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#jacques thollot
jazzplusplus · 1 year
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1965 - Comblain Jazz Festival
John Coltrane 4tet, Woody Herman et son grand orchestre, Nina Simone, Jimmy McGriff, ...
Albert Mangelsdorff, Franco Ambrosetti, Michel Roques, Jacques Thollot, Benoit Quersin, Félix Simtaine, ...
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Amougies Festival 1969 : le « Zeppelin » d’Amougies
52 / Amougies Festival 1969 : le « Zeppelin » d’Amougies
         Le samedi matin, Freddy quitte cette maison en construction et sait qu’il n’y reviendra pas quoiqu’il arrive ; cette espèce de communauté qui reproduit la cellule familiale l’exècre au plus haut point. Et il laisse Marc seul organiser sa collectivité comme il l’entend.
         D’emblée, il se rend au “Zeppelin” comme il le surnomme qui effectivement ressemble vraiment à un OVNI posé au milieu des prés, et les spectateurs à des extra-terrestres…, hippies pour les autochtones. Les vaches s’y sont habituées et broutent le long des bâches.
         En pénétrant dans l’enceinte après les formalités d’entrée, il apprend qu’il y a une autre tente plus petite équipée de rangées de planchers pour dormir dans les sacs de couchages ainsi que de toilettes et de douches et il découvre que des gens sont restés à l’intérieur toute la nuit et certains & certaines y sommeillent encore ; la nuit prochaine il sera des leurs.
         Il pose son sac et s’en va voir les lieux dont le contrôleur lui a parlé.  Au passage, il prend du café dans les camions frites & sandwichs à l’extérieur et se restaure en schneks. Une douche un peu frisquette le requinque définitivement.
         Dans l’après-midi, les concerts reprennent et la foule cette fois arrive en masse.
         Blues Convention fait l’ouverture et se plante :
         «  Décidément, à chaque fois qu’un groupe du Golf Drouot joue, il fait non seulement un bide mais en plus se fait huer ; ils sont même obligés d’arrêter le set avant la fin et de quitter la scène sous les sifflets, râle Fred. »
         Le suivant n’est pas mieux mais il est anglais ; se nomme « Freedom » et s’adresse aux ados du samedi après-midi avec une « Bubble Pop » et vont même jusqu’à demander au public de taper dans les mains et de répéter :
         « One, Two, Three… Banana !
         — Et puis quoi encore ? Au suivant ! se rebelle Freddy. »
         Noah Howard & Frank Wright, se livrent un duel de chiens aux saxos sur une pluie de notes au piano, accompagnés de roulements sur les toms et au-delà…, de Muhammad Ali. Impression de grande liberté pour les musiciens. Impression seulement car ils retombent toujours sur leurs pattes.
         Alexis Korner & New Church, soi-disant le sorcier blanc du blues blanc mais sa discrétion à la guitare annihile tout blues pour du R’n B de studios.
            Don Cherry : jazz orientalisant. Zen. Relaxant & stimulant.
      Retour au jazz dur européen avec Joachim Kühn & Jacques Thollot en déménageur de    syncopes. Musique contemporaine. Jazz Classique. Orientalisant parfois.
         Et puis Pink Floyd que tout le monde attend, Fred compris :  Intro  sur le mi grave à la  guitare,  distorsion  et  reverb  à fond, frappé de manière répétitive, prêt pour le décollage ; puis le mi majeur plaqué et maintenu se perd dans l’écho des galaxies lointaines suivi d’une descente d’un demi-ton pour stabiliser le vaisseau. Et voilà le public parti pour “Astronomy Domine’’.
     Des arpèges aigus descendants semblent évoquer les planètes croisées ou à atteindre. Des accélérations sur les basses suivies d’un lâcher d’accords réverbérants permettent la poursuite du voyage cosmique dans la stratosphère, psychédélique diront certains.
         Ils enchaînent des morceaux moins planants avec chants de Gilmour ou cris angoissants de Waters puis la folie reprend avec “Interstellar Overdrive” où Frank Zappa les rejoints pour une jam-session  en délivrant des solos orientalisants.
