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#église paroissiale
theodoreangelos · 10 months
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Roman Catholic Parish Church of St George, Horn, Lower Austria Römisch-katholische Pfarrkirche zum Hl. Georg, Horn, Niederösterreich Римско-католическая приходская церковь Святого Георгия, Хорн, Нижняя Австрия Église paroissiale catholique romaine de Saint-Georges, Horn, Basse Autriche
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gillesvalery · 2 years
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Espalion-Aveyron (Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste ) 
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bizarreauhavre · 7 months
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Transi, Jean Golafre, église paroissiale de Saint Nicolas, Fyfield, Oxfordshire, UK.
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corse2b · 2 years
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Église San Michele de Penta-di-Casinca . Haute-Corse.
L'église Saint-Michel est une église paroissiale catholique située à Penta di Casinca en Haute-Corse. Construite à la fin du xviiie siècle (elle est datée de 1760), elle est classée monument historique en 1990. L'église paroissiale Saint-Michel (ou San Michele), , a été construite en remplacement de l'édifice antérieur, du xe siècle. De style baroque, l'édifice est composé d'une nef centrale et de bas-côtés, avec un chœur à chevet plat. Son clocher à deux niveaux percés de baies cintrées, est accolé au chevet.
Source: corse2b.
juin 2022.
Church of San Michele in Penta-di-Casinca. Upper Corsica.
The Saint-Michel church is a Catholic parish church located in Penta di Casinca in Haute-Corse. Built at the end of the 18th century (it is dated 1760), it was classified as a historical monument in 1990. The parish church of Saint-Michel (or San Michele), was built to replace the previous building, from the 10th century. Baroque in style, the building is made up of a central nave and side aisles, with a choir with a flat apse. Its two-level bell tower pierced with arched bays, is attached to the apse.
Source: corsican2b.
June 2022.
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notrebellefrance · 2 years
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Eyragues
L’église paroissiale Saint-Maxime
Jolie église romane (XII° siècle), remaniée à plusieurs reprises, inscrite à l’inventaire des monuments historiques.
La partie médiévale de l’édifice est comprise entre le portail ouest et le chœur. Au XVII°, l’édifice est agrandi et exhaussé d’un clocher. Le bas-côté nord et l’abside, sur voutes nervurées sont de style gothique. A droite du chevet, on remarquera la présence de deux beaux autels de style Renaissance.
Le chœur est de 1848. On note de l’extérieur les créneaux d’une terrasse fortifiée rappelant les Saintes-Maries-de-la-mer ou encore saint-Vincent de Saint-Andiol. Elle aurait, selon la notice de l’Abbé Joseph Mascle, à la défense contre les Albigeois.
L’église abrite aujourd’hui la statue-reliquaire de saint-Eloi, célébré à la fin juin par une fête populaire, la « caretto ramado » ("charrette ramée" en provençal) : la charrette, décorée de végétaux, est tractée par des dizaines de chevaux de traits précédés d’un couple de prieurs.
Niches urbaines
Il existe 11 niches urbaines, dont seulement 6 sont occupées par une statue, dédiées à la Vierge.
- Impasse des Barris : Statue de la Vierge présentant l’enfant. De dimensions généreuses, elle comporte notamment un dais mouluré très saillant. Le socle de la statue porte la date de sa réalisation: 1736.
- Impasse de l’Ange (photo ci-dessous): La Vierge polychrome tient l’enfant sur son bras droit. Il s’agit d’une simple ogive creusée dans le mur.
- Rue Ninette : Statue de la Vierge tenant l’enfant sur son bras gauche, probablement pas d’origine, le socle carré ne s’accordant pas avec la console ronde. Réalisation finement travaillé, avec décor d’écailles et de fleurons sur le dais, de feuilles d’acanthe sur la console.
- Impasse G. Perrier : Jolie niche sur console à godrons, avec dais surmonté d’une coupe. Elle abrite une statue de la Vierge tenant l’enfant sur son bras gauche.
- Rue Porteyguière : Statue représentant la Vierge en mains jointes.
