mon ami Barclau me faisait remarquer à quel point aucun droit n’était « naturel » et combien il était, en gros, important d’être vigilant pour ne pas se les faire sucrer. Il y a quelques semaines de cela, mon ami Ben me faisait lui remarquer que Margaret Atwood, l’auteure de The Handmaid’s Tale, avait toujours avancé qu’elle n’avait rien inventé des tourments infligés aux femmes dans son roman ; tous existent ou ont existé à un moment quelque part sur Terre. T’as lu le livre ou vu la série ? Moi j’ai passé mon temps à serrer le périnée et à me tortiller devant la première saison, puis à retenir mes larmes devant la seconde et tous les parallèles que j’ai pu faire avec ce que nous vivons encore à notre époque. C’est pas pour te raconter ma vie, c’est juste que tout cela m’amène à deux conclusions. La première : science sans conscience n’est que ruine de l’âme, certes, mais conscience sans acceptation de la science, c’est juste la porte ouverte à tous les cons qui pensent avoir toujours raison : la terre est plate, les migrants volent le travail des Français et les femmes n’existent que pour être dominées par le patriarcat. La suivante est encore plus importante : sœurs de galère, entrez en résistance maintenant. On nous a déjà fait passer pour des sorcières, l’obscurantisme n’a pas disparu comme par enchantement et il suffit d’une loi, une seule, pour qu’il nous rattrape à tout moment.
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vickytheone · 3 years
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Comment Tomber Enceinte Facilement
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bonjourmoncycle · 2 years
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Comment la glaire cervicale peut t'aider à éviter de tomber enceinte ou à favoriser une grossesse
Tu souhaites éviter une grossesse ? ✋ Ou bien tu essaies de tomber enceinte ? 👶🏼 Dans cet article, je t'explique comment ta glaire cervicale 💧 peut facilement t'aider !
Depuis l’adolescence et la puberté, tu observes peut-être des marques sur tes sous-vêtements, avec une sensation, tantôt d’humidité, tantôt de sécheresse. Est-ce qu’à toi aussi, on a parlé de “pertes blanches” ? Je t’ai expliqué dans un précédent article qu’il s’agissait en fait de la glaire cervicale (aussi appelée “elixir” par la communauté de la symptothermie). Et que celle-ci a un rôle…
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Ateliers à Suva Primary School - Petites histoires
8h16 (UTC+12), Suva.
Le salon de notre maison commune est en ébullition : certains engouffrent une ultime bouchée de tartine au beurre de cacahouètes, d’autres attrapent divers objets incongrus (ecocups, enceinte bluetooth, flutes, petites balles, feuilles et stylo, ou tubes de PVC coupés), le reste est déjà devant la porte, prêts à partir, lançant quelques encouragements aux retardataires. Enfin, après avoir hélé quelques taxis (très courants aux Fidjis et abordables quand on s’y serre à 4 ou 5) et affronté le léger trafic du matin, nous nous retrouvons pile à l’heure devant la porte de la Suva Primary School. Dès notre entrée dans la cour, une nuée de filles en robe colorée et de garçons en chemise et short gris se presse autour de chaque binôme. « What are we doing today? Did you bring the drums? Are we going to play cowboy??”. Les groupes s’installent dans leur espace (salle de classe ou coin de cour délimité par un tapis), les retardataires arrivent en courant et en rigolant, l’atelier va commencer !
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A Suva Primary School, nous étions organisés en 6 binômes de 2 animateurs qui s’occupaient chacun de 2 groupes d’une dizaine d’enfants des classes de Year 2, Year 3 et Year 4 (7 à 10 ans). Un premier atelier avait lieu à 8h30 avec un premier groupe, puis un deuxième à 9h30 avec le second groupe. Bien que nous avions tous des objectifs communs chaque semaine pour les enfants (apprentissage de rythmes, de chansons, construction d’instruments puis spectacle), les binômes gardaient une grande liberté dans la préparation et la réalisation de leurs ateliers. Les groupes d’enfants étaient également tous très différents, allant de la classe modèle à la plus difficile à tenir. Pour donner une idée de ce que chaque groupe a pu vivre, interrogeons donc chaque binôme pour voir ce qu’ils ont à nous raconter…
Adel et Benjamin
- Un atelier que votre groupe a adoré ?
Ils ont adoré le jour où on leur a fait une petite initiation à la flûte à bec ! On avait amené des flûtes, avec pour but de leur apprendre à jouer un petit truc simple comme « Frère Jacques ».
On commence l’atelier en leur montrant comment boucher les trous de la flûte les uns après les autres pour faire une gamme. Ils sont tout excités, mais ont presque tous le même problème : leurs mains et leurs doigts sont petits, ce qui fait qu’ils n’arrivent pas toujours à faire les bonnes notes. Ça allait pour la première main, puis ensuite quand il fallait mettre la deuxième, ils enlevaient la première. En plus de ça, ils ne comprenaient pas vraiment pourquoi ils ne faisaient pas les bonnes notes, n’ayant jamais fait de musique avant. On essaye de leur expliquer comme on peut, mais difficile de surpasser leur problème de taille et de dextérité.
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Beaucoup d’application malgré la difficulté
Ils pensaient que c'était facile au début, mais ils se sont vite rendu compte sue c'était plus dur que prévu. Seule une fille a réussi à jouer Frère Jacques à la fin de cet atelier. Mais malgré ces difficultés, on a été surpris par leur détermination et par le fait qu'ils en redemandaient à la fin ! Du coup on a ramené les flûtes le lendemain et on leur a fait travailler la même chose : à la fin ils réussissaient tous à boucher correctement les premiers trous, et à faire des notes correctes. Tous les enfants arrivaient à faire les premières notes de « Frère Jacques » donc on leur a fait jouer le début tous ensemble. Malheureusement on n’a pas continué les séances d'après car on est passé à la construction d’instruments, ce qui les a aussi bien emballés.
Leur jeu préféré : « fisherman » !
Le jeu est super simple, d’ailleurs on ne comprenait pas forcément pourquoi ils l’adoraient autant, mais en tout cas à chaque fois qu’on demandait quel jeu ils voulaient faire en fin d’atelier, c’était celui-là qu’ils réclamaient. Même au moment de la sonnerie, ils voulaient encore continuer à jouer, autant de fois que possible.
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Le « fisherman » c’est un « poisson-pêcheur », le classique jeu de colo où un groupe de « pêcheurs » choisit un nombre et forme une ronde en levant les bras, puis les autres enfants (les « poissons ») doivent passer à l’intérieur de la ronde pendant que les pêcheurs comptent. Quand le nombre choisi est atteint, le filet est fermé (les pêcheurs baissent les bras) et tous les poissons à l’intérieur sont attrapés et doivent rejoindre l’équipe des pêcheurs.
