Tumgik
#Mon espace santé
tosante · 4 months
Text
0 notes
buzzesante · 1 year
Text
Du nouveau du côté de l'Agence du Numérique en Santé
Du nouveau du côté de l'Agence du Numérique en Santé
L’actualité est chargée en ce début d’année pour l’Agence du Numérique en Santé. Tour d’horizon des nouveaux services, nouvelles actualités et publications. L’actualité principale de ce début d’année pour l’Agence du Numérique en santé est son installation au sein de PariSanté Campus dont elle est un membre fondateur aux côtés de l’INSERM, l’INRIA, l’Université PSL et du Health Data Hub. Placée…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
unmatindoctobre · 6 months
Text
Dix novembre deux milles vingt trois. ✨
Aujourd’hui, est passé une année. Une année durant laquelle j’ai rendu un appart que j’ai gardé six ans et demi. Aménager un autre qui n’était pas le mien. J’ai eu le Covid. Été opérée d’une vésicule biliaire. J’ai démissionné de mon boulot que j’avais depuis six ans. Je me suis pacsée. J’ai intégré une nouvelle institution. Amoureuse, sans tomber. J’ai enterré ma grand mère. Et les regrets de ne pas avoir fait plus pour elle, qui m’as tant donné. J’ai signé la dissolution du dit pacs. J’ai mis ma vie en cartons. J’ai emménagé. J’ai eu des problèmes de santé. & de famille & d’amitié. J’ai cru mourir, deux fois.
Mais dans cette année, j’ai aussi repris une thérapie abandonnée depuis plus de deux ans, appris à m’asseoir pour parler. Reçue en serenité dans ce nouveau chez moi. Acheter des plantes. Été chercher le pain en pijama. Poser des limites à des gens très chers. Tester de nouvelles recettes. Perdu un lien que je pensais inébranlable. Fais des insomnies à vouloir se cogner la tête dans le mur. Accorder mon amitié et ma confiance entière à un garçon, le premier depuis lui, qui est parti sans se retourner un matin de juin 2009 & dont je ne me suis jamais remise.
J’ai appris à dire non plus fort et oui, plus intensément. Établie pour moi, et pour d’autres de nouvelles règles. Mis mon chat au régime. Acquis de nouvelles competences professionnelles. Et donner ma confiance à de nouvelles personnes. J’ai aussi fais le deuil de personnes pas encore mortes.
J’ai été très triste, touchée, en colère, sereine, perdue, aimée et très seule.
Et demain, je me mettrai au sport, prendrai soin de mes amitiés, tirerai un trait sur tout ce qui ne me fais pas du bien. Je me promet de préserver mon monde, ma solitude, mon espace secure, et l’amour que je peut porter. Quoiqu’il en coûte. Toujours. Je me promet de rester moi. Ce moi, parfois violent, insecure, instable autant qu’investie, honnête , entière, fidèle & engagée.
Je laisserai aux étoiles la magie de laisser couler mes larmes et aux rayons du soleil, mes éclats de rire.
Je continuerai, d’écrire, de chanter très fort dans la voiture, de cuisiner, de ressentir, de faire avec et aussi sans, de lui parler tout bas, de me relever, de les élever Elles et Elle, évidemment.
À cette année écoulée et celles qui viendront, encore. ✨
11 notes · View notes
contesdefleurs · 11 months
Text
Handicap, écriture et humour
[ CW - Validisme ] La fatigue chronique est une vieille amie là où les douleurs chroniques sont mes pires ennemies, encore plus quand elles m'empêchent de mener ma vie.
Depuis très longtemps, je souffre de douleurs chroniques. Et pour ne pas arranger les choses, j'ai dû m'adapter à un rythme, un emploi du temps et des habitudes qui ne m'aident pas à mieux les gérer. Elles n'ont jamais été vraiment prises au sérieux dans l'environnement familial dans lequel j'ai grandi, imprégné alors d'idées validistes, sans compter le fait que l'on prenne peu au sérieux les personnes vivant ce genre de situation, parce que c'est bien commun que savoir marcher et se déplacer fait office de preuve qu'il n'y a pas vraiment de handicap et donc que c'est de la comédie (non). Sauf que lorsque j'ai mal, je ne vais pas hurler de douleur, je vais apprendre à me taire, à ne pas me plaindre comme on m'a forcé à le faire. Quand je ne vais plus réussir à bouger, je vais renoncer à beaucoup d'activités et être isolée, ainsi l'entourage amical va m'inviter moins à des évènements, et me propose déjà peu d'alternatives, voire aucune, pour penser à ma situation, mon confort, quand souvent, je sacrifie mon propre confort, une partie de ma santé, pour les voir régulièrement quand elleux ne le peuvent pas. Des fois, j'ai tellement mal que j'ai envie de pleurer. J'ai toujours des antidouleurs sur moi parce qu'une fois présentes, elles peuvent me faire très mal et je peux donc plus facilement me blesser. Il y a des jours, des semaines, où il m'est très difficile d'exécuter des activités du quotidien pour l'entretien de mon espace de vie ou mes besoins (me faire à manger, manger, des fois boire, etc). De fait, il s'agit de quelque chose à ne pas prendre à la légère. Seulement, il est si fréquent qu'on ne me prenne pas au sérieux que j'ai pris la fâcheuse manie de croire que j'avais une énergie peu limitée. Il arrive alors que j'enchaîne des journées sans repos en oubliant que la suite logique est plusieurs jours de douleurs intenses. En cette période particulière où ma vie personnelle connaît quelques changements non négligeables, elles refont surface. Il y a plein de causes à cela, notamment le fait que je manque de repos, mais je vais surtout parler de ce que j'ai mis en place pour mieux supporter les moments où elles me limitent dans mes déplacements et mes activités. Pour m'occuper l'esprit, quand je suis au fond de mon lit et que je ne peux rien faire, j'ai décidé de créer un recueil. Je l'ai nommé Bubble Energy, en référence aux bulles que j'adore (c'est magnifique les bubulles), à l'expression "être dans sa bulle" (et là ce n'est pas un choix, mais une contrainte), et l'énergie fait référence à.... L'énergie que je n'ai plus haha. Très recherché n'est-ce pas ? Trêve d'ironie, après tout le but de ce recueil, c'est de m'amuser. J'ai commencé à assembler des textes écrits ici et là pour rire, ou racontant des situations, des pensées amusantes, parfois inspirées par des blagues, parodies, faites entre potes. Cela ne va pas m'aider à faire partir mes douleurs, toutefois ça me permettra de faire quelque chose une fois limitée. J'aime l'humour, et même si le mien est douteux, j'apprécie le partager en me laissant un maximum de liberté. Si cela vous intéresse, vous pouvez le retrouver sur Wattpad ici :
Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
Tumblr media
4 notes · View notes
thebusylilbee · 2 years
Text
"Nao est attablé dans un café parisien. Tee-shirt bleu foncé et jean noir, le musicien de 28 ans porte les cheveux longs. Il commande un expresso, se présente, puis s’interrompt, ému : «Cela fait très longtemps que je n’ai pas raconté cette histoire.» Originaire du sud de la France, Nao arrive à Paris en 2014 pour ses études et prend peu à peu conscience de sa transidentité. Deux ans plus tard, il entreprend une transition MtF (de l’anglicisme Male to Female, homme à femme) sociale et médicale. «Une partie de moi avait des doutes et savait que ce n’était pas tout à fait ce qu’il me fallait sur le long terme, mais mon but était juste d’aller mieux.»
