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#ambiguïté
information-2-0 · 8 months
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dandanjean · 1 year
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Le milieu
Entre les jeux de lumière et d’obscurité, entre le bien et le mal, entre la vérité et le mensonge, il y a toutes les nuances qu’offre la vie. Et si la quête de l’un de ces extrêmes illustrait le paradoxe de notre monde ? Rien ne peut être perçu avec la même perspective par tous, car nous avons tous une singularité par notre position unique qui fait en sorte que notre représentation du monde n’a…
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pustoyy · 3 months
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cocufieurversaillais · 7 months
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Je pense qu'il n'y a aucune ambiguïté 😈
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Nous sommes tous notre propre livre. 📚
Exister signifie faire partie d'une toile magique où nous nous transformons en auteurs d'un fil argumentaire qui se déroule et s'écrit chaque jour.
Nous avons la faculté de nous réécrire, de prendre conscience de nos équivoques, d'effacer nos masques et ambiguïtés, de souligner notre identité et même d'arracher ces pages qui ne nous servent plus et qui donnent un poids inutile au roman de notre vie.
Souvenons-nous qu'il faut aussi laisser des pages blanches à la fin, là où se trouve toujours la possibilité de nouveaux chapitres : de nouveaux départs, de nouvelles expériences, de nouveaux amis, de nouveaux projets, de nouveaux endroits, de nouveaux chemins...
Au fur et à mesure que nous vieillissons et que nous mûrissons, nous nous rendons compte d'une chose très importante : les nouveaux départs sont une façon de nous maintenir à la vie, et surtout, de goûter à un bonheur plus réel, plus tangible et plus adapté à nos besoins.
Rassemblons donc tout notre courage pour écrire le livre que nous voulons, celui auquel nous nous identifions en quête d'émerveillement et d'authenticité.
A chacun(e) d'écrire le livre de sa vie.
Valéria Sabater
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mel-et-ses-histoires · 4 months
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J'ai a la fois tres envie et tres pas le temps de vous parler de films et séries.
On va faire court en attendant que le metier de medecin laisse plus de temps libre ( loool)
Donc Barbie c'est tres bien, c'est intelligent, c'est joli, c'est d'autant plus intéressant que le film se veux tres frontal dans ses propos, sans ambiguïté.
John Wick 4 c'est tres bien, c'est intelligent, c'est tres tres joli, ca se voit qu'ils ont collés 2 films en 1. Le film se tappe au calme une reference a Laurence d'Arabie à son ouverture en mode "voila comment je m'evalue moi même".
Cyberpunk edgerunner c'est tres bien, c'est intelligent, c'est joli, pourquoi faut il rappeler aussi souvent que la sf ça peut etre genial ? Pourquoi ça donne envie de remplacer ses membres par des protheses bioniques et de faire l'amour a des robots ?
Rebel moon partie 1, ca se regarde tres bien, le moins Zack Snyder des films Zack Snyder, je ne comprends absolument pas pourquoi les gens comparent le film a Star wars episode 1 ( alors que si vous voulez faire des comparaisons vous auriez pu parler debcopier coller avec la licence Warhammer)
Gloutons et dragons, diffusion en cours. C'est choupichoux tout plein, ca casse pas trois pattes a un canard mais c'est innocent (le pitch "viens je suis sure que t'es pas cap de faire une serie Top chef dans donjons et dragons).
La suite j'ai oublié mais ça me reviendra.
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losttranslator · 1 year
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Le bail du Graal dans Kaamelott me FASCINE you don't even know. C'est une forme de paganisme tellement méga poussée et pourtant les persos se considèrent christianisés. C'est trop intéressant pcq en plus, le syncrétisme bizarre présenté dans la série n'est même pas historique (mais alors PAS DU TOUT).
J'explique : le concept du Graal dans Kaamelott, c'est que cet objet est supposé être "la lumière pour tous les peuples," qui va apporter la vie éternelle et le salut aux hommes right? Càd les attributs de Jésus dans les évangiles; attributs qui lui sont exclusivement propres.
