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#billet bilingue
miaqc1 · 2 months
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250 billets ! 250 posts!
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justahealingblonde · 1 year
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what happen to your pinned post?
idk man i just didn't feel like putting anything up there. si vous veux savoir quequel chose, demande ce au lieu de regarder un billet ou une carrd.
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SAMEDI 12 AOÛT 2023 (Billet 2 / 3)
Mercredi nous recevions un couple de sympathiques cousins, Catherine et Jean-François. Tout était prévu pour dîner dehors mais la Météo annonçait un temps plus qu’incertain. Et, effectivement, il a fait grisouille, avec des nuages menaçants, jusque vers 18h30.
Mais juste un peu avant leur arrivée, le ciel s’est dégagé, plus de vent ni la moindre rafale, juste une température idéale… Nous sommes restés jusque tard sur la terrasse sans avoir eu besoin un seul instant de nous couvrir.
Après l’apéritif, nous avions prévu des « Gambas à la Plancha façon Thaïe ». Nous ne vous donnerons pas la recette car vous la connaissez déjà, vu le nombre de fois que nous les avons faites, photographiées et mises sur le Blog ! Il y avait même une petite plaisanterie récurrente entre Serge, le frère de Marina, et nous. Il nous accusait de contribuer à l’extermination de la race des Gambas de Madagascar et nous menaçait d’en parler à Brigitte Bardot ! 🤣
Enfin, sachez que les gambas avaient mijoté depuis la veille au soir dans du lait de coco, agrémenté généreusement de gingembre râpé, du jus d’un gros citron (pas trouvé de citronnelle au dernier moment), assaisonné sel-poivre, d’un peu de piment d’Espelette et de coriandre ciselée.
Nos invités les ont bien appréciées. Et au dessert, quasi une première, Marina avait fait une tarte aux abricots, nommée sur son livre de recette : « tarte aux abricots simplissime ». Comme elle ne fait jamais de dessert (nous n’en mangeons jamais, sauf quand nous invitons ou que nous sommes invités), ce fut un grand moment. C’est Jean-François qui fut chargé de la découper. Vous remarquerez sur les photos que cela ne s’est pas fait sans mal, la pâte étant… un peu dure. La prochaine fois, Marina choisira une pâte feuilletée plutôt que brisée. Par contre les abricots étaient goûteux et bien moelleux.
Nous avons passé un très bon moment avec nos cousins et aurions voulu qu’ils restent encore un peu plus longtemps mais Jean-François travaillait le lendemain.
Notre prochain dîner, sous les étoiles de Saint-Christophe, ce sera très prochainement avec nos amis de Brême (Allemagne), Anne et Anthony, dans la capitale pour une petite semaine. Nous allons les inviter avec une de leurs amies, Inge (une Allemande totalement bilingue qui vit à Paris), que nous connaissons et qui est fort charmante.
Reste à nous creuser les méninges pour trouver un menu qui convient à tout le monde. Anthony étant végétarien, encore des Gambas ? La suite au prochain numéro…
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gazelleculturelle · 2 years
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Accès Comédie présenté par Masliah: Un spectacle d’humour entièrement accessible
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Entendre Québec est fier d’annoncer le retour de son spectacle annuel d’humour entièrement accessible; Accès Comédie présenté Par Masliah (anciennement connue sous le nom de Comedy for a Cause: Accessibility for all) le 25 septembre au Théâtre Paradoxe mettant en vedette Preach.
Le 3ième édition d’Accès Comédie Soutenu Par Masliah, en plus d’être entièrement accessible, est également bilingue : il y aura deux spectacles distincts, soit un en anglais et un en français.  Les représentations auront lieu au théâtre Paradoxe, le 25 septembre, et se dérouleront  dans le cadre de la Semaine internationale des sourds. Le populaire humoriste Erich Preach se produira en anglais et animera le spectacle en français. Abby Stonehouse animera la présentation en anglais. L’événement Accès Comédie en anglais et en français seront composés de nombreux talents locaux et quelques surprises également. 