Accès aux traitements sous conditions
Pendant quatre ans, Nao vit en tant que femme trans, mais toujours avec «un sentiment de malaise». «Je sentais que le problème de fond n’avait pas été résolu.» En 2020, juste avant son opération de réassignation sexuelle (une vaginoplastie), Nao annule le rendez-vous avec le chirurgien. «J’ai pris conscience que cela ne correspondait pas à un malaise profond dans mon genre, mais à une fuite de mes problèmes», explique-t-il. Il arrête son traitement hormonal, déféminise son prénom et débute ce qu’on appelle une détransition ou retransition – c’est-à-dire le processus qui stoppe complètement ou temporairement son changement de genre.
Et il n’est pas le seul dans ce cas. Julie, 22 ans, étudiante au Mans, a débuté sa transition FtM (femme à homme) en août 2018 avant de se voir prescrire un traitement hormonal en octobre 2019 puis d’effectuer une torsoplastie (ablation des seins) et une hystérectomie (acte chirurgical consistant à retirer l’utérus) mi-2020. Elle décide finalement d’arrêter le processus un an plus tard. Et, comme Nao, elle «n’a aucun regret». «J’en avais besoin pour comprendre et accepter mon identité lesbienne butch [lesbienne «masculine», ndlr] et non-binaire.» Et de soupirer : «J’en ai marre qu’on dramatise les détransitions comme si c’était la fin du monde.»
Car si elles sont très rares – entre 1 et 4 % selon la majorité des études américaines et canadiennes (1) –, elles sont pourtant instrumentalisées par plusieurs collectifs opposés aux transitions des mineurs. Rappelons qu’en France les mineurs peuvent accéder sous conditions, avec l’autorisation parentale et jamais avant la puberté, à des traitements médicaux, en partie ou complètement réversibles, tels que les bloqueurs de puberté ou des hormones. Pour les chirurgies, «seules les torsoplasties peuvent être pratiquées avant 18 ans, mais cela arrive rarement», souligne Agnès Condat, pédopsychiatre à la Pitié-Salpêtrière et coordinatrice de la plateforme Trajectoires Trans Enfants.
«Avancée des droits et visibilité»
«L’idée est de dire aux jeunes “ne faites rien d’irréversible avant d’avoir bien réfléchi”», plaide une mère de famille membre du collectif Ipomony. Créé à l’automne 2021, ce groupe, composé «de parents concernés par l’explosion des transitions médicales rapides et irréversibles proposées à des enfants», alerte sur un supposé «nombre croissant de témoignages de “détransitionneuses” et “détransitionneurs”».
«C’est exponentiel», abonde la psychanalyste Céline Masson, membre du collectif la Petite sirène, composé de psychanalystes ou encore de juristes. Ces deux collectifs plaident pour la stricte interdiction des transitions médicales avant 18 ans et appellent à plus de «prudence» avant 25 ans. Si Céline Masson assure «ne pas être opposée à celles des adultes», elle juge qu’«une partie des jeunes sont sous l’emprise des discours idéologiques LGBT et de certains influenceurs».
«Ce n’est pas parce que c’est exponentiel que c’est le fruit d’une idéologie, rétorque Clément Moreau, clinicien et membre de l’association Espace Santé Trans. Les causes de cette expression plus précoce et vaste des personnes trans sont plutôt liées à l’avancée des droits et à la progression de la visibilité.»
«Ces collectifs agitent une panique morale»
Mais si le nombre de changements de genre a bien augmenté en France, selon des chiffres de l’Assurance maladie (2), cela ne semble pas être le cas des détransitions. Sur les 600 patients suivis par la réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) qui regroupe l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, l’hôpital Robert-Debré et le Ciapa (Centre intersectoriel d’accueil pour adolescents), «seul un cas de retransition a été observé», atteste la pédopsychiatre Agnès Condat. «Ces collectifs agitent une espèce de panique morale, s’agace Clément Moreau. Au-delà du nombre, il faut en regarder les raisons.»
Une étude américaine menée sur près de 28 000 adultes s’est intéressée à ce sujet. Parmi les personnes ayant effectué une détransition, 82,5 % d’entre elles disent qu’au moins un facteur externe, comme la pression sociale ou familiale, en est à l’origine. Seuls 15,9 % d’entre eux évoquent en revanche un facteur interne comme des raisons médico-psychologiques ou un doute sur l’identité de genre, sans forcément regretter leur démarche.
