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#bouquin
snliska · 6 months
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Coucou,
Si vous consultez mes stories, vous l’avez déjà vue, mais si vous préférez regarder les posts, vous découvrez enfin la couverture !
Créée de A à Z par mes petites mains parce que j’avais une idée très précise en tête !
Est-ce que vous aimez ? Ça fait des années que je vois passer ce type de couvertures américaines colorées et toutes mignonnes, mes prochains romans seront dans ce style aussi ☺
Je vous laisse lire le synopsis également. J’ai adoré me plonger dans cette histoire avec ces personnages ♥
• Roman disponible aux formats : ebook, abonnement Kindle, papier broché et relié : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska-ebook/dp/B0C5S4VGJS
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Hi,If you watch my stories, you already knew what the cover looked like, however if you’re the type of person who rather check posts, here’s the reveal!Totally self-made because I had a precise idea!
Do you like it? I’ve seen cute and colorful American covers for a while and I really wished to have that kind of cover. My next novels will be like this too ☺
I enjoyed so much writing this story and those characters ♥
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e-c-guyot-blog · 3 months
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Croissant ou baguette?
Mais où donc un petit déjeuner pouvait bien coûter si cher?? Eh bien, dans l’Orient-Express, le train de luxe où il fallait absolument être vu. En octobre 1883, un petit déjeuner y coûtait 1,50 francs, soit plus d’une journée de travail pour une domestique comme Quatresous! Mais que mangeaient-ils donc de si formidable?! Et bien, pratiquement la même chose que nous aujourd’hui! Depuis le 18e…
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idereahellyeah · 2 years
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Quand c'est LES VACANCES.
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ayanna-tired · 2 years
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Mot de l'auteure
Je suis retombée sur les quelques mots que j'avais écris en guise d'intro à mon roman, je les poste ici...
Du combat ordinaire. Partout autour de moi, des personnes parlent de la peur qu'elles ont de mourir. Pour ma part, je n'ai jamais eu ce genre de peur (ce qui est étrange selon la plupart des gens). D'ailleurs, je suis même allée suivre une formation dans le funéraire lorsque j'avais vingt-et-un ans ! J'ai constaté en leur en parlant que souvent, les personnes qui ont peur de mourir se brident. Elles se laissent ronger par l'inquiétude du temps qui passe, se protègent de leurs propres sentiments ou régissent leurs vies par des habitudes et des rituels très stricts. Nous sommes nombreux à nous contenter de survivre plutôt que de réellement vivre. A refuser d'avoir quelque-chose à perdre, à nous préserver des dangers et des surprises de la vie. Aussi me suis-je souvent demandé : pourquoi on s'interrogeait tant sur ce qu'il y a dans la mort, alors que nous ignorons tout de ce que peut être la Vie. Cette dernière phrase ne m'a pas quittée des années durant ! Et c'est alors que j'étais encore au collège que j'ai commencé à imaginer les réflexions de quelqu'un qui est dominé par ce genre de peurs —ce qui n'était pas bien difficile vu ma mentalité de l'époque— Il me fallait inventer un personnage qui s'interdise de vivre mais qui avait une "excuse" à cela. Mais qu'est-ce qui pourrait bien pousser quelqu'un à renoncer à ce point au bonheur ? Une personne en pleine dépression certainement, touchée par le Spleen Baudelairien ! Mais cela nous l'avons déjà tous déjà vu, ou même tous vécu... Un mal qui ne s'explique pas n'est pas intéressant d'un point de vue strictement littéraire. Il fallait une excuse à cette fuite, pour que je puisse parler de la fuite en elle-même et non du problème qui était insoluble ; aussi, plutôt que “quelqu'un qui ne se bat pas”, j'ai créé “quelqu'un qui se bat mal”. Nathaniel naissait alors lentement dans ma tête, et il existait désormais pour se tromper de combat. Il ne devait pas se battre pour essayer de vivre heureux et épanoui, il devait lutter pour se persuader qu'il menait ce combat. Nath existait dans ma tête... et dans la sienne, j'avais mis la maladie.
