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#Le Haut-Richelieu
chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 6, 5 février 1865, Paris. Toilettes de Concert de Mme Castel-Bréant, 58 bis. rue Ste Anne. Coiffures diadême par Mr Croizat, 76 rue de Richelieu. Ville de Paris / Bibliothèque Forney  
Description de toilettes:
Robe de dessous en satin mauve de nuance très-claire, recouverte d'une robe en gaze de soie de même nuance, garnie avec deux bouillonnés sur son bord inférieur. Ces bouillonnés sont séparés par une guirlande de feuilles de lierre; au-dessus des bouillonnés, deuxième guirlande semblable, formant des festons. A la hauteur où l'on place ordinairement les poches, guirlande de lierre retombant en deux longues branches et surmontée d'une rose. Corsage décolleté à draperie. Manches très-courtes ornées d'une rose et de branches de lierre; ces mêmes fleurs sont placées au bas de la taille par derrière, et, se divisant en trois parties, forment des sortes de basques. Coiffure assortie.
Robe en poult-de-soie vert, recouverte d'une robe de crêpe vert, garnie avec un gros bouillonné, au-dessus duquel serpente un volant tuyauté en tulle blanc, ayant 8 centimètres de hauteur; ce volant est relevé de distance en distance, ou plutôt retourné de façon à former une coquille, dont le milieu est rempli par un bouquet de plumes blanches. Troisième robe en tulle blanc, plus courte que la précédente et bordée avec une frange de plumes blanches. Cette robe est relevée inégalement (plus haut sur le côté gauche que sur le côté droit) et retenue de chaque côté par un bouquet de plumes blanches et une agrafe d'émeraudes. Corsage décolleté à draperies; bouquets de petites plumes sur les manches; agrafe d'émeraudes sur le devant du corsage; plumes blanches dans la coiffure; épingles de diamants et d'émeraudes.
Under dress in mauve satin of a very light shade, covered with a dress in silk gauze of the same shade, trimmed with two bubbles on its lower edge. These bubbles are separated by a garland of ivy leaves; above the bubbles, second similar garland, forming festoons. At the height where the pockets are usually placed, a garland of ivy falling in two long branches and surmounted by a rose. Low-cut bodice with drapery. Very short sleeves adorned with a rose and ivy branches; these same flowers are placed at the bottom of the waist from behind, and, dividing into three parts, form a sort of basque. Matching hairstyle.
Dress in green poult-de-silk, covered with a dress in green crepe, trimmed with a large fringe, above which winds a piped flounce in white tulle, 8 centimeters high; this flounce is raised from distance to distance, or rather turned over so as to form a shell, the middle of which is filled with a bouquet of white feathers. Third dress in white tulle, shorter than the previous one and edged with a fringe of white feathers. This dress is raised unevenly (higher on the left side than on the right side) and held on each side by a bouquet of white feathers and an emerald clasp. Draped low-cut bodice; bouquets of small feathers on the sleeves; clasp of emeralds on the front of the bodice; white feathers in the hairstyle; diamond and emerald pins.
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aisakalegacy · 7 months
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Automne 1914, Saint-Jean-sur-Richelieu, Canada (8/22)
Outre cela, l’entrainement se passe bien. Je sens jour après jour mon corps devenir plus fort, plus endurant. Je suis capable de soulever des charges plus lourdes que lorsque je suis arrivé. Je cours plus longtemps, je saute plus haut et plus loin. Je sens également mes liens se resserrer avec mes compagnons de peloton, et tout particulièrement avec les autres hommes d’Hylewood. Ce sentiment est curieux, car je n’ai jamais particulièrement cultivé d’amitiés sur mon île natale. Pas d’inimitiés non plus, ceci dit ; c’est simplement que mes rapports aux habitants de l’île s’en étaient toujours tenus à une entente cordiale, bien en-deçà de ce qui nous unit actuellement. Les jeunes gens de mon peloton ne sont pas de ma génération, et pourtant, nous sommes liés par des forces tangibles, celle du sang et celle du sol, qui nous rendent solidaires. Nous parlons la même langue, nous venons du même endroit. Dans ce territoire si loin du nôtre, c’est notre présence aux uns et aux autres, qui nous permet de se sentir quand même un peu chez nous.
