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#réveil dimanche
hcdahlem · 1 month
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Depuis toujours nous aimons les dimanches
Avec sa verve coutumière, Lydie Salvayre s'attaque à la «valeur-travail» qu'elle dézingue avec une joyeuse et féroce ironie. Son plaidoyer pour la paresse est un essai revigorant qui nous pousse à nous poser la question essentielle du sens de la vie.
    En deux mots De la volupté d’un réveil tout en douceur un dimanche matin aux cadences infernales de la femme de chambre qui se tue au travail toute la semaine, il y a un monde. Face aux ayatollahs de la valeur travail, voici un plaidoyer subversif pour la paresse. Pour se réapproprier sa vie, pour penser, pour lire. Pour s’émanciper. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Guide pratique pour…
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villefrancois · 2 years
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sallyhas06 · 2 years
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coovieilledentelle · 6 days
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Au réveil de ce dimanche… partager un café… un croissant croustillant…un câlin plein de tendresse…le tout préparé avec amour et la journée n'en sera que meilleure… Belle journée chers amis
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A nos réveils étincelants, puissent nos cœurs être éblouis par le bain de lumière à l'aube de chaque matin de nos âmes...
Beauté et lumière sur votre dimanche... Prenez soin de vous et soyez heureux...🙏☀️
#au-jardin-de-mon-coeur
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 119
Dimanche
Réveils dépareillés.
Marc et moi avons été réveillés par la sensation d'humidité sur nos bites. J'ouvre un oeil et je vois Ed à genoux entre mes jambes penché sur moi pour sucer ma gaule matinale. Je tourne la tête et vois Jimmy sur Marc. Je referme les yeux pour me concentrer sur le plaisir qui m'est prodigué. Ed fait passer mon gland de façon irrégulière dans sa gorge. Entre temps sa langue râpe la peau de mon gland le maintenant gonflé de sang. Au bout d'un moment, je sens mes couilles remonter vers ma queue, en général c'est annonciateur de jute. Ça ne manque pas et je lâche 5 ou 6 jets de sperme. J'ouvre les yeux pour voir Ed avaler la sauce. Ses lèvres soudées à ma bite ne laisse rien passer même si je vois dans ses yeux qu'à un moment j'en envoi plus qu'il ne peut ingurgiter. A mes cotés, Marc gave Jimmy qui avale mieux. Nous prenons tous les 4 une douche ensemble dans notre salle de bain.
Quand nous descendons, nous trouvons un petit déjeuner impeccablement dressé. Le café et le thé sont prêt, les croissants ont chauds, tout est nickel. Nous sommes les premiers mais pas de beaucoup, Igor et ses fils ne tardent pas à nous rejoindre ainsi qu'Eric et Ric (c'est systématique, Eric a un gros faible pour Ric !). Y'a eu des changements d'occupants dans les chambres d'amis durant la nuit !!
Samir nous apprend que Bruno et Arnaud sont partis chez eux mais qu'ils reviennent bientôt. Pendant le petit dej, les esprits se réveillent et les corps aussi. Avant la fin, quelques peignoirs ont l'avant déformés par des queues prêtes à en découdre.
Marc envoie Ed et Jimmy parfaire leurs expériences des pipes sur Igor et Eric. Heureusement pour eux que leurs bols étaient encore pleins car la profondeur à laquelle Eric s'enfonce dans leur gorge le leur aurait fait régurgiter. Les deux bénéficiaires me félicitent de l'efficacité de mes deux jeunes poulains. Ils reconnaissent dans leurs pipes ma technique. Je ne savais pas être aussi reconnaissable ! Tic et Tac les ont regardé faire, bandant sous leurs shortys.
Après les avoir fait juter dans un Sopalin, ils ont pu finir leurs petits déjeuners.
Pas de touze durant la journée. En fait dès qu'un des mâles avait envie, il s'isolait ou pas avec un ou deux des jeunes et nous les voyions revenir 1 h plus tard allégés. Marc est allé faire un tour avec Tic et Tac (l'effet jumeaux), Bruno a demandé à Eric de s'occuper d'Arnaud, pendant qu'il s'isolait lui même avec Jimmy. Seul avec Ed et Igor, nous nous sommes donné du plaisir dans le salon, après tout nous il n'y avait plus que nous ! Nous avons commencé par nous occuper de la queue d'Igor, pipe alternée, pipe à deux bouches, quand je suçais les 22cm de bite, Ed, lui, faisait rouler les boules dans sa bouche. Nous avons amené plusieurs fois Igor au bord de la rupture et nous avons du faire des pauses pour laisser retomber la pression. En 69 avec Ed, je me suis fait enculer par Igor. C'est un plaisir comme il suce ce petit mec ! C'est devenu un accro à la bite et au jus. Il y a des natures comme ça qui ne demande qu'à éclore. J'ai juste eu la chance d'être le catalyseur. Un peu plus tard, je me suis retrouvé le cul libre et à 10 cm de mes yeux j'ai vu la queue du venait de me quitter défoncer la rondelle d'Ed. les autres reviennent de leurs escapades sexuelles en chemin vers les douches du sous sol. Je sens des mains palper mes fesses et bientôt la bite de mon Marc s'enfoncer en moi. Je jette un coup d'oeil en arrière pour être sûr. C'est bien lui. Les coups de reins de nos enculeurs, accentuent la profondeur des pipes de notre 69. Je reçois en direct la dose de mon mec quand Igor lui rempli sa kpote.
Je n'ai pas joui et Ed non plus. Je le retourne et m'enfonce dans son passage rodé par Igor. Je lui demande de serrer le cul et ma bite retrouve des sensations de contrainte.
Tic et Tac s'approchent d'Ed et jouent avec lui. Tac lui donne sa queue à sucer et Tic approche sa bouche de la sienne pour l'aider à s'occuper de son frère. Quand je leur demande s'ils n'ont pas reçu leur dose ? il me répondent que si mais que le tableau que nous formons les excite grave.
Encore quelques coups de rein et je largue la sauce au fond de son cul. Tac, lui, jute sur le dos d'Ed. Son frère ne laisse rien perdre et aussitôt lèche la production familiale avant de venir la partager par une grosse pelle avec le producteur.
