Tumgik
#j étais là
papierhaikuphoto · 2 years
Text
Montagnes d enfance
Ensevelies sous la ville
L horizon était là
- Mathilde Fauve
13 notes · View notes
dixvinsblog · 6 months
Text
Gilles Compagnon - J'étais là
De bonne heure ce matinme suis senti venirl’âme conquéranted’un épervier en chassevenu tournoyer lentau-dessus de son nuagepour finir par fondresur un beige mulottapi en son bocageau pied écarteléd’un érable encorautant feuilluqu’irrésistiblementtourmentépar quelques incendiespoussées par le vent,sur ses étêtées cimes… Chaque individunanti d’argentet de moyens à sa guiseayant une petite…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
homomenhommes · 5 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 60
Quand j'arrive, je fais un bisou à Marc qui me donne l'ordre d'aller me préparer au donjon. J'y vais de suite. Je me déshabille de mon cuir et je me prépare. Après avoir ôté mon plug, je me fais un lavement histoire d'être prêt à tout. Une fois bien sec, je me re graisse bien le trou, enfonçant un demi tube de lubrifiant dedans. A l'aide d'un gode de bon diamètre, je me détend l'anneau puis Je bouche mon trou avec un nouveau plug. Ne sachant pas ce qui m'attend, je préfère plus de préparation que moins.
J'ai bien fait ! Marc arrive avec Eric. Il lui dit en me montrant que j'avais besoin d'une reprise en main et qu'il fallait me remettre en tête à qui je devais obéir.
Je suis debout devant eux, je ne bouge pas et n'ouvre pas la bouche. Marc me tourne autour, il me tâte, me palpe, de plus en plus dur, me pinçant les pecs, les fesses... Eric se met nu. La situation doit bien l'exciter car il bande comme un taureau ! Marc m'appui sur les épaules et me dit " suce ". je me penche et m'enfourne la teub d'Eric. Ce dernier pose ses mains sur mon crane et oriente ainsi ma pipe. Il maîtrise la vitesse et surtout la profondeur. Marc lui dit d'y aller que pour ce soir je sois une " petite pute " ! Eric augmente alors sa pression sur ma tête et enfile ses 25cm contre mes amygdales. Dans cette position, sa grosse tige en gorge profonde me provoque des envies de vomir et un méchant revoit l'expulse de ma gorge. Marc en voyant cela, m'ordonne de gagner un sling. Je m'y couche sur le dos. A eux deux, ils m'attachent les chevilles et les poignets aux suspentes. Après un ou deux réglages, j'ai la tête et le cul à la bonne hauteur. Eric revient me fourrer la bouche. dans cette position, c'est plus facile (plus, pas très !). Marc de son coté m'a arraché le plug et m'a enculé violemment. Je suis rempli des deux cotés. Marc se met à discuter avec Eric, de savoir comment va ses cours de moto., si il a rencontré de nouvelles petites salopes comme Phil Luc ou moi ?, sa façon a lui de me dire que c'est lui qui est le " boss " ! Moi en attendant, je ne boude pas mon plaisir et profite de leurs deux pines. Il m'interdit de jouir ! j'essaye de penser à des trucs tristes pour faire baisser mon excitation. Lui par contre se laisse aller et en m'assenant des coups de reins pour limer sur ses 22cm de long, il me rempli le cul de son sperme. Je me retiens de jouir à mon tour, j'adore sentir son jus me remplir le cul ! Il dit à Eric de prendre sa place. Heureusement que Marc m'a bien défoncé, je suis bien souple pour recevoir les 26 x 7. Je les sens quand même bien passer et quand ses cuisses noires viennent écraser mes fesses, je suis bien " plein ". Marc se met à ma tête et me murmure à l'oreille que je " suis une bonne salope ", " un bon trou à bite, un bon vide couilles ", " j ;"étais à lui, et qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait "... à chaque affirmation, je lui disais " oui ". Eric, à bout d'excitation, m'empala à fond sur son gros manche et bien calé, remplit la Kpote d'une quantité impressionnante de jus. La sensation de plein ajoutée aux insultes de Marc ont déclenché ma jouissance et j'ai tapissé mes abdos de longues traînées blanches. A ce moment là, j'ai entendu Marc me dire " Je t ;"aime ". Yes ! Dans un petit nuage, c'est à peine si j'ai senti Eric se retirer et avec Marc me détacher. Ils m'ont relevé et je me suis jeté au cou de Marc pour l'embrasser furieusement, goulûment, avidement, passionnément, amoureusement ! Et Eric de dire " je ne sais pas ce que tu lui as dit, mais il a l'air d'apprécier ! ". Je n'ai rien dit. C'est entre Marc et moi. Sous les douches, Marc m'a lavé, caressé, massé. J'étais trop heureux qu'il s'occupe de moi ! Eric voyant une intimité nouvelle entre nous, nous a quitté rapidement. Nous avons passé le reste de la soirée collés l'un à l'autre.
Le vendredi matin je téléphonais à mon boulot pour les prévenir que j'étais un peu fiévreux et que je restais chez moi, pas la peine de contaminer les collègues. Mon patron me dit de bien me reposer et de profiter du WE qui suivait pour me soigner. Marc de son coté fit de même avec son bureau, cela prit plus de temps avec sa secrétaire, quelques rendez vous à reporter.
Nous avons passé le vendredi entier, seuls tous les deux...
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
9 notes · View notes
Text
Elle a jeté son esprit et son éclat sur moi et j´ai écris sur ses pensées et j'ai deviné toute la sensibilité qu'il y avait derrière ses petits stratagèmes.
Mais qui j´étais pour savoir pour la décrire à qui saurait l'aimer.
Fiévreuse de désirs où tes pensées sont la représentaton de tes envies, tes douces courbes interminables qui font de ton corps de femme, la passion de l'homme amoureux.
