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#Inca Cueva
jujuygrafico · 2 years
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Conservación y puesta en valor de la Quebrada de Inca Cueva
#Jujuy #Arqueología #Humahuaca | Conservación y puesta en valor de la #Quebrada de #IncaCueva
Entre los días 24 y 27 de mayo se realizó la primera etapa del proyecto “Estudio Arqueométrico de las pinturas rupestres de Inca Cueva (Jujuy, Argentina)“, financiado por el Ministerio de Cultura y Turismo de la provincia de Jujuy, en pos de avanzar en la conservación y puesta en valor del sitio. Es necesario impulsar la ejecución de nuevas investigaciones interdisciplinarias que continúen y…
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nousenargentine · 6 months
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Sur le retour nous faisons un arrêt pour visiter "la cueva del Inca" lieu millenaire de rite chamanique. Il faut suivre le lit d'une rivière. Une petite randonnée avec un peu de dénivelée : le souffle est court !
Tercero sera notre guide : après nous avoir délesté de 1000 pesos il nous explique ce qu'il s'est passé ici.
Comme il est seul avec ces ancêtres il mâche de la coca et son débit est lent : tant mieux nous comprenons presque tout.
Cette grotte est un lieu de passage entre la côte pacifique et atlantique. Les pèlerins venaient voir le Chaman pour des rites de la religion Inca. Nous y voyons quelques hiéroglyphes et pétrogliphes...
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Enfin cest le retour vers Humahuaca où une surprise nous attend : l'eau des tuyaux est dans la rue ! Pas d'eau au robinet, pas de douche ! Il faudra attendre !
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alexisgeorge24 · 5 months
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3 décembre : Petit déjeuner même si on n'a pas faim et direction l'aéroport en taxi. On se dit au revoir avec un check et je reviens à Sucre (oui je sensure cette partie). De retour à l'hôtel je rédige 15 jours du journal de bord et m'occupe comme je peux jusqu'à mon bus de nuit pour Villazon, à la frontière argentine.
4 décembre : Au réveil à 06h00 à Villazon je traverse la frontière à pied puis enchaîne avec un autre bus jusqu'à Humahuaca, un village très charmant dans la Quebrada du même nom où je compte y passer quelques jours. La tente me manque et je choisi un camping pour dormir. Une fois installé je prends un tour vers le Mirador Serranía del Hornocal, a.k.a. Montagne aux 14 couleurs. Ca ressemble beaucoup à la montagne des 7 couleurs près de Cusco mais en beaucoup plus étendu et imposant. C'est impressionnant même avec le mauvais temps. Au bout de 1h le ciel commence à se dégager mais c'est l'heure de repartir et aucun autre des passagers ne veut attendre... bande de guignols, touristes Instagram sans patiente. Le pire c'est que sur le retour une co*****e ose dire "oh c'est dommage pour la météo, faudrait que je revienne en mars". Bref, demain s'il fait beau j'y retourne. En tout cas un des touristes m'informe sur l'existence du blue dollars. Le pesos argentin étant très volatile (c'était déjà le cas en 2019), les argentins ont pris l'habitude de sécuriser leurs pesos en l'échangeant contre du dollard ou de l'euro. Avec la crise économique et les récentes élections (source de déstabilisation politique), la demande de ces devises ne cessent d'augmenter, créant un véritable marché noir de l'échange de cette devise, appelé blue dollars (ou euro). Le taux officiel lui, n'a pas changé. 1€ = 390 pesos et 1 blue euro = 960 pesos, soit 2,5 x plus !!!. Pour "profiter" du blue euro, il faut payer par Visa et pour retirer de l'argent c'est via envoie d'euro à soit meme par Wester Union. Du coup tous les prix sont claqués au sol. Une bonne bière artisanale c'est 1€, un repas complet dans un bon restaurant c'est 7€, un bus de 4h c'est 2€. Bref, je vais passer 3 très bons mois hédonistes je sens ! Le soir je mange au resto un filet de lama saignant accompagné d'un malbec, qualité argentine, excellent ! Les frontières entre les pays ne sont pas fictives, elles existent vraiment; il y a un mur enorme qui separe l'Argentine de la Bolivie dont Trump serait jaloux! De plus, tout le village et ses environs sont impeccablement propres. Je me rends compte de la pauvreté de la Bolivie. Étonnant pour ce pays avec la plus grosse réserve de Lithium au monde.
5 décembre : Visite de la Inca Cueva au lever de soleil. Il s'agit de dessins vieux de 10 000 à 2000 ans dans une vallée de grés rouge. J'y parvient en bus publique qui me dépose au milieu de rien, puis je marche 4km sur un sentier. En attendant le guide qui est sensé habité dans le coin, je grimpe sur ces formations rocheuse rouges pour avoir une vue panoramique. Je sors le drone et le guide me repère tout de suite en me gueulant des trucs; j'imagine qu'il n'apprécie pas le drone... je ne l'avais pas vue mais au moins je sais que je peux visiter la "cueva" maintenant. Je le rejoins, il ne me dit rien sur le drone et il est très gentil avec moi. Il me montre des lamas dessinés sur la roche et autre hiéroglyphes mais honnêtement je suis bien plus impressionné par la nature environnante. Donc après avoir finis je me trouve une autre formation rocheuse à grimper et j'arrive à une fenêtre naturelle dans la roche. C'est bien fait. Je marche les 4km de retour vers la route et je tape un sprint Boltesque quand je vois le bus approcher au loin (il n'y en a que 1 par heure). J'arrive à temps avant son passage, il me voit, il me fait signe qu'il ne s'arrête pas, et exécute son geste... je constate qu'il y a pas mal d'écho dans cette vallée, et d'ailleurs elle n'est pas très polie. J'avais repéré un kiosque au milieu de rien 4km vers la ville, j'y marche. Juste avant d'arriver à l'arrêt de bus (bien physique cette fois), un autre bus passe sans s'arrêter... bref, 1 heure plus tard sous un soleil de plomb un autre bus passe et me dépose au village de Uquía, 10km après Humahuaca. J'ai faim mais je n'ai presque plus de pesos; avant de commander au restaurant je demande donc s'ils acceptent la CB. On me dit oui. Et après avoir mangé on me dit qu'on n"accepte pas la CB... (en réalité elle pensait que je pouvais lui faire un virement. Chose essayé sans succès). Je m'arrangerais avec la fille de la gérante qui habite à Humahuaca où je trouverai une solution pour avoir des pesos. Bwef, je suis ici pour visiter la Quebrada De Las Señoritas que je fais à l'aide d'un guide imposé. Il comprend vite mon agacement d'être dans un groupe d'escargots et me laisse aller de l'avant à mon rythme. Je passe alors par un canyon assez etroit de 500m de longueure, la roche est d'un rouge éclatant et s'y ballader est impressionnant. Puis j'enchaîne avec une autre vallée qui donne elle aussi sur des montagnes rocheuses, rouges et blanches. Je suis cuit de la journée. Je rentre, bière et risotto de quinoa puis dodo.
Bilan: 20km, 300m d+ (dans la canicule, jamais à l'ombre)
6 décembre : je retourne au Mirador Serranía del Hornocal pour l'apercevoir avec la lumière du soleil. Je suis parmis les premiers touristes et sur le sentier il y a plein de vicuñas, 3 d'entre elles font même une démonstration de lutte gréco-romain devant moi. Je n'essaie pas de les calmer au risque de générer un quiproquos. Retour à Humahuaca et bus pour Tilcara (en continuant vers le Sud) où je visite le site archéologique de Pucará de Tilcara. Il s'agit d'un site Inca reconstitué à une époque où importait peu l'authenticité architecturale. Au moins c'est assumé grâce aux explications écrites. Un monument a même été érigé en hommage aux archéologues du site, SUR des vestiges existants. Aucun respect et aucune humilité. C'est tout de même mieux que les "archéologues" de Chichen Itza (Mexique) qui avaient dynamité une pyramide pour mieux y voir. Le site est sur une colline qui domine une vallée de cactus entre des montagnes titanesques, toujours dans des nuances de rouge et marron. C'est très beau. Puis je continue ma route vers le sud jusqu'à Puramarca où j'y passerai la nuit. Avant de sortir manger, je fais le tour de la colline "los Colorados" (3 km). Toujours du rouge, jamais lassant. Le village est très pittoresque dans une vallée étroite qui mène au Chilie.
