Tumgik
#ça ressemble tellement pas à un mot
gay-impressionist · 6 months
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j'adore le fait que "caviardage" soit un vrai mot qu'on peut trouver dans des documents administratifs
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leleaulait · 13 days
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Il faut que j'explique ce qui s'est passé hier matin parce que j'ai eu tellement peur que vraiment j'ai passé la journée à psychoter !
J'étais seule à la caravane et je venais de me lever vers 7h20, je préparais mon café et d'un coup j'entends une voiture se garer devant la maison de Chantal (qui est au bout du chemin qui mène à notre caravane), je regarde par la fenêtre et c'est un gars, à peux près mon âge et qui ressemble fortement à un ex, il sort et va derrière la maison mais tout le monde dormait encore, et la, je le vois prendre le chemin qui mène à notre caravane, faut savoir que PERSONNE ne prend le chemin à part nos proche, parce que pas grand monde viens à la caravane et qu'il faut vraiment savoir qu'on habite à cette endroit précis, donc c'est forcément quelqu'un que moi ou le chéri on connaît ! Il avance jusqu'au bout et il voit qu'il n'y a pas la voiture du chéri donc il fait demi-tour, moi j'étais tétanisé et en petite culotte et heureusement on a des fenêtres tinté donc il ne m'a pas vu ! Il est aller dans sa voiture et est réparti.
Premièrement, QUI DÉBARQUE A 7H30 CHEZ QUELQU'UN SANS PRÉVENIR ?!!
deuxième, cette personne n'a envoyé de SMS ou appeler ni moi ni le chéri, normalement t'envoie un mot même après en mode "je suis passé chez toi mais t'étais pas là ahah", nan la rien du tout !
J'ai pris la voiture en photo et le chéri ne connait personne avec cette voiture. J'avoue qu'il ressemblait grave à mon ex (qui était le meilleur pote du chéri mais ils se sont embrouillés et pas parlé depuis 5 ans) pourquoi il serait venu alors qu'il habite super loin (d'après ma mère il est sûrement à Lyon), pourquoi il a pas prévenue qu'il passait ? Est-ce que c'était vraiment lui ?. Le mec fumait et quasi personne fume dans notre bande de potes (puis j'aurais reconnu nos potes quand même) j'ai attendu le chéri et vraiment il ne voit pas qui ça pouvait être (ce qui me fait encore plus flipper je crois 🤣).
La suite au prochain épisode 🤷
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chifourmi · 22 days
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Y a environ 1 an, j'ai rêvé d'une histoire d'amour entre deux hommes. C'était tellement beau, pur et intense. Ça m'a tellement touchée que j'ai voulu en faire une histoire. J'ai donc commencé à développer les deux personnages. L'un s'appelle Maxence, châtain, étudiant en bioingé, sarcastique, très terre à terre, froid d'apparence mais en fait très affectueux, maniaque, introverti mais pas timide pcq il s'en fout des gens, il est un peu blasé quoi, a vraiment du mal à mettre des mots sur ce qu'il ressent, a du mal avec les interactions sociales, parfois un peu rigide, et n'a pas tous les codes de la société. Et Owen, basketteur pro, cheveux bruns bouclés, deux fossettes, a très confiance en lui et en la vie, très spontané, ouvert d'esprit, inconscient, immature, curieux, joueur, casse-cou, un grand romantique très cucul, extraverti, son langage d'amour est le touché et les compliments, il a pas peur d'être démonstratif devant les gens.
Et je me rends compte que le Dieu Grec est un mix parfait des deux. Comme Maxence il est châtain, étudiant en bioingé, sarcastique, terre à terre, maniaque, parfois un peu rigide, mais par contre il a les boucles d'Owen, le côté extraverti et joueur, il est très tactile et surtout il a LES DEUX FOSSETTES.
Oui on peut me dire que ce sont des caractéristiques assez bateau mais rien que le fait qu'il soit bioingé et qu'il ait 2 fossettes c'est tellement spécifique et je trouve ça dingue. C'est rare quelqu'un qui a 2 fossettes, non?? Mais surtout quand j'imaginais Maxence, je le voyais vraiment comme lui. Il lui ressemble tellement de caractère, c'est vraiment bizarre. Ça m'a pris du temps pour m'en rendre compte. C'est comme si j'avais manifesté inconsciemment, c'est TROP BIZARRE.
(08/04/2024)
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les-portes-du-sud · 8 months
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Quand le chat n'est pas là
21.08.2023
Et non mec! personne n'est tombé amoureux avant, non personne! Personne n'a regardé personne comme je te regarde, tu n'as pas ressenti, personne n'a été étreint, aucun corps caressé, personne ne s'est plus jamais battu avec un être cher, l'homme ne s'est pas senti étouffé par l'agonie de l'amour et l'amour de son amour en même temps. Je reste immobile jusqu'à ce que je trouve les mots justes, pour ceux qui n'ont pas vécu avant nous, ceux qui n'ont jamais été prononcés. Je suis étonné de la facilité avec laquelle je trouve les mots, après tout. comme c'est facile de décrire ce que j'ai fait et ça te ferait mal mais tu m'aimes tellement que ça n'a pas plus d'importance que j'ai fini tes céréales préférées. Avec quelle rapidité nous avons conçu une phrase pour les moments où je suis totalement fatigué: "mais reste et fais des corvées dans la chambre pour que je puisse au moins mettre mes pieds sur les vôtres". Ou ce mot quand tu me demandes si ça me dérangeait que nous passions toute la journée au lit à nous câliner. Ou celui que nous utilisons pour la nourriture délicieuse ou l'autre pour les personnes stupides et celui pour les animaux heureux. comme si je n'avais jamais eu à décrire ceux qui étaient définitivement là avant vous, ils sont là indépendamment et calmement, ils sont là paisiblement jusqu'à ce que nous ayons besoin d'en parler et alors ils ont un sens. Pas le sens qui fait d'un chat un chat dans les encyclopédies et les dictionnaires, mais le mot pour ce chat qui a confirmé son existence lorsque nous l'avons rencontré une troisième nuit en rentrant à la maison. Il ressemble au premier chat que j'ai vu, ne sachant pas que cela s'appelle un chat, il semble que le chat et la maison, la promenade, le lit, les voyages n'existaient pas avant. N'existaient pas seulement devant tes yeux, n'existaient que jusqu'à ce que tes yeux me regardent de cette façon qui les transforme en miens, c'est comme si le monde s'était formé quelques secondes avant notre premier baiser. alors est-ce vrai que le langage humain a été créé juste pour que je puisse te parler ? et si c'est le cas, alors le premier homme qui a gémi a parlé d'amour....
Les-portes-du-sud
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e642 · 10 months
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Je crois que c'est la pire année depuis quelques années. Elles me paraissent toujours plus terribles les unes que les autres mais certaines se démarquent. Je crois que c'est la plus pénible depuis mon passage en hôpital psychiatrique, il y a 4 ans déjà. C'est juste que les problèmes ont évolué avec la situation, l'âge et la nature de mon existence. Chaque échec est une leçon certes mais est-ce que j'avais besoin d'autant de leçons en un lapse de temps si restreint ? Après m'être remise de tellement de choses graves, j'ai l'impression que le reste s'enchaîne. Il n'y a pas de répit, pour personne, j'ai beau le savoir, ça n'enlève pas un gramme à mon angoisse. Pour le moment, je ne retiens rien d'autres que des problèmes de santés, des problèmes relationnels, un entourage bancal, un avenir flou, un taff de merde, une façon de conduire médiocre, de l'amour lésé. Je me sens exceptionnellement bonne à rien parce que ça fait longtemps que je n'ai pas réussi quelque chose qui fait du sens pour moi. Et pour tout avouer, je ne saurais pas dire à quand remonte une chose qui aurait fait du sens pour moi. Une chose que j'aurais vécu comme une réussite personnelle, qui m'aurait apporté et donné tort au désespoir larvant dans chaque centimètre carré de mon corps. Je crois que je suis prostrée, je ne sais pas par quoi mais j'ai la sensation d'avoir un train de retard, un jet lag émotionnel, du mal à comprendre les enjeux, à éprouver à temps, à faire correctement. Je suis seulement fatiguée. Emprisonnée dans ma tête qui tantôt bourdonne de trop, et tantôt se fait ressentir comme un lointain écho. Une vraie galerie des glasses mon esprit, tout se ressemble et je peine à trouver la sortie, je me prends juste les murs en espérant finir par les reconnaître et les éviter. Je sens que ça s'accumule au niveau de mes cordes vocales, et ironiquement, chaque fois que je suis contrariée et que je voudrais hurler, j'ai une extinction de voix. C'est un flot de haine qui ne profiterait à personne, qui stagne et rend putride et fade chacun de mes mots. Un vrai tourne disque qui passe exclusivement des vinyles rayés. Une page griffonnée à l'intérieur et immaculée à l'extérieur. Ce contraste me déroute. J'ai les paupières lourde d'un chagrin qui semble avoir fait son nid au creux de mes cils, rendant chaque clignement fastidieux et impossible.
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ernestinee · 10 months
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Tu sais, ils sont fatigués.
Les patients. On est quoi aujourd'hui, j'ai perdu le compte. Vers le 29? 30 juin ? Ils étudient depuis des semaines en absorbant le stress de leurs parents, de leurs profs. Comme si ces deux semaines déterminaient l'entièreté de leur avenir. Comme si ça disait qui ils sont.
Alors qu'en vrai, il n'y a pas pire que ces deux semaines pour se rendre compte de leurs compétences scolaires. Toute la matière de l'année. Une épreuve côtée tous les jours. Deux semaines sans compter les semaines de révisions.
Tu sais les profs sont à bout, c'est difficile comme travail. C'est beaucoup de responsabilités, c'est beaucoup de pression. Depuis avril, ils voient le programme qui n'avance pas. Ou plutôt qui avance, mais sans leur classe. Parce qu'il y a celui-ci à qui il faut tout expliquer 36 fois. Parce qu'il y a celui-là qui fait le clown pour toute la classe. Il est marrant c'est vrai mais y a le programme, quand même. Parce qu'il y a lui, et lui, et elle, et lui, et ... Cette année la moitié de la classe était difficile.
Et tu sais les parents c'est pareil. C'est une grosse responsabilité d'élever un enfant. C'est beaucoup de pression. On va où cet été ? On doit créer des souvenirs. Il faut un truc chouette, des activités, une piscine, un peu de musée, un peu de balades. Mais si elle a une seconde sess on ne peut pas compter sur cette semaine là. Et il fera quoi comme extrascolaire ? On le met à un truc chaque semaine alors qu'il galère à l'école ? Pfff et le gamin du voisin qui réussit toujours tout.