Nous passons une fin d'après midi autour de la piscine. Les questions fusent sur mon piercing à l'oreille droite, sur les vacances qui approchent (pour certains).
Pour les achever, je les emmène au garage pour leur montrer ma nouvelle acquisition. Une Yamaha YZF R1 noire mat. Je l'ai fait débrider à 150CV. C'est maintenant une véritable bête. Je l'ai montée jusqu'à 250Km/h mais il en reste encore sous la poignée. Nous allons devoir faire un tour en Allemagne pour vérifier sa vitesse de pointe !
Ils sont impressionnés par la bête. Démarrage et quelques coups de poignet font venir nos ainés. Eric qui ne l'avait pas encore vu tourne autour et me traite de fou quand je lui donne la puissance. Il m'attrape par le cou et me frotte la tête de son poing tout en me disant de faire attention, avec ce type de machine, le décrochage peut être dangereux.
Marc hausse les épaules en lui disant que de toutes les manières je fais ce que je veux avec qui je veux et quand je le veux et qu'il faut faire avec et pour illustrer son propos, il me tire l'oreille que j'ai fait percer dernièrement.
Eric exige de moi que je revienne avec cette moto prendre deux ou trois cours particuliers. Je grogne pour le principe mais accepte. A 250 km/h c'est vrai que j'en menais pas large quand même !
Je vais passer trois soirées la semaine suivante, sous l'oeil d'Eric et avec ses conseils à augmenter ma maitrise de l'engin. Il me fait principalement travailler les freinages. C'est le plus délicat avec ces machines hyperpuissantes. Quand je ressors de la semaine, je maitrise beaucoup mieux mon engin. Mais il faut que je fasse attention quand même. Pour le remercier, même s'il ne m'a rien demandé, je le fait bander (ce qui est relativement facile) et lui offre la meilleur pipe que je suis capable de faire sur une bite de 26 x 7 !
Heureusement que mes deux jeunes recrues sont des petits formats car la selle passager du R1 est encore plus réduite que celle de mon Monster ! D'autre part ça les obligent encore plus à se coller à moi et à s'accrocher à mon paquet !
Mes parents qui nous avaient invités un soir, ont été surpris quand nous sommes arrivés. Ils ne s'attendaient pas à ce qu'on vienne en moto et de plus ma nouvelle combinaison cuir noir, casque noir mat, les a fortement impressionnés. C'est vrai qu'avec elle, je n'ai pas intérêt à tomber en panne d'éclairage la nuit !! Comme c'est une intégrale une pièce, je me retrouve en shorty et Tshirt pour le reste de la soirée. Marc lui en combi deux pièces peut garder son pantalon. Mon père est impressionné par ma musculature. Il est vrai que la dernière fois où il m'a vu assez dénudé, je devais avoir 18 ans et les dernières années, ma pratique sportive a donné de bon résultats.
Ma mère me trouve un look inquiétant surtout avec l'oreille percée. Pour mon père ce détail doit me gêner dans mon travail. Je leur dis alors les modifications dans ce secteur. Je pense que cela fait quelques temps qu'ils ont renoncé à me comprendre. Ils me laissent tranquille et nous passons une soirée somme toute assez agréable.
Au retour, Marc qui me suit me fait des appels de phares, je ralentis pour le laisse venir à mon niveau. Il me montre son réservoir, non plutôt son paquet ! Ok j'avise la première aire de repos et m'engage dans la boucle de détente dans le petit bois attenant. Il fait nuit et il y avait juste une voiture est garée devant le block sanitaire.
Je cale ma moto sur la béquille latérale (y'a pas de centrale). Marc fait de même mais sur sa béquille centrale. J'ai compris, mais je suis en combi une pièce ! je la dé zippe et la descend sous mes fesses. Je me couche en travers de sa selle. A peine penché en avant, je me sens sailli par mon mec. Il se couche sur moi et me traite de salope à l'avoir allumé pendant tout le repas à m'être pavané quasiment nu ! (nos propos sont étouffés par les casques que nous avons gardé sur nos têtes). Sans préparation, je sens bien ses 22cm me ramoner le conduit. Cette prise à la hussarde me rappelle les premiers temps de notre relation. C'est trop bon !! Très excités, nous arrivons vite à bout et je jute contre son réservoir. Trop bon de se faire traiter comme la salope que je suis ! Quand il jute, je serre le cul comme un malade. Il ne peut plus bouge, la bite bloqué par mon anus ! Une tape sur mon épaule droite et je le libère. Quand je me redresse, je vois un mec à quelques mètres dans les bois se finir à la main. Quand je lui demande si le spectacle lui a plu, il se sauve en courant. Encore un hétéro honteux !
JARDINIER
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cestdanslatete · 2 months
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J'ai envie de l'écrire pour que, plus tard, je n'oublie pas que c'est possible.
J'ai passé des journées un peu compliquées au travail, ces derniers jours. Pas les pires, mais quand même des matinées où le cerveau ne veut pas se décrocher du lit & du smartphone, des heures à se retenir de pleurer, des remises en question qui tournent en boucle.
Pourtant, tout de suite maintenant, on est dimanche soir et c'est un peu moins le chantier dans ma tête. Le retour des "possibles". Peut-être que la semaine sera plus positive, peut-être que j'arriverai à me lancer sur de cool projets, peut-être que j'arriverai enfin à me remettre sur cet exam'... Quand même un peu peur du réveil de demain matin & de la chimie dans mon cerveau. Mais on verra ! Je préfère profiter à cet instant (tisane avec du gingembre, crumble fait maison).