         Attaque identique sur le bourdon de la guitare saturée d’écho puis déconnection assurée sur un riff haché descendant. L’envolée spatiale s’accélère tout autant que sur “Astronomy’’ en martelant les cordes basses des accords (deux morceaux de Syd Barrett, se rappelle Fred) puis lâchage sur un accord plaqué, appuyé, contenu, s’évaporant dans l’immensité interstellaire.
         A la longue la fatigue aidant, Fred s’endort la tête dans les étoiles du light show qui a couvert tout le set des Pink Floyd de photos projetées et de protoplasmes gélatineux colorés qui se meuvent doucement, se désagrègent puis se recomposent en d’autres formes sous la chaleur des projecteurs.
         Devant  la  marée  endormie de sacs  de  couchages,  l’Art Ensemble of  Chicago sonne le tocsin à la trompette et le fracas à la batterie. Fred se trouve doublement chagriné comme tout le monde par ce réveil intempestif mais aussi par la jeune fille qui dormant à ses côtés, tous les deux en chien de fusil, était venue se coller et vice & versa contre lui, s’écarte brusquement réalisant sa (ou leurs) méprise (s) inconsciente (s). Ils se retrouvent obligés de prêter l’attention par la « force » des choses. A ce sujet, il est extrêmement difficile pour un gars de parler à une fille qui se déplace en groupe souvent accompagné de garçon, frère ou ami — voire mission impossible à l’instar du Golf Drouot et ses nanas du 16ème.
         Marc se fraie un chemin au milieu des duvets en évitant de marcher sur quelqu’un et s’assoit près de Fred :
         « Ils ont réveillé tout le monde !
      — Oui ! Mais ils ont été à mon avis mal programmé juste après les Pink Floyd et puis à cett’heur’…, ça fait beaucoup !
         — Ce sont pourtant de bons musiciens et ils font une bonne musique mais sont obligés de faire tout ce cirque pour se faire entendre, justifie Marc.
         — Absolument ! Ils m’ont l’air de profs en train d’improviser  dans un cours-atelier.
         — C’est vrai ! Il y en a un qui fait un thème puis les autres jouent dessus.
         — C’est très cool comme musique. Ça explique peut-être que le sax s’est mis à poil en jouant de la guitare en singeant les guitaristes pop car leur musique n’est pas agressive ni violente… aux Etats-Unis, ils ne connaissent que ça alors ils essaient certainement d’y échapper.
         — Mais ils veulent se faire entendre… qu’on les écoute !
         — Oui ! C’est qu’on fait… maintenant qu’on est réveillés ! glisse Fred ironique.
         Après ces pitreries de potaches, ils finissent tous par rejoindre morphée. Marc apparemment avait laissé la « communauté » dans son pavillon puisqu’il avait son sac de couchage mais Fred ne lui posa même pas la question.
         Néanmoins le matin de bonne heure vers les 6h30-7h00, les vigiles ouvrent en grand les bâches entourant le sas d’entrée sur plusieurs mètres provoquant un afflux d’air froid réveillant une bonne partie du public.
         « Qu’est-ce qu’il leur prend ? s’exclame Marc en colère.
         — C’est peut-être pour aérer ? temporise Fred.
         — Mais j’ai envie de dormir ! insiste-t-il.
         Fred voyant la situation s’envenimer car d’autres récriminations se faisaient entendre avec des noms de gros oiseaux, propose :
         — Et bien, viens ! Il y a une autre tente pour dormir avec des planchers. Peut-être, il y a de la place. Allons voir !
         — O.K. ! dit-il en ramassant son sac de couchage et ses affaires.
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amithateasytoforget · 2 years
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Jacques Thollot - Watch Devil Go
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instants-chavires · 2 years
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Les inécoutés des Instants Chavirés. Archives live inédits. - Jac berrocal "Serenity" avec Jacques Thollot, Didier Petit & Rosine Feferman. Le 10.04.1994. (mais pas de trace dans les archives de ce concert..) et manifestement le 09.04.94 à Banlieues Bleues. - Astrolab / Company avec Derek Bailey, Noel Akchote, Guillaume Orti.... Archives K7 de Thierry Madiot.