7 décembre : Réveil avant les 1ers rayons de soleils pour grimper une montagne qui domine la vallée. J'appréhende la monté qui est à 35° mais une pancarte interdisant le passage me fait rapidement changer d'avis; direction le plan B vers, un col. Avant de quitter le village, un chien m'aperçoit et devient mon meilleur ami le temp de la ballade. Il a l'air affamé et meurt de soif. Je lui passe de l'eau mais il recrache mes cookies. Plus tard il mangera littéralement de la bouse sèche... je ne sais pas comment le prendre. Arrivé(s) au col, nous sommes dans les nuages. Sébastien a l'aire de s'en foutre et je l'imitte. En redescendant j'aperçois sous une lumière différente la vallée et je suis comblé de beaux panoramas. J'enchaîne avec 2 bus pour rejoindre Salta, la grosse ville du nord de l'Argentine. C'est le paradis, j'ai un large choix de brasseries artisanales où la pinte ne coûte que 1,5eur et les 600gr d'olayau de bœuf 8eur.
8 décembre : Journée logistique et visite de Salta. Côté logistique je: fais une lessive, échange du blue euro (200eur = 2kg de pesos, étant donné que le billet max c'est 1000 pesos = 1 eur), trouve un adaptateur, trouve une loc de voiture pour les 3 prochains jours à explorer les environs. Concernant la recherche de voiture je passe d'abord par une agence qui m'interdit d'umprendre l'itinéraire que je lui montre (route non revêtu et passage de gués). Du coup je doute de mon itinéraire, qui est pourtant très connu. Mais l'agence suivante, tenue par Patrick, un français beauf expat qui porte un béret, dont je fais la connaissance, m'assure qu'il n'y a aucun problème. Si le loueur de voiture me dit ça, alors qu'il est sensé se situer du côté des alarmistes, c'est que ça passe. Même avec une WV up! me dit-il, que je loue du coup pour le lendemain. Côté visite rien de spectaculaire même si la ville me plaît; je retrouve des aires d'occident. A savoir AUCUN BATIMENT en brique apparente. Une 1ere depuis mon séjour en Amérique. Du coup j'avoue ne rien comprendre à l'économie. L'argentine traverse une crise économique sévère et la Bolivie et elle très stable. Pourtant j'ai l'impression de passer de la Corée de Nord à la Corée du Sud. Le soir c'est évidemment bière puis repas dans une "peña" (resto avec sorte de mariachi ambulant), sensée être la plus réputée de la ville. C'est blindé mais l'ambiance musicale est déserte.
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andresgaunaarte · 1 year
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En la mitología inca, los apus eran los poderosos espíritus de las montañas que vivían en la cima, o de las solitarias rocas y cuevas que protegen a la gente local en las tierras
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ivanreycristo · 1 year
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..antes visitamos la PLAYA MAYOR de LIMA Q es como la típica ESPAÑOLA..es decir con un Palacio de GOBIERNO [donde vivio y asesinaron a PIZARRO], una CATEDRAL O TEMPLO RELIGIOSO [q pusieron sobre los TEMPLOS INCAS como hicieron los AZTECAS para ENTERRAR LA FALSA RELIGION o sobreponer LA VERDAD DE DIOS O CRISTO] y la parte del PUEBLO..q fue DURAMENTE AZOTADA X un TERREMOTO en siglo XVIII lo q Marco el comienzo del FIN de COLONIALISMO pues enseguida llegó las INDEPENDENCIAS donde José MARTIN es el HEROE más q BOLIVAR q lo veían como un VIRREY de los q tuvo más de 40 LIMA..x cierto..en el HOTEL BOLIVAR hay fotos de ESTRELLAS DE LA MORAL DEL DINERO u OSCURIDAD como julio IGLESIAS DE LA CUEVA o Isabel PANtOJA=DINERO..asi como estrellas MEXICANAS como armando MANZANa+ERA
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incas7-a · 1 year
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Emily
🫠Inventos que hicimos nosotros los incas🌟
Instrumentos musicales: inventamos muchos instrumentos musicales de viento y de percusión. Las Neveras: Utilizaron las cuevas de los nevados para la conservación de alimentos . Los tejidos de Paracas: finos tejidos de gran calidad. Sistema de momificación de cadáveres
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Nuestro sistema vial y el transporte
Qhapaq Ñan o camino real.
Los puentes.
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Los tambos.
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Los chasquis.
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🫣Nuestro invento más importante de nosotros los incas fue.👍
El Camino del Inca, construido enteramente a mano, es una verdadera obra de ingeniería. La red de caminos inca es una de las obras de ingeniería más extraordinarias del mundo. Para el siglo XVI había ayudado a transformar un pequeño reino en el imperio más grande del hemisferio occidental.
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✨Eso fueron los inventos que marcaron nuestra vida incaica.😍
✨Nuestras construcciones e inventos nos quedaron muy aesthetic.✨
Cuando hacíamos los tambos teniamos miedo a caernos por precipicio. Porque la arquitectura nos quedó muy inclinada.😌pero elegante🥹
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thesoundofthesouth · 2 years
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Un Bolívar en mi mapa
Salgo de los limites dibujados. Salgo de un laberinto, Salgo del silencio y de las metáforas de una espiral cósmica. Salgo de la inexistente presencia histórica de mil ejércitos liderados por un quijote de ideas nobles. A este punto podría decir que renuncio al intento de intentar, ya que nunca fue a mi manera. Y admito que a veces en los lugares más remotos, salí también en búsqueda de la duda que acompaña a cualquier explorador que esta dispuesto a abandonar la cordura. A desnudarse. A la entrega desmedida. Al reto y al desafio. A salir del valor de una moneda; 
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Bolívar y su delirio 
24 de Julio. Hoy cierro con usted. De mi parte, los acuerdos me han llevado a un recorrido que estremeció mi espíritu. Aprendí a envestirme contra toda dificultad y heredé una espada de notas que va directo al corazón. Comprenderlo se hizo una necesidad para caminar el mapa de 5 países que aún vibra su nombre. Pero sobre toda la tempestad, los éxodos de espíritu en los pueblos, el ruido de la era e incluso, en medio de pandemias y guerras, pude sentir la inspiración de estar vivo. 
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La musa insaciable de crear una obra de arte que libere hasta la más insignificante partícula del entorno ha sido el norte de mi navegación. 
Yo supongo que en una cápsula de tiempo invertida, seria justo afirmar que el equivalente de lo que mi realidad ha causado, sería aquella donde usted incluyó al canto de los esclavos dentro de su propia partitura. Un movimiento disruptivo para los estándares. 
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En la incomprensible línea del tiempo, nuestros pasos por más gloriosos que sean terminan inspirando el camino de un “gran otro”. Me deleita pensar que en esta humanidad que venimos a experimentar existan seres tan especiales que logren un salto de consciencia colectiva y, que en ese acto que materializa un cambio global vibratorio, se nos permita ver y sentir los misterios de Dios. Transformar los paradigmas que mantienen al alma en la ignorancia y el miedo, sería una acción que debe ser recompensada por la divinidad. 
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Un guión cósmico de aquello que aún no logro explicar de manera sencilla. 
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En el acuerdo
Es importante mencionar para la historia que en este acuerdo existen más 400 Ofrendas Musicales realizadas. 
En una #CapTI interdimensional de épocas, esto sería lo equivalente a batallas libradas contra una esclavitud sutil. Una amenaza mucho más peligrosa que aquella que aprisiona a un cuerpo con cadenas, ya que la contra parte asecha a la curiosidad, los valores y el asombro del espíritu. 