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perduedansmatete · 1 year
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Est-ce que tu serais ok de montrer ta chambre? J'ai trop envie de voir à quoi elle ressemble, elle a l'air stylax
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j'ai décidé de réanranger la question comme je le voulais car je suis une canaille et de faire seulement offrande des recoins les plus emblématiques:
à commencer par la table de nuit où repose ma lampe de chevet qui fait surtout office de portant pour mes colliers ainsi qu'une grosse bouteille de parfum paco rabanne pour me rappeler comme je l'aime dès le réveil peut-être, moi même je ne sais pas
il y a l'affiche de peau d'âne parce que meilleur film du monde avec un petit éventail par dessus qui n'a rien à faire là mais je l'aime bien, ma mamie me l'avait donné petite et il sent toujours aussi bon, c'est étrange mais ça me rassure
le beau miroir triptyque que j'ai volé dans la maison de mon aïeul inconnu au bataillon trop stylé à défaut de pouvoir voler la maison toute entière...
on trouve expressément au dessus de la fenêtre une sortie de secours subtilisée cette fois-ci quand j'étais au lycée, qu'on a en commun avec mes deux meilleurs copains (dont celui à qui je ne réponds plus depuis des mois et que j'ai croisé par hasard après mes six vomis consécutifs dimanche matin mais c'est une autre histoire)
une bébé lithographie de moi qui me réveille par toulouse lautrec (oui oui, c'est moi) surplombée par kate bush auréolée qui veille sur moi juste au dessus de mon lit (ça ne marche pas)
je dispose aussi d'une grande collection de numéros de téléphone qui pourissent au dessus de ma porte parce que je suis folle et que si un jour je m'ennuie j'ai plein d'amis comme ça
il faut faire comme si on ne voyait pas le coin de la honte où gît une guitare jamais utilisée et un tapis de yoga abandonné depuis trop longtemps...
dans la catégorie objets volés il y a également cette lampe à pétrole qui appartenait à mon père mais qu'il ne récupérera tout simplement jamais
et pour finir la star, la seule et l'unique: l'ardoise mémopolitain (j'ai capté deux ans après que ce n'était pas écrit métropolitain...)
+ bonus bébé lou devant pour toi ♡
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argentinechili2024 · 1 month
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Arrivée à Santiago au Chili
Il nous fallait quitter la chambre à 7 h 30 ce matin. Le réveil a été dur, car je n’ai pas très bien dormi. Je suis encore malade, mal de gorge, toux, nez qui coule et ça perdure malgré les Tylenol extra-fort que je prends.
Après un débarquement sans anicroche, nous avons tenté de commander un Uber avec le cellulaire de Susan. Le premier chauffeur a refusé la course, et lors de la deuxième tentative, la transaction a échoué, car le système pensait que quelqu’un faisait de la fraude avec la carte de crédit, car on avait encore changé de pays. Baire est arrivé à la rescousse, et pour la première fois de sa vie, il a commandé un Uber. On a fait l’aller-retour entre le derrière du bureau de douane et le devant avant de localiser l’auto. Ça a pris 1 h 30 pour arriver à Santiago.
Nos amis sont venus déposer leurs valises à notre appartement, puis nous sommes allés manger dans un restaurant vénézuélien où on sert toutes sortes de viandes grillées. Poulet, bœuf, porc, c’était une assiette de cochon, mais vraiment très très bon. Il était 15 h quand nous sommes sortis de l’endroit où il n’y avait que des gens du coin, un très bon signe.
Revenus à l’appartement, j’ai fait une sieste et Susan et Daniel sont partis explorer la ville. Robert est allé acheter du pain, du café, des confitures et du lait pour le déjeuner.
Vers 19 h, nous sommes allés prendre un verre dans un quartier très chouette, entouré d’arbres, de restaurants et de vendeurs de babioles. Nous y retournerons souper, c’est certain.
Nos amis sont partis à l’aéroport vers 21 h, car ils ont un premier vol de Santiago à Bogota, à 1 h 30 du matin. En fait, nous partirons comme eux à la même heure dimanche.
Demain, nous avons prévu de visiter plein de choses. Espérons que je serai en meilleure forme.
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Lever de soleil à Valpairaiso à 8 h ce matin.
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Les petites maisons colorées de Valparaiso, du pont du bateau.
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Tous les drapeaux des pays d’où proviennent le personnel du navire. Ils ont été hissés sur le pont du bateau pour une première fois aujourd’hui.
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Assiette de viande rôties ce midi, ou plutôt cet après-midi. On a pas eu besoin de souper.
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Dernier verre avant que nos amis repartent en direction de San Diego, aux États -Unis.
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Nous, à Santiago.
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Au coin de la rue où se trouve l’appartement. On est en plein centre-ville.
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claudehenrion · 3 months
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Ce que parler veut dire... ou pas !
Notre langue a perdu son rôle de lien social. Ce n'est plus qu'un moyen de coercition, de viol des consciences, d'interdiction de sortir d'un cadre inefficace, étouffant et décérébrant... au profit exclusif (croient-ils, ces idiots ! Leur réveil sera douloureux !) des tenants d'une idéologie ''de merde'' (Pour une fois, je ne vais pas m'excuser : c'est exactement ce qu'elle est, et rien d'autre !). Parler ne veut plus rien dire, être compris est le dernier souci de rédacteurs qui ne respectent rien, et se servir des mots pour cocufier le gogo est la dernière arme du progressisme.
Pourtant, même si on se croit préparé, apte à faire face, et ayant prévu que la ''langue française'' n'était plus ni l'une (elle n'échange plus, elle affirme des truismes), ni l'autre (c'est un ''mix'' de mauvais anglais et de français résiduel), il arrive qu'on se laisse surprendre par des lectures... que l'on aurait préféré ne pas faire. Par exemple, un spécialiste-mode (sic !), écrivait hier dans La Tribune du Dimanche, ce qu'il croit utile à la bonne marche du monde :
Titre : Le cuir revient en force sur les podiums'' (vous ne direz pas que vous n'étiez pas prévenus : en cette année où Paris devient un enfer-version hidalgo sous prétexte de Jeux Olympiques, c'est intéressant de savoir ce qui va se passer sur les podiums !). Le cuir, donc, revient en force sur les podiums (qui, vérification faite, ne sont pas olympiques), mais ''le trompe l’œil des bomber Berlutti, que l'on prend de loin pour du velours ou du daim, donne des envies d'all-over''. Et en lisant ces lignes, j'ai réalisé brusquement à quel point étaient puissantes mes envies d'all-over ! C'est fou, quand on y pense, comme il se passe en nous de choses dont nous n'avions pas senti la montée sur le podium...