- Rue du moulin : Statue de la Vierge avec les mains jointes.
Les autres niches ont été dépouillées de leur statue.
Le lieu est cité pour la première fois dans une donation des frères Ugolin au monastère de Lérins, en 1094. Á l'arrivée des Romains, la région était habitée par deux tribus gauloises : les Cavares et les Salyens. Sous la domination romaine, la Provence se développa, puis à la suite des invasions et du traité de Verdun (843), elle devint un état indépendant. Á la mort de Guillaume de Châteaurenard, durant la traversée qui le menait en croisade en 1151, son fief dans lequel figurait Eyragues fut démembré. Les premières familles nobles qui possédèrent le domaine (suite probablement à un don des vicomtes de Marseille) furent celles des Sabran d'Agoult et des Sabran Amic. Comme ceux des communes avoisinantes, les remparts d'Eyragues furent construits au XIVe siècle, afin de protéger la population contre les bandes de pillards nées de la guerre de Cent Ans. Á la fin du XVe siècle, Étienne de Vesc, serviteur apprécié de Louis XI, acheta les seigneuries de Pierre de Beauvau. Il fut le premier à porter le titre de baron. En 1629, François Bionneau, conseiller du roi, président trésorier général de France, se porta acquéreur de la baronnie d'Eyragues. Selon toute apparence, il offrit au pays l'horloge publique comme don de joyeux avènement. Il mourut à Eyragues le 12 août 1640. Ses entrailles et son cerveau furent ensevelis devant le maître-autel et son corps fut inhumé dans l'église des Accoules de Marseille. Autrefois, la commune n'avait pas d'hôtel de ville et les réunions du conseil se tenaient dans différentes maisons du lieu dont on louait une salle. Les conseils généraux, dits aussi « parlements », se réunissaient dans l'église ou dans une des chapelles des pénitents. En 1677, messire Jean-François de Bionneau devant 1 800 livres à la communauté, le château et maison seigneuriale devint hôtel de ville et local accoutumé des réunions. Son état déplorable nécessita cependant maintes réparations. Le capitaine des portes était autrefois chargé d'ouvrir et de fermer les portes quand le pays courait le danger d'être exposé au pillage. Le 25 novembre 1771, une délibération mentionna que cet emploi et son crédit de 18 livres étaient devenus inutiles : les portes tombant de vétusté ne pouvaient plus servir à rien. Une glacière fut établie en 1648. Son exploitant devait recueillir la glace durant l'hiver et la débiter du 1er mai au 1er octobre au prix de trois deniers la livre. Les habitants tenaient beaucoup à cette vente, confiants dans l'idée accréditée que la glace devait les préserver de la fièvre.
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dealthorpakp · 15 days
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24 janvier 1984 Henry Hugh Arthur Fitzroy Somerset Duc de Beaumont Funeral Service Église paroissiale de St. Michael and All Saints Badminton Gloucestershire
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christophe76460 · 4 months
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PAS DE CE MONDE
Selon presque toutes les définitions modernes, Jan Comenius (1592-1670) était tout sauf un succès. Bien que Herman Bavink l’ait qualifié de « la plus grande figure de la deuxième génération de réformateurs », il est aujourd’hui pratiquement oublié. Bien qu'Andrew Bonar ait déclaré qu'il était « le véritable héritier de Hus, la principale inspiration de Chalmers et le premier modèle de Carey », il est rarement mentionné aux côtés de tels hommes. Bien que J. Hudson Taylor ait déclaré qu’il était « le plus grand innovateur en matière de missions, d’éducation et de littérature pendant la Réforme protestante », on se souvient à peine de lui. Et bien qu’Abraham Kuyper ait déclaré qu’il était « le père de l’éducation chrétienne moderne », sa vision d’un discipulat substantiel et systématique est rarement mise en pratique.