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Pero si tuviera que resumirlo para aquellos que entienden de coordenadas y simbologia convexa, podría escríbelo así: 
Desde el desierto de sal más grande de este planeta en Uyuni hasta el mar de los cielos del altiplano del Sur / de la inmensidad de las cumbres volcánicas del Sajama hasta el nido de cóndores en la cima del Illimani / desde las líneas de Nazca hasta la cima del templo de la humanidad de Marcahuasi / desde la cima del Waynapicchu hasta el ombligo del mundo con 5 dedos en cada hemisferio / de la laguna encantada sobre el cráter volcánico del Kilotoa hasta el atalaya del universo en el Chimborazo / desde el valle sagrado Inca de Ollantaytambo hasta el valle de frailejones del páramo de Carchi / en las entrañas de las minas de plata de Potosi hasta las partículas de sal de Zipaquira / en la cima de los monolitos del Tabor y la Piedra de Guatapé hasta los acantilados del cañón del Chicamocha / en el centro del oasis de America en el desierto de Huacachina hasta el dorado de la laguna de Guatabita / en el epicentro del relámpago del Catatumbo hasta la cima de pico Naiguatá / desde el cabo San Román hasta la tierra mágica del Cacao en Chuao / sobre las colinas del campo Carabobo hasta el ojo azul del golfo de Cariaco / de la espiral al cielo del cementerio de Tulcán a la espiral del infierno en el cementerio del Sur de Caracas / en el azul del archipiélago de los Roques hasta la cueva de la virgen en Chichiriviche / en la selva amazónica donde yace el árbol de la vida hasta el encuentro del Orinoco con el Caroni / desde la cima del tepuy Roraima hasta el abismo de la existencia de Woipan / hasta el origen y en el origen... una Ofrenda Musical. 
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Quién más que usted para comprender una travesía de esta magnitud (?) Quién más que usted para honrar el acuerdo de aquello que nos mueve mas allá de la comprensión de las épocas y de las circunstancias que nos rodean. Es por eso que hoy doy fe de que mi misión tricolor, sea visible o invisible, esta culminada con éxito y honor. Por ahora (...)
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La frontera 
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Salgo de los limites dibujados. Mi rumbo lo define una sutil corazonada que fácilmente, dentro de otro contexto, pudiese confundirse con un capricho de la imaginación. De la misma índole de aquel que siente llevar un piano a la cima de un tepuy para dedicar su arte a la madre de todas las aguas (!) 
Salgo a la apuesta desmedida por la continuación de una cruzada artística que, más allá de representar un enorme desafio, continúa escribiendo un guión cósmico que supera la ficción. 
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marianobarchi · 4 years
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Recuerdo de los de la visita a los caminos del Inca - - - - - - - #caminodelinca #inca #incas #culturainca #cusco #peru🇵🇪 #historiaamericana #ruinas #cueva #misterio #traveler #traveltheworld #traveladdict #travelphotography #travelblogger (en Cusco, Machu Picchu) https://www.instagram.com/p/CEO6o4OnWCG/?igshid=wfx6l4dpyoap
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blueiskewl · 2 years
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Mass 15th Century Grave Found in the Ancient Peruvian City Chan Chan
Archaeologists in Peru have uncovered the remains of 25 people in the ancient city of Chan Chan.
The skeletons were found in a small space measuring 10 sq m in what was once the capital of the Chimú empire.
The Chimú ruled parts of present-day Peru. Their empire reached its height in the 15th Century before their defeat by the Incas.
Chan Chan, where the mass grave was found, was the largest mud citadel in pre-Columbian America.
Experts think that the mass grave may have been a burial place where members of the Chimú elite were laid to rest.
Archaeologist Sinthya Cueva told Reuters news agency said that most of the remains belonged to young women. "None of them are over 30 years old." While it is known that the Chimú carried out human sacrifices, including of children, archaeologist Jorge Meneses Bartra said that there was no evidence those in the newly discovered grave died that way.
Scientists will carry out tests to try to determine their cause of death.
Mr Meneses said that the position of one of the skeletons suggested that it had been buried there shortly after the person's death, while other bones appeared bleached by the elements and were jumbled together - suggesting that they had been moved to the grave site later.
According to Ms Cueva, the later shows that the Chimú handled and moved the remains of their loved ones.
The bodies were wrapped in a sitting position in several layers of fabric, the first of cotton and the second of vegetable matter.
Almost 50 pieces of ceramics were also found in the grave, local media reported.
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inkrainbow2017 · 5 years
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hola a todos, esta imegen sera lago muy especial ya que es el imperio inca pero olvidado, y estan los paises quienes lo formaron o alguna vez estuvieron unido antes de la llegada española.
Bueno aqui esta 5 peque que encontraeon en una cueva a la coraza del antiguo imperio y comienzan a treparse por el 5 veces mas grade que un pais promedio
quien dibujo esto antes fue: @aideuswildfloweroriginal
@Jacky Teuth
por si alcazo una demanda, lo cual no sera posible por el diseño es diferente al tuyo, pero mejor prevenir antes que lamentar
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heheh los peque: Chile, Bolivia, Perú, Argentina, Ecuador
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claudiosuenaga · 3 years
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Matéria especial de Cláudio Suenaga sobre os 45 anos da Expedição à Cueva de los Tayos publicada na Revista Enigmas, edição 17 (comemorativa de 3 anos), de maio de 2021
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Você não pode perder a matéria especial de minha autoria sobre os 45 anos da Expedição à Cueva de los Tayos, publicada na última edição da Revista Enigmas, editada por André De Pierre.
Lançamento Revista Enigmas Edição 17 (Edição Comemorativa de 3 anos). Adquira aqui.
Os 45 Anos da Expedição à Cueva de Los Tayos
Tornado conhecido por Erich von Däniken, que em seu livro Semeadura e Cosmo anunciou ao mundo a descoberta de um gigantesco sistema subterrâneo de túneis, de vários milhares de quilômetros de extensão, repleto de tesouros tecnológicos a atestar a presença de deuses astronautas sob o continente sul-americano, na província de Morona Santiago, região oriental do Equador, a Cueva de los Tayos segue atraindo aventureiros dispostos a recuperar esses inestimáveis tesouros que teriam sido levados secretamente em sete caixões selados de madeira pela expedição anglo-saxã liderada pelo maçom e agente da Scotland Yard e do Serviço Secreto Britânico Stanley Hall há exatos 45 anos, e que contou na ocasião com a presença de nada menos do que o astronauta Neil Armostrong, o primeiro homem a pisar na Lua.
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Para Hall, a Cueva de los Tayos era o verdadeiro “elo perdido” da criação, a “página faltante da história”, a resposta para o mistério da Atlântida, de El Dorado e do tesouro perdido dos incas, tudo em um só lugar! A região não só teria comportado os sobreviventes da Atlântida, como seria o verdadeiro El Dorado e o esconderijo do tesouro do império inca, chamado de Tayhuantinsuyu. Já para os mórmons, a Cueva de los Tayos abrigaria as placas de ouro recebidas pelo profeta Joseph Smith diretamente das mãos do anjo Moroni, exatamene como registram as escrituras mórmones, que garantem que a biblioteca metálica estaria escondida em algum lugar na Cordilheira dos Andes, na região de Morona, nome semelhante ao do anjo que entrou em contato com Smith. O que há de verdade em toda essa história, que Däniken considerava “a mais incrível e menos verossímil do século”? Fantasia ou realidade? É o que você irá ficar sabendo em minha matéria na Revista Enigmas.
Por Cláudio Suenaga
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E mais:
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Havia Gigantes na Terra, e Também Depois...
Documentos antigos atestam que existiu uma espécie de humanos de tamanho colossal em tempos remotos. Eles teriam sido os construtores de obras com grandes pedras, homens valentes de grande fama, monstros esfomeados, semideuses e reis. Existe alguma verdade nessas afirmações?
Por André De Pierre
Contextualizando Grandes Enigmas Bíblicos
A grande maioria das pessoas conhece as famosas histórias bíblicas, o que faz do cristianismo a maior religião vigente do mundo atual. Mas será que os textos bíblicos são amparados por algum tipo de evidência, seja arqueológica ou historiográfica? É o que descobriremos no decorrer deste estudo.
Por Edson Almeida
Kumaria Kandam e Lemúria: Analisando os Mistérios do Continente Perdido
Até onde vai a realidade dentro dos mitos? Um continente inteiro oculto e submerso no oceano é citado em relatos poéticos, lendas e folclores. Milênios depois dos primeiros registros ele reaparece pelo ocidente, renomeado, mas ainda assim mantém o enigma! A procura pela origem do Homo sapiens é uma batalha entre teorias de diversas religiões e achados arqueológicos pelo mundo. Um eterno debate entre ciência e cosmogonia do local primordial da raça humana. Todavia, o que há de se considerar sobre o berço da civilização é que ele pode ser muito mais antigo do que nunca imaginamos, e ainda mais: pode estar escondido em qualquer lugar da face da Terra, e até mesmo oculto não exatamente em terra – é o que narra a lenda de Kumari Kandam e Lemúria.
