Tumgik
#Demain et tous les autres jours
blinding-lights-rpg · 2 months
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CONTEXTE (Séoul, Mars 2024) Les regards du monde entier sont braqués sur la capitale sud-coréenne, BERCEAU DES HÉROS. Aujourd’hui, et comme tous les autres jours, les spectateurs ébahis assistent à des prouesses et à des sauvetages tous plus rocambolesques les uns que les autres. Ce matin, deux héros portent secours aux passagers d’un avion en perdition et retrouvent la terre ferme sains et saufs grâce à leur capacité à voler. Ce midi, les enfants s’émerveillent en regardant la compétition des héros les plus puissants, capables de soulever des camions d’une seule main sans trembler. Dans l’après-midi, on peut entendre les récits sur la prise d’otages déjouée par une héroïne douée d'invisibilité qui a pu prendre à revers les ravisseurs. Et ce soir, les foules se rendent au cinéma pour assister au nouveau blockbuster réunissant les héros les plus célèbres du moment. Toustes s’endormiront avec des étoiles plein les yeux, et se réveilleront encore demain pour assister à de nouvelles merveilles. “LES HÉROS SONT LES STARS DE NOTRE ÉPOQUE” titrent les journaux avec une grande facilité. Et ils ne sont jamais éloignés de la vérité. Sur vos écrans comme dans vos rues, iels sont partout, à presque en NORMALISER L’INCROYABLE. Et si un jour vous faites les frais de leur supériorité, vous vous souviendrez qu’ils ne sont finalement que des humains dotés de formidables capacités. Mais n’êtes-vous pas les coupables quand vous cherchez tant à les idéaliser ? CONCEPT BLINDING LIGHTS est un forum RPG de style capepunk qui se déroule à Séoul. Des événements trash, violents et/ou explicites pourront apparaître sur le forum, donc il est interdit aux moins de 18 ans. Le capepunk, c'est quoi ? Le capepunk est un sous-genre de la fiction superhéroïque qui traite du thème des superhéros d'une manière réaliste. Plutôt que de voir les superhéros sous le prisme de leurs actes héroïques, on les voit donc ici sous l'angle de leur côté humain, avec pour réflexion principale : Que feraient des êtres humains "normaux", avec leurs qualités et leurs défauts, s'ils possédaient des superpouvoirs ? Sur BLINDING LIGHTS, on s'intéresse en priorité aux dérives du pouvoir et aux problématiques humaines de personnages pourtant extraordinaires. Le capitalisme, la célébrité, la quête du pouvoir, l'injustice, et les inégalités sont donc au centre des thèmes abordés sur le forum. Ces thèmes seront récurrents sur BLINDING LIGHTS et rythmeront la vie de chacun.e. Notre souhait sur le forum est vraiment de déconstruire les histoires de superhéros classiques pour en faire quelque chose de plus humain. Les héro.ïne.s sont donc pour la plupart de véritables stars dans notre univers, et iels doivent apprendre à conjuguer leur vie privée avec un statut d'héro.ïne parfois difficile à supporter. Les personnages moralement gris, sombres, ou profondément tragiques sont les bienvenus sur le forum dans un souhait de permettre à chacun.e de jouer son personnage avec une grande liberté. Les personnages caricaturaux ou sensationnalistes sont également encouragés dans la mesure où RIEN N'EST "TOO MUCH" dans notre univers. BLINDING LIGHTS se veut un forum à intrigue évolutive où toustes jouent un rôle. En devenant l'un.e des héro.ïne.s de BLINDING LIGHTS, vous acceptez que chaque action de votre héro.ïne puisse avoir un impact sur l'ensemble du forum, et sur votre personnage. Chacune de vos décisions inrp entraînera forcément des répercussions, qu'elles soient positives ou négatives, et le forum - tout comme l'expérience de chacun.e - se verra évoluer en fonction des choix de chacun.e. L'intrigue générale pourra donc totalement progresser d'une façon inattendue selon les actions réalisées par vos personnages, et les intrigues nous permettront de faire évoluer l'histoire et Séoul en fonction de ce qui se passe dans la vie de tous les personnages.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 124
Nous sommes descendus à La Palmyre en moto. Trajet que nous commençons à bien connaître, surtout les aires de repos où l'on peut s'isoler pour que Marc m'encule discrètement. Bagages minimum, mais de toute façon nous passons le plus clair de notre temps à poil ou en maillot de bain. Cette année ayant fait les frais de maillots Aussiebum, nous n'auront que les serviettes à acquérir à la boutique de Jérôme.
Quand nous arrivons, nous tombons direct sur Manu et Théo les serveurs que nous connaissons bien ! Une bise vite fait et il assure passer nous voir dès ce soir à la fin de leur service. Miam, cela faisait longtemps que nous les avions vu.
Motos au parking vidéo-surveillé, bagages défaits, nous descendons direct à la piscine. Nous sommes déjà tout bronzés et ne nous attirons pas de regard de commisération (pov blanchets) mais nous en attirons quand même. J'avais insisté pour acheter les maillots wonderjock. Ça a l'effet escompté, bien que nous soyons déjà correctement équipés, nous paraissons avoir deux Kg de bite en plus !! Nous visons un espace libre et plongeons de concert. Longueur sous l'eau, nous remontons auprès d'un groupe de jambes légèrement velues. Trois ados châtain clair en train de causer sexe accoudés à la margelle. Notre arrivée doit les gêner car ils changent de sujet. ;Je les mates direct, ils s'en aperçoivent et deux d'entre eux rougissent. Je leur fais un grand sourire et m'éloigne avec Marc en crawl lent. Il va falloir mettre Manu sur le coup pour en savoir plus ! Nous sortons de l'eau et allons à la terrasse du bar. Manu vient nous servir et je lui demande aussitôt qui est ces trois jeunes gens. Il rigole car il les avait déjà remarqué et pensait bien que je flasherai dessus. Il me dit que son enquête donne que : ce sont 3 cousins de 18ans tout juste, qui sont en vacances seuls en récompense de BAC réussit. D'après ce qu'il a pu voir, ils sont dans la même résidence que nous mais restent entre eux. Manu n'est pas sur mais il a cru voir quelques gestes tendre entre eux. Sous toutes réserves ! Quand on cherche on finit par trouver le sens que l'on veut au moindre geste !
Le trajet en moto + la piscine dès l'arrivé, j'ai faim. Il nous sert en carte brasserie. Je ne quitte pas des yeux le trio. Soit je les intéresse et intrigue soit mon regard est si lourd qu'il pèse sur leurs épaules. Toujours est-il que régulièrement l'un d'eux vérifie que je les mate toujours. Marc n'est pas contre, après tout les vacances c'est pour changer de la routine (quoi que chez nous il n'y en a pas). De plus je connais mon homme ce type de ptit mec ça lui va bien !
Je décide d'attaquer vite avant qu'on me les prenne. Je laisse Marc remonter à l'appart et plonge dans la piscine. J'émerge entre eux non sans avoir regarder les maillots en passant. Excuses, présentations, de près ils sont pas mal du tout, deux cheveux courts et un longueur à la mode, musclés correct mais pas énorme sauf un plus " physique ", imberbes hors une ligne de poil qui sort de maillot pour remonter au nombril.