Tu es ce paysage méritant toute les intentions portées qu'il n'en finit pas de te découvrir car dans l´essence de ta volupté et l´effervescence de ton esprit charnel, chaques nouveaux gestes décrivent une générosité de la déraison
Élixir de désir, cette invitation des sens est une émotion particulière orchestrée par la rareté de tes envies, là où celles qui m´enchaîne à Toi dans la ferveur du plaisir.
Quintessence de passion, le frisson d'un éffleurement provoque une frénésie sensorielle où ta rareté sera ta plus forte valeur.
©️copyright – tous droits réservés SensuElle'ment Toi
Tumblr media
7 notes · View notes
t-marveland · 2 years
Text
𝐒𝐡𝐢𝐧𝐠𝐞𝐤𝐢 𝐍𝐨 𝐊𝐲𝐨𝐣𝐢𝐧 | Armin Arlelt
Tumblr media Tumblr media
ᵈʳᵃʷⁱⁿᵍ ᵐᵃᵈᵉ ᵇʸ ʰᵃʲⁱᵐᵉ ⁱˢᵃʸᵃᵐᵃ
𝐓𝐈𝐌𝐈𝐃𝐄
Armin Arlelt x Reader
Warnings : aucun
Mots : 914
Masterlist
Tumblr media
❝ kisushite...❞
    À CHAQUE ENTRAINEMENT, tu tenais à te battre avec Annie dans l'espoir de gagner au moins une fois, mais l'issue du combat était toujours la même. La victoire allait chez Annie et la défaite te revenait.
    Aujourd'hui n'était d'ailleurs pas une exception.
    ❝━ Hey ! Annie ! Viens te battre !❞
    Elle se tourna vers toi avec son éternel visage neutre.
    ❝━ Ça recommence... Râla Jean.❞
    Malheureusement pour lui, tu l'avais entendu.
    ❝━ Toi, tête de cheval, on t'a pas sonné. Rétorquas-tu légèrement en colère.
━ T'as dit quoi là ?
━ Je croyais que les chevaux avaient une bonne ouïe.❞
    Tout le monde rigola et certains en rajoutèrent une couche rendant Jean rouge de gêne et de colère.
    ❝━ Tu sais très bien qu'il faut pas l'embêter quand elle s'entraîne. Dit gentiment Armin.❞
    Jean ne répondit rien et se contenta de râler dans son coin.
    De ton côté, tu te faisais encore une fois battre à plate couture par la blonde. Certains pourraient penser qu'à force, tu démoraliserais, mais c'était tout le contraire, ta défaite te motivait à continuer à t'entraîner durement.
    Tu étais là les fesses sur le sol lorsqu'Armin se rapprocha de toi. Il s'accroupit et posa timidement sa main sur ton dos.
    ❝━ T'en fais pas (T/P), tu vas y arriver. Tenta-t-il pour te rassurer.❞
    Tu levas la tête et lui souris largement ce qui le fit rougir et détourner les yeux.
    ❝━ Allons nous promener... Dit-il en te tendant sa main que tu pris avec joie.❞
    Vous partîtes en direction de la forêt main de la main en silence sous les regards des autres recrus. Cela faisait plus d'une semaine qu'Armin avait eu le courage de se confesser et tu avais accepté ses sentiments, lui disant même qu'ils étaient réciproques. C'était encore récent et votre timidité vis-à-vis de l'autre était encore présente. Vous vous contentiez de vous enlacer ou de vous tenir la main, mais vous ne vous étiez pas encore embrassé. Tu ne réfléchissais pas vraiment à ça tant que tu te sentais bien et aimer avec lui, c'était tout ce qu'il comptait.
    La journée passa et tu ne sentais plus tes membres. Les courbatures du lendemain allaient être compliquées.
    Lorsque tu rentras dans le réfectoire, tu allas t'asseoir à ta table habituelle. Tu avais l'habitude d'arriver tôt alors généralement, tu étais seule et les autres membres te rejoignaient au fur et à mesure.
    Rapidement, le bruit envahit la pièce et la table fut vite remplie. Lorsque tu vis Armin arriver avec Eren, tes yeux brillèrent et tu lui souris gentiment. Il te rendit un sourire timide et alla s'installer avec son meilleur ami.
    ❝━ Alors avec (T/P) ? Vous vous êtes embrassé ? Demanda Eren à son meilleur ami avec un sourire narquois.❞
    Le blond se sentit chauffer de l'intérieur et trouva son assiette très intéressante tout à coup.
    ❝━ T'es pas obligé de m'en parler, si tu veux pas. Je suis juste curieux, c'est tout... Le rassura Eren.
━ On s'est pas encore embrassé. Bégaya doucement Armin, gêné.❞
    Eren s'y attendait un peu. Après tout, il connaissait Armin depuis toujours et il le savait très timide.
    ❝━ J-je n'ai pas encore trouvé le bon m-moment. Ajouta Armin en te regardant au loin.
━ Tu le trouveras. J'en suis sûr. Dit Eren en te lançant également un regard.❞
    Une exploration en dehors des murs avait été annoncée par le major Erwin. Elle était prévue pour dans cinq jours et la tension commençait à monter. Le bataillon d'exploration était malheureusement connu pour son faible taux de survie et cela ne rassurait personne.
    Tu continuais à te battre avec Annie, tous les jours, et à te faire battre, mais tu avais remarqué de légers progrès que tu espérais utiles pour les jours à venir. Armin était également tendu. Il n'avait pas confiance en lui et voulait te protéger à tout prix. Il ne se pensait pas capable de réussir et avait peur de ne pas revenir. Tu avais remarqué son changement de comportement ces derniers jours et tentais de l'aider du mieux que tu pouvais malgré ton angoisse également présente.
    ❝━ J'ai peur. T'avait-il finalement avoué.
━ Moi aussi.❞
    Il y eut un silence entre vous deux.
    ❝━ Je ne veux pas te perdre (T/P). Pas maintenant...
    ━ Jamais. Le coupas-tu.❞
    Tu le pris dans tes bras et collas ta tête contre sa poitrine pour le rassurer.
    ❝━ On va réussir Armin. J'en suis sûr.❞
    Tu levais la tête vers lui et vos yeux se croisèrent. C'était le moment qu'il attendait depuis qu'il était tombé amoureux de toi.