[Transcription] Bert Simmon : On est là depuis un mois seulement, et je n’ai pas un muscle qui ne me fasse pas souffrir. J’en découvre que je ne savais même pas que j’avais ! Bert Simmon : Je cogne des clous… Franchement, ce que je ne donnerai pas pour une bonne nuit de sommeil. Arthur Rumédier : C’est nécessaire, Simmon. Le Capitaine est obligé de nous pousser. Il vaut mieux qu’il le fasse ici, dans la sécurité du camp, que dans une tranchée en France. Zéphir Rumédier : Vous pensez que ce sera pire au front ? Tout le monde : (silence) Arthur Rumédier : Je ne sais pas. Jules LeBris : Je pense qu’il ne sert à rien de s’en inquiéter maintenant. Quoi qu’il arrive, tout ce que nous pouvons faire, c’est nous assurer d’être prêts à toute éventualité. Et donc, à nous entrainer. Bert Simmon : Moi, tout ça m’épuise… À ton âge, je ne sais même pas comment tu fais, LeBris. Zéphir Rumédier : Pardon, Oncle Arthur, mais je suis d’accord avec Simmon. Si tu n’étais pas là, je serais déjà rentré à la maison. Jules LeBris : Quel était ton maximum de tractions avant d’arriver au camp ? Zéphir Rumédier : Je ne sais pas… Deux ? Jules LeBris : Et combien en as-tu fait aujourd’hui ? Zéphir Rumédier : Dix. Mais pas les unes à la suite des autres. Jules LeBris : Ça veut dire que depuis ton arrivée, tu t’es dépassé cinq fois. Et je crois que pour cela, Zéphir, même sans la présence de ton oncle Arthur, tu serais resté avec nous.
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chicinsilk · 1 year
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US Vogue November 15, 1962
Givenchy's American Nights
Shell top with rounded seams, short sleeves, with a short puffy skirt under a buckled belt. Both in deep blue ottoman of Celanese acetate and cotton (Colour fabric). Stella Sloat's two dresses. Richelieu necklace. Gloves by Grandoe.
Les nuits américaines de Givenchy Haut coquille avec coutures arrondies, manches courtes, avec une jupe courte bouffante sous une ceinture bouclée. Les deux en ottoman bleu profond d'acétate Celanese et de coton (tissu Couleur). Les deux robes de Stella Sloat. Collier Richelieu. Gants par Grandoe.
Model/Modèl Monique Chevallier Photo Irving Penn vogue archive
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Note
You actually made Cyrano's line after "Tell this to all the world..." make so much more sense for me. It probably becomes a lot clearer with the right actor delivery, but Cyrano trying to momentarily block out the pain and the Mortifying Ordeal of Being Known and Le Bret still being there to make him face it head on... it's just so good. Thank you for the clarity!
You mean in the adaptation, with the "let me be alone", or in the original French/actual play with his final "Tais-toi !"? I imagine you mean the "Tais-toi !" line, but I wanted to check xD
I mean, that's what I interpreted in the scene. I may very well be wrong, and I'm sure a director could choose to make it about Cyrano not wanting anyone else to come even close to knowing, but the directions I have in my editions don't say anything about the actor having to pretend to be worried or anxious in that affront, but about him having an absent air for instance. I guess that's what made me take it as Cyrano just not wanting to talk about the issue, too focused on his pain even when De Guiche is present. He doesn't seem to want to talk about anything at all nor deal with people and noise through the entire scene, which may be why the José Ferrer version changed the last line to make it a point that he wants to be alone. Actually this scene's mood is one of the only issues I have with the 1950 film, since with the "interruption" of the scene of De Guiche and Richelieu we lose that continuity in which we see Cyrano go from pained to saddened and moody to angry and taking it on everyone else; the final line of José Ferrer asking to be alone seems to be there in part to regain a bit of that mood that was lost imo.
Anyway, returning to Le Bret, Cyrano and the Mortifying Ordeal of Being Known, I'll comment that, while happy for his friend's success the previous night, what Le Bret wants to know and insists on is about Roxane! I find that so sweet, as I find sweet that we see how and even almost exactly when Le Bret starts to piece things together (or that's how I interpret with the "Le Bret (stupéfait): Mais qu'as-tu donc ? Cyrano: Tais-toi!"). And yes, once Le Bret explicitly tells him he seems to be in pain, Cyrano acts haughtily and puts an act again ("(tressaillant et se redressant vivement) Devant ce monde ?... / (Sa moustache se hérisse; il poitrine) Moi souffrir ?... Tu vas voir !"). To be honest, to me it read that Cyrano is so immersed in his own thoughts, hazy with pain, grief and self-hatred, that he kind of hadn't noticed or hadn't spared a thought to the multitude and how he might appear to them in that moment, until Le Bret mentions it. The way he reacts I think works very well as an "expansion" of sorts, or an iteration, of what he does in the first act, both in the entire act (with Valvert and then the last scene) but also in summary what he does when he says the line "(fièrement) Parce... /(Changeant de ton, en voyant que le portier est loin) Que je n'ai pas d'argent !..."; that act, that response, is after all what Cyrano lives on. It's also in some ways how the second act ends, with him slapping the musketeer.
So, despite being tempted for a moment by De Guiche's proposal (which I love!), I interpreted that his more "violent prone" behaviour changed in that moment, when he went from sad and moody to more angry (damn, boy, learn how to process grief in some other way), and he has that exaggerated outburst with De Guiche that he didn't have with the other people pestering him before to cover the pain Le Bret was seeing, to prove that he was himself just as always, "devant ce monde". And Le Bret chastises him as he always does, and Cyrano responds in anger again, insulting him, but Le Bret at this point has a pretty fair idea of what's happened and to Cyrano's "devant ce monde" he counters with his "Fais tout haut l'orgueilleux et l'amer, mais, tout bas, /Dis-moi tout simplement qu'elle ne t'aime pas", which gains him another "Tais-toi!" from Cyrano.