Por Maik Bárbara
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victoriatelles · 3 years
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MI EXPERIENCIA EN EL CURSO QUECHUA INTERMEDIO
Buenas Tardes a todos, mi nombre es Victoria Telles, soy Ingeniera Química, trabajo en el área medioambiental, antes de compartir mi experiencia en el curso de Quechua con ustedes, primero quiero empezar agradeciendo a la Pontifical Catholic University of América por promover y acreditar los programas de QUECHUA PARA TODOS, AYMARA PARA TODOS Y AWAJUN PARA TODOS, es una iniciativa muy buena que agradezco a la Institución que lo halla compartido, las clases con los profesores son de aprendizaje, me enseñaron a conocer el comportamiento de nuestros ancestros como era su forma de vestir, su alimentación, el cultivo de los alimentos relacionados con las condiciones climáticas y medioambientales y como agradecían a la tierra por los alimentos, a conocer sus bailes tradicionales, el trato de cordialidad y respeto para con las personas y su entorno   en lo personal esto me ha permitido transportarme hacia nuestros antepasados y de esta forma conocer nuestras costumbres y tradiciones.
En cuanto a mi experiencia en el curso QUECHUA INTERMEDIO, motivado por conocer y a la información recibida por parte del curso de quechua, decidí interactuar con las personas, viajando a la ciudad de Ayacucho, que es una ciudad donde se habla el quechua Ayacucho Chanca. Aquí dejo una pequeña reseña de la ciudad de Ayacucho.
Ayacucho situada en la vertiente oriental de la cordillera de los Andes  
Es uno de los conjuntos arquitectónicos y artísticos más notables del Perú. Se le conoce como la «Ciudad de las Iglesias», por sus numerosos templos coloniales, y como «Ciudad Señorial» por su arquitectura, tradición y arte.
Se caracteriza por un clima templado y seco, con brillo solar todo el año.
Es una ciudad de muy alto fervor católico. Posee más de treinta templos virreinales de estilo renacentista, barroco y mestizo, que guardan en su interior verdaderas obras de arte como pinturas, imágenes y retablos tallados en madera y bañados en pan de oro. Además, se puede apreciar casonas coloniales, restos arqueológicos y manifestaciones artísticas que revelan un pasado histórico y una tradición aún vigente y atractiva.
Igualmente destaca por su música y sus festividades, como los carnavales y sobre todo la Semana Santa.
Me gustó la diversidad de platos, bebidas y repostería hechos a base de productos naturales propios de la ciudad de Ayacucho. Aquí describo algunos de ellos que tuve la oportunidad de degustar:
•             La puca picante, que es un guiso preparado a base de papa pequeña, maní tostado y molido, trozos de carne de chancho y beterraga (que le da su color rojizo, puka en quechua), que son sazonados con ají colorado y otros condimentos.
•             El qapchi, es una crema hecha a base de queso de Ayacucho (o cachipa), rocoto, cebolla china y leche. Se acompaña con papa amarilla.
·             El muyuchi (significa «dar vuelta», en quechua), helado a base de leche fresca, ajonjolí, coco, esencia de vainilla, canela y clavo de olor.
•             Las wawas, hogazas o panes grandes de trigo, moldeados y adornados con forma de niño pequeño o bebé, rellenas de dulce, que se elaboran y se consumen en la fiesta de Todos los Santos, el 1 de noviembre.
Sin duda uno de los más grandes atractivos de la ciudad es el Carnaval ayacuchano; el mes de febrero, el carnaval de Ayacucho reúne a grandes y chicos en una celebración que oficialmente dura tres días.
La ciudad de Ayacucho posee tradición histórica, en mi experiencia conocí:
•             El Santuario Histórico de la Pampa de Quinua o Ayacucho. Ubicado en el distrito de Quinua, pintoresca y bucólica tierra de alfareros y agricultores, y donde se libró la Batalla de Ayacucho.
•             El Complejo Arqueológico de Wari. Fue un complejo urbano preinca, donde se ubicó la capital del primer imperio andino: el imperio Wari. El complejo está dividido en «barrios» o sectores conformados por construcciones en piedra y barro.
•             Cueva de Pikimachay. Se encuentra ubicado a 200 m del km 24 de la carretera Ayacucho - Huanta. En este lugar se han encontrado instrumentos líticos del paleolítico andino y restos óseos de animales cuya antigüedad data de 20 000 años a.c.  
•             Complejo Arqueológico de Vilcashuamán. Es una ciudad incaica que data del siglo XV. Fue fundada por Pachacútec y es considerada como uno de los centros administrativos más importantes del Tahuantinsuyo.  Vilcashuamán, que quiere decir «Halcón Sagrado», consiste en un grupo de restos arqueológicos de una ciudad incaica, construida al más puro estilo arquitectónico cusqueño. Los muros han sido edificados con bloques de piedra esculpida para lograr un encaje perfecto. Estas construcciones monumentales están adornadas con puertas trapezoidales de dinteles monolíticos, además de nichos y hornacinas. Algunos muros presentan tallas en alto relieve de serpientes y otros animales. Los principales sectores arqueológicos de Vilcashuamán son: El Templo del Sol y de La Luna, El Ushnu o Pirámide Ceremonial y el Kallanka o Palacio de Tupac Inca Yupanqui.
Ahora les contare como compartiré las cosas buenas que he recibido en este programa QUECHUA INTERMEDIO modalidad presencial:
En cada lugar de la ciudad de Ayacucho que visitaba, las personas me hablaban el idioma Quechua, por mi parte anotaba las palabras nuevas que no conocía, en realidad fue muy productivo el viaje, es una ciudad tranquila, las personas son muy amables.
He aprendido cosas nuevas en este curso de Quechua Intermedio modalidad presencial, primero y el más importante el trato cordial y con respeto para con las personal y el entorno, a compartir con nuestros hermanos.
Por mi parte, lo aprendido lo compartiré con las personas que me rodean ya en el trabajo y con la familia, para que de esta manera ellos también puedan beneficiarse y enriquecerse y enorgullecerse con nuestras costumbres y tradiciones.
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arqueologiadelperu · 4 years
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Las Plantas de Poder en Tiempos Precolombinos
Las evidencias de las plantas de poder que registra la arqueología es a veces en forma indirecta, gracias a los restos hallados en las excavaciones de los asentamientos. Representa una continuidad expresada en las representaciones e iconografía de la cerámica fundamentalmente.
Autor: Régulo G. Franco Jordán
Las plantas más importantes en el mundo andino fueron la coca (Erythroxylun coca sp.), el  San Pedro o Wachuma (Echinopsis Pachanoi) y la Willca o vilca (Anadenanthera sp.), entre las más  conocidas, que jugaron papeles importantes en la salud, en la cosmovisión y en los ritos de las culturas prehispánicas del área andina. La pervivencia de la coca en especial, hoy tiene increíblemente una resistencia y persistencia extraordinaria en el tiempo, que según muchos especialistas tiene excepcionales ingredientes con capacidades nutritivas, curativas y terapéuticas. Lo mismo ocurre con el cactus de San Pedro, que tiene como componente la mezcalina, cuyo uso actualmente es restringido s��lo para actividades de curanderismo y visiones chamánicas en los andes. Pero, a juzgar de los maestros actuales, entre ellos el maestro Agustín Guzmán Morocho, esta medicina se está integrando cada vez con más fuerza a las curaciones psíquicas de la medicina oficial y constituye una gran alternativa para la medicina del futuro. No hay todavía un reconocimiento legal de esta planta, solo las poblaciones originarias y curanderos del área andina lo usan como parte de su sistema ancestral y proceso histórico. La Willca o vilca (anadenanthera sp.), es otra sustancia psicoactiva, que actualmente se usa en las cuencas amazónicas. Tiene como componente principal un alcaloide llamado bufotemina que es un potente enteógeno, que se utiliza en brebajes y en prácticas inhaladoras. Es también una planta de uso milenario en los andes centrales.