    ❝━ (T/P), puis-je t'embrasser ?❞
    Tu souris tendrement et acquiesças avec joie.
    Il se sentit léger tout à coup et posa ses mains sur tes joues. Tandis qu'il s'approchait de plus en plus de ton visage, vos yeux se fermèrent de manière synchronisée. Tout était au ralenti, tu sentais son souffle contre ton nez, ton cœur battre plus fort et ses mains trembler légèrement. Finalement, ses lèvres touchèrent délicatement les tiennes. Le baiser était innocent et ne dura que quelques secondes durant lesquelles vous vous étiez senti libéré de tout. Après ça, Armin posa son front contre le tien, les yeux fermés.
    ❝━ Il ne nous arrivera rien. J'ai confiance en nous.❞
Tumblr media
5 notes · View notes
la-fee-rit · 24 days
Text
J aurai voulu me jetter dans tes bras . Quelle étrange expression se jetter dans les bras de quelqu'un . C est comme si tes bras étaient la seul chose qui pouvait m accueillir à ce moment là.
Ne pouvant pas croiser ton regard de peur que tu vois mes larmes se fixer au bord de mes yeux , prêtent à rouler sur mes joues . Elles sont funambules et s écrasent en torrent quand je te vois t en aller.
C était écrit depuis le début, tu n étais pas fait pour rester et moi pas faite pour être aimée.
Je n aurai plus l occasion de te remercier pour la jolie histoire que tu m as fait vivre. Tu m'as appris que même si je suis pas parfaite , même si je suis bancale je peux être une femme respectable et respectée pour ce que je suis.
J ai le droit d être une fée c est comme ça que je veux vivre .
Merci mon loup , j espère que dans ta tanière tu trouveras un peu plus la paix. 🧚‍♂️
Tumblr media
PS: tu me manques déjà
1 note · View note
kaleidosc0p · 1 month
Text
Hier j étais vraiment pas dans une bonne phase, un fantôme le type, mort vivant ou mort tout court. Je suis bien rester 4h dans ce fauteuil rouge à écouter mes musiques dans mon casque et à me retenir de chialer. ( y avait Al. Et An. Dans l appart ) Bon spoiler ça a pas vraiment fonctionner j ai pleurer comme une fontaine en faisant la vaisselle, je crois que c étais trop, tout été trop et je pouvais vraiment pas faire autrement. En vrai j étais capable de me faire beaucoup de mal sur le moment jsp c est mega impulsif mais j ai envie de me frapper hyper fort et de planter la lame super profond dans mon corps. Comme une pulsion qui deviens de plus en plus forte et en vrai la honte. Je sais même pas me contrôler. Quand j étais avec An. Et qu’iel a un peut essayer de me parler j’y pensais je voulais me foutre une grosse baffe, j’y pensais, j y pensais et à un moment je l’ai fait et ça m’a fait du bien. Le truc c est que y a des règles et que je n’ai pas respecté une règle importante qui est : ne jamais ce frapper devant des gens (surtout des gens proches) car déjà ça peut être très choquant pour elleux mais ensuite parce que je ne veut pas attirer l attention sur ce genre d’impulsion. Bon après que je me soit baffer j ai tout de suite culpabiliser parce sue j ai vu les yeux de An. qui me regarder en mode «  mais Quesqui vas pas ? Arrête de faire ça tu pourrais me parler plustot. Le pire c est qu iel a raison mais j ai pas assez de courage pour parler, tout ce mélange dans ma tête et j ai l’impression que je suis dans cette état pour rien de spéciale ou pour plein de petits trucs qui s accumulent. C est ridicule.
Hier j étais comme plus vraiment la. Je me suis réveillé et là première pensée qui m’est venu c est : non pas encore une journée, pitié laissez moi me reposer.
Je suis même pas vraiment satisfait de ce que j ai écrit je trouve encore que j arrive vraiment jamais à expliquer ce que je veut dire. Hmmm faut que je me concentre plus la prochaine fois.
0 notes
christophe76460 · 2 months
Text
Tumblr media
Nous sommes libre de nos choix … nous sommes libre d’être libre … c’est encore un choix … nous sommes libre pour accepter la douceur et la violence …… oui notre vie nous amènera à des choix différent … mais pour tous …notre mort sera notre fin sur terre …avec des richesses qui rouilleront ou sans richesse mais nous sommes toujours libres de nos choix …… je n ai pas de richesse …j’ai de quoi vivre 💥💥 et je vis toujours … chichement …… j’ai eu des jours heureux …sans rendre grâce …… croyant que cela fait parti de ma vie …… et que c’était mon gain …… j’ai vécu mon enfance avec des parents vaillants et bons …… des grands parents qui vivaient durement la terre …… je n ‘avais pas conscience que cela c’était une richesse d’âme …alors oui,nous avons tous et toutes une vie différente ……qu’allons nous en faire c ‘est la question …? J’ai eu 6 enfants … j ‘ignorais que cela aussi était une grâce…… …puis la mort a effleurée mon esprit … et là des questions se sont posées dans mon esprit …… pourquoi naître et donner la vie si je n’ai que la mort à offrir à mes enfants …cela me conduisait également à moi même …… chacun a un jour un choix à faire …… j’ai cherché …… je me suis posée des milliers de questions … de confession religieuse … cette vie me convenait … mais l’enfant a grandi 💥💥 et tout cela me semblait une prison « choix respectueux de mes parents …… et les autres étaient fières « d’être « catho » religion universelle …… moi bizarrement cela ne me convenait plus et pas …… j’ai rencontré le seigneur… j’ai rencontré