Ils absorbent, les patients. C'est beaucoup de pression. C'est une énorme responsabilité d'être enfant, d'être ado, et de porter à bout de bras ses propres envies de réussite, et aussi celles des profs et des parents. Et de la psy. Et de la logo. Et de la voisine qui vient parfois aider pour les devoirs. Et quand même ça fait beaucoup.
Alors oui quand les parents décident de m'amener leurs enfants un 30 juin, je suis un peu en colère contre eux, et contre moi parce que ça leur aurait rendu service que je prenne congé dès aujourd'hui.
Quand j'envoie un message "Tu me l'amènes ou tu la laisses se reposer un peu quand même ?" C'est pour te donner la possibilité de la laisser se reposer. Parce que je les vois arriver l'un après l'autre avec le sourire et en même temps la petite mine qui aurait préféré être dans la piscine ou devant la TV ou en balade ou sur son tel ou n'importe où mais pas en logo.
Alors un clin d'oeil plus tard on a choisi des jeux et je leur précise qu'ils ne travaillent absolument rien. Pas une once de lecture, pas un chouïa de calculs. Et je fais le clown un peu. Bon tu diras à tes parents qu'on a fait des jeux qui bossent la concentration et la compréhension de consignes (c'est vrai en plus).
Et puis il y a R.
R. Comme Rayon de soleil. Il va sur 3 ans, il utilise une dizaine de mots. Les autres ne ressemblent pas à des mots. Il arrive avec ses longs cheveux et son sourire jusqu'aux oreilles, il a reconnu le bâtiment, il a dit "aaaaaaah iiiiiiiii" ("iiiiii" c'est moi, c'est la dernière syllabe de mon prénom et ça m'émeut encore, que mon prénom fasse partie de son inventaire de mots), il me fait un câlin incroyable et me regarde avec ses grands yeux, parce qu'il n'a pas les mots mais il a tellement d'expressions faciales et d'intonation qu'on a l'impression de pouvoir le comprendre.
J'ai déjà préparé les figurines d'animaux sur le bureau, on les passe en revue, on dit (je dis) bonjour à chaque animal en scandant son nom avec les mains du petit bonhomme, ça l'amuse, il rit de bon cœur.
Puis petit R. veut s'asseoir sur mes genoux, je fais le clown un peu en faisant semblant de ne pas comprendre où il veut en venir. Je le soulève haut et le dépose de l'autre côté, il hurle de rire et montre mes genoux, je le soulève de nouveau et le remets encore de l'autre côté, il rit encore et dit "laaaa" "mais oùùùù ?" je demande, "les jouuuu" qu'il répond. "Aaah mes genouuux okééé" on trouve les cartes de nourriture et je fais des petites phrases. Le cheval mange une pomme miam miam miam (on s'entraîne au mmmm parce qu'il ne dit pas encore maman, mais je ne pense pas que même avec des m fluides, il le dira de si tôt) etc. etc. Puis quand il a compris l'idée, je le fais terminer ma phrase "La vache mange une carotte, regarde, la vache mange une......" "Radrougou!" Hum, presque. Il n'allait pas dire "carotte", je sais, c'est surtout une séance sur le rythme de parole, pour anticiper le moment où il comprendra le principe de la répétition.
Puis on a fait un loto, il sait parfaitement appairer des images. Puis la demi-heure était finie et son papa n'était pas encore revenu, du coup on a compté jusqu'à trois en se cachant derrière la porte de la salle d'attente pour voir s'il apparaissait miraculeusement. On a fait ça plusieurs fois et il riait encore et encore. Il a le rire si communicatif que les quelques parents qui étaient là ont ri aussi. R est comme ça, il communique mais sans les mots.
R. est une victime du tabagisme et de l'alcool pendant la grossesse. Son cerveau n'est pas très stable, il convulse facilement, il fait aussi des absences épileptiques. C'est un rayon de soleil très fragile qui tente de percer une belle brume automnale.
Après son papa est arrivé, excuse moi hein j'ai voulu faire des courses sans lui mais y a du monde à la caisse alors aloooors t'as vu tous ses progrès !!?
C'était pas vraiment une question, alors j'ai dit oui, bien sûr.
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jesuisunpantin · 5 months
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Je n'oublierai jamais :
💔
« Lui : - Sois égoïste comme d’habitude
Appel manqué
Moi : - Voilà, je vais juste dodo. Juste pour te dire que je t’aime et voilà.
Lui : - Espèce de cadavre. Merci de me rendre malheureux.
Moi : Merci
Lui : - Je supprime tout ce qu’on a. Salut ouais. »
**
« Lui : - Je suis capable de te détruire juste pour me sentir bien. T’as envie de vivre ça ? Vas-y courage, kiffe-bien. »
**
« Lui : - C’est tout ce que je sais faire, faire semblant d’être intéressant et cultivé alors que la plupart du temps je ne sais même pas de quoi je parle. Et vous, vous l’avalez comme du caviar. Vous êtes tous niais. »
**
« Lui : - Parce que t’es qu’une petite menteuse de merde qui est là pour faire sa victime, mais tant pis. »
**
« Lui : - Je coche mais ta gueule, t’es tellement case couilles, j’ai juste envie de t’appeler pour t’en mettre dans la gueule. »
**
« Lui : Ah mais elle sait, t’as toujours pas compris en fait t’es juste un peu trop conne je crois, elle s’en bat, tu peux pleurer à la fenêtre de sa chambre, elle ferme le volet. »
**
« Lui : - Va lire des trucs de développement personnel pour comprendre pq à 35 ans tu seras seule et aigrie. Y’a pas de mdr, tu me fais pitié. Tu prends tout comme des mots et rien comme des faits, va bosser sur toi-même. »
**
« Lui : - Si t’es pas contente tire toi. Je trouverais une autre salope en manque d’attention.
Moi : - Ah. Merci. »
**
« Lui : - Mais comment je pourrais savoir si tu ne parles pas en fait espèce de chienne, mais c’est bien, considère-moi comme ça, tu verras, tu vas vivre un putain d’enfer. »
**
« Lui : - Si t’étais pas là, j’aurais un 0 de plus sur mon compte. »
**
« Lui : - Je m’en bats ta vie c’est pas un roman, ferme là. »
**
« - Lui : T’as peur que je ressemble un peu trop à ta famille ? T’as raison c’est pas beau. »
**
« Lui : - à quoi ça sert de me dire ça, à part être casse couilles ? Tu veux que je rentre dans la complexité du cerveau féminin et malade ! »
**
« Lui : - Je ne ferai jamais rien pour toi dans ce genre, juste parce que je m’en fous en fait. Comprends le bien. Je ne t’écrirai jamais de poèmes, je ne te ferai jamais une peinture, une musique, une invitation à prendre un pique-nique dans un endroit cool. Et tu sais pourquoi ? Parce que je comprends comment tu fonctionnes maintenant et c’est franchement triste. »
 **
« - Lui : Parce que t’as beau avoir peur d’une addiction, elle fait moins mal que ta vieille gueule si on te laissait bourrée dans la rue. »
**
« - Lui : T’es tellement prévisible et peu subtile. »
**
«  Lui : - Jamais tu t’affirmeras avec moi, tu vas perdre tout semblant d’égo de confiance en toi et de relations sociales. Tu sais pourquoi ? Je suis un putain de trou noir. ».
**
« LUI : - C’est fini, c’est ça ? Merci Emmy, dis-moi juste si c’est fini, que je puisse y aller, s’il te plait. J’attendrai, Emmy. Réponds-moi. Je suis désolé. Je rends ta vie nulle. Je ne devrai pas faire ça. Te faire ça. Te parler mal, te descendre, alors que tout ce que je veux vraiment c’est être avec toi. Mais j’ai l’impression que je ne peux même plus réparer tous ces dégâts. Pardonne-moi, Emmy, la seule chose que tu m’inspires c’est le plus grand amour que j’ai jamais éprouvé. Je t’aime. Et je te promets de faire des efforts pour ne plus te faire subir mon mal être. J’en peux plus de pleurer. Je ne sais pas quoi faire. Accorde-moi de l’attention, s’il te plaît. Un peu. Je ne te demande pas grand-chose.
Emmy, tu es horrible, réponds. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu me fais ça ? »
💔💔
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claudehenrion · 6 months
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Tout va bien : on a la solution !
Je préfère vous prévenir ''amicalmement'' : aujourd'hui, nous ''faisons dans le lourd'' ! Asseyez-vous après vous être armés, par précaution, d'une bonne tasse de café... prenez une profonde inspiration... détendez-vous pour avoir l'air ''dans le coup'' --je devrais dire ''relaxez-vous'', ou ''be cool'' pour être ''in'' !--...et surtout, oubliez que vous avez toujours été nul en maths si vous l'avez été : nous allons passer un bon moment à bien nous marrer, au milieu d' ''attosecondes'', qui sont de fort charmantes personnes qui sont, justement... personne, mais pas rien !
''Les quoi ?'', allez-vous me dire, énervés de ne pas savoir le sens d'un mot que vous pouvez avoir l'impression que moi, je fréquente comme un vieux copain. En fait, il serait temps que vous sachiez que les attosecondes sont ''une espèce de machin-truc-pas-très-chouette'' qui vient de valoir le prix Nobel de physique à trois chercheurs, une française, un français et un austro-hongrois, pour avoir écrit des pages et des pages sur un milliardième de milliardième de seconde. Si vous préférez (je l'ai lu dans la presse, donc ça doit être vrai. Enfin... un peu !), une attoseconde est à une seconde ce que cette-même seconde (ou une autre : ces choses-là se ressemblent tellement !) est à 31,7 milliards d'années... quel que soit le sens que l'un ou l'autre puisse avoir pour le commun des mortels.
M'enfin... comme disait Gaston Lagaffe, je sais désormais pour quelle seule et unique raison je n'aurai jamais le prix Nobel : les machins auxquels je m'intéresse sont beaucoup trop gros, et bien plus lents (ma moto ne dépasse pas le 130 km/h... ai-je assuré hier encore à un gendarme qui trouvait que j'avais oublié cette atteinte à ma liberté fondamentale de me tuer à la vitesse qui me fait envie !) ! J'ai lu dans un autre organe de presse --donc aussi digne de confiance que le précédent-- que, en une attoseconde, la lumière parcourt 3 angströms (vous voyez tout de suite : pas énorme , à peine la taille d'un atome... de taille normale, pas un de ces noceurs atones qui passent leur vie à faire la bombe). Avec tout ça, en tout cas, on est éclairés sur le sujet ''dont-auquel'' trois prix Nobel discutent entre eux, pendant les longues soirées d'hiver... sauf que eux, là où nous voyons des Angstöms, il voient des ''Å'' qui se prennent pour des dixièmes de nanomètre !