Ptit récap aux oignons pour ceux qui connaissent pas :
"En [Jésus] nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce." (Ephésiens 1:7)
"Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie." (Jean 8:12)
"Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes." (Jean 1:4)
"Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous." (1 Timothée 2:5-6)
"Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier." (1 Jean 2:2)
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Jean 3:16)
"Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main." (Jean 10:27-28)
On voit bien que 1) tout ça, c'est exactement comment les persos parlent du Graal, donc comme si c'était Jésus lui-même, et 2) y a rien dans le texte biblique qui permette que ces caractéristiques de Jésus soient conférées à un objet. Mais c'est intéressant pcq le sacrifice de Jésus est souvent, par métonymie, appelé son sang (versé pour nous). D'où la déformation possible - si on venait à prendre 'sang' littéralement, d'un coup on aurait besoin d'être en présence physique du sang de Jésus pour être sauvé, plutôt que d'avoir foi en son sacrifice. Et du coup, puisque le sang ne peut pas exister par lui-même, il faudrait chercher l'object qui l'a contenu. Et du coup, l'objet devient l'objet de la quête.
(Sauf que cette coupe qui contient le sang de Jésus ? Spirituellement, c'est n'importe quelle coupe utilisée pour boire le vin de la sainte-cène, càd le pain et le vin partagés entre chrétiens en souvenir du sacrifice. Luc 22:19-20. Le rêve d'Arthur, où il s'imagine que Perceval paume le Graal dans les coupes de la taverne ? Bah c'est plus proche de la Bible finalement. Mais comme le Graal, c'est ramener sur le plan matériel des réalités qui le transcendent, ça devient le recipient de la première sainte-cène littéralement utilisé pour récolter le sang de Jésus.)
Et du coup cette quête c'est la chose la moins chrétienne qui soit pcq : - tu mets la grace universelle et sans limite du Dieu créateur dans un objet symbolique (définition de l'idolâtrie) - tu remplaces un salut surnaturel et transcendant qui réconcilie les humains avec le divin par un salut matériel basé sur l'adoration d'une chose terrestre (la foi spirituelle est replacée par la religion/les rites) - et tu prends un message clair et sans ambiguïté ('Jésus est mort et ressuscité pour le péché de ce monde, croyez et soyez sauvés') par une quête abstraite, apparemment impossible, 5 siècles après Jésus (donc personne n'a été sauvé entre temps, alors que sur la croix, Jésus a dit "tout est accompli").
Le Graal est flou, personne sait où il est, ce que c'est, s'il existe, même pas les dieux - ce qui est à l'opposé de Jésus, incarnation de la Parole (càd de la vérité/du sens/de la clarté). Rien dans le concept même du Graal ne colle avec la Bible. (Surtout pas l'interprétation d'Arthur, que Jésus est mort pour que tous soient coupables - pcq pour le coup oui, si la seule chose que sa mort donne à l'humanité c'est une Quête impossible pour le salut, Il a juste condamné tout le monde; sauf que c'est absolument pas ce qui est dit dans la Bible.)
D'où ça vient, alors ? Comment est-ce que cette croyance est apparue dans le monde de Kaamelott ?
Dans la vraie vie, l'apparition du Graal dans les légendes arthuriennes vient de fanfics de la mythologie celte mises à la sauce catho, mais ça s'est fait... au XIIème siècle !! (Plus exactement, le Graal lui-même est introduit au XIIème siècle, recyclé du concept irlandais du chaudron d'immortalité, et il n'est appelé une relique chrétienne qu'au XIIIème siècle.) Ce mélange est un énorme double retcon, en gros. Le Graal n'existait pas chez les celtes du 5ème siècle, ni en temps qu'objet de culte païen, ni en temps qu'objet païen adapté au christianisme.
Pareil avec le Saint-Suaire - la première fois qu'un texte quelconque en parle, c'est au XIVème siècle. (Fun fact : les clous, pas contre, y a des refs qui datent du 4ème siècle.)
Donc en gros, dans Kaamelott, les persos ont des croyances qui sont impossibles pour leur époque. Les anachronismes sont pas méga surprenants, vu par exemple la jeunesse d'Arthur dans une Rome des années 460 où le christianisme est à peu près aussi mainstream que le pastafarisme. Historiquement, Rome était officiellement 100% chrétienne depuis environ 140 ans. C'était plus Spartacus et Astérix.
Mais encore une fois, outre les anachronismes... le Graal vient d'où, dans Kaamelott ? Puisque dans la vraie vie, ce sont des chrétiens qui ont pompés des vieilles légendes celtes pour le créer, pas des celtes qui ont déformés leurs propres mythes quand leurs propres cultes existaient encore.