C’est peu ou prou ce qu’a vécu Samaël, rencontré·e dans un café de Rouen. Chemise colorée, short vert et boucles d’oreilles rondes, l’étudiant·e de 22 ans a compris qu’iel «n’était pas une femme» à l’adolescence, en découvrant le féminisme et en «déconstruisant son rapport au genre». A 17 ans, Samaël entame donc une transition FtM (femme à homme) visant plutôt à «tendre vers l’androgynie et la non-binarité». Iel change de prénom et demande à ses proches d’utiliser des pronoms masculins. Mais plusieurs événements viennent freiner son parcours, à commencer par la réaction de sa famille. «Ma transidentité a été complètement ignorée, comme si je n’avais jamais rien dit.»
Poids de la pression familiale
La question d’une transition médicale pose aussi problème. Samaël songe à prendre un traitement hormonal, mais craint les effets de la testostérone. «On me proposait seulement une transition binaire pour ressembler à un homme cisgenre, ce qui ne me convenait absolument pas.» En plus du déni de sa famille et des difficultés médicales, Samaël a fait face à des violences sexuelles qui ont «complètement bousculé [s]on rapport au genre». «Je ne voulais surtout pas ressembler à un homme pour ne pas ressembler à mon agresseur.»
L’étudiant·e s’est alors retrouvé·e dans un processus de détransition insidieux. «Petit à petit, j’ai arrêté de reprendre mes parents quand ils m’appelaient par mon dead name [prénom assigné à la naissance, ndlr], puis j’ai moi-même arrêté de me genrer au masculin. C’est un peu comme un retour au placard.» Samaël aimerait retransitionner, mais plusieurs choses l’en dissuadent. «Il y a d’abord la lourdeur des démarches administratives, pour changer de prénom par exemple. Mais, surtout, je n’ai trouvé aucun modèle en dehors de la binarité auquel me référer.»
Selon une étude américaine, pour 82,5 % des personnes ayant effectué une détransition, au moins un facteur externe, comme la pression sociale ou familiale, est à l’origine du processus. (Florence Brochoire/Libération)
Camille (3), 26 ans et éducateur·rice spécialisé·e en région parisienne, a aussi ressenti le poids de la pression familiale. Il y a quatre ans, iel avait obtenu les documents nécessaires pour entamer une transition médicale, mais a «tout arrêté à cause de sa famille». Ses parents, qui vivent en Grèce, avaient très mal accepté son coming out lesbien à l’adolescence et lui avaient fait subir une thérapie de conversion. «Je n’exclus pas de retransitionner, mais c’est encore trop compliqué.»
Comme Camille, ils sont nombreux à continuer de se considérer comme trans ou non-binaires. C’est le cas de Nao, qui ne voit pas du tout cela comme un «retour en arrière». «Je n’ai jamais été un mec cisgenre, insiste-t-il. Il fallait que je passe par là pour construire ma propre masculinité.»
«Consentement libre et éclairé»
Gwen (3) partage ce point de vue. L’étudiant·e montpelliérain·e de 20 ans a fait une transition sociale FtM en 2018, avant de détransitionner quelques années plus tard : «Ce parcours m’a permis de comprendre que j’étais en fait non-binaire et lesbienne.» «Certaines personnes ne supportent pas l’idée qu’il existe des corps qui sortent de la norme, regrette Gwen. Si j’avais fait une torsoplastie, et que je m’identifiais comme une femme, cela ne me poserait pas plus de problème que ça.» Une façon de dire que ce processus n’est jamais binaire, que les corps trans sont multiples et qu’ils s’affirment en dehors des frontières du genre.
C’est en tout cas la position de la majorité des cliniciens qui suivent des enfants et des adolescents trans ou en questionnement. «A la Pitié-Salpêtrière, nous expliquons aux jeunes qu’il n’existe pas une seule manière de transitionner», certifie Agnès Condat. Et de compléter : «Nous respectons in fine la décision des jeunes, mais cela intervient après une information complète des parents et du jeune et une évaluation de l’aptitude de ce dernier à donner un consentement libre et éclairé en fonction de son développement.»
Dans ce contexte, et pour harmoniser les pratiques sur le territoire, la Haute Autorité de santé (HAS) devrait formuler des recommandations en milieu d’année prochaine, sur la base d’un rapport remis en janvier 2022 au ministère de la Santé. Le but : garantir un cadre légal de prise en charge des personnes trans et sécuriser la pratique des professionnels. «On est quotidiennement insultés et discriminés, soupire Agnès Condat. Quand on écrit qu’on fait de «l’expérimentation médicale» sur les enfants, c’est difficile à vivre pour nous et surtout pour les enfants et adolescents que nous suivons, ainsi que leurs familles», alors que «toutes les décisions sont réfléchies en réunions de concertation pluridisciplinaires». Les nouvelles recommandations «devraient permettre de travailler plus sereinement», indique Agnès Condat."
(1) The 2015 U.S. Transgender Survey de James, S. E., Herman, J. L., Rankin, S., Keisling, M., Mottet, L., & Anafi, M. (2016). (2) Selon le rapport relatif à la santé et aux parcours de soins des personnes trans, remis à Olivier Véran en janvier 2022, 9000 personnes étaient bénéficiaires de l’ALD (affection longue durée) au titre d’un diagnostic de transidentité ou dysphorie de genre en 2020, dont 3 300 admises dans l’année (soit 10 fois plus d’admissions qu’en 2013). (3) Les prénoms ont été modifiés.
22 notes · View notes
gfxced · 2 years
Text
Rien ne va jamais vraiment.
Surtout pas avec un gamin sur le spectre. Je sens mes frustrations de toujours, que d’ordinaire je peux brosser sur le côté, peser de plus en plus lourd. Parce qu’il n’y a pas de réel espace de recharge pour me batteries. Il n’y a que de la survie. Du vivotage.