And we actually see Le Bret do just that before with his "Mais enfin, à moi, le motif de ta haine / Pour Montfleury, le vrai, dis-le-moi !"!!! I love that Cyrano puts performance after performance and has everyone fooled, but Le Bret always sees through him. He sees through him and asks him privately, careful of his pride, and I love that Cyrano doesn't lie to him. He tells him the truth!!! When he tells him to shut up that last time, that's almost as good as an answer! And perhaps he is giving an answer to him, since we get these directions: "Il remonte au bras de Le Bret. Ils causent bas" (so sweet, so soft) and "Il montre Cyrano qui cause au fond avec Le Bret".
Again, I think the interpretation of Cyrano saying his "Tais-toi!" because he doesn't want anyone else to notice is coherent! As you say, the actor's delivery and the director's choice would be key in what the expressions mean. I had not thought of it that way before, and I thank you for adding that idea to my reading now!
I just realised I got carried away with the reply. I'm very sorry, I simply wanted to justify a bit my interpretation but also admitting that, although it hadn't occurred to me before, the other was coherent as well. I could have just written the last paragraph xD
Thank you for taking the time of sending this message, it was sweet, and for the gifs of the scenes and quotes and sharing your thoughts on them! I've been having a lot of fun with them and they've made me reread and rewatch parts appreciating them even more, when not with altogether new eyes!
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citiesandtowns · 10 months
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Les Bases [Saint-Denis-sur-Richelieu] par Écorce architecture écologique
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« La conception architecturale des volumes s’inspire des anciennes maisons environnantes, en privilégiant la sobriété par la symétrie et la séparation fonctionnelle. Un volume bas et délicat accueille les espaces de nuit, tandis qu’un volume plus haut et prédominant démarque les espaces de vie.
Nous avons également incorporé et réinterprété des éléments singuliers et représentatifs de ce contexte, tels que les cheminées au toit et les jeux de volumes.
Le projet a été conceptualisé selon les principes de passivhaus, atteignant un taux de changement d’air à l’heure de 0.27 CAH@50Pa et en tirant parti des avantages bioclimatiques tels que l’orientation solaire et la ventilation naturelle. Les ouvertures ont été soigneusement conçues pour optimiser la luminosité naturelle sans provoquer de surchauffe.
L’aspect écologique a été mis de l’avant par la construction d’une enveloppe hautement performante, avec une isolation supérieure de 30 % par rapport au code de construction, ce qui permet d’atteindre un score de 47 sur l’échelle du Home Energy Rating System. Cela signifie que Les Bases est 53 % plus efficace sur le plan énergétique qu’une habitation standard neuve. De plus, des principes tels que la charpente avancée, qui réduit la quantité de structure nécessaire à la construction tout en maximisant l’isolation, et l’utilisation d’une dalle monolithique sur le sol, permettent de réduire l’empreinte carbone du projet, son impact environnemental et de garantir sa durabilité et sa résilience pour les années à venir. La résidence est en voie de certification LEED de niveau platine. »
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Architecte : Emerick Duquette
Photographe : Maxime Brouillet
Constructeur : Noveco Entrepreneur Général
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nietp · 2 years
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Une troisième note de l’Élysée, non signée mais vraisemblablement rédigée par le conseiller élyséen Benard Tricot – elle émane de ses archives –, montre qu’au-delà du massacre du 17-Octobre la présidence de la République n’ignorait rien non plus du déchaînement criminel de la police française, cible durant l’année 1961 d’attaques imputées au FLN, contre des Algériens résidant en métropole.
Adressée le 25 octobre 1961 à Geoffroy Chodron de Courcel, le secrétaire général de la présidence, cette note décrit ni plus ni moins qu’une véritable terreur d’État.
La voici :
« S’agissant des brutalités ou sévices dont les Musulmans algériens ont pu être victimes ces derniers jours à Paris, je laisserai de côté tout ce qui a pu se passer au cours des manifestations ou immédiatement après. De même, il n’y a pas lieu de tenir compte de tous les renseignements à caractère vague ou hypothétique. En retenant seulement les faits précis venant de sources sérieuses, on peut indiquer : qu’il arrive que des personnes apparemment innocentes, et en tout cas n’ayant aucune attitude menaçante, soient tuées par les forces de l’ordre.
— À Gennevilliers, le jeudi 12 octobre, à 20 heures 30, 60, rue de Richelieu, devant l’école de garçons, un élève du cours de français, Ali Guérat, a été tué par balle. Le directeur du cours, M. Vernet, a été témoin de ce meurtre.
— Il arrive que lorsque des Musulmans sont appréhendés par les policiers ceux-ci détruisent devant eux leurs papiers d’identité. Ce fait, bien qu’il ne soit pas sanglant, me paraît des plus graves. Par une véritable voie de fait la police met elle-même des hommes en situation irrégulière.