Depuis quelques jours, j'avais comme des sueurs, un truc qui me réveillait en pleine nuit, et je m'inquiétais –bien à tort : c'était juste une envie, un besoin d'all-over ! Poursuivant ma lecture, j'ai appris, comme ça, sans préparation à un tel événement, que ''les tons neutres sont de tous les catwalks'', et que ''la clé pour twister les monochromes pouvant paraître fades'' est simple comme Bonjour : ''c'est le layerling en 4, 5, voire 6 couches''... Quand je vous disais que tout n'est pas perdu et que le pire n'est que très rarement la seule solution !
Ah ! J'oubliais ! Il faut faire très attention à ne pas oublier que ''le formal casual connaît un fort retour en grâce face aux joggings et hoodies aux couleurs vives'', ce que j'avais remarqué, mais sans mettre dessus un nom de pandémie. Mais fort heureusement, tout ce qui précède est légèrement tempéré par le fait –remarquable s'il en fut !-- que ''le look western de la tête aux pieds confirme son retour triomphant''. (''Ben voyons ! '' commenterait Zemmour), ce qui ajoute une dimension non neutre à la liste des problèmes que toutes ces magnifiques nouvelles font tomber d'un seul coup, toutes ensemble : il va falloir ressortir des imitations de santiag et des franges en-veux-tu-en-voilà, sans oublier le bolo, à nouveau indispensable.
Et n'allez surtout pas me dire que vous ne savez pas ce que c'est qu'un bolo, cette merveilleuse invention de Vic Cedarstaff, brevetée à Wickenburg, en Arizona au début des années '50 : là, comme dirait Alain Rémond, je ne peux plus rien pour vous. Déjà que je vous ai servi à domicile le ''koulchi'' pour vous permettre de bluffer vos catwalks grâce à l'all-over qui va vous twister, à fond la caisse, le monochrome boosté au layerling en 6 couleurs du nouveau formal casual de vos hoodies en bombers trompe l'oeil, vous ne voudriez pas que je vous paye votre ''boite à fromage'', en plus ?
Trois questions me taraudent : La première : est-ce que le génie de la mode qui a écrit ce torchon croit qu'il ou elle parle, même un tout petit peu, le français ? La deuxième : combien gagne-t-il ou elle  (alternative : combien a-t-il ou elle osé facturer cette monstruosité) ? Et la troisième : est-ce que vous voyez de quoi je parle lorsque je dis que ''La folie est sortie des asiles'' ? Parce que, en cas de doute, j'ai autre chose à vous raconter... [Ici... changement de registre, du sourire aux larmes].
Il y a deux jours, le 22 janvier très exactement, je vous parlais, à propos de tous les ''scandales-du-siècle'' qui polluent notre environnement sans interruption (''H 24'' comme on dit en néo volapük francoïforme), des ventes des voitures ''tout électrique''. L'éditorial s'appelait ''L'heure des comptes'', et on y lisait, notamment : ''A force de tricher, de mentir, de se prostituer et de faire la danse du ventre, l'Europe et la France ont réussi (à quel prix !) à faire décoller les ventes de voitures électriques (surtout les marques étrangères).''. Or... figurez-vous que j'ai trouvé, il y a deux heures, à quelles sommes vertigineuses s'élevait ce ''A quel prix''... dont les montants himalayens sont dans la ligne du ''quelqu'en soit le prix'' que Le Maire nous assure, avec son faux air de vrai colin-froid-mayonnaise, avoir abandonné (NB- Sa dernière incontinence mérite le pilori : ''J'avais dit que l'électricité augmenterait, mais ''de moins de 10 %'' . Et bonne nouvelle (sic !) : il ne va augmenter que de 9,8... J'ai tenu ma promesse (re-sic !)''. Il y ''en a des''... qui se perdent ! D'où ce ''second'' blog, d'un ton très différent : j'ai décidé de ne pas falsifier mon humeur joyeuse du début de la soirée de ce Mardi... mais de laisser éclater ma rage de ce soir...
Dites-vous bien, chers amis-lecteurs, que pour chaque voiture qu'il se vante d'avoir ''vendue'', l'Etat, dans son irresponsabilité criminelle, sort de sa poche –c'est-à-dire la vôtre-- 13 000 €uros ! Je le répète, car c'est trop affreux : 13 000 €uros par véhicule ! Pas étonnant, que les ventes se mettent à décoller ! Nos irresponsables-au-pouvoir prévoient 35 000 dossiers de ces ''véhicules à 100 €uros par mois''. Mais à ces conditions là, ça va être 10 fois plus ! Je me demande même si moi, qui suis opposé à la bagnole dite ''électrique'' (puisqu'elle n'est que ''fiscale''), je ne vais pas en commander 10 ou 15, tout de suite ! Ou plus !
Et pendant ce temps, nos pantins surpayés prétendent ne pas trouver d'argent pour les familles dans la rue, pour nos villages terrifiés par la ''ventilation des immigrés'' et pour nos enfants drogués par les mêmes ou à peu près, pour nos écoles qui s'enfoncent dans la violence, pour nos pauvres hôpitaux en voie de clochardisation, pour notre France explosée en camps adversaires (au lieu de ''adverses''), pour les paysans qui en sont réduits au suicide par la bêtise criminelle de la grosse Commission européenne et de ses partisans, progressistes et autres...
Mais ils en trouvent, des sous, pour ''accueillir toute la misère, vraie ou fabriquée, du monde'', pour subventionner tout ce qui ne devrait surtout pas l'être, pour ne pas arriver à combler le trou sans fin d'une guerre qui n'est pas la nôtre contre un ennemi qui n'est pas le nôtre, pour satisfaire tous les fantasmes, tous mortifères, d'Ursula von der Leyen, pour alimenter généreusement les chimères sociétales de théoriciens ennemis de toute humanité... ou pour subventionner, à 13 000 € l'unité, des constructeurs de voitures dont la fabrication est polluante et qui ne rouleront bientôt plus, faute d'électricité en quantité suffisante...
Je suis, vous vous en rendez compte, totalement scandalisé. C'est bien la première fois, en 11 ans de ''Blog'', que je laisse transparaître un sentiment ''perso''. Mais trop, c'est trop ! On ne peut pas laisser ce gang d'incapables piller la France et confisquer ses (= nos) ressources pour toutes les mauvaises causes qui sont les seules qu'ils ont en portefeuille... Pardon ! Demain, je serai calmé.