Il était étonnamment diversifié tant dans ses intérêts que dans ses efforts. Comenius a contribué à façonner les systèmes éducatifs de la Hollande, de la Suède, de la Prusse, de l'Écosse et de la Nouvelle-Angleterre puritaine. Il a lancé des actions missionnaires auprès des Juifs et des Turcs, des Tsiganes et des orthodoxes orientaux, des catholiques et des libéraux. Il a lancé des projets visant à créer une encyclopédie chrétienne complète, une traduction des Écritures en langue turque. Il a écrit et publié une véritable bibliothèque de livres d'inspiration, de théorie pédagogique, de critique culturelle, d'histoire, de dévotion pratique, d'exposition et de théologie. On lui a demandé de diriger le King’s College de Cambridge et le Harvard College en Amérique. Il servit le roi de Suède comme aumônier. Il a développé des plans innovants pour un programme universitaire chrétien. Et il a pu faire tout cela malgré une série de tragédies personnelles. Comme l’affirmait son contemporain Cotton Mather, il était un homme aux « réalisations extraordinaires au milieu d’une adversité démesurée ». C'est donc une merveille qu'on ne se souvienne pas de lui comme tel.
Jan Comenius est né en Moravie orientale et a été catéchisé et éduqué par des parents pieux. Hélas, la première des nombreuses tragédies a frappé son heureux foyer alors que Comenius n'avait que douze ans. Ses deux parents sont morts dans une virulente épidémie de peste. Néanmoins, peu de temps après, il se rendit à Heidelberg pour étudier la théologie. En 1616, après avoir terminé ses études, il revint chez lui pour enseigner dans la petite école paroissiale où il avait autrefois été élève. Dix-huit mois plus tard, il a été ordonné dans l’Église réformée hussite et a servi une petite congrégation à Falnek – où il a épousé son amie d’enfance et a fondé sa famille.
Après avoir été contraint de se cacher en raison des persécutions des catholiques des Habsbourg, Comenius a conduit un important contingent de réfugiés protestants déplacés à travers les montagnes vers le sud de la Pologne afin de commencer à reconstruire leurs vies, leurs familles et leurs églises. C'est alors que Comenius commença à écrire des classiques tels que Le Labyrinthe de ce monde (une belle allégorie de la vie chrétienne écrite plus d'un demi-siècle avant le Pèlerin de Bunyan) et L'Homme des Douleurs (une méditation classique sur l'œuvre de substitution du Christ sur le croix). Il commença également à voyager dans d'autres pays protestants pour défendre la cause de ses frères moraves, déracinés de leur patrie, appauvris et harcelés.
Le génie de Comenius fut bientôt reconnu – non seulement par la communauté reconnaissante des exilés réformés regroupés dans les villages de montagne du sud de la Pologne, mais aussi par l’Église dans son ensemble. Dans les années qui suivirent, il reçut des invitations à enseigner et à vivre dans les villes de Londres, Boston, Stockholm, Paris, Amsterdam, Wittenberg et Genève. Il fut appelé à concevoir des programmes chrétiens universels, à réformer les systèmes éducatifs, à administrer des collèges, à superviser des projets théologiques et à superviser les efforts de publication. Il correspondit avec le tristement célèbre cardinal de Richelieu ainsi qu'avec René Descartes, Cotton Mather, Oliver Cromwell, Charles X de Suède et l'industriel Louis de Geer. Il comptait parmi les hommes les plus influents et les plus recherchés de son époque.
Suite à une nouvelle tragédie en 1656, qui l'oblige à quitter son domicile, Comenius se lance dans une multitude de nouveaux projets. Bien qu’il ait perdu une douzaine de manuscrits inédits, sa presse à imprimer et tous ses biens matériels, il restait inébranlable dans sa confiance dans l’Évangile pour changer le cours des hommes et des nations. Il avait placé son espoir ultime dans le jour où Christ manifesterait ses nouveaux cieux et sa nouvelle terre. Mais il était également ferme dans la certitude que cette gloire future serait déposée dans les domaines fatigués des anciens cieux et de la terre. Jusqu’à sa mort, il vécut conformément à cette notion, planifiant l’évangélisation des musulmans et des Tsiganes, entreprenant la première traduction complète de la Bible en langue turque et affinant sa vision d’un « collège pansophique ».
