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#nouvel appart
happy-traditional-mom · 3 months
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Nous avons enfin la possibilité de déménager dans un lieu plus grand !
Ce n’est pas encore une maison, mais nous prenons avec plaisir cet appartement de 76m2 qui s’est libérée en face de chez nous, je n’aime pas trop le changement alors ça me ravi ;)
Hâte d’être à lundi, pour signer et recevoir nos clé ! Cling cling
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lynelf · 3 months
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L'envie de rp est là mais la fatigue de mon cerveau aussi TT
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blog59-world · 2 years
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https://english.wafa.ps/Pages/Details/129630?fbclid=IwAR10JMImpBTTCV9lohfkt-TqgcCNOsHEYQM-uusJ2_mMa2nrM9EnvTV-UXA
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vinylespassion · 18 days
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Françoise Hardy photographiée par Giancarlo Botti dans son nouvel appartement de la rue Saint-Louis à Paris, 1971.
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mzellepers · 7 months
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Construction de ma Save CC 👉 Suite . . .☘️
Quelle jolie lumière qui traverse cette fenêtre , je termine un nouvel appartement de SunMushuno en se moment . J'aime comme cette chambre semble habiter ... Mais il faut l'avouer j'ai définitivement un problème avec le "bazars", "bordels" , "foutoirs" , appeler le comme vous voudrez ... Impossible pour moi de terminer une Réno sent avoir exploiter le moindre centimètres virtuel ( 🤨 ) pour y déposer tout ces fameux Cutters que j'aime tant ... ❤️✨ On en revient toujours au même , n'est ce pas ! Encore la faute de tout ces incroyable artiste CC Sims ... Grrr😊🤭 ! Non Vraiment comment voulez vous résister ! Jai développer une pathologie , c'est sûr !😏
C'est Grave Docteur ? 🤔
M'Zelle Pers Smack&Love
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les-portes-du-sud · 4 months
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Je souhaite à tous un miracle pour janvier !
Dès la première seconde et pour toute l'année !
Et pour février - le confort de la maison,
Le bonheur au lit. Et un décollage spirituel.
Venant d'une page de Mars propre
A la veille d’un printemps grisant.
Avril - le farceur peindra des visages,
Un sourire de bonheur ! Contes de fées et rêves.
Aux abricots, jasmin, fleurs de cerisier
Sur les ailes du vent, il apportera Mai à tout le monde !
La chaleur du mois de Juin vous attirera plus près de la mer...
Détendez votre corps et votre esprit cet été !
Compote de cerises, tarte aux framboises,
La chaleur est de plus quarante – c’est tout le mois de Juillet.
Je souhaite à tous la climatisation dans leurs appartements.
Laissez Août apporter le tulle dans la cuisine.
Des arômes magiques de pommes mûres !
Septembre décorera la table avec des légumes,
Et pour qu'Octobre soit velouté et lumineux,
Que le soleil illumine chaque maison !
Et que Novembre ne pleuve pas,
Après tout, l’automne est un petit résultat.
Décembre brillera d'une neige merveilleuse,
Pour fêter la nouvelle année comme dans un conte de fées !
Printemps thaïlandais
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blauesonnenblume · 1 month
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je rentre de Paris, c’était un grand bol d’air frais de voir mes amies, pleurer et rire au bar, parler enfin de toutes les choses qui me pèsent et qui se sont allégées grâce à ces amies magiques qui comprennent, ont vécu la même chose, m’écoutent et m’aiment, manger des pâtisseries portugaises, passer devant mon ancien appart, aller au cinéma (Dune, je suis la seule crétine à n’avoir pas trop accroché!!), marcher au soleil, marcher sous la pluie, tout ça en jouant comme des fous à Stardew Valley avec L avec la nouvelle mise à jour (je ne comprends pas comment j’ai casé tout ça en si peu de temps, la magie de Paris + se coucher tard et se lever tôt j’imagine)
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theoppositeofadults · 3 months
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il y a 3 semaines, je devais appeler mon grand-père pour lui raconter mes premiers jours dans mon nouveau travail mais je suis sortie le soir et je me suis dit que j'appellerais le lendemain au soir
il est mort le lendemain matin.
c'était mon 3ème jour au travail, dans un nouvel environnement où l'accueil avait été moyen et où j'avais du mal à comprendre mon rôle et trouver ma place, et j'étais à peine arrivée que je préparais déjà mon retour.
je devais me mordre la langue et pincer la main pour éviter de fondre en larmes devant chaque personne qui me parlait (heureusement, peu de monde me parlait!), mais j'ai pu rentrer plusieurs jours (avec 10h de trajet pour revenir en france)
l'enterrement était beau, et j'ai passé 4 jours à pleurer, mais aussi à rire et à partager des souvenirs en famille.
sauf que je suis maintenant rentrée et j'ai encore l'impression d'être à contre-courant.
j'ai ce nouveau boulot où j'avais peur d'être incompétente mais c'est presque pire : je n'ai RIEN à faire. je demande dix fois par jour aux gens s'ils veulent que je les aide parce que le boulot sur ma fiche de poste peut être fait en 5h par semaine
et c'est toujours un environnement un peu bizarre : il y a 50 cliques et les gens sont tous plus âgés que moi. même les stagiaires (certains sont à peine plus âgés). ce qui était déjà le cas dans mon ancien boulot mais là-bas, j'étais relativement junior. maintenant, je suis manager - ce qui fait une dynamique intéressante ( = peu de vie sociale)
donc j'ai tout ce temps libre, que j'essaie de meubler comme je peux - je cuisine beaucoup, je deviens une habituée de ma salle de sport, j'ai tout réorganisé mon appartement,....
mais je m'ENNUIE tellement. et je déteste m'ennuyer parce que c'est du temps où je n'ai rien d'autre à faire que de penser ce qui fait que je pleure 2 fois par jour
bref. j'en suis à un point où je me dis : vite, février.
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QUELQUES TRUCS BIEN. JANVIER 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Espérer pour mon amie P. qu’elle puisse acheter cet appartement où elle serait bien avec vue dégagée sur le parc et les commodités pour assurer son activité professionnelle 
Reprendre le boulot avec entrain puisque la convalescence a assez duré 
Profiter d’être alitée pour rattraper le temps de lecture
Sortir de convalescence en prenant plaisir aux tâches domestiques : vider la poubelle (de mouchoirs) 
Apprécier le silence du monde dont je me trouve en retrait par nécessité et maladie. Prendre mon mal en patience 
Entrer au cinéma et sortir en empathie pour le règne animal 
Être invitée pour manger la galette. Savourer et se nourrir d’amitié 
Discuter avec maman de sa grand-mère et des traces que laissent les disparus 
Aller au cinéma pour voir la dernière palme d’or 
Éviter les conflits malgré le clivage. Garder en tête l’intérêt des enfants. Garder le silence et le sourire 
Accueillir une nouvelle collègue de travail en passant outre les mesquineries actuelles de l’équipe. Espérer le meilleur à venir 
Me confier à mon collègue psychologue sur le sentiment de déception quant à l’échec des projets thérapeutiques de groupe.  Accepter l’impossibilité du travail dynamique et collaboratif en situation d’activité collective. Comprendre qu’il faut m’en tenir à faire des séances individuelles et des écrits 
Manger du chocolat noir offert avec le cœur et le sourire. En reprendre encore un peu 
Savourer la caresse de la petite main de mon petit M. pendant qu’il boit son biberon dans mes bras 
Appeler une amie dans la détresse et l’inquiétude par rapport à la santé de son frère. Ressentir de la compassion 
Projeter de voir les meilleurs films de l’année dernière au cinéma 
Vider mon sac en réunion de soignants et passer outre les mesquineries 
Recevoir une amie à l’improviste pour un apéro 
M’attendrir pour la première dent de mon petit M. qui grandit déjà 
Entrer dans la nouvelle année en bonne compagnie. Être au spectacle des feux d’artifices et des faux airs de fête 
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 113
Samedi.