sincèrement celui qui m’a montré le chemin de la vie …… en lisant sa parole …… tout le monde connaît son nom … mais personne ne connaît ses paroles …… la bible était perçue comme secte …… moi je l ai vécu comme une rencontre d’amour ……j’ai accepté de le suivre ,puisqu il disait « je suis le chemin la vérité et la vie … j’avais trouvé les réponses à mes questions …… la foi « je n ‘appartiens qu’à lui « cela ne fait pas de moi,une personne extraordinaire … mais une personne pardonnée …pour ces erreurs … je mourrai … mais ce sera mon corps qui mourra « car mon âme et mon cœur ❤️ ne mourront pas … c est cela que nous fêtons … la résurrection de jésus … il est mort pour nous offrir la vie … éternelle …aucune religion aucune secte ne pourra vous accompagner au dernier jour de votre vie …… mon seigneur celui à qui j’ai offert ma vie lui sera là pour me conduire de l’autre côté de la rivière pour enfin vivre heureuse …fini les larmes … je verrai mon DIEU sur le trône … je rencontrai le vrai bonheur Car je vivrai se que j ai lu « le chemin. La vérité et la vie … car nul ne vient au père que par lui,…… toutes mes pensées s éclairciront « il n y aura plus aucun mystère « je serais arrivée chez moi…… je comprendrai, » que sur la terre je n étais que de passage …… et je rentrerai dans le royaume de DIEU … ce royaume qu’il promet à tous « mais pour cela il faut naître de nouveau …tout recommencer… balayer notre vie passée …… et lui dire avec nos mots « je suis ton enfant « pardon de ne pas avoir compris le message du salut «
Jésus a tout payé sur la croix 💥❤️💥❤️❤️merci père
0 notes
yes-bernie-stuff · 3 months
Text
Tumblr media
Un Dieu Unique Et Véritable 22/02/2024
Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Genèse 1.1
On pense que c’est Moïse qui a écrit ces mots, au XVème siècle av. J.-C. À l’époque de l’Égypte des Pharaons, de la mégapole de Babylone, de l’empire hittite, de l’Inde des épopées védiques, deux siècles avant l’époque supposée de la Guerre de Troie. Au temps des mythologies et de la guerre avec des archers montés sur des chars. Quelle bombe !
Pour la première fois, un auteur pose l’existence d’un Créateur, antérieur à tout. Il ne se base pas sur l’existence fondamentale de deux éléments contraires, qui auraient toujours été là, générant un dieu par une quelconque réaction « chimique ». Ni d’un chaos bouillonnant originel qui aurait toujours existé, et d’où émerge l’être qui mettra de l’ordre.
Non : il écrit que cet être précède toute chose, que c’est lui qui a créé, de sa seule volonté, les éléments primordiaux. Les conséquences logiques sont gigantesques : ça veut dire que Dieu est antérieur même à toute forme de logique, de loi naturelle, même du temps et de l’espace. Il est le Créateur, il est insaisissable à l’entendement humain.
Voilà en quoi ce Dieu de la Bible est unique !
Lionel Cavan
__________________ Lecture proposée : Livre de Job, chapitre 38, versets 4 et 5.
4 Où étais-tu quand je fondais la terre? Dis-le, si tu as de l'intelligence.
5 Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu? Ou qui a étendu sur elle le cordeau?
0 notes
solistaire · 4 months
Text
diabolik lovers: haunted dark bridal — ayato [dark 05]
Tumblr media
——La scène débute à l'infirmerie de l'école.
Yui : Il y a quelqu’un ?
(Hm ? On dirait que l’infirmière n’est pas là...)
Bon, ce n’est pas grave. Ce n’est qu’une petite égratignure. Je peux la soigner moi-même.
(J’ai trébuché sans raison... Ce n’est pas quelque chose qui m’arrive souvent. Je suis peut-être un peu anémiée après tout...)
Voyons voir, du désinfectant, du désinfectant...
??? : … J’ai senti du sang.
Yui : Aah !
Ayato : Toi... Tu t’es blessée !?
Yui : A-Ayato-kun, c’est toi... Tu m’as fait peur.
Ayato : Je t’ai demandé si tu étais blessée !
Yui : O-Oui... Je suis tombée en cours de sport...
Ayato : Tch, et tu pavanes ton sang sans mon accord...
Yui : Ce n’est pas comme si je l’avais voulu...
Ayato : Viens là. Je vais te soigner.
Yui : Eh ? Ce n’est pas la peine, je peux m’en occuper.
Ayato : Tais-toi et assieds-toi !
——Ayato appuie sur les épaules de Yui pour la forcer à s’asseoir.
Yui : Ah !
——Ayato renifle l’odeur du sang.
Ayato : Ici ?
Yui : H-Hey, hey ! Ne remonte pas ma jupe aussi haut, tu peux déjà bien voir la plaie...!
Ayato : La ferme. Tiens-toi bien.
Yui : Ah... Le désinfectant est là-bas...
Ayato : Pas besoin.
Yui : Hein ?
Tumblr media
Ayato : … Nn...
Yui : Eh !? Ayato-kun !? Je n’ai pas encore nettoyé la plaie, elle est sale...!
Ayato : Nn... Ack, ça a un goût de terre...
Yui : C-C’est ce que je viens de t’expliquer... On peut utiliser le robinet pour la nettoyer.
Ayato : Comme si j’allais prendre le risque de gâcher ton sang en le mélangeant à de l’eau.
—Je gâcherai pas la moindre goutte. Nn...
Yui : (Ah, ça chatouille...!)
Ayato : Nn...
Yui : Aah !
Ayato : Haha, maintenant qu’elle est propre, le sang s’écoule mieux.
Yui : (J’ai fini par lui donner mon sang à nouveau, au final...)
(Mais au moins, la plaie est propre désormais.)
Ayato-kun...
Ayato : … Quoi ?
➛ Merci (♥) Yui : Merci. Ayato : … Hein ? Yui : —Tu m’as soignée, n’est-ce pas ? Alors merci. Ayato : Je vois pas de quoi tu parles. Je m’assure simplement que ma nourriture ne soit pas gâchée. Yui : (Hehe, je crois qu’il a du mal à se l’avouer...)