Alexis et Tony
Alexis et Tony avaient deux groupes d’enfants très différents : le premier était un groupe de filles toutes gentilles et douées, le deuxième était un peu plus difficile.
- Vous aviez un groupe un peu difficile, quel est le pire coup qu’ils vont ont fait ?
Un jour, un des enfants – un des moins attentifs – s’est mis à se jeter par terre. Mais littéralement se jeter comme un sac. Ou alors tomber comme abattu par un mal horrible, mais sans aucune raison. En voyant cette nouvelle activité passionnante, tous les autres se sont mis à l’imiter en rigolant, alors qu’on les regardait, ébahis. Une variante consistait à se jeter aux pieds de l'autre pour lancer un mini duel qui finissait en pleurs des deux opposants. Impossible de les raisonner, c’était l’horreur de les calmer. Heureusement, ils se sont lassés et on a pu retrouver un peu de normalité à l’atelier suivant.
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- Un moment drôle avec eux ?
Un vendredi matin, juste avant Pâques, il y avait un genre de fête à l’école alors les enfants étaient tous bien habillés ou déguisés. Un de nos enfants est arrivé en atelier tout fier de son costume : il était déguisé en ange, avec d’énormes ailes garnies de plumes. Malheureusement, cela a donné de bonnes idées à ses amis qui se sont amusés à le plumer petit à petit.
Une autre histoire : lors d’un des premiers ateliers, nous avons proposé aux enfants de jouer aux chaises musicales pour finir l’atelier. C’est quelque chose que nous faisions souvent au Cambodge et qui marchait toujours bien. Le jeu est simple : les enfants marchent autour de chaises (il y a une chaise de moins que le nombre d’enfants) pendant que l’un de nous joue de son instrument. Quand il arrête les enfants doivent s’asseoir sur une chaise, celui qui n’a pas de chaise a perdu et est éliminé, puis le jeu continue avec les autres en enlevant encore une chaise. Nous ne connaissions pas encore bien ce groupe et ne pouvions nous douter de ce qui allait arriver. Les enfants, fans du jeu et voulant gagner à tout prix, finissaient par se pousser les uns les autres pour avoir une chaise. Forcément, un enfant un peu bousculé s’est mis à pleurer. Un des autres, le plus frêle du groupe, a dit en nous regardant d’un air sérieux : « si on continue ce jeu, on va tous mourir ». Attendris, nous avons quand même continué un peu le jeu – sans conséquence sur la santé de nos petits monstres.
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Un exemple d’atelier de chaise musical (Edmond et Valentin)
- Et votre autre groupe, comment ça se passaient ?
Nous avions aussi un groupe constitué principalement de filles. Ces enfants étaient super enthousiastes et plutôt doués. Par exemple ils ont adoré la cup song (rythme fait en tapant sur des écocups, inspiré de la célèbre chanson) ! On a passé un atelier à leur apprendre, puis aux ateliers suivants, on les voyait s’amuser à reproduire le motif avec tout en n’importe quoi. N’ayant pas d’écocup sous la main, ils utilisaient ce qu’ils avaient qui y ressemblait : trousse, bouteille d’eau vide. On les soupçonne même de s’être entraînés chez eux car on les voyait progresser entre deux ateliers.
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La cup song : un atelier adoré par tous les groupes (ici les enfants du groupe Emilie et Tim)
- Une anecdote rigolote ?
A la fin des ateliers on leur demandait ce qu'ils voulaient faire comme jeu, en choisissant parmi les jeux qu’on leur avait déjà appris. Un jour, pour changer, nous avons demandé aux enfants de proposer eux-mêmes un jeu. Une fille s’est portée volontaire et a donc expliqué à tout le monde son " jeu" : elle a mis les enfants par groupe, chaque groupe ayant une couleur et étant soigneusement noté au tableau. Les groupes se répartissent dans la pièce et elle explique : il faut choisir puis chanter une chanson ce qui permet de gagner un point ou pas. La distribution des points par la petite chef du jeu suit le critère assez arbitraire de « je trouve ça bien ou pas bien ». Une souris verte chantée par Alexis et moi se vit ainsi attribuer 1 point, après hésitation. Nous étions étonnés de voir que les autres enfants ne remettaient pas du tout en cause cette notation arbitraire, même s’ils ne recevaient pas de point, et étaient même plutôt enthousiastes. Malheureusement ce jeu absurde mais mignon dût être interrompu avant sa fin : il était l'heure de commencer notre deuxième atelier, de retrouver nos enfants terribles.
Ewan et Laurent
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Ewan, Laurent et leurs deux groupes en même temps
- Un moment qui vous a surpris ?
Tout semblait indiquer que ce matin allait être un atelier comme les autres. Un dernier détail restait à régler pour trouver un petit moyen ludique, bref et simple de concentrer le groupe et commencer l'atelier.
Une idée nous vint alors, ce petit jeu stupide, un peu casse-tête à expliquer mais très rapide à comprendre par induction une fois le jeu lancé. Le jeu est simple : on se compte. Les règles : chacun ne parle qu'une seule fois, dit un nombre, le groupe ne se concerte pas (donc ne parle pas en dehors du compte) ; si deux personnes parlent en même temps, annonce un chiffre en même temps : c'est perdu (le dénombrement étant raté) ! Le but : arriver le plus loin possible dans le compte.
En théorie, deux minutes et c'était bon !
Nous expliquons les règles, montrons un exemple simple et les enfants visiblement très enthousiastes semblent avoir compris les règles. Je lance alors le jeu par un simple "Top!" en claquant des mains... Et les enfants répondent instantanément d'un cri en chœur : "Un!".
Presque oui..! On réexplique les règles, on relance, même résultat.
Ewan : OK. Presque. Prêt..? TOP!
Toute la classe d'une même voix : UN !
Cette fois-ci le bonheur est complet, certains se lèvent et courent partout, sautent de joies devant nos yeux incrédules. Après une minute d'euphorie, interruption du jeu et explication :
Ewan : Alors, si vous remarquez qu'en faisant exactement la même chose 20 fois d'affilée ça ne marche pas, ça peut peut-être éventuellement dire que ce n'est pas la bonne technique !
La classe en chœur : OK !
Laurent : Bon, alors on va faire un dernier essai et cette fois-ci tentez de ne pas répondre tous "UN !" immédiatement et simultanément ! N'oubliez pas que l'objectif est d'arriver jusqu'à 8 puisque vous êtes 8.