Le courant passe tout de suite, ils pensent que j'ai le même âge qu'eux. Quand l'un d'eux me demande si le type avec qui j'étais tout à l'heure c'était mon père, un des autres lui donne un coup de coude et rectifie en mon grand frère. Je ne les détrompe pas, après tout, cela pourra peut être nous servir plus tard. Je leur demande où ils crèchent et précise que nous sommes de l'immeuble. Ils me disent tous ensemble qu'eux aussi sont dans l'immeuble. Je leur demande comment est la mer cette année, car nous venons d'arriver. A ma stupéfaction, j'apprends qu'ils sont là depuis 15 jours mais qu'ils sont restés près de la piscine tout le temps. Je leur parle de la plage au dessus de La Palmyre où on peut bronzer comme on veut. Cela les intéresse, il me demande comment y aller. Je leur dit que nous irons demain et qu'ils n'auront qu'à nous suivre en voiture. Rendez vous pris pour 15h dans le hall.
Ce soir comme d'habitude, nous nous faisons monter le diner à la fin du service par Manu et Théo. Nous les gardons avec nous pour le reste de la nuit ! Nous les avons retrouvés comme nous les avions quittés, chauds, avides de sexe. Malgré la route, ils ont su nous redonner une vigueur qui nous a entrainé jusque tard dans la nuit. Leurs langues se sont attaquées à nos bites pendant que les nôtres mouillaient leurs trous, les enduisant de salive pour la phase suivante. Avant que leurs gorges aient eu raison de notre résistance et qu'elles aient tiré nos jus, nous les avons retournés et enculés l'un à coté de l'autre. Je me suis fait Théo pendant que Marc enculait assez virilement Manu. Marc a attiré ma tête pour que nous nous roulions un patin, nos petits amis faisaient de même plus bas. Pour plus de pratique, et pour changer un peu, Marc les a mis en 69 et nous avons repris nos enculades. Du coup c'était beaucoup plus pratique pour se rouler une pelle. On leur a rempli grave leurs culs de salopes (enfin la kpote au fond de leur culs !).
Dès le lendemain matin, j'étais en mode drague auprès de mes trois cibles. Avec Marc, nous avions défini un mode opératoire destiné à les faire tomber sous trois jours. Ils m'ont retrouvé vers 10 heures à la piscine. Cela faisait déjà une bonne demi-heure que j'alignais les longueurs avec un mec d'une quarantaine d'année. Ils se sont installés de mon coté, les jambes dans l'eau. Je les ai sciemment ignorés, continuant mon entrainement. Deux minutes plus tard le plus musclé des trois glissait dans l'eau et me rejoignait. Quand il m'eut cogné deux trois fois, je cessais mes allers et retour pour m'occuper d'eux. " Ha ! Bonjour ", les civilités plus tard, ils me demandaient si nous allions à la plage dont je leur avais parlé la veille. Ils m'ont l'air bien impatient de venir sur cette plage ! Je leur confirme l'heure de rendez vous dans le hall.
A 15 h nous descendons en tenu moto légère serviettes et huiles. Manu que nous croisons nous informe que les trois jeunes mecs nous attendent depuis au moins 1/2 heure déjà. Contact, description de la route et nous allons au parking. Sifflements devant nos motos, ils ont des scooters 125cm3 et casqués nous suivent. Arrivés au parking nous mettons nos engins nez à nez et cadenassons le tout ensemble (c'est Marc qui garde la clef !). Serviettes sur l'épaule et casque en main, nous crapahutons les presque 2km qui nous séparent de l'océan. Discussion à bâtons rompus sur ce que chacun fait, nous apprenons ainsi que ce sont bien trois copains, et non trois cousins, qu'ils viennent de décrocher le BAC avec mention bien et que du coup un des parents leur avait laissé la jouissance du T2 qu'il avait dans la résidence pour tout le reste du mois. Je tilte, T2 = 1 séjour + 1 chambre ! Innocemment je fais " oui nous aussi nous avons un T2, ça me fait coucher avec Marc mais étant donné la largeur du lit, ça ne pose pas de problème " et celui avec qui je discute me répond qu'il est tellement grand que eux y couchent à trois. Nous escaladons la dune qui sépare la forêt de la plage. Heureusement nous n'avons pas rencontré de mecs un peu chauds ! Du haut de la dune, nous apercevons quelques mecs nus étalés sur leurs draps de bains et quelques mecs dans l'eau. Marc prend sur la droite pour trouver un coin éloignés des autres. Les fringues volent, Marc se met nus et je reste en maillot (pour garder mes fesses blanches). Un des mecs me demande si la plage est naturiste ou non. Je lui explique que cette année je voulais rester le cul blanc car je trouvais cela hyper sexy. Les autres ont maté Marc et les commentaires élogieux sont sortis. Belle musculature, au fait t'as quel âge ? ... Yen a surtout un qui n'arrivait pas à quitter la bite de Marc des yeux. Sans bander ce dernier l'avait quand même un peu excité et elle avait pris une taille molle déjà conséquente au dessus de ses grosses couilles glabres. Après hésitation, les trois ont décidé de tenter le nudisme. Là derrière mes lunettes de soleil, j'ai pu voir distinctement leurs matériels. Correct, couilles rasées pour le plus balaise, les deux autres couilles rasées et les poils au dessus de la bite coupés courts. J'entraine tout le monde à l'eau. Plongeons, éclaboussures, les trois mecs ont vite fait de se bagarrer entre eux. Je les rejoints, passant sous l'eau et les faisant chuter sous les vagues. Marc nous rejoint et nous nous bousculons tous ensemble.
Essoufflés, nous revenons vers la plage. Quand l'eau nous arrive sous les fesses, je remarque que nous bandons tous. Les deux plus frêles hésitent à sortir de l'eau contrairement au plus balaise qui arbore fièrement ses 19/20 cm raides. Je comprends mieux quand je vois qu'ils ne développent qu'un simple 16 x 4 environ. Nous courons à nos draps de plage et les deux " coincés " se mettent sur le ventre. Leurs petits culs blancs sont à croquer ! Je me propose de les enduire de protection solaire pour leur éviter les coups de soleil. Sans attendre la réponse je leur étale la crème. Epaules, dos, mollets, cuisses et je termine par les fesses. Là je masse et n'oublie aucun cm². Je passe même entre les fesses, un doigt négligent glisse sur la rosette qui ne me semble plus vierge. Le balaise ayant fait pareil à son autre copain, je me mettais debout et lui proposais mes services. Il les accepta avec empressement et me dit qu'il commencerait par bronzer devant. J'étalais consciencieusement la crème sur ses pecs, ses abdos et jambes puis d'une main négligente enduisait ses couilles et la hampe de sa bite. Cette dernière repris aussitôt de la raideur. Avec un sourire, le me tourne et lui passe le tube. Il me couvre le dos de protection. Ses gestes sont doux caressants, très d=caressants même ! Il s'accroupi et badigeonne mes jambes. Marc sur le dos réclame son du et le balaise m'aide spontanément à le couvrir d'huile. Je traine volontairement sur sa jambe pour que l'autre finisse la sienne plus tôt que moi et qu'il lui reste els couilles et la bite. Sans se démonter, il recouvre le tout branlant deux / trois fois la queue de Marc. Comme il se met à bander, il lui demande si elle sert pour les meufs. Direct le ptit jeune ! Marc en profite et lui dit que non, chez nous nos queues ne servent que pour les mecs. Il se rembrunit et désignant ses deux compères, nous annonce que c'est comme cela qu'il utilise la sienne sur ces deux culs. Au moins maintenant les choses sont claires. Marc lui demande si ce soir ils avaient prévus quelque chose et à la réponse négative lui propose de venir prendre l'apéro chez nous.