➛ Attends, s’il te plaît Ayato : … Haa ? Yui : Je suis souvent anémiée, ces derniers temps... Je ne voudrais pas prendre le risque de tomber à nouveau. Ayato : Hah, comme si j’en avais quelque chose à faire. Yui : Mais... Ayato : Y a pas de mais qui tienne ! Je mange quand j’ai faim. Mon repas n’a pas à se plaindre ! Yui : (Pourquoi est-ce qu’il ne veut jamais m’écouter !?)
Ayato : Allez, donne-moi plus de sang.
Yui : (Ah, ça chatouille vraiment...!)
(Mais je suppose que c’est mieux que de se faire mordre... n’est-ce pas ?)
Ayato : Nnn...
Yui : (Ah, m-mais quand même, se faire lécher le genou par un garçon est vraiment embarrassant...)
Ayato : … *lèche*
Nn...
Yui : Ah...!? H-Hey ! Il n’y a pas de plaie ici...
(S-Sa langue remonte de plus en plus haut...!)
Ayato : Je me suis lassé de ton genou.
Yui : Aah, a-arrête ! Ici, c’est interdit...!
—— Yui tente de lui donner un coup de genou.
Ayato : Wow !
Qu’est-ce que tu fous !?
Yui : C-C’est parce que, tu essayais de lécher mes cuisses...!
Ayato : Je t’ai soignée, nan ? J’ai pas le droit à une récompense ?
Allez, arrête de te cacher. Relève un peu ta jupe.
Yui : J-Je t’ai déjà récompensé en te laissant boire mon sang !
Ayato : Pas suffisant.
Yui : N-Non ! J’ai dit non !
Ayato : Tch, pourquoi tu fais la vierge effarouchée ?
Yui : C-Ce n’est pas le problème !
(Je n’ai jamais de répit...!)
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
ㅤㅤㅤ[dark 04]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 06]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
0 notes
Text
Bleu lagon (jour 3)
"L'innocence perdue un beau jour nous revient, comme la mélancolie de nos jeux interdits." ces mots tapent, cognent, détonnent et résonnent dans mon esprit comme le font la brume et la tempête qui entourent mon coeur. C'est lui qui m'avait chanté cette chanson, que je trouvais belle, à l'époque. Il y a plus de vingt ans. Jeux interdits. 
Je jouais avec lui, il m'apprenait tellement de choses. Moi qui me sentait enfant unique, avec lui je me sentais moins seule, je me sentais en vie. Je me sentais écoutée, protégée. Il m'emmena une fois, pour la première fois, dans ce lagon bleu d'une beauté incroyable, de celles qui vous coupent le souffle et éblouit vos yeux à jamais.
C'est là qu'il m'apprit l'un de nos premiers jeux. Il me disait de ne pas avoir peur, que c'était normal. Que tout ça, nos visites ici se transformeraient en tradition. Ce serait notre échappatoire à la réalité. Notre petit coin de liberté. Qu'il ne fallait pas avoir peur. Que tout se passerait bien, mais que cela devrait rester entre nous. Que c'était notre jeu à nous. J'étais privilégiée, j'étais spéciale, j'étais unique. Que des petites filles comme moi, il n'y en avait pas beaucoup. Il savait que je me sentais mise de côté, mal aimée et que je ne demandais qu'un peu de compassion, d'affection. 
Alors pourquoi me sentais-je en danger lorsque le jeu avait débuté ? Pourquoi avais-je ressenti que j'étais v��ritablement seule ? Que même si je ne voulais pas jouer à ce jeu-ci, j'y étais obligée ? On s'aimait, il disait. C'était normal, disait-il. Mais ça n'en avait pas l'air. Mais personne ne m'aimait autant que lui. Personne ne me donnait la sécurité que je voulais, en général. Alors, au fond, peut-être que tout ça était normal. Peut-être était-ce juste un jeu auquel beaucoup d'autres enfants jouaient et que je ne le savais pas. Parce qu'il ne fallait pas en parler. 
C'était la première fois. Ce n'était pas la dernière. On retournait toujours au lagon. Il me traitait comme sa petite protégée, sa petite princesse. Il était toujours là. Il l'a été toute ma vie. J'ai gardé le secret auprès de ma famille pendant longtemps. Jusqu'à ce que je rencontre mon premier amour. Jusqu'à ce qu'il me demande et s'attende à ce genre de choses, à son tour. Il avait du y jouer auparavant lui aussi. Il aimait ces jeux avec moi. Moi, on ne m'avait jamais demandé mon avis. C'était sans doutes normal.
Je l'ai cru pendant longtemps. Trop longtemps. Je détestais ça. Mais il fallait le faire. Je n'avais jamais aimé, je n'avais souhaité que ça arrive, ni avec lui, ni avec ce garçon, ni avec personne. J'en étais malade. J'ai échappé à ces sujets de conversation pendant longtemps. Jusqu'à ce que je comprenne vraiment. Jusqu'à ce que j'ose m'y confronter. Jusqu'à ce que je daigne ouvrir les yeux. Jusqu'à ce que je comprenne. Et j'ai tout compris.
Et quand j'ai compris, c'était trop. C'était encore pire. Alors, je ne voulais plus jamais qu'un homme ne me touche. Je refusais catégoriquement qu'on pose la main sur moi. On me disait coincée, frigide, prude, que j'allais finir seule. L'amour, je n'y croyais pas. La confiance non plus. Alors, je me suis isolée. J'ai cherché à comprendre ce que je devais faire, mais rien ne me semblait juste. Qu'est-ce-que je connaissais à la justice, à l'amour, à la confiance ? Rien. Je n'avais pas connu ces mots, finalement.
Aujourd'hui, il est parti. Je continuais de le voir, malgré moi, beaucoup trop souvent. Je faisais de mon mieux pour essayer de le répugner, de le dégoûter de moi-même. De l'éloigner, de m'éloigner. Je fuyais les hommes. J'en avais peur. Je leur souhaitais du mal. Parce que moi, on ne m'avait jamais souhaité de bien. On avait profité de mon corps d'enfant. Mon corps d'adolescente. Mon corps de femme. J'étais un objet, une possession, un réceptacle, une poupée qu'on pouvait prendre et jeter, réutiliser à l'infini. 
