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#le père noël a les yeux bleus
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Le père Noël a les yeux bleus (Jean Eustache, 1966)
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communicants · 1 year
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Santa Claus Has Blue Eyes (Jean Eustache, 1966)
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frnndlcs · 1 year
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Le Père Noël a les yeux bleus, Jean Eustache, 1966
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rwpohl · 1 year
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sofya-fanfics · 5 months
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Père Noël Secret
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Damian x Anya
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts sur Tumblr : Père Noël Secret.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Damian avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Damian se dirigea vers le marché de Noël. Il avait passé tout l’après-midi à regarder les boutiques, mais il n’arrivait pas à trouver le cadeau idéal. Il mit sa main dans sa poche et serra le papier qui s’y trouvait. Il soupira. Sur ce papier, le nom d’Anya y était inscrit.
Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Il avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir. Rien ne lui semblait assez bien. Il pourrait lui acheter des cacahuètes ou un goodie de Bondman. Il secoua violemment la tête. C’est n’importe quoi, pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui offrir un cadeau aussi insignifiant. Même s’il était sûr que le goodie de Bondman lui ferait plaisir. Il se demanda qui elle avait tiré au sort. Il avait le secret espoir que se soit son nom, même s’il savait que cela était improbable.
Il arriva au marché de Noël et regarda les différents stands. Rien ne semblait convenir. Il voulait lui offrir le cadeau parfait, mais il commençait à croire qu’il n’existait pas. Il se dirigea vers un stand où plusieurs bijoux étaient déposés. Il écarquilla les yeux en voyant un bijou en particulier. Il s’agissait d’une chaîne en argent et d’un pendentif en verre en forme de bille. À l’intérieur du pendentif, un papillon vert y était gravé.
Il venait de trouver le cadeau idéal pour Anya. Il arrivait parfaitement à l’imaginer avec ce pendentif autour du cou. Il montra au vendeur le pendentif qu’il voulait et paya. Il passa le reste de la journée avec un immense sourire aux lèvres. Il était impatient de donner son cadeau à Anya.
******
Une semaine était passée. Il ne restait plus que quelque heures avant que les cours ne se terminent et que commencent les vacances de Noël. Toute la journée, les élèves de la classe avaient échangé leurs cadeaux, découvrant qui était leur Père Noël secret. Damian n’avait pas reçu de cadeau et il n’avait pas encore donné le sien à Anya.
Il était midi et Anya était seule dans la salle de classe, en train de finir un devoir qu’ils devaient rendre. Toute la matinée, Becky était restée avec elle. Puisqu’elle était seule, c’était maintenant où jamais. Il prit une profonde inspiration et avança vers elle. Anya leva les yeux vers lui, surprise. Le cœur de Damian s’accéléra, ses mains étaient moites. Il se demanda pendant une seconde s’il allait réussir à lui donner le cadeau.
« C’est pour toi. C’est moi ton Père Noël secret. »
Il lui tendit le petit paquet cadeau rectangulaire de couleur bleu clair entouré d’un nœud argenté. Il savait qu’il avait été un peu brusque, mais il était tellement nerveux, qu’il ne savait pas comment s’y prendre. Il n’arrivait pas à agir normalement. Anya accepta le paquet cadeau et l’ouvrit. Elle écarquilla les yeux en découvrant ce qu’il y avait à l’intérieur.
« Si ça ne te plaît pas, je peux t’offrir autre chose. Une figurine de Bondman, par exemple. »
Mais quel idiot, pensa-t-il. Il avait envie de se gifler. Pourquoi est-ce qu’il avait dit ça ? Anya sortit le pendentif du paquet et l’observa.
« C’est magnifique ! S’exclama-t-elle. C’est le plus beau bijoux que j’ai vu. »
Damian rougit. Anya attacha le pendentif autour de son cou. Elle avait un immense sourire aux lèvres et il pouvait voir qu’elle aussi rougissait.
« Moi aussi j’ai quelque chose pour toi. »
Elle prit son sac et fouilla à l’intérieur. Elle sortit un paquet cadeau rouge décoré de dessins de flocons de neige.