Car il faut que je vous remette en mémoire ce fait rassurant que une attoseconde, ça représente 0,001 femtoseconde, ou mieux encore, 1000 zeptosecondes (c'est plus facile à se représenter, non ? Car, rien n'étant en panne d'explications, qui dit ''atome'' (surtout s'il est ''at home''), dit électron, n'est-ce pas (je sais que vous le savez, mais c'est juste parce que ça cadre bien, à ce moment de mon édito), et la découverte de l'attoseconde (qui, par conséquent n'existait pas jusque là... on peut le supposer puisque ni les grecs, ni les romains, ni les Lumières, ni même jean luc méchencon n'en ont parlé, même un peu, même pendant une attoseconde) permet d'observer en douce le comportement des électrons, qui se déplacent à une vitesse que vous n'imaginez même pas ! Pour leur tirer le portrait, il faut des flashes genre milliardième de milliardième de seconde (et en plus, je suis sûr qu'ils voyagent en première !). Vous imaginez la tronche du Pandore de service sur la A 8, dans son Alpine Gordini, bleue et blanche mais rugissante, qui voit passer devant lui un contrevenant filant à ces vitesses ! Il en rugit, le reitre... mais laisse filer.
Il reste tout de même une question à laquelle l'Académie Nobel (qui, vous l'avez remarqué, met un point d'honneur à se fourrer le doigt dans l’œil, année après année : elle a réussi à trouver le moyen de récompenser l'Union européenne, Barack Obama, Martti Ahtisaari, Al Gore, Jimmy Carter, Kofi Annan, Yasser Arafat et Yistak Rabin ''pour la paix au moyen orient'' --qui est particulièrement spectaculaire ces temps derniers, Theodore Roosevelt,Anouar el-Sadate, Menahem Beguin, Shimon Peres, Eisaku Sato, Aung San Suu Kyi, Chamberlain, Aristide Briand et Frank Kellog, Henry Kissinger et Le Duc Tho, Amnesty International, Desmond Tutu (qui, m'a t-on dit, s'asseyait sur cette récompense...), et j'en oublie ! Ils viennent même de récompenser cette semaine, deux des promoteurs de l'ARN-messager, pour la nocivité à long terme duquel tous les espoirs sont permis !). La vraie question, pourtant fondamentale, est : ''Quel rôle peut jouer la maîtrise des attosecondes dans la grande bataille des batailles –l'Armageddon selon Macron-- qu'est la guerre récemment déclarée par notre gouvernement contre tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une punaise de lit ?''
Car imaginez que, prises de vitesse, ces vilaines bestioles abandonnent le terrain, ne serait-ce que pendant une attoseconde, aux moulinets sans vent de la majorité, du gouvernement et de l'Elysée, pour une fois unis dans le seul, le vrai, le bon combat. A quel ''buzz'' pourraient enfin se livrer nos médias en mal de subventions étatiques... Je les entends d'ici, psalmodier en chœur la rengaine de Djack Lang, récemment reprise par les choristes Attal et Séjourné, l'un ici, l'autre, las : ''nous avons tenu toutes nos promesses'' (Da capo, comme on dit en termes musicaux pour dire qu'on répète ce qui vient d'être entendu !). Mais... Punaise ! –comme on disait en jargon pied-noir-- ne rêvons pas : une attoseconde est à une punaise-de-lit ce qu'une analyse signée mélenchon et/ou Macron sont à la réalité : à l'autre bout du spectre...
Alors que nous, ''Pauvres humains qui aujourd'hui vivons'' –comme aurait pu dire joliment François Villon, nous préférons de beaucoup que nos préoccupations soient plus lentes, surtout à l'heure de la sieste... ou de l'apéro, en vacances... Vous imaginez-vous ''prendre une attoseconde de bon temps'' ? Moi, pas... et c'est pour ça, je l'ai dit, que j'ai pris mon parti de ne jamais avoir le prix Nobel ! Il n'empêche ! Si les attosecondes pouvaient avoir une influence sur les punaises de lit... (on peut toujours rêver !), quelle tuile pour notre gouvernement : il devrait enfin s'attaquer aux défis dignes d'intérêt dont il semble avoir fait profession de faire semblant de ne pas les voir !
H-Cl.
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cendres-et-volcans · 1 year
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Alors qu'ils patientent côte à côte dans cette fille d'attente anonyme, Théo a presque envie d'abandonner. L'inconnu, la nouveauté, c'est tellement de pression pour lui, il lui faudra être a la hauteur de la soirée et de son cadeau.
Pendant qu'il mâche son chewing gum de plus en plus nerveusement, Mary chantonne a côté de lui. Captivée par son téléphone, elle lui frôle par moment la main comme pour la rassurer.
Elle lui a promis, une soirée inoubliable, une expérience inédite. Ils ont conduit deux heures car elle tenait à ce que tout se déroule loin de chez eux, sur un terrain inconnu et neutre et loin de tous ce qui les retient ou de ceux qui auraient pu les juger.
C'etaient ses mots a elle.
Après quelques minutes, ils arrivent devant un vestiaire où elle donne leur nom. Elle se tourne vers lui tout sourire et lui annonce que son cadeau débute dès ce moment , et qu'il s'agit d'une soirée dans un club qui fabrique des souvenirs.
Théo se laisse guider par l'enthousiasme de Mary, il ne comprend pas tellement le concept qui semble marketing et fumeux. Elle lui tend une boisson; a boire cul sec dit elle, puis une feuille de papier pliée en 4, et enfin un casque audio.
Le verre est vite bu, le casque autour du cou, ils avancent vers une porte sombre d'où s'échappent ce qui ressemblent aux vibrations d'une musique de boîte de nuit. Devant la porte une urne transparente est fermée avec un cadenas.
Mary se tourne a nouveau vers lui, elle a l'air un peu moins sure d'elle mais son sourire le rassure néanmoins.
- c'est un émulateur de mémoire,c'est ton cadeau, ce soir tu devrais construire ou recevoir un ou plusieurs souvenirs qui t'accompagneront toute ta vie.... Enfin c'est comme ça qu'ils le vendent ...
Mais en contrepartie, tu dois être prêt à abandonner une image de ton passé a laquelle tu tiens, ou un secret. Rien ne garantit que tu la perdes mais tu prends le risque.
Alors inscrit sur le papier un petit bout de ton passé que tu chéris et abandonne le dans l'urne.
Mary le regarde a nouveau, elle a sa feuille devant elle et cette fois ses yeux ne rient plus.
- Théo, joue le jeu please.
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profenscene · 1 year
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Lundi 14 novembre
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Dans un épisode de Doctor Who, l'un de ceux où iel se régénère, cette phrase :
"Je vais chercher ma récompense."
Et il (c'est l'une de ses nombreuses incarnations masculines) parcourt la Terre pour se réjouir des vies qu'il a touchées, changées pour le meilleur. Il arrive de temps à autres que la vie de prof ressemble à cet épisode de Doctor Who. C'est aujourd'hui par exemple.
Ça ne commence pas très bien. Trois élèves de la sixième dont je suis prof principal arrivent pour m'expliquer qu'il y a, depuis le retour des vacances, pas mal d'insultes parmi les classes.
"On est désolées, on veut pas faire d'histoires. Mais on a pensé à ce que vous avez dit on veut être... gentilles."
C'est un mot qu'on a pas mal abordé en vie de classe. Ce mot "il rend fort", leur ai-je expliqué. Être gentil avec les autres, avec soit. Commencer à être juste. Les filles sont embêtées, elles ne dénoncent pas, mais expliquent précisément. Sans cette espèce de sensationnalisme, fréquent - et explicable - à cet âge. La situation est glauque. Mais leur réaction face à celle-ci tellement puissante.
L'épisode se poursuit avec les cinquièmes, qui doivent rédiger une critique d'un bouquin dans le cadre d'un défi lecture. S'ils ont aimé les œuvres, donner leur avis dessus a été plus que laborieux. Leurs premiers brouillons étaient des catastrophes. Des trucs moches, traduisant leur manque d'envie. Je les ai tannés toute la semaine. Et ils reviennent aujourd'hui avec des textes courts, bien courts, mais structurés. De vrais arguments, personnels.
"En vrai c'est bien, ce que j'ai écrit."
Il y a souvent, en cinquième, cette tentation de tomber dans le travail médiocre, pas joli, mal présenté et vite fait. Là, je les vois heureux de ces petites miniatures. Les mômes en vrac sortent en souriant. Beaucoup plus sereins que d'habitude.
Pas trop le temps d'épiloguer, je dois me dépêcher d'aller manger, le lundi, j'anime le club de jeu de rôles. Et mes vaillants aventuriers de quatrième et de troisième passent une bonne demi-heure devant une calèche, à se disputer sur qui monte à quelle place, est-ce qu'on met quelqu'un à côté du cocher, ou sur le toit... Je finis par piquer un fou-rire nerveux devant des gamins médusés.
"Eh monsieur, en vrai ce que j'adore, c'est qu'on est complètement différents quand on joue, et vous aussi. Et apprend on redevient nous."
J'ai mangé en quinze minutes mais ça valait le coup.
Et l'après-midi se terminera par une heure durant laquelle Djamila se bat avec les adjectifs. Djamila est une guerrière, absolue. "J'ai besoin de comprendre." Elle le répétera plusieurs fois, dans l'heure. Son français encore vacillant et ses béances de vocabulaires, elle les traîne derrière elle sans jamais se plaindre. Elle ne me lâche pas, ça brûle dans son regard. "L'adjectif il est où ? "Action" ou "méritoire" ? Ça veut dire quoi ?" Elle refuse la plupart des aménagements que je lui propose. Mais sans jamais préjuger de ses forces. C'est une tension permanente. Je ne sais pas ce qui anime cette envie dévorante de réussir - en sixième, c'est toujours très confus - mais bon sang cette volonté est d'une puissance folle.
C'est une journée bardée d'éclairs. J'enseigne à de tous jeunes mômes, l'année prochaine je ne serai plus là. Aucun moyen de savoir si, à long terme, ces fulgurances perdureront. Mais en attendant, je profite de cette orage de volonté, d'intelligence, de force et, ah oui, de gentillesse.
(Image tirée de Doctor Who)
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rewindthetimee · 1 year
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ÉCHEC ET MAT—Un trône solitaire chapitre 2
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Scène de Checkmate
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Eichi: ...
Tsumugi: Fufu. Tu n’as pas l’air dans ton assiette, Eichi-kun~ Si tu ne te sens pas bien, laisse-moi prendre la relève et va te reposer.
Eichi: Je ne peux pas accepter une telle chose, Tsumugi.
Même si j’apprécie ton offre, si je suis là c’est parce que Tsukinaga-kun en personne me l’a demandé...
Pour dire vrai, je me sens désolé de t’avoir entraîné là-dedans, bien que tu n’ais rien à voir avec tout ceci.