Aujourd’hui, je dépose madame au centre commercial et je me mets à scouter en bagnole (avec les deux petiots) des endroits que je ne connais pas, histoire de me dire que si un jour je choppe un moment de libre, je peux exploiter l’un d’entre-eux (mais ça j’y crois pas trop de toute façon).
Tumblr media
Après 45 minutes, avec pleurs du grand (TSA) à chaque fois que j’ouvre ma porte pour sortir et faire 5 mètres pour faire une image, je me dis, fort optimiste, qu’on va tenter une petite marche au bord d’un lac.
Même pas 5 minutes après être sorti, le grand fait du stimming à plein tubes, essaye de faire courir sa soeur et n’écoute pas quand je lui demande inlassablement de marcher, d’aller doucement. Evidemment, il trébuche, s’errafle le genou en plusieurs endroits et se mord la lèvre / cogne la bouche au sol en tombant.
Je le ramasse, et je ne peux pas retenir plusieurs variations de “ben voilà je l’avais dit” sur un ton quelque peu exaspéré. Shame moi tant que tu veux, être parent de gosse ASD c’est pas une promenade de santé. J’adore le gamin mais si je pouvais sacrifier une chèvre dans un ritual neo-pagan pour qu’il soit moins clairement ND je le ferais sans hésiter (pour son confort comme pour le mien).
Bon, je me calme avant de le calmer, mais je cours aussi derrière numéro deux, qui elle a 2 ans et demi et est en plein terrible twos, et qui est la soeur de l’autre en sus (donc -1 c’est une agitée aussi -2 la pauvre elle passe tout le temps après le grand et ses spécificités envahissantes).
Je dépose mademoiselle à la place du mort, et je tape le grand dans le coffre, là où je garde la trousse de secours de décathlon. J’inspecte la bouche, il s’est juste un peu mordu les lèvres et égratiné les gencives. Pas de casse, pas de plaie béante. Je le rassure en lui disant que ses dents n’ont rien, c’est plus pour qu’il m’entende rassurant que pour l’information en elle-même parce que ça, ça percute moyen. Il est trop ailleurs que pour avoir des préoccupation si pointues à propos de lui-même (en l’absence de sensations étranges et inconfortables). Sinon il se remet vite et ne pleure pas trop. Le petit gars il ignore sa douleur pas mal. C’est un des aspects de son TSA.
Tumblr media
Une fois que tout est calmé, je choppe numéro deux et putaing... le lange retient à peine ce qu’elle y a déposé pendant que je m’occupais du grand. Presque catastrophe bis.
Résultat, je remets tout le monde sur pattes, puis évidemment on va pas se promener après ça, donc on rembarque et moi avec mes trois appareils photos et mon vain espoir de trouver un moment de liberté, même entouré des miens, j’avais l’air fin.
Tumblr media
J’ai vraiment pas l’impression d’être en vacances. On va au chalet en montagne la semaine prochaine, et bordel de cul j’ai intérêt à y trouver (du temps pour y trouver) mon compte...
10 notes · View notes
rewindthetimee · 1 year
Text
ÉCHEC ET MAT—L’Hymne du Tueur chapitre 1
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Hôpital, espace commun
Tumblr media
Eichi: … ~♪
Tsumugi: Tu es de bonne humeur aujourd’hui, Eichi-kun ♪
Eichi: Hm ? Ah, um… Qui êtes-vous ?
Tsumugi: Hein ?! Comment peux-tu m’oublier comme ça si facilement ! C’est Aoba de ta classe !
Eichi: Ah... je me souviens maintenant, Tsumugi Aoba-kun. Un nom simple mais chantant. J’ai un nom assez extravagant, alors je suis un peu jaloux.
Tsumugi: Ha ha ! C’est vrai, ça fait un peu... Tenshouin ! Eichi ! Comme le nom d’un général samuraï Sengoku !
Eichi: Fu fu. Si j’étais né durant la période Sengoku, je serais sans doute mort au bout de quelques jours. Les forts piétinnent les faibles, tel est le principe immuable de l’ordre naturel.
Heureusement, ce n’est pas le cas dans notre société actuelle, alors je survis tant bien que mal… et peux ainsi régner sous les cieux en toute sérénité.[1]
… Mais je m’égare, qu’est-ce que tu viens faire ici ?
Tsumugi: Ah, attends un instant ! Tu viens de me jeter tout un tas d’infos compliquées au visage. J’arrive plus à suivre !
Eichi: On me le dit souvent. Ça ne fait rien, tu n’as nul besoin de te forcer à répondre.
Si tu hoches la tête et te contente d’acquieser à tout ce que l’on te dit sans même en comprendre le sens, la plupart des gens ne te le reprocherait pas.
Tsumugi: Mh… mais c’est assez triste comme point de vue. Si possible, j’aimerais pouvoir comprendre tout ce que mon interlocuteur me raconte !
Eichi: Je ne te pense pas capable d’une telle chose. Non pas que je sous-estime tes capacités intellectuelles, mais l’entente mutuelle entre deux êtres humains est un fait illusoire.
Si tu es en quête d’une interaction sociale fonctionelle et réaliste, tu auras l’air d’un idiot.
Mais je trouve tes efforts louables. Après tout ce ne sont pas de simples mots, ou des compliments faits dans le vent...
Non, toi tu essayes de me comprendre vraiment. Peu de gens essayent d’accomplir un tel exploit. Ha ha, pour cela tu as toute mon attention et plus encore~♪
Tsumugi: Ça me fait chaud au cœur d’entendre ça ! Je serai plus qu’heureux de me lier d’amité avec toi. Après tout, nous sommes camarades de classe depuis le début du printemps~♪
Eichi: Effectivement. J’étais cloué au lit durant l’entièreté de l’année dernière, venir en cours était impossible. Et je recouvre mes forces depuis, doucement mais sûrement…
À partir de cette année-ci, j’espère bien vivre une vie normale d’adolescent insouciant et en bonne santé.
Pour tout te dire, j’ai très hâte. Il y a énormément de choses auxquelles je souhaite m’atteler.