La Coca como ingrediente en los Rituales
Hoja de coca
En el sitio de Nanchoc, ubicado en el valle del alto Saña, Cajamarca, hace más o menos 8,000 años, los habitantes de este sitio posiblemente estaban masticando hojas de coca (Erythroxylum novogranatense) y utilizando calcita, cuyos restos fueron encontrados en el piso de una habitación (Dillehay et. al. 2010). Otro hallazgo de esta planta se ha realizado en el sitio de Caral-Supe (3000 a.C.), al norte de Lima, que ha sido identificada como “Jirca coca”, proveniente de un piso altitudinal de 3500 metros sobre el nivel del mar (Shady 2005). Es posible que en este sitio considerado como la ciudad más antigua de América, la hoja de coca estaba siendo usada por los especialistas que estaban a cargo de las ceremonias del lugar. Otras evidencias tempranas de la hoja de coca, según las referencias de Constantino Torres (2008: 245), se encuentran en los sitios de Culebras en Ancash con una antigüedad de 2000 años a.C.; en el sitio de Asia al sur de Lima con una antigüedad de 1800 años a.C., y en el sitio de Ancón con una antigüedad de 1800-1400 a.C. Pero según Plowman (1984), los restos de coca fueron hallados en diferentes sitios desde Ecuador hasta el sureste de Bolivia y el noroeste argentino. La hoja de coca no siempre aparece representada como planta en las representaciones prehispánicas, sino más bien, se le encuentra en los depósitos arqueológicos más antiguos. Pero también se observa a menudo a especialistas en actividades de masticación de la hoja, que normalmente tienen en sus manos recipientes con contenido de alcaloides y artefactos para consumirla. Estas representaciones se pueden observar en las culturas Salinar, Mochica, Chimú e Inca. Sin embargo, la presencia del consumo de la hoja de coca se hace notar más durante los siglos que anteceden a la conquista española. Estuvo extendida en toda la costa norte del Perú para consumo individual, para consumo de la comunidad, o para el empleo en las festividades o ceremonias vinculadas con el culto a las divinidades, referencias que obran en los manuscritos históricos del siglo XVI. La coca fue tan importante que inclusive fue motivo de conflictos inter étnicos en los valles norteños de Lima, por ejemplo manifestada en el avance de los Yauyos hacia la costa con la intención de tener acceso a las plantaciones de coca (ver Rostworowski 1978). El consumo de la hoja de coca en la época Inca fue de suma importancia para todas las actividades religiosas o ceremoniales. Se menciona que el sacerdocio Inca consumía ingentes cantidades de coca, así como lo hacían los Yacarcas del altiplano, que utilizaban esta planta y otras sustancias estimulantes en sus ceremonias dirigidas a sus dioses; para ello, dicen, hacían grandes braseros donde arrojaban ofrendas, objetos preciosos y realizaban sacrificios de niños y animales, recitando letanías (ver Curatola 2008).
El cactus de San Pedro presente en los templos
San Pedro
Las evidencias más antiguas de este cactus, 7,800 años a.C., se encontraron en la cueva del Guitarrero, ubicado en las alturas del Callejón de Huaylas, Ancash. Un investigador de nombre Smith había identificado polen y restos de la planta Trichocereus Peruvianus, similar al San Pedro (Trichocereus Pachanoi), que posiblemente fue consumido por los grupos humanos que vivían en  este sitio en una condición todavía trashumante (León 2007:179). Douglas Sharon (2000) también indica que una de las apariciones más antiguas de esta planta se da en el sitio de las Haldas en Casma, con una antigüedad de casi 4000 años antes del presente. Y  otra evidencia también se encontró en el sitio de Garagay en Lima (ver Burger 1992 y Fung 1969). En la época del desarrollo de la cultura Chavín en la sierra de Ancash o Cupisnique en la costa norte y ceja de montaña, hace casi 3000 años, el uso del cactus San Pedro para uso mágico-religioso, al parecer ya estaba extendido en toda la costa norte del Perú. Especialmente el cactus de  4 líneas que seguramente tuvo una aplicación muy especial, había invadido de manera sorprendente  los Andes Centrales y fue representado en las diferentes formas del arte de estas épocas: en la cerámica, en la arquitectura, en las esculturas de piedra y en los textiles. Esto significa que el cactus de San Pedro, con propiedades psicoactivas, se usaba ampliamente en los espacios ceremoniales de los templos que seguramente guardan todavía muchas evidencias. Uno de los sitios impresionantes para la arqueología de las altas culturas es Chavín de Huantar, estudiado primero por Julio C. Tello (1919-1942), Marino Gonzales (1954-1966) y después por investigadores como Lumbreras, Amat (1966-1975), Burger (1975-1998) y últimamente por John Rick (2012) (fig.2). En este sitio se encontraron tres representaciones bastantes conocidas asociadas con el cactus San Pedro: En una lápida en la plaza circular del templo antiguo; en un fragmento o placa lítica y en una cabeza clava. Sin embargo, parece que en el arte Chavín hay todavía más representaciones del cactus San Pedro que se tiene que identificar con mayor precisión en el arte lítico y en los textiles de la costa. Una evidencia del cactus San Pedro con sus flores -a mi parecer- se encuentra en forma de grafemas o convencionalizado en los báculos del ser antropozoomorfo de la conocida Estela de Raimondi (fig.3). La evidencia más conocida del cactus San Pedro está en la lápida encontrada por Lumbreras en 1972 en la plaza circular, asociado al Templo Viejo (ver Burger 1992, 2011 y Rick 2006) (fig.4). Se trata de la representación de un ser sobrenatural de perfil labrado en bajo relieve, que ha sido caracterizado por Burger (1992: 125) como un sacerdote antropomorfo, que tiene en sus manos un cactus de San Pedro. Hay tres elementos esenciales incorporados en su configuración: el felino, el ave rapaz y la serpiente, rasgos esenciales que determina que esta criatura tenga un fundamento de naturaleza divina y cósmica. La cabellera y el cinturón de serpientes de la criatura sobrenatural viene a ser un antecedente de la deidad mochica conocido como el personaje antropomorfo de cinturón de serpientes (PACS). En mi entender, la ubicación de esta lápida y otras en la plaza circular, determina que este espacio ceremonial sirvió para la realización de ceremonias vinculadas con la ingesta de la sustancia de San Pedro, seguramente acompañado con otras sustancias potentes para establecer una conexión con el cosmos. Es posible que los sacerdotes que encabezaban las ceremonias, trabajaban con los espíritus de los animales antes señalados, a tal punto que al consumir las sustancias psicotrópicas les permitía transfigurarse y llegar a distintos planos de conciencia.
Una de las cabezas clavas encontradas en Chavín de Huantar (ver Burger 2011: fig.1), tiene tallos del cactus de San Pedro, sorprendentemente emergiendod los ojos o cejas, característica inusual en las representaciones de la época, quizás representa simbólicamente la agudización de la visión para llegar a distintos planos de conciencia. Es probable que estas facultades visionarias las tenían los líderes religiosos u oficiantes a cargo del culto en el templo- y que según sus creencias-estos seres sobrenaturales- representados en las cabezas clavas que exornaban las fachadas del santuario principal- eran seres protectores. (fig.5). Al parecer, en este tiempo se refuerza institucionalmente la conexión del hombre con el cosmos a través del cactus de San Pedro. 