Ewan : Donc, par exemple si je dis Top..
La classe en chœur, sautant de joie : "UN !", et courant ensuite partout dans la salle.
Laurent : Mais non mais c'était un exemple..!
Ewan : OK.. Donc, écoutez juste ; ne parlez pas ; on va vous montrer un exemple avec Laurent.. Donc si je dis "Top"!..
Les enfants répondent à l'unisson d'un même cri de joie et certains se lèvent même pour courir dans la classe en levant les bas au ciel d'un air vainqueur, convaincus d'avoir percé les secrets d'un jeu complexe.
Après quelques efforts et des techniques secrètes d'explication, nous parvenons à ramener le silence dans la classe et à leur faire comprendre que Laurent va commencer seul le compte suite au "Top", pour débloquer la situation et les faire monter plus loin dans le compte :
Ewan : Top !
Laurent : 1 !
La classe entière, immédiatement, simultanément, parlant comme un seul enfant fou de joie : 2 !
Quelques minutes passent encore, avant que nous finissions par interrompre le jeu en leur disant qu'ils ont malheureusement perdu, ce qui a l'air de les décevoir, sans qu'ils ne comprennent davantage la raison de leur échec.
Par un quelconque miracle, le groupe plus jeune de l'atelier suivant arriva quant à lui très rapidement jusqu'à 8 (sur 12).
Jean et Lionel
- Quel était le point fort de votre groupe ?
Nos enfants étaient de très bons chanteurs ! Ils étaient capables de très bien chanter et pouvaient même inventer d’autres voix sur les chansons qu’on leur proposait. On s’en est rendu compte dès le début des ateliers quand on leur a fait chanter le célèbre « O when the saints », qu’ils connaissaient déjà en plus et qu’ils chantaient très bien. On en a profité pour leur apprendre plein de chansons. On leur a fait chanter Frère Jacques, une chanson de Pirates des Caraïbes, le classique « Le Lion est mort ce soir », « Ohio » de Justice que nous avons ensuite fait avec les autres groupes au spectacle, et enfin « Friends » qu’un des groupes a chanté au spectacle à la fin de sa scène.
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Echauffement de la voix : important avant de chanter
On leur a aussi appris la célèbre chanson pour enfants en français : « Les petits poissons ». Et là c’est une autre histoire marquante de nos ateliers : on ne pouvait pas du tout s’attendre à la réaction que les enfants ont eue. Quand on a commencé à chanter pour leur montrer le morceau, toutes les filles de la classe se sont mises à ne plus bouger, en ayant l’air toutes tristes. On leur a parlé et on leur a demandé ce qui n’allait pas, mais elles ne voulaient pas répondre, on ne pouvait rien faire. Bon, au final on leur a quand même fait chanter la chanson pour le spectacle, et ça allait mieux, la tristesse inexpliquée était passée. On n’a jamais su ce qui a provoqué ça, ça restera un mystère.
- Un atelier que vous avez bien aimé ?
Le premier jour avec eux, on a présenté l’atelier comme un jeu télévisé pour le rendre plus amusant : nous les animateurs on était les présentateurs, et les enfants étaient les participants au jeu. On a utilisé ce cadre pour d’abord se présenter, puisqu'on ne se connaissait pas encore, puis pour leur faire deviner le nom des différents instruments (présentés la veille), et enfin pour leur faire apprendre des petits rythmes et les faire chanter pour gagner des points dans le “jeu”. Tout le long, on restait dans la peau de notre personnage et un des groupes a vraiment adoré et a bien joué le jeu !
Pour plusieurs de nos ateliers on faisait une histoire qui servait de fil conducteur à l’atelier : ça motivait à fond les enfants et ça servait de transition entre les différentes activités qu’on leur faisait faire. On leur a fait vivre une aventure de pirates avec carte au trésor, puis une quête épique dans un château avec épées et dragons.
Edmond et Valentin
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- Une activité avec votre groupe qui n’a pas marchée comme prévu ?
Un matin en atelier nous avons décidé de jouer au jeu du guide aveugle pour commencer sur une note ludique. Ce choix, apparemment anodin, a vite été amèrement regretté.
Le contexte du jeu est le suivant : la salle de classe est divisée en 3 zones, chaque zone étant associée à une note jouée au saxophone. Ensuite, il y a deux étapes :
Première manche : les enfants sont à la file et doivent se rendre un par un à la zone qu’ils pensent être la bonne, suite à la note jouée
Deuxième manche : les enfants sont par paire, un des enfants est « l’aveugle », il a les yeux bandés et son ami doit le guider vers la bonne zone (selon les mêmes règles que précédemment)
Cela parait simple, non ? Détrompez-vous…
On commence par un tour d'essai où on leur a montré les zones et les notes, ils étaient en file et devaient se rendre à la zone qui leur semblait correcte. Chaque enfant allait effectivement à un coin de la salle, mais aucun n'allait au bon. Même après avoir vu un camarade se tromper, ils reproduisaient la même erreur en allant à la même zone – que nous avions déjà indiquée comme étant une erreur. Voulant les empêcher de choisir une zone au hasard ou de se laisser influencer par le choix des autres, on a essayé une nouvelle fois en faisant un décompte de 5 secondes, au bout duquel ils devaient se trouver dans la zone qu’ils pensaient être la bonne. En fait ça a empiré les choses : à partir du début du décompte ils se mettaient à courir frénétiquement entre les zones, jusqu'à finalement perdre puisqu'ils se retrouvaient dans une zone aléatoire, voire même hors de toute zone...
Désespérés, mais souhaitant quand même enchaîner sur la deuxième partie du jeu – un peu plus difficile mais aussi plus ludique – nous avons donc continué, mis les enfants par paire et bandé les yeux de l’un des deux. Au début on essayait de voir s'ils allaient au bon endroit – sait-on jamais. Ce n'était pas le cas. Pour faciliter la tâche on a décidé d'indiquer au guide l'endroit correct avant qu'il ne mène son ami, pour qu’il n’ait plus qu’à indiquer la direction à prendre. Aucun groupe n’a réussi. Certains binômes avaient des problèmes au niveau de la façon de faire du guide : un guide pensait que dire « avance » sans plus de détails à son ami suffirait, un autre s’amusait à envoyer son ami dans le mur plutôt que de le guider vers le bon endroit. Un autre binôme avait un problème autrement intéressant : l'aveugle allait à gauche quand le guide lui disait d'aller à droite et inversement. L’enfant connaissait bien sa droite et sa gauche – on a vérifié – pourtant une fois les yeux bandés ça devenait impossible pour lui de s’orienter…
Ce jeu qui avait super bien fonctionné en vingt minutes au Cambodge s'est étiré de la manière dramatique décrite ci-dessus sur l'ensemble de l'atelier d'une heure. Autant dire que nous n’avons jamais réessayé et sommes vite passés à autre chose pour la suite.