« C’est moi ton Père Noël secret. »
Elle lui tendit le cadeau, gênée. C’était la première fois que Damian la voyait si peu sûre d’elle. Il prit le paquet et l’ouvrit. Il y découvrit une écharpe bleue marine. Il la regarda d’un peu plus près et vit qu’elle était faite main. Il écarquilla les yeux. Elle avait tricoté elle-même l’écharpe.
« Je n’avais pas les moyens de t’offrir un cadeau comme tu as l’habitude d’en avoir, dit-elle presque comme si elle s’excusait. Alors je me suis dit que te tricoter cette écharpe serait une bonne idée. »
C’est vrai qu’il avait l’habitude de recevoir des cadeaux qui venaient des plus grandes boutiques de luxes. Mais pourtant, l’écharpe qu’il tenait était le plus beau cadeau qu’on lui avait fait. Elle avait passé du temps pour essayer de lui faire plaisir. C’était la première fois que quelqu’un avait ce genre d’attention pour lui. Cela le touchait. Plus qu’il ne l’aurait cru. Il mit l’écharpe autour de son cou.
« Merci, dit-il. »
Anya lui sourit et Damian remonta l’écharpe sur son nez pour cacher ses joues rouges. Anya avait aimé son cadeau et elle était son Père Noël secret. C’était le plus beau Noël qu’il n’ait jamais passé.
Fin
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masterofbiography · 10 months
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Damon est né le 19 juin 1839 à Mystic Falls, fils de Giuseppe et Lillian Salvatore. Il est le frère aîné de Stefan. Durant son enfance, sa mère tombe extrêmement malade, à cause, de la tuberculose, et son père, un homme strict et inquiétant, envoie leur mère loin de chez eux et c'est là-bas qu'elle meurt. Les deux frères se retrouvent seuls avec leur père, et malgré leur différence d'âge, ils s'entendent à merveille. Damon est loin d'être le fils préféré. En tant qu'humain Damon était un garçon gentil, aimable, doux et respectueux. Il reviendra de la guerre de Sécession en 1864. Un jour durant l'année 1864, Katherine Pierce arrive avec sa servante, Emily Bennett. Damon tombe fou amoureux de Katherine, jeune fille sensuelle, joueuse, au charme irrésistible. Au début, il ignore que Katherine est un vampire fourbe et sans pitié. Elle lui fait boire régulièrement son sang, il accepte sans l'effet de l'hypnose. Alors lorsque Damon se fait tuer par son père en tentant de délivrer Katherine, il se transforme en vampire. Après qu'il ait achevé sa transformation, Damon dit à Stefan qu'il va le faire souffrir pour l'éternité pour l'avoir obligé à terminer sa transition, mais aussi parce qu'il pense que c'est Stefan qui a dénoncé Katherine. En 1953 , Damon est capturé par l'Augustine (organisation secrète faisant des expériences sur les vampires dont Grayson Gilbert est l'un des médecins l'ayant torturé). Là-bas il rencontre Lorenzo , un autre vampire. Au fil du temps il devient son meilleur ami. Enzo met au point un plan pour s'enfuir: L'un des deux boira 2 rations de sang par jour (au lieu d'une seule) pendant une année entière afin d'être assez fort le jour du réveillon de Noël. Pendant la soirée, Damon se libère de ses chaînes et attaque tout le monde mais un incendie se propage. Enzo est toujours coincé dans la cage dont les barreaux sont imprégnées de veine de vénus. Damon tente de libérer son ami, mais en vain. Se rendre compte qu'il ne pouvait pas libérer et craindre que l'Augustine le ramène dans sa cellule, Damon éteint ses émotions et l'abandonne.Damon revient à Mystic Falls dans le but de libérer Katherine (dont il est toujours éperdument amoureux) du tombeau dans lequel il la croit enfermée depuis 1864. Il fait alors la connaissance d'Elena, une adolescente de 17 ans qui ressemble trait pour trait à Katherine. Cette rencontre augmente ses sentiments envers Katherine, il fera alors tout pour trouver le tombeau et la libérer pour s'enfuir avec elle. Cependant, Elena et Stefan se