Nous passons l'après midi à bronzer. Je commence à avoir une belle démarcation entre la peau protégée et le reste. Même si je suis le seul habillé sur la plage je vais le rester tout le séjour. Retour en début de soirée et nos nouveaux amis sont arrivés aussitôt après leurs douches. J'avais laissé Marc passer en premier et je sortais juste de la salle de bain comme ils passaient la porte. Nu, je passais devant eu sentant leur regards rivés sur mon anatomie (enfin celle qui jusque là leur avait échappée). Passé dans la chambre j'enfilais vite un Aussiebum wonder jock sous vêtement et dans ce simple appareil les ai rejoint. Marc en short flottant sans slip, laissait apparaitre son sexe au travers du tissu fin. Nos trois invités nous ont vite semblés à l'étroit dans leur short de surf. Le temps que je serve les apéros (fortement dosés), Marc les avait enjoints à se mettre à l'aise délaçant les cordelettes de celui qui était à sa droite. Celui de gauche s'est alors levé pour le faire lui-même. Debout il m'a rejoint pour voir de près mon slip. Je lui proposais de toucher le tissus et ses doigts sont venus le pincer sur ma hanche tout en reluquant mon sexe qui donne l'air d'être à l'étroit grâce au système wonder jock. Je profite qu'il soit " hypnotisé " pour appuyer sur sa nuque et lui mettre le visage à la bonne hauteur. Je n'attends pas et fais glisser mon sexe hors du slip. Comme je bande, mon gland se propulse sur sa joue. Il ouvre la bouche pour dire quelque chose mais mon gland la pénètre et d'instinct il se met à téter. Je regarde les autres et je vois que Marc se trouve avec les deux autres à ses pieds en train de lui bouffer couilles et bite. Le miens est tellement docile que je ne peux m'empêcher de lui prendre la tête et de lui saillir la gorge. Il ne bronche pas et accepte ma domination. Je me penche et pousse son short sous les fesses. Du coté du trio, Marc a déjà les doigts dans la raie du costaud. Ce dernier laisse faire. Telle que je connais mon Marc, il va sauter le plus mâle en premier histoire de poser dés le début l'ordre hiérarchique.
Je mouille deux doigts et les enfonce dans le fondement de mon suceur. Il gigote un peu, pas pour m'écarter mais plutôt pour les faire entrer plus facilement, belle salope ! Marc en est au même point avec le musclé, l'autre suce consciencieusement les 22cm qui ne vont pas tarder à envahir celui qui d'habitude les encule.
Le musclé semble subjugué par Marc et le laisse faire. Marc demande alors à son suceur d'aller bouffer le cul de son pote, laissant ce dernier reprendre son taf sur sa bite. Je me kpote et graisse ma teub et le cul de ma salope. Je le plaque sur la table basse et l'encule. Ça rentre facile, c'est vrai que la bite du balise est du même diamètre que la mienne ! C'est chaud, doux, glissant. Je lui demande de serrer l'anus. Il s'exécute et c'est meilleur ! Marc lui a mis son mec dans la même position mais sur le canapé la tête enfoui dans les coussins. Quand il pousse sur l'anus, un gémissement sort du canapé, il a l'air de morfler un peu le gus ! Marc ne cesse pas, de toute façon faut bien que ça rentre ! Quand ses couilles butent à la porte il reste un moment sans bouger puis commence lentement un va et vient. Les gémissements de douleur laissent place à ceux de plaisir. Faut dire que son pote inutilisé a pris l'initiative de pousser sa tête dessous et de lui bouffer la tige. De mon coté mon petit mec se tortille pour se rappeler à mon bon souvenir, j'avais cessé mes mouvements à mater mon Marc entreprendre le Mâle du trio. Je le laisse s'enculer tout seul un moment sur ma bite puis le prend par les hanches et impose mon rythme. J'active un peu mais pas trop, le spectacle est trop bandant et je risquerais de jouir trop vite. Mon enculé mate aussi son pote se faire saillir. Le troisième cesse de téter son pote et vient bouffer les couilles de Marc. Je connais mon mec, ça va accélérer sa montée de jus. Ça ne manque pas et bientôt la cadence augmente et il se cale au fond du trou, jutanat dans sa kpote. Le pote du dessous a juste le temps d'emboucher l'enculé et de recevoir sa semence. De mon coté je remplis aussi ma kpote et recueille je jus de mon enculé dans ma main pour le lui faire laper. Nous nous déboitons et je les accuse d'être de vraies salopes ! Ils se récrient en nous disant que ces la première fois qu'ils font cela avec d'autres qu'eux trois. Marc dit qu'il les croit mais que ce sont quand même de bonnes salopes. Le balaise rit et admet que pour sa première fois (comme enculé), il avait décroché le pompon avec nous.
Nous leur proposons de rester diner avec nous et commandons au restau du rez de chaussée. Nous passerons le reste de la soirée à discuter, surtout d'eux et de leurs expériences sexuelles à trois. Comme ce n'est ni Manu, ni Théo qui nous sert, nous ne partouzerons pas plus ce soir là.
JARDINIER
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jacquesdor-poesie · 6 months
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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from-derry · 3 months
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Isidro - Responsable de la maison commune - 63 ans
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Derrière ses airs affables et calmes, Isidro cache une personnalité rigide et ferme. Il dirige la maison commune, pourtant teinte d’une indéniable philosophie hédoniste. Et c’est bien ce qui représente toutes les facettes de sa personnalité, la communauté qu’il guide est façonnée à son image.
Isidro est né en Espagne, où il vit une dizaine d’années comme architecte de renom. Il profite alors de la vie en toute liberté et sans aucune limite: il a de l’argent à foison et affronte peu de difficultés. Il rencontre à l’occasion d’un gala de charité celui qui deviendra son compagnon de vie, Frank. Gestionnaire d’un fond caritatif américain, Frank était l’organisateur du gala.
D’abord amants d’une nuit, ils passent la semaine ensemble, celles d’après au téléphone presque tous les jours et Isidro décide de finalement le rejoindre aux Etats-Unis, alors tout juste âgé de 36 ans.
Ils sont arrivés à Derry il y’a 20 ans. En vacances, ils décident de camper dans les environs de la ville et au moment de reprendre la route, réalisent qu’ils sont coincés dans les bois où ils ont passé la nuit. Isidro n’explique toujours pas la chance folle qu’ils ont eu ce jour-là de ne pas croiser de créatures - peut-être n’étaient-ils pas encore passés dans Derry la nuit venue. Car s’il se souvient bien, Frank l’a quitté quelques instants le temps de trouver un coin d’aisance. Comme il ne revenait pas, Isidro est parti à sa rencontre et ils n’ont jamais retrouvés ni leur ne tente ni leur voiture, pourtant quelques mètres derrière eux, ils l’auraient juré. Perdus dans les bois, affolés, déshydratés, ils ont trouvé les abords d’une vieille et imposante maison coloniale étrangement vide mais en bon état. Frank décédera cette nuit-là, attiré à l’extérieur par d’étranges voix amicales émanant du porche.
Isidro est encore hanté par les cris de douleur qu’il a entendus dans la nuit et l’image de la dépouille exsangue découverte le lendemain. Il a été découvert par quelques habitants de Derry et a vécu un temps dans le centre-bourg. Frôlant un alcoolisme sévère, il manque de sombrer définitivement.
Il reprend sa vie en main, aidé par l'écoute attentive et l'amitié de membres de la communauté. Isidro investit l’immense maison pour la retaper et invite quiconque veut vivre avec lui à le rejoindre. Dans la maison, on vit et profite comme si demain ne viendra jamais, dans la maison tout est permis tant que ça ne met pas en danger la vie des autres. Quiconque enfreint ces règles sera invité à quitter la maison. Au fil du temps, il agrège malgré lui une communauté parallèle au centre-bourg, liée tant par les relations entre les deux groupes que par le besoin d’échanger les vivres et les biens pour maintenir l’équilibre général. S’il reconnaît l’autorité de Beck, elle ne vient presque jamais à la maison et lui ne descend que rarement en ville.