Je prends le train après avoir fait un crochet par chez Emma pour m'habiller " convenablement " (costume 3 pièces). A Paris nous prendrons un taxi, c'est plus simple et moins fatiguant que d'y aller en voiture ou moto. Je retrouve Kev sur son quai de gare, il a revêtu lui aussi un costume dont on voit tout de suite la provenance (prêt à porter). Taxi et nous sommes au pied de l'immeuble. Sonnette. Un major d'homme nous ouvre la porte, je lui dis qui nous sommes. Il nous conduit jusqu'au bureau de son patron, s'efface pour nous faire entrer et referme la porte derrière nous. Le futur employeur se lève et contourne son bureau pour venir nous saluer. Poignée de main ferme tout en me demandant des nouvelles d'Emma puis il serre la main de Kev quand je le lui présente. Je sens ce dernier, si sûr de lui habituellement, un peu intimidé.
Nous nous installons dans la partie salon de son bureau et il commence à poser des questions à Kev. Son parcours, famille, études, stages, expériences sexuelles, aucun sujet n'est omis. Il a une autorité naturelle qui fait que Kev n'arrive pas à éluder certaines questions franchement personnelles. J'en apprends moi même beaucoup sur mon ami. L'inquisition dure trois bon quarts-heure. Brusquement il demande à Kev de se mettre nu. Ce dernier se lève et placidement se dévêt, il est vrai que l'ambiance n'est pas au strip-tease ! Commençant par le haut, je retrouve ce corps musclé et bronzé qui nous avait attiré sur les dunes de La Palmyre. Il reste quelques instants en slip avant de recevoir l'ordre de le quitter. Nu, il fait un tour sur lui même. Corps bronzé intégral, pilosité maitrisée, peau nickel, il présente bien ! Le boss se lève et il vient le voir de plus près. Mon Kev ne bouge pas. Il lui tourne autour, passe sa main sur ses épaules, pecs, abdos. Il empoigne la bite et heureusement elle bande direct. Il la branle un peu pour bien la faire durcir. Kev déploie ses 21 x 5,5. Il lui soupèse les couilles fraîchement rasées. Kev me jette un regard façon : je ne suis pas une bête ! Je lui fais un signe d'attendre. Le boss revient s'asseoir à coté de moi et me félicite de mon choix. Se tournant vers Kev, il lui dit que c'est OK pour lui et il lui demande quand il peut commencer (sachant que Kev est en recherche d'emploi). S'engage alors une discussion sur les conditions. Logement : un appart de 100 m² dans l'immeuble voisin, salaire mensuel, prise en charge de l'habillement avec les adresses où il devra monter sa garde robe. A ce stade, je suis remercié et le boss impatient de tester son nouveau jouet me glisse une enveloppe pour me dédommager de ma matinée et le service rendu. J'embrasse Kev et lui dis à l'oreille qu'il tient le bon bout, que je lui fais confiance pour assurer coté cul. Il me dit qu'il m'appelle dès qu'il le peut.
Dans le taxi qui m'amène à la gare je regarde le montant du chèque. Bien au delà de ce que j'ai perdu en n'assurant pas ma matinée de coaching sportif. Kev ne me devra rien. Je suis de retour en début d'après midi à la maison, après être passé me changer chez Emma et lui avoir dit que ça collait entre mon ami et le sien.
Après midi cool. Je passe un peu de temps avec Jimmy pour voir ou il en est et le faire réviser un peu. Il renâcle que c'est le WE. Heureusement, j'ai le soutien de Samir qu'il respecte beaucoup. Vers 16h débarque Arnaud du fond du jardin puis Igor arrive accompagné de Tic et Tac. Je demande à Marc si il n'aurait pas des fois prévu une petite touze ce soir ? Malgré ses dénégations, quand arrivent Eric, Seb et Nicolas, puis Phil et Luc, ça commence à vraiment sentir le foutre. Bruno nous rejoint. Présentation de Jimmy à ceux qui ne le connaissent pas encore. Il a son petit succès auprès d'Igor et des autres actifs et A/ P qui espèrent bien réussir à l'enculer ce soir.
Alors que Samir et Ammed commencent à servir l'apéritif, coup de téléphone d'Ed. Ses parents sont sortis et il aurait bien aimé me rejoindre. Je lui dis que ce n'est pas possible, ce soir il y a touze à la maison et je ne le crois pas encore prêt pour cela. Il me dit que si, qu'il voudrait vraiment savoir ce que c'est et comment sa ce passe. Je lui dis que tant qu'il n'aura pas fait le tour de mes clients, il devra attendre. Il gueule à l'autre bout du fil qu'il bande comme un malade et que son cul est en manque de bite. Je lui dis de se calmer et de se mettre un gode si nécessaire. Je le préviens qu'il devra être prêt (lavement fait) mercredi prochain dès 13h car je l'emmènerai chez un black qui saura calmer ses envies de sodomies.
Je rejoins le groupe au salon. Jimmy est déjà à genoux devant Igor et le pompe sous les yeux de Tic et Tac. Arnaud est pris en main par Seb et Nicolas alors que Bruno et Marc se partagent Phil et Luc. Eric semble m'attendre et après un patin bien appuyé, il pousse ma tête vers le bas, vers sa bite encore emprisonné par le cuir. Je la dégage, toujours aussi majestueuse ! Ses 25cm noirs, chapeautés d'un gland violet foncé sont impressionnant quand on les a à 5cm de ses yeux. Quand on les a en bouche et dans la gorge, ils sont impressionnants ;aussi !!
Je me délecte quand arrive Tic. Je partage. Il y en a bien pour deux et Eric n'est pas contre ! Tac arrive aussi. Je leur laisse Eric et fait le tour de nos invités. Je passe voir Igor encore en train de gaver Jimmy. Il me dit que j'ai bien remplacé Jean. Qu'il a hâte d'enculer ce suceur hors pair. ;Quand je regarde l'ensemble, il ne reste plus beaucoup de vêtement sur les corps. Mais rien par terre, Samir et Ammed ont tout ramassé au fur et à mesure et tout est plié sur les dossiers des chaises de la salle à manger.