Hay, desde luego, otras representaciones del cactus San Pedro distribuidas en otros territorios, como el conocido textil pintado procedente de Carhua en Ica, que se encuentra actualmente en el Museo de textiles de Washington D.C. (ver Rick 2006: fig.9; Conklin 2008: 269-270, fig.10.8), que tiene en su conjunto un tema complejo que falta aún descifrar. Algunos investigadores señalan que dentro de esta representación se encuentra la anadenthadera o Willca (fig.6). En efecto, toda la representación está, al parecer, basada en el cactus San Pedro que aparece dentro de un escenario natural con aves, llamas o felinos y seres antropomorfos aparentemente en actitud de vuelos extáticos. El arte en Chavín de Huantar supera en todas sus manifestaciones a cualquier otro sitio conocido de la época, donde los sabios sacerdotes seguramente ordenaron a los calificados artistas que pusieran en sus obras a sus seres sobrenaturales con todo el potencial onírico. La cerámica del período Cupisnique (800 a.C-500 a.C.) destacada por Rafael Larco Hoyle, conocida como la versión costeña de Chavín, es más sobria en su representación, es de naturaleza maleable y moldeable, fina y de color monocromo, con representaciones más expresivas en su contenido. En estas bellas piezas, los alfareros representaron el cactus de San Pedro asociado a jaguares, serpientes, a veces venados y aves rapaces, asociados a motivos escalonados, meandros y volutas. Según las apreciaciones de Douglas Sharon (2000), las serpientes (boa constrictor ortonil) a veces bicéfalas, aparecen enrollando al cactus San Pedro, así como el jaguar (felis concolor) o gato montés (felis colocolo) que lleva en el cuerpo círculos concéntricos para indicar la piel y que ha llevado a muchos especialistas a proponer que serían la representación de ojos que simbolizan la visión (figs.7, 8, 9). Los animales asociados al cactus San Pedro, dan referencia de una paleo ecología muy particular de los valles de Lambayeque, Jequetepeque, Chicama y Moche, donde habitaban jaguares, boas, venados, aves rapaces, etc. que siempre estuvieron adaptados a un ecosistema de montaña. Hay que admitir, nuevamente, que tanto el jaguar, la boa o serpiente, y el águila costeño estuvieron siempre asociados al cactus de San Pedro desde épocas muy tempranas. Otro de los motivos del arte Cupisnique asociados a la fauna y cactus de San Pedro es el signo escalonado (fig.10), que para algunos entendidos representa la versión de la montaña asociado a los sacrificios humanos (ver Benson 1972 y Bock 2003). Los sacerdotes o líderes religiosos seguramente vinculados con los vuelos extáticos o alter ego, están en esta época utilizando fundamentalmente el cactus de cuatro líneas, hoy casi inexistente o difícil de encontrar. La selección de este cactus habría tenido una preferencia especial para el consumo dentro de las actividades ceremoniales; sería importante profundizar el estudio botánico de ese cactus para saber sus propiedades con relación a sus semejantes de más número de líneas. Algo que ha llamado poderosamente mi atención, es la presencia de este cactus sagrado en dos murales polícromos o Temas Complejos de las Huacas de Cao Viejo en el Complejo El Brujo y de la Huaca de la Luna en Moche, con más claridad en este último sitio. Dentro de una figura ovoide de carácter liminar o “huevo cósmico”, relacionada con el tema de la cosmogonía del mundo Mochica, aparece un ser antropomorfo de perfil que coge en la mano derecha un cactus de San Pedro y en la mano izquierda una porra (fig.11); en el caso del mural de Huaca Cao Viejo, el personaje diseñado de perfil, sujeta, al parecer, también un cactus de San Pedro y además se encuentra acompañado de una figura estelar sobre su cabeza (Franco 2014).
Me parece extraordinario que este ser, de naturaleza cósmica o estelar, asociado a los orígenes míticos del mundo Mochica, llevara en su mano la planta de San Pedro, como ya hemos visto anteriormente, tiene una continuidad de una antigua tradición iconográfica que se presenta en forma resuelta en la lápida del patio circular del Templo Viejo de Chavín de Huantar y posiblemente en la Estela de Raimondi. Otra de las caracterizaciones del cactus San Pedro en los Temas Complejos es el corte del tallo visto en forma de estrella con puntas agudas y círculo central, que en el mural son muy parecidos a figuras estelares y están relacionados con episodios ceremoniales o míticos de la época Mochica (fig.12). Este motivo está también presente en el arte Chavín, en la escultura conocida como el Obelisco Tello (Torres 2008:255). Definitivamente la planta de San Pedro se encargó de ayudar a los sacerdotes andinos u oficiantes a entender la esfera celeste para establecer un calendario agrícola y marítimo con el objetivo de mantener las subsistencias de la sociedad. Una de las sustancias psicoactivas es también el caracol común (Scutalus Sp.), que están impregnados en los tallos y se nutren de los alcaloides del cactus San Pedro. Estos caracoles y su recolección ceremonial, integrado al universo mágico-religioso, fue representado en la iconografía Mochica (ver Bourget 1990: 47-50). Hay algo interesante que comentar, y es acerca de una especie de fruto denominado Ulluchu (género Guarea Meliaceae) que está constantemente representado en la iconografía Mochica, asociado a ritos y escenas de sacrificio humano (Fig.13). Se ha indicado que este fruto tiene propiedades psicoactivas especiales, que habría permitido aumentar la extracción de la sangre de las víctimas sacrificadas (Bussmann et.al. 2009) y que puede haber servido, también, como un elemento anticoagulante de la sangre en el momento de las ceremonias trascendentales de la época (Wassén 1985/86). Ciertamente algunas representaciones de curanderos Mochicas tienen como accesorio colgado en el pecho frutos de ulluchu en vez de semillas de nectandra, que aportaría la tesis de su uso como un elemento con propiedades psicoactivas (fig.14). Extrañamente, después del colapso de la cultura Mochica, no hay representaciones justificadas del cactus San Pedro, sospecho que su consumo fue más restringido por la elite o quizás fue reemplazado por otro insumo psicoactivo, quizás la Willca. Queda todavía una gran tarea para investigar la continuidad del cactus San Pedro en las formaciones culturales post Mochica.
La Willca desde Tiempos Tempranos
La Willca o Vilca
La Willca es un árbol leguminoso con vainas y semillas, que tiene como alcaloide principal la bufotemina y es conocida también como Anadenanthera sp. Se clasifica en dos especies: Anadenanthera peregrina y Anadenanthera colubrina. Las dos especies tienen su hábitat en la sabana, pero parece que se adaptan hasta los 2700 metros de altura, sin presencia en la costa o en las laderas orientales de los andes del norte del Perú (Torres y Repke 2006; Torres 2013). Según Constantino Torres (2013), esta planta tiene una continuidad cultural de por lo menos 4000 años, y de acuerdo a Richard Burger (2011), las evidencias arqueológicas de esta sustancia psicoactiva y el uso sistemático en los rituales aparece durante el período inicial y el Horizonte Temprano (2000 a.C.). Richard Burguer (2011:126-128), identificó evidencias grabadas de las semillas de la Anadenanthera en una lápida tallada en bajo relieve encontrado hace más de 50 años en el sitio de Chavín de Huantar y que fue publicado por primera vez en el año 2008 (figs.15 y 16). Burger piensa que esta lápida posiblemente ubicada en la plaza circular del viejo templo o en el patio del nuevo templo. Es del todo posible que la fachada interna del patio circular del viejo templo tenía alegorías grabadas con seres sobrenaturales vinculados con el cactus de San Pedro y la Anadenanthera, que hace suponer que estos espacios sacros se consumían estas sustancias psicoactivas en ceremonias dirigidas quizás al numen reflejado físicamente en el lanzón de Chavín que estaba ubicado en el interior de una de las galerías. Muchas cabezas clavas fueron encontradas en diferentes sectores de las excavaciones del Templo de Chavín de Huantar, la gran mayoría hoy ubicadas en el Museo Nacional de Chavín de Huantar, y muy pocos todavía incrustados en las fachadas externas del Templo Nuevo. Algunas de estas cabezas clavas con cualidades sobrenaturales ha sido objeto de estudio por Richard Burguer (2011: 134-36, fig.8). Según este autor, las cabezas antropomorfas tienen como característica peculiar las pupilas excéntricas y una mucosidad evidente que brota de las fosas nasales, que solo es posible gracias a la ingesta de la Willca o Anadenanthera (fig.17). Sugiere también, que estas manifestaciones se debe al stress fisiológico causado por la inhalación y el poder de la sustancia psicotrópica (ver también Torres y Repke 2006:183). Según Constantino Torres (2013), el moco abundante es una característica de las intensas sesiones de rapéla inhalación de polvos muy finos-ampliamente distribuida en Sudamérica y las Antillas, especialmente en las cuencas del Amazonas y el Orinoco. El hallazgo de artefactos de hueso o espátulas decoradas con la representación de la semilla de Anadenanthera en los sitios de Pacopampa en Cajamarca, en Kuntur Wasi en la parte alta del valle de Jequetepeque, en Chavín de Huantar, entre otros sitios, sugieren la inhalación de esta sustancia en los rituales públicos de los templos (Burger 2011: 137). Después del Formativo donde se inscriben las culturas Chavín y Cupisnique, no hay todavía en la costa norte evidencias muy concretas de la presencia de la planta de Anadenanthera. Se ha sugerido, según las observaciones de Peter Furst (1974), Donnan (1976, 1978), Sharon y Donnan (1974) y comentadas ampliamente por Constantino Torres (2013) y Richard Burger (2011), que esta planta aparece en la iconografía Mochica de la fase IV. Constantino Torres se refiere a la presencia del árbol de la Anadenanthera en esta época, presente en escenas de caza de venados y en escenas ceremoniales de presentación y expiación (figs.18, 19). No voy a discutir con detalle la interpretación de estas ilustraciones en el arte Mochica comentadas por Torres, sin embargo, quiero indicar que hice las consultas con el biólogo Dr. Víctor Vásquez Sánchez, del centro de biotecnología de plantas de Trujillo, sobre la identificación de la Anadenanthera en la iconografía Mochica sugeridas por los autores anteriores. Este especialista me ha informado (comunicación personal) que todavía no se ha encontrado o identificado semillas de Anadenanthera en los contextos de los sitios arqueológicos de la costa norte, correspondiente a los períodos culturales: Cupisnique, Salinar, Moche, Lambayeque, Chimú, etc. Casi siempre se ha identificado semillas y vainas de algarrobo en los sitios arqueológicos de la costa norte, por lo tanto, las plantas identificadas en la iconografía mochica como Anadenanthera, corresponden más bien a cualquiera de las tres especies del árbol: Acacia Huarango, Acacia Macracantha o prosopis pallida, difícil de reconocerlas por especie, puede ser quizás Acacia/prosopis (figs.20 y 21).