Je me suis renseignée sur ce mal, je voulais être crédible. Mais je ne me doutais pas de ce que j'allais découvrir. Ce combat acharné, cette lutte pour la survie, pour la vie... J'ai lu des témoignages, des articles et des informations et me suis sentie étrangement concernée par tout cela. Certains malades se battent jusqu'au bout, ou décident de faire le tour du monde, de vivre pleinement avant la mort. Cette volonté farouche de vivre “pour de vrai” m'a touchée au cœur... et m'a rendue triste aussi. Mais pourquoi donc faut-il être malade pour se battre enfin ? Pourquoi ce courage ne nous touche-t-il pas tous, même ceux qui sont en bonne santé ? Pourquoi encore perdons-nous tant de temps à attendre, à avoir peur ?
Ce roman ne traite pas de la maladie, ni de la mort. Il parle d'un combat que nous avons tous à mener. Un combat pour la liberté de l'esprit, pour la Vie pleine et entière, pour le risque, le bonheur, le pardon... pour l'amour sous toutes ses formes.
Mon récit se devait d'être réaliste, le plus possible. C'est pour cette raison que les passages rudes se marient avec les moments paisibles du quotidien. Je voulais montrer un univers où le désespoir, la peur et la solitude côtoient l'espoir sincère, l'effort, le soutien, la fidélité et l'amour. Et la fin de mon roman est à l'image de cet univers : rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir. Tout tourne autour de cette lutte infinie entre la peur et la Vie, ce combat salvateur et essentiel mais aussi terrible, douloureux et éprouvant.
A nous de faire le choix de le mener...
©Ayanna
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2t2r · 2 years
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Le mystère du Codex Rohonc
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/le-mystere-du-codex-rohonc/
Le mystère du Codex Rohonc
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Culture : qui a tue mon père - Édouard Louis
Ce livre m a fasciné car moi même j ai perdu mon père a deux ans. Mon père est mort de cause naturel mais lorsque j ai vue le titre de ce livre j ai tout de suite été happé et je l ai immédiatement acheté ! J ai adoré la relation complexe du fils qui admire son père ouvrier mais en même temps qu il ne veut pas ressembler. Si vous avez eu une relation complexe et difficile avec votre père , alors vous comprendrez ce livre . L auteur qui est un ancien élève de normale sup’ ( école normale supérieure ) en lettres , a trouvé les mots justes pour décrire comment les présidents comme Sarkozy, Hollande et Macron ont détruit le corps de son père et par conséquent sa famille . Une description fluide et compréhensible qui nous laisse bouche bée . Sans un doute , ce livre m a choqué mais aussi intéressé car je me suis contemplé l intérieur de mon corps et sa relation à la société et la politique. Mais aussi , les rapports inter familiaux qui sont dures dans la classe ouvrière. Un livre que je recommande vivement à tous ! A ne pas rater
This book fascinated me because I myself lost my father at two years old. My father died of natural causes but when I saw the title of this book I was immediately caught up and I immediately bought it! I loved the complex relationship of the son who admires his working father but at the same time does not want to be like himself. If you had a complex and difficult relationship with your father, then you will understand this book. The author, who is a former student of Normal Sup' (higher normal school) in letters, found the right words to describe how presidents like Sarkozy, Hollande and Macron destroyed his father's body and therefore his family. A fluid and understandable description that leaves us speechless. Without a doubt, this book shocked me but also interested me because I contemplated myself inside my body and its relationship to society and politics. But also, the inter-family relationships which are hard in the working class. A book that I highly recommend to everyone! Not to miss…
Kevin Ngirimcuti
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drawwithgaser · 2 years
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leavianaferreira · 2 years