Marc donne le signal de l'émigration vers le donjon. Nos deux beurs nous apportent les manteaux et tongs afin de traverser la cour sans attraper un rhume. Quand nous entrons, lumières, chauffage à fond, plateaux reconstituant (boissons et barres énergétiques), accessoires en places, tout à été préparé (merci Marc). Jimmy est posé sur le sling central. Et je crois bien que, tous, nous sommes passés nous faire sucer. Même Arnaud qui n'est pas le plus actif du groupe a testé la bouche profonde de Jimmy. La tête en arrière, il se les ait toutes prises jusqu'aux couilles. Moi, j'ai profité de ce moment pour lui préparer le cul. Chose rapidement faite grâce à l'élasticité hors norme de son corps. Arnaud s'est installé de lui-même sur le sling de droite, préférant participer en tant que passif. Le troisième sling a reçu Tic. Tous autour, nous tournons dans les trois bouches et les trois culs (bonne conso de kpotes !!). Tous apprécient la souplesse de ma nouvelle recrue. Phil et Lu s'écartent et se plient en travers des selles. Ils sont aussitôt enculés par Igor et Marc. De mon côté, j''encule Seb et donne mon anus à son Nicolas. Entre les deux amis, je passe un bon moment. Seb gémis sous mes assauts t Nicolas se " venge " que j'encule son mec par de violent coups de bite. Trop bon ;cette place de jambon dans le sandwich ! Nous nous décollons pour trouver un autre trip. Coup d'oeil aux alentours. Les trois sur le sling se font toujours démonter le cul mais leurs partenaires ont changé depuis tout à l'heure. Ils se balancent sur les nouvelles queues avec autant d'enthousiasme, Eric sodomisant Jimmy. Samir et Ammed, discrètement, font disparaitre les kpotes usagées dès qu'elles tombent des bites. J'enfile une Red Bull et retourne dans la mêlée. Je roule une pelle à mon mec en train d'enculer Tac et lui glisse un merci à l'oreille. Je trouve une place entre le cul de Tic et la bite de Bruno. Pas mal non plus cette combinaison. Couché sur Tic je lui roule une pelle heureusement que le sling est prévu pour supporter un bon poids car e repose presque complètement sur Tic.
C'est trop bon et bientôt je jute sous la double stimulation du cul de Tic et de la bite de Bruno me ramonant le conduit ! Tic macule nos abdos et je reçois sur le dos la crème de Bruno. Tic et moi restons encore quelques instants à nous embrasser. Quand je me redresse, il ne reste plus qu'Eric en train d'enculer Jimmy dont le ventre me parait zébré de sperme de plusieurs provenances. Eric, rapidement, sous le regard de tous décule et après avoir tombé la kpote a ajouté son jus à celui des autres.
Exténués, douchés, séchés, nous avons regagné la maison pour diner.
Discussion à bâtons rompus, Tac me disant que la meuf que j'avais rencontré chez eux tenait le choc et passait toujours les " voir ". Phil et Luc me dirent qu'ils étaient toujours en relation avec les deux frères (ancien clients de Jean que je leur avais refilés) et qu'ils revenaient des antipodes (vu leur bronzage intégral, c'était ça ou les UV à outrance), 15 jours tous frais payés juste pour les satisfaire. Ils me disent que vu les revenus que cela leur assure, ils vont continuer leurs études plus longtemps avec un DESS ou DEA je ne sais plus. En attendant ils sont contents et me remercient encore de leur avoir refilé le plan.
En passant je demande à Arnaud s'il ne se fait pas embêter en cours. Quand il me demande pourquoi, je lui dis que je le trouve un peu trop maniéré / apprêté / fashion-victime. Il me dit que ses copains sont tous comme lui, même les grosses brutes se soumettent aux dictats de la mode. Le principal c'est qu'il ne se fasse pas abimer sa face d'ange ! Je ne peux m'empêcher de leur raconter mes dernières péripéties. Tac bave devant mon coté escort-boy et me demande comment j'ai fait ça. Il se verrait bien à ma place. Son jumeau, lui se verrait plutôt à celle de mes poulains !
Igor et les jumeaux restent coucher alors que les autres rentrent chez eux.
Dimanche matin, enfin ; ; ;midi, appel de Kev.
Je lui demande de tout me raconter. Il me dit qu'aussitôt après que j'ai passé la porte il a été sommé de se mettre à genoux devant son nouveau patron. Il a du lui ouvrir le pantalon et sortir l'équipement, correct, normal. Pipe, puis il a du lui bouffer le cul avant de le sodomiser grave. Il a tout fait pour qu'il prenne bien son pied, sachant que c'était son épreuve éliminatoire. Toujours est-il qu'il a fait l'affaire et s'est retrouvé avec 5 ;000 € en poche avec l'ordre de s'habiller correctement et d'aménager dans l'appart mis à sa disposition sous 8 jours. Je lui dis qu'il a une carte à jouer auprès de ce type. S'il se montre professionnel sur tous les tableaux, il pourrait peut être décrocher un job dans une de ses boites. Lors de ma rencontre avec lui chez l'associé d'Emma, la discussion que nous avions eue m'avait laissé un souvenir de ce genre. Célibataire, il m'avait l'air de chercher un fils spirituel.
Il me remercie encore et me demande ce qu'il peut faire pour moi. J'allais pour lui dire - rien - quand je me suis ravisé, on ne sait jamais de quoi est fait demain. Je lui ai juste dit que je savais qu'il ne serait pas ingrat et qu'à l'occasion il me renverra l'ascenseur.
Dimanche calme, piscine et muscu pour les plus jeunes. Sous les douches, il a fallu que je gendarme Tic et Tac qui se seraient bien attaqués à Samir et Ammed venu nous rejoindre dans nos exercices.
Igor a apprécié le service de nos deux beurs. Discrétion et efficacité pourraient être leur nom. En lieu et place d'une sieste, Marc leur a demandé un massage pour lui et Igor. Ce dernier en est sorti avec l'idée que nous avions déniché des perles rares.
JARDINIER
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empiredesimparte · 11 months
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Christian, First Valet: Sire, the time has come
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Napoléon V: My darling? Have you heard? Charlotte (asleep): Hm yes
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Christian, First Valet: It's 7 o'clock Napoléon V: I'll tell him, you'd better get up Charlotte (asleep): Now ?
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Napoléon V: Yes, the Imperial Household doesn't wait. Everything is like clockwork Charlotte (asleep): We'll change that Napoléon V (laughing)
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Edouard, Grand Chamberlain: Our apologies Sire, for the lack of organisation Napoléon V: It's nothing François, Emperor's physician: How are you this morning, Sire, Mademoiselle?
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Napoléon V: Fine, I think, thank you. François: Very well, don't hesitate if necessary, Sire, Mademoiselle
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Napoléon V: We'll have to think about a new etiquette, new rules, gentlemen, in the future. Mademoiselle de Rochechouart and I would like an organisation more suited to our two presences
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Edouard: Yes, Your Majesty, we'll talk about it again together if you like. Armand, Grand Marshal: Certainly, Your Majesty. Edouard: In the meantime, I will escort Mademoiselle to her flats after tea. Charlotte (sceptical): Yes, Monsieur
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⚜ Le Cabinet Noir | Yacht impérial l'Aigle, 8 Prairial An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Christian, Premier Valet: Sire, voilà l'heure
Napoléon V : Ma biche? Tu as entendu? Charlotte (endormie) : Hm oui
Christian, Premier Valet: Il est 7 heures
Napoléon V : Je vais le prévenir, tu devrais te lever Charlotte (endormie) : Maintenant ?
Napoléon V : Oui, la Maison Impériale n'attend pas. Tout est réglé comme une horloge Charlotte (endormie) : Nous changerons cela Napoléon (rigole)
Edouard, Grand Chambellan : Nos excuses Sire, pour le manque d'organisation Napoléon V : Ce n'est rien François, médecin de l'Empereur : Comment allez-vous ce matin, Sire, Mademoiselle ?