Emilie et Tim
- A quel moment les enfants vous ont fait bien rire ?
Les enfants de nos groupes étaient un peu timides au début, mais ont vite appris à nous connaitre et ils ont fini par être assez proches de nous, s’autorisant même quelques petites taquineries…
Un jour je menai un atelier sous la forme d’une histoire (plusieurs exercices et jeux, reliés ensemble par un fil conducteur sous la forme d’un récit d’aventure). Nous imaginions être de braves aventuriers, près à partir pour une journée d’exploration dans la jungle, voire même à la recherche d’un trésor perdu. Je commence l’histoire : « Nous sommes tranquillement chez nous, un matin, et nous nous réveillons ! Nous nous levons de notre lit et nous étirons ! Aaaaaah ça fait du bien ! ». Une petite à côté de moi m’interromps : « Ah mais c’est pour ça qu’aujourd’hui tu portes un pyjama ? » dit-elle en pointant mon pantalon, un des deux seuls pantalons que je possède pour 6 mois, que je portais jusque là sans honte en de nombreuses circonstances. Je bafouille une réponse vaguement affirmative et enchaîne sur la suite, mi-amusée et mi-vexée.
Mais je ne suis pas la seule à avoir été victime de leurs clashs involontaires et adorables.. Pendant un autre atelier, Tim expliquait à tout le groupe de nos Year 4 comment faire un corpo-rythme. Tous les enfants avaient l’air d’écouter attentivement, sauf un petit groupe de 3 filles, pourtant super sages d’habitude. Là elles sont en train de se chuchoter à l’oreille et de glousser en jetant des coups d’œil furtifs Tim. Je leur demande ce qu’il se passe et leur dit de se concentrer, mais elles refusent de m’expliquer. L’atelier continue normalement, puis à la fin, les 3 filles vont voir Tim et l’une d’elle fait office de porte-parole : « Tu ressembles à Justin Bieber avec ta coupe de cheveux », dit-elle avant de rire en se cachant le visage dans les mains – mouvement classique d’enfant fidjien timide. Devant l’air confus et vexé de Tim, elle précise quand même que c’est une bonne chose d’après elle car Justin Bieber est très mignon.
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On peut voir ici le pantalon en question ainsi que la coupe de cheveux “Justin Bieber”
Nos ateliers à Suva Primary School, ce sont toutes ces anecdotes, tous ces petits moments drôles, mignons, désespérants, frustrants ou satisfaisants, mais aussi plein d’autres plus banals de temps passé ensemble avec les enfants à les voir progresser, rire, s’amuser, se lâcher.
Nous garderons tous des souvenirs forts de ce - relativement - court passage dans le quotidien de ces enfants. Nous partons demain en direction de la Bolivie, plus précisément vers le Salar de Uyuni, où nous rencontrerons de nouvelles personnes, de nouveaux enfants, sans doute bien différents des enfants Fidjiens. Nous ne doutons pas que cela sera tout aussi riche en découvertes, en surprises et en moments rigolos : on vous racontera !
Emilie
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nonscolemondedapres · 4 years
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Portrait #11 (Celui-là, on le publie avec une gratitude particulière. Ambre, ça fait 11 ans qu'elle fait de l'IEF, le nombre de familles qu'elle a aidées et appuyées est grand. Merci !) Ambre 42 ans, je partage ma vie avec Pierre, mon conjoint, et 4 enfants. Jade 17 ans 1/2, Kaya 13 ans 1/2, Dune 12 ans et Mahdi 9 ans. Quand Jade est arrivée dans notre vie, j'avais 25 ans, des principes et des illusions. Je croyais dur comme fer à des principes éducatifs, par mon éducation, mes origines et influences (famille 1/3 protestante, 1/3 musulmane, 1/3 catholique ) mes lectures et les "on dit", qui ont depuis volé en éclats. Quand j'ai accouché, c'était un accouchement passif, je suis allée à la maternité où l'on m'a dit quoi faire et comment le faire. Et j'ai obéi sagement. A tout. Mais je voulais allaiter, car c'était le mieux pour mon enfant me semblait il, et c'était naturel. Peut être aussi parce que je ne l'avais pas été et que cela semblait être un regret pour ma mère. Mais Jade pleurait beaucoup, souvent. Au bout de 3 mois, ma belle mère et ma "belle grand mère" m'ont dit que mon lait n'était plus bon, pas assez nourrissant. J'ai consulté un pédiatre qui m'a donné un complément à prendre pour favoriser la lactation mais ça n'avait pas l'air de beaucoup fonctionner. Alors, là mort dans l'âme, un jour, j'ai demandé à Pierre d'aller acheter un biberon et du lait en poudre. J'ai pleuré lors du premier biberon qu'elle a bu goulument. Elle pleurait beaucoup et ne dormait pas beaucoup. Je fatiguais. Pierre fatiguait. On s'engueulait la nuit  pour savoir qui se lèverait pour le prochain réveil. Pierre m’exhortait à la prendre dans notre lit mais je tenais bon, en refusant, arguant que ce serait lui donner de mauvaises habitudes. La première année est passée, et j'ai  beaucoup pleuré. Nous avons même failli nous séparer. Fatigue, irritabilité, stress, désaccords éducatifs . Elle a grandit et ça allait mieux. Vive et intelligente, elle faisait quand même des "bêtises" recadrée par des gronderies, petites punitions et tapes sur les fesses ou les mains. Rien que de très classique d'après les échanges que j'avais avec les autres mamans de mon entourage où de la crèche. Je la forçais à faire la sieste, parce que "les petits enfants doivent se reposer." Quand elle ne voulait pas elle devait rester dans sa chambre, même si elle pleurait. Et parfois, derrière la porte, je pleurais aussi. Ses 3 ans sont arrivés et l'entrée à l'école, que je pensais obligatoire à l'époque, était la. Ce serait Montessori, pour son développement intellectuel et son autonomie. Mais la seule école qui existait à l'époque était tellement chère que j'ai dû y renoncer. Je me suis alors renseignée sur internet et j'ai vu qu'énormément de mamans fabriquait du matériel pour faire Montessori à la maison. Beaucoup d'anglophone, mais aussi des françaises. C'est la que j'ai appris que l'école n'était pas obligatoire, seule l'instruction l'était. Alors je me suis dis, pourquoi pas nous. Pierre était d'accord et me soutenait... Alors j'en ai parlé à ma meilleure amie, prof à l'éducation nationale. Et là, douche froide. Elle réussi à me convaincre de l'importance de l'école, publique, laïque et gratuite. De l'importance de la socialisation, de la collectivisation. J'allais gâcher l'avenir de ma fille. Jade est allée à l'école et j'étais bien heureuse de n'avoir pas cédé à ma