Tu es bien complaisant.
Tsumugi: Hé bien, nous sommes amis, n’est-ce pas ? Je t’accompagnerai jusqu’aux fins fonds de l’enfer s’il le faut, Eichi-kun~♪
Eichi: Déjà, alors que l’on se connaît à peine ? J’ai le sentiment que tu vas regretter ces mots un jour.
Enfin bon... Je suis au meilleur de ma forme alors il n’y a normalement rien à craindre. Je dois tout de même prendre garde à ne pas en faire trop, même si je suis réjouis de pouvoir monter sur scène à un si grand concert.
Cette fois nous devrons faire profil bas, donc nous ne ferons pas grand chose sur celle-ci.
Offrir des chansons et des sourires au public telle une vraie idole me suffit amplement pour être heureux.
Et ce malgré la querelle entre Kei... Hasumi-kun et moi. Il a fait le trajet jusqu’aux vestiaires juste pour me faire la leçon. C’était assez déconcertant, alors j’ai demandé à mes servants de le retenir.
Il était vraiment de mauvaise humeur. Il a un sacré tempérament quand les choses ne se déroulent pas comme il le voudrait.
Tsumugi: N’êtes vous pas pareils sur ce point, Eichi-kun ? C’est ça les amis d’enfance, ils ont pleins de points en commun.♪
Eichi: Tu penses ? J’espérais seulement que nous marcherions sur la même voie tous les deux.
Enfin, Tsukinaga-kun m’a demandé de l’aider, mais Checkmate est aussi un concert avec un enjeu considérable.
Je vais devoir improviser.
Quant à toi, contente-toi de suivre mes indications comme d’habitude.
Tsumugi: Compris, mais est-ce que ça ira avec seulement nous deux ? Peut-être serait-il plus judicieux de demander aux autres membres de fine de nous rejoindre ?
Notre adversaire est le gigantesque Chess, pas vrai ? J’ai l’impression que nous ne sommes pas assez, nous pourrions nous faire submerger par leur nombre.
Eichi: Hm~ le problème est que ces deux-là nous nuiraient plus qu’autre chose si nous les traînions dans cette affaire.
Ça ne fait pas longtemps qu’ils ont rejoint fine, alors je ne peux pas complètement prédire leur comportement sur scène.
Cette fois-ci, j’aimerais que l’on ne soit que tous les deux pour donner un coup de main à Knights.
Je n’ai pas tellement envie que l’on se démarque, alors essaye de ne pas prononcer le nom de "fine" durant le concert de ce soir.
Tsumugi: Oui chef~ Je ferai de mon mieux pour rester sagement en retrait et devenir ton ombre.
Euh, mais du coup, Knights est le nom du groupe que nous aidons, c’est ça ?
Ces derniers jours, un tas de nouveaux groupes ont fait surface et je n’arrive pas à me souvenir de chacun d'entre eux.
Eichi: C’est le but du système que j’ai mis en place. Je t’ai déjà expliqué les bases, mais je suis encore en train de tester les systèmes de groupes et de DreamFes.
Chacun de ces éléments me servira pour atteindre mon but ultime.
Tsumugi: On dirait que tu mijotes quelque chose… Si possible, j’aimerais bien en apprendre plus sur le but à l’origine de ces changements. Je jure de rester muet comme une tombe si tu acceptes de m’en parler.
Eichi: Je t’en parlerai quand le temps sera venu. Je suis toujours en phase d'expérimentation, donc sans aucune garantie que tout se déroulera comme prévu.
Mon plan ressemble plus à une utopie délirante pour l’instant, alors ce serait plutôt embarrassant d’en parler.
Tsumugi: Hahaha. Tu fais ton timide, Eichi-kun~? Mobiliser autant d’efforts pour aboutir à quelque chose n’a rien d'embarrassant du tout ! Je ne me moquerai jamais de toi.
Eichi: Tu as sûrement raison. J’ai l’impression que tout te laisse de marbre, rien n’arrive à te décourager.
À part ça, Hasumi-kun et moi avons fait quelques ajustements ici et là pour implémenter ces nouveaux systèmes.
J’ai transformé cette école sans foi ni loi en un échiquier avec des règles claires et ordonnées.
Et j’ai réduit le groupe le plus influent de Yumenosaki, Chess, en petites pièces.
Grâce à ce système de groupe, personne ne pourrait se douter que nous sommes derrière tout ça.
Si l’on ne rejoint pas officiellement de groupe, les concerts DreamFes auxquels on peut participer sont limités. J’ai restreint les combats en un contre un, et rendu les carrières en solo nettement plus difficiles.
De plus, les DreamFes officiels organisés par le comité des élèves seront valorisés dans les bulletins.
Si les élèves ne participent à aucun concert, ils seront considérés comme étant en échec scolaire, et de ce fait ne bénéficieront plus des nombreux avantages.
Les membres de Chess qui jadis ne fournissaient aucun effort et profitaient d’une vie facile se sont mis à paniquer.
S’ils continuaient à se tourner les pouces comme jusqu’à récemment, ils perdraient absolument tout.
C’est à cause de ça qu’ils se sont affolés et ont aussitôt formé différents groupes.
Mais pour l’instant, il y a une limite sur le nombre de personnes qui peuvent faire partie du même groupe.
Tsumugi: Hein ? Je ne me rappelle pas d'une quelconque limite à ce sujet ?
Eichi: Car elle n’a jamais été clairement énoncée. Il n’est pas interdit d’être une dizaine, ou une centaine de personnes dans un même groupe, mais pour le moment, il n’y a aucun intérêt à faire partie d’un groupe composé de plus de cinq membres.
Un plus grand nombre équivaut à moins de récompenses lors des DreamFes.
Qu’importe la quantité de participants, le montant de la récompense reste le même.
En d’autres termes, les revenus individuels pour chaque membre seraient bien dérisoires.
Au lieu de faire des bénéfices, un grand groupe tel que Chess s'endetterait de plus en plus après chaque concert.
Un large groupe engendre plus de mal que de bien.
J’ai largement diffusé ce fait l’air de rien, et grâce au bouche-à-oreille toute l’école en a entendu parler en quelques jours à peine.
Les masses qui se croyaient intelligentes s'en sont immédiatement emparées.
À cause de la mauvaise réputation que Chess s’est forgée, elle est devenue désunie, vue par tous comme un moyen rapide et facile de bénéficier d’avantages sans avoir à s’investir. Et enfin, elle s’est inévitablement effondrée.
Elle a ensuite été divisée en petits groupes de cinq personnes maximum.
Ces gens se sont séparés de cette guilde illustre sous la pression, formant des équipes avec leurs amis sans réfléchir et ont fini par s’anéantir eux-mêmes.
Correction FR : Yunaël
Traduction anglaise : royalquintet
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corinneecrivaine · 1 year
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TIR ASLEEN - Part 2
Fanfic Willow TV show
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Part 2
Ils échouèrent au bord d’une rivière à la lisière d’une forêt, épuisés, vidés de toute force, il leur était impossible de se mettre debout. Une armée de chevaliers face à eux. Jade et Boorman essayèrent de se lever arme au point pour les combattre mais s’écroulèrent aussitôt.
Jade : Je n’ai plus la force de me battre
Boorman : Moi non plus.
Et perdirent connaissance.
Le commandant des chevaliers : Ramenons-les.
*******
Lorsque Kit ouvrit lentement les yeux, elle vit le visage de sa mère, assise à ses côtés. La jeune princesse se retrouvait chez-elle, dans sa chambre.
Kit : Mère… Est-ce bien vous ?
Sorsha : Oui c’est bien moi. Vous êtes tous sains et saufs.
Kit se mit à pleurer et se jeta dans les bras de sa mère.
Voyant que sa fille portait la cuirasse, Sorsha comprit le devoir qui lui incombait qui allait mettre en cause son rôle de princesse.
Sorsha : Ton père t’a laissé un lourd tribu à porter. (Elle lui caressa le visage et repoussa une mèche de cheveux retombant sur son front.) Il ne t’a jamais abandonnée. Il est parti à ma demande, chercher cette fameuse cuirasse. Je te demande pardon. J’aurais dû me rendre compte de ta souffrance, de cette absence qui te pesait tant. Il a toujours était fier de la personne que tu allais devenir. Jamais il n’a perdu foi en toi. Tu lui ressembles tellement mon enfant. Fougueuse, impulsive, mais avec un cœur et une loyauté sans limite pour tous ceux que tu aimes.
Kit : J’ai… J’ai entendu sa voix. Il est là quelque part. Je le sais.
Après avoir enlacé sa mère de toutes ses forces, Kit lui demanda si elle avait la solution pour enlever cette fameuse cuirasse.
Sorsha  se mit à sourire : La seule personne qui puisse te l’enlever et celle là même qui a activité la Lux Arkana. Ce que je sais de cette cuirasse c’est que non seulement il faut être digne de courage pour la porter mais aussi l’amour d’une personne qui croit tellement en nous, bien plus que nous ne croyons en nous-mêmes.
Elle déposa un baisé sur le front de sa fille puis rejoignit Jade dans le couloir. Elle posa ses mains sur les épaules de la jeune femme.
Sorsha : Vas-y. Elle t’attend.
Jade hésitait. Elle qui n’était qu’un chevalier, non autorisée à se retrouver en ces lieux du palais. Elle qui avait passé son enfance à s’occuper des écuries, des chevaux jusqu’à ce que Ballantine lui apprenne l’art des combats et la forme à la chevalerie.
Sorsha : Je te dois bien ça.
Avançant d’un pas hésitant jusqu’aux appartements de son amie. Avant de passer la porte, elle se retourna vers Sorsha qui lui rendit un sourire. Elle s’arrêta sur le pas de la porte. Kit la regardait sans mot dire. Mais leurs regards parlaient d’eux-mêmes. Remplis de tendresse l’une pour l’autre, de cet amour profond, enfoui toutes ces années.
Jade s’approcha du lit de son amie et posa sa main à l’emplacement de la Lux Arcana et l’autre main sur l’épaule de Kit. Tout d’un coup, un éclair de lumière verte les entoura toutes les 2. Leurs regards se fondaient l’un dans l’autre, comme si leurs corps fusionnaient sans se toucher. Sous l’emprise de cette puissante sensation, instinctivement, Kit attrapa la main de Jade. La Luxe Arcana se retira de son emplacement, aussitôt, la jeune princesse fut libérée de la cuirasse.
Sans un mot, sans détourner le regard l’une de l’autre, Kit prit Jade au dépourvu en l’embrassant. Lorsque leurs lèvres se séparèrent Jade lui prit le visage entre ses mains.
- Je ne peux pas.
Puis elle quitta la pièce laissant la jeune princesse seule, le cœur lourd.