Pour moi, tout ce bazar justifie une interprétation clairement pas voulu par Astier - que 'in-universe,' on peut voir la Quête du Graal dans Kaamelott comme une invention par les dieux celtes non-sanctionné par le "Dieu unique," dans un pari désespéré pour que leurs cultes disparaissaient pas.
J'irais même jusqu'à dire qu'on peut défendre l'idée que Dieu est carrément contre et qu'Arthur a en fait deux destinées séparées : une avec Excalibur et le Graal, d'après les dieux celtes, suivant les lois et la morale celte, et une selon Dieu, avec la fidélité à Guenièvre notamment.
Pour étayer ça, y a le fait que la Dame du Lac - qui est très ouvertement celte, envoyée et porte-parole des dieux celtes - est une force moteur de la Quête du Graal sans jamais être capable d'expliquer pourquoi Dieu délègue. Y aussi que les ordonnances des dieux celtes, directement liées au succès de la quête, sont souvent à l'opposé exacte de la loi biblique (ex : Arthur commet une double faute en épousant Mevanwi et en l'épousant sans tuer Karadoc, alors que dans l'histoire de David, le plus grand des deux péchés n'est pas l'adultère mais le meurtre d'Uri, le mari de Bathshéba.)
Il y a bcp, bcp d'autres trucs, mais ce post est bcp trop long donc je détaillerai ça une autre fois.
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mmepastel · 5 months
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J’ai enfin vu ce film qui m’intriguait tant !
Difficile en effet de ne pas être au courant que ce film de Justine Triet a fait l’unanimité dans la critique, obtenu divers prix dont la glorieuse Palme d’Or à Cannes… la bande-annonce et cet air lancinant au piano, tout ça avait fait monter une forte curiosité et une forte attente également.
Quand j’ai vu la durée du film, 2h30, j’ai un peu soufflé, pff, pourquoi cette manie des films fleuves, maintenant que je suis pas mal habituée à regarder des séries, donc de courts épisodes… et puis, c’est la vérité vraie, ce sont 2h30 qui passent sans qu’on ne le sente, on est happé de bout en bout, on retient presque son souffle, il y a une tension tout du long qui fait qu’on est très attentif, suspendu au moindre, mot, silence, regard, plan, on ne veut rien rater du puzzle qui ne se reconstitue jamais totalement, ni même comme on s’y attend.
Premier atout donc, cette surprise constante, où tout paraît essentiel même si on est toujours légèrement frustré de ne pas avoir les révélations que l’on souhaite : la mère est-elle coupable oui ou non ? Le film déjoue nos attentes comme il déjoue les codes du film de procès en rompant avec une esthétique solennelle et lisse, et déplaçant le terreau du suspense.
Deuxième atout, c’est la liberté d’interprétation constante du spectateur, même si elle est vacillante, et sûrement un peu frustrante. Mais précisément, je crois que le film parle de ça justement. La vérité des faits existe mais ce n’est pas celle qui compte dans un procès, c’est plutôt celle que l’on conte -ce n’est pas un hasard que l’accusée soit autrice de fiction- les récits des uns et des autres qui se superposent à l’élément manquant de celle qui sait si elle a tué ou non (on n’a jamais accès à l’intériorité du personnage de l’accusée) ; discours où l’accusée est défavorisée par le langage, puisqu’on la somme de parler le français qu’elle maîtrise mal, étant native d’Allemagne et parlant anglais avec son mari et son fils. Somme de discours qui ne se superposent jamais bien et qui n’ont pas le même pouvoir de persuasion ou de séduction. Il y a le récit qui passionne le public mais aussi le récit que fait l’avocat de l’accusation qui excelle à prouver que Sandra n’est pas une jeune innocente comme ce serait bien pratique (pour sa défense) de paraître. Elle est la plus puissante du couple, elle est même bisexuelle (!), elle a même trompé son mari, elle s’occupe de sa carrière, elle écrit, elle sait ce qu’elle veut, tandis que son mari est comme empêché de l’égaler, il n’arrive pas à écrire, il se perd dans des projets (comme le dit Swann Arlaud dans le rôle de l’avocat de la defense, toujours aussi génial) qui n’aboutissent pas, et tourne donc à l’homme au foyer frustré, et vexé. Et si c’était cela que l’on reprochait à cette femme au fond ? Sa puissance (et son opacité -troublante Sandra Hüller-) ? N’est-ce pas cela qui la rend suspecte ? Thèse qui est hyper intéressante et ô combien moderne.