H-Cl
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au vent tempétueux, la poésie ne cède pas, elle redouble ; ce vent à déclamer, ce vent à chanter, pour embrasser l’espace, embraser la lumière ; ce vent qui, comme elle, a le don de ranimer l’évanoui, d’envahir tous les reliefs de la vie, de rendre visible l’invisible ; au réveil de la nature, au lyrisme des jours, reviendra toujours son exécution sur la plaine sentimental des coeurs  
© Pierre Cressant
(vendredi 12 mai 2006 - dimanche 19 mars 2023)
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borisdunand · 4 months
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Un silence insupportable
Un silence particulier. Un silence plus intense que celui des dimanches. Je marche sur le trottoir, dans Carouge, je fais mon tour habituel, mes pas du réveil. L'air est mordant, le ciel bleu foncé avec de grandes rainures pâles, le soleil pas encore levé a déjà effacé les étoiles. Pas une voiture. Un cycliste roule les mains dans les poches. Ah mais oui, c'est parce que c'est Noël, tout est fermé, tout est en congé. Presque : dans le café en bas de mon immeuble, une dame ajuste l'emplacement des viennoiseries. Le silence est frappant. Je l'entends fort.
J'entends aussi d'autant plus fort les bruits qui le recouvrent habituellement. Leur intensité, leur omniprésence, leur agressivité. À la même heure, en semaine, je suis entouré de plusieurs dizaines de voitures, de vespas, de motos, de précipitations, d'accélérations, de grincements, claquements, craquements, de voix et de cris, de silhouettes pressées qui s'entrecroisent. Là, rien. Le cliquetis poétique et bref du vélo. Le visage distinct d'une femme qui vient poser une lettre dans la boîte. Des chants d'oiseaux !
J'écoute ce silence, je me souviens du bruit, je soupire. Toujours, toujours la même interrogation, le même vacillement : est-ce que j'ai vraiment choisi ? Est-ce que l'habituation annule les effets de l'agression ou bien la rend-elle faussement indolore ? Est-ce que je fais avec sans m'en rendre compte ou est-ce que ça ne m'atteint réellement plus ? Quel est le coût de cet effacement, de cet oubli ? Cet oubli qu'il y a un silence dessous, un calme, des pépiements mélodieux, il y a tout ce que je sens à l'instant : du calme, de la douceur, de la tendresse, de la beauté, un possible moment de tranquillité, voire de plénitude.
La réalité de mon quotidien, si radicalement différente de ce que cette promenade me fait vivre, au même endroit, à la même heure, dans le même corps et les mêmes humeurs, cette réalité me saute au visage, comme un monstre fendant la toile de silence qui m'entoure en me gueulant soudainement dessus. Pourquoi ? Pourquoi je vis ça tous les jours ? Pourquoi je ne vis pas ça plutôt ? Comment faire ? Est-ce que ça changerait vraiment ? Où aller chercher ça ? A la campagne ? Et les trajets pour le travail, la culture, la vie sociale alors ? Dans un coin privilégié de la cité ? Avec quelles ressources financières ? En passant d'un mi-temps à un temps complet, mais alors quel temps me restera-t-il pour profiter, créer, rêvasser, faire ma promenade du matin ? Donc je reste là, j'oublie, je m'habitue, je retourne dans mon immeuble où tous les jours des gens claquent les portes pour les fermer, marchent en tapant du pied sur le sol à deux heures du matin malgré qu'on leur aie demandé d'éviter de le faire, descendent les escaliers à la façon d'un pachyderme saoul et paniqué, poussent et tirent à hue et à dia chaises, tables et meubles en oubliant les capacités motrices de leurs membres supérieurs… Jusqu'à quand ?
Dans ces moments, j'ai des micro-crises épileptiques, des fractions de convulsions neurales où je me vois habiter radicalement ailleurs, et tout mon système psychique et physique semble à deux doigts de s'effondrer sur lui-même. Je me vois en train de marcher le long d'un champ, d'une plage, d'un lac, ces images me traversent comme des éclairs et sont absolument insupportables.
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Réveil tout en délicatesse, rien ne presse , ralentir le rythme, rien ne sert de courir :
"il faut juste partir à point "
Jean de la Fontaine.
Il me faut juste un bon café pour partir du bon pied !
Souriez, riez, pétillez, prenez la vie du bon côté, voilà tout ce que je vous souhaite en ce dimanche !
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homomenhommes · 15 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 146
Dimanche chez Alex et Johan
Réveil tardif et seul. J'enfile un shorty et sors de la chambre. comme je passe devant celle de nos hôtes, et que la porte est entrouverte, je jette un oeil et voit Johan seul sur le lit. Nu sur le ventre, je me laisse attirer par son dos parfait et ses fesses rondes. Comme je m'approche, il dort toujours. Je me glisse à ses cotés et passe ma main délicatement sur son corps. Un léger frisson parcours sa peau sans le réveiller. Je remplace ma main par mes lèvres. Je pose ma langue sur sa nuque et descend la colonne vertébrale jusqu'à ses fesses. Là j'obtiens une réaction et il se tourne entrouvre les yeux et me voit. Il tends les bras et m'attire vers lui. Nous nous roulons un patin avant de nous rendormir collés. C'est une bonne heure plus tard que nous sommes réveillés par Alex et Marc mort de rire de nous trouver ainsi. Je mate les braguettes, elles sont bien tendues. Ils avancent tous les deux du même coté du lit. Pas la peine de faire un dessin, je m'approche du bord, défais la ceinture et ouvre le pantalon de Marc alors que Johan fait de même à mes cotés avec son mec. Les 22cm de Marc sortent comme un diable de sa boite. J'attrape le gland au passage et aspire sa queue. Pour plus de pratique je me mets à 4 pattes sur le matelas. Johan m'imite et nous sommes collés des épaules aux hanches. Les mains de nos mâles tiennent nos têtes et ils utilisent nos bouches à leurs grés. Nous ne sommes que les réceptacles de leurs excitations. Régulièrement le gland de Marc passe la glotte et vient se faire serrer par ma gorge. Un coup d'oeil de coté et je vois qu'Alex s'enfonce aussi jusqu'aux amygdales de Johan. 5 mn à nous bourrer nos gorges et ils se lâchent. J'avale tout et Johan de même. Chacun prend bien soin de ne laisser sortir le gland de son " nourrisseur " qu'une fois nettoyé du moindre spermatozoïde survivant.