lubie. Ça la fatiguait mais elle avait l'air de s'y plaire et l'instit était géniale. Puis je suis tombée de nouveau enceinte (je déteste cette expression, tomber enceinte, comme on tombe d'une échelle) et nous avons fait le choix d'aller vivre à la campagne. Il arriva, alors, quelque chose de simple, d'anecdotique mais qui a changé ma vie, nos vies. On m'a offert un livre. "Elever son enfant autrement" de C. Dumonteil Kraemer. La personne, un copain, qui m'a offert ce livre pendant ma grossesse m'a dit "je pense que ça te plairait". Et il avait raison, tout ce que je pressentais, ce que je niais sur la parentalité était là, je découvrais le terme de maternage proximal. Le soir je racontais à Pierre mes lectures, (je me suis procuré d'autres livres sur le sujet) et mes découvertes sur le net, dont un groupe de mamans, les mamans natures. J'ai découvert l'allaitement long et les pics de croissance, le portage, les couches lavables, l'hygiène naturelle de l'enfant, la parentalité bienveillante, le cododo et le concept du continuum. J'ai pleuré (encore) en pensant à tout ce que j'avais fait subir à ma fille, à moi. J'ai découvert la phrase" avant j'avais des principes, maintenant j'ai des enfants" et j'ai décidé, soutenue et encouragée par Pierre, ni une ni deux de tout changer. Kaya est née, Jade avait 5 ans. J'ai eu une discussion avec elle, lui disant que je voulais changer notre façon de communiquer, d'être avec elle. Que plus jamais elle n'aurait de fessées, ou de punitions. Que je lui rendait son droit de choisir pour elle. Elle pouvait désormais choisir comment s'habiller et si elle avait faim ou non. Des petites choses qui lui restituait son intégrité, son autonomie. Elle était plutôt contente, mais je lui ai dit que ce ne serait pas facile pour papa et moi et que parfois nous pouvions encore faire des erreurs mais que dans ces cas là, nous nous excuserions. Je me suis excusée pour toutes les fois où elle avait pris une fessées ou subit une vexation, une punition. Elle n'était plus à mes yeux uniquement MON enfant, pas non plus uniquement UNE enfant, elle était une personne à part entière, un individu avec des envies, des besoins et des droits et je me devais de les respecter. Elle a demandé si elle pouvait dormir avec nous, et nous avons accepté en lui installant son lit dans notre chambre. Ses problèmes d'endormissements et de sommeil ont magiquement disparus. J'ai aussi décidé, toujours soutenue par Pierre, à ce moment là de tenter l'expérience de l'école à la maison. Ce qui avait motivé ce choix ? Le refus de la maîtresse d'apprendre à lire à Jade, malgré ses multiples demandes. Elle était trop petite disait elle. Elle apprendrait l'année prochaine comme les autres. Alors Jade écoutait les leçon de la table d'à côté, celles des CP. Elle le soir toute fière, elle me racontait tout ça. Nous avons fait la rentrée de grande section à la maison, à son plus grand bonheur. Mais tout n'a pas été rose. C'était dur, j'étais encore trop contrôlante, trop invasive, je râlais beaucoup... Mais elle a appris à lire en 3 mois tellement elle était motivée. Nous faisions des sorties, nous rencontrions d'autres familles d'autres enfants. C'était, presque, la belle vie. Puis je suis de nouveau tombée de l'échelle, non pardon enceinte. Et la, patatra, je ne devais plus porter, éviter de monter les escaliers etc... Kaya avait 1 an, Jade 5, je ne voyais pas comment faire. Elles sont donc retournées à l'école. Dune est née, nous avons déménagé et Jade a fait son CE1 à l'école de notre nouveau village, pour qu'elle puisse rencontrer du monde. Mais l'idée de l'instruction famille était toujours là. Le refus du directeur d'organiser des sorties culturelles, de faire un potager, de faire un spectacle de Noël car "ils n'était pas la pour ça", m'a définitivement convaincue de sauter le pas une nouvelle fois. J'avais maintenant 3 petites filles qui n'allaient pas à l'école et j'attendais un petit garçon. 11 ans que nous avons fait ce choix. Nous n'avons jamais regretté. Ni nous, ni eux. Ils ont le choix d'y retourner quand ils veulent. Ça n'a pas été facile tous les jours, Pierre travaillait et j'étais seule à la maison avec 4 enfants. Heureusement que les copines non sco étaient là pour soutenir. Le soir, le week-end, le papa prenait le relais pour que je puisse souffler. Nous sortons quand on veut, allons au musée quand on veut, partons en vacances dès que l'on peut. Nous avons des amis aux quatre coins de la France qui, comme nous on fait ce choix atypique. Nous vivons en unschooling, concept de vie, concept éducatif qui est le prolongement du continuum. Mes enfants apprennent ce qui leur tient à cœur, au rythme de leurs envies et de leurs intérêts. Et moi, parent ressource, je suis là pour les soutenir et les aider quand ils le demandent. Mes enfants ont été allaité longtemps, portés en écharpes dans le dos, respecté pour l'élimination leurs besoins naturels, dormis avec nous pendant longtemps diversifié selon la DME, respecté dans leurs rythmes d'apprentissage, encouragé dans leurs curiosités, soutenus, écouté et respecté. On me prédisait des enfants rois, des tyrans ou des canetons dans les jupes de leur mère. On me prédisait des associaux, des sauvages et des incultes. Le monde compte, aujourd'hui, 4 enfants heureux, épanouis, autonomes, intelligents, des individus au caractères bien trempé, ouverts d'esprit et sur le monde. Je serais toujours la pour eux, je serais là pour me battre contre cette décision inepte de l'interdiction de l'instruction en famille. Je leur souhaite tout le bonheur du monde dans ce monde pas très heureux. 
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votresante · 4 years
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12 Conseils Pour les Femmes qui Veulent prendre pendant la Grossesse
Pendant la grossesse, beaucoup de préoccupations qui viennent immédiatement à l’esprit dans la santé de la femme et du bien-être de votre bébé, le nourrir, préparer la maison pour l’arrivée de l’enfant, et l’achat de vêtements et de la literie, et apprendre à prendre soin de lui un être si petit dans les premiers jours de la vie, et dans la plupart des beaucoup d’autres choses. Et entre toutes ces choses qui occupent l’esprit de la future mère, une question qui peut se poser est par rapport à la pratique et à la course, surtout si il ou elle est une personne qui se soucie et a toujours soigné dans la forme appropriée.