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ortoysangre · 5 years
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★ 16 de septiembre de 1955. El júbilo orgiástico de la oligarquía
Odio de clase
Por Viviana Demaría y José Figueroa
...El castigo más nefasto que un romano podía recibir se denominaba damnatio memoriae. Esta expresión latina, en el sentido actual significa -lisa y llanamente- "destrucción del recuerdo”. En algunas oportunidades se combinaba con otra sanción conocida como abolitio nominis, que consistía en borrar el nombre del condenado de toda la historia –como si jamás hubiese existido-; y por último la llamada rescissio actorum, que consistía en abolir toda la legislación que hubiera promulgado el tyranus. Estos castigos estaban dirigidos a quienes fueran considerados enemigos del Estado –obvio – por una nueva autoridad con potestas.
En síntesis, se procedía a arrancar las placas que recordaban su labor edilicia, se suprimían sus emblemas, se decapitaban o destruían las estatuas, se estropeaba su rostro de las pinturas, se retiraban de circulación las monedas que hubiese acuñado con su nombre y efigie, se suprimían de los registros oficiales, se anulaban sus acciones políticas y legislativas, incluso, hasta su propio nombre. Esto solía ir acompañado de la confiscación de sus bienes, el destierro de su familia y se perseguía y exterminaba física o moralmente a sus camaradas y partidarios más fieles. Así, se pretendía borrar de la memoria oficial y de la memoria colectiva el recuerdo de un determinado personaje, sus obras, sus logros y hasta su propia existencia.
Eso fue lo que hicieron porque Eva ya había pasado a la inmortalidad. Primero fue el bombardeo aéreo sobre Plaza de Mayo. Luego, desde el barco maldito, nave insignia de la sedición, las cinco torres del “17 de Octubre”, se movieron lenta y armoniosamente. Los quince cañones principales de 152 mm apuntaron a la destilería “Eva Perón” en La Plata. El mismo movimiento hicieron los otros ocho cañones secundarios de 127 mm. Una tonelada de explosivos británicos sembró la destrucción. Su gemelo, el “9 de julio” acaba de rendir Mar del Plata. Es el 19 de septiembre de 1955.
El Presidente Constitucional Juan D. Perón -que asumió su segundo mandato con el 60% de los votos- es obligado a renunciar. La “Revolución Libertadora” acaba de triunfar.
El milico que ocuparía el cargo del Dr. Ramón Carrillo, saquea su casa un día antes de asumir. Es el coronel Ernesto Alfredo Rottger. A ese coronel le corresponde la tarea de reemplazar a un brillante neurocirujano, neurobiólogo y médico sanitarista. Se le ordena la misión de “desperonizar” el sistema nacional de Salud Pública. Debajo de él, la Dirección de Asistencia Integral tiene otro incomparable objetivo: intervenir, desmantelar y disolver toda la obra de la Fundación Eva Perón. Es la Asistente Social Marta Ezcurra, fundadora de la juventud de la Acción Católica en 1931.
Marta Ezcurra ordena el día 23 de septiembre la ocupación militar de cada una de las Escuelas Hogar. Su política de shock es muy clara: retirar y destruir todos los símbolos del gobierno. Con los niños como mudos testigos, en cada uno de los patios, el fuego hace arder pilas de frazadas, sábanas, colchones, pelotas y juguetes diversos con el logo de la FEP, que los valientes soldados previamente han arrancado de sus camitas y dormitorios. Los bustos de Eva son decapitados.
Dispone la intervención inmediata de cada uno de los institutos el día 24 de septiembre. Convoca para ello, a los miembros de los “comandos civiles” (Acción Católica Argentina) quienes de inmediato comienzan a realizar la depuración de adictos a la “tiranía”. En medio de un odio demencial, ordena el desalojo inmediato de todos los niños y niñas internados en la Clínica de Recuperación Infantil Termas de Reyes, en Jujuy. La transforma en un casino para la oligarquía.
Manda tirar al río Mendoza, toda la vajilla y cristalería (importada de Finlandia y Checoslovaquia) con la que han comido los “cabecitas negras” en las unidades turísticotermales de alta montaña de Puente del Inca y Las Cuevas. Manda destruir todos los frascos de los Bancos de Sangre de los Hospitales de la Fundación porque contenían sangre “peronista”. Manda secuestrar todos los pulmotores porque tienen placas metálicas con las palabras “Fundación Eva Perón”. Ordena el asalto militar contra la Escuela de Enfermeras, y dispone su cierre definitivo.
Determina la confiscación de todos los muebles de los hospitales, hogares para niños, hogares escuelas y hogares de tránsito por ser demasiado lujosos para los ahora sin privilegios, se los llevan a sus casas los “comandos civiles”. Los camiones del ejército llegan a los edificios y depósitos de la Fundación y parten llenos. Dispone la desactivación absoluta de todos los programas de turismo social por ser “un peligroso ejemplo de demagogia populista y antidemocrática” en las Colonias de Vacaciones de Córdoba, Mar del Plata y Buenos Aires. Decide el cierre definitivo de las casi 200 proveedurías de alimentos de primera necesidad, la clausura del Plan Agrario, el Plan de Trabajo Rural y los Talleres Rodantes. Resuelve la intervención de los Hogares de Ancianos y el cierre de los Hogares de Tránsito. A pedido del Coronel Ernesto Alfredo Rottger -su Jefe y Ministro- ordena que sean expulsados a la calle todos los estudiantes de la Ciudad Estudiantil “Presidente Juan Perón”. El Coronel la necesita como centro de detención para encerrar a todos los miembros del gobierno constitucional detenidos. Allí caen las flamantes diputadas, las primorosas enfermeras, las militantes de los cien barrios porteños...
Cuando los interventores envían los primeros informes de las Escuelas Hogar, Marta Ezcurra descubre con escándalo que “la atención de los menores era suntuosa incluso, excesiva, y nada ajustada a las normas de sobriedad republicana que convenía para la formación austera de los niños. Aves y pescado se incluían en los variados menús diarios. Y en cuanto a vestuario era renovado cada seis meses”. (En San Juan un niño pobre comía 100 gramos de carne por día y 6 cucharadas de leche. En Jujuy, -por año- un niño comía 43 kilos de carne, en La Rioja 27, en Catamarca 26, y en Santiago del Estero tan sólo 19,6 Kilos), en las Escuelas Hogar Eva Perón, los niños comían carne todos los días. Marta Ezcurra cambiará el menú y el nombre de todas esas escuelas.