Enfin, évidemment, à travers la victime collatérale, l’enfant, Daniel, mal voyant mais peut-être extra-lucide, il y a cette beauté aussi suggérée dans le film, cette ambiguïté qui persiste : et si c’était lui qui décidait de tout ? Sans trancher entre l’explication rationnelle ou l’explication sentimentale, les deux possibilités demeurent. Les deux sont acceptables : soit il sait la vérité, il la comprend, soit il en décide, par amour. (Ce jeune acteur est assez extraordinaire.) Là aussi, c’est une thèse émouvante et remuante.
Un grand film sur le couple et le langage, les mots que l’on dit, ceux que l’on ne dit pas, ceux que l’autre entend, sur le pouvoir qu’ils recèlent, les fictions qu’ils permettent, qui sauvent ou qui coulent les « histoires » d’amour.
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borgien · 1 year
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il ne joue pas, sous son regard qui le mate, il désire être pris ainsi, dans cette ambiguïté qui le trouble...
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aurevoirmonty · 6 months
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"La Russie a affirmé sans ambiguïté son attachement aux valeurs traditionnelles tout en rejetant fermement le libéralisme occidental, y compris sa promotion de l'agenda des droits des homosexuels et d'autres normes idéologiques occidentales, que la Russie perçoit comme des aberrations et des déviations."
Alexandre Douguine, Geopolitika.ru (2023)
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information-2-0 · 8 months
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lepartidelamort · 2 months
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Macron est cliniquement aliéné
Macron a donc pris la parole pour vendre sa guerre à la Russie, puisque c’est bien de cela dont il s’agit.
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Je ne sais pas quel est le demeuré qui a eu cette idée absurde « d’ambiguïté stratégique » pour faire mousser ce type, mais le seul effet qu’il produise c’est de dévoiler Macron pour le sale embrouilleur qu’il est.
À partir du moment où l’encocaïné ne se fixe « aucune limite », il envisage la guerre pour sauver la mise de cet état mafieux en faillite qu’est l’Ukraine. Ça n’était pas sur la table officiellement il y a 4 semaines, à présent si. Il n’y a aucune « ambiguïté » là-dedans, au contraire, c’est une clarification.
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L’ennui, c’est que personne ne veut, ni ne voudra mourir pour le juif Zelensky.
Macron et sa clique devront passer en force, isolés.
Accessoirement, sans armée digne de ce nom.
Mais surtout, tout le monde sent bien que Macron ne sait pas ce qu’il fait. Il est de plus en plus enfermé dans son délire narcissique, sans aucune notion de ce qui l’entoure.
Nous avons face à nous un individu qui est psychiatriquement dérangé, entouré d’autres névrosés du même genre.
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S’il y a un avantage réel à la fuite en avant de cet aliéné, c’est bien d’avoir fait sortir du bois tous les bellicistes forcenés qui jusqu’à présent jouaient les mielleux sur les réseaux sociaux et les plateaux de télévision.
Ceux-là pensent que leur heure est venue. Dans leur univers mental, ils pensent vraiment pouvoir vaincre la Russie.
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Les réactions populaires sont universellement hostiles. Cela veut dire que Macron n’aura jamais d’adhésion significative pour cette guerre juive. La conséquence en est que, s’il peut entraîner la France dans ce désastre, très vite l’opinion se cristallisera contre le régime.
Exactement comme lors de la guerre franco-prussienne de 1870 où la défaite de Sedan a entraîné la chute de Napoléon III.
Beaucoup de gens veulent la chute de Macron, de son régime et de la bande au pouvoir qu’il représente.
En fait, en France, beaucoup plus de gens haïssent Macron que Vladimir Poutine. Et de loin.
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Une défaite majeure a toujours pour effet un changement de régime, cette fois-ci ne sera pas différente.
Dans l’absolu, cette guerre aura donc des effets vertueux, mais pas ceux escomptés par le pouvoir en place.
Tout dépend donc d’une défaite exemplaire. Odessa, en effet, ferait un très beau lieu pour une déroute.
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blackexcellencesblog · 3 months
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SÉANCE #6 - pixels et soi
Dans la société actuelle, nous sommes inévitablement immergés par la technologie et les médias numériques. En effet, la popularité croissante des réseaux sociaux ont engendré une ère numérique où les limites entre le monde réel et le monde virtuel n’existe plus, créant ainsi une ambiguïté constante autour de notre identité et de nos interactions sociales. 