— Des hôtels ou magasins musulmans ont été saccagés par la police (un hôtel dans le XVIIIe arrondissement, des magasins à Nanterre) sans qu’apparemment les destructions faites aient pu se justifier par les nécessités d’une lutte soutenue, par des mesures de sécurité ou par les besoins d’une investigation.
— Des hommes appréhendés après les manifestations et conduits dans des lieux de rassemblement (Vincennes, la Porte de Versailles, un lieu nommé “les carrières”, etc.) ont été brutalisés, précipités du haut de l’escalier, roués de coups.
— Dans certains endroits, les hommes appréhendés étaient tellement tassés les uns contre les autres qu’ils furent obligés de rester debout non seulement le jour mais aussi la nuit. »
Fabrice Arfi, «Massacre du 17 octobre 1961 : les preuves que le général de Gaulle savait»
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notrebellefrance · 1 year
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Cathédrale Saint-Jean - Lyon
Située au coeur du Vieux-Lyon, la Cathédrale Saint-Jean, appelée aussi Primatiale St Jean (siège du primat des Gaules), est un édifice mélangeant les styles gothique et roman. Sa construction s'étend sur trois siècles, de 1175 à 1481.
L'une des particularités de l'édifice est de posséder une horloge astronomique. Réalisée à la du fin 16ème siècle, celle-ci indique la date, les positions de la lune, du soleil et de la Terre, ainsi que celle des étoiles au-dessus de Lyon. La date donnée sera exacte jusqu'en 2019. Compte tenu des connaissances de l'époque, c'est le soleil qui tourne autour de la Terre !
La cathédrale Saint-Jean présente également des vitraux remarquables datant du début du 12e siècle. La rosace centrale de la façade est particulièrement admirable.
La façade est composée de trois portails ornés de statues détruites pendant les guerres de religions. Une série de médaillons retrace en image des épisodes de l'Ancien et du Nouveau Testament, de la vie des Saints et représente notamment des scènes de vie monastique.
Cette cathédrale fut au cours des siècles le théâtre d'évènements politiques et historiques importants : Le Pape Jean XXII y est couronné en 1316 ; le 13 décembre 1600, la cathédrale abrite le mariage d'Henri IV et de Marie de Médicis ; Richelieu y reçut sa barrette de cardinal en 1622�.
’église Saint-Jean-Baptiste-et-Saint-Étienne, souvent appelée cathédrale Saint-Jean ou primatiale Saint-Jean est la cathédrale et primatiale de Lyon (France), elle domine le quartier médiéval et renaissance du Vieux-Lyon.
Le terme de primatiale vient de celui de Primat des Gaules, titre historique de l'archevêque de Lyon.
Construite de 1180 à 1480, elle mélange le style roman et le gothique.
Elle abrite une horloge astronomique du XIVème siècle.
Cette horloge monumentale en forme de tour mesure 10 mètres de haut.
Elle comporte six étages .
Deux étages carrés :
- le premier : un calendrier perpétuel calculé sur 66 ans
- le deuxième : une horloge sur 24 heures
Un astrolabe
Sur le coté le cadran des minutes ( A l’époque de la construction de l’astrolabe on croyait que le soleil tournait autour de la terre )
Le troisième étage un automate des sept jours de la semaine
Le quatrième une scène animée de l’Annonciation
Le cinquième des anges sonneurs
Le sixième une bénédiction des visiteurs
Le dôme avec la cloche des heures et un Suisse qui effectue sa ronde
Au sommet, un coq chante et bat des ailes
Ces automates sont visibles à midi, 14 et 15 heures. La primatiale est fermée de 12 h à 13h45 Cet ensemble est animé par un mécanisme à poids remonté tous les cinq jours
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ortho001 · 5 months
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Clinique Orthodontique QC
Découvrez l'orthodontie de pointe à Montréal et Saint-Jean-sur-Richelieu avec nos orthodontistes experts. Obtenez des informations sur les appareils, les traitements, les prix d'Invisalign, le coût des appareils dentaires. Clinique Orthodontique QC
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Situés dans le charmant quartier de Saint Luc à Saint-Jean-sur-Richelieu, nous sommes là pour créer de beaux sourires et rendre votre communauté encore plus accueillante!