dressent contre son plan, car pour libérer Katherine, il faut libérer les 26 autres vampires enfermés en même temps qu'elle y a plus de 145 ans. Un jour, il parvient avec l'aide d'Elena, de Stefan, de Bonnie et de la grand-mère de celle-ci à entrer dans le tombeau, mais Katherine ne s'y trouve pas. Damon est bouleversé par cette découverte. Il devient plus mature, sociable et protecteur. Lorsque Katherine réapparaît à Mystic Falls et lui annonce qu'elle a toujours été amoureuse que de Stefan, Damon commence à la détester. Il va même participer au plan de Stefan pour tuer Katherine. Brun ténébreux aux yeux bleus et froids, il est sauvage et cruel et adore s'abreuver de sang humain, contrairement à Stefan. Bien qu'il fait passer ses intérêts avant le reste, il n'en reste pas moins proche de son petit frère au point d'en oublier sa promesse de le faire souffrir pour l'éternité. Il enferme de lourds secrets et ses sentiments au fond de lui, sont enfouis très loin dans son esprit, dont il n'a même pas conscience. Je joue Damon avec son caractère de la saison 1, c'est-à-dire sans humanité ou du moins refoulée. Je ne supporte pas le couple Delena alors à moins de jouer divinement vous n'avez aucune chance de former ce couple avec moi. Les jeux avec Damon implique que si il vous tue, le jeu sera terminé.
Joue avec : Bonnie Bennett ; Caroline Forbes
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christophe76460 · 7 months
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03-91 La vocation d’Antoine Court
https://soundcloud.com/jlgaillard/la-vocation-dantoine-court
Les humbles paysans de Villeneuve-de-Berg en Ardèche, se réunissaient en 1713, chez une pieuse veuve huguenote, Marie Court de Gébelin.
La guerre des Camisards venait de finir. Les têtes de leurs derniers chefs venaient de tomber. Au flanc des Cévennes fumaient encore les restes des villages incendiés. Les galères et les prisons regorgeaient de huguenots. Les temples avaient été rasés, 1500 ministres expatriés, les livres de piété et les bibles brûlés. Les fidèles emprisonnés en grand nombre. La potence, les galères, la roue et le bûcher constituaient le destin des protestants.
La détresse de ces paysans s’exprima sur un des premiers sceaux de l’Église du Désert. Il représente la barque des disciples, couverte par les vagues, entourée de l’inscription : « Sauve-nous, Seigneur, nous périssons ! »
Dans la grande cuisine, on se redit à voix basse les dernières paroles du pasteur Homel lors de son supplice sur la roue :
« Mon Dieu, donne-moi la force de tant souffrir ! »
Un jeune homme de 18 ans, au front vaste, couvert d’épais cheveux noirs, aux grands yeux bleus pensifs, faisait la lecture à haute voix. La veille de Noël était arrivée. Autour de la maison, le vent soulevait la neige. Dans la grande cheminée pétillait un feu de bois mort. A travers les rafales, on entendait sonner le carillon de l’église.
—Mère, s’écria le jeune adolescent, les derniers pasteurs sont morts en prison. L’Eglise Protestante de France est perdue, s’il ne se lève pas de nouveaux ministres de l’évangile pour les remplacer. Avec l’aide de Dieu, je serai de ceux-là.
La noble veuve cacha dans ses mains son visage bouleversé. Des sanglots étouffés la secouèrent :
—Mais, mon enfant, reprit-elle à travers ses larmes, le ministère est impossible en ces temps troublés. Rappelle-toi Brousson Rey, Claris... Pourquoi te précipiter vers un martyre inutile. Veux-tu me sacrifier avec toi ?
Pour toute réponse, Antoine sortit la Bible déchirée, et, après en avoir feuilleté les pages jaunies, il lut :
Celui qui aime son père ou sa mère plus que Moi, n’est pas digne de Moi. Matthieu 10 : 37.
A ces paroles, la veuve tomba à genoux. Vaincue, les mains jointes, elle ne put que s’écrier : « Seigneur, il est à toi ».
Ainsi fut décidée la vocation d’Antoine Court.