En mai 2019, Entendre Québec a présenté le tout premier spectacle d’humour entièrement accessible à Montréal. Cet événement à guichets fermés mettait également en vedette des comédiens locaux, dont Abby Stonehouse, qui vit avec une perte auditive et qui expérimente au premier plan à quel point les arts peuvent être inaccessibles à Montréal.
« Avoir la chance d’assister à un spectacle d’humour, sans limitation, était magique à vivre. Voir tant de gens faire l’expérience de l’art que j’aime pour la première fois m’a fait chaud au cœur », affirme Abby. L’un de ces spectateurs était le père d’Abby. Il vit avec une perte auditive sévère et pour la première fois, il a pu entendre sa fille sur scène. 
L’activité de financement pour le spectacle d’humour entièrement accessible est le cœur et l’âme de ce que représente Entendre Québec; créer une prise de conscience dans un environnement inclusif afin que toutes les personnes handicapées soient incluses dans le programme et tout le monde s’amuse. L’objectif premier est de collecter des fonds pour un nouveau programme de sensibilisation et d’accessibilité en plus de renforcer la manière d’offrir des événements accessibles et inclusifs. Cet événement a pour but de donner un sens de la communauté pour les personnes avec une perte auditive et d’autres handicaps.
« C’est très rare de voir de l’art accessible », avoue Heidy Wager (directrice générale d’Entendre Québec). « Nous voulons donner aux personnes handicapées la possibilité de vivre un spectacle d’humour sans obstacle MAIS nous voulons également montrer à la communauté à quoi ressemble l’accessibilité et à quel point il est simple d’ajouter certains des aménagements qui inclurait tout le monde dans l’expérience ».
Certains des aménagements d’accessibilité de cet événement comprennent: le système FM, le sous-titrage codé, l’ASL/LSQ, une configuration et des sièges spéciaux et le lieu est accessible aux fauteuils roulants. Il y aura également sur place des guides voyants pour les personnes ayant une déficience visuelle et des billets en braille sur demande.
Les billets sont maintenant en vente à 30$ sur Eventbrite.
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thewul · 2 years
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Signalétique d’une coursive latérale qui nous laisse entrevoir un autre travail tout aussi passionnant que l’a été BCS, et qui est celui de la réalisation du modèle 3D du Cuba Libre
Un travail qui doit être réalisé a Moulinsart pour aboutir a un modèle 3D visitable dans ses moindres détails, et qui est un prérequis pour la réalisation du navire
En ce qui concerne la CCL c’est ce même modèle que nous comptons repartir en parts d’un bien virtuel, ou la vente de ces parts contribue au financement du bien physique, avec ultimement la conversion des parts du bien virtuel en parts du bien physique
C’est un système de financement novateur développé dans le cadre de BCS, ou l’on vend ce que l’on détient déjà et que nous pouvons réaliser en équipe, un modèle 3D, pour aboutir a la réalisation d’un bien physique
Alors il y a un grand jour dans cette optique, c’est celui ou nous arrivons au siège de Bombardier pour exposer le Cuba Libre, avec non seulement le modèle 3D mais également un modèle réduit du navire réalisé par un Maître maquettiste
Intitulé "It all started with Paint" un court métrage en images 3D accompagne cette visite et couvre la réalisation en 3D du Cuba Libre, et contient également un tour virtuel complet du navire, ainsi que les étapes de son voyage
En dernier lieu un autre travail important concerne la refonte de la version actuelle de BCS pour aboutir a une version définitive, sous forme de CD ROM BCS Legacy doit servir a donner a Bombardier une vision du futur, un futur qui s'étend a l'espace
La collaboration de Tumblr est cruciale pour la refonte de BCS, car il s’agit de transférer tout les billets de BCS depuis le début vers le Tumblr de BCS que nous avons déplacé vers l’adresse bombardiercs