Selon moi, l'identité numérique, la présentation de soi et le rapport à l'autre en ligne sont des concepts qui entrent catégoriquement dans la définition de l’ère numérique. Je crois que dans l’ère numérique d’aujourd’hui les communautés virtuelles, telles que des forums de discussion en ligne, créent des espaces ou les individus partageant des sujets, intérêts communs, afin qui puissent se rassembler et interagir entre eux. Par exemple, des groupes sportifs se forment en ligne pour se motiver, échanger des conseils et même s'entraîner par vidéoconférence, ce qui crée des liens sociaux significatifs malgré la distance géographique.
D’un autre côté, nous avons les réseaux sociaux numériques comme Instagram, Snapchat, Tiktok ou encore twitter qui permettent aux utilisateurs de montrer et de partager leur identité en ligne, en soit construisent des profils visuels pour représenter leur vie d'une manière attrayante, créant ainsi une version idéalisée de soi-même pour le public en ligne. Cette étape chez l’utilisateur se décrit comme  « l'identité déclarative (ou Représentation de soi) se compose de données saisies directement par l’utilisateur, notamment au cours de la procédure d’inscription au service (exemple : nom, centres d’intérêt, amis) » (Sur La Relation À Soi Et L’identité Numérique, 2023). 
De plus, l'identité numérique peut être comprise d’un autre sens. Dans le contexte de la société moderne, elle adopte une perspective bien distincte de celle observée sur les médias sociaux. En effet, au canada il est déjà discuté de mettre en place pour les années à venir « Une vérification d’identité « bonifiée » par l’utilisation potentielle de la biométrie, par exemple la reconnaissance faciale, est prévue » ( Papineau & Khelil, 2023). Par contre, l'implantation de la reconnaissance faciale du  gouvernement pourrait bien entraîner une fracture numérique dans la société. Effectivement, la confidentialité et la sécurité des gens seront menacées et ceux-ci ne voudront pas partager leurs informations personnelles aussi facilement.  
En conclusion, il est essentiel de rester conscients et engagés dans la vie réelle plutôt que de se laisser absorber par les écrans, car ces plateformes ne représentent qu'un monde virtuel de pixels.
Bibliographie
Sur la relation à soi et l’identité numérique. (2023, August 19). Fanny Georges. https://fannygeorges.fr/2023/08/18/sur-lidentite-numerique-la-representation-de-soi/
Papineau, A & Khelil, L (2023, October 24). Pas d’identifiant numérique sans débat ni transparence. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/800538/libre-opinion-pas-identifiant-numerique-debat-ni-transparence
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claudehenrion · 2 months
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Un seul Dieu tu adoreras…
Le 5 mars, j'avais écrit, dans un édito, la phrase suivante, qui a choqué quelques lecteurs et en a apparemment surpris plus d'un : “ 99 % de nos contemporains sont incapables de voir [dans l'islam] autre chose qu'un ’‘christianisme autrement’' et ils sont donc capables de proférer des énormités telles que : ’'L'islam, une religion d'amour et de paix ”... ou “Le carême ? Un ramadan chrétien”... voire, plus énorme encore, “Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même…” (…)“. Des lecteurs m'ont écrit, juste avant le dernier ’'haut fait” dans l'horreur de ces fous de haine : ’'Sur quoi vous basez-vous pour dire que ce ne serait pas le même dieu ?“. Le demandent-ils encore après ’l'attentat de Moscou’', avant-hier ?
Une remarque préalable : il faut admettre que, à un niveau élémentaire, la définition de l'ancien ’'Catéchisme” de l'Eglise préconciliaire ouvrait la porte à une confusion possible : “Q. : ’'Qu'est-ce que Dieu ?’’ –R. : ’'Dieu est un pur esprit, infiniment bon, infiniment aimable, infiniment puissant, créateur et souverain Maître de toute chose” … ce qui pourrait aussi “définir” Allah… à ceci près que l'équivalent du “Credo” pour les musulmans, la “Chahada”, affirme : “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh..”. (= Non, il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah– seule “définition” connue qui s'ouvre par une négation : “Non, il n'y a pas de Dieu …. autre que Allah)– et précise, pour interdire tout ’'amalgame”, que “Muḥammadan rasûlu-llâh” (Mahomet est son Prophète), ce qui sonne la fin du rêve-cauchemar simpliste des “syncrétistes relativistes”.