Jade n’exprimait jamais ce qu’elle ressentait, gardant au fond d’elle toutes ses émotions, colère, amour. Elle n’était qu’un chevalier et Kit une princesse, son devoir était de servir Sorsha, Tir Asleen, être loyale et protéger. Où était la place de son amour ? Le plus difficile n’était pas l’amour qu’elle éprouvait pour sa princesse mais le fait de pouvoir vivre avec.
*******
Tous se retrouvèrent dans la salle du trône face à la reine, ses enfants à ses côtés.
Sorsha s’adressa à chacun d’eux : Boorman, tu n’es pas la crapule que tu veuilles bien faire croire. Je te pardonne tous tes crimes. Tu es libre.
Boorman : Libre… Je… Je peux…
Sorsah acquiesça de la tête : Jade, tu étais la plus grande fierté de Ballantine (Jade eut un pincement au cœur). Je sais que tu as été acceptée au sein de la Shining légion afin de rejoindre les chevaliers de Galladoorn, si tel est ton souhait, je ne t’en empêcherai pas, (Kit lança un regard désespéré vers sa mère et Jade) mais sache que tu as aussi ta place à Tir Asleen en tant que chevalier officiel de la Pacalcade. (Les 2 amies se regardèrent)
Sorsha s’approcha de Willow et d’Elora : Mon ami je suis désolée de ne pas t’avoir écouté. Peut-être n’aurai-je pas dû lui cacher sa véritable identité et te laisser lui enseigner toute la magie qui sommeil en elle. (Elle prit les mains de la jeune impératrice).
Elora : J’imagine que je n’ai plus ma place à la cuisine.
Sorsha sourit : Ta place est ici à mes côtés. Je t’aiderai à supporter tout le poids de ta nouvelle vie. Tu ne seras pas seule.
Elora : Ma reine, il y a eu trop de sacrifices pour me protéger, Silas, Graydon… Je pense que j’aurais dû écouter Willow et rester avec lui, chez-lui, le temps de bien maîtriser tous ces pouvoirs.
Tous les 3 se regardèrent.
Willow sourit à Elora.
Willow: Je veillerai sur elle.
Boorman était sur le point de s’en aller lorsque Kit l’interpella.
Kit : Boorman, je…
Boorman : T’inquiète jeune fille. J’ai une visite à faire. Nos chemins se croiseront de nouveau.
Puis la jeune princesse s’approcha de Willow et d’Elora.
Willow lui sourit : Tu es bien la fille de Madmartigan.
Elle prit Elora dans ses bras. C’était sa façon à elle de se faire pardonner son comportement : je suis désolée.
Elora : Ça va aller. On se reverra.
Airk : Elora, attends.
Il s’approcha de le jeune femme : Je… Nous 2…
Elora : Beaucoup de choses ont changé. Je ne suis plus cette cuisinière naïve amoureuse de son prince. Mais toi qui es-tu réellement ? Cette personne assoiffée de pouvoir, prête à tout, même à se retourner contre les siens ou ce jeune prince, amoureux de toutes les femmes, insouciant face à ses véritables responsabilités ?
Elle partit accompagnée de Willow, laissant Airk face à lui-même.
Sorsha emmena Jade dans une pièce à part, sous le regard inquiet et accablé de Kit. Elles se retrouvèrent seules à seules.
Sorsha : Assieds-toi.
Jade : Pourquoi m’avoir caché qui je suis vraiment ?
Sorsha s’assit face à Jade et lui prit les mains : Dans ma vie j’ai dû prendre des décisions dans l’unique but de protéger les miens. Mais ils s’avère que certains de mes choix furent des erreurs. Nous étions en guerre, mon mari contre ton père.
Jade : Mais ma mère…
Sorsha : Je ne suis pas fière de certaines actions que nous avons commises. Je ne pourrai réparer le mal qui a été fait. Mais ce qui est sûre, je suis fière du chevalier que tu es devenue. A aucun moment je n’ai hésité à mettre la vie de ma fille entre tes mains.
Jade fut grandement touchée à l’entente de ces paroles.
Sorsha : Je sais que je vais t’en demander beaucoup mais si tu désires rejoindre les tiens je ne t’en tiendrai pas rigueur.
Jade pensait à Kit : Les Bone Reavers sont les ennemis de Tir Asleen.
Sorsha : Oui mais ils sont aussi ta famille. Peut-être qu’avec ton aide, tu pourrais les rallier à notre cause.
Jade : Je…. Jade resta silencieuse. Mais dans ce silence, Sorsha comprit que la jeune femme s’inquiétait pour Kit.
Sorsha : Je vous voyais grandir, devenir amies. Je voyais ma fille être heureuse de tous ces moments qu’elle passait à tes côtés. Je n’ai pas voulu briser tout cela. J’ai conscience de vos sentiments l’une envers l’autre.
Jade : Elle est une princesse et… moi, je ne sais plus… Une Bone Reavers, un chevalier.
Sorsha : Regarde qui tu es au fond de ton cœur.
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i7traductionfr · 1 year
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Carte d'Anniversaire de Yamato : 16 Idoles Album
Partie 1 / Partie 2 / Partie 3 
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Part 2 : La fête d’anniversaire de mes souvenirs
*Dans un manoir japonais traditionnel*
Invités : Joyeux troisième anniversaire, Yamato-kun~~~ !
Chiba Shizuo : Yamato, regarde, tous les cadeaux que nos invités t’ont apportés. 
Yamato : Waaah ! Il y en a tellement !
Chiba Shizuo : C’est bien plus que ce que j’ai pu envoyer pour le Nouvel An.
Acteur Célèbre : Ce n’est pas vrai, Chiba-san.
Chanteuse Célèbre :  Chiba-san a offert à mon enfant, l’équivalent d’un an de nouilles somen ! Il était ravi !
Comédien Célèbre : C’est pareil pour mon apprenti ! Nous sommes extrêmement reconnaissants. N’es-tu pas, d’accord.
Apprenti comédien : … Ah… Merci… Vous m’avez même invité à l'anniversaire de votre fils…
Chiba Shizuo : Ce n’est rien, voyons. C’est plutôt à moi de dire merci à vous tous d’être venu aujourd’hui.
Chiba Shizuo : C’est l’anniversaire de mon fils, mais je profite de ce jour pour exprimer ma reconnaissance et ma gratitude…
Yamato : Papa, je peux ouvrir mes cadeaux, maintenant ?
Chiba Shizuo : Tu dois les remercier d’abord.
Yamato : …. Oui… ! Merci à tous d’être venu à mon anniversaire… ! 
Acteur Célèbre : Ahah, assez de remerciements ! Yamato-kun, va ouvrir tes cadeaux !
Yamato : Ah… mais…
Chanteuse Célèbre : C’est ton anniversaire, Yamato-kun ! Va t’amuser !
Yamato : … C'est vrai, je peux ?
Chanteuse Célèbre : Tu peux. Je pense que tout est prêt, désormais. Allons découvrir tes cadeaux ! Prêts ?
Yamato : …… ! Partez !
*Yamato se met à courir avec la chanteuse*
Chiba Shizuo : Yamato, attend… ! Aaah, je présente mes excuses pour son manque de discipline. Si vous voulez bien me suivre.
Yamato : Wow, c’est un shinkansen (un train à grande vitesse au Japon) ! Regarde, Papa ! Regarde !
Chiba Shizuo : Ahah, excusez-moi, tout le monde. Commencez sans moi.
*Shizuo rejoint Yamato*
Comédien Célèbre : Le légendaire Chiba Shizuo semble tellement heureux quand son fils est dans les parages. Il a dit qu’il veut exprimer sa reconnaissance et sa gratitude aujourd’hui, mais cela ressemble clairement à une fête d’anniversaire.
Chanteuse Célèbre : Mais, n’est-ce pas merveilleux ? Depuis la naissance de son fils, Shizuo a changé.
Comédien Célèbre : Il meurt probablement d’envie d’exhiber son adorable fils. Aujourd'hui, il pourrait manger n'importe quoi avec son saké et ne s'en rendrait même pas compte !
Invités : Ahahah… !
*On passe à Yamato et Shizuo*
Yamato : Ah… ! C’est un chemin de fer ! C’est un train avec des chemins de fer !
Chiba Shizuo : Oui. Tu pourrais t’amuser à le construire. Pourquoi tu n’ouvrirais pas cette boîte ?
Yamato : Uhm… Ah, Rabitty-kun ! C’est le deuxième que je reçois !
Chiba Shizuo : Quel étrange lapin. Oh ? Il s’illumine. Si tu appuies sur ce bouton, il s’illumine, Yamato.
Rabitty-kun : Uwwwu ! Je suis Rabitty !
Chiba Shizuo : Il parle… ! Yamato, le lapin parle…. !?
Yamato : Rabitty-kun est un jouet qui parle. Je te l’ai déjà montré ! 
Chiba Shizuo : C'est vrai… Mais il n’a pas parlé cette fois-là… Ah, il y a des instructions sur la boîte… Qu’est-ce que cela dit ?
Chiba Shizuo : Il peut dire environs 365 mots différents… ? Oh… Ils font des jouets tellement sophistiqués de nos jours. Ça ne plaisante pas.
Yamato : Ah, c’est Gao Gao Saurus ! Regarde, c’est T-kun, le T-rex !
Yamato : Gao gao~ !
Chiba Shizuo : Tu aimes la puissance des dinosaures ? 
Yamato : Oui, j’adore ça ! Je pense que Tori-kun, le Tricératops est cool aussi ! C’est un herbivore, mais il a des cornes !
Chiba Shizuo : Je vois… !  J’ai acheté quelque chose de similaire le jour de ta naissance ! Je l’ai choisi, car c’est cool et puissant aussi.
Chiba Shizuo : Je pensais que tu étais encore trop jeune pour ça, mais… Est-ce que tu veux le voir ?
Yamato : …… ! Oui… !
Yamato : Waaaah… !! Ça fait peur…. !!
*Certains invités arrivent en courant dans la pièce*
Acteur Célèbre : Que se passe-t-il ?!
Comédien Célèbre : Il est arrivé quelque chose ?!
Chiba Shizuo : Non, c’est juste… J’étais en train de lui montrer le souvenir que j’avais acheté quand il est né…
Yamato : J’ai peur….
Comédien Célèbre : C’est un masque de démon… ?!
Chiba Shizuo : C’est un talisman masque de démon. Un célèbre artisan de Shinshu a travaillé dessus pendant trois ans.
Chanteuse Célèbre : Ce n’est pas bien, Shizuo-san… ! Vous ne pouvez montrer quelque chose de ce genre à un enfant aussi jeune, c’est normal qu’il ait pris peur.