Mes connaissances en ce qui concerne la vie mondaine sont limitées, alors je ne serais pas contre l’idée que tu m’apprennes deux ou trois choses... Aoba-kun~♪
Tsumugi: Ah, tu peux juste m’appeler ‘Tsumugi’, ça me va aussi ! On se tutoie déjà, alors ce serait plus logique~! De toutes façons, je n’aime pas vraiment être appelé par mon nom de famille~♪
Eichi: À vrai dire, moi non plus. Est-ce que tu es du genre à ne pas bien t’accorder avec tes parents ?
Quand on renie sa lignée, il est naturel de ne plus vouloir s’associer à eux de par leur nom…
Tsumugi: Euh, non pas du tout, je n’ai pas de problèmes avec mes parents !
Enfin, je dis ça mais mon affection pour eux n’est pas toujours réciproque! Mais je ne leur en veux pas, c’est le prix a payer pour être venu au monde !
C’est juste que, quand on m’appelle ‘Aoba-san’, ça sonne presque comme ‘obasan’ et ça me fait me sentir vieux.[2]
Il y a longtemps, j’ai été harcelé et moqué à cause de ça.
Eichi: On dirait que cela ne t’a pas marqué tant que ça. Tu es vraiment un être étrange… je m’en souviendrai, Tsumugi.
Tsumugi: Ok ! D’ailleurs tant que j’y pense, je suis le délégué de notre classe... alors, si jamais tu as un souci, n’hésite pas à demander !
Notre professeur principal m’a aussi demandé de garder un œil sur toi.
Alors j’ai ramené des résumés de nos cours que j’ai compilé jusqu’à présent.
Toutes les notes sont là, même celles qui étaient écrites au tableau. Utilise-les à bon escient~♪
Eichi: Je te remercie. Woah, ces notes ont vraiment été prises avec assiduité...
Tsumugi: L’assiduité doit bien être mon seul point fort ! Désolé, mes pattes de mouche ne doivent pas être très faciles à lire...
Et puis je ne savais pas quelles informations prendre et quelles informations laisser, alors j’ai fait un fourre-tout de tout ce que le prof disait.
J’ai aussi fait quelques recherches personnelles pour compléter les parties non approfondies.
Eichi: Tu parles d’un effort inutile. La plupart de ces sujets, je les connais déjà par cœur...
Mais je trouve que ces notes sur les commérages des autres étudiants de la classe rend le tout beaucoup plus intéressant. Ces informations pourraient s’avérer être très utiles...
Elles seront d’une grande aide, merci Tsumugi.
Revenons-en à nos moutons. Tu es venu ici en tant que délégué, pas en tant qu’ami… Ai-je tort ?
Ça fait longtemps que ce n'est pas arrivé, ha ha.♪
Comme j’alterne entre l’école et l’hôpital depuis mon enfance, la grande majorité de mes visiteurs s’est rapidement lassée de ma compagnie...
J’ai ordonné à mes serviteurs de ne laisser personne entrer dans ma chambre d’hôpital, mais...
Il y a peu, on m’a déplacé dans cet espace commun… Il sera difficile d’essayer de contrôler ceux qui y entrent et ceux qui en sortent.
Après tout, il y a des visiteurs pour d’autres patients aussi.
Tsumugi: Ha ha. J’ai l’habitude d’être ignoré ou complètement écarté d’une conversation ! Sûrement parce que j’ai une faible présence...
Eichi: C’est vrai ? Ça doit te compliquer la tâche en tant qu’idole. (tousse, tousse)
Tsumugi: Ah, est-ce que ça va ? Désolé, je suis une vraie pipelette ! Tu devrais faire attention et garder tes forces. Je peux m’en aller si tu veux, d’accord ?
Encore désolé. On se verra bientôt en cours j’espère, Eichi-kun.
Mais prends autant de temps qu’il te faudra… Je ferais n’importe quoi pour aider, alors, si tu désires quelque chose, fais-le moi savoir.
Eichi: J'y compte bien. Merci beaucoup, "Oiseau Bleu du Bonheur".♪[3]
Tsumugi: Hein ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Excuse-moi, je comprends vraiment pas !
Eichi: ‘Ao’ veut dire bleu en japonais, et le son ‘ba’ fait penser à ‘bird’, oiseau en anglais...
Vu que ta relation avec ton nom de famille est compliquée, j’ai essayé de le réinterpréter pour le rendre plus plaisant à entendre. Prends ça comme un cadeau… oui, un cadeau pour ta visite et ta générosité.
Faisons en sorte que nos prochaines rencontres soient toutes aussi fructueuses, Tsumugi. … J’insiste, je souhaite que tu deviennes mon ami et mon allié.
Correction FR : Yunaël
Traduction anglaise : royalquintet
Eichi fait référence à la période Sengoku/les États Bélligérants —天下 (tenka). Ce terme veut à peu près dire : “tout ce qui est sous les cieux”. Ce terme étant autrefois utilisé pour suggérer une ascension au pouvoir, j’ai donc associé les deux, d’où : “régner sous les cieux”.
‘Obasan’ veut littéralement dire ‘tata/tante’ en français, et ce terme est généralement utilisé pour décrire des femmes matures (pas nécessairement de sa propre famille, ce qui est chose courante dans la plupart des pays asiatiques).
“L’Oiseau Bleu” est un conte populaire écrit par Madame d’Aulnoy, et fait partie de son recueil de contes Tales of the fairies. Plus précisément, “l’oiseau bleu du bonheur” provient du folklore lorrain. C’est aussi une espèce d’oiseau qui symbolise la bonne fortune, l’espoir et le bonheur.
3 notes · View notes
horizon-septentrion · 2 years
Text
Le plus grand défi de ce voyage sera de prendre en compte mon état de santé et les limites qui en découlent. En un jour de grosse fatigue comme aujourd'hui, je doute de pouvoir y parvenir.