Lorsqu'il mourut à l'âge de soixante-dix-huit ans, il laissa derrière lui un héritage glorieux, pas de ce monde, qui inspirera des personnages comme Whitefield, Zinzendorf, Chalmers et Kuyper, rappelant avec force que le succès dans le royaume ressemble rarement à succès dans le monde.
- George Grant
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gilblog-nomade · 1 year
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Malte avril 2023. Sainte-Marie de l'Assomption à Mosta. La rotonde de Sainte-Marie de l'Assomption (église paroissiale et basilique) . Elle possède l'une des plus grandes coupoles au monde, avec un diamètre intérieur de 37,2 mètres, construit à l'exemple du Panthéon de Rome. Les murs de la rotonde sont larges de plus de 9 m pour pouvoir supporter le poids du dôme. Cliquez sur la photo pour l'agrandir.
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egliseherault · 1 year
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Être avec… Novembre 2022
Communauté catholique de Celleneuve- La Paillade.
Pleine confiance
Une fois de plus, je me permets de vous reparler de la prière silencieuse, que l'on peut aussi appeler « oraison » ou « méditation ». Et je vous encourage de nouveau à vous y mettre ou à persévérer, ne serait-ce que 20 ou 30 minutes chaque jour. Nous passons tellement de temps dans le bruit et en adoration devant notre portable ou notre télévision ! Vous le savez ; nous ne sommes que de passage sur cette terre et tout va très vite ; nous nous agitons beaucoup en voulant transformer le monde et la sainte Église ; nous nous dispersons au-dehors de nous-mêmes, alors que le Seigneur est vivant au plus profond de nos cœurs. Aujourd'hui, on parle beaucoup de « méditation de pleine conscience ». C'est dans l'air du temps. Pour nous autres, c'est de pleine confiance dont il s'agit. Le Seigneur nous aime à l'infini. Donnons-lui du temps dans le silence, gratuitement, fidèlement. Cela change notre vie !
Être bien assis sur une chaise ou par terre.
Éviter de bouger.
Implorer l'Esprit Saint.
Nous abandonner entre les mains du Père.
Être attentifs à notre propre souffle.
Répéter en silence et inlassablement le nom de Jésus.
JLouis
Les messes du mois de Novembre
Mardi 1er novembre : messe de la Toussaint à 10h à St Thomas.
Mercredi 2 novembre à 17h30 à St Paul : messe de la commémoration de tous les fidèles défunts.
Dimanche 6 novembre, messe à 10h à St Paul (Après la messe : partage sur l'évangile du jour. Portez votre Bible !).
Dimanche 13 novembre, messe à 10h à St Thomas ( Après la messe : lecture-partage avec Maurice Zundel).
Dimanche 20 novembre, messe à 10h à St Paul (Après la messe : poursuite de l'étude des Actes des Apôtres, chapitre 11, puis repas partagé tiré du sac. C'est l'occasion de ne pas rester seul un dimanche à midi !).
Dimanche 27 novembre, messe des familles à 10h à St Thomas. Après-messe pour tous de 11h20 à 12h30 avec le Pasteur Elian Cuvillier dans le cadre de « A l'écoute de la foi des autres ». A la même heure, rencontre du catéchisme.
Le dimanche, adoration silencieuse de 9h à 9h30 quand la messe est à St Paul.
Les messes en semaine
Mardi à 18h, messe à Ste Croix (suivie de 30 min. de méditation) sauf le 1er, le 15 et le 29.
Mercredi à 17h30 à St Paul (suivie d'une heure de méditation) sauf le 16, le 23 et le 30.
Messe à Mathilde Lartigue : lundi 7 novembre à 16h. Célébration à Bélorgeot : mercredi 9 novembre à 16h30 (messe le 23 novembre à 16h30).
Les rencontres
Samedi 19 novembre : randonnée paroissiale facile pour toutes et pour tous de 9h à 16h. On vous donnera des précisions !