Mais celui qui a initié ces jeux est mort et sera bientôt brûlé dans son futur habitat de bois. Et ce jour-là, je parlerai. Et ce jour-là, je dirais tout. Puis je partirai. Je retournai au bleu lagon. C'est là que tout a commencé, et c'est là que tout doit se finir. C'est là que cet immense jouet qu'a été mon corps, le jeu qu'a été ma vie, devra finir. Depuis le lagon, la beauté n'a jamais été la même. La laideur se trouve partout. Alors, je ne veux plus vivre dans la méfiance et la peur. Au plus noir de la nuit, de nos jeux interdits.
1 note · View note
dixvinsblog · 6 months
Text
Annick du Patys - Jardin d'Éden
C’était un merveilleux jardin fleuriDe milliers de roses d’or grisIl avait plu la veille, décorDe scène presqu’ irréel. Je cherchais ton coeur,Peut-être oublié sur le mur porteurDe notre amour, ou suspendu comme le filDe l’araignée, parsemé de perles de rosée. Je ne le trouvais pas,J’ étais pourtant sûre qu’il était là,Caché derrière un buisson ardentBrûlant d’amour pour le premier amant. Mais…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
homomenhommes · 4 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 81
Jeudi,
Emma m'attendait avec impatience et anxiété. J'avais été bref lorsque j'avais décommandé notre précédente rencontre.
Alors que je rentrais directement la Z8 au garage, (en plus de la voiture j'ai les Bips qui vont avec), je l'ai trouvé plantée à coté de ma portière. Une fois sorti je l'ai prise dans mes bras et l'ai embrassé. Rassurée elle m'a demandé ce que j'avais eu. Brèves explications, elle me confirme que de son coté elle a beaucoup d'affection pour moi et m'ébouriffe les cheveux.
Elle me cherche ! je la prend dans mes bras, la soulève du sol et poussant les portes, traverse la maison jusqu'à la piscine. Elle se débat...mollement. Arrivé au bord, je nous jette à l'eau (après avoir quitté les chaussures rapport au liner). Cris , bataille, plongeons sous l'eau et tasses bues, nous sommes hors d'halène sur le bord.
Elle me demande comment je compte repartir. J'ai pensé à rien ! je n'ai pas de rechange !! on se déshabille et en peignoirs nous allons mettre tous mes vêtements au sèche linge.
Une fois le hublot fermé, je reprend là ou j'en étais. Ce coup ci direction sa chambre.
Jetée sur le lit, le peignoir s'ouvre et dévoile les courbes de son corps. Je reste quelques instants à la regarder et me fait la remarque qu'elle est vraiment bien foutue. Puis je laisse mon peignoir glisser au sol et m'allonge sur elle. Nous nous embrassons. Je glisse sur sa peau pour attaquer ses seins, m'attarde dessus quelques instants avant de lui rouler une pelle plus bas, ma langue jouant avec son clitoris. L'effet est immédiat, ses deux mains viennent se plaquer sur ma tête pour m'écraser contre sa chatte. Je me dégage pour lui demander innocemment si je lui ai manqué. Elle me re plaque le nez dans son vagin tout en me disant " oui " en ajoutant qu'en plus elle avait acheté un nouveau " jouet ". Je me redresse et me couche à ses cotés bien décidé à en savoir plus. Pour maintenir la pression, j'ai deux doigts qui s'enfonce dans son vagin et la paume de la main qui masse son clito. Je la questionne. Elle refuse de parler. Je penche la tête, attrape des lèvres le premier téton à ma portée. Je suce, toujours rien ! je mordille, elle halète ! j'active mes doigts et lui donne son premier orgasme. Elle me tape, me disant que j'ai triché car je sais pertinemment que la double stimulation - vagin et téton - la fait partir ! Elle me renverse sur le dos et s'attaque à ma queue. Elle suce de mieux en mieux (moins bien que Ric ou Jean quand même !). Je la laisse faire. Elle descend de mon gland vers les couilles et me les lèche, gobe revenant régulièrement coiffer ma bite. Je savoure ce moment ne pensant à rien d'autre qu'aux excitations provenant de cette partie de mon corps. C'est dans un de ces moments là (quand elle me suce la bite) que je sens un de ses doigts couvert de salive me masser la rondelle. Je me détend et m'ouvre. Elle ne tarde pas à s'en apercevoir et s'enfile dans mon cul. C'est trop bon. Elle me demande de relever mes jambes. Je les plie sur mon ventre et les mains sous les genoux tiens la position. Elle dispose maintenant de mon service trois pièces glissé entre mes cuisses et de l'accès à mon trou. Elle me lèche le trou avec art. appliquant de grands coups de langue plats puis pointant cette dernière pour forcer l'entrée. Ça m'excite bien et je m'ouvre encore plus. Je sens un puis deux de ses doigts plein de gel lubrifiant me pénétrer. C'est bon car pendant ce temps la elle àa repris mon gland en bouche et l'agace avec ses dents. Ses doigts me quittent et je la sens se tortiller et j'entend des boucles de ceintures cliqueter. Comme je veux me relever, elle me dit non renforçant son invitation d'un début de morsure de ma bite. J'obtempère ! Dans ma position j ne vois que le plafond. Elle se redresse et je sens soudain contre ma rondelle la rigidité d'un gland synthétique. Comme elle vient me prendre les chevilles de ses mains, je devine un gode ceinture ! voilà la nouveauté. Je la laisse faire et elle me pousse dedans un engin plus gros que son gode habituel. Elle me pénètre bien, essayant de m'enculer comme moi même je le lui fais. Il doit bien faire dans les dimensions de Marc ! j'aime bien !!