Comme cela va certainement se produire au long du trajet, je dois faire en sorte de pouvoir me reposer où que je sois et quel que soit le temps : autrement dit, transformer ma voiture en un abri temporaire si je suis loin de tout, qu'il pleut ou neige, que le camping est complet, etc, et que j'ai besoin de deux jours pour recharger les batteries. S'il sera facile, au Danemark et dans le sud de la Suède, de trouver où me poser avec tout le confort moderne, les espaces se font sauvages une fois le cercle polaire franchi et l'océan s'approchant.
Je vais donc retirer les sièges arrière afin d'embarquer un maximum de matériel tout en gardant une place où dormir. Je vais me faire un stock de nourriture sèche (biscuits, barres de céréales, ...) et je m'assurerai d'avoir en permanence deux cubis d'eau pleins. Et quelques livres.
Évidemment, le mieux est d'anticiper : ne pas attendre l'épuisement pour m'arrêter. Les lacs sont légion dans le grand nord. L'idéal serait un bivouac de quelques jours près de l'eau dès que le besoin s'en fera sentir.
2 notes · View notes
quoidenouveau · 12 days
Text
Séance #14 — Trop sur les réseaux, fais attention à ton coco!
Chers lecteurs,
Les réseaux sociaux nous apportent plusieurs bienfaits : divertissement, cercle social, espace de partage, information. Toutefois, les inconvénients sont nombreux. On a qu’à penser à la comparaison, la cyberintimidation, l’anxiété, la solitude, la dépendance ou même la crainte de rater quelque chose (FOMO). On en retire un grand questionnement par rapport aux réseaux sociaux : leurs inconvénients deviennent-ils plus importants que leurs bienfaits ?
Selon moi, oui.
Il suffit d’observer notre propre utilisation. Sommes-nous réellement heureux, rivés sur nos écrans ? Je crois qu’il est important de garder un équilibre dans notre usage des réseaux sociaux. Pour ma part, depuis l’arrivée de l’application TikTok, je vois une grande différence dans mon quotidien. Ce réseau social est très addictif. Il est très facile de faire défiler les vidéos pendant des heures sans s’en rendre compte. Je pense sincèrement que de ne pas utiliser cette application, ou du moins contrôler son usage serait bénéfique sur ma productivité et, ultimement, sur ma santé mentale. 
Une étude publiée par le journal Technology Mind and Behavior et rapportée dans un article de La Presse a démontré que réduire le temps de consommation des réseaux sociaux est responsable du bien-être psychologique des jeunes. Les participants ont limité leur utilisation des réseaux à une trentaine de minutes par jour. Ils ont ensuite eu des résultats plus positifs sur des tests d’anxiété, de dépression, de solitude et de crainte de manquer quelque chose que sur ceux faits avant la réduction du temps d’utilisation (Legault, 2023). 
Ce qui est le plus difficile c’est d’agir. Voici quelques trucs pour aider à restreindre notre temps sur les réseaux :
Mettre une limite de temps par application via les réglages du cellulaire
Se mettre en mode « Ne pas déranger » ou désactiver les notifications
Évaluer la quantité de temps passé sur les médias sociaux chaque jour
Le meilleur truc : avoir la volonté de le faire pour sa santé mentale (!!!)
Je pense que nous sommes tous conscients de notre surutilisation des réseaux sociaux. Alors, pourquoi ne changeons-nous pas nos habitudes ? J’espère que ce billet vous aura motivé à changer vos habitudes autant que moi. Sur ce, je ferme mon ordinateur !
À bientôt !
Bibliographie
Legault, J-B. (2023, 15 juin). Moins de réseaux sociaux, meilleure santé mentale. La Presse. https://www.lapresse.ca/societe/2023-06-15/etude/moins-de-reseaux-sociaux-meilleure-sante-mentale.php
Réseaux sociaux, comment tisser sa toile et préserver sa santé mentale? (2023, 10 octobre). Minds. https://www.minds-ge.ch/ressources/reseaux-sociaux-comment-tisser-sa-toile-et-preserver-sa-sante-mentale
0 notes
toutmontbeliard-com · 21 days
Text
L'alliance "Stars EU" apporte à l'Université de Franche-Comté un rayonnement européen
Tumblr media
La conférence annuelle de l’alliance européenne "Stars EU" s’est déroulée à Besançon les 21 et 22 mars 2024. Elle a réuni les neuf établissements d’enseignement supérieur membres de l’Alliance. Au total, ce sont près de 200 personnes de neuf pays d’Europe qui se sont rassemblées. Stars EU, une alliance européenne inédite L'alliance Stars EU apporte à l'Université de Franche-Comté un rayonnement européen propice à la mobilité étudiante et aux progrès de la recherche. L’Université de Franche-Comté a rejoint l’alliance stratégique pour les transitions régionales Stars EU en octobre 2022. Stars EU rassemble neuf établissements d’enseignement supérieur en Europe qui partagent les mêmes valeurs européennes et le même dessein : accompagner les transitions en région et construire des universités sans frontière pour que l’enseignement supérieur et la recherche européenne s’ouvrent au monde et deviennent plus responsables. Stars EU représente plus de 150 000 étudiants. Elle regroupe Hanze University of Applied Sciences (Pays Bas), Polytechnic Institute of Braganca (Portugal), Bremen University of Applied Sciences (Allemagne), University of La Laguna (Espagne), Silesian University in Opava (République Tchèque), Cracow University of Technology (Pologne), University West (Suède), Aleksandër Moisiu University (Albanie) et l’université de Franche-Comté (France). L’Alliance réunit les personnels académiques de différentes disciplines et universités au sein de Groupes d’Intérêt Thématiques (économie circulaire, transition numérique, transition énergétique, vieillir en bonne santé, entrepreneuriat et innovation, arts et industries créatives, villes et territoires durables). Les acteurs