Alors qu'ils les rangent derrière leurs braguettes, Johan et moi sommes bien réveillés et nos tiges tendues à mort prouvent l'état dans lequel ils nous ont mis. Je me jette sur Johan et embouche ses 20cm. Il me fait tomber sur le lit et en 69 me rend la pareille. J'ai l'impression de me faire une auto-fellation ! Marc et Alex nous quittent en nous disant que le café nous attend. Seul Johan et moi, nous nous faisons l'amour. Doucement, sensuellement, chacun exacerbe l'excitation de l'autre. Le 69 nous ayant amené au bord de la jouissance, nous nous sommes arrêtés et avons laissé retombé la pression. Dans les bras l'un de l'autre nous nous sommes roulés un patin lent, langoureux avant que je glisse ma bouche sur son cou, son pec gauche avec arrêt sur le téton pour le faire durcir et le mordiller. Continuant ma descente, ma langue a repris contact avec son gland, mais juste pour aller titiller son frein puis descendre encore plus bas pour prendre ne bouche une puis ses deux boules et les faire rouler délicatement sous ma langue. Quelques instants plus tard, je cheminais sur son périnée et atteignais enfin les bords de son anus. Pour m'aidé, il avait relevé ses jambes et les retenais sous ses genoux, cette position, mettant son anus à découvert. Là, j'ai mis tout mon savoir faire à lui préparer la rondelle. D'un passage sage de ma langue sur l'anneau, au pointage de cette dernière dans son trou, du mordillement des abords au salivage " grande eaux ", tout y est passé. Le but étant que j'obtienne de lui une demande d'enculage dans les règles. Je crois qu'il appréciait tellement qu'il a fait durer le plaisir. Ce n'est que bien ouvert (en cours de route mes doigts étaient entrés en action eux aussi), alors que ma langue léchait sans difficultés le premier cm de trou qu'il m'a enfin supplié de l'enculer. Kpote mise express sur ma bite qui bandait déjà depuis le début et je m'enfonçais avec délice au plus profond de son être. La préparation longue avait porté ses fruits et sans plus de lubrifiant que ma salive et celui du préservatif, je glissais mes 20cm entiers. Arrivé au fond, si on peut dire, je n'ai plus bougé. Nous sommes restés tous les deux à apprécier ce moment. Couché entre ses jambes, j'ai approché mon visage du sien et nous nous sommes roulés un patin. Ce moment spécial s'est interrompu quand j'ai senti son bassin commencer à bouger, rouler sur ma tige. Quelle salope ! la poésie du moment étant passée, je me suis redressé et mes mains à la pliure de ses genoux, j'ai entamé un limage de compétition. De grands coups de bassin destinés à utiliser la totalité de mes 20cm, une arrivée en buttée violente pour ne pas qu'il perde un seul mm de ma queue, des pilonnages de fond de trou, en passant par tous les type possible de ramonage, je l'ai fait crier de plaisir. De son coté, il m'a joué tout le panel possible de pression anale, de faible me laissant passer sans problème à forte où j'étais obligé de pousser fort pour rentrer.
Alors que je m'arrêtais quelques instants pour éviter de juter, il m'a glissé qu'il souhaitait me rendre la pareille.
Aussitôt je me dégageais et me posais à 4 pattes sur le lit. Ses mains ont écarté mes fesses et j'ai senti un courant d'air sur ma rondelle juste avant de sentir le mouillé de sa salive. Maitrisant assez bien mon muscle anal, je me suis détendu pour faciliter l'entrée de sa langue. Bien chauds, les préliminaires ont été expédiés assez vite. J'ai senti alors son gland se poser sur mon trou. Un petit coup de ses reins et il m'a entré son gland puis s'est arrêté. J'en voulais plus et il faisait exprès de me faire lambiner. J'ai donc reculer d'un coup, emprisonnant la totalité de sa queue dans mon cul. là, j'ai serré mon anneau pour qu'il ne puisse plus bouger (ce qu'il n'est pas encore capable de faire !). Je l'ai relâché alors qu'il me boxait (gentiment) les cotes pour que je cesse. Il sait enculer très bien aussi même si ce n'est pas sa " position " avec Alex. Ce n'est pas plus la mienne avec Marc d'ailleurs. J'ai bien apprécier sa technique et il savait bien taper sur ma prostate à chaque intromission. Excité par notre première partie, nous avons atteint rapidement le summum et il a rempli sa kpote au fond de moi comme je recueillais dans ma main ma production. Je me couchais sur le dos et alors qu'il n'avait pas encore bougé, j'ai fait couler lentement mon sperme dans ma bouche. Ses yeux fixés sur moi, un " saloooope " est sorti du fond de son coeur. J'ai avalé puis éclaté de rire. Il s'est couché sur moi et nous avons roulé sur le lit
Douches ensemble dans leur salle de bain et nous sommes descendu son bras sur mes épaules et le mien sur ses reins.
Notre arrivée dans la cuisine nous a valu quelques commentaires sur notre discrétion. C'est vrai que toutes les portes ouvertes, ils ont du en entendre une bonne partie ! C'est toujours collés que nous disons bonjours à nos hommes.
Lors de leur prochain passage à la maison nous inviterons Igor et ses jumeaux, je suis impatient qu'ils me découvrent avec Johan.
En attendant, Alex nous rappelle que dans quelques heures arrive le premier mec pour le poste de service. Vu l'heure, nous brunchons, Café, jambon, oeufs, fromage, croissants en dessert.
Le premier convoqué est l'étudiant blond. Il arrive à deux heure pile, ponctuel ! Johan lui ouvre et l'emmène au bureau. Configuration : Alex derrière son grand bureau, Marc à ses cotés, Johan et moi sur des fauteuils. Le mec est assis sur sa chaise au milieu. Alex vérifie le pédigrée, il s'appelle Julien, et lit la carte d'identité pour s'assurer de sa majorité (il a en réalité 20 ans). Puis vient une première série de question (préparées avec Marc). Les réponses sont satisfaisantes. Notamment sur le trip " service complet ".