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🌟 Mon livre "On joue à cache-cache" publié aux éditions @cotcotcot_ed , fait partie de la sélection des Pépites 2022 🌟 ! Les Pépites sont un prix du Salon du Livre et de la Presse jeunesse en Seine-Saint-Denis (Montreuil)🏆 "On joue à cache-cache " est sélectionné dans la catégorie "livre illustré " aux côtés des livres de @badescu_ramona @julia.spiers @marineschneider @annecrausaz et @pierrealexis.gribouille 🐺 🦊 🐰 Youpi !! Merci @slpj_93 et @cotcotcot_ed #pépites22 #slpj22 #cachecache #enfance #salondulivrejeunesse #albumjeunesse #livreillustré #autrice #illustratrice #illustration #litteraturejeunesse #livrejeunesse #bookstagram #instalivre #bouquin #lire #lecteur #lectrice #plaisirdelire #peinture #acrylic #paint (à Salon du livre jeunesse de Montreuil) https://www.instagram.com/p/CjVf6aVsctR/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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restonscalmes · 2 years
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Bain de soleil
Ok, c’est le dessin d’avant-hier, mais en entier, comme ça vous voyez bien les petits détails 😀
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ericzonecom · 2 years
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L'insomnie ne peut rien contre moi ... j'ai ce livre inspirant .. qui raconte les aventures d'un drôle de génie ... C'est agréable ces livres qui font en sorte qu'on entend la voix de l'auteur. (J'ai aussi cette impression avec les livres de Dany Laferrière et Jack Kerouac) @yvesp_pelletier @rocketbellesoreilles #livre #lire #bouquin #rbo #humour #biographie #lecture #écrivain #autobiographie #comédie #yvespelletier #quebec #quebecois #auteur #lecture #lectureaddict #lecture2022 #bookstragram #littérature #instalivre #lecturedumoment #lecturedujour #bookcover #book #reading #humouriste #bookstagram #histoire #histoirequebec #rocketbellesroreilles (at Montreal, Quebec) https://www.instagram.com/p/CdREJ0tL4Nn/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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kitsunetsuki · 1 year
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Jack Robinson - Outfit by Jean Bouquin (Vogue 1971)
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snliska · 4 months
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Coucou,
Nouvelle chronique pour SCE !
Encore un immense merci à Lily @la_bibli_de_lily pour sa lecture et ce service presse 🙏❤️
Quelle jolie photo également, nous sommes gâtés 😍
Vous pouvez aller lire la chronique en entier sur son compte 😊
« Soixante centimètres d’écart ! » est une romance cocooning où l’écoute, le respect et la tendresse sont la base 🥰
Ce SP a été réalisé via Bookfluencers.io 📚
⭐ Roman disponible en formats numériques : ebook + lecture gratuite avec l’abonnement Kindle. Vous pouvez aussi lire un extrait 📖 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska-ebook/dp/B0C5S4VGJS/
⭐ En versions papiers : broché et relié 📚 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska/dp/B0C5YYNZ26/
Bonne journée 🍁
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hedgehog-moss · 1 year
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You are my hero for using the phrase 'perfidious Albion' in your tags. What is the French obsession with Alexandrine meter?
:) Well it's just that for a very long time France considered the 12-syllable verse known as the alexandrine to be the pinnacle of versification. For your poetry or play to be considered high literature it had to be in alexandrines (I was recently reading an English jstor article about translations of Shakespeare in the early 19th century and it went “[French translator] prefers to translate in verse, which means, of course, in alexandrines.” Of course!) We've moved on now and they’re out of style, but we’re still secretly fond of them I think. We were held hostage by alexandrines for so long a lot of French people still have a Stockholm-syndrome preference for their specific flow over other kinds of poetic metre.
They left a strong legacy in our language too—a lot of French sayings / proverbs are alexandrine verses because they’re excerpts from classical theatre and poetry (e.g. “A vaincre sans péril on triomphe sans gloire” from Corneille; “La raison du plus fort est toujours la meilleure” from La Fontaine; “Qui veut voyager loin ménage sa monture” from Racine; “Chassez le naturel, il revient au galop” from Destouches, “Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage” from Boileau...)