Alors qu'elle arrive au fond, je donne un petit coup de cul pour en être bien sûr. J'écarte mes jambes et elle me tombe dessus. Je relève la tête et nous nous roulons un bon patin. Je referme mes jambes sur ses reins et la coince contre moi. Elle réagit sexuellement. Je lui demande si c'est un gode ceinture double, elle me souffle un oui. Pendant qu'elle m'encule avec un gros gode dont la base écrase son clitoris, un autre s'enfonce dans son vagin. Nous jouons tous les deux un bon moment avec, explorant la gamme des stimulis qu'il provoque. Pour moi c'est un bon gode, Emma, elle se trouve excité simultanément et alternativement par son vagin et son clitoris. Je la laisse m'enculer un moment mais me retiens de jouir. J'ai décidé que ce sera dans son cul à elle. Comme elle ralentit ses va et viens, fatigue musculaire de mouvements inhabituels, je l'expulse de moi. Je me glisse et me retrouve dans son dos. Elle veut se tourner mais je la bloque à 4 pattes, c'est à mon tour et elle l'a bien compris. Je me kpote, la lubrifie un minimum et mes pouces écartant ses deux fesses, ej point son anus et m'enfonce dedans. Son anus me serre bien. Je sens le gode qu'elle à dans le vagin et suis surpris de la taille. Il est assez semblable à celui qui m'a enculé. Je passe une main et empoigne le faux sexe. Comme j'arrive à coller mes couilles contre celle en plastic, je branle le gode, enfonçant l'autre et écrasant par la même occasion le clitoris. J'entend un gémissement, elle a l'air d'aimer ça ! je la lime doucement. Je la redresse contre moi et mon autre main trouve place sur un sein. Dans cette configuration elle ne tient pas longtemps et elle jouit, spasmant violemment. Je resserre mes bras sur leurs points d'ancrage et me vide dans la kpote. Nous nous écroulons sur le lit. J'attend de commencer à débander pour déculer. La kpote pleine rejoint le cendrier sur la table basse. Puis je lui retire le nouveau jouet. Il a bien rempli son office ! il était temps, tout le gel avait été bouffé par son vagin ! je me couvre les doigts de gel et masse très doucement sa chatte. En plus de réhydrater ses muqueuses, ça la fait redescendre en douceur.
Nous somnolons une bonne demi heure ! ensemble sous la douche, nous discutons des effets du nouveau jouet. Elle me dit avoir pris un plaisir jusque là inconnu. C'est un peu vexant quand même, je pensais être meilleur qu'un bout de plastique !! mais elle me rassure en me disant que c'était quand j'étais en elle que c'avait été le summum. Ouf ! De mon coté je lui avouais que de me faire saillir par elle ajoutais une perversité nouvelle et très excitante intellectuellement.
Avant de partir je me remontais d'un Red Bull tout droit sorti de son frigo. La journée était loin d'être finie et Marc serait sûrement impatient de me montrer son " affection ".
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
4 notes · View notes
newmic · 10 months
Video
youtube
Barbara Ma Plus Belle Histoire d'Amour 1967 (stéréo)
Paroles de la chanson Ma plus belle histoire d'amour par Barbara
Du plus loin, que me revienne,
L´ombre de mes amours anciennes,
Du plus loin, du premier rendez-vous,
Du temps des premières peines,
Lors, j´avais quinze ans, à peine,
Cœur tout blanc, et griffes aux genoux,
Que ce furent, j´étais précoce,
De tendres amours de gosse,
Ou les morsures d´un amour fou,
Du plus loin qu´il m´en souvienne,
Si depuis, j´ai dit "je t´aime",
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,
C´est vrai, je ne fus pas sage,
Et j´ai tourné bien des pages,
Sans les lire, blanches, et puis rien dessus,
C´est vrai, je ne fus pas sage,
Et mes guerriers de passage,
A peine vus, déjà disparus,
Mais à travers leur visage,
C´était déjà votre image,
C´était vous déjà et le cœur nu,
Je refaisais mes bagages,
Et poursuivais mon mirage,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,
Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J´allais le cœur fou,
Le vent de décembre,
Me gelait au cou,
Qu´importait décembre,
Si c´était pour vous,
Elle fut longue la route,
Mais je l´ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu´à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l´eus faite à genoux,
Il en eût fallu bien d´autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l´hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j´ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,
Mais tant d'hiver et d'automne
De nuit, de jour, et personne,
Vous n´étiez jamais au rendez-vous,
Et de vous, perdant courage,
Soudain, me prenait la rage,
Mon Dieu, que j´avais besoin de vous,
Que le Diable vous emporte,
D´autres m´ont ouvert leur porte,
Heureuse, je m´en allais loin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,
J´ai pleuré mes larmes,
Mais qu´il me fut doux,
Oh, qu´il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J´ai pleuré d´amour,
Vous souvenez-vous?
Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m´attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C´est là que j´ai compris, tout à coup,
J´avais fini mon voyage,
Et j´ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu´importe ce qu´on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu´importe ce qu´on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous...
*** 
 My most beautiful love story
From the farthest that i can remember,
The shadow of my past loves,
From the farthest, from the first date,
From the time of the first sorrows,
Then, I was fifteen, barely,
The heart all white, and scratches to the knees,
I was precocious,
From tender loves of kids,
Or from the bites of a mad love.
From the further I can remember,If since then, I said "I love you"
My most beautiful love story,It is all of you.
 It is true, I have not been wise,
And I have turned a lot of pages,
Without reading them, white, and with nothing on them,It is true, I have not been wise,
And my warriors of a moment,
Barely seen, already gone,
But through their faces,It was already your picture,
It was already you and, bare-heart,
I was doing my luggage again,I took my road again,
And chased my mirage
,My most beautiful love story,It is all of you
 On the long road,
That led to you,
On the long road,I went with a mad heart,
December windFroze my neck,
But December did not matter,If it was for you. 
It was long the road,
But I have done it, the road,
This one that led,
To you.
And I am not a parjury,If tonight, I swear to all of you,
That for you,
 I could have done it on my knees.
There should have been more,
Than some bad apostles,
Than winter or the snow on my neck,
For me to lose my patience,
And I soothed my violence,
My most beautiful love story,It is all of you. 