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ozkar-krapo · 2 years
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Jacques THOLLOT
"Watch Devil go"
(LP. Souffle Continu rcds. 2021 / rec. 1974-75) [FR]
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Jacques Thollot - Watch devil go
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My albums selection for the next confined week ..stay safe , we all gonna die soon :
- Uboa ‎– The Origin Of My Depression 
- In Aeternam Vale - Masse Critique
- Stuzha ‎– Siberian Sketches Pt.II
- Hair Stylistics - Babylon Zimbabwe
- Peace Love & Pitbulls ‎– 3
- Psychic TV ‎– Force The Hand Of Chance
- Hyaena Fierling - Super Flumina Babylonis
- Eleh ‎– Living Space
- Jacques Thollot ‎– Quand Le Son Devient Aigu, Jeter La Girafe À La Mer.
- Various Artists - Shoot And Crucify 
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merzbow-derek · 4 years
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POST-POST-SCRIPTUM 1175
PERCEPTION, Live At The Stadium
Sept ans d'activité effervescente : peu d'ensembles de free jazz peuvent s'enorgueillir d'une telle longévité, surtout avec un personnel aussi stable que celui de Perception. Certes la formation invita quelques musiciens, dont Kent Carter et Jean-Charles Capon, le temps du deuxième opus… Certes la "difficulté d'être" de Siegfried Kessler généra un remplacement temporaire par Manuel Villaroel… Mais pour l'essentiel, c'est le noyau dur à quatre du premier album qui arpenta l'Europe, au gré des concerts, de la Belgique à l'Allemagne et passant par la Norvège, où Perception représenta la France au festival de Molde.
Peu de changements de personnel donc, si ce n'est à la fin, en 1975, une fois le troisième disque finalisé, après le départ du batteur Jean-My Truong qu'il fallut bien remplacer. D'abord par Mino Cinelu, alors dans Opération Rhino et Moravagine, puis par Jacques Thollot, déjà auteur des cultes Jeter la girafe à la mer et Watch Devil Go. Des changements qui n'entamèrent pas l'esprit de Perception, tant l'un comme l'autre surent s'intégrer à un ensemble à l'identité pourtant très forte.
Du passage de Jacques Thollot, aucun disque jusqu'à Live At The Stadium témoignait. Aussi cet enregistrement en public datant de 1977 constitue-t-il une archive précieuse, reflet de recherches toujours aussi singulières et contrastées bien qu'entreprises depuis 1970, dans le sillon du séminal Our Meanings And Our Feelings de Michel Portal. Archive accréditant ce qu'on savait déjà, à savoir que rares furent alors, en Europe, les quartettes à culminer à un tel niveau, en dehors de celui que formaient quasi au même moment, de manière occasionnelle toutefois, Gerd Dudek, Joachim Kühn, Peter Warren et Daniel Humair.
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Seven years of effervescent activity: few free jazz groups can be proud of such longevity, especially with a line-up as stable as that of Perception. Yes, there would be several guest musicians, including Kent Carter and Jean-Charles Capon, on the second album… Yes the "existential problems" of Siegfried Kessler would necessitate him being temporarily replaced by Manuel Villaroel… But for the most part, it was the core quartet of the first album which would tour Europe, through concerts from Belgium to Germany and including Norway where Perception represented France at the Molde festival.
So, few personnel changes then, until towards the end, in 1975, after completing the third album, when drummer Jean-My Truong left and had to be replaced. First by Mino Cinelu, at the time in Opération Rhino and Moravagine, then by Jacques Thollot, already behind the cult albums Jeter la girafe à la mer and Watch Devil Go. These changes did not alter the spirit of Perception, as both were able to integrate a group which nevertheless had such a strong identity.
There was no recorded trace of Jacques Thollot’s time in the group, until Live At The Stadium came to the rescue. So, this live recording from 1977 is a precious archive, displaying unique and contrasting directions which had first begun to be explored in 1970, following the seminal Our Meanings And Our Feelings by Michel Portal. An archive then, which proves what we already knew, that there were few quartets in Europe at the time capable of reaching such a level, other than that formed on an occasional basis, around the same period, by Gerd Dudek, Joachim Kühn, Peter Warren and Daniel Humair.