#vocation #cheveux #visage #martyre #veuve #genoux #mains #jointe #paysant #ministre
Jean-Louis Gaillard
www.365histoires.com
www.jlgaillard.fr
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my--wonderland · 10 months
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Premières fois.
La première fois qu'Erwan Selwyn avait parlé à Camille Abraxas, c'était lors des vacances de Noël, pendant leur cinquième année. Ses parents avaient organisé une réception au manoir Abraxas, et avaient convié les Selwyn. Adonis et Gaïa étaient déjà devenus des Mangemorts, et avaient abandonné leur manoir. Ils voyageaient, tuant sur leur passage des centaines de Sangs-Impurs. Camille, centre de ce bal, faisait tourner les têtes. Il lui avait refusé une danse ; jamais personne n'avait offensée une Abraxas de cette manière. Erwan avait été amusé de l'éclat glacial dans ses yeux bleu clair. - Qu'as-tu dit, Selwyn ? - Non. J'ai dit "non". Mais je peux aussi reformuler ce mot en : jamais. Offusquée, elle l'avait fusillé du regard et était repartie, sa longue robe verte chatoyant à chacun de ses pas. Erwan l'avait suivie du regard, un sourire satisfait aux lèvres. La première fois qu'Erwan Selwyn avait vu Camille Abraxas sourire, c'était en cours de potions, en sixième année. Ils s'étaient choisis en tant que binôme, alors qu'il venait tout juste d’accomplir son premier meurtre. Les Abraxas avaient aussi des tendances à la magie noire, mais cela restaient des rumeurs. Néanmoins, lorsque sa manche avait glissé pour dévoiler son singulier tatouage, la rose noire des Selwyn, les lèvres de Camille s'étaient étirées en un sourire en coin. La première fois qu'Erwan Selwyn avait vu Camille Abraxas pleurer, c'était pendant une soirée au manoir Abraxas. Cette fois, il y avait juste sa famille et la sienne. Le père de Camille souhaitait la marier à Erwan pour la puissance et la richesse de leur famille. Mais Adonis et Gaïa, peu fervents des mariages arrangés - eux-mêmes ayant fait un mariage d'amour - avaient refusé. Camille avait envié l'amour que ses parents portaient à Erwan. La première fois qu'Erwan Selwyn avait vu Camille Abraxas rire, c'était à cette même soirée, lorsqu'il lui avait dit qu'elle n'avait pas besoin d'eux, ni de personne. Amusée par sa réponse, elle avait ri. La première fois qu'Erwan Selwyn avait vu Camille Abraxas vomir, il s'agissait de sang. Un cancer dûes au cigarettes moldues qu'elle fumait en secret. Un cancer qui la dévorait de l'intérieur, au remède mystérieux. Remède finalement trouvé par Cassandra, la soeur d'Erwan, devenue alchimiste. La première fois qu'Erwan Selwyn avait embrassé Camille Abraxas, quelques mois après sa rémission, il s'était alors senti vraiment complet. Comme s'il avait trouvé ce quelque chose, ce morceau de puzzle qui manquait à l'endroit vide de son coeur qui n'avait jamais appris qu'à haïr. Et, au plus profond de son âme divisée par tous les meurtres qu'il avait commis, quelque chose s'est allumé. Subistant à travers les ombres. Et qui le réparait, petit à petit. L'Espoir d'un avenir qu'il pensait condamné...
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gwada2022 · 1 year
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Baptême de plongée pour Noël
Réveil aux aurores, pas de cadeaux dans le dortoir alors je prends mes affaires direction la plage de Leroux, que je n’ai pas eu le temps de faire la veille pour un bain matinal. Même si l’eau est à 27 et que la matin (comme le soir d’ailleurs) c’est le meilleur moment pour ne pas avoir un écart de température, je suis toujours en mode tapette pour piquer une tête avec mon décompte à la con.
Je ne reste pas trop longtemps car dans quelques heures, dans la réserve Cousteau, sur l’îlet du pigeon, je ferai mon baptême de plongée. Alors il est interdit d’être en retard (j’apprendrai par la suite la ponctualité créole 🤣) ! Merci encore Santa, de ce cadeau 😘
Impatient de découvrir cette activité qui m’a toujours intrigué et qui m’a aussi toujours un peu stressé par rapport à l’accident de mon voisin quand j’étais minot.