Vient le passage strip-tease. Les vêtement larges dévoilent un corps bien musclé (muscu et natation) imberbe et rasé (pas de poils pubiens visibles), légèrement bronzé avec un soupçon de marque de maillot. Sa bite au repos fait déjà une bonne dizaine de cm et surplombe deux petites couilles collées.
A la demande d'Alex, il se branle et nous présente rapidement un beau 22cm x 5, gland dégagé. Sur ordre, il se tourne et présente son dos, il se penche et écarte ses fesses. L'anneau dévoilé est très légèrement ovale, signe d'une utilisation par de bons diamètres. Pas de poils non plus de ce coté là.
Alex se lève et vient s'appuyer sur le devant du bureau, Marc se positionne à ses cotés. On passe maintenant aux exercices pratiques. Je devine, et je ne suis pas le seuil, leurs deux bites bien bandées. Julien se met à leurs genoux et commence à ouvrir la ceinture et la braguette d'Alex. Il en sort le beau 23x6 qui se cachait derrière. Sans appréhension, il l'embouche arrivant même à coller ses lèvres sur le pubis. Vu sa position ça dénote une bonne pratique de la chose ! Il lui fait le coup encore 2/3 fois puis passe aux 22cm de Marc qu'il avale avec la même facilité. Johan sort de son fauteuil et entreprend de lui graisser le cul après l'avoir soulevé pour le mettre en position 4 pattes. Je le vois enfiler deux doigts du premier coup. J'en déduit qu'il ne sera pas des plus serré ! Alex me demande de l'enculer en premier. J'obéi et tombe mon jeans avant de me placer. Le temps que Johan me couvre d'une kpote, je passe deux doigts dans son cul et tire vers le haut pour qu'il se mette sur ses pieds. Cela fait, il est plié à 90° pour sucer nos mecs. D'un pieds, je lui écarte les siens pour mettre sa rondelle à la bonne hauteur puis l'enfile. Bien lubrifié par Johan et surtout avec un trou qui en a vu d'autre, je m'enfonce jusqu'à butter mon pubis sur ses fesses sans difficultés. Mes mains sur ses hanches, je lui tamponne le cul sèchement. Alex me demande alors de leur lui laisser. Je m'écarte et il offre à Marc de me remplacer. La salope est alors embroché comme un agneau de méchoui. Avec Johan, nous admirons le technicité de nos deux hommes tout en nous caressant l'un l'autre. Echange de places et Alex teste enfin le trou de son futur serviteur. ;Marc et Alex commente Julien comme si ce dernier n'était pas entre eux. Ils analysent sa capacité buccale et anale de façon quasi clinique. A ce qu'on peut voir, ça ne fait pas débander Julien. Alex demande alors à Johan d'aller chercher le matériel. Je suis surpris car le sujet n'étais pas venu sur le tapis avant. Johan revient avec collier et laisse, harnais. Pause pour enfiler tout ça sur Julien et serrer les attaches. Le cuir noir ressort bien sur sa peau blanche. Nouveau tableau. Alex demande à Johan de kpoter Julien et de se faire enculer. Nous apprécions quelques instants les coups de reins pro de Julien dans le cul de Johan avant qu'Alex lui rentre à nouveau dans le cul. Marc me rejoint et je le satisfais en parallèle par une bonne pipe et reçois ma récompense par son jus délectable. Je relève la tête juste pour voir l'explosion en cascade, Johan sur le bureau, Julien, à la demande d'Alex, a sorti sa bite et éclabousse le dos de Johan d'une bonne couche de sperme blanc alors qu'Alex se vide dans sa kpote, les main sur les hanches de Julien pour enfoncer ses 23cm au plus profond de son cul.
Quelques instants plus tard, tous réajustés dans nos vêtements, Alex monte avec Julien au deuxième étage pour montrer ses futurs appartements. Au retour, il le congédie en lui promettant une réponse en fin de semaine suivante.
Je propose alors à Alex de voir ce que la police a sur lui dans ses fichiers ainsi que pour le second postulant, si ça peut le rassurer complètement. Il accepte avec plaisir me disant que cela lèvera les doutes.
Vers 16h arrive le second mec, le black, Maalouf. Comme dans sa description. Noir très noir, grand (1,95) et carré. Nous reprenons nos positions dans le bureau d'Alex. Questionnaire légèrement différent, incluant une partie cuisine absente du premier entretien. Mais nous arrivons quand même au même stade, le nu intégral. Encore plus beau que sur la photo. Belles masses musculaires harmonieusement développées, sexe au repos de plus de 15cm, le tout conforme à la description sur internet. Les seuls poils hormis le cm sur son crane est une touffe bien maîtrisée au dessus de la bite, petit trapèze taillé à la même hauteur.
Là Alex change le test. Il l'emmène au sous sol pour un test de développé couché. Quelques échauffements et il soulève comme une plume une barre à 120 Kg puis progressivement à150 Kg. Ses pecs ont explosés et luisent sous une fine couche de sueur. Envoi à la douche puis passage au donjon. Le jeune homme ne cille pas devant le matériel. Il se place sur le sling à la demande d'Alex et de lui même attrape les suspentes de ses mains tout en plaçant ses chevilles dans les boucles de cuir prévues. Il bande maintenant plus franchement et les 25cm annoncés semblent être au rendez vous. Alex demande à Johan d'aller s'asseoir dessus. Une fois le pieu noir Kpoté et le cul de Johan graissé, avec Marc je le soulève et nous l'asseyons sur le mat noir au gland violet. Johan ne maitrise rien, c'est nous qui donnons la vitesse de pénétration. Un relâchement sec de quelques cm lui fait prendre le gland dans son fondement. Bien que le sexe d'Alex soit de bonne taille, Johan morfle quand même à la pénétration XXL. Nous poursuivons la descente de Johan sur le pal noir à la vitesse demandée par Alex. Quand nous arrivons au dernier cm, ce dernier nous dit de tout lâcher et Johan gueule car ce sont les plus épais évidemment. J'inspecte le sling qui à l'air de bien tenir le poids des deux mecs. Alors qu'il est caché par Johan du regard du jeune black, nous le voyons kpoter et bien graisser sa bite avant de l'enfiler d'un coup entre les fesses noires. Le poids de Johan sur lui l'empêche de se soulever s'il l'avait voulu. Avec Marc nous restons alors simples spectateurs. Nos deux amis se déchaînent sur la " bête " qui à l'air de bien apprécier le traitement. Le premier Johan marbre les pecs avec son jus blanc. Au même moment, le black gueule et d'un coup de rein soulève Johan, entrainant Alex collé à son cul. il doit jouir lui aussi et Alex à son tour jouit. Moi de mon coté j'ai recueilli une nouvelle fois le sperme de Marc dans ma bouche mais ce coup ci nous le partageons par une bonne pelle.