Napoléon V : Bien, je pense, merci François : Très bien, n'hésitez pas au besoin, Sire, Mademoiselle
Napoléon V : Il faudra réfléchir à une nouvelle étiquette, messieurs, à l'avenir. Mademoiselle de Rochechouart et moi-même aimerions une organisation plus adaptée à nos deux présences
Edouard : Oui Votre Majesté, nous en reparlerons ensemble si vous le souhaitez Armand, Grand Maréchal : Certainement, Votre Majesté Edouard : En attendant, je vous raccompagnerai à vos appartements après votre thé Charlotte (sceptique) : Oui, Monsieur
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alexar60 · 9 months
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Puzzle
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La brocante occupait tout le quartier. Il y avait tellement de monde que Maël n’arrivait pas à avancer. Lui qui détestait les brocantes, il devait la traverser pour rentrer chez lui. Il marchait lentement, trop lentement, au pas des visiteurs en quête d’un achat débile. Par moment, il regardait le ciel en se demandant quel crime avait-il commis pour mériter cela. Le temps semblait long alors que d’habitude, la distance était courte, très courte.
Soudain, Il s’arrêta subitement. Ses yeux fixèrent une image sur une boite. Elle attirait Maël comme un pot de miel sur une mouche. Il approcha du stand tenu par un homme âgé d’une soixantaine d’années. Malgré le temps automnal, il portait un débardeur blanc. Le jeune homme s’attarda sur la boite. L’image représentait une partie d’un tableau du peintre Jérôme Bosch. Plus précisément l’Enfer.
Il est complet. Il est à vous pour cinq euros.
Maël ne regarda pas le vendeur. Il demeurait obnubilé par l’image des corps subissant mille tortures au milieu d’instruments de musique. Il sortit son portefeuille et sans chercher à négocier, donna la somme convenue. Puis il partit, le puzzle sous le bras,  en marchant au rythme de la foule toujours lente. Derrière lui, l’homme en marcel marmonna quelques mots : « Content de m’en être débarrassé ».
Lorsqu’il entra dans son appartement, il posa la boite sur la table basse, avant d’aller sur son ordinateur pour lire et répondre à quelques mails professionnels. Ce n’est qu’après le diner qu’il se souvint du puzzle. Le jeune homme regarda la boite en se demandant pourquoi avoir acheté cette chose, surtout qu’il n’aimait pas les puzzles. C’est trop chiant, trop pénible. Cela demande énormément de patience et même s’il ne contenait que 600 pièces, il ne le ferait jamais. Cependant, le dessin de Bosch l’intriguait. Il le regarda une nouvelle fois, observa quelques détails morbides, une flute dans un rectum, un démon dévorant un homme... Il se sentit hypnotisé par le puzzle quand une sonnerie retentit. Dès lors, il oublia la boite sur la table basse et rejoignit quelques amis l’attendant dans la rue.
A son retour, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la boite ouverte. En effet, le couvercle était posé à côté de la boite, ainsi que deux morceaux comme si quelqu’un avait commencé le puzzle. Maël fouilla son logement à la recherche d’individus, mais il ne trouva personne ni ne découvrit d’infraction. Dès lors, il s’assit dans son canapé et observa le jeu. Il prit le couvercle, regarda le tableau avant de le reposer. Par curiosité, il attrapa deux pièces, et chercha à quel endroit de l’image elles correspondaient.
Il ne remarqua pas la nuit se finir ni le jour se lever. Maël continua de compléter le puzzle, morceau par morceau. Il se débattait, perdait une demi-heure rien que pour trouver où placer telle tête. Ici, c’est du noir, là de l’ocre. Ses yeux ne se fermaient pas, continuant, oubliant la fatigue. Enfin, la sonnerie d’un réveil sortit Maël de sa concentration. Il devait aller travailler. Il se leva, prit une douche, un café puis il quitta l’appartement.
De retour après 18H, Il retrouva ses habitudes jusqu’à ce qu’il réalise que le puzzle était toujours sur la table basse. Toutefois, Il eut l’impression qu’il manquait la moitié des pièces déjà placées. Il s’assit, observa la boite et sans attendre, comme envouté, il repartit dans la construction du jeu.
Il manipulait les pièces, cherchait à les emboiter correctement. Il demeurait concentré si bien qu’il ne répondit pas à un SMS ; il ne chercha même pas à s’intéresser à l’expéditeur. Maël ne se rendit pas compte du temps non plus. Il retrouva ses esprits en entendant le réveil sonner. Encore une fois, il repartait travailler sans avoir dormi.
Plus les journées passaient, plus le puzzle lui prenait la tête. Après une semaine, il réalisa que ce jeu de société n’était pas normal. En fait, il découvrait des pièces manquantes, rangées dans la boite au lieu d’être sur le plateau. Il ne comprenait plus jusqu’au ras-le-bol. A ce moment, d’un geste de colère, il remit les morceaux dans la boite. Cette nuit, Maël put enfin dormir.
Le soleil venait de se lever lorsqu’un bruit fort réveilla le jeune homme. Sur le coup, il pensa à un meuble tombé. Il se précipita dans le salon. Maël fut stupéfait de trouver la boite du puzzle, normalement rangée au-dessus d’une armoire, sur la table basse. Son couvercle était ouvert, de même, deux pièces posées invitaient Maël à continuer de finir le tableau.
Il resta un instant à observer l’enfer dessiné sur le couvercle. Tout à coup, il recommença le puzzle. La détermination envahit son regard, il avait envie de le terminer. Il installa les pièces les unes après les autres. Il ne pensait que pour ce puzzle. Le téléphone sonna, il ne répondit pas. Le dimanche passa sans qu’il ne puisse en profiter. Il demeura concentré à vouloir installer tel ou tel morceau correspondant. Le tableau commençait à prendre forme. Toutefois, lorsqu’il partit réchauffer une boite de conserve, il fut déçu de trouver des pièces manquantes au puzzle. Quelqu’un ou quelque-chose s’amusait à défaire son œuvre.
Maël ne comptait plus les journées. Le puzzle le rendait fou. Il voyait les briques bouger, les couleurs s’envoler. Il sentit une brulure lorsqu’il toucha le dessin d’une flamme. Il entendit des voix, des lamentations, des hurlements et des crépitements entrecoupés de rires. D’ordinaire sympathique et détaché, Maël ne dormait plus, il ne mangeait plus. Il essaya de ne plus cligner des paupières quand il vit une pièce disparaitre subitement après deux secondes d’inattention.
Puis il entendit de la musique, flutes et harpes accompagnait de la viole et un tambour. Ce dernier frappait en cadence au rythme de son cœur. Il se sentait épuisé, seulement c’était devenu plus fort que lui : il devait finir ce puzzle !
Un message de son patron ainsi que de quelques amis signalaient leur inquiétude à son égard. Mais rien n’y fait, il ne les écouta pas. Il persistait à vouloir finir le puzzle qui parut sans fin. « Seulement 600 pièces ? Non, il en fait bien plus ! » Réalisa-t-il. Puis il se concentrait encore et encore sur le jeu de société. Il essaya d’imbriquer deux morceaux en vain, il trouva enfin le corps d’un damné. Il avait faim, il avait soif, pourtant il continuait comme un désœuvré.