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lesondesmusicales · 7 years
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Jacques Thollot, Quand le son devient aigu, jeter la girafe à la mer
(via https://www.youtube.com/watch?v=tQtniTunxXQ)
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sunkentreasurecove · 7 years
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theretirementhome · 4 years
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Jacques Thollot - Quiet Days In Prison
Buy it here.
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ib2se · 4 years
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The B:sides-Playlist 2020-02-17 @ Radio Vättervåg 98,5 Mhz
This week: Space Peractio (Futura)
starter: 'B:zväng' TextMix & reading af MrZ Komposition & Produktion af SkåneJokke Lütz [0:41]
01. 'Quand le son devient aigu, jeter la girafe à la mer' from Futura Marge, Vol. 1 af Jacques Thollot [4:51] 02. 'Koku Čuksti' from Visuma Vizošā Tumsa af ZeMe [3:57] 03. 'When Lights Are Low' from Parisian Solos af Jaki Byard [4:36] 04.
Infinitus:
Silentium
Cursus
Peracito
from origo-LPn af Kaja [12:22] ~ albumrelease 1 Mars 2019 ~ Kakafon Records
05. 'Space' from RAGNATELE af Daniela Savoldi [5:36] 06. 'Caloon Blues' from Parisian Concert af Dexter Gordon, Sonny Grey, Georges Arvanitas Trio [10:55] 07. 'Sunrise' af Stu Martin Trio [7:02]
1 jingle incl tune from Kmag #107 af Loopmasters Samples & 2 jingles from B:sides on Spotify
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Veckans BibelVers: En ängel från Herren sade till Filippos: ”Gå nu vid middagstiden ut på vägen som leder från Jerusalem ner till Gaza. Den ligger öde.” Han gick genast. Då kom där en etiopier som var mäktig hoveunuck hos kandake, den etiopiska drottningen, och hade ansvaret för hela hennes skattkammare. Han hade farit till Jerusalem för att tillbe Gud och var nu på väg hem och satt i sin vagn och läste profeten Jesaja. Anden sade till Filippos: ”Gå fram till vagnen och håll dig intill den.” Filippos skyndade fram, och när han hörde mannen läsa profeten Jesaja frågade han: ”Förstår du vad du läser?” – ”Hur skulle jag kunna det utan att någon vägleder mig?” svarade mannen. Och han bad Filippos stiga upp och sätta sig bredvid honom. Skriftstället som han läste var detta: Liksom ett får som leds till slakt, liksom ett lamm som är tyst inför den som klipper det öppnade han inte sin mun. Genom förödmjukelsen blev hans dom upphävd. Vem kan räkna hans efterkommande, när hans liv nu upphöjs från jorden? Hovmannen frågade Filippos: ”Säg mig, vem talar profeten om – sig själv eller någon annan?” Filippos tog då till orda, och med skriftstället som utgångspunkt förkunnade han budskapet om Jesus för honom. När de färdades vägen fram kom de till ett ställe med vatten, och hovmannen sade: ”Här finns vatten. Är det något som hindrar att jag blir döpt?” Han lät stanna vagnen, och båda två, Filippos och hovmannen, steg ner i vattnet, och Filippos döpte honom. När de hade stigit upp ur vattnet ryckte Herrens ande bort Filippos, och hovmannen såg honom inte mer; han fortsatte sin resa, fylld av glädje. Men Filippos, visade det sig, hade kommit till Ashdod, och sedan gick han från stad till stad och förkunnade budskapet tills han kom till Caesarea. ~ Apg 8:26-40 🎧
Drink Espresso - God bless U! /MrZ :)
www.ib2.se Soli Deo Gloria
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  Join Generation XYZ @ gen.xyz 
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  Photo af JANos
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(via https://open.spotify.com/playlist/7um4yhK0fQB2NITZjgMzuk?si=gLMqVYziTtmC63RFRXpy_g)
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atypeekmusic · 2 years
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Jacques Thollot - Cécile [Quand Le Son Devient Aigu, Jeter La Girafe À ...
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Jacques Thollot - Quand le son devient aigu, jeter la girafe a la mer.
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Jacques Thollot
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