Chiba Shizuo : J’avais l’impression que Yamato était intéressé par les choses sophistiquées, il m’a même dit qu’il aime la puissance, donc j’ai pensé que cela le rendrait heureux… ç-ça a même des cornes…
Yamato : Waah… *sniff sniff*… Même si ça a des cornes, il fait peur… fais le disparaître…
Chiba Shizuo : Je… Je vois… ton papa ne savait pas.
Acteur Célèbre : Malheureusement, Shizuo-san, vous l’avez fait pleurer le jour de son anniversaire.
Chiba Shizuo : J’ai tellement honte….
Yamato : *sniff sniff*
Chiba Shizuo : Yamato, ton papa avait tort, je suis désolé… Y a-t-il quelque chose que je puisse faire ? Je ferai tout ce que tu voudras.
Yamato : ….… Porte-moi….
Chiba Shizuo : Compris, viens ici…
Acteur Célèbre : Shizuo-san, vous allez tourner une scène de combat à l’épée au travail, n’est-ce pas ? Donc forcer sur vos bras….
Chiba Shizuo : Ah, mais Yamato…
Yamato : …. Cheval….
Chiba Shizuo : Bien sûr ! Je vais te faire faire un tour de cheval !
Acteur Célèbre : Attendez, votre dos… cela pourrait affecter les tournages de la semaine prochaine…
Chiba Shizuo : Oui, mais…
Yamato : *sniff sniff*… Alors, il n’y a rien que je peux faire…
Chiba Shizuo : Q-qu’est-ce que je peux faire…
Comédien Célèbre : Yamato-kun, est-ce que je pourrais faire quelque chose pour toi ? Toi aussi, dis-lui.
Apprenti comédien : E-Est-ce que tu veux te battre contre moi ? Je pourrais t’enseigner des techniques !
Chiba Shizuo : Désolé, je préfèrerais qu’il ne fasse rien qui pourrait le blesser…
Chanteuse Célèbre : … Dis, Yamato-kun ! Chantons une chanson ensemble !
Yamato :… Une chanson ?
Chanteuse Célèbre : Oui ! Il y a un bar à karaoké pas loin, allons-y ensemble et chantons !
Chiba Shizuo : … Je suis désolé, mais c’est fermé aujourd’hui.
Chanteuse Célèbre : Ce n’est pas grave, je vous dois beaucoup. Ce n’est pas un problème du tout. D’accord, Yamato-kun, devrais-je commencer ?
Chanteuse Célèbre : Joyeux Anniversaire~ Joyeux Anniversaire~...
Yamato : Wahou ! C’est trop bien ! T’es trop doué !
Chanteuse Célèbre : Fufu, merci. Ok, c’est à ton tour, maintenant !
Yamato : D’accord ! Joyeux Anniversaire~ Joyeux Anniversaire~♩ 
Chanteuse Célèbre : Oh mon…
Acteur Célèbre : Hé, il est plutôt doué…
Comédien Célèbre : C’est ce qu’on pouvait s’attendre du fils de Chiba Shizuo !
Acteur Célèbre :  Fantastique, Shizuo-san ! Malgré son jeune âge, il peut déjà suivre le rythme… Hein ? Shizuo-san ?
Chiba Shizuo : ……… !
Acteur Célèbre : Ahaha, il ne peut pas faire attention à autre chose que la voix de Yamato !
Yamato : Joyeux Anniversaire moi~ Joyeux Anniversaire… ~♩  C’est fini.
Invités : *applaudissement*
Acteur Célèbre : Incroyable, Yamato-kun !
Chanteuse Célèbre : Fantastique ! Tu es doué pour le chant, Yamato-kun ! Quand tu seras plus grand tu chanteras avec moi au Black or White !
Yamato : Héhéhé…
Apprenti comédien : Ah, le gâteau arrive ! Pile à temps !
Yamato:  Wow… ! Trop bien ! C’est une voiture de police… !
Chiba Shizuo : C’était l’idée de ta mère. Elle a décidé de faire un gâteau en forme de voiture cette année. J’ai proposé un gâteau en forme de cheval à la place, mais…
Yamato : Je préfère la voiture de police !!
Chiba Shizuo : Ahah, je vois… Ton papa ne comprend vraiment rien.
Yamato : Maman m’as dit que tu es monté dans une voiture de police, quand tu étais un détective à la télé.
Yamato:  C’est pour ça que la voiture de police est mieux ! Papa est trop fort et cool !
Chiba Shizuo : …. !  Ah, c’est… !
Chiba Shizuo : …… !
Comédien Célèbre : Est-ce que Shizuo-san serait en train de pleurer ?
Chanteuse Célèbre : Faisons comme si nous n’avions rien remarqué… Yamato-kun vient souffler tes bougies !
Yamato : Oui !
Yamato : *souffle*
Invités : *applaudissent*
Invités : Joyeux anniversaire, Yamato-kun !
Chanteuse Célèbre : Joyeux anniversaire, Yamato-kun. Oh, tu as de la crème sur le bout de ton nez ! Comme c’est adorable !
Yamato : Je peux avoir du gâteau ?
Chiba Shizuo : D’accord, laisse-moi le couper. Il est aux melons, puisque c’est ton fruit préféré. 
Yamato : Vraiment ? J’adore les melons !
Yamato : Mon anniversaire était trop bien ! J’ai eu pleins de cadeaux, et il y avait même des melons ! Que des choses que j’aime !
Chanteuse Célèbre : C’est parce que tu es la star du jour !
Yamato : Je suis… la star du jour ?
Chiba Shizuo : Oui. Aujourd’hui, c’est ton jour.
Yamato : Alors je dois vous dire merci encore une fois ! Papa m'a dit que la star est celui qui doit dire “merci” le plus !
Chiba Shizuo : ……. !
Acteur Célèbre : Ahaha! Shizuo-san a de nouveau une poussière dans l'œil.
Comédien Célèbre : Yamato-kun, est-ce que tu veux devenir acteur comme ton père quand tu seras plus grand ? 
Chiba Shizuo : …. !
Yamato : Mmmh… je sais pas.
Chiba Shizuo : Oh, je vois…
Yamato : Je sais pas, mais je veux être aussi fort que papa un jour. Car c’est le plus cool !
Chiba Shizuo : Yamato… !
Yamato : Dis, papa… comment je peux être aussi fort que toi ?
Chiba Shizuo : Voyons voir… soit sûr de remercier et d’être remercié. De cette façon, tu deviendras de plus en plus fort.
Yamato : Uhm… ça semble difficile, je suis pas sûr de comprendre…
Chiba Shizuo : C’est difficile pour moi aussi. J’espère que tu trouveras la réponse, un jour…
Yamato : Je la trouverai ! On la trouvera ensemble, papa !
Chiba Shizuo : … ! Merci, Yamato…
Fin de la partie 2
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iufrance93 · 1 year
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IU et Lee Ji Eun
IU, une icône de cette époque qui ne peut être définie par un seul mot, et Lee Ji-eun au visage nu.
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Q : La séance photo d'aujourd'hui a tenté de capturer deux visages, IU et Lee Ji-eun, sur le thème de la dualité. Après avoir terminé le tournage avec un visage détendu, elle a avoué: "Le tournage d'aujourd'hui était honnêtement difficile." 
IU : En fait, travailler avec Gucci est toujours difficile. Je pense que c'est parce qu'il y a beaucoup de vêtements expérimentaux, de scènes et de messages. Surtout aujourd'hui, le but n'était-il pas d'incarner visuellement mon autre moi ? J'ai vu la collection P/E 2023 à Milan et j'ai trouvé ça très choquant et intéressant. Comme j'ai des souvenirs de cette époque, j'ai entendu parler du concept de ce pictural qui reprend un motif d'une collection, et je me suis dit, ah, ce ne serait pas facile. Mais c'était tellement amusant. C'était la première fois que j'essayais un maquillage fumé aussi épais, et je suis reconnaissante de pouvoir participer à un nouveau plan à bien des égards, à partir de la composition de l'image, des accessoires et de l'espace du studio.
Q : La dernière coupe était une scène dans laquelle IU, portant un maquillage épais et fumé, se tenait devant un faux mur recouvert d'affiches de Lee Ji-eun, qui était proche de son visage nu. Pour être honnête, je ne savais pas que la photo sur l'affiche provenait du tournage d'aujourd'hui, alors j'ai deviné qu'il s'agissait toujours de coupures de 'Persona' et 'Love Game'. Je savais que vous aviez plusieurs types de visages, mais je viens de réaliser qu'il y a aussi des visages de différentes époques.
IU : Dans la salle d'attente plus tôt, notre personnel a dit quelque chose de similaire. Maintenant, je porte un maquillage fumé épais, mais auparavant, j'enlevais le plus de maquillage possible. C'est le matin, donc ça ressemble à de la viande de poitrine (rires), et ça semble bien aller. Voir les photos imprimées m'a rappelé le passé.
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Q : Nous avons un partenariat à long terme avec Gucci. Si vous regardez la tendance artiste d'IU, je pense que c'est un compagnon impossible si vous n'êtes pas d'accord avec la philosophie et les valeurs de la marque Gucci. À quel moment les visions artistiques de Gucci et d'IU coïncident-elles ? 
IU : Je pense que Gucci est une marque qui valorise la diversité et trouve l'esthétique dans quelque chose de non raffiné. S'il y a quelque chose qui me ressemble, c'est peut-être le rôle. Je travaille également de manière à fondre dans les paroles les pensées et les sentiments que j'avais en train de ne pas parvenir à une conclusion et de ne pas être achevé.
Q : Comme vous l'avez dit, vous êtes toujours courageux de vous exprimer honnêtement à ce moment-là. En tant que célébrité, êtes-vous obligé de ne montrer au public que votre apparence parfaitement décorée ? 
IU : Quand j'étais jeune, je ne savais vraiment rien. (Rires) Je pense que je n'avais pas d'autre choix que de dire : "C'est ce que je pense en ce moment" ou "J'ai cet âge maintenant". D'une part, depuis que j'étais jeune, il y avait une perception que je n'étais pas une personne parfaite. Ce n'est pas comme si vous pouviez l'imiter. Tant que j'ai fait de ce métier une carrière, je devais voir le jeu, et il y a des aspects de moi que j'ai pu montrer sans hésitation. Ce qui a commencé comme ça est maintenant devenu l'une de mes façons de m'exprimer.
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Q : Les petites activités récentes sont-elles dans la même veine ? Vous pouvez trouver votre voix dans la chanson que les enseignants de l'école Milal ont chantée pour leurs élèves. Le compositeur Kim Jehwi de 'Night Letter' a fait une chanson sur ce qu'il ressentait en travaillant dans cette école et y a participé en tant que long métrage. 