Groupe de prière Souffle de vie : 4 et 18 novembre à 19h30 à St Paul. Contact : Havivy 06 50 76 83 50
Chorale : chaque jeudi à St Paul à 18h.
Samedis 5 et 19 novembre à 16h : ménage dans l'église St Paul.
EAP : merc. 2 novembre à 19h et 16 novembre à 19h15 à St Paul.
A pain et à bâtons rompus : vendredi 25 novembre à midi à La Margelle.
Prière à Ste Croix : 1ers et 3ièmes vendredis du mois à 15h.
Les dynamics se retrouvent chaque jeudi après-midi à St Paul !
Les rencontres en visio de la PPH ont lieu les lundis à 15h et les samedis à 17h.
Bienvenue à tous ! Contact : Colette : 0679554525.
Pour Noël
Samedi 24 décembre : Messe de la nuit de la Nativité à 19h à St Paul
Dimanche 25 décembre : Messe du jour de Noël à 17h à St Thomas.
Location et utilisation des églises et salles de la paroisse :
Pour Ste Croix : Merci de bien vouloir téléphoner au 0467753899. L'église Ste Croix est ouverte les jeudis après-midis et les dimanches après-midis de 15h à 17h.
Pour St Thomas : Merci de ne pas contacter le prêtre et de ne pas téléphoner, mais d'envoyer un mail avec votre demande à [email protected] (une précision : c'est bien « sainthomas » et non « saintthomas »).
Pour St Paul : merci de bien vouloir laisser un message vocal ou d'envoyer un sms au 0652260765. D'autre part, le bureau paroissial se trouve Pl. Mimi Azaïs en dessous de l'église à La Paillade (Tel : 0768043039). Permanences : merc de 15h à 17h et sam de 10h à 12h. L'église St Paul est ouverte du matin au soir tous les jours !
Téléphone paroissial : un seul numéro : 0768043039
Retrouvez les infos de notre communauté, avec des homélies et des textes, sur notre site : http://paroissesaintpaul-saintecroix.catholique.fr courriel : [email protected] J-L Cathala : 0652260765
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unknown artist
Saint Sébastien, Ancienne collégiale du château, devenue église paroissiale de Montreuil-Bellay
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claudehenrion · 3 years
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Vacances n°4 - “Traditionis custodes” ou l'arroseur arrosé :
 C'est Macron, qui va être content, voilà son “quel qu'en soit le prix” oint, re-oint, et même oin-oin par l'imprimatur pontifical ! Un spectateur non informé des zizanies entre vaccino-intrépides et vaccino-prudents pourrait voir là un besoin inquiétant de sacrifier l'essentiel au profit d'une idéologie non définie dans ses aboutissements. Pour ceux qui trouvent sécurisant de ne pas gratter trop profond, c'est rassurant : on reste dans les limites du “penser de traviole” qui a pris le monde en otage… L'immense “n'importe quoi” annoncé continue ses ravages, pour le plus grand malheur de l'Humanité, décidément en berne : “Motu proprio”… et bouche cousue !
Le pape François a donc décidé, tout seul dans son coin, d’abroger le motu proprio Summorum Pontificum Cura de Benoît XVI qui, pour réconcilier le monde qui se croit “obligé au progrès” avec ce qui a fait la force de l’Eglise et forgé une magnifique civilisation depuis 1563, avait ré-autorisé la messe dite “tridentine” (= “de la ville de Trente”, en Italie), qui était la seule célébrée jusqu’à la réforme liturgique improvisée en 1969. On peut dire qu'il ré-autorisait ce qui n’aurait jamais dû être interdit, et ne l'avait d'ailleurs pas été formellement (un peu comme notre obligation vaccinale qui n'en est pas une, quoi que…). Mais dans notre monde de dingues, il faut et il suffit qu'un truc marche pas mal pour qu'on le casse… et le Pape François a donc décidé, suprême insulte pour son prédécesseur (il y a des choses qui ne se font pas, dans un monde civilisé !) de ne pas laisser pierre sur pierre de la réforme-phare de Benoît XVI : le retour à la paix entre catholiques.