Nous aidons Johan à descendre. La kpote de Maalouf semble contenir un demi litre de foutre. Il sort du sling et passage aux douches des trois acolytes. Alex confirme si besoin était l'engagement plus que probable pour le samedi suivant.
Dernière formalité, Maalouf visite le deuxième étage, les futurs appartements du service.
Nous quittons nos amis en début de soirée. Je promets à Alex de lui fournir le pédigrée de ses deux futur hommes de service au plus tôt. Marc prend le volant et je passe les deux coups de fils nécessaires. Le premier à mon client commissaire pour lui demander si ses collègues de XXX pouvaient trouver des renseignements sur Julien et Maalouf, et le deuxième à " DGSE " comme je l'ai surnommé pour la même chose. Ils me promettent tous les deux une réponse pour le mercredi suivants.
J'ai dormi les trois quart du retour laissant mon jouet entre les mains de Marc.
JARDINIER
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janelher · 5 months
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« Le cœur silence »
Ce sont des larmes en fuite qui courent vers toi,
Qui s’agrippent à ton bras comme à du lierre
Ce sont des larmes d’hier
Un chagrin qui meurt,
Une feuille que je cueille
Pour ne pas être seule
Et ces larmes fendent l’armure
Quand tu souris à toute allure
Ce sont des larmes naufrages qui fleuvent au milieu des pages
Slalom entre rire et poussière: ce sont des larmes d’hier
Et la douleur se déshabille devant ton regard malhabile
Tu t’amuses en-haut de l’échelle
À siffloter mon réveil
Ce sont des larmes à l’arme blanche
Menaçantes comme un dimanche
Mais tu vois, elles restent bien sages
Ton souvenir les otage
Si parfois j’ai le cœur silence
T’inquiète pas, c’est parce que je danse
Et si je saigne, sans le dire,
Je t’oublie de pire en pire
Le soir, je ferme la porte au vent, aux passants, au couloir,
Et à ton image qui m’effleure
Chez moi, je suspends les heures, sans bruit, juste au-dessus du lit
Je les rallume après la nuit
Ce sont des larmes à l’arme blanche
Menaçantes comme un dimanche
Mais tu vois, elles restent bien sages
Ton souvenir les otage
Si parfois j’ai le cœur silence
T’inquiète pas, c’est parce que je danse
Et si je saigne, sans le dire,
Je t’oublie de pire en pire
Ce sont des larmes en fuite qui courent vers toi,
Qui s’agrippent à ton bras comme à du lierre
Ce sont des larmes d’hier
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e642 · 1 year
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Je pense que aujourd'hui j'ai eu un éclair de "il faut faire quelque chose sinon ça va très mal se passer". Niveau travail scolaire, je ne vois pas quoi faire, peut-être m'enfermer à la bu et y sortir uniquement à la fermeture pour passer le temps, limiter mon temps d'écran et bien-sûr espérer faire entrer quelque chose dans ma putain de tête. Niveau hygiène de vie, je reste lucide, je ne peux pas et je ne vais pas réduire ma consommation de clope. L'eau, il faut que je boive plus, de sorte à améliorer ma peau, et juste pour le bon fonctionnement de mon corps fracassé. Niveau alimentation et troubles alimentaires, c'est là qu'il va falloir faire un effort et pas manger à n'importe quelle heure. La régularité maintient le poids. Il faut juste que j'en perde un peu histoire d'améliorer mon estime de moi. Pour le petit déjeuner, le repas qui me mets le plus inconfortable, je ne sais pas comment faire. Manger ou pas, me forcer ou pas, limiter l'heure et la quantité ou pas. Autoriser des aliments et en interdite d'autres. Je ne sais pas. Ce qui est sûr c'est qu'il faut que j'accentue la régularité du repas de midi, je le saute tous les jours ou presque et je manque encore plus d'énergie. Donc faut que je fasse à manger, penser à des plannings repas peut-être ? Le soir, faut que ça reste frugal. J'aimerais aussi dédier une fois par semaine 1h pour la reprise du yoga. C'est une excuse pour moi de dire que j'ai pas le temps parce que je le gaspille aisément ailleurs. Essayer de garder une routine de 10 minutes de gainage/pompes le soir avant la douche. Ce qui permet a mon corps d'avoir assez chaud pour embrayer sur une douche froide. Mon corps me remercie plus tard pour les vertus. Autre chose, chaque objet/habit que je sors, il faut que je le range de sorte à maintenant un certains ordre. Continuer de mettre un réveil 1h plus tôt, pour bénéficier de l'effet positif que mon cerveau ressent, même si programmé, de se dire "il te reste 1h avant le vrai réveil". J'aimerais m'acheter des habits aussi ce mois ci, ça me ferait du bien, ça fait des mois que je ne l'ai pas fait. Et atteindre mon lit avant 23h chaque soir. Également toujours refusé les sorties et continuer d'aller autant au cinéma pour limiter les périodes de rien et m'enrichir. Chaque dimanche faut que je continue à sortir le matin marcher, ça aère. Niveau dermatillomanie, il faudrait que je me calme si je ne veux pas avoir des tâches à vie, donc faudrait que je travaille côté pulsionnel. Déjà tenir ça 1 semaine ce serait vraiment bien.
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