J’enfile tout l’équipement combinaison, crème solaire, masque et bien évidement les bouteilles. Explication rapide sur le bateau avec les 3/4 gestes importants et je pars en premier. Le temps de prendre mes marques pendant 20 secondes et ma mono , je crois laura dégonfle mon gilet on donc on commence à couler.
Il n’y a pas de photos mais je garde en tête cette couleurs clair du fond marin en contraste avec les couleurs vives des poissons. Je vois du bleu, du vert, du rouge, jaune, orange… un vrai aquarium. J’aurais peut être du me renseigner sur les noms mais j’en prends pleins les yeux. Il y a une atmosphère calme et relaxante qui se dégage. Mais revenons sur les poissons, tous plus beaux les uns que les autres. Le temps d’être à l’aise avec la décompression, de prendre de la confiance et j’essaie de plongée plus profond en respectant les 6 mètres pour essayer de me rapprocher au plus près et même de les toucher.
Les 30 minutes sont terminées et je discute avec Flo, la prof blessée (qui a fait figurante dans sous emprise) et qui me retourne le cerveau pour passer le niveau 1. Pas ici car mon planning est fait mais pourquoi pas en France, j’ai valoo et Damien qui m’en ont parlé en plus. Elle m’explique pas mal de chose sur le fonctionnement et la sécurité pour me rassurer.
Je fais le vier et j’aurai du lui proposer de manger avec moi, elle est jolie, sympa, drôle et vient de la Ciotat. Elle a tout quitté avec sa licence pour faire mono ici. Mais j’ai pas encore les réflexes de célibataire dragueur. Je finirai sur la table de Céline, clermontoise de 52 ans qui elle aussi a quitté sa boulangerie pour venir bosser dans la restauration. Premier repas super bon, du poisson frais, des bons cocktails et une vue incroyable pour un repas de noël.
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L’après midi sera consacrée à des activités de terre avec la belle cascade dès écrevisses (monde de malade) et le saut de l’acomat. Entre le froid de l’eau et la hauteur du plongeon, je ne prends aucun risque car c’est le début du séjour. Je croise la famille de plongeurs du matin avec la belle Rachel à qui je n’ose pas parlé devant ses frères et son père 🤣🤣 mais c’est bien car ça change de mon programme du début.
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25 décembre oblige, tous les restos sont fermés, je ne trouve pas mon bonheur et j’en profite pour découvrir ce Bokit poisson. On va pas rentrer dans les détails, Heureusement qu’il y a le raisin pour faire passer tout ça ! Aller au dodo que demain rando !
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succoflood · 1 year
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Je ne suis pas la fille parfaite
Cher journal,
Je n’ai jamais été la fille parfaite.
Ma mère a rempli un carnet à ma naissance. Dedans, elle écrit qu’elle voulait un garçon. Et quand j’ai été une fille, une petite fille, une jeune fille, j’étais “un garçon manqué” pas féminine. Parait-il également que mon grand-père paternel à ma naissance aurait dit que, je cite je serais “Miss France 2020″. Résultats, on est en 2022 : je ne suis pas assez grande, et trop grosse pour participer à Miss France.
Au collège, j’étais la fille bizarre. Toujours habillée pas à la mode, ni très féminine ... Bully même pour ça. Le Soleil qui disparaît, caché par des masques qui crient comme dans un match de catch “UN, DEUX, TROIS !” et j’ai déjà perdu la partie. Mais j’avais des bonnes notes, et le pire pour la famille : sans vraiment travailler. Pas adaptée socialement au collège, j’ai une meilleure amie harcelée par ses camarades dans une autre classe que la mienne dont les parents s’en branlent qu’elle soit mal dans sa peau à cause d’eux. A 16 ans, elle a déjà avorté. Elle fume. A 18 ans, elle a un enfant et un CAP fleuriste. Moi, je n’ai plus d’amis parce que j’ai “un sale caractère”, et que c’est ma faute si je n’ai plus d’amis. Je suis trop étrange, avec un sale caractère, seule, et non sociabilisée comme il faudrait : je suis une mauvaise fille.