Cette décision résonne comme un tremblement de terre, bien au-delà des fidèles habitués à cette messe. Partout dominent l’incompréhension et la stupéfaction. Car les termes employés par le pape, qui manquent singulièrement de charité, sont sans un seul mot de compassion “paternelle” pour ceux qui encaissent un tel coup (Tout ce qui est “paternel” est mal vu, ce temps-ci !). Mais le couperet est tombé : le “projet de société” qui se devine consiste clairement à attendre que les derniers survivants attachés à cette forme du rite disparaissent, et à faire ce qu’il faut pour qu’ils ne se reproduisent pas. C’est un peu comme les non-vaccinées, au fait !
Ce lent et sournois génocide liturgique repose en fait sur un malentendu historique :  le Pape n’a manifestement pas la moindre compréhension de ce qui se passe sur le terrain où, contrairement à ce qu'on pourrait penser, les églises “tradi” sont remplies de jeunes (jeunes gens et jeunes ménages ayant plein d'enfants) qui n'ont pourtant pas connu les anciennes messes ! Ils y ont assisté par hasard, ont été surpris par la beauté intrinsèque de cette liturgie, trop heureux de retrouver autre chose que les musiquettes trop faciles post-Vatican II. Mais les chiffres sont cruels : la moyenne d’âge des prêtres de la Fraternité Saint-Pierre, de l’Institut du Christ-Roi ou de la fraternité Saint Pie X est inférieure à 35 ans, ils ont un niveau religieux et culturels très riche et, bien qu'extrêmement minoritaires, ils comptent pour plus du tiers des ordinations. À l’inverse, la moyenne d’âge des prêtres du clergé officiel français est supérieure à 75 ans (âge de leur retraite), et les Séminaires “main stream” ferment l'un après l'autre. Notre Pape n’a pas choisi de miser sur l’avenir !
Les médias dominants ont chanté en SS François le Pape du progrès, du dialogue, de la diversité. Une fois de plus, c'est à l'opposé des racontars de la Presse main stream qu'il faut aller chercher la vérité :  ce texte nous offre sans le dire une invitation à un retour 10 ans en arrière, un blocage, l’uniformité, le nivellement par le bas, avec un petit côté ‘’faux-jeton’’ (si j’ose), en se déchargeant sur l'épiscopat… quand qu'on sait que la plupart des évêques est favorables à cette déconstruction programmée du ‘’aeterni testamenti’’. Et pourtant, ô surprise, la Conférence des évêques de France a réagi au motu proprio “Traditionis Custodes” du pape François de manière inattendue : après avoir, bien obligés, dit qu'ils ne voyaient dans ce texte que “un appel exigeant pour toute l’Église à un authentique renouveau eucharistique” (et bla, et bla, et bla…), ils on paru moins intransigeants, en paroles : eux qui ont, depuis 1965, considéré toute mouvance “Tradi” comme leur ennemi, se révèlent, devant les résultats catastrophiques de cette politique contre nature, prêts “à exprimer leur estime” (sic !) pour les fidèles au missel de Saint Pie V, et à l'autoriser largement : “les voies du Seigneur sont impénétrables !”.
J'espère qu'on pardonnera à un vieux singe tant de fois échaudé d'attendre des preuves concrètes avant de les remercier ! (Toute dérive “à gauche”, et même l'islam et le communisme, sont réputés “acceptables” par nos Monsignori. Mais la Tradition, à aucun prix…). Il est d'ailleurs significatif que seule une toute petite poignée d’évêques français ait manifesté son intention de conserver des liens avec le monde traditionaliste. Le record de “vengeance mangée froide” a été atteint il y a peu à Dijon, où l'évêque local a semblé vouloir se déchaîner contre la fraternité Saint-Pierre. (2 rappels bibliques : ’‘ Tout ce que vous faites au plus petit de mes frères, c'est à moi que vous le faites (Mat  25-40). Et ’’ Eli, Eli, lama sabachthani’’ !)