But so much winters or autumns,
At day, at night, and no one
You never were at the rendezvous,
And because of you, losing my hope,
Suddenly, the rage was taking me,
My God, how much I needed all of you,
May the devil take you,
Other people have opened me their door,Happy,
 I was leaving away from you,Yes, 
I have been unfaithful to you,
But you still came back,
My most beautiful love story,It is all of you. 
I have cried my tears,
But how sweet,
Oh, how sweet it was,
That first smile from you,And for a tear,
That was from you,I have cried of love
Do you remember ? 
It was a night, in September,
You came to wait for me,
Right here, do you remember ?
Seeing you smile,
Loving you, without saying anything,
It was then that I understood, suddenly,I had finished my journey,
And I put down my luggage,Y
ou had come to the rendezvous,
No matters what one may say,I wanted to say it to you,
Tonight, I am thanking you for all of you,
No matters what one can say,I came here to say to you,
My most beautiful love story,It is you.
  Merci ! ❤
https://lyricstranslate.com
0 notes
chattamm · 10 months
Text
Vous avez gagné ! Je ne retournerai plus jamais à l aca. Je ne ferai plus d artJe sortirai de chez moi seulement en cas de nécessité. Je vais m éloigner encore plus de tout le monde. J utiliserai beaucoup moins mon gsm. Pas de connexion internet à la maison. Bravo ! Il ne fallait vraiment pas me séparer des chats... Et oui..
Prochaine étape, plaintes, tribunal, listes, etc. Je ne vous apporterai pas d oranges.
APPAREMMENT VOUS NE COMPRENEZ PAS ! PAS DE DEMANDES SEXUELLES, DE HARCÈLEMENT MORAL ET SEXUEL NON PLUS !!!!
Vous trouverez facilement des putes dans mon entourage. Ne les confondez pas avec moi ! Je publierai vos prénoms suivis de la première lettre de votre nom de famille à chaque fois que vous recommencerez. Si vous pensez que vous êtes sur cette liste, C est que vous y êtes.
Avec un indice,
SOPHIE B. INSTIT DE DORINNE RECONVERTIE DANS LE COMMERCE
A qui le tour ?
Leo DE..... Fils de Sophie B. Adore se fourrer dans les ennuis... Des oranges, Leo ? 🍊 Ton avenir se précise mon gars... La criminalité. Qui l eut cru ? Je rigole hein. Tous les gens qui te connaissent s'en doutent bien.
NICOLAS G..... T. DE DORINNE. Très connu dans le monde de la construction
Aline D. La tata à Leo. De Dorinne. Merci pour ta gentillesse hein Aline. Comme d hab.
VINCENT LA..... DE CHATELINEAU. VENDRAIT PÈRE ET MÈRE POUR DU FRIC. ANCIENT ÉTUDIANT DE L IPSMa
FREDERIC V. IL Y EN PLUSIEURS MAIS CHACUN SON TOUR. LÀ, C EST CELUI DE FOSSES. GROS PERVERS QUI A L AIR TELLEMENT INNOCENT... HA ! Il en a en STOCK des cochonneries dans sa tête.
BENOÎT PO....... Il n habite pas Tamines mais travaille à Tamines surtout en soirée. La B. D sa grande passion...
Delphine H et son mari William de TEMPLOUX. C est pas la maison de mes anciens patrons que vous avez acheté là ? Une maison dans laquelle j ai passé 10 ans et demi à travailler avec les chats persan. On dit que le hazard n existe pas...
CATHERINE. L. De Fosses la Ville. Qui aurait pu imaginer que t étais une petite vicelarde hein a part tes lunettes. Le bâtiment, c est son domaine.
Puisque t insiste,
OLIVIER Bo___ n. De Tamines. Alors que dire ! A l air si jovial, souriant, gentil, serviable,life is fun, etc. Comme on dit l, l air ne fait pas la chanson ! Pourri jusqu à la moelle, mechencanté gratuite, insultes, agressivité, etc etc etc... Son lot quotidien. Brice de....
STÉPHANIE B. D'Auvelais Travaille avec son mari qui travaille dans l informatique. Calé en piratage Maxou 🤨?
Estelle S. Travaille à Bruxelles pour une société qui s occupe de plein de choses.... L_____o. Juriste.
Nina (la maman =une Del___e? Cousine à Leo et Igor?)
Igor Del___e. Étudiant. UCL ?
Pas bien Igor...
J-C L. Alors lui, ce sera la surprise 😊
Maxime P. On sait pas trop dans quoi il travaille... L immobilier à Charleroi aux dernières nouvelles. Moi, je dirais plutôt, la criminalité avec son copain Leo D.
0 notes
kaleidosc0p · 1 month
Text
Ce soir j ai été voir S. Et je me suis tellement déçu, enfaite j étais pas vraiment la j étais autant là que dans ma tête et les conv avaient beaucoup moins d intérêt et de profondeur, jsp j arrivais pas à être dans le moment présent ou un truc du genre.
J’ai envie de pleurer et de me cogner presque à chaque truc qui n étais pas prévu ou qui m entoure et j ai l impression de devenir fou et de constamment devoir me contrôler parce que c est nimportequoi. Je suis vide et tout plein en même temps. Je me sent nul et seul, mais kel exclu moi même de tout. Lorsque je commence ma journée et que j ouvre les yeux je n’ai pas envie de devoir encore supporter un jour dure ou je n’ai pas ma place là où je suis sensé l avoir. J arrive pas à poser le doigt sur mon problème et ça m’embête tellement. Actuellement je peux pas être dans un autre état que celui là et tout les jours y a un déclencheur et tout les jours je retourne dans ce mood et j arrive pas à faire autrement. Je sais et je suis tellement désolé pour les gens qui m’entoure parce que je doit sûrement beaucoup les ennuyer. Je m’en veut d être comme ça et d agir comme ça mais c est vraiment plus fort que moi. Je sais même pas quoi penser des mots que je viens de vomir sur epapier. Ça ce trouve peut être que dans deux jour ou même demain j aurais complètement changer d avis mais en attendant je coule.
0 notes