Pour être sérieux, il faut partir de l'affirmation initiale, apportée au monde par le christianisme, et qu'aucune autre religion n'égalera jamais, dans l'immensité de ses conséquences. Elle est stupéfiante, et repose sur des bases jamais vues les relations entre l’Homme, le Divin, et le Sacré : “Un Dieu unique, en trois personnes” (on appelle trines, comme “Trinité”, ces trois “unités” résumées en une par Tertullien. Il y a deux mille ans plus encore qu'aujourd'hui, cet énoncé des attributs de la Divinité n'a pas été “facile à avaler”, d'autant plus que l'expression “en trois Personnes”, qui est la plus souvent utilisée traduit très mal ’‘en trois Hypostases’’, ce qui ajoute de la difficulté à la complexité.  
Et parmi nous, qui brandissons plus qu'ils ne le méritent notre rationalisme et notre science de plus en plus souvent sans conscience, cette complexité en a effrayé plus d'un, les rejetant dans un obscurantisme encore plus grand : nombreux sont ceux qui se soumettent à de superstitions plus irrationnelles encore que l’existence éventuelle d’un Dieu (du Vendredi 13 qui porte chance ou guigne -on ne sait pas trop !- aux tarots, des horoscopes, aux tables tournantes, ou autres mœurs et pratiques qui rendent “soumis” (= islam) des adeptes d'une néo-religion dénaturée qui en font, chez nous, une démonstration qui est trop souvent sanglante, hélas !).
Pourtant, l'équation (1 = 3), est une expérience que nous vivons à chaque instant : le nombre des choses uniques mais qui se comptent “trois” est immense, depuis la plus modeste pièce de monnaie, qui a une face, un revers et une tranche mais est “une”, indivisible et (si on me permet !) consubstantielle (même si je sais que l’homo-ousia chrétienne est une tout autre chose !) ou une jolie feuille de trèfle qui est une mais trois (si rarement quatre !) et jusqu'à n'importe laquelle de nos journées qui est matin, midi et soir… parmi tant d'autres exemples possibles (cf. n/ billet n° 31-- 23 déc. 2013.  NB : c'est un ’'dada” qui, en moi, ne date pas d'hier !).
Mais une autre révélation a été plus traumatisante encore : jusqu’à l’apparition du Christ dans l'Histoire, la notion de dieu était une référence locale et tribale, fermée sur elle-même, et même les monothéismes antérieurs n’avaient pas dérogé à ce critère : Adonaï, le Dieu d’Abraham est “le Dieu d’Israël”, sans ambiguïté (ex. : “Seigneur, sauve Israël, ton peuple”-Ps 28-9, ou : “Le Seigneur dit : je suis un père pour Israël ’’-Jr 31, 7-9), tout comme Amon-Rè ou Aton appartenaient à la seule l'Egypte, Ahura Mazda aux aryens, Tangata Manu aux seuls pascuans (ce qui limitait sa ’'toute puissance” aux 160 km² de Rapa-Nui !) ou Yo aux phéniciens et Baal aux cananéens… Zeus, sur son Olympe, était aux grecs, Jupiter au monde romain, Manitou aux seuls algonquins (et non aux “peaux-rouges”, comme on le croit souvent), Quetzalcóatl aux aztèques et Mango-Capàc aux incas –et cetera…
Exception amusante, Rome avait empilé dans son Panthéon la totalité des dieux adorés par les peuples conquis et intégrés à l’Imperium romanum… et ce, jusqu'à l'absurde : vers la fin du temps où l’Urbs et l’Orbis ne faisaient qu'un, on “adorait” à Rome 30 000 ‘’dieux’’ de toute sorte, de toute forme et de toute origine. (NDLR - Certains ont d’ailleurs vu dans cette “foultitude” l'origine de la célèbre apostrophe d'Obélix : “Ils sont fous, ces romains !“. Je n'ai pas vérifié).  On peut se demander quel rôle a joué cette dilution extrême de l'identité romaine dans l'effondrement d’un Empire géant et surpuissant, mais qui s'est trouvé désarmé devant la simple apparition d'une majuscule à “Dieu”... idée, qui –que je sache--n'a jamais été explorée. 