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Location:- 30 Rue Moreau, Saint-Jean-sur-Richelieu, QC J2W 1H9, Canada
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if-you-fan-a-fire · 1 year
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"Aux funérailles de Mme Louis Coderre," La Patrie. April 21, 1943. Page 21. --- Une foule nombreuse se pressait, ce matin, aux funérailles de Mme Louis Coderre, veuve de feu l'hon. juge Louis Coderre. La magistrature et le Barreau étaient largement représentés aux obsèques à l'église St-Germain d'Outremont. En haut: les membres de la famille; de gauche à droite: Louis et Jacques Coderre, petits-fils; M. Louis Coderre, sous-ministre du Commerce et de l'Industrie, et Mtre Charles Coderre, e.r., secrétaire-trésorier du Barreau de la province, fils de la défunte; M. Yves Archambault, gendre; MM. Ernest et Oscar Coderre, beaux-frères de la défunte. En bas, quelques-uns des porteurs; de gauche à droite: (à droite du corbillard) Mtre Charles Sylvestre, c.r., Mtre Gaston Lacroix, c.r., Mtre Waiter Johnson, c.r., représentant le Bâtonnier général de la province; Mtre Yvan Sabourin, bâtonnier du Barreau de Richelieu; Mtre Joseph Gingras, c.r., et Mtre Paul Gauthier, c.r. (Photo la "Patrie")
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passagers-culturels · 10 months
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Cathédrale Saint Jean
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Située au coeur du Vieux-Lyon, la Cathédrale Saint-Jean, appelée aussi Primatiale St Jean (Lyon fut le primat des Gaules en accueillant la première église chrétienne de France) voit ses travaux débuter au 12ème siècle et s’étendre sur trois siècles, alternant donc style roman et gothique. Construite à Lyon, ville à la forte histoire chrétienne puisqu’elle accueillit les premiers martyrs chrétiens des Gaules en sa capitale, l’antique Lugdunum, la cathédrale a été le théâtre d’événements politiques et historiques importants : le Pape Jean XXII y est couronné en 1316 ; le 13 décembre 1600, la cathédrale accueille le mariage d'Henri IV et de Marie de Médicis ; Richelieu y reçut sa barrette de cardinal en 1622.
Architecturalement, les remarquables vitraux du début du 12e siècle, la rosace centrale de la façade, ses statues, ses médaillons illustrant des épisodes de l’Ancien et du Nouveau Testament, son horloge astronomique de 9 mètres de haut font de la Cathédrale Saint-Jean un magnifique lieu d’histoire, de prière et de recueillement. Différentes visites et parcours thématiques, les samedi et dimanche de 14h30 à 17h30, sont proposés afin de découvrir les joyaux de la cathédrale.
Ouverture (tarif gratuit)
Lundi : Fermé
Mardi : 8h15 – 19h00
Mercredi : 8h15 – 20h00
Jeudi : 8h15 – 19h00
Vendredi : 8h15 – 19h00
Samedi : 8h15 – 19h
Dimanche : 8h – 19h
Visites guidées - permanences les samedi et dimanche de 14h30 à 17h30
Certains jours comme le 1er janvier, le lundi de Paques, le 1er et 8 mai, le lundi de Pentecôte, le 14 juillet et le 11 novembre, la cathédrale n'est ouverte que l'après midi.
Accès
Métro ligne D - station Vieux Lyon Cathédrale Saint Jean
Bus C3 – Gare Saint-Paul
Bus 40 – Romain Rolland 
Bus 27 – Vieux Lyon
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franckdoutrery · 1 year
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Verseau à deux versants
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Le soleil est entré dans le Verseau, signe favorable à toutes les humidités. C'est pourquoi la saison est aux averses, giboulées et autres hallebardes. Sur un paysage désolé, un squelette d’arbre pointe à l’horizon, offrant ses branches dénudées au vent d’hiver. L’homme passe dessous d’un pas hésitant. Il porte un paletot au revers vison façon renard. Coiffé d’un passe-montagne et emmitouflé dans une écharpe en pure laine vierge, il scrute le sous-bois, espérant y trouver les signes avant-coureurs du printemps. Il n’est pas rare, en effet, qu’au détour d’un sentier jonché de feuilles mortes, il découvre une touffe de perce-neiges. Car même sans neige, elles percent parfois sous les dépôts de l’automne.
Tout n’est donc pas perdu. Bientôt refleuriront les primevères, tandis que les forsythias se pareront de leur jaune tendre. Puis ce sera la Saint-Valentin, mardi-gras et les cortèges du carnaval. Comme tous les ans, des chirurgiens réputés, des pharmaciens ayant pignon sur rue tiendront le haut ou le bas du pavé, affublés d’accoutrements improbables. Des hommes importants, des préfets au-dessus de tout soupçon, des magistrats dévoués à la stricte observance de la loi, se déguiseront qui en Guillaume Tell, qui en cardinal Richelieu ou Mazarin, qui en Zorro. D’autres porteront des masques de Donald Duck en carton-pâte, de Donald Trump en latex ou du clown Antoine en vinyle. Des jeunes premiers seront contrefaits en vieillards édentés et des filles pubères en sorcières ou vampires. 
Mais ce n’est pas tout. Des chars fleuris traverseront la rue principale en faisant retentir des chants rythmés ou des flonflons de fanfare. Du haut d’un encorbellement, des demoiselles en tenues légères lanceront à tout vent des confettis, des confiseries, parfois même des oranges ou des mandarines. Sur un trône doré siégera le prince carnaval de l’année. Habillé d’une cape rutilante à ourlet argenté et coiffé d’un bonnet rouge et or en forme de corolle, il saluera la foule d’un bras protecteur, comme font les souverains lors des joyeuses entrées. 