régionaux publics et privés sont associés au développement des programmes de recherche et de l’offre de formation, afin d’accompagner les transitions en région. Une conférence annuelle placée sous le signe de l’innovation et de l’internationalisation Lors de son discours d’ouverture, Macha Woronoff, Présidente de l’Université de Franche-Comté, a insisté sur les enjeux de la création de l’Alliance : "Stars EU, notre alliance européenne, incarne ces valeurs d'ouverture, de collaboration et d'innovation. Créée en 2019 sous l’impulsion de l'Université Hanze University of Applied Sciences aux Pays-Bas et de mon homologue Dick Pouwels, cette alliance nous réunit, nous, neuf universités européennes partageant la même vision d'un avenir durable pour l'Europe et le monde. Depuis sa création, Stars EU n'a cessé de croître et de se renforcer, tissant de nouvelles collaborations et développant des outils innovants au service de l'éducation et de la recherche". Elle a par ailleurs cité des exemples de réussite "La commission européenne, que nous remercions pour son soutien, ne s’y est pas trompée, et a récompensé notre travail commun dans le cadre de l’appel à projet Erasmus + aux Universités européennes. Et les résultats sont là : de nombreux Blended intensive programmes déjà en cours, une dizaine de projets de recherche soutenus - et tant d’autres en préparation ! -, les premières briques d’un espace numérique commun posés, le conseil consultatif international prochainement installé, les premières mobilités étudiantes déjà en cours, des initiatives d’innovation pédagogique qui impliquent bon nombre de nos enseignants, et tant d’autres actions en préparation notamment en lien avec nos territoires et leurs acteurs socio-économiques. Tous ces résultats sont d’une valeur capitale et nous projettent dans l’avenir. Car Stars EU n’est pas un projet, c’est une vision sur le long terme que nous portons collectivement", Macha Woronoff, Présidente de l’Université de Franche-Comté. Read the full article
0 notes
Text
FERTILITÉ ET HYPNOSE ? Hypnose DCS unique au monde
🌿💫 Si vous recherchez une approche naturelle et complémentaire pour relever les défis liés à la fertilité, l'hypnose réelle et professionnelle pourrait être une ressource précieuse sur votre chemin vers la grossesse.
La recherche scientifique suggère que l’hypnose peut aider à réduire le stress, à améliorer le bien-être émotionnel et à favoriser la fertilité de manière douce et efficace. 🌸✨
Voici les déclarations officielles de 3 personnalités célèbres qui ont publiquement partagé les bienfaits de l’hypnose pour améliorer la fertilité :
1️⃣ Beyoncé : "L'hypnose a été une partie importante de mon parcours vers la maternité. Elle m'a aidée à me détendre, à réduire le stress et à créer un espace intérieur propice à la conception."
2️⃣ Chrissy Teigen : "L'hypnose a été une ressource précieuse dans mon parcours de fertilité. Elle m'a permis de me connecter avec mon énergie vitale et de relever les défis de manière plus équilibrée et positive."
3️⃣ Hugh Jackman : "L'hypnose a eu un impact significatif sur ma fertilité. Elle m'a aidée à maintenir un état d'esprit optimiste et à soutenir ma santé mentale tout au long de mon parcours vers la parentalité."
Si vous recherchez également un accompagnement intégratif pour améliorer la fertilité et réaliser votre rêve de devenir parent, considérez l’hypnose comme une ressource possible.
Consultez un hypnothérapeute expert et commencez votre voyage vers une conception plus harmonieuse et consciente. 🌟🤰
Si vous n'avez pas envie de vous promener dans les chapelles, téléchargez cet audio DCS unique au monde :
VOUS POUVEZ AVOIR UN ENFANT
https://claudiosaracino.com/prodotti/tu-puoi-avere-un-figlio-metodo-dcs/
#hypnose #fertilité #bien-être #santé #célébrités #concevoir #conception #stérilité #maman #fils #parent #couple #hypnosidcs #methodcs #drclaudiosaracino
Tumblr media
0 notes
tosante · 13 days
Text
Plus de 300 éditeurs visent le référencement au catalogue de Mon espace santé (DNS)
PARIS (TICsanté) - Exactement 303 éditeurs sont "inscrits dans la démarche et engagés à rejoindre le catalogue de services de Mon espace santé", a fait savoir la délégation au numérique en santé (DNS) par communiqué à la mi-mars.
0 notes
zehub · 2 months
Text
"Mon espace santé" : cette option par défaut qui risque de faire fuiter vos données médicales –
Le gouvernement a opté pour la création et le partage par défaut de ce carnet de santé numérique. Une stratégie à l’opposé des standards, qui pose des questions sur la protection de nos données.
0 notes
ecrivonsdemain · 3 months
Text
SÉANCE # 5 – AU-DELÀ DE L’ÉCRAN : LES MULTIPLES FACETTES DE LA SOCIABILITÉ EN LIGNE
Chers internautes, 
L’ère numérique dans laquelle nous vivons est de plus en plus connectée et nos échanges sociaux se déclinent sur une multitude de plateformes en ligne. Chaque espace numérique offre un éventail unique de possibilités pour interagir avec les autres utilisateurs. Dans cet article, nous explorerons l’impact des réseaux sociaux sur la sociabilité en ligne de la génération Z, puisqu’ils jouent un rôle central dans leur quotidien.
Découvrons ensemble les plateformes les plus utilisées de la génération Z et étudions ce qui les rend populaires pour cette jeune audience. Pour commencer, selon une étude effectuée par Diplomeo en collaboration avec BDM, Instagram, Snapchat et TikTok restent les réseaux sociaux favoris des jeunes de la génération Z (Appoline Reisacher, 2023). En effet, leurs fonctionnalités visuelles, leurs interactions spontanées et leur contenu créatifs offrant une expérience sociale et esthétique aux usagers, leur permettent d’être populaires (Appoline Reisacher, 2023). 