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jamie-007 · 3 months
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https://youtu.be/eNGfrUV8NEs
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connait à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main
A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulu rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lêvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir
G. Brassens
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who-am-i-in-the-world · 11 months
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Ratchet x épuiser reader
mini fanfiction pour le seul plesir dun ratchet inquet et inquet...
modifier!!!
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Les enfants sont partie depuis quelque heur pour rentrer chez eu. Alors, ratchet, optimus et toi ete les seul a la basse. habituellement tu retrerais quelque heur apret les anfents pour passer un peux de temps avec ratchet mes aujord'huit netais pas vraiment ta journee.
Se matin tu est partie au travaille vers 6h du matin et tu a fini a a 16h comme a tois les jour. Tu a rejouin des ami pour allez fair du orpiste avec les motocross mes sa ne ses pas bien derouler. Tu a fini pas tomber et te blesser sur tous le coter droit. tes ami avais une grande bouteillle dalcool et ils ont desinfecter tes blessur mes tu a fini par tomber dans les pomme accause de la douleur.
finalement ses vers 19h que tu a reussi a te randre a la basse. les anfents etais deja partie et aucun des deux autre bot an vue alors tu tes aloger sur le divant apret avoir arreter ta motocrosse et retirer ta veste a moitier detruite. sela ne ta pris que quelque segonde avant de tandormir epuiser par les emossion et pas la douleur.
...
tu a toujour ete quelqun de calme et tres peux emotife. Quand tu les a rencontrés pour la première fois, et que tu n'a pas été impressionné, optimus ses posser plusieur question. Il ses même demander si tu n'avais pas consommer des substances que l'agent fowleur disait illegal.
Il a fini par t'assigné Ratchet comme tuteur étant donné que tu avais l'aire très calme. Comme vous pouvez l'imaginez docbot n'était pas vraiment heureux de se choix et il l'a bien fais entendre.
Pourtant apret quelque moi a la basse Ratchet à commencer a vraiment t'aimer et a s'inquiéter pour toi meme si il ne le montrait pas. Il te rapelle toujour de faire attantion et de ne rien fire dimbessile avec ta moto. il te soigne quandd tu e blesse et tesplique se quil fais lorse que tu luis demande.
mes bon, retour a l'histoir.
...
"Y/n? Tu va bien?" tu tes reveiller en sursaux pour te recoucher lorse que tu a remarquer que se netais que ratchet.
"Oui... juste fatigué." Die tu doucement apret avoir trouver une possisions plus confortable. Tu n'aime vraiment pas quand ratchet s'inquiète pour toi, il a déjà tellement à faire.
"comment tes tu blesser, se nest pas infecter une chanse. tu aurais du venir me voir!" la dernière partit sonais plus douce que sont ton habituelle. tu a decider de te lever et dallez vers lui, il ta imediatement pris ans sont servaux et a commencer a te soigner corctement.
''chute... accor'' sa voix grincheuse, te forca a le ragarder pandent qui metais le dernier bandage sur ta jambe.
''oui..'' ta voix silancieuse et coupable lui repondie.
un grognement vien de sa boite vocal avant quil ne te prenne et ne se dirrige vers un couloir dans la basse. ''ont va ou?''
''dans ma chambre, tu a besouin de te reposser et moi aussi. demain on parlera de ta chute.'' il te repondie an te regardent quelle que segonde. apret quelque autre coulouir passer vous etent arriver a sa chambre.
il ta doucement pausser sur le au de sont coups, de facon a se que tu sois couicer entre ses epoliere et sa couchette et ses ansuit coucher luis meme....
il etais facher et inquette,
mes une chose est sur,
Il t'aime...
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equipe · 1 year
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Et c'est parti pour le chaud 🔥
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Ça y est, il n'est plus possible de faire machine arrière maintenant, c'est le grand jour. Nous avons tellement adoré vous observer mettre le feu à vos tableaux de bord avec vos fanarts, vos matous joufflus, vos dessins de dragons, vos sondages farfelus, vos citations inventées de toute pièce approximatives et vos mèmes PTDRrrr, que nous avons un petit quelque chose à vous annoncer. (Mais, surtout, on raffole de vos chats trop mignons !)
À partir de demain, 20 avril 2023, vous pourrez activer Blaze sur les billets créés par les autres utilisateurs ! Cela signifie concrètement que n'importe quel billet de votre tableau de bord pourra être mis en avant et montré à des milliers d'autres utilisateurs. Chaud patate !
Si cette fonctionnalité brûlante est avant tout là pour le fun, sachez que vous disposez toujours d'une totale maîtrise de vos contenus. Voilà quelques points importants à avoir à l'esprit avant de vous enflammer :
Paramétrage au niveau du blog : tous les blogs autorisent par défaut l'activation de Blaze par d'autres utilisateurs. Nous préférions vous en avertir afin que vous puissiez désactiver cette option si vous ne désirez vraiment pas que l'un de vos billets ne soit sponsorisé par une tierce personne (voici un petit lien pratique si vous êtes sur le Web). Et n'oubliez pas de faire de même pour vos blogs secondaires si vous êtes véritablement allergique aux flammes.
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Paramétrage au niveau d'un billet : ce paramètre prend le pas sur celui établi sur votre blog. Vous pouvez en effet autoriser l'activation de Blaze par d'autres utilisateurs billet par billet directement dans l'éditeur (avant ou après publication). Pour cela, cliquez sur l'icône Engrenage sur le Web ou appuyez sur le menu ●●● dans l'application lorsque l'éditeur est affiché. Veuillez noter qu'un billet pour lequel vous aviez désactivé les reblogs ne pourra pas se voir sponsorisé avec Blaze par défaut… à moins que vous ne modifiez ce dernier et décidez d'autoriser Blaze !
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Ce sont de véritables humains qui s'occupent d'examiner les billets sponsorisés avec Blaze. Si un modérateur considère qu'il y a quelque chose qui cloche avec un billet, que son contenu est jugé malveillant ou blessant, il n'obtiendra pas son feu vert.
Lorsqu'un utilisateur active Blaze sur l'un de vos billets, vous recevez un e-mail, une notification Push, et/ou une nouvelle entrée dans la section Trafic (en fonction de vos paramètres).
Vous avez la possibilité d'annuler l'activation de Blaze sur l'un de vos billets avant qu'il ne soit validé, et vous pouvez même éteindre une campagne Blaze en cours. Il faut pour cela répondre à la notification mentionnée ci-dessus ou encore utiliser l'onglet "Active(s)" de l'interface de gestion Blaze.
Seuls les billets compatibles avec nos règles globales relatives à la publicité (en anglais) seront acceptés. Vous souhaitez publier directement des annonces publicitaires ? Apprenez-en davantage par ici (également en anglais).
Et pour finir, voici notre FAQ tout feu tout flamme.
Voilà tout. Amusez-vous bien ! (Avec respect et courtoisie, cela va de soi.)
Des questions ? Adressez un petit message (en anglais) au blog @wip ou à notre Support technique, et restez à l’écoute des dernières nouveautés ici même sur le blog de l’@equipe​.