J’ai 10 ans, je vais entrer au collège à la rentrée, et je stresse stupidement tout l’été parce que je vais me tromper de salle pour les cours à la rentrée. En janvier, mon père quitte la maison de ma mère. Je tombe malade, j’ai un mal au ventre inexplicable. On me dit que c’est du stress, mais je ne comprends pas. On veut que je sois triste parce que mon père part, mais moi, ça me rend heureuse : je suis une mauvaise fille.
Mon père se trouve une nouvelle compagne. Les peu de fois où je vais chez lui, je rappelle ma mère pour venir me chercher. C’est aussi la première fois que j’entends un de mes parents vomir le matin. Je suis traumatisée, je ne comprends pas. Je n’ai plus envie de voir ou de parler à mon père. Je n’appelle jamais pour prendre des nouvelles : je suis une mauvaise fille.
Au lycée, je tombe amoureuse d’un garçon metalleux aux cheveux longs. Quand il vient le week-end, il ne faut pas qu’il mange chez mamie le dimanche. Il est si timide qu’il ne parle pas, et dit à peine bonjour. Il ne faut pas que mamie le voit porter des t-shirt à la mode santaniste : je suis une mauvaise petite fille.
A la fac, j’ai un nouveau copain, cheveux rasés, et lui il travaille contrairement au premier. Je le quitte, parce que j’ai besoin de prendre confiance en moi-même, seule, et je veux vivre des aventures alors que lui est casanier. “Tu n’es plus avec lui ?” : je suis une mauvaise petite fille.
C’est un repas de Noël. Je n’ai qu’un cousin d’environ 2 ans de plus que moi. Il a fait un bac pro, maintenant il bosse à Toulouse chez Airbus, il fait des avions et il gagne bien sa croute. J’ai fait un bac général, mais c’est un bac L, spé théâtre en plus. Post bac, je fais une licence, mais c’est une licence de philosophie. Il a fait un bac pro, mais gagne bien sa vie. J’ai fait un bac général, mais c’est un bac L. J’ai une licence, mais “tu fais quoi avec ça ?”. Je suis une mauvaise cousine.
On m’a toujours dit quand je partais à l’école “travaille bien”. Pour, je cite “avoir des bonnes notes donc faire le métier que je veux faire plus tard, être heureuse et bien gagner ma vie”. Je fais un bac L : ça ferme des portes pour les études supérieures. Je fais une licence de philo : ça ne donne aucun travail stable. Je décide de réaliser mon rêve : théâtre et doublage. Bien travailler à l’école ne permet pas de réussir dans le métier et être stable financièrement : je suis une mauvaise fille.
Ces métiers d’intermittents du spectacle sont considérés comme du chômage : je suis une mauvaise fille.
Un jour, je mets du phare à paupière bleu, c’est coloré, c’est mignon, ça met de la couleur dans la vie des gens qui voient mes yeux. Mais c’est trop extravagant, c’est “mal fait”, trop, et pas “nude” : c’est moche et vulgaire. Je suis une mauvaise filleule.
J’ai 20 ans. On fait un énorme repas de famille, je revois la cousine de ma mère, et j’ai mes cheveux colorés en violet avec un maquillage goth. Mon maquillage et mes cheveux ne lui plaisent pas. Mais “elle m’aime quand même”, n’est-ce pas ? Je suis une mauvaise petite cousine.
J’ai 20 ans, bientôt 21. Je me fais mener en bateau par un garçon, j’ai quitté mon ex il y a 3 mois et j’en souffres encore. Un jour, je me questionne sur mon orientation, et si j’aimais les filles ? J’ai 21 ans. ma mère est mon seul repère, je viens d’arriver à Paris depuis 4 mois, et je suis seule, sans repère. Elle est mon seul soutient moral. Je lui demande “et si j’aimais les filles, tu dirais quoi ?”. Et elle me dit “on préfère ça chez les autres”, mais bon, si je suis heureuse ... N’empêche que je ne devrais pas. Je suis une mauvaise fille.