The alexandrine had a long golden age, from the Classicists to the Parnassians (mid-17th to late 19th century)—the Romantics in between were advocating for a kind of “free verse” but it still meant alexandrines and pretty rigid ones at that! (Victor Hugo’s “J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin” was subversive—but it’s still an alexandrine.) Their verse was only considered rebellious because it ignored some of the many rules that went into a perfect classical alexandrine (e.g. no overflow, 4 rests per line, rhyme purity must be respected when it comes to mute consonants, no liaison between the last word of an alexandrine and the first word of the next, the hemistiches of two successive alexandrines mustn’t rhyme, no prepositions or other tool words at the end of a hemistich, etc. etc.)
Then in the 19th century we liberated ourselves from the tyranny of the alexandrine after Verlaine shot them dead (insert Rimbaud joke) by doing things like placing the caesura on the 3rd syllable of a 5-syllable word (“WTF”—Racine) or ending an alexandrine in the middle of a word and treating the first half of the truncated word like a legit rhyme, which made all the Classicists roll over in their grave.
I really like alexandrines personally! I admit they can sound plodding after a while especially with classical rhymes, but they have such a soothing flow. I also love that they are often French at its Frenchest. By which I mean, there are some gorgeous alexandrines that are genuinely the French language at its best and most graceful, and then you have those that can’t help but highlight how absurd our syntax can get.
My favourite types of alexandrines are the ones with a diaeresis in each hemistich because saying them normally feels like walking down the street, while saying them as an alexandrine feels like doing a figure skating routine (e.g. in Racine, “La nation chérie a violé sa foi”); the ones with an AB-BA structure (“Et le fuyant sans cesse incessamment le suit”), the ones with a ternary structure (“Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé”, “Je renonce à la Grèce, à Sparte, à ton empire”) and the ones where 1 word sprawls over an entire hemistich (“Voluptueusement dans cette paix profonde...”).
The worst alexandrines imo are the ones that force you to acknowledge how many tiny grammatical bricks are involved in the building of a French sentence. Orally we tend to squish them together so we can forget about them but the merciless alexandrine will demand that you mortify yourself pronouncing all of them, e.g. “O nuit, qu’est-ce que c’est que ces guerriers livides ?” (thank you Victor Hugo for this ignominy) (<- here’s an alexandrine), or “Si ce que je te dis ne se dit pas ainsi”... “Ce que je te (...) ne se” is a horrible succession of words by poetical standards but wait I’ve got worse!
Tu m’as pris mon trésor et t’étonnes tout bas De ce que je ne te le redemande pas
“De ce que je ne te le”—see? French at its Frenchest.
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ayanna-tired · 2 years
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Petites pépites à lire absolument :) Les deux "Art et féminisme" m'ont été offert par ma coloc', et les crocodiles sont à découvrir ici : Projet crocodiles Histoires de harcèlement et de sexisme ordinaire mises en BDs par Juliette Boutant et Thomas Mathieu.
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Les deux autres parlent d'art d'une manière générale, d'artistes connues (Frida Kahlo, Beyoncé, etc...) et d'artistes beaucoup moins connues mais à découvrir absolument ! :) A ne lire que si vous n'avez pas peur de voir de l'art et des corps nus ;)
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garadinervi · 1 month
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Rachel, (2009, documentary, 1h 40m), (stills), Directed by Simone Bitton, Cinematography by Jacques Bouquin, Edited by Jean-Michel Perez and Catherine Poitevin, Women Make Movies (WMM) (pt. 5) (pt. 1 here) (pt. 2 here) (pt. 3 here) (pt. 4 here) [Palestine Film Institute]
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mllenugget · 1 month
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Blue eyed grey cats challenge but it's the DLC I was gonna say "Bluestar's extended family edition" but then remembered that in the context of Warrior Cats, this statement is very superfluous
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