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3 nouveaux cas de personnes testées positives au réchauffement climatique dans le sud hier le 9 août 2023. L'Europe ayant enregistré sa pire Canicule depuis plus de 200 000 ans, avec des températures dépassant parfois les 28°c dans le sud. Les experts prédisent une hécatombe pour cet hiver. Il pourrait y avoir plus de 500 000 morts. Une réunion d'URGENCE du conseil scientifique a eu lieu ce matin pour discuter des mesures adéquates à mettre en place. C'est pourquoi à partir de demain 1- Retour des plages dynamiques les personnes de 25 à 97 ans ne devront pas rester plus de 45 secondes à la même position sur toutes les plages. Les parasols seront donc interdit
2- Les caddies de courses seront retirés dans tous les supermarchés de plus de 750 m2, entre 14h et 20h (sauf le mardi matin)
3- Les terrasses des cafés et restaurants resteront ouvertes, mais les 12 à 48 ans devront rester assis alors que les plus de 65 ans eux, devront rester debout ! (bien évidemment sauf le jeudi).
4- Les parcs, aires de jeux, ou toutes activités ludiques pour les enfants resteront fermés jusqu'à nouvel ordre
5- Le masque sera obligatoire en voiture entre 9h et 17h du mardi au samedi inclus.
6- Les wagons impairs des trains devront rester inoccupés.
7- Les hopitaux et services d'urgences ne seront réservés q'aux personnes présentant des symptômes graves de coups de soleil pour y rester en quarantaine !
8- Pour accompagner les personnes de plus de 73 ans présentant des symptômes, rougeurs, ou fièvres, elles seront traités au Rivotril. Une brigade spéciale sera déployée pour accélérer la prise en charge.
9- Le masque intégral (twitter.com/JohannFakra/st…) sera obligatoire dans tous les lieux Clos ! Si vous présentez des symptômes, Restez chez vous, n'ouvrez pas les fenêtres et isolez-vous. Une étude du Lancet a établi que l'eau n'était pas du tout efficace contre les problèmes de réchauffement climatique. Elle provoquerait même des problèmes de Myocardites aigües, AVC et Arrêts cardiaques pouvant entraîner la MORT. Le gouvernement prévoit de l'interdire. Un nouveau médicament Pfizer serait en test depuis lundi et arrivera dans l'hexagone d'ici quelques jours. Quelques effets secondaires sont à prévoir, comme des rougeurs voir brûlures sur la peau, des sensations de chaud, maux de tête, étourdissement. Cela-dit, ils permettent de prévenir à 76% des formes graves ! N'attendez pas qu'il soit trop tard, faites vous tester dès que possible pour savoir si vous aussi, vous êtes positif au coup de soleil. Protégez-vous... Protégez les autres !!! Et surtout... Protégez vous les uns des autres !!!!!!!
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quemajoiedemeure · 1 year
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Demain c'est le pire jour celui avec toute la famille tous les amis tous les gens et les discours les photos les musiques les regards tristes compatissants et les sanglots les tapes dans le dos les gens qui vont m'étouffer dans leurs bras les gens qui tentent des blagues ceux qui osent rien dire et ceux que je remarquerais sûrement même pas, c'est mon pire cauchemar qui se matérialise et j'ai tout organisé parce que ma mère est hors sol et complètement perdue, elle a même pas encore craqué alors que ma sœur et moi on arrête pas de pleurer tout le temps mais ça soulage rien du tout absolument rien. Et puis c'est pas vrai c'est pas le pire jour, ça sera après tous les pires jours, quand y aura plus personne, que tout le monde sera reparti chez lui, qu'on devra faire semblant de vivre encore alors qu'on est plus que des coquilles vides qui se cognent les unes dans les autres parce qu'on s'est fait amputer d'un quart de nous, une famille à trois pattes qui arrive plus à marcher normalement et même le gardien de mon immeuble m'a dit que C'est très dur à vivre, alors qu'il était en train de passer la serpillière dans le couloir. J'ai envie de faire pause et de l'attendre, je peux pas vivre le vide intersidéral, j'ai pas de combinaison spatiale et j'ai peur du rien
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eiffel21 · 9 months
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Sieste
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Tom s’endormit rapidement après le repas. Ce n’était pas son habitude, mais il avait senti une grosse fatigue le terrasser et s’était allongé pour une petite sieste. A peine les yeux clos, les questions à propos de Joe lui revinrent en tête, tournant en boucle : comment le crocodile pouvait-il savoir, sentir à qui il avait affaire ? Comment avait-il échappé à toutes les traques ? Vivait-il seul ou avec d’autres ? Il le voyait glisser silencieusement dans l’eau ou la végétation, apparaissant et disparaissant comme par magie. Il sentait le souffle de son grognement puissant, à en faire trembler l’eau du marécage… Un long silence, puis une voix un peu rauque se fit entendre :
« Tom, tu es un jeune homme bien intelligent... »
L’esprit embrumé, il se retourna dans son lit. Avait-il bien entendu ? Joe lui parlait-il vraiment ?
« Ca fait longtemps que j’attends quelqu’un comme toi… quelqu’un qui puisse entendre mon histoire, avant que je ne parte pour de bon… »
Tom n’en croyait pas ses oreilles : Joe l’avait choisi, lui, pour raconter son histoire ! Il se retourna sur son lit et resta concentré, les yeux fermés. Il ne voulait en aucun cas que la voix se taise.
« Je suis né il y a fort longtemps dans une ferme, bien loin d’ici… Moi et les miens y étions parqués, séparés les uns des autres, bien mal traités. L’une des tiens est venue un jour et m’a montré du doigt. Son regard était différent, ses gestes moins durs que ce que je connaissais. Ensuite, je me suis retrouvé dans le noir, secoué pendant un bon moment, sauf quand celle qui est des tiens me donnait de la viande et de l’eau. Finalement, le sol a eu fini de trembler et je suis sorti dans la lumière. Tout ce temps dans le noir avait transformé mes petites écailles brunes en belles écailles brillantes. Et j’étais ici, dans ces marécages, libre.  Celle qui est des tiens m’a laissé m’éloigner en paix. »
Tom n’en revenait pas. Joe, un crocodile d’élevage ! Il connaissait les hommes et leurs comportements, il avait eu le temps de les observer. Il avait aussi repéré ceux qui le maltraitaient et les autres… Tout cela était resté gravé dans sa mémoire. Voilà qui expliquait beaucoup de choses…
Joe poursuivit.
« Aujourd’hui, je suis fatigué. Ceux qui sont des tiens viennent souvent ici. Ils cherchent les miens, me cherchent… ils ne sont pas bons pour nous, ils tuent la nature et nous, peu à peu. Et je suis épuisé. »
La voix faiblit avant de reprendre.
« Demain matin, je m’endormirai pour de bon. Tu me trouveras près du long marécage, là où les grues font leur nid au printemps. Viens me retrouver. »
Tom s’éveilla en sursaut, le front trempé de sueur. Il ne pouvait pas croire qu’il s’agissait d’un rêve, tout avait l’air si réel. La voix rauque de Joe résonnait encore dans son esprit. Dehors il faisait nuit noire, sa sieste avait duré des heures. Il lui restait un peu de temps avant le lever du jour.
Il saisit son portable et lança une recherche, bien décidé à vérifier les informations que Joe lui avait données. Il trouva rapidement trace d’une ferme à crocodiles sur la côte ouest du pays, où les plus grands maroquiniers venaient choisir les peaux qu’ils pourraient transformer. 18 heures de route. Cela semblait coller. Les journaux locaux faisaient état, cinquante ans plus tôt, d’une visite dans la dite ferme d’une starlette américaine, venue pour choisir le cuir de son futur sac à main. Elle avait finalement acheté un crocodile et était partie avec. Tous deux étaient ensuite tombés dans l’oubli.