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miguelmarias · 2 years
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Jean Eustache ha cerrado los ojos
La prematura muerte —tenía cuarenta y tres años— de Jean Eustache, arrebata al cine francés una de sus más firmes promesas de vitalidad y renovación.
Con muy pocas películas, Eustache se había convertido en una de las secretas «cabezas buscadoras» del cine de su país, de las que apenas —o muy de tarde en tarde— se habla, pero que van abriendo caminos o desbrozando de convenciones acumuladas los olvidados senderos de la tradición. Demasiado urbano para ser descubridor o explorador, fue un buen detective y un gran deshollinador; por eso le acusaron de suciedad la única vez que fue noticia, y no —como de costumbre— sólo confidencia, contraseña entre afines, secreto bien guardado —casi atesorado— por los que lo conocían; el propio cineasta descartó la exhibición de algunos de sus films. Como Maurice Pialat —que tiene ya cincuenta y seis años y sólo ha dirigido cinco largometrajes—, Eustache ha hecho una obra original e importante, pero sin pretensiones, siempre al margen: demasiado largas (casi cuatro horas dura, irremediablemente, La maman et la putain) o cortas (Le Père Noël a les yeux bleus), de apariencia banal (La Rosière de Pessac) o perversa (Une sale histoire), pero sin complacencia, sus películas eran cosa suya, saltos al vacío, sin contar con el público ni para volverle la espalda o molestarle. Sólo una vez —por falsas, si no malas razones; por un equívoco del que fue víctima entre sus amigos— alcanzó cierto renombre, cuando se exhibió su film más audaz, conmovedor, agobiante y terrible, para ser olvidado al año siguiente, cuando estrenó otra obra maestra, Mes petites amoureuses, aún más discreta y recóndita; tan austera y apartada del sentimentalismo como la primera de Pialat, L'enfance nue, de la que podría considerarse una especie de continuación libre.
Pero —y esto es lo terrible— estoy hablando de películas que la mayor parte de los lectores conocerán, si acaso, de oídas (o de leídas), pues ninguna de las pocas que hizo ha llegado a estrenarse en España, aunque varias se proyectasen en la Filmoteca. Mientras Truffaut, Chabrol o Rohmer —con excepciones y en desorden— acaban por iluminar nuestras pantallas, gente como Rivette, Pialat o Vecchiali son casi desconocidos, y Eustache permanece inédito. Tal vez ahora —demasiado tarde para la esperanza, aunque más vale tarde que nunca— el prestigio que da la muerte a cambio de la vida y el futuro anime a algún distribuidor —aunque lo dudo— a correr el riesgo que supone poner al alcance del público obras tan desesperadas, tan humorísticas, tan duras y sobrias, tan poco llamativamente personales.
Truffaut dijo una vez —cuando se llevaba bien con Godard— que el Michel Poiccard de À bout de souffle era el hijo engendrado por Jean Dasté y Dita Parlo en L'Atalante. La maman et la putain puede considerarse legítima heredera, si no consecuencia directa, del Godard que vibró de À bout de souffle a Masculin féminin, pasando por Le mépris, Bande à part y Pierrot le fou, pero la obra de Eustache en su conjunto, como todo el nuevo cine francés que realmente cuenta, parte de la confluencia de dos grandes cineastas del pasado, el Renoir de La Bête humaine, Boudu sauvé des eaux y Toni, y el Vigo de L'Atalante y Zéro de conduite, para llegar a encrucijadas nuevas y diversas. Ya nunca sabremos a dónde conducía la trayectoria de Jean Eustache, aunque nos quedan, eso sí, las etapas quemadas: Les mauvaises fréquentations (1963), Le Père Noël a les yeux bleus (1966), La Rosière de Pessac (1968), Le cochon (1970), Numéro zéro (1971), La maman et la putain (1973), Mes petites amoureuses (1974), Une sale histoire (1977), la segunda Rosière (1979), Le jardin des délices de Jérôme Bosch y Les photos d'Alix (1980). Las cinco que he tenido ocasión de ver, todas muy diferentes entre sí, son películas sorprendentes, conmovedoras e impresionantes, que apuntan o llevan al límite las múltiples posibilidades del cine, sin descartar ninguna.