Le tambour battait toujours au rythme de son cœur. Il ne resta plus que dix morceaux à installer. Maël trouva leur emplacement facilement les uns après les autres. La musique s’essouffla lentement, les cris ne résonnèrent plus. Le tambour frappait avec une cadence plus lente. Plus que trois…Enfin l’avant-dernier. Puis, il ferma les yeux…le tambour s’était tu.
En entrant dans l’appartement, après avoir fracassé la porte à coup de hache, les pompiers se doutèrent de ce qu’ils allaient trouver. A cause de l’odeur qui empestait les escaliers de l’immeuble. Le corps putréfié de Maël restait étendu sur le canapé. Une volée de mouches sortit lorsqu’un des pompiers ouvrit la fenêtre. Les autres ne purent qu’attendre la police pour faire constater la mort du locataire des lieux.
Stéphane avait vingt ans d’expérience. Il était habitué à ce genre de situation. Son regard croisa le puzzle sur la table. Il remarqua la pièce encore installée dans la boite. Dès lors, il l’a pris et la plaça terminant ainsi le tableau.
Le pauvre, dit ironiquement un de ses collègues. Il n’a pas pu finir son puzzle.
Le pompier se pencha pour mieux regarder le jeu. Il pointa l’index vers un petit personnage à la droite d’une harpe.
C’est marrant, il a le même visage grimaçant que notre client.
Ils sortirent pour respirer autre chose que la mort. Pendant ce temps, un souffle comme un long râle sortit du tableau. Le puzzle réclamait une nouvelle victime.
Alex@r60 – août 2023
Peinture : Détail de L’Enfer (volet de droite du triptyque du Jardin des Délices) par Jérôme Bosch
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firebirdxvi · 3 months
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Fils du Feu 10 ~ Flamme vacillante
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La psalmodie emplissait la pièce obscure d'une paix absolue. Joshua sentit la somnolence le gagner, assis comme il l'était au milieu des Immortels en prière. La bure d'adepte qu'il portait lui permettait de se fondre parfaitement dans l'assemblée et tous ceux qui l'entouraient, assis sur des bancs, semblaient avoir oublié sa présence.
Il était pourtant l'objet de cette cérémonie. Ayant toujours refusé de présider la prière quotidienne, les Immortels s'étaient résignés à ne plus le lui demander. Mais il aimait y assister en tant que spectateur. Les paroles des mélopées rituelles lui étaient toujours aussi hermétiques, mais leur rythme l'apaisait. Elles parlaient de feu sacré, purificateur, du Fondateur qui était descendu du ciel avec le pouvoir d'illuminer les ténèbres, de ses descendants, les Emissaires de Phénix qui l'avaient précédé, lui, Joshua Rosfield...
Ses mots résonnaient toujours au plus profond de son coeur et même s'il n'approuvait pas la totale dévotion que les adeptes lui vouaient, il ne pouvait se résoudre à la repousser. Elle était née d'une sincère foi que le feu du Phénix était celui qui avait sauvé l'humanité du froid et de l'obscurité et avait mené la nation de Rosalia à devenir la première civilisation valisthéenne digne de ce nom. Ils espéraient que tout ceci renaîtrait et que leur Emissaire reprendrait sa place dans ce monde et ressusciterait leur pays de ses cendres.
Quand il avait contemplé l'aqueduc laissé à l'abandon, il avait ressenti cet espoir lui aussi. Mais c'était davantage son désir de revenir aux jours heureux de son enfance qui l'avait guidé. Sa famille lui manquait tellement... Les Immortels restaient des étrangers pour lui, et plus que tout, la présence et l'amour de quelqu'un de son sang, avec qui il aurait pu grandir, lui auraient été nécessaires...
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Il ouvrit les yeux et scruta l'estrade où officiait celui qui avait été désigné pour la journée ; un Immortel d'un certain âge à la voix douce qui connaissait parfaitement les psalmodies. Ordinairement, Maître Cyril s'en chargeait toujours, mais il était en ce moment même - Joshua le savait - "en expédition" dans les entrailles du refuge afin de découvrir si l'on pouvait risquer d'aménager de nouveaux lieux de vie dans les couloirs découverts. Les salles des archives commençaient à s'encombrer, et il ne serait pas un luxe d'en trouver d'autres. Permettre également aux adeptes de partager des quartiers plus spacieux rendrait le quotidien plus facile pour eux.
La cérémonie était terminée et chacun se réveillait de sa transe hypnotique. Joshua se leva à son tour, un peu endormi mais détendu, et constata que quelques Immortels, encore prostrés, les mains jointes, s'attardaient dans la chapelle. Il ne fallait pas les déranger... Il sortit à pas discrets.
Il se mit à marcher dans le couloir, les pans de sa robe de bure voletant autour de lui, en route vers ses propres appartements, dorénavant parfaitement aménagés. Sur sa route, la petite silhouette de Jote courut dans sa direction et il s'arrêta pour l'attendre. Elle stoppa devant lui, un peu essoufflée. Joshua était toujours heureux de la voir.
- "Pourquoi courez-vous ?" demanda-t-il, encore sous l'effet lénifiant du rituel.
- "Je viens de la part de Maître Cyril. Il réclame votre présence dans le corridor nord- ouest."
Joshua avait déjà parfaitement intégré la nouvelle géographie adoptée par les Immortels pour se repérer dans le dédale du refuge et il voyait donc assez bien où cela se trouvait.
- "Pour quelle raison ?"
- "Nous avons découvert un nouveau passage mais une porte nous bloque l'entrée. Nous avons besoin de vos... pouvoirs d'Emissaire."
Le jeune garçon sourit largement. Voilà qui lui plaisait. Après cette évasion agréable dans ses pensées rêveuses, un peu d'action lui conviendrait très bien. Il se mit à marcher d'un pas rapide le long du couloir, Jote sur ses talons.
- "Allons-y maintenant. J'ai hâte de voir ce qu'il y a derrière cette porte !"
Sans prendre le temps de se changer, il enfila le dernier corridor avant de s'enfoncer dans le labyrinthe à peine exploré qu'il avait ouvert quelques jours plus tôt en compagnie d'Adalia. Ayant en quelque sorte "éveillé" les lieux lors de leur incursion improvisée, la plupart des portes ne réclamaient plus son pouvoir pour être franchies, car les Immortels disposaient des connaissances requises pour les garder ouvertes à leur convenance. Il n'était pas retourné dans cette zone depuis un moment et fut surpris de constater la présence de plusieurs adeptes sur sa route. Occupés à retranscrire des gravures ou à noter les différences de niveau du sol des couloirs, ils s'inclinèrent pourtant tous à son passage et certains lui emboîtèrent même le pas. Ce fut avec une véritable escorte que Joshua atteignit l'endroit où se tenait Cyril, debout devant un portail clos, se caressant le menton.
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Quand Joshua arriva près de lui, il porta la main à sa poitrine pour le saluer.
- "Pardonnez mon impudence, Votre Grâce, je ne suis pas digne de vous convoquer...", commença le Maître.
- "N'ayez crainte, la prière était terminée. Quel est votre problème ?" Il leva les yeux sur le portail sculpté. "Vous voulez passer ce seuil, je suppose. Vous avez une raison particulière de vous y intéresser ?"
- "Comme vous le savez, nous avons déjà arpenté et étudié plusieurs ruines célestes par le passé, et si nous nous référons aux structures que nous connaissons, la position de cette pièce semble prometteuse. Elle doit recéler des secrets d'un haut intérêt archéologique..."