Le coup d’arrêt qu’impose le texte pontifical à la sensibilité traditionnelle ne lésine pas sur les moyens : il ne doit plus y avoir de nouveau groupe constitué, pas de nouvelles églises attribuées, pas d’églises paroissiales. A une communauté en plein développement, on intime : “arrête ta croissance !”, ce qui signifie, pour des foules énormes de fidèles, le retour à des chapelles trop exiguës et à des hangars ou des salles inadaptées, au moment précis où, partout en Occident se pose la question douloureuse de la multiplication des églises vides, promises à un avenir de disco-bar, de mosquée ou de gravats après destruction. J'ai honte pour eux, vraiment !
Pendant ce temps, l’Eglise d’Allemagne, pour ne citer qu’elle, ‘’donne’’ parfois dans l’hérésie, piétine les dogmes, mais ne reçoit aucune admonestation pour rentrer dans le droit chemin, quand elle ne reçoit pas, en sous-main, des encouragements à continuer sa descente ininterrompue. De même, imams et islamologues ont plus de facilité à dialoguer avec le souverain pontife que les Fraternités et les Instituts “tradis” pour entrer en relation avec l’évêque du lieu. La diversité dont le pape François s’est fait le chantre n’est qu’une caricature grimaçante. Au Vatican, le multiculturalisme est une chance pour le monde, sauf s’il se donne pour objectif de réconcilier les traditionalistes et les progressistes au sein de l’église catholique…
J'ai peur (c'est une anti-phrase, évidemment !) que le Pape François ne fasse une énorme erreur et n'en soit “pour nos frais”…  En dépit de la guerre que la bien-pensance vaticane lui a déclarée (ou grâce à elle !), ce qu'il désigne –de manière ignominieuse à ses yeux– par “le monde de la tradition” a un bel avenir devant lui, alors que l’avenir du “monde du progrès” semble nettement moins radieux, puisque tout progressisme renferme déjà en lui tous les éléments de sa propre fin…
H-Cl.
PS - Pris de remords à la relecture, j'ai soudain réalisé que les lecteurs peu familiers avec la langue latine auront des difficultés à comprendre ce billet. Qu'ils trouvent ici, avec mes excuses, la traduction de phrases sorties des anciennes “pages roses” de leur “petit Larousse” si négligé, depuis internet. Un “Motu proprio” est un décret pris par le pape de sa propre initiative. (NB on peut se demander si c'est par anti-phrase ou par intention humoristique que celui dont nous déplorons la publication se nomme Traditionis Custodes, “les gardiens de la tradition”, alors que le nom de celui qui a été abrogé, Summorum Pontificum Cura, “la sollicitude des Souverains Pontifes”, était tellement plus approprié…).
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theodoreangelos · 1 year
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Roman Catholic Parish Church of St Margaret of Antioch Römisch-katholische Pfarrkirche zur Hl. Margareta von Antiochia Римско-католическая приходская церковь Святой Маргариты Антиохийской Église paroissiale catholique romaine de Sainte-Marguerite d'Antioche
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gillesvalery · 1 year
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Entraygues Sur Truyère Aveyron (Église paroissiale Notre-Dame-des-eaux-vives) (1)
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jmlpyt · 4 years
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Tourtour village dans le ciel dans le Var en Provence 3D0A7143 par Jean-Marc PAYET Via Flickr : Site classé parmi "les plus beaux villages de France" distingué d'une étoile Michelin depuis 2015, Tourtour, village du Haut Var, domine une belle partie de la Provence Village médiéval perché, surnommé le "village dans le ciel", par son implantation sur le haut d'une colline. Il est situé entre les derniers contreforts des Préalpes et la plaine varoise au milieu de belles forêts de pins, avec une vue imprenable sur le moyen Var jusqu'à la montagne de la Sainte-Victoire. Dominé par son église paroissiale Saint-Denis du XIe d’architecture romane. #plusbeauxvillagesdefrance #plusbeauvillagedefrance #cotedazur #cotedazurfrance #tourtour #tourtourvillage #tourtourfrance #tourtourvillagedansleciel #regionsud #regionpaca #maregionsud #onatousbesoindusud #departementduvar #visitfrance #visitvar #explore_regionsud #explorefrance #canonphotography #canon #canonfrance #canonphoto #gettyimagescontributor #shootuploadrepeat #jmlpyt #photography #picoftheday #photooftheday
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montagnarde1793 · 4 years
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Ce que l’historiographie a traditionnellement appelé la “déchristianisation” et ce qu’il convient d’appeler plutôt la “défanatisation” — puisque ce terme est d’époque et rend mieux la façon dont les acteurs la pensaient — est souvent représentée comme contraire à la liberté des cultes. Cependant, comme il ne s’agit pas d’une politique officielle (si ce n’est que pour la collecte de l’argenterie des églises pour l’effort de guerre), il y a eu énormément de variabilité.