Il n’y aura pourtant pas de mardi-gras sans carême. Et c’est en prévision de ce dernier, et des privations qu’il imposait jadis et naguère, qu’on assistera à des bombances, des ripailles, des beuveries et autres débauches, auxquelles l’homme se livre en profitant dès maintenant des jouissances dont il devra se priver demain. Car selon le dicton, un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. Dans notre enfance, ce contraste était d’autant plus saisissant que les longues semaines entre mardi-gras et Pâques étaient marquées au coin de la frugalité. Ce n’était pas vraiment le régime du pain sec et de l’eau claire, mais le menu y tendait, réduisant fort la variété des plats, supprimant la viande au bénéfice du poisson et faisant une croix sur les desserts. Car l’homme (de même que la femme !) devait se soucier de son âme immortelle. Ce qui consistait à se souvenir qu’il pouvait mourir à tout moment et que si la mort le trouvait avec une âme pleine de taches, traversée de zébrures sombres comme les tableaux de Pierre Soulages, ou même carrément noire à la suite d’un péché mortel, il était condamné à brûler éternellement sur les chaudrons de l’enfer. C’est afin d’éviter de tels destins cuisants qu’il fallait manger moins, grignoter plutôt que s’empiffrer et préférer l’eau claire à la bière et au vin. Car ce régime hypocalorique permettait d’éclaircir notre âme en gommant noirceurs et éclaboussures. Il fallait aussi profiter de ce temps maigre pour se confesser d’avoir menti, calomnié, volé, parfois même dégonflé ou crevé le pneu du vélo de maître Albert.
Mais en attendant cette période de renoncements, il était permis de faire bonne chère. Rien n’est plus apte à émoustiller l’appétit de l’homme que l’idée qu’il devra bientôt se serrer la ceinture. C’est pourquoi on le voit alors fréquenter restaurants et auberges, commander des repas coûteux et boire des vins millésimés sans regarder à la dépense. Dans les foyers aussi, on ne se limite pas au plat de résistance, mais on multiplie les mets viandeux arrosés de grands crus, sans parler des pâtés, tripes, boudins, jambons et autres cochonnailles. Le tout couronné de beignets saupoudrés de sucre, de crêpes au miel ou de gaufres aux confitures. 
Or après le carême-prenant, qui exprime ces trois jours de réjouissances, viendra le « carême privant ». Inexorablement. Et la saison de restrictions épousera fidèlement les constellations. Car non seulement le Verseau déversera sa grosse jarre sur les villes et campagnes, mais son eau claire arrosera aussi les menus frugaux de l’homme repentant. De même, les Poissons surgiront à point nommé sous forme de morue, de dorade ou de hareng, en remplacement des repas carnés. Et il n’y aura plus qu’à persévérer dans l’abstinence, d’abord jusqu’au dimanche Laetare, puis jusqu’à Pâques, où les cloches rentrées de Rome sonneront la fin de l’épreuve.
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chic-a-gigot · 3 months
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La Mode nationale, no. 41, 5 février 1887, Paris. No. 1. — 1. Redingote en cheviotte. 2. Robe d'intérieur. 3. Toilette en lainage fantaisie (dos). 4. Toilette d'intérieur. 5. Toilette en lainage fantaisie (devant). Modèles de la Maison Vidal, 104, rue de Richelieu. Bibliothèque nationale de France
(1) Longue redingote en cheviotte, boutonnée sur le côté. Deux bandes de velours ornent l'un des côtés de la jupe. Poche garnie de velours croisés. Epaulettes, revers et parements en velours. La jupe, formant pouf, est montée à gros plis derrière.
Capote-bébé en fantaisie, garnie d'un bouillonné en velours sur le devant. Aigrette et panache sur le haut.
(1) Long cheviotte frock coat, buttoned on the side. Two bands of velvet adorn one side of the skirt. Pocket lined with crossed velvet. Velvet epaulettes, lapels and facings. The skirt, forming a pouf, is fitted with large pleats at the back.
Fancy baby hood, trimmed with velvet bubbling on the front. Egret and plume on the top.
(2) Robe d'intérieur, forme princesse, en lainage blanc. Un plissé, à larges tuyaux, surmonté par une garniture en broderie anglaise, orne le bas de la jupe, garnie du même plissé devant, dans toute sa hauteur. Jabot d'étoffe brodée, entouré de petits plis. Manches plates, garnies de volants brodés. Poches héraldiques brodées.
(2) House dress, princess shape, in white wool. A pleat, with large pipes, topped by an English embroidery trim, adorns the bottom of the skirt, trimmed with the same pleat on the front, throughout its height. Jabot of embroidered fabric, surrounded by small folds. Flat sleeves, trimmed with embroidered ruffles. Embroidered heraldic pockets.
Métrage: 5 mètres lainage blanc, grande largeur, 6 mètres broderie anglaise.
(3) Dos du numéro 5, en lainage fantaisie, mi-partie écossais et tissu uni. Jupe ronde plissée à larges panneaux, recouverte par une longue draperie relevée en laveuse, formant long pouf derrière et cascade sur le devant. Corsage à basques, très ajusté du dos, garni par un large biais ne écossais. Pointe écossaise au milieu du dos.