Le petit matin était enfin venu. Tom enfila des bottes et partit pour le marécage. Comme guidé par son instinct, il retrouva le lieu mentionné dans son rêve par le vieux crocodile. En s’approchant, il entendit un souffle rauque, à peine audible. C’était lui, aucun doute n’était possible. Le soleil levant reflétait sa lumière sur les écailles du reptile, qui referma ses yeux jaunes pour la dernière fois. Tom était touché par la grandeur et la beauté de l’animal. Il essuya ses larmes avant de faire rouler, avec beaucoup de respect, le corps de Joe au fond de l’eau, son ultime demeure.
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abbyshousefire · 4 months
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Jour 5
Bienvenue au cinquième jour de mon journal en français !
Ce matin, ma colocataire et moi a fait le pain perdu. Vraiment, je faisais le pain perdu pendant elle a fait les vaisselles. La cuisine était géniale et puisque les classes de l'université commencent demain, on aurait un petit-déjeuner simple pour quelques jours.
Le temps continue de devenir plus froid. Il neige petit à petit alors, j'espère que les routes demain seraient ça va et pas si horrible. Pour la première neige depuis le tôt décembre, les autres conducteurs ont tendance à conduire très mal.
Régulièrement, après la première neige en janvier, il neigera toutes les semaines jusqu'à la fin de mars ou, des années, la fin d'avril. Sauf, peut-être, une chose qui j'appelle "une semaine de printemps" en février quand il fait bon tous les jours et me semble que le temps de printemps. Après cette semaine bien-sûr, il devient encore l'hiver et neige plus.
Je suis ravi et nerveux tout le même pour mon cours d'anglais demain, mon premier cours en personnes depuis le lycée. Si il ne neige pas trop, je peux écrire de mon expérience ici demain.
Merci de lire si vous avez lu et à plus tard !
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argentinechili2024 · 3 months
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Dernière journée en mer
Le Soleil se lève à 8 h et il se couche à 20 h 30 ici. Ça fait de longues journées, et aujourd’hui, c’était très beau pour notre dernière journée en mer.
Après le déjeuner, nous avons marché pendant 30 minutes sur le pont du navire. Puis, nous sommes allés voir le deuxième cours de tango à midi, mais sans y participer cette fois.
Lunch à la cafétéria où il y avait aujourd’hui une station avec des crevettes fraîches. Des serveurs nous en donnaient, pour éviter que tout le monde tripote la nourriture.
À 14 h 30, c’était le spectacle au théâtre. Nous ne sommes pas restés. Nous sommes plutôt aller manger la gelato gratuite à laquelle nous avions droit. Une boule par client, étant donné que nous sommes dans le Club du capitaine. Les autres doivent payer.
Nous avons fait nos bagages, pris une douche et sommes allés rejoindre nos amis à la cafétéria pour une partie de cartes.
À 19 h, quand nous sommes entrés dans le théâtre pour assister au dernier spectacle de la croisière, une haie d’honneur nous attendait. Officiers, chefs des cuisines, serveurs, concierges, bref tous les types de métiers sur le navire, sont venus nous dire au revoir et merci.
Le dernier spectacle était absolument renversant. Une gymnaste acrobate et son conjoint nous en ont mis plein la vue. J’ai eu peur qu’ils ne tombent a quelques reprises, et il n’y a aucun filet. C’était remarquable.
Nous avons soupé pour une dernière fois avec nos amis. On a donné un pourboire à Wai Wai, notre petite serveuse du Myamar, et à notre concierge, Abisech de l’île Maurice.
Il faut sortir de la chambre à 7 h 30 demain. Il nous suffira de finaliser nos valises, qui sont déjà prêtes.
Et voilà! C’est terminé pour la croisière. Il nous reste encore quelques jours à Santiago, capitale du Chili.
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Nouveau lever de soleil ce matin à partir de notre balcon.
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On a pris notre deuxième café ici et en a profité pour planifier nos visites à Santiago.
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Tout le personnel du Celebrity Eclipse venu nous saluer avant le dernier spectacle.
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Les deux Ukrainiens étaient formidables. Le monsieur est jongleur et la dame gymnaste.
Voici une vidéo de leur spectacle.
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youtube
MERCREDI 1er MAI 2024 (Billet 3 / 4)
« IL RESTE ENCORE DEMAIN » (1h 58min)
Un film de Paola Cortellesi, avec Paola Cortellesi, Valerio Mastandrea, Romana Maggiora Vergano…
Nous nous sommes enfin décidés à aller voir ce film dont tout le monde nous disait le plus grand bien. Le bouche à oreille doit d’ailleurs bien fonctionner car le film, déjà sorti depuis plusieurs semaines, est toujours visible dans certaines salles, certes avec juste 1 ou 2 séances par jour.
Nous en sommes sortis avec un avis un peu mitigé. Une spectatrice sur le Site « Allo Ciné » résume assez bien pourquoi. Voir ci-dessous :
« Je crains de n’avoir pas vraiment compris l’intention de ce film. Deux heures sur une femme battue qui a l’opportunité de s’en sortir mais trouve plus important d’aller voter…
Je comprends bien que le droit de vote des femmes est important mais je doute qu’il permette de mettre fin au patriarcat. Même si une femme est élue à la tête du pays (ce qui est le cas aujourd’hui), la violence conjugale n’a pas disparu pour autant. Une question d’éducation en revanche pourrait en venir à bout.
Le twist final m’a gâché mon plaisir et mon désir de liberté et d’émancipation pour Delia (l'héroïne du film) et sa fille. »
______________________________
Mais pour être tout à fait honnêtes, nous avons dû chercher longtemps pour trouver une « mauvaise » critique de spectateur sur ce film… car elles sont plutôt toutes dithyrambiques.
Ce qui n’est pas le cas des critiques « Pro » qui, elles, le sont nettement moins. Par contre, nous ne sommes pas d’accord avec leurs reproches. Nous avons aimé tout ce qu’ils n’ont pas apprécié : la mise en scène, volontairement « théâtralisée », la direction des acteurs et la définition de leurs rôles, plus considérés comme des « archétypes » dans la société de l’époque que des « caricatures », les chansons qui rythment certains passages du film et l’humour, entre autres dans la scène avec les ex-futurs-beaux-parents.
Dans les « moins », il y a une grosse invraisemblance dans ce qui arrive une nuit à leur bar, nous ne voulons pas vous en dire plus pour ne rien spolier, mais c’est surtout le « twist » de la fin… qui nous a laissés sur notre faim !
Nous donnons tous les deux ❤️❤️❤️ sur 5 à ce film dans lequel nous ne nous sommes pas ennuyés une seconde et que nous sommes quand même contents d’avoir vu.
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swedesinstockholm · 6 months
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19 novembre
suite de mon weekend d'anniversaire de merde j'ai accompagné maman et m. au bazar de la croix-rouge pour passer dire bonjour à l. et quand elle m'a demandé comment j'allais j'ai dit bien en souriant et puis je suis rentrée seule parce que j'en pouvais plus du regard des gens sur mon oeil. il est très gonflé de nouveau et j'ai l'impression d'être un monstre. j'ai mis mes lunettes de soleil et je suis rentrée à pied parce que c'était le premier jour depuis un mois qu'il pleuvait pas. en rentrant j'ai changé mes draps encore imprégnés de larmes et passé l'aspirateur pour aspirer les restes de tristesse, puis j'ai lu le livre sur proust de laure murat et on a désinfecté la cuisine infestée de vers alimentaires. maman était tellement inefficace qu'elle me donnait le double de travail et ça me rendait 1. folle 2. triste. et puis le soir pendant que je regardais la cité de la peur à la télé parce que je l'avais jamais vu mon téléphone s'est éclairé avec une notif de r. qui m'envoyait un truc con et le monde s'est remis à tourner rond. je voulais lui écrire c'est pas trop tôt je commençais à me demander où t'étais passé, mais je me suis rendu compte que son dernier message datait d'avant-hier, ce qui n'est pas non plus si loin que ça. il est pas censé savoir que hier a duré mille ans non plus. à part ça meilleure nouvelle de la journée: j'ai enfin téléchargé une ancienne version de garageband compatible avec mon ordi et je veux commencer à expérimenter avec des samples asap!!!