Serait-il possible de continuer à faire une activité, comme la course, pendant la période de grossesse? Si oui, comment qu’elle devrait aller à ce sujet? Vous en saurez plus dans notre liste ci-dessous:
1. Parlez-en à votre médecin
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Avant de prendre toute décision à l’égard de l’inclusion ou de la poursuite de la course est dans une routine au cours de votre grossesse, il est essentiel de parler avec votre médecin que vous prenez soin de la grossesse. Comme chaque femme est différente et a un autre corps qui réagit différemment à la grossesse, il est essentiel de savoir à coup sûr si c’est le type d’activité physique n’entraîne pas de problèmes, et si elle ne peut pas être fait, quelles précautions doivent être prises.
“Certaines des femmes-qu’ils exécutent régulièrement ou pas, vous pouvez continuer avec la course, vous ne pouvez pas être à l’aise, même mal à l’aise”, explique l’entraîneur personnel et fondateur du centre de remise en forme spécialisé dans les femmes enceintes, découvrez la Zeil.
En outre, une discussion en profondeur, et de dire le médecin, c’est la meilleure façon de vous assurer que vous sélectionnez un entraînement pour une course qui n’bien pour la future mère et le bébé.
2. Considérez que c’est un voyage
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Pour ceux qui n’ont jamais eu l’habitude de courir, au moment de la grossesse est le moment idéal pour vous de commencer à faire ce type d’exercice. Selon le chef du service médical du centre de santé de la reproduction aux États-unis, Diana Ramos, la grossesse n’est pas la situation convenable pour commencer, la suite est une activité complète, en tant que race, et la meilleure chose pour une femme enceinte qui n’a jamais couru dans la vie, mais aussi envie de faire un peu de type de exercice physique est la randonnée dans les montagnes.
“C’est l’un des meilleurs exercices lorsque vous êtes enceinte, il est inférieur à l’impact, et si vous n’êtes pas habitué à l’augmentation de l’impact de la course, vous devriez orienter clairement de cela. Si un défi est ce que vous cherchez, alors vous devriez essayer d’ajouter un peu de talons ou aller pour une promenade en haut de l’escalier,” dit le docteur.
3. Faites attention aux signes d’alerte
Même après que le médecin de presse pour la course, il est important pour les femmes de continuer à être à l’écoute de votre corps, si vous avez des signes, comme des crampes, des taches, de l’essoufflement, des maux et des douleurs, il devrait cesser de l’exercer et d’en informer le médecin sur le problème dès que possible.
Voir aussi:
Le plus de la mère-à-être pourriez vouloir considérer le symptôme comme quelque chose d’importance, parlez-en avec votre médecin est la meilleure façon de s’assurer qu’il n’y a pas vraiment quelque chose de mal, ou que le signe n’a rien à voir avec la course.
4. Il est temps de ralentir
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Pour les femmes, qui ont déjà l’habitude de courir avant la grossesse, vous continuez avec votre pratique pendant que vous êtes enceinte, il est un bon choix pour vous, lorsque le médecin se déverrouille et s’en va avec elle, bien sûr, mais cela ne signifie pas que l’intensité de votre entraînement devrait être le même qu’avant la grossesse.
À ce stade, il n’est pas rare pour les femmes de diminuer le taux, ou de réduire le nombre de pieds ou des miles pour vos courses. “Rappelez-vous, vous êtes porteur d’un autre être humain, et que ce n’est pas une tâche facile”, a déclaré l’entraîneur personnel, découvrez à Pied.
Lorsque la course permet à la femme de se sentir fatigué ou léthargique, cela peut être un signe qu’il pourrait être trop sur l’exercice. Si c’est le cas, il est préférable de ralentir et de s’atteler à la tâche.
5. Boire beaucoup d’eau
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Pour éviter la déshydratation, ce qui peut provoquer des signes de contraction, et l’accouchement prématuré, il est important de boire beaucoup d’eau pendant la course. Dans tous les cas, si la femme a des signes d’un recul de la course, la recommandation est de faire le plus de l’eau immédiatement et consulter un médecin dès que possible pour savoir comment faire.
6. La sécurité en premier lieu
Les changements dans le corps, qu’une grossesse pourrait aussi faire la course de la femme est d’être modifié. Les chemins sont aussi courts que votre ventre se développe et votre solde sera affecté. De cette façon, pour protéger le travail sécuritaire, l’une de ces lignes directrices est de choisir un endroit qui a une surface plus plane que celle d’un lieu qui a un terrain accidenté avec beaucoup de bosses et obstacles qui peuvent vous faire tomber.
“Même si vous êtes un coureur, régulier de la piste, rester sur le côté de la prudence. Sur votre itinéraire préféré, pouvez, rechercher, bien sûr, en un jour, mais sur les autres, il peut être différent. En outre, en tant que votre ventre se développe, vous ne serez pas en mesure de voir sur la piste, et l’équilibre est déjà compromise”, a déclaré Erica à Pied.
7. Accepter qu’il est différent de l’autre
Une femme peut se sentir grand, le jour de la course, et sur l’autre n’étant pas tellement envie de faire de la formation. Lorsque cela se produit, la solution est d’accepter qu’il y a des moments où le corps sera ainsi, et pas du tout dans d’autres, et d’apprendre à tirer parti des bonnes journées et la compréhension des pauvres, et de respecter ses limites.
L’entraîneur de la course, et un blogueur de Michele Gonzales est une femme qui a vécu ce type d’expérience. Elle a, par deux grossesses, elle a continué à exécuter pour eux, et a même pris part à une édition de l’Ironman triathlon triathlon, comme elle l’allaitait un de ses bébés.
“Certains jours, tout le mal, et je l’ai il n’a pas été jusqu’à la fin de mon bloc avant de m’arrêter et de revenir à la maison. Les autres jours, j’étais en pleine forme et en mesure d’exécuter pour 6,5; 9,5 ou 16 km,” dit Michael.
8. Pour être sur le téléphone
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Beaucoup de gens aiment écouter de la musique sur le téléphone portable alors qu’il est en cours d’exécution, mais ce n’est pas la principale utilisation de l’appareil pour une enceinte de coureur. Il est important que vous avez votre téléphone à portée de main en cas d’urgence, ou pour elle de ressentir la moindre gêne, elle doit faire appel à son mari, un membre de la famille, ou même un combattant du feu, et de demander de l’aide.