(3) Back of number 5, in fancy wool, half tartan and plain fabric. Round pleated skirt with large panels, covered by a long drapery raised in a washer, forming a long pouf behind and a waterfall on the front. Basque bodice, very fitted at the back, trimmed with a wide Scottish bias. Scottish stitch at the center of the back.
(4) Toilette de maison en limousine. Première jupe plissée, recouverte par une longue draperie, échancrée sur le côté, où elle est reliée par un velours croisé. Corsage court, très ajusté, garni à l'intérieur par un faux gilet de velours, ouvrant, en pointe, sur une chemisette de surah crème plissée. Manches plates, échancrées du bas, avec une garniture de velours.
(4) House dress in limousine. First pleated skirt, covered by a long drapery, indented on the side, where it is connected by crossed velvet. Short, very fitted bodice, trimmed inside with a false velvet vest, opening, at the point, onto a pleated cream surah shirt. Flat sleeves, notched at the bottom, with velvet trim.
Métrage: 12 mètres limousine grande largeur, 1 mètre velours, 1 mètre surah crème.
(5) Devant du numéro 3. Longue draperie relevée ne cascade, sur les panneaux de la première jupe à carreaux. Corsage-veste, boutonné sur le côté ouvert sur un plastron plissé. Garniture du corsage et col en écossais. Larges boutons de métal sur le devant.
(5) Front of number 3. Long raised drapery cascading over the panels of the first checkered skirt. Bodice-jacket, buttoned on the open side over a pleated bib. Bodice and collar trim in tartan. Large metal buttons on the front.
Métrage: 4 mètres écossais grande largeur, 5 mètres étoffe unie grande largeur.
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aisakalegacy · 7 months
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Automne 1914, Saint-Jean-sur-Richelieu, Canada (14/22)
Pas plus d’une journée plus tard, Arthur Rumédier devenait notre sergent. Voilà donc à quoi rimait l’enquête étrange du Capitaine Delacroix ! Je suis très heureux pour lui, et j’éprouve quelque fierté de savoir que j’ai probablement influencé ce choix.
[Transcription] Odin Delacroix : Que pensez-vous de LeBris ? Arthur Rumédier : Il est courageux, déterminé, il a bien plus d’expérience que nous. Il a l’habitude de travailler avec des équipes internationales. Il sait être rassurant quand il le faut, mais sans jamais être tendre. Odin Delacroix : Il n’a donc aucun défaut ? Arthur Rumédier : Tous les hommes ont des défauts, Capitaine. Odin Delacroix : Et quels sont les siens ? Arthur Rumédier : Pardonnez-moi, mais je ne souhaite pas dire du mal de LeBris, Capitaine. Odin Delacroix : Je ne demande pas de ragoter comme une commère. Je veux simplement savoir si vous êtes bon juge de son caractère. LeBris n’est pas en danger, Rumédier. Vous pouvez répondre sans craintes. Arthur Rumédier : Eh bien… Il est instable. Il peut se montrer parfois très irrité, colérique même, et cette irritation déferle comme une vague sur celui qui la déclenche, avant de retomber presque aussitôt. Odin Delacroix : Rumédier, je vous nomme sergent de la deuxième section. Arthur Rumédier : ! Arthur Rumédier : Vraiment, Capitaine ? Pensez-vous que j’en sois digne ? Odin Delacroix : Un commandant efficace sait juger de la valeur d’un homme aussi justement que de ses faiblesses. Vous connaissez vos troupes. Vous savez quand les pousser, quand leur laisser du leste - et si vous ne savez pas, vous savez à qui le demander. Vous gardez la tête haute. Vous êtes juste, vous êtes loyal, mais sans chercher à couvrir à tout prix vos camarades auprès de votre hiérarchie. Et surtout, vous êtes stable. Je pense que vous avez ce qu’il faut pour être un sergent efficace.
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plaque-memoire · 1 year
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Billet spécial n°1 - Les hôtels particuliers de l'Île Saint-Louis
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Pour célébrer la rédaction du 200ème billet du blog "Plaque Mémoire", j'ai souhaité présenter un format un peu plus libre que les autres publications, en particulier eu égard au fait que les plaques commémoratives présentées ici sont différentes de celles habituellement traitées, en ce qu'elles se rapportent davantage à la propriété de bâtiments.
L'île Saint-Louis (anciennement île Notre-Dame) est une île située sur la Seine, dans le quatrième arrondissement de Paris. Structurée autour de la rue Saint-Louis en l'île qui la traverse de part en part, elle a fait l'objet d'une vaste opération d'urbanisme au XVIIème siècle, et rassemble alors un très grand nombre d'hôtels particuliers qui lui valent le surnom d'"île des palais". Ces bâtiments, riches résidences passant aux mains de différentes familles aisées, connaîtront au fil des années des habitants prestigieux.
Les photos montrées ici ne constituent pas une liste exhaustive des hôtels particuliers de l'île Saint-Louis, dont beaucoup ont été préservés et sont de remarquables monuments historiques cachés en plein cœur, comme l'hôtel de Lauzun (situé au 17 quai d'Anjou)
11 quai de Bourbon. Texte de la plaque : 1643. Demeure de Philippe de Champaigne, peintre et valet de chambre de la Reine mère.