“Queda prohibida en todo el territorio de la Nación: las imágenes, símbolos, signos, expresiones significativas, doctrinas artículos y obras artísticas, la utilización de la fotografía retrato o escultura, el escudo y la bandera peronista, el nombre propio del presidente depuesto, el de sus parientes, dichos objetos ofenden el sentimiento democrático del pueblo Argentino y constituyen para éste una afrenta que es imprescindible borrar” (Decreto-ley 4161/56).
Ya todo es ausencia. La “violencia evangélica” ha destruido el mejor de los sueños de aquella niña que un siete de mayo se echó a andar por la vida buscando incendiar al pueblo con el fuego de su corazón.
Fuente: (fragmento) revistaelabasto.com.ar
+info: http://www.elortiba.org/memoria3.html
★ Es un aporte de El Ortiba - Colectivo de Cultura Popular. Visitá el sitio web: www.elortiba.org
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Why I chose Argentina
Studying abroad is one of the most challenging and rewarding experiences a person can have! The process is long, but the day to depart arrives and before you know it you’re on the plane! There are infinite possibilities when it comes down to choosing your destination, and in my process, I ended up with Argentina. Here are some of my reasons why:
1. Tango’s Birthplace
Tango started on the streets in the southern half of the city in an area called Boca. It was originally seen as an extremely sexual, seductive and dirty dance by the elites of the city, because it originated in a relatively poor area. When traveling to la Boca in Buenos Aires, it is still possible to hear the tango music all around and it transports you back to the late 19th century, and you can even get your picture taken with one of the dancers!
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Photo Credit: Natacha Pisarenko
(http://www.apimages.com/Collection/Landing/Photographer+Natacha+Pisarenko/9281d2f823544a0bad2b0b9907650564)
2. Las Casas Coloridas de Caminito (Caminito’s Colorful Houses)
Okay, maybe I’m a bit biased with my first choice being the tango, but as beautiful as it is, Caminito deserves its spot as number two on this list.
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Photo Credit: Roberta Bragan (https://pixels.com/profiles/roberta-bragan.html)
Caminito is one of the biggest tourist attractions in the city of Buenos Aires, and you can see why. The colorful houses bring in thousands of people to this area (also the area in the first bullet point). It’s a beautiful place to souvenir shop or eat, and a couple block away is one of the biggest soccer stadiums in the city itself! Behold, La Bombonera. Beautifully painted blue and yellow to represent its team Boca juniors, it can be seen for miles away because of its gigantic stature. Having a capacity of 49,000 seats, pictures don’t even do this stadium justice. A word of advice though: be careful if you mention the Juniors’ main rival, River Plate, in this area because people might get you some mean looks.
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Photo Credit: Maggi Bautista 
(https://www.flickr.com/photos/145854108@N06/albums/with/72157669732533824)
3. The Andes!
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This is my own picture and was taken in Mendoza, Argentina, along the border of Chile. Another example where pictures cannot even explain just how beautiful these mountains actually are. My group was lucky enough to take an entire day to travel through the mountains until we reached the TALLEST mountain in both the southern and western hemispheres! The name of this mountain is “Aconcagua” at its height is almost 7,000 meters! On our way back down the mountains, we stopped at number 4 on my list:
4. Natural Land Bridge-Puente del Inca
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Photo Credit: Norberto Mario Laura (https://www.saatchiart.com/norbertolauria)
Puente del Inca is also located in the Mendoza province and is one of the twenty-three natural land bridges on planet Earth. Located over the Las Cuevas river, Puente del Inca is a natural hot spring, and the indigenous people of the land thought these hot springs contained therapeutic and healing capabilities. However, due to annual increases in temperatures, the lack of snow being produced by the Andes each year is dropping substantially, and thus lowers the river. The lowering river is becoming detrimental for the river because the lack of moisture to the bridge is causing it to dry out and eventually, this beautiful structure will fall apart completely and it will be cone forever. Get the chance to see this bridge before you miss your opportunity! If you wish, you can read more about Puente del Inca here:
http://elportaldemendoza.com/en/blog/puente-del-inca-incas-bridge/
5. The Flourishing Malbec Grape
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Originally brought to Argentina by the French (after it was a failure on French soil, the Malbec grape flourished. Undoubtedly Argentina’s most popular wine, Malbec is a dark red wine that is more appropriate for older generations. However, it does pair well with another of Argentina’s delicacies: asado.
6. Asado
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Photo Credit: 
https://argentina-travel-blog.sayhueque.com/the-famous-argentine-asado-explained/
Asado is basically a fancy words for barbecue; but in Argentina, it takes on a whole new meaning. Every Sunday (or most, depending on the family), families gather around and cook huge cuts of beef into bite sized pieces accompanied by bread and Malbec. An asado is a very social activity because it allows families to relax and spend time together and talk about their weeks and just enjoy each other’s company.
6. Last but not least, empanadas!
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Photo Credit: https://cooking.nytimes.com/recipes/1014844-beef-empanadas
You’re not a true Argentine if you haven’t tried empanadas. I basically described them to my family as glorified hot pockets, only better. They can be bought baked or fried, and come in a variety of different kinds. The most common are ham and cheese (jamón y queso), carne (beef, like above), chicken (pollo), and vegetable (verdura). Empanadas were without a doubt my most purchased item because they were all different depending on the store and they were always amazing! These are a South American specialty and are the food item that I recommend most to anyone that wants to dive head first into traditional Argentine food.
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worldcupofhotness · 6 years
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Meet the Team: PERU
Now that squads have been announced, we can look more closely into the hotness of the individual teams. I mean, that’s what we’re here for, right? For each team, I’ll talk a bit about the squad, then highlight ten hotties (trying to be attentive to many types of hotness), doing my best to split them evenly amongst the field.
Today: PERU!
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Peru missed 2014, but they made it to the quarterfinals of the Copa America Centenario and now they’re BACK baby! Despite an opening loss to Denmark, they’re still very much in the game. Their star striker, Paolo Guerrero, is back in the team, and they have a lovely passing game when they get going. Plus, they have these lovely sashed kits.
Team Nickname: Los Incas Fan Chant: Perú! Perú! Perú! Perú!
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Goalkeepers:  
Jose Carvallo, #21 (home club: UTC)
Pedro Gallese, #1 (home club: Veracruz-MEX)
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Not everyone has the cheekbones to pull off Wolverine muttonchops. But here we go.
Carlos Caceda, #12 (home club: Veracruz-MEX)
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The group of hot goalkeepers continues. The cupid’s bow on his lip is quite kissable, no? And he surely knows how to wear a suit.
Defenders: 
Alberto Rodriguez, #2 (home club: Junior-Colombia)
Anderson Santamaria, #4 (home club: Puebla-Mexico)
Miguel Araujo, #5 (home club: Alianza Lima)
Luis Advincula, #17 (home club: Lobos BUAP-Mexico)
Aldo Corzo, #3 (home club: Universitario)
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What a cutie Aldo is. Don’t you just want to run into those arms?
Miguel Trauco, #6 (home club: Flamengo-Brazil)
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Hey Trauco, no need to pout. You’re definitely on the list. Oh, the smile’s cute, too. 
Christian Ramos, #15 (home club: Veracruz-Mexico)
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The order of these pictures make him look like he’s dancing, and now I’m thinking about him dancing, and I’m liking it.
Midfielders:
Paolo Hurtado, #7 (home club: Vitoria de Guimaraes)
Christian Cueva, #8 (home club: Sao Paulo)
Andy Polo, #14 (home club: Portland Timbers)
Wilder Cartagena, #16 (home club: Veracruz)
Yoshimar Yotun, #19 (home club: Orlando City)
Edison Flores, #20 (home club: Aalborgk)
Nilson Loyola, #22 (home club: Melgar)
Renato Tapia, #13 (home club: Feyenoord)
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I wanna run my fingers through those curly locks.
Andre Carrillo, #18 (home club: Watford)
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Suited, booted, unshirted, I’ll turn my head every which way.
Pedro Aquino, #23 (home club: Lobos BUAP)
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Pedro’s face is clearly the product of a caring sculptor.
Forwards: 
Paolo Guerrero, #9 (home club: Flamengo), 
Jefferson Farfan, #10 (home club: Lokomotiv)
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The lips, the hair, the broad shoulders, the jackhammer thighs.
Raul Ruidiaz, #11 (home club: Morelia)
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I could barely find a picture where Raul wasn’t smiling--even in the last one, he’s a little excited. Love it.
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