Car tout à coup éclate à la face de l’Humanité cette grande nouvelle : Dieu est un, et Il est universel ! Dieu n’appartient plus à un seul peuple, pas même à ses seuls adorateurs, mais Il est pour le monde et au monde : comme il est dit qu’Il “s’est fait Homme”, Il devient l’un des nôtres. Dieu oui, sans aucun doute, mais à jamais solidaire de l’humanité, de toute l’Humanité passée, présente et à venir, quelles que soient ses religions, ses croyances, ses refus de croire, ses choix philosophiques : un homme-Dieu et un Dieu-homme, tout en un, et en trois personnes, en plus ! Deux mille ans plus tard, l’humanité ne s’est pas encore vraiment remise du choc de la révélation que ”Il n'y a plus ni juif ni grec, il n'y a plus ni esclave ni homme libre, il n'y a plus ni homme ni femme,“ (Gal 3-28), malgré tant de tentatives ratées, souvent en ”–isme’’, pour s'approprier cette idée “géniale” ! (Remarque : quel point commun avec Allah ? Pas un seul !).
Parmi tant d'autres apports méconnus ignorés ou mal identifiés du message christique, cette première “mondialisation” qu'a été l'idée d'un Dieu unique pour la terre tout entière a certainement été la plus bouleversante dans ses conséquences, et jusqu'à ce jour, c'est la seule “mondialisation” positive réussie ! Cette idée a été reprise ensuite, sous des formes variées… dont l'Islam est à la fois un bel exemple et un superbe contre-exemple : Allah, Dieu unique s'il en est, exige la conversion des hommes, et il est donc à la fois universel et spécifique. Ne serait-ce que sur ce seul point, toute confusion entre “Dieu” et “Allah” est impossible.  D'autres copies de mauvaise qualité ont pris des formes plus avariées que variées, comme le communisme et les socialismes, et plus récemment l'écologisme, l'égalitarisme, le “wokisme”… mais ces spéculations à prétentions internationalistes voulaient imposer une “vérité” qui n'est que leur mensonge… Toutes ont très vite trouvé et prouvé les limites catastrophiques de leur projet sans issue possible.
Quoi qu'il en soit, voilà soudain le monde pourvu d'un Dieu unique, universel, indépendant de l'identité de ses adorateurs, le même pour tous… et qui va proclamer l'égalité “devant sa face” de tous les hommes, femmes, “juifs ou gentils”, pécheurs ou saints… qu'il va aimer aussi fort qu'il aurait voulu qu'ils s'aiment les uns les autres ! Une séparation du type “je t'aime… moi non plus”,   entre ceux qui croient et ceux qui refusent de croire, va trouver là un sujet de querelle à vocation d'éternité. Après la réhabilitation en cours, par la science, des contenus de la Bible, très (trop) longtemps moqués et rejetés, la suite de l'histoire de l'Homme sur la Terre va être marquée à jamais par la révélation christique.
Comme nous sommes loin d'un Dieu exigeant, autoritaire et normatif, qui veut commander, conquérir, contrôler, et diriger jusque dans le moindre petit détail… “Aimez-vous comme je vous aime ”, dit l'un. “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh” (= Il n'est de Dieu que Dieu)... et “ s'il le faut, il conquiert les âmes par l'épée” (= “Bès Sif”)“, dit l'autre. Un seul Dieu, c'est évident. Mais Le même ? Sûrement pas, même un peu… Dès qu'on va au fond des choses, c'est chacun le sien ! Et c'est très bien, comme ça !
H-Cl.
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helshades · 7 months
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par curiosité quels sont les membres du PCF et de la nupes que tu trouves intéressants ? Parce que je suis très souvent en accord avec tes idées et prises de position, alors ça m’intéresse de savoir…
Euuuh...
Sébastien Jumel, voilà :
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Il a des cheveux rigolos et il est député des Alpes-Maritimes. Accessoirement, j'aime assez ses prises de position à l'Assemblée, son engagement auprès de ses constituants à l'époque des cahiers de doléances et son soutien aux Gilets-Jaunes.