Et, il est essentiel de toujours sortir de la maison, le téléphone est complètement chargée, vous courez le risque de la batterie et à la fin, au moment même où une urgence se produit.
9. Ne pas se contenter de la course
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Lorsque vous avez une conversation avec leur fournisseur de soins de santé au sujet de la course, elle devrait lui en demander quels types d’exercices qu’il peut intégrer dans la routine alors que vous êtes enceinte. Par exemple, la formation de base des muscles dans le corps (appelé le noyau) est également important, car il contribue en ce qui concerne la stabilité de la hanche.
En général, l’exercice modéré est important pendant la grossesse. Une étude de l’espagnol publié en juin de cette année, a constaté que les femmes enceintes qui pratique une activité physique d’intensité modérée sont moins susceptibles de développer le diabète gestationnel et avoir une perte de poids.
10. D’échanger les accessoires pour la course en conformité avec les exigences du corps,
Cela ne signifie pas que les femmes enceintes doivent acheter des chaussures tous les mois de la grossesse, mais que votre corps change tout au long de la période de neuf mois, il est probable qu’elle devra utiliser un équipement différent de celui utilisé avant le un bébé dans et de lui-même.
Par exemple, si une femme n’était pas à l’aise avec les chaussures simple, quand je n’étais toujours pas enceinte, et après votre grossesse, vous ressentez de la douleur dans vos pieds ou les genoux, peut-être qu’il est temps pour elle de change de la paire d’un modèle qui permettrait de fournir une plus grande stabilité dans le mouvement.
Quand mon ventre a commencé à s’agrandir, et vous laisser dans le passé, était mal à l’aise, le médecin n’a pas interdire les courses, sortir à résoudre la situation à l’est de rendre l’utilisation d’un éventail de services de soutien pour les femmes enceintes.
“Utiliser le bas de le ventre, donne plus de soutien de votre abdomen, et il peut vous aider à continuer à exécuter confortablement”, a déclaré Erica à Pied.
11. Rien dans la course à couper le souffle
Le fait que le médecin de laisser les femmes pendant la grossesse ne signifie pas qu’il est libre de tourner autour jusqu’à ce que vous perdez votre souffle, comme s’il prenait part à un marathon ou de viser une médaille d’or olympique.
Comme nous l’avons déjà anticiper dans cet article, il est démontré qu’il va diminuer le taux, et de ne pas repousser les limites de votre corps. Cela étant dit, il y a encore nécessaire de vous inscrire en faveur de la recommandation du Congrès Américain des Obstétriciens et Gynécologues (ACOG, son sigle en anglais), il est constaté que l’intensité de la course pour la future maman à être celle dans laquelle elle sera en mesure de tenir une conversation sans être à court de souffle ou de trouver qu’il est difficile d’en parler.
12. Gardez un œil sur vos aliments
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Le fait que la pratique d’une activité physique comme la course ne peut pas être utilisé comme une excuse pour les femmes enceintes de manger plus que nous le devrions. Parce que c’est l’histoire d’un repas pour deux, c’est, en fait, un mythe. “Vous n’avez pas besoin d’autant de calories chaque jour, même si vous travaillez en dehors. En fait, vous avez seulement besoin de 300 à 500 calories sur une base quotidienne. Il est plus important de se concentrer sur l’équilibre de la nutrition protéines, de fruits et de légumes pour garder les mères et les bébés en bonne santé”, dit le docteur, et Diana Ramos.
En plus de cela, il est indispensable de prêter attention aux changements qui se produisent dans la pratique de l’exercice physique. Si la fréquence est plus basse trop, il peut ne pas être nécessaire d’augmenter le nombre de calories que vous brûlez.
De toute façon, il est préférable de parler à votre médecin au sujet d’un régime alimentaire et programme d’ajustement d’un régime alimentaire sain pour la femme enceinte et de l’enfant, avec l’aide d’un professionnel.
Avez-vous l’intention de poursuivre son style de vie actif de l’exercice pendant la grossesse? Si vous portez déjà un enfant, senti la difficulté quand il a essayé de la pratique de la course? S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
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honel-inge-mal · 4 years
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Les mots venaient si aisément je n’en ai plus  Je n’en ai plus  Mal au ventre au cœur aux oreilles aux sexes  L’entière souffrante La masse  Dévorante  Fourmi par fourmi et la hauteur du transport devait arriver, arriva Sous moi Obsession pour l’horizon  Mes yeux se serrent  Explosent gorge ventre  Percer cher ver transporter vers colline vertige 
Bar absent  Et chat au-dessus  Mur compte  De la cendre à la circonférence Je ne sais que penser de toi Je ne sais rien de ce que je pourrais faire à un corps  Je suis un enfant  En veux-tu un ?
Il est trop facile, crier sans la main D’écrire M’hospitaliser Trop de soleil pour gagner la peau changée et m’offrir à elle  Trop de soleil La tête folle enfle  Et je meurs  Partir Ici en famille combien de temps Le soleil est trop fort Je dois me reposer  Combien de temps Et avec quelles aides ?
Me reposer Dormir Roule langue coupée  De la famille  Qui n’a pas pris le soleil comme moi La vie est sans ventre Et une langue d’origine  J’étais porté pleurant  Râlant Suffoquant ce noyau Poussant  Quelqu’un de ma famille me portait  Mais entre la surface et la mer  Entre le fond de l’eau et du ciel noir  C’est trop de crier Yeux à peine en larmes et si clairs face aux étincelles  C’est trop de crier  Les oreilles pleines d’eau à crier D’un seul regard je me suis attaché  Je suis parti  Je suis au noir déjà J’ai peur de tomber Ma mère retourne-toi  Je tombe sous l’île sous le sol La force me tire vers l’avant Je perds mes miroirs  La peau je la harcèle je m’y répands  Briser briser Questionner quoi Lait d’ânesse perdre les amis d’enfance  Saisir ce moment de perte  Sec  Faveur  Envolée d’oiseaux quand je fais marcher les dunes  Plume toile, la belle verte J’aimerais passer devant un miroir sans me regarder Me creuser  Corps armoire à vider Réceptacle Vide  Récurer poli Le vent souffle trop haut  La vie est là même partout à quelques soleils près  On peut se mourir Les valises s’attachent au corps  Mon visage est une pente qui avance  La descente  Je vais vers vous  N’oublie pas que les chouettes sont des pandas  Et les tongs des marchmok  C’est la fin du monde J’étais en coup de fouet J’ai câliné et j’ai récupéré un sac dans une cheminée avec mon pied Tout le monde m’a acclamé et a eu envie de perdre d’autre choses pour vivre des aventures   Problème personne ne savait que perdre Comme bien souvent Je me suis juste approché  D’immense babines j’imagine  Au rêve la vérité, intenable Nous ne sommes pas fait pour elle Tête renversée au puit  Je te tenais Ton souffle  Embrasser les yeux au revoir  Zéphyr  Étais-tu le pacifique ? Oui, je bouillonnais du mauvais côté de la violence  Homme Excrémentiel  Démence Outrecuidant  Chercher la production  De rebuts  Je me suis imaginé crier à toi sur le chemin Je suis différent Mais sincèrement, je pense à toi Les oreilles du lapin pendent Lit de fleurs souris morte sous couverture  Je ressemble que je lèche des prisons  Naître ou neiger  Exploration des domaines du non Les cocons sont et boyaux  J’ai mal  Écrire au doigt sur la peau  Les cieux  Nous y habitons  Casques  En famille  Prisonnier dans le ciel   Enchantés  Sans lianes  La fournaise est plus aisée le dimanche.