Lo último que se supo de Eustache, antes de la noticia de su muerte en noviembre, fue la publicación (en el núm. 323-324 de Cahiers du Cinéma, mayo de 1981) de un texto terrible, en primera persona, acerca de la soledad, la enfermedad y la muerte, que parece extraído de un diario, aunque se presentaba como «fragmentos de un guión abandonado» y bajo el titulo ambiguo de Peine perdue. Esperemos que la obra de Eustache no quede, dentro de unos años, como un ejemplo de «esfuerzo perdido», porque sería una «pena inútil».
Publicado en el nº 12 de Casablanca (diciembre de 1981)
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rachelmygod · 6 years
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Le père Noël a les yeux bleus (Jean Eustache, 1966)
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frnndlcs · 1 year
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Le Père Noël a les yeux bleus, Jean Eustache, 1966
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rwpohl · 2 years
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sofya-fanfics · 1 year
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L’écharpe
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Je me suis inspirée d’un prompt du mois de Décembre de @creativepromptsforwriting​ : écharpe. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Ranma toucha du bout des doigts le S et le R brodés sur l’écharpe. Il n’aurait jamais cru que ce cadeau le toucherait autant. Il rougit, comme à chaque fois qu’il pensait à Akane.
Disclaimer : Ranma 1/2 appartient à Rumiko Takahashi.
@creativepromptfills​
AO3 / FF.NET
Ranma ouvrit la porte de son armoire et attrapa son sac à dos. Il l’ouvrit et sourit lorsqu’il vit l’écharpe qu’il cherchait. C’était une écharpe bleu toute simple qu’il avait acheté il y a quelques années durant un hiver particulièrement rigoureux lors d’un de ses voyages avec son père.
Malgré qu’elle soit usée, cette écharpe allait encore lui servir cette année tandis que le froid s’installait à Nerima. Il s’apprêtait à refermer son sac lorsqu’il vit l’écharpe jaune que lui avait tricoté Akane. Elle lui avait offert à Noël et mis à part ce jour là, il ne l’avait encore jamais porté.
Il la sortit du sac, la déplia et la regarda. En ouvrant le paquet qu’elle lui avait donné, il avait cru qu’elle lui offrait une serpillière. En y regardant mieux, il avait vu qu’il s’agissait d’une écharpe qu’elle avait tricoté. Elle n’était pas très droite, plusieurs mailles manquaient, ce qui formait des trous, mais il pouvait voir les efforts qu’elle avait fait pour la réussir et à quel point elle avait essayé de s’appliquer. Elle n’avait jamais été douée pour les travaux manuels. Que se soit la couture, la cuisine ou le dessin. Mais elle n’abandonnait jamais et cherchait toujours à s’améliorer.
Il toucha du bout des doigts le S et le R brodés sur l’écharpe. Il n’aurait jamais cru que ce cadeau le toucherait autant. Il rougit, comme à chaque fois qu’il pensait à Akane. Il jeta un coup d’œil à l’écharpe qui lui avait tant servi et sut ce qu’il allait faire. Il enroula l’écharpe autour de son cou, rangea son sac dans l’armoire et sortit de la chambre. Il pouvait entendre Akane l’appeler en bas de l’escalier.
« Ranma ! Dépêche-toi, sinon je pars sans toi ! »
Ranma descendit l’escalier en courant. Ils étaient en retard pour aller au lycée à cause d’Happosai qui avait essayé de voler les sous-vêtements d’Akane. Ils devaient désormais se dépêcher sinon il n’osait pas imaginer ce que le proviseur pourrait encore inventer pour lui gâcher sa journée. Il arriva en bas de l’escalier et Akane écarquilla les yeux en le voyant. Ranma détourna le regard et rougit.
« Quoi ? Demanda-t-il. »
Akane secoua la tête et sourit. Ranma ne put s’empêcher de penser qu’elle était magnifique.
« Rien. On y va ? »
Tous deux partirent en courant du dojo. Toute la journée, Akane avait un immense sourire aux lèvres, heureuse que Ranma ait choisi de porter l’écharpe qu’elle lui avait tricoté.
Fin
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tvln · 6 years
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le père noël a les yeux bleus (fr, eustache, 66)
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