22 novembre
j'ai écrit un poème aujourd'hui. demain je dois en écrire un autre. pour tenir mes engagements. mes engagements envers moi-même à propos des deadlines d'appels à textes inscrites dans mon calendrier. ce soir à la grande librairie ils avaient invité une poétesse et un astrophysicien pour discuter des liens entre la poésie et la science et c'est exactement comme ça que j'ai écrit mon poème de cet après-midi qui est à 50% constitué du texte de la voix off d'un documentaire sur les volcans qui passait sur france 5 un soir. je suis contente de me remettre au travail. je veux écrire assez de poèmes pour envisager un recueil. moins important à mes yeux qu'un roman, mais c'est un bon début, et au moins j'aurai publié quelque chose, puisque dans ce monde c'est tout ce qui compte. et quand j'aurai publié quelque chose moi aussi je serai peut être invitée à faire des lectures aux walfer bicherdeeg et je ne sais où, avec les autres auteurs publiés de ce pays. vivement demain que j'avance sur mon petit chemin vers la gloire. je veux plus mourir, see? tout va bien.
r. m'a demandé comment j'allais ce matin, il était dans un café à paris (il m'a envoyé une photo des toilettes), il est en tournée en france et il me demandait quoi faire à paris pour passer la journée et puis il a dit comment tu vas toi? et un océan s'est ouvert devant moi. j'ai passé quatre heures à réfléchir à une réponse tout en écrivant mon poème et j'ai fini par lui parler de ma crise de samedi. faisant référence à l'océan qui s'ouvre devant moi il m'a répondu un océan de larmes pour un futur fertile et navigable et je sais pas comment il a trouvé une réponse aussi parfaite en deux minutes chrono mais j'ai eu envie de me laisser fondre dans le carrelage de la cuisine. ce soir dans la cuisine je regardais un oiseau qui volait haut dans le ciel contre les nuages roses en écoutant un truc de ravel qui passait à la radio et j'ai souri à mon futur fertile et navigable. n. me disait qu'en 2015 elle avait autopublié un roman et qu'elle avait organisé une release party pour ses amis et je lui ai dit i want to throw a release party! write a book and throw a release party for it. ça fera partie de mon futur fertile et navigable. je pensais à la fête d'anniversaire que j'aurais pu donner si mes amis habitaient tous ici et puis j'ai commencé à faire la liste des gens que j'inviterais à ma fête d'emménagement à bruxelles et j'ai réussi à en rassembler une douzaine et je me sentais tout à fait capable d'organiser ça, de réaliser cet exploit de sociabilité, tout à fait dans les cordes dans mon futur fertile et navigable.
l'autre jour on parlait de l'endométriose et m. disait qu'elle connaissait des filles qui en souffraient et puis maman m'a demandé et toi t'en connaissais? et j'ai dit pourquoi connaissais? je suis morte? et elle a dit non mais quand t'étais à la fac encore, que tu fréquentais des gens, et j'arrivais pas à y croire. je lui ai dit que j'étais bien plus entourée maintenant que quand j'étais à la fac mais je sais pas si elle m'a crue. moi-même j'avais des doutes. est-ce que je suis vraiment plus entourée? en tout cas je suis plus entourée qu'y a deux ans, ça c'est sûr. donc je fais des progrès. donc je bouge. ce matin a. de let's move m'a invitée à venir chanter dans sa chorale lundi et hier j'ai reçu un colis d'anniversaire de n. qui contenait un exemplaire de son roman autoédité qu'elle a révisé et réimprimé cet automne. j'espère qu'en le lisant ça va me motiver x10000 à commencer le mien. j'ai aussi reçu une carte postale du tennesse de j. et une carte avec une baleine de f. et j'étais toute contente en tenant mes preuves de papier de gens qui pensent à moi.
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alexisgeorge24 · 6 months
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3 décembre : Petit déjeuner même si on n'a pas faim et direction l'aéroport en taxi. On se dit au revoir avec un check et je reviens à Sucre (oui je sensure cette partie). De retour à l'hôtel je rédige 15 jours du journal de bord et m'occupe comme je peux jusqu'à mon bus de nuit pour Villazon, à la frontière argentine.
4 décembre : Au réveil à 06h00 à Villazon je traverse la frontière à pied puis enchaîne avec un autre bus jusqu'à Humahuaca, un village très charmant dans la Quebrada du même nom où je compte y passer quelques jours. La tente me manque et je choisi un camping pour dormir. Une fois installé je prends un tour vers le Mirador Serranía del Hornocal, a.k.a. Montagne aux 14 couleurs. Ca ressemble beaucoup à la montagne des 7 couleurs près de Cusco mais en beaucoup plus étendu et imposant. C'est impressionnant même avec le mauvais temps. Au bout de 1h le ciel commence à se dégager mais c'est l'heure de repartir et aucun autre des passagers ne veut attendre... bande de guignols, touristes Instagram sans patiente. Le pire c'est que sur le retour une co*****e ose dire "oh c'est dommage pour la météo, faudrait que je revienne en mars". Bref, demain s'il fait beau j'y retourne. En tout cas un des touristes m'informe sur l'existence du blue dollars. Le pesos argentin étant très volatile (c'était déjà le cas en 2019), les argentins ont pris l'habitude de sécuriser leurs pesos en l'échangeant contre du dollard ou de l'euro. Avec la crise économique et les récentes élections (source de déstabilisation politique), la demande de ces devises ne cessent d'augmenter, créant un véritable marché noir de l'échange de cette devise, appelé blue dollars (ou euro). Le taux officiel lui, n'a pas changé. 1€ = 390 pesos et 1 blue euro = 960 pesos, soit 2,5 x plus !!!. Pour "profiter" du blue euro, il faut payer par Visa et pour retirer de l'argent c'est via envoie d'euro à soit meme par Wester Union. Du coup tous les prix sont claqués au sol. Une bonne bière artisanale c'est 1€, un repas complet dans un bon restaurant c'est 7€, un bus de 4h c'est 2€. Bref, je vais passer 3 très bons mois hédonistes je sens ! Le soir je mange au resto un filet de lama saignant accompagné d'un malbec, qualité argentine, excellent ! Les frontières entre les pays ne sont pas fictives, elles existent vraiment; il y a un mur enorme qui separe l'Argentine de la Bolivie dont Trump serait jaloux! De plus, tout le village et ses environs sont impeccablement propres. Je me rends compte de la pauvreté de la Bolivie. Étonnant pour ce pays avec la plus grosse réserve de Lithium au monde.