Rendre le profond : puis-je malmener ? La fin du hoquet pour embrasser, tu jouas.
Quelqu’un d’autre contrôle mon corps Après les épines se cacher 
J’aime pas les gens qui ne m’aiment pas car ils n’aiment pas la valeur des domaines en moi
Miroir et gens nous détestent Dire qu’on m’adore Oublier sympathie  Présent efface disparu ici Seule étoile ciel Bébé imaginaire femme  La mémoire m’est restée sur la peau  L’île qui efface quand on y arrive 
Tant de miroirs
Qui reviennent
Sans disparaître ici
Parce que personne ne pourrait juger ce désastre 
Percer la terre et aller au miroir
Mais j’ai juste touché son cou 
Œil mort cuit 
Il pleut de mes seins
Noeuds dans le ciel
Noeud d’étoiles 
Me piquent et remarque pas
Je cache pour perdre 
Je ne regarde pas qui prend mes affaires 
Tes mains dures
Ton cou accueille mon visage la courbe mon nez
Ta petitesse 
L’os 
Reçut le mal
Ta mélodie chantante 
La distance 
Ne pas savoir 
La solitude fait connaître 
Tu veux encore quoi ?
Toi, nous 
Choqué de ton corps 
Tu 
Secrets mémoire
Grenouilles
Décrochage
Double appel 
Raser d’amour 
J’essaye de ne pas mourir quand on me pose des questions
Un mur est-ce suffisant 
Dans la 
Nuit 
Roche colline 
Sœur 
Puisque les cœurs à droite explosent
Les gravites s’inversent 
Les corps s’emboîtent 
Je partirais.
Le sol se dérobe et se cache le ciel noir encore une fois 
Le même ciel 
Où vivre 
Maison si loin 
Comment ça va ?
Comme un fils
Tapis de bateau 
Femmes d’églises couleur d’océan
Huile 
J’ai mal je dors Groseille pétrole 
Noir
Sang de baleine 
Visage rasé 
Poisson homme
Je fais de ce que c’est
Et j’accentue ce qui est déjà 
Commando camarade
Endurer la valeur 
De ce que vous faites 
Mort est la seule chose qui n’arrive pas 
J’ai crée ma peau
On m’appelle la peau
Je l’ai créée
Chemin de la ronde
Je sors les filets blancs de ma peau 
Miroir lieu de pensée et d’éclatement
Inspecter
Jusqu’au bout 
Tout 
Renouveler 
Comme l’odeur que je cherche en moi
Tout le nié  Me retourne comme une autre gravité.
Comme une épée abandonnée sur le champ de la bataille.
Le silence entre les encoches du mur, le vent s’y engouffre, j’entends, la marque la nuit nous descendons sans moteur.
Je suis pendu et je figure une dernière photographie, au loin.
Brûlure
au ventre sans ta chemise de cimetière
car nous t’avons planté autre mère
je t’ai tenu à l’envers
tu as vomi dans le froid
Et c’est la nuit 
Inodore comme la main éloignée de mon corps 
Qui appelle 
Pied qui tient une branche la nuit
Tronc gris apporté par l’eau 
Yeux qui explosent 
Frotter frotter 
Ralentir 
Le noir 
Exploser
Tête 
Enfermée ici en réalité 
La forêt interdite 
Maison où part le chemin d’elle
Qui étais-tu 
Morte qui me sauva 
Je me vois construire ma tour
Protégé par une armure blanche 
La tour des couteaux 
Croire que l’on a invité sans le faire ce n’est pas aisé 
je ne me souviens pas de t’avoir connu
moi qui pleure une fois la perte et deviens
Maître pour insecte des gorges
Recueil d’inventions 
Je t’attends sur cette montagne, nous nous sommes perdus dans la nuit, ils ne voulaient nous indiquer la route à prendre.
Je suis à toi ce que l’apnée est à la mer 
Esquisser la danse
Un pied sans veine et un pied avec.
Le silence et l’emploi
Je n’aime pas parler 
Et je ne veux pas
Rêve d’enfance chateau au château l’enfance 
le meilleur ami croit à l’amour et veut se venger d’amour
avec son garde gros
il éparpille mes cendres mes valises
je ne vous aimais pas
mais comment vous perdre
L’ami d’enfance
les amis d’enfance
partis
quittés
soulevés
à la mort
Je ne t’aimais pas, mais je voulais te garder
Quand je monte j’ai peur 
La crainte de découvrir les ponts 
De regarder la surface
Les étoiles se reflètent à ta peau 
Tu es du passé 
Seigneur tu me secoues 
Tu déplaces mon corps 
Dans la zone 
Amoureuse du sable
Posé sur un plateau, sans le savoir
Est-ce une hauteur ? Si vous y êtes né.
Mère fais-moi oublier le soleil 
Diable sous marin 
Le vertige inversée 
L’explosion de l’attachement du soleil 
Espèce de catapulte, cheval sur la plage
Alex Léon moi toi Sandra Pat Younès Miguel Antoine Cléo Corvus pour m’alourdir
Que fait cette cicatrice à ma chair et sur ma chair
les mains nus du garage s’enlève au tartre des dents
avec l’ongle
géant soldat rose
quand abandonné 
sur la mer je suis seul
Soeur perd cheveux et garçon tombe enceinte
Le soleil a disparu couchant en face 
La nuit capuche à rabattre 
Et la profondeur sous moi
Qui creuse encore les galleries 
Tu me demandes de t’embrasser, je le fais dans les feuilles, descendant de l’arbre
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