Fabien Gay, aussi :
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Non mais regarde-moi cette bouille ! Sénateur (on sait : la cantine à Gégé est trop bonne.) de Seine-Saint-Denis et directeur de l'Huma. J'aime beaucoup les propositions qu'il a faites et qu'il signe, sur la laïcité, la pénurie de médicaments, la transparence sur le salaire et la retraite des sénateurs, le développement du rail, la lutte contre les violences pornographiques... Je conseille à tout le monde de consulter l'activité parlementaire des députés et sénateurs, d'ailleurs, c'est toujours intéressant de voir de quoi l'on discute au Parlement.
Au sujet de la guerre israélienne actuelle, je note que le groupe parlementaire Gauche Démocrate et Républicaine dont fait partie le P.C.F. s'est illustré par un communiqué honnête et sans ambiguïté en soutien aux civils quels qu'ils soient.
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Hubert Wulfranc parce que 1) la moustache, 2) prof d'Histoire-géo, 3) excellentes interventions lors de la réforme des retraites.
Je suis tentée de rajouter Elsa Faucillon qui a notamment bossé sur la question kurde mais elle copine avec Clémentine Autain qui me fait l'effet irrésistible d'un broccoli humain.
Sinon, à part les cocos... Bon, je honnis déjà l'intégralité des Verts, étant pro-nucléaire et pro-chasse (hinhinhin.) mais j'aime beaucoup, beaucoup un membre historique du P.S. qu'est le délicieux, le charmant, l'adorable Gérard Filoche :
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Filoche, ce n'est pas un élu mais un militant, et du genre vénère. C'est vrai qu'il s'accroche à son étiquette socialiste comme une bernique à son rocher, mais ça fait un certain plaisir de le savoir exister en marge du P.S. en improbable statue du Commandeur. Ancien inspecteur du Travail, il s'est illustré par son opposition farouche autant que pédagogique à la loi El-Khomri dite loi Travail, puis à la réforme des retraites. C'est un ancien du P.C., faut dire.
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a-room-of-my-own · 5 months
Note
Coucou Tilly ! J'ai une question un peu perso pour un mec hétéro.
J'ai atteint un âge (30) où me faire des amies dans la jeune vingtaine, ce qui m'est arrivé cette dernière année, me fait sentir à la fois une précaution et une responsabilité dans mon rapport à elles (d'autant plus que l'une est lesbienne) et je fais de mon mieux pour être bienveillant sans être étouffant (quoique je suis malade d'inquiétude pour elles, parfois).
Je n'ai aucune envie d'être paternaliste avec elles mais je voudrais être le meilleur ami trentenaire, quand on est une jeune femme d'une vingtaine d'années, possible. Simplement je ne sais pas exactement ce qui serait du meilleur bénéfice de ma part. Je suis passivement complice de leurs rants contre le sexe masculin, j'essaie ça et là de déposer un peu d'analyse critique radfem de sujets de société, après en soi elles n'ont pas besoin de moi pour ça.
Je sais que tu ne peux pas répondre pour elles, d'autant qu'elles sont très différentes, mais ton opinion est souvent pertinente, et je suis curieux de ton opinion.
Merci pour ton blog en tous cas :)
Merci à toi!
Écoute avec les gens qui ont une dizaine/ quinzaine d’année de moins que moi j’agis en gros comme une grande sœur. Par moment j’essaie de glisser des petits conseils et j’accepte de passer éventuellement pour la vieille conne 😂
Le principal c’est de rester dans son âge. Si je suis avec des gens qui ont la vingtaine je peux rigoler avec eux mais je ne me comporte pas comme eux. Et surtout je ne cherche pas leur approbation au sens je ne cherche pas à être « l’adulte cool ».
Je l’ai vu plus jeune en bossant un peu avec des ados, c’est justement le fait de ne pas chercher à faire la jeune qui faisait qu’ils me faisaient confiance. Donc pour toi j’imagine que le mieux que tu puisses faire c’est ce que tu as l’air de déjà faire 😄
Et surtout zéro ambiguïté, mais je pense que tu le sais. Quand bien même ça viendrait d’elles, parce que justement tu te comportes de manière bienveillante et que c’est rare, reste à ta place. Ça peut aussi être un test inconscient « est-ce qu’il est vraiment gentil ou est-ce qu’il cherche juste à se rapprocher de moi pour changer d’attitude à la moindre petite occasion ». On a toutes vécu ça, y compris avec des amis de notre âge qui étaient moins des amis que des mecs qui s’étaient en quelques sort mis sur liste d’attente en attendant que la place se libère.
C’est le plus sûr moyen de tuer une amitié et la confiance qui va avec.
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