IU : Jehwi est un ami précieux même en dehors de son talent musical. Au début, j'ai entendu dire que cet ami enseigne aux élèves à l'école, alors puis-je bien faire ? C'est vrai que j'étais en avance sur mes soucis. Cependant, après s'être bien adapté à être amical, il a finalement dit : « Ma sœur, je veux présenter une chanson à l'école », alors je me suis senti fier et j'ai voulu l'encourager. Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que cela devienne un sujet aussi brûlant, mais je l'ai enregistré avec tant de diligence que j'ai dit en plaisantant : "Je pense que j'ai travaillé plus dur que de participer à mon album." Pour que les élèves puissent aller à l'école dans la bonne humeur tout en écoutant. être fort
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La veste, la chemise à nœud et le pantalon sont tous signés Gucci. 
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La veste courte, la chemise à nœud, le pantalon et les escarpins à bout ouvert sont tous signés Gucci. 
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Les vestes avec des ceintures décoratives dorées, des pantalons et des coiffes avec des détails à franges sont tous signés Gucci. 
Q : IU, Park Bo-gum et Lim Sang-choon, scénariste de <Fight for My Way>, un drame qui a attiré beaucoup d'attention, entreront bientôt en pré-production. Pourquoi avez-vous choisi cette pièce ?
IU : Je pense que tout le monde pensera de cette façon lorsque le travail sera publié. 'Oh, je devais avoir envie de le faire aussi'. Je me suis beaucoup amusé avec les travaux précédents d'Im Sang-choon, et c'était frais parce que ce travail avait une nouvelle histoire unique. En tant que personne qui aime lire et écrire, j'étais jaloux du talent de l'auteur qui pouvait faire ressentir ce genre d'émotion même si ce n'était qu'une police de caractères. Le sujet est bon, mais j'ai surtout aimé le fait qu'il véhicule une histoire lourde sans être lourde.
Q : L'enfant que vous incarnez est une "fille littéraire dont la voix tremble comme une chèvre depuis qu'elle s'est rebellée, et qui est pauvre mais forte à l'intérieur". Il est à noter que ce travail est un retour dramatique après 4 ans depuis <Hotel Del Luna>, et le personnage est à l'opposé de cette époque.
IU : Manwol à l'hôtel Del Luna est définitivement un personnage inhabituel. Cependant, Aesun a également un point unique. Ae-soon semble être une personne que vous pouvez facilement voir autour de vous, mais si vous regardez attentivement, est-ce une personne dont l'individualité en tant qu'être humain se démarque ? Je semble être attiré par les gens avec ce genre de détermination.
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Q : Certains acteurs s'imprègnent de la façon dont ils se retrouvent dans leurs personnages. Es-tu comme ça aussi ? Dans quelle mesure Aesoon et IU sont-ils similaires ?
IU : Il y aura certainement des personnages avec des résolutions que je ne pourrai jamais comprendre, mais si c'est le cas, je ne pourrai pas choisir le travail. C'est une question de confiance. C'est aussi une preuve que les personnages que j'ai joués jusqu'à présent sont des gens que je peux comprendre à tout moment. Parmi eux, Ae-soon me ressemble plus qu'à tout autre personnage que j'ai joué. L'auteur a un grand pouvoir d'observation. Il a dit qu'il voulait incorporer les caractéristiques que j'ai, mais qui ne sont pas trop révélatrices, dans le personnage. En fait, après avoir lu le scénario, c'était au point de se dire "Oh, comment as-tu su que j'avais ce genre de côté ?".
Q : De <My Mister> à <Hotel Del Luna>, de <A Place Where No One Is> à <Broker> à <Dream>. Qu'il s'agisse d'un drame ou d'un film, je me demande si la prochaine étape est très audacieuse. C'en est au point où je me demande si jouer un personnage différent ou une œuvre différente de mon travail précédent est le critère numéro un pour choisir une œuvre.
IU : Si vous avez les cheveux longs depuis longtemps, ne voulez-vous pas les teindre et les couper ? Ce n'est pas un critère, mais après avoir vécu comme un seul personnage pendant plus de quelques mois, il semble que l'inconscience de vouloir essayer autre chose entre en jeu.
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Q : Je veux avoir les cheveux courts et les cheveux courts, mais il y a beaucoup de gens qui s'en tiennent aux cheveux longs pour le reste de leur vie parce qu'ils ont peur que cela ne leur convienne pas.
IU : Mais s'il y a quelque chose que je veux faire, je dois le faire. Il est beaucoup plus facile de supporter de regretter d'avoir fait quelque chose que de ne pas l'avoir fait.
Q : Je suppose que ce n'est pas le côté qui sépare l'ego en tant qu'acteur et l'ego en tant que chanteur. En quoi votre état d'esprit est-il le même ou différent la veille du concert et la veille du lancement ?
IU : Si la scène du concert est comme une émission en direct où une seule chance est donnée tant que la mémoire du public n'est pas effacée, le lieu de tournage peut échanger à tout moment avec le réalisateur ou l'autre acteur, et le meilleur résultat parmi plusieurs prises est présenté au public. Il ne se sent pas comme la même prémisse en ce sens qu'il est partagé. Cependant, après le début de la représentation, je me suis senti seul sous tension pendant un certain temps, et finalement, le moment intimidant de s'assimiler au public et de voir de nombreuses personnes sur le site de tournage inconnu se déplacer en équipe avec un objectif commun, j'ai réalisé que nous respirent vraiment ensemble. Le moment de la réalisation est très similaire. Les deux domaines sont attrayants dans la mesure où ce sont des choses que je ne pourrais jamais faire seul. Que ce soit en chantant ou en jouant, je suis juste une personne qui fait de son mieux à chaque instant.
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La veste, le pantalon, la chemise à nœud et les mocassins sont tous signés Gucci.
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Le gilet avec des détails de doublure, les shorts, les chaussettes et les mocassins sont tous signés Gucci.
Q : L'année dernière, lors du concert célébrant le 14e anniversaire de leurs débuts, 〈The Golden Hour: Under the Orange Sun〉, "J'ai pensé que la scène que j'avais défiée et courue depuis que j'étais adolescent pourrait vraiment être la destination finale, mais en ce moment, cela pourrait être un nouveau point de départ, un nouveau départ donne de l'espoir », a-t-il déclaré. A l'origine, il est facile de s'installer n'importe où. Même ainsi, je veux toujours marcher quelque part. Dans quelle direction voulez-vous aller ? qu'y a-t-il à la fin ? 
IU : Il n'est pas exagéré de dire qu'à 20 ans, je vivais obsédé par l'idée de cette "direction". Je me demande si c'était le thème qui m'a fait « circuler le sang » à l'époque. Les soucis intenses étaient agréables, mais franchement, ils étaient aussi fatigants. Après avoir atteint mes 30 ans, je n'ai pas particulièrement de direction en tête. C'est ma première fois comme ça.
Q : Êtes-vous riche maintenant ? 
IU : Pour être honnête, je ne comprends pas vraiment le concept de repos. Ce n'est pas parce que votre corps se repose que vous vous sentez particulièrement rechargé. Au sens large, si le repos est vu comme une solution ou une recharge, paradoxalement, c'est quand je travaille que les choses accumulées en moi sont le plus agréablement soulagées. Lorsque vous avez fait un travail à votre satisfaction au point où vous ressentez un sentiment de plaisir. À ce moment-là, je me sens beaucoup plus reposé que lorsque je restais à la maison pendant des jours et des jours. Sinon, il faut être tellement absorbé que l'on ne pense même pas au travail, mais dans mon cas, je n'aime pas tant de choses. D'y penser en ce moment, quand je dors profondément, quand je discute avec Yoo In-na, quand je m'amuse et ris avec un ami ou un amant qui me comprend profondément, quand je regarde un film de ma vie à nouveau, quand je mange de la nourriture vraiment délicieuse. Après avoir vécu, il y a pas mal de gens comme moi qui ont besoin de moins de repos mental. Mais l'endurance est une autre histoire, alors j'essaie de la gérer même si c'est pour le moment où je dois courir davantage alors que j'entre dans la trentaine. Quand je peux me reposer, je passe le plus de temps allongé possible. (rire)
Q : Lors du concert à l'époque, il a déclaré: "Je regarderai en arrière aujourd'hui et j'irai encore 14 ans." Vous êtes-vous déjà spécifiquement imaginé dans 14 ans ? 
IU : Si je devais m'imaginer à l'âge de 44 ans à l'époque... semble toujours fonctionner A part ça, honnêtement, je ne sais pas. Si vous regardez la prémisse de « je suis une personne qui change ». Par exemple, les pensées qui me composent il y a 14 ans et maintenant sont très différentes. 
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Veste à col à motifs, chemise Gucci.
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Robe en tweed, sac à bandoulière chaîne par Gucci.
Q : C'est peut-être parce qu'il est flexible. Pour être honnête, je crois que les gens ne changent pas avant de mourir. 
IU : Je suis d'accord dans une certaine mesure avec cette affirmation. Mais à en juger il y a 14 ans, j'étais une personne qui détestait la compétition et évitait la compétition. Si vous regardez le journal de l'époque, « J'ai du mal dans une société compétitive. Je suis inquiet parce que je n'ai pas envie de concourir et je déteste la compétition. Cependant, avec le recul, j'ai apprécié le jeu tout au long des 14 années écoulées depuis mes débuts. N'êtes-vous pas fou de gagner ? dans la mesure où. Peut-être que je n'avais pas remarqué que j'avais un esprit de compétition, ou que je voulais le nier exprès.
Q : Quoi qu'il en soit, cela me rend triste de voir une jeune fille qui vient de faire ses débuts gribouiller dans son journal : "Je déteste la compétition." Y a-t-il quelque chose que l'IU maintenant changée voudrait dire à l'IU d'alors ? 
IU : En fait tu t'aimes beaucoup
Q : Il a dit un jour : "Même si le monde est moins chaste, j'espère que les gens vivront et s'aimeront." Dans un monde difficile, l'espoir auquel vous croyez est-il toujours amoureux ?
IU : C'est embarrassant de le dire avec des mots, mais je crois que l'amour surmonte néanmoins la haine. À la fin, l'amour l'emporte. Même lorsque je perds l'équilibre et que je faiblis, je répète : "Mais à la fin, l'amour gagnera" et je m'équipe de logique, développe mes muscles pensants ou contrôle mon esprit. La proposition que l'amour gagne a été pleinement expérimentée tout au long de ma vie. J'aimerais y croire à l'avenir.
Q : Les auteurs-compositeurs-interprètes ont la chance de pouvoir transformer leurs pensées et leurs émotions en musique. Je sais un peu à quel point les paroles sont importantes, surtout dans votre musique. Quelles paroles de chansons flottent dans votre tête ces jours-ci ?
IU : C'est tellement absurde que j'écris sur ce dont je viens de parler avec le journaliste. En fait, quand le mot riche est sorti, j'ai été choqué à l'intérieur. Flottant sans destination. Je pense que ce sera le sujet du prochain album.