5 décembre : Visite de la Inca Cueva au lever de soleil. Il s'agit de dessins vieux de 10 000 à 2000 ans dans une vallée de grés rouge. J'y parvient en bus publique qui me dépose au milieu de rien, puis je marche 4km sur un sentier. En attendant le guide qui est sensé habité dans le coin, je grimpe sur ces formations rocheuse rouges pour avoir une vue panoramique. Je sors le drone et le guide me repère tout de suite en me gueulant des trucs; j'imagine qu'il n'apprécie pas le drone... je ne l'avais pas vue mais au moins je sais que je peux visiter la "cueva" maintenant. Je le rejoins, il ne me dit rien sur le drone et il est très gentil avec moi. Il me montre des lamas dessinés sur la roche et autre hiéroglyphes mais honnêtement je suis bien plus impressionné par la nature environnante. Donc après avoir finis je me trouve une autre formation rocheuse à grimper et j'arrive à une fenêtre naturelle dans la roche. C'est bien fait. Je marche les 4km de retour vers la route et je tape un sprint Boltesque quand je vois le bus approcher au loin (il n'y en a que 1 par heure). J'arrive à temps avant son passage, il me voit, il me fait signe qu'il ne s'arrête pas, et exécute son geste... je constate qu'il y a pas mal d'écho dans cette vallée, et d'ailleurs elle n'est pas très polie. J'avais repéré un kiosque au milieu de rien 4km vers la ville, j'y marche. Juste avant d'arriver à l'arrêt de bus (bien physique cette fois), un autre bus passe sans s'arrêter... bref, 1 heure plus tard sous un soleil de plomb un autre bus passe et me dépose au village de Uquía, 10km après Humahuaca. J'ai faim mais je n'ai presque plus de pesos; avant de commander au restaurant je demande donc s'ils acceptent la CB. On me dit oui. Et après avoir mangé on me dit qu'on n"accepte pas la CB... (en réalité elle pensait que je pouvais lui faire un virement. Chose essayé sans succès). Je m'arrangerais avec la fille de la gérante qui habite à Humahuaca où je trouverai une solution pour avoir des pesos. Bwef, je suis ici pour visiter la Quebrada De Las Señoritas que je fais à l'aide d'un guide imposé. Il comprend vite mon agacement d'être dans un groupe d'escargots et me laisse aller de l'avant à mon rythme. Je passe alors par un canyon assez etroit de 500m de longueure, la roche est d'un rouge éclatant et s'y ballader est impressionnant. Puis j'enchaîne avec une autre vallée qui donne elle aussi sur des montagnes rocheuses, rouges et blanches. Je suis cuit de la journée. Je rentre, bière et risotto de quinoa puis dodo.
Bilan: 20km, 300m d+ (dans la canicule, jamais à l'ombre)
6 décembre : je retourne au Mirador Serranía del Hornocal pour l'apercevoir avec la lumière du soleil. Je suis parmis les premiers touristes et sur le sentier il y a plein de vicuñas, 3 d'entre elles font même une démonstration de lutte gréco-romain devant moi. Je n'essaie pas de les calmer au risque de générer un quiproquos. Retour à Humahuaca et bus pour Tilcara (en continuant vers le Sud) où je visite le site archéologique de Pucará de Tilcara. Il s'agit d'un site Inca reconstitué à une époque où importait peu l'authenticité architecturale. Au moins c'est assumé grâce aux explications écrites. Un monument a même été érigé en hommage aux archéologues du site, SUR des vestiges existants. Aucun respect et aucune humilité. C'est tout de même mieux que les "archéologues" de Chichen Itza (Mexique) qui avaient dynamité une pyramide pour mieux y voir. Le site est sur une colline qui domine une vallée de cactus entre des montagnes titanesques, toujours dans des nuances de rouge et marron. C'est très beau. Puis je continue ma route vers le sud jusqu'à Puramarca où j'y passerai la nuit. Avant de sortir manger, je fais le tour de la colline "los Colorados" (3 km). Toujours du rouge, jamais lassant. Le village est très pittoresque dans une vallée étroite qui mène au Chilie.
7 décembre : Réveil avant les 1ers rayons de soleils pour grimper une montagne qui domine la vallée. J'appréhende la monté qui est à 35° mais une pancarte interdisant le passage me fait rapidement changer d'avis; direction le plan B vers, un col. Avant de quitter le village, un chien m'aperçoit et devient mon meilleur ami le temp de la ballade. Il a l'air affamé et meurt de soif. Je lui passe de l'eau mais il recrache mes cookies. Plus tard il mangera littéralement de la bouse sèche... je ne sais pas comment le prendre. Arrivé(s) au col, nous sommes dans les nuages. Sébastien a l'aire de s'en foutre et je l'imitte. En redescendant j'aperçois sous une lumière différente la vallée et je suis comblé de beaux panoramas. J'enchaîne avec 2 bus pour rejoindre Salta, la grosse ville du nord de l'Argentine. C'est le paradis, j'ai un large choix de brasseries artisanales où la pinte ne coûte que 1,5eur et les 600gr d'olayau de bœuf 8eur.
8 décembre : Journée logistique et visite de Salta. Côté logistique je: fais une lessive, échange du blue euro (200eur = 2kg de pesos, étant donné que le billet max c'est 1000 pesos = 1 eur), trouve un adaptateur, trouve une loc de voiture pour les 3 prochains jours à explorer les environs. Concernant la recherche de voiture je passe d'abord par une agence qui m'interdit d'umprendre l'itinéraire que je lui montre (route non revêtu et passage de gués). Du coup je doute de mon itinéraire, qui est pourtant très connu. Mais l'agence suivante, tenue par Patrick, un français beauf expat qui porte un béret, dont je fais la connaissance, m'assure qu'il n'y a aucun problème. Si le loueur de voiture me dit ça, alors qu'il est sensé se situer du côté des alarmistes, c'est que ça passe. Même avec une WV up! me dit-il, que je loue du coup pour le lendemain. Côté visite rien de spectaculaire même si la ville me plaît; je retrouve des aires d'occident. A savoir AUCUN BATIMENT en brique apparente. Une 1ere depuis mon séjour en Amérique. Du coup j'avoue ne rien comprendre à l'économie. L'argentine traverse une crise économique sévère et la Bolivie et elle très stable. Pourtant j'ai l'impression de passer de la Corée de Nord à la Corée du Sud. Le soir c'est évidemment bière puis repas dans une "peña" (resto avec sorte de mariachi ambulant), sensée être la plus réputée de la ville. C'est blindé mais l'ambiance musicale est déserte.
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satinea · 9 months
Text
TU ME MANQUES
Trois petits mots fragiles, qui côte à côte supportent une montagne de vide.
Trois petits mots désuets, tellement employés qu’ils en paraissent parfois dérisoires, voire niais.
Une petite phrase dont on ne connaît jamais vraiment le sens.
Des lettres qui portent en elles la solitude et les cordes qui pendent des plafonds de la violence.
Tu me manques… c’est la phrase qu’on utilise lorsqu’on perd pied.
C’est un appel au secours, un SOS lancé à la surface de la mer qui coule.
Tu me manques, c’est ouvrir en soi les faiblesses et reconnaître qu’elles sont en train de nous dévorer la chair.
Tu me manques… c’est de tous les poèmes, le plus long que l’on puisse faire.
Tant de torture, tant d’étranglement...
Tant de blessures, de déchirures…
Une demande de sauvetage, une supplication presque sauvage.
Tant de douleurs, pour tant de silence.
La vibration de cette phrase n’a rien de banal. Les mots sont tous des clés qui associés, jouent des notes un peu spéciales.
Tu me manques, c’est savoir ce que l’on perd… c’est s’apercevoir de ce qui était important quand on l’oubliait hier.
Mais cette phrase minuscule résonne jusqu’à l’espace qu’elle embrasse.
On pourrait presque voir battre son cœur, on pourrait peut-être entendre murmurer son âme…
Elle est une prière sans aucune frontière, un refrain qui n’a pas de langue.
C’est une main qui en prend une autre et que l’on tend vers demain… un écho de sens qui parle un jour ou un autre... à chaque être humain.
Elody
Écrivain - Biographe
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