13 quai de Bourbon. En 1695, propriété de Louis Joseph de Playbault, seigneur de Villars, capitaine au régiment de la reine.
15 quai de Bourbon : Hôtel Le Charron (ou hôtel de Vitry). Texte de la plaque : Hôtel Le Charron. Contrôleur de l'extraordinaire des guerres en Picardie. Son petit neveu J.J. Charron, marquis de Menars, est beau frère de Colbert. Le peintre Émile Bernard y a résidé.
31 quai de Bourbon. Texte de la plaque : Emplacement de la propriété du fils de Théophraste Renaudot, médecin de Louis XIII, commissaire général des pauvres, fondateur du journalisme. L'écrivain Charles-Louis Philippe y a résidé.
18-20 quai d'Orléans : Hôtel Rolland. Texte de la plaque : Hôtel Rolland. En 1775 propriété de Étienne Françis Turgot, marquis de Soumont, gouverneur de Cayenne et de la Guyanne.
16 quai de Béthune. Texte de la plaque : Construit en 1647. En 1728 très haute et très puissante dame Marguerite Thérèse Rouillé, princesse de Poix, veuve de très haut et de très puissant seigneur monseigneur Armand Jean Duplessis, duc de Richelieu et de Fronsac, pair de France, chevalier des ordres du Roy, lègue cet hôtel à son beau-fils LF Armand de Vignerod, futur maréchal de Richelieu
22 quai de Béthune : Hôtel Lefebure de la Malmaison. Texte de la plaque : Hôtel Lefebure de la Malmaison, Conseiller au Parlement, 1645. Baudelaire y vécut en 1842 et 1843. Le poète Charles Baudelaire y a résidé.
28 quai de Béthune : Hôtel Aubert-Perrot. Texte de la plaque : 1640. Maison de M. Aubert, contrôleur des rentes de l'Hôtel de ville. Façade du XVIIIème siècle
5 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Petit hôtel de Marigny, élevé en 1640. Habité par Rennequin, créateur de la Machine de Marly
7 quai d'Anjou. Texte de la plaque : 1642 Hôtel construit pour Jacques Brebart Marchand de Fer. Siège de la Corporation des Maîtres Boulangers depuis 1843
11 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Construit vers 1645 pour Nicolas Lambert de Thorigny. Louis Le Vau architecte. Acquis en 1945 par Henri Digard.
15 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Vers 1645 hôtel construit pour Nicolas Lambert de Thorigny, président a la Chambre des Comptes. Louis Le Vau, architecte présumé.
23 quai d'Anjou. Texte de la plaque : Hôtel ci-devant du Président Perrot
23 quai d'Anjou. Texte de la plaque : En 1642 ici demeura le Sieur Gabriel Sionite, Maronite du Liban, professeur d'arabe au Collège de France
27 quai d'Anjou. Texte de la plaque : 1644. Sur l'emplacement acheté en 1621 par Salomon de Caux, architecte du roi Louis XIII, Simon le Bossu, Maitre des Comptes, construit cet Hôtel où vécut en 1691 Nicolas II Sainctôt, Introducteur des Ambassadeurs
33 quai d'Anjou. Texte de la plaque : 1640. Maison de Marin Le Roy, Sieur de Gomberville, titulaire du 21e fauteuil à la Fondation de l'Académie française
38 rue Saint-Louis en l'Île. Texte de la plaque : En 1775, Gilles Gomin maître tapissier acquiert de très haute et très puissante dame Madame Isabelle Louise Juvénal de Harville des Ursins de Tresnel, marquise de la Chastre
rue Saint-Louis en l'Île. Texte de la plaque : 1640. Maison à l'enseigne de la Bastille, louée à François Goube, marchand de vins
19 rue des Deux Ponts : Maison de l'Image Saint-Louis. Texte de la plaque : Maison de l'Image Saint-Louis. Abrite en 1642 le tavernier Framery, en 1742 le notaire Deshayes
9 rue Poulletier : Hôtel de Gillier. Texte de la plaque : Hôtel de Gillier. Construit de 1637 à 1640, par Louis Le Vau, père et fils, pour Melchio de Gillier, Seigneur de Lagny, conseiller du roy Louis XIII
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williamgunst · 2 years
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Quatorze logements sociaux inhabitables
Quatorze logements sociaux inhabitables
Sol manquant, plans de travail cassés, mauvaise ventilation, plomberie et électricité à rénover : 14 HLM sont vides faute de fonds suffisants. Cela représente 2% du loyer. La semaine dernière, Le Canada Français a pu en visiter deux.En compagnie de la conseillère municipale et présidente de l’Office municipal d’habitation (OMH) du Haut-Richelieu, Marianne Lambert, Franc Chapdelaine, président du…
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yesweevil · 2 years
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Épervier de Cooper / Cooper's Hawk [Accipiter cooperii] by Sylvain Côté Via Flickr: Avec sa proie (Quiscale Bronzé) / With its prey (Common Grackle)
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