Q : Si vous revenez au concept pictural actuel de « dualité », vous avez l'impression de vivre fidèlement à vous deux : IU, une icône, et Jieun Lee, une personne ordinaire. Comment cet équilibre est-il maintenu ? 
IU : Je pense que le moyen d'équilibrer est d'être modérément satisfait et modérément vigilant en se changeant en jolis vêtements un peu inconfortables mais qui me font briller et des vêtements confortables un peu ordinaires mais qui me libèrent au bon moment. J'accepte naturellement le fait évident qu'il y a des moments où je brille et il y a des moments où je suis ordinaire.
Q : «Je n'arrive pas à extraire tous les mots de mon journal, mais » Quelle est la phrase qui peut vous décrire maintenant ?
IU : "Il a décidé de vivre comme une spore, pas comme une fleur."
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La robe à motif de fleurs, la robe à enfiler intérieure et les boucles d'oreilles simples sont toutes signées Gucci.
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Mesdames et messieurs, nous avons le plaisir de vous annoncer que nous avons survécu ! Et voici donc la narration de notre premier jour en terres sauvages :)
L'aventure commence bien : pendant qu'on se tourne les pouces à l'auberge en se disant que le tuktuk qui devait nous récupérer est en retard, un monsieur arrive et explique que ça fait 30 min qu'il attend dans la rue ! Oups. Il nous emmène quand même à l'agence avec le sourire, c'est agréable. Le responsable de l'agence nous attend avec notre guide anglophone, on est rassurées, il a l'air de parler correctement anglais ! Deux filles qui rentraient de trek nous ont raconté hier que leur guide parlait trois mots et que ça avait été impossible d'échanger vraiment, c'est tellement dommage …
On monte ensuite à l'arrière de deux motos, armées de nos sac à dos (qu'on ne pourra malheureusement pas poser à l'avant, les deux sont chargés comme des mules avec deux énormes paquets, l'un deux ayant un pack de 9L d'eau en équilibre par dessus), et c'est parti pour … 1h30 de route. Aouch. Après la première demi heure, on s'arrête dans un petit magasin où le guide nous achète un masque : on part ensuite sur les routes en terre. Je me dis intérieurement que ce n'est pas forcément nécessaire, on en a déjà fait des routes en terre et ça allait ! Erreur de débutante, heureusement qu'on les a mis … les routes en terre ocre soulèvent des nuages de poussière qui se déposent absolument sur tout, les vêtements, le visage (nos guides trichent, ils ont des visières ! On sera de notre côté marquées à vie, couvertes de terre au moindre interstice à découvert), même les arbres en bord de route changent de couleur. Le pire, c'est quand un camion passe : ils créent une mini tempête qui nous engloutit, un vrai bonheur! Nos vêtements et notre sac en sont aussi couverts, j'espère que ça partira au lavage !! Sakal, notre guide, nous explique en rigolant qu'il s'agit de la neige cambodgienne... On vous laisse juges !
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On longe les rizières à sec et les plantations d'arbres à cajou, où quelques rares fruits ( les genres de poires allant du vert au rouge en fonction de leur maturité. On en a goûté sur un marché et de nouveau pendant le trek, on n'est pas fans) trônent encore, c'est très joli.
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Après quelques pauses (nos guides ont visiblement aussi mal aux fesses que nous), on finit par arriver devant un petit gué qui ressemble bigrement à celui de Chi Phat! Au milieu de la rivière, un grand bateau tirant des filets est stationné, on nous explique qu'il récupère le sable charié par la rivière depuis le Vietnam : le renouvellement est constant, avec l'accord du gouvernement ce sable est revendu dans la région, surtout pour construire des maisons.
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On finit la route par une petite demi heure au milieu des villages de minorités, à faire coucou aux enfants qui nous regardent passer. On s'arrête pour acheter du vin de riz, la route ressemble de moins en moins à quelque chose (respect aux conducteurs, ils gèrent !), et soudain c'est un cul de sac, on est arrivées ! (Dans la cour d'une maison)
Entourées de cochons (l'un des bébés essaye d'ailleurs de manger la queue de la maman, qui n'apprecie pas du tout) et de poulets, on comprend avec sidération que les deux énorme sacs qui étaient posés à l'avant des motos sont donc de la nourriture : il y a 8kg de riz de prévu (on est 4, sur 4 jours hein), des pâtes, du pain, une quantité astronomique de légumes, un sachet de fruit… et de la viande crue (spoiler alert, c'était carrément trop, à part les fruits qu'on a finis en un jour et demi). Un instant de regret nous submerge quand on pense que la veille, on aurait pu répondre qu'on était végétariennes et éviter de manger de la viande restée pendant 3 jours dans un sac par 35°, puis la résignation s'installe, et on suppose que s'ils avaient des touristes malades à tour de bras, ils ne feraient pas ça … suspense jusqu'à la fin du séjour !
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Ayant donc récupéré notre guide local (Mr Cho, celui qui ne parle pas anglais mais connait la zone comme sa poche), nous fourons nos hamacs dans les sacs, nous debarbouillons pendant qu'ils se séparent la nourriture (et vu la quantité de terre qu'on étale sur nos masques, c'était nécessaire!), récupérons le pain, les bananes et 3L d'eau chacune, et c'est parti mon kiki !
On commence par traverser de longs champs desséchés, rizières abandonnées à cette période de l'année qui reprendront toute leur splendeur à la saison des pluies. On alterne entre rizières et vergers (beaucoup de cajou, quelques manguiers), et on nous explique qu'après le défrichage d'une nouvelle zone, on plante en même temps du riz et des arbres. La double culture se poursuit jusqu'à ce que les arbres aient trop grandi, après quoi on recommence dans une autre zone en conservant le verger : 1kg de cajous (encore dans leur coque verte, puisqu'ils n'ont pas les machines pour les décortiquer sur place et aucune envie de se brûler les mains sur le contenu acide, comme ce qui se fait en Inde) vaut environ 1,10$ (moins qu'il y a quelques années, où le kg était à 1,25$), alors que le riz, même de meilleure qualité, se vend au mieux à 75cents le kg.
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En ce qui concerne le riz, ils plantent différentes variétés, de normal (40cents le kg) à excellent : un meilleur riz demande plus d'intrants, il faut donc avoir les moyens de se payer les fertilisants.
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On passe également devant des termitières géantes, un des ennemis des plantations : s'ils s'attaquent normalement plutôt aux troncs morts, ils partent parfois à l'assaut de la chair tendre juste sous l'écorce, ce qui finit par les tuer. Il faut alors pulvériser un mélange chimique sur le tronc pour le sauver. Les termitières trop gênantes peuvent être brulées, mais elles servent aussi de nourriture aux poulets ou aux varans, les locaux ont donc l'air de les laisser plutôt tranquilles.
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En avançant, Sakal (notre guide anglophone non local) nous explique les utilisations de différentes plantes, de la plante mille pattes qui sert à traiter leur morsure venimeuse, à la plante en forme de pieds de boeuf utilisée pour fumer, en passant par la plante comestible (instant d'introspection avant de croquer dans une feuille rose, on se sent un peu entre la chèvre et la chenille. Verdict : c'est peut être comestible, mais contrairement au guide qui se régale, je n'irai pas jusqu'à dire bon ! C'est un peu aigre, mais ça passe).
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On passe soudain des champs à la forêt, la délimitation est très nette, et on se pose pour déjeuner. La pause est d'ailleurs looooooongue, et n'est que la première d'une longue lignée aujourd'hui. Visiblement, notre guide anglophone n'a pas l'habitude de marcher autant avec de poids sur le dos, d'autant plus que sa ceinture ventrale est cassée (parceque ce n'est pas un problème de dénivelé ou de distance, on ne marche pas vite et c'est tout plat) : on fait trois grandes pauses entre 13h et 14h10, ce qui nous agace honnêtement un peu. On se demande si on va un jour arriver à la cascade promise, et si on ne devra pas se dépêcher d'en partir à cause du temps perdu ici, je demande donc si on peut se remettre en marche (sans rien mentionner d'autre). Malgré mes pincettes (j'ai dit que je voulais partir à cause des mouches qui nous tournaient autour, ce qui est vrai aussi !), j'ai l'impression qu'il est un peu vexé (et désolé), et on repart cette fois au pas de course ! Notre guide local (en tête) vit sa vie tranquillement, on sent qu'il a l'habitude de faire bien pire pour le coup. Je récolte au passage une estafilade sur le mollet gauche, les bambous sont vraiment traîtres.
Note : on s'habituera vite à ce rythme finalement, c'était surtout qu'on ne s'y attendait pas
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On arrive enfin à notre très jolie cascade, où nous piquons une tête avec délectation… elle est certes bien fraîche, mais qu'est ce que ça fait du bien !! On retrouve sur place un autre groupe qui dormira visiblement ici, pour notre part nous repartons après une bonne heure à se tremper les pieds. (Et à tenter de se nettoyer de la poussière de ce matin, optimistes que nous sommes).
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Et comme je n'ai plus le droit de mettre de photos, vous aurez droit à un deuxième post tout à l'heure !
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Janvier 2023 - Semaine 2 - Mot 2
"Gris"
Je cherche à nommer comment je me sens, en ce début d'année. On dirait que ça fait des semaines que je roule sur une tonalité qui semble être la même que la météo: un genre de gris. Gris pâle, même. Celui du ciel, en ce moment. Ce n'est pas que rien ne me touche, ne me fasse sourire, ne me mette en mouvement, c'est juste que la fenêtre de mes ressentis s'est rétrécie, on dirait. Il y a peu de place pour autre chose que l'enchaînement, les répétitions, faire ce qui doit l'être comme ça doit l'être. Je ne vais pas mal. J'ai l'humeur stationnaire, en fait. Figée. Égale. Je sais qu'il y a là quelque chose de précieux. La monochromie des jours, surtout si ce sont des couleurs tièdes, des couleurs loin de celles qui éclatent et font tressauter l'iris, est garante d'un certain calme qu'un matin rouge ou écarlate ne peut assurer. Un calme plat qui, trop souvent, fait peur, tellement il ressemble à ce qui s'est terminé, à ce qui ne peut plus s'emporter, s'élever. Pourtant. Les temps morts sont à chérir. Le calme plat nous préserve, nous laisse le temps de se préparer pour tout ce qui sera autre chose qu'un matin gris.
***
À regarder: Le documentaire Péter la balloune du journaliste Hugo Meunier dans lequel il "...s’interroge sur sa propre consommation d’alcool et des conséquences potentielles sur sa santé, ce qui l’amène à soulever des questions sur le modèle économique et social de la gestion de l’alcool au Québec". [ https://ici.radio-canada.ca/tele/blogue/1940930/alcool-quebec-hugo-meunier ]
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