- "C'est fascinant !"
- "Les Célestes sont fascinants, oui, et en savoir toujours plus sur eux ne sera jamais un mal. Connaître le passé ne peut qu'enrichir l'avenir. Aussi, si Votre Magnificence pouvait...", termina Cyril en s'inclinant.
- "Pas besoin de me le demander deux fois ! Je vais ouvrir cette pièce et l'explorer avec vous ! Laissez-moi passer."
Les Immortels s'écartèrent, et, sans effort, la main de Joshua actionna le dispositif d'ouverture. Une poussière très ancienne vola autour d'eux et leurs yeux durent percer une obscurité plus épaisse. L'énergie ne semblait pas aussi dense dans ces lieux et Joshua généra de nouveau une sphère de feu flottante afin de les éclairer. Il prit la tête de la petite troupe et tous s'avancèrent avec circonspection dans la pièce. Jote s'accrochait avec appréhension à la robe de Joshua.
La première chose qu'ils virent furent les alcôves dans lesquels reposaient les mêmes étranges formes minérales vaguement animales, pour l'heure au repos, alignées contre les murs de la salle. Tournant sur lui-même, Joshua envoya la sphère raser la surface de roc aux alentours pour en jauger la superficie. La sphère ne découvrit aucun plafond - les murs montaient à une hauteur indéterminée - et s'avéra bien plus vaste que la plupart des autres pièces. De forme sphérique, les sculptures qui la paraient semblaient bien plus complexes et travaillées.
Joshua et les Immortels avancèrent encore de quelques pas lorsque la sphère elle-même se mit à "monter" des marches. Les escaliers n'étaient pas la structure la plus commune dans les bâtiments célestes, aussi les explorateurs redoublèrent-ils de prudence. Les degrés n'étaient cependant pas très nombreux et la lueur des flammes se mit alors à danser autour de ce qui ressemblait bien à un autel surélevé. Mais le plus étonnant était ce qui reposait à son sommet.
Une sculpture tout à fait inconnue pour Joshua trônait au fond de l'étrange chapelle en sommeil et rien de ce qu'elle représentait ne pouvait se comparer à l'art valisthéen, même le plus exotique. Une forme vaguement humaine se découpait dans l'ombre, mais sa principale particularité - ses quatre bras déployés - la rendait un peu effrayante. Pire que tout, le visage ne comportait aucun trait, comme si les adorateurs de cette divinité s'étaient évertués à ne surtout pas représenter une quelconque expression faciale, peut-être par superstition ou peur religieuse.
Joshua ouvrit grand les yeux face à cette entité venue manifestement d'un autre âge, et se sentit observé jusqu'à la moelle des os par un regard froid et calculateur... Il frissonna sans savoir pourquoi et voulut au plus vite briser ce sort paralysant :
- "Trouvons un moyen d'éveiller cet endroit... Cette obscurité me pèse..."
Il se détourna de la statue et se mit à examiner les lieux afin de trouver peut-être un autre pupitre tel que celui qu'il avait déjà manipulé. Il ne fut pas long. Un Immortel l'appela dans un coin de la salle et lui désigna en effet un dispositif similaire. Cette pièce paraissait isolé du reste du bâtiment et disposait de sa propre source d'énergie... Joshua pianota un peu au hasard, comme la première fois, et la table de pierre s'illumina au bout de deux minutes. Des rais bleutés divergèrent dans toutes les directions, donnant à la pièce un aspect plus accueillant avec son éclairage.
Tous pouvaient distinguer l'étrange sculpture de façon plus claire et Cyril s'approcha alors de Joshua pour lui faire son rapport :
- "Cette figure ne nous est pas inconnue..."
- "Vous l'avez déjà vue ?"
- "Des rapports d'exploration qui nous sont parvenus décrivent dans le détail cette statue ; les quatre bras sont un élément crucial pour la reconnaître. Elle ne ressemble à aucune divinité valisthéenne commune, mais on en a trouvées plusieurs dans les bâtiments célestes..."
- "Vous croyez qu'il s'agirait de... leur dieu mystérieux ?"
- "Celui qui les a punis pour leur hubris ?" souffla Cyril. "Peut-être..."
Les deux hommes s'approchèrent de la figure de pierre. Encore une fois, son absence de traits faciaux terrifia Joshua. Soudain, une voix gutturale sembla résonner dans son crâne et il tomba à genoux... La langue qu'il entendait lui était inconnue et pourtant, il comprenait ce qu'elle lui disait...
N'INTERFERE PAS, PHENIX. TON TEMPS VIENDRA. QUAND MYTHOS SERA PRÊT.
Il toussa douloureusement, les larmes aux yeux, et quand il les rouvrit, il se trouvait dans un large cercle de feu, sur un sol pavé, sous le ciel étoilé. Tout autour de lui, il percevait vaguement des tours crénelées, et des sons de lames s'entrechoquant. La cendre qui tournoyait dans les airs lui piquait les yeux et il porta les mains devant son visage pour s'en protéger. Mais à travers ses doigts, Joshua distingua ce qui ressemblait à une silhouette sombre qui l'observait sans bouger... Elle lui disait des choses... qu'il ne comprit pas du tout cette fois... ou craignait de comprendre...
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Le garçon gémit de douleur et Jote se porta aussitôt à son secours. Cyril arborait une expression inquiète, mais n'osait pas toucher Joshua. La petite fille essaya de le relever.
- "Vous allez bien, Votre Grâce ?", s'inquiéta le Maître.
- "Non !...", souffla le garçon avec difficulté. Il ne semblait pas avoir bougé de l'endroit où il se trouvait, malgré sa certitude absolue de s'être retrouvé à Fort Phénix pendant un instant. "Vous n'avez pas entendu ? Cette... chose m'a parlé !"
- "Je n'ai rien entendu, Votre Grâce...", répondit Jote en posant la main sur le front de Joshua.
Le garçon ressentait une peur telle qu'il n'en avait plus connue depuis la Nuit des Flammes. Il se sentait mis à nu devant une volonté bien supérieure qui entendait lui dicter sa conduite. Une froide malveillance, une hostilité implacable émanaient de la statue dressée devant lui, ses quatre bras ressemblant à des pièges prêts à se refermer sur lui...
- "J'ai peur, Clive..." Comme toujours, il considérait son frère comme sa première protection face à ce qui l'effrayait. Mais Clive n'était plus là. Il devait se défendre seul. Il prononça alors un seul mot, qui résumait toute la perplexité que lui avait infligé ce qui avait bien été une attaque mentale.
- "Mythos ?", murmura Joshua en parvenant à se relever.
- "Qu'avez-vous dit, Votre Grâce ?" demanda Cyril.
- "C'est le mot que... il a prononcé... Qu'est-ce qu'il veut dire ?"
- "C'est la première fois que je l'entends..."
- "Je n'oublierai pas... ce nom."
- "Nous ferons des recherches à ce sujet dès que possible", conclut le Maître.
Joshua voulut s'éloigner au plus vite de cet endroit. Ses propres appartements étaient plutôt éloignés de cette chapelle maléfique mais la savoir plus proche qu'il n'aurait voulu ne le rassurait pas. Cependant, un adepte vint vers eux pour leur rapporter une trouvaille.