La surutilisation des réseaux sociaux peut avoir de nombreuses conséquences sur le bien-être mental et émotionnel auprès de la génération Z. Selon la même étude, passer de longues heures en ligne peut contribuer à l’anxiété et à l’isolement social auprès des utilisateurs. La comparaison constante avec les autres, vient inciter les jeunes à s’autoétablir une pression afin de maintenir une image parfaite (Appoline Reisacher, 2023). Ce sont des facteurs qui peuvent affecter la santé mentale des utilisateurs des réseaux sociaux. Dans mon expérience personnelle, je constate qu’il m’arrive parfois de comparer ma vie à celle de personnes influentes, ce qui peut parfois générer des sentiments de doute et d’insécurité. La surutilisation des réseaux peut affecter la qualité des interactions sociales en ligne. La pression de vouloir maintenir une belle image et la comparaison constante avec les autres peuvent compromettre la capacité des jeunes à établir des relations authentiques, favorisant ainsi l’anxiété. 
Bref, les réseaux sociaux influent sur la sociabilité en ligne de la génération Z, offrant des possibilités d’interaction et de connexion tout en ayant des répercussions négatives sur leur bien-être mental et émotionnel.
Si vous ressentez des inquiétudes concernant vos habitudes de consommation de réseaux sociaux, n’hésitez pas à consulter des ressources spécialisées. 
À bientôt !  😊
Reisacher, A. (2023, 22 mai). Étude : comment la Gen Z utilise les réseaux sociaux en 2023. BDM. https://www.blogdumoderateur.com/etude-generation-z-reseaux-sociaux-2023/
1 note · View note
fitnessmith · 3 months
Text
Écarts alimentaires - cortisol - temps d'écran
NOUVEAU PODCAST EN LIGNE : Écarts alimentaires - cortisol - temps d'écran Lien en bio @fitnessmith ou sur mon site.
Dans ce podcast, nous allons parler de comment réduire les écrans sans forcer, surmonter les écarts alimentaires et de cortisol. Nouveau ! Comment équilibrer les glucides pour la santé mentale sans sacrifier la perte de poids Rejoignez notre espace VIP et sculptez votre corps et votre esprit grâce à des programmes exclusifs, des sujets avant-gardistes et un soutien constant pour une…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
christophe76460 · 3 months
Text
Tumblr media
DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
Vendredi 12 janvier 2024
THÈME : FAIRE LES CHOSES DIFFÉREMMENT (𝟒)
BIBLE EN UN AN : Genèse 34, Genèse 35, Genèse 36, Marc 6, Marc 7, Marc 8.
ÉCRITURE DE FEU : 3 Jean 3 : 1-6
VERSET DE MÉMOIRE :
Matthieu 6:33 - "Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus."
CITATIONS INSPIRANTES :
Santé est la richesse. Faites de votre bien-être une priorité!
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR:
Recevez l'onction pour jouir de la santé divine et prospérer dans votre esprit, votre âme et votre corps, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Aujourd'hui, nous terminerons notre message sur la façon de faire les choses différemment et de passer une bonne année. Bien-aimé(e), vous ne devez pas négliger votre santé et votre bien-être. Vous en avez besoin pour profiter de votre mariage, de vos finances, de votre ministère, etc. Quand avez-vous fait un examen médical pour la dernière fois ? L’automédication et les mauvaises habitudes alimentaires doivent cesser. Peu importe à quel point vous êtes occupé, créez un espace pour faire de l'exercice. Trouvez le temps de faire du jogging ou de marcher. Vous avez besoin d’au moins 6 à 8 heures de sommeil réparateur. Quoi qu'il en soit, obtenez-le. Évitez de recourir à des médicaments somnifères pour dormir. Obtenez une aide spirituelle et médicale pour vaincre l’insomnie. Évitez le stress, l’inquiétude et l’anxiété. Assurez-vous d’atteindre l’équilibre travail-vie personnelle. Partez en vacances chaque année et dépensez-les judicieusement pour vous reposer afin de retourner au travail vraiment rafraîchi.
Je vous conseille d'éviter également le surmenage et le stress. Concentrez-vous sur l’atteinte du bien-être physique, émotionnel, spirituel et mental. Votre corps, votre âme et votre esprit doivent être en bonne forme pour que vous puissiez performer de manière optimale dans votre carrière, vos affaires et votre ministère. La Bible dit : «Bien-aimé, je souhaite tout que tu prospères à tous égards et que tu sois en bonne santé, comme prospère l'état de ton âme (3 Jean 2).
De plus, adoptez le développement personnel et faites de cette année une priorité de produire une meilleure version de vous-même avec l’aide du Saint-Esprit. Cela demandera de la sagesse, de l’autodiscipline, de la détermination, de la planification et l’établissement d’objectifs, etc. Je vous conseille de mettre Dieu en premier dans toutes vos affaires. Faites de Jésus votre Seigneur et Sauveur et servez-le de tout cœur. Cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice et tout le reste vous sera donné par dessus (Matthieu 6 :33).
Soyez très organisé cette année et utilisez votre temps à bon escient. Le temps est la monnaie de la vie. Participez à des activités qui amélioreront votre vie et votre destin et vous aideront à passer votre éternité au paradis. Trouvez un mentor pieux et qui possède le genre de valeurs dont vous êtes fier. Les bons mentors sont souvent une grande bénédiction dans la vie de leurs mentorés. Enfin, donnez généreusement à Dieu et redonnez à la société. Le Seigneur vous aidera. au nom de Jesus.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Je revendique la santé divine et le bien-être complet, au nom de Jésus.
2. Je surmonte le stress, l'inquiétude et l'anxiété, au nom de Jésus.
3. Je reçois la touche réconfortante et rafraîchissante du Saint-Esprit, au nom de Jésus.
SOIR
4. Cette année, je donnerai la priorité à mon développement personnel, au nom de Jésus.
5. Je reçois la grâce de me réinventer, au nom de Jésus.
6. Père, donne-moi la sagesse de diriger ma vie conformément à Ta volonté et de réussir, au nom de Jésus.
7. Père, donne-moi un glorieux changement, par le feu, au nom de Jésus.
0 notes