L’exemple suivant, de la séance du 9 pluviôse an II de la municipalité de Vannes, montre que ce n’était pas toujours tout ou rien :
sur la demande faite par les Citoyens prieur [de la Marne] et Julien Representants [sic*] Du peuple qui Lors de Leur dernier passage en Cette Commune ont ordonné Verballement De prendre L Eglise Episcopale de S.t pierre pour servir de temple De la Raison et de transferer [après ?] L Eglise paroissial A La Cy Devant Eglise Du mené.
           Le conseil Général Deliberant sur les Dits ordres et voulant Si Conformer, quoi que Verbal [sic], a arreté à L’unanimité que Le temple De la Raison Seroit Desormais L’eglise De Saint pierre et que L eglise du mené seroit L eglise paroissiale De la ville De Vannes et afin que personne n en pretendent Cause d’ignorance Le Conseil a arreté de faire publier Le dit arreté d’ecrire au district, au departement, au tribunal criminel et a La societé populaire et au citoyen Signe Les qu’els sont inviter a se trouver Demain 10. Courant a la ceremonie et a La Lecture des Lois qui sera faite a L eglise st. pierre
           Le conseil arrete De plus qu’il ne sera plus mis de tenture a La porte des mors et qu’on ne Laisseroit dans Les Eglises destinées au Culte Catholique que deux Calisses, un Ciboire et un soleil**.
— AM Vannes 1 D 1/2, p. 111, verso-112, recto.
*Il s’agit de Marc Antoine Jullien, fils du représentant de la Drôme et agent du CSP, qui n’est pas lui-même député
**En conformité avec le décret du 10 septembre 1793
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notrebellefrance · 2 years
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Aurel
un petit village du Vaucluse situé dans le pays de Sault au Pied du Mont Ventoux.
Au XIIe siècle, le château appartenait aux Agoult, comtes de Sault et l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait une église et les revenus afférents.
Les remparts furent édifiés au cours du XIVe siècle, il en reste encore quelques vestiges. Ils étaient épaulés de trois tours, l'une a été démolie, les deux autres transformées. Les portes d'entrée, au nombre de deux, ont été supprimées
L’église paroissiale dédiée à St Aurèle comporte 2 nefs dont seule celle du sud datant du XIIème est de style roman tardif. La nef nord, en parallèle, est plus récente. Elle a peut être a-t-elle été construite sur l’emplacement d’une ancienne pièce.
En 1576, Hubert de Garde de Vins, dit lou Rinar (le Renard), neveu de Jean V de Pontevès, comte de Carcès, qui commandait les troupes de la Ligue, précédant son oncle au siège de Ménerbes, rejoignit le comte de Sault.
Leurs troupes s'emparèrent d'Aurel dont les habitants étaient par trop favorables aux religionnaires et qui pouvaient, grâce à eux, rester en contact avec les réformés de Genève.
René de La Tour du Pin-Gouvernet, capitaine protestant, revint en 1591 et bombarda la place qui capitula.
En 1630, la peste toucha la commune en dépit d'une ligne de protection établie autour du village. Le mal contagieux perdura, avec des hauts et des bas, jusqu'en 1632.
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