- "Maître, Votre Grâce, nous avons découvert des coffres derrière l'autel. Ils doivent contenir des artefacts si nos prévisions sont justes."
- "Bien, nous allons les emporter. Sa Grâce ne tient pas à demeurer plus longtemps dans les parages alors ne nous attardons pas."
- "Puis-je... refermer la porte derrière nous ?" hasarda Joshua.
- "Hmm... Nous emmènerons tout ce qui est digne d'intérêt. Vous pourrez la verrouiller de nouveau si cela vous tranquillise..."
- "Je vais aussi... la rendre au sommeil. C'est plus sûr..."
Son coeur battait encore très fort dans sa poitrine. Il ne voulait pas que cette pièce reste en activité...
- "Comme vous le souhaitez."
Le garçon se dirigea en chancelant vers le pupitre lumineux et effectua certaines manipulations. La chapelle gronda puis les rais bleutés s'éteignirent un à un. Il se sentit un petit peu mieux et cessa de trembler.
Tous s'apprêtèrent à revenir en arrière, les bras chargés de coffrets verrouillés, quand un adepte se mit à hurler :
- "Aaaaarrghh !"
L'homme se traînait par terre, tentant de rejoindre le portail de la chapelle, se remit péniblement sur ses pieds et rejoignit ses acolytes.
- "Une de ses diaboliques créatures ! Elle s'est réveillée !"
Il pointait du doigt une des alcôves abritant ce que les Immortels appelaient communément les Sentinelles. Une lueur blanche émanait de celle-ci et une créature insolite sauta hors du renfoncement pour s'immobiliser à quelques mètres d'eux.
Elle mesurait environ soixante centimètres de haut et possédait une silhouette franchement arachnoïde ; sa tête sphérique tournait sur elle-même avec énergie et presque de la curiosité. Elle semblait surprise de s'être éveillée et encore plus de la présence des Immortels. Un rayon bleu sortant de sa "tête" balaya l'espace devant elle, et vint effleurer les corps des explorateurs. Cyril se plaça devant Joshua.
- "Reculez, Votre Grâce. Nous connaissons ces créatures, elles gardent les ruines célestes des intrus ! Elles peuvent se montrer dangereuses..."
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Il dégaina une épée qu'il portait au côté et la brandit avec adresse face à la Sentinelle isolée qui ne paraissait pas décidée à attaquer. Jote se cacha derrière Joshua, les mains crispées sur sa robe. Elle pouvait utiliser sa magie en cas d'urgence pour repousser l'ennemi loin de l'Emissaire mais elle espérait ne pas y être confrontée...
L'arachnide avança de quelques pas et émit quelques cliquètements sonores. Elle sembla examiner chacun des explorateurs qui reculaient lentement vers la porte. Croyant qu'elle les laisserait tranquilles s'ils vidaient rapidement les lieux, Cyril indiqua la sortie. Mais la créature les suivit pas à pas, avec circonspection, n'exprimant toujours aucune marque d'agressivité. Elle se mit à sautiller sur ses pattes comme un enfant joyeux et des sons enjoués accompagnaient chacun de ses mouvements.
Joshua la trouva amusante. Il ne sentait aucune hostilité émaner de la Sentinelle, et il décela aussi - ce qui paraissait encore plus étrange - un semblant de vie sous cette carapace minérale. Aussi voulut-il s'en approcher, car cette forme de vie tout à fait inédite l'attirait fortement. Il tendit la main en faisant quelques pas en avant et Cyril s'alarma :
- Pas d'imprudence !"
- "Elle ne nous fera pas de mal. Elle est restée longtemps endormie et elle ne doit plus se souvenir de sa mission", décida Joshua. "Regardez, elle a l'air heureuse se pouvoir bouger de nouveau !"
- "Heureuse ?" demande Jote, pleine de doute.
Le garçon combla les quelques mètres qui le séparait de la Sentinelle et celle-ci tourna sa tête vers lui. Un nouveau rayon de lumière sembla l'examiner et, l'opération achevée, l'arachnide le laissa approcha sa main. Ses doigts caressèrent la surface de pierre blanche, qui devait avoir été lisse à une certaine époque mais qui comportait dorénavant quelques ébréchures.
Joshua ne parvenait pas à comprendre exactement à quoi il avait affaire. Cette créature était vivante à sa manière mais elle était de toute évidence manufacturée. Fonctionnait-elle grâce à la magie ? Etait-ce cette magie qu'il confondait avec l'énergie vitale propre à tous les êtres vivants ? Il refusait de penser qu'elle n'était pas vivante, le pouvoir du Phénix lui donnait la capacité de déceler la vie partout où elle se trouvait, et il ne pouvait se tromper. Il dut conclure qu'il faisait face à une forme de vie enfermée dans un réceptacle inanimé.
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L'arachnide le laissa lui gratter l'arrière de la tête et Joshua constata qu'elle était capable de sensations. C'était proprement stupéfiant ! Elle produisait des petits cliquetis de contentement que le garçon parvenait très bien à comprendre.
- "Tu es plutôt amical, dis donc ! Pourquoi es-tu le seul à t'être réveillé ?"
- "Si je puis me permettre, Votre Grâce", intervint Cyril qui s'était approché à son tour, la lame toujours au clair, "c'est peut-être le résultat d'un dysfonctionnement, cela ne présage rien de bon..."
- "S'il n'est plus capable de nous détecter comme des ennemis, je ne pense pas qu'il soit dangereux."
- "Nous devrions partir maintenant, en espérant qu'il restera là où il est..."
Joshua se détourna à contre-coeur, peu enjoué à l'idée de laisser la Sentinelle seule dans le noir. Il éprouvait une compassion inédite. Résigné, il rejoignit les Immortels dans le but de sceller définitivement le portail, mais l'arachnide se mit à gesticuler en le suivant de toute la vitesse de ses pattes. Elle émettait des hululements paniqués et se jeta presque dans ses jambes, ce qui fit tomber Jote à la renverse.
- "Hé là, mon petit ami, doucement !" s'exclama Joshua en s'agenouillant devant la Sentinelle. "Je crois qu'il n'a pas envie de rester ici. Et si... on l'emmenait ? On pourrait en tirer des informations intéressantes !"
Joshua commença à s'éloigner à grands pas, à reculons, et la créature le suivit d'une démarche sautillante, presque espiègle. Le garçon sourit avec bonheur et se prit même à lui lancer des appels de langue comme il l'avait fait jadis avec... un certain animal qu'il avait beaucoup aimé et qui était lui aussi sorti de sa vie avec brutalité...
Les larmes menacèrent de couler et il les ravala avec difficulté. L'arachnide sembla comprendre sa tristesse et se posta devant lui en levant ses pattes en l'air. Sa tête "se pencha" de côté et il émit une série de bips interrogateurs. Tout ceci se passa devant la troupe d'Immortels, médusés par le spectacle.
- "Merci, ça va... j'avais juste un souvenir lointain... Je peux t'appeler... Torgal ?"
Le dôme roula sur lui-même avec joie et ce fut entendu.
- "Bon, je vais l'emmener avec moi. Je le garderai dans ma chambre comme ça il n'ennuiera pas les adeptes", décida Joshua.
- "Dans... votre chambre ?" répéta Cyril, qui pensait avoir mal comprit.
- "Oui. Il n'y a aucun danger, je vous assure. Nous sommes déjà de bons amis. ll doit comprendre que c'est moi qui l'ai réveillé et il est reconnaissant."
- "Ces créatures ne sont sûrement pas capables de..."
- "Le Phénix me dit que si. Vous n'allez tout de même pas discuter ses intuitions ?"
Joshua n'usait jamais de son autorité d'Emissaire en temps normal, mais cela lui sembla nécessaire à cet instant.
- "Bien sûr que non, Sérénissime...", s'excusa le Maître avec humilité.
- "C'est entendu alors ! Torgal va vivre avec moi ! Il deviendra une bonne compagnie lorsque Jote se sera habituée à lui."
- "Euh, je vais essayer...", promit la petite fille.
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Toute la petite troupe remonta les couloirs vers les lieux de vie des Immortels, Torgal trottant à leurs côtés. Beaucoup parmi les adeptes n'avaient aucune confiance en lui mais les ordres de l'Emissaire passaient avant tout. Il ne leur en donnait quasiment jamais alors ils désiraient pour cette fois faire bonne impression.
Une fois sortis du dédale, les explorateurs chargés de butin rejoignirent les différentes salles d'examen des artefacts ; Joshua quant à lui, se dirigea vers sa chambre, épuisé après ses pérégrinations. Il avait envie d'un bon bain et peut-être ferait-il aussi une sieste. Jote partit immédiatement chercher les cristaux nécessaires et le garçon ouvrit la porte de ses appartements. Talgor se glissa dans l'ouverture après lui, semblant tout à fait comprendre qu'il était le bienvenu.
La Sentinelle se mit à fureter un peu partout, touchant de ses pattes curieuses les meubles et les objets à sa portée. Joshua découvrit alors qu'il pouvait se hausser "sur la pointe des pieds" et grandir de presque trente centimètres supplémentaires. Il avait hâte d'examiner de plus près les diverses capacités de son nouveau compagnon, mais la perspective du bain prima sur toute autre chose.
Quand Jote revint, elle évita avec difficulté Torgal qui avait la fâcheuse manie de se faufiler entre les jambes des gens, ce qui fit rire Joshua. Il ne pouvait s'empêcher de penser que cette araignée artificielle animée par la magie ressemblait fortement à un chiot joueur.
Le garçon fit couler et chauffer l'eau de son bain et se glissa avec délice dans le liquide infusé d'huiles essentielles qu'Adalia qui prescrivait. Il frotta ses bras et ses jambes et repensa brièvement à sa confrontation mentale avec le dieu des Célestes - ou quoi que cela soit d'autre. Il se rendit compte alors qu'il n'en savait pas grand chose et envisagea de faire de prochaines recherches à ce sujet. La voix menaçante qui l'avait interpellé mentalement lui fit de nouveau froid dans le dos... La porte avait été bien refermée et Joshua espéra ne plus jamais y avoir affaire.
Il voyait le rayon de détection de Torgal parcourir la pièce, s'arrêter sur chaque objet insolite, comme s'il en prenait note. L'arachnide semblait infatigable mais elle allait bien devoir se calmer un peu ; car maintenant qu'il était propre, Joshua aspirait à dormir.
Une fois sa chemise de nuit passée, il s'étira longuement en bâillant, s'assit sur son lit et regarda Torgal avec fermeté. Il leva un doigt comme pour le gronder gentiment.
- "Je comprends que tu sois enthousiaste, mais je voudrais dormir. Je n'y arriverais pas si tu fais du raffut !"
Torgal sembla comprendre et bipa trois fois. Puis il se dirigea vers un coin de la pièce, et Joshua, médusé, le vit replier ses longues pattes sous sa tête et elles disparurent complètement. La Sentinelle ressemblait maintenant à une sphère parfaite, prenant moitié moins de place qu'à l'état de veille. Les lumières sur son dôme disparurent et elle ne fit plus aucun bruit.
Le jeune garçon soupira, s'allongea et se couvrit de ses draps. Il était si harassé qu'il s'endormirait sans doute très vite.
- "Bonne nuit, Torgal."
Un unique bip se fit entendre en réponse et les rais de lumière qui éclairaient la pièce s'éteignirent à leur tour.
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kiuntisss · 1 month
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En ce moment je suis mega frustrée parce que je devais déménager dans une nouvelle ville cet été mais pour des raisons médicales je vais déménager mais plutôt chez mes parents 🤡 grosse ambiance à 25 ans.
Je n’arrive pas à supprimer l’appli seloger de mon téléphone et je bave devant tous les apparts que je vois. Pour palier à ma frustration je les dessine et je les meubles comme ci j’allais vraiment déménager (ouais les sims ne me suffisent plus). En voilà donc un. Il y en aura peut être d’autres (parce que je suis très frustrée)
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swedesinstockholm · 2 months
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
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unmatindoctobre · 6 months
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Dix novembre deux milles vingt trois. ✨
Aujourd’hui, est passé une année. Une année durant laquelle j’ai rendu un appart que j’ai gardé six ans et demi. Aménager un autre qui n’était pas le mien. J’ai eu le Covid. Été opérée d’une vésicule biliaire. J’ai démissionné de mon boulot que j’avais depuis six ans. Je me suis pacsée. J’ai intégré une nouvelle institution. Amoureuse, sans tomber. J’ai enterré ma grand mère. Et les regrets de ne pas avoir fait plus pour elle, qui m’as tant donné. J’ai signé la dissolution du dit pacs. J’ai mis ma vie en cartons. J’ai emménagé. J’ai eu des problèmes de santé. & de famille & d’amitié. J’ai cru mourir, deux fois.
Mais dans cette année, j’ai aussi repris une thérapie abandonnée depuis plus de deux ans, appris à m’asseoir pour parler. Reçue en serenité dans ce nouveau chez moi. Acheter des plantes. Été chercher le pain en pijama. Poser des limites à des gens très chers. Tester de nouvelles recettes. Perdu un lien que je pensais inébranlable. Fais des insomnies à vouloir se cogner la tête dans le mur. Accorder mon amitié et ma confiance entière à un garçon, le premier depuis lui, qui est parti sans se retourner un matin de juin 2009 & dont je ne me suis jamais remise.
J’ai appris à dire non plus fort et oui, plus intensément. Établie pour moi, et pour d’autres de nouvelles règles. Mis mon chat au régime. Acquis de nouvelles competences professionnelles. Et donner ma confiance à de nouvelles personnes. J’ai aussi fais le deuil de personnes pas encore mortes.
J’ai été très triste, touchée, en colère, sereine, perdue, aimée et très seule.
Et demain, je me mettrai au sport, prendrai soin de mes amitiés, tirerai un trait sur tout ce qui ne me fais pas du bien. Je me promet de préserver mon monde, ma solitude, mon espace secure, et l’amour que je peut porter. Quoiqu’il en coûte. Toujours. Je me promet de rester moi. Ce moi, parfois violent, insecure, instable autant qu’investie, honnête , entière, fidèle & engagée.
Je laisserai aux étoiles la magie de laisser couler mes larmes et aux rayons du soleil, mes éclats de rire.
Je continuerai, d’écrire, de chanter très fort dans la voiture, de cuisiner, de ressentir, de faire avec et aussi sans, de lui parler tout bas, de me relever, de les élever Elles et Elle, évidemment.
À cette année écoulée et celles qui viendront, encore. ✨
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