Également ces billets doivent s’afficher par ordre chronologique donc du plus ancien au plus récent, le CD ROM est important car le format blog a ses limites, en effet BCS est extensive hors en quittant la page celle ci revient aux premiers billets et ne permet donc pas de reprendre ou on s’était arrêté, il reste a voir si nous pourrons obtenir de Tumblr des archives par mois pour BCS qui listent intégralement tout les billets de ce mois
C’est a partir de ce nouveau blog dédié a BCS que le travail de refonte doit se faire, qui une fois finalisé doit aboutir a une version en CD ROM, ce travail de refonte concerne la réécriture du début de l’étude de cas et également la suppression de divers développements qui ne sont pas retenus pour la version finale
Un autre aspect important de Legacy est qu’elle a abouti a un projet littéraire important qui est celui des séries Wayfarer et Space
Wayfarer est en quelque sorte une projection dans un futur lointain qui est celui auquel aboutit BCS, elle nous permet par les biais de la littérature d’en saisir ses composantes essentielles et d'imaginer le futur d’une civilisation Bombardier, composée d’une multitude de systèmes solaires, de colons sur des systèmes distants et d’autres qui vivent et travaillent a bord de leurs navires
Cela souligne que BCS s’adresse a différents publics, il faudra donc après sa finalisation entreprendre le travail nécessaire d’en avoir une version en Français et une autre en Anglais
Bien qu’a mon sens cela n’est plus très important, car la jeunesse a laquelle s’adresse BCS a incorporé le multilinguisme et BCS constitue a cet égard également un exercice de lecture, cependant c’est pas encore la majorité qui sont bilingues ou trilingues, et donc effectivement une version Anglaise et une autre en Français doivent exister cote a cote
Le dernier aspect de BCS qui contribue conséquemment a projeter ce futur dans l’espace est le gaming avec une série de jeux, ou le joueur doit construire un groupe capable de lui permettre de construire une flotte spatiale et de partir a la conquête de l’espace
L’intérêt du gaming et qu’il va nous permettre de visualiser en 3D dès a présent cette flotte spatiale et de développer des stratégies pour coloniser des systèmes distants, cette série de jeux établit également une épopée ou a son apogée le groupe est devenu une civilisation spatiale avec des enjeux importants, des alliés et des ennemis
Il existe une forte conjonction entre la série Wayfarer et le gaming, car le narratif de cette série peut et doit servir de narratif pour le gaming
Bien que cela puisse paraître distant voire abstrait pour le temps présent, la volonté qui sous tend cette série de livres et de jeux est qu’a terme Bombardier cherche non seulement a éveiller l’intérêt des générations présentes et futures pour l’espace, mais a terme cette série de jeux en ligne doit pouvoir a partir des profils et ages des joueurs ainsi que des algorithmes déterministes d’identifier les candidats qui ont le plus de potentiel pour rejoindre Bombardier a travers BSA
Pour un age donné et un niveau de complexité donné dans le jeu, ces candidats recèlent un potentiel certain pour devenir nos futurs pilotes, sélection qui doit être opérée le plus tôt possible afin de les accompagner pour leurs fonctions futures
La flotte spatiale de Bombardier est projetée dans BCS pour compter des centaines de millions de vaisseaux spatiaux pour lesquels nous auront besoin de personnel et donc de mettre en place des stratégies pour acquérir ce personnel, si un jeune d’une dizaine d’année sait déjà opérer un vaisseau virtuel dans EXBN en mode non assisté, nous devons pouvoir lui proposer des niveaux de complexité toujours plus avancés avec des vaisseaux de plus grande taille, et a terme explorer le potentiel qu’il représente pour BSA
BCS Legacy retrace l’histoire improbable mais vraie d’une étude de cas qui a débuté avec quelques dessins sur Paint et qui a duré depuis le 5 Juillet 2016 
Legacy s’achève sans doute en ce 20 Mai 2022, soit 46 jours avant son 6ième anniversaire, avec ce dernier volume qu’est Ionosphere et ces derniers développements concernant le Cuba Libre car il faut lui donner une forme définitive
Les futures étapes qu’elle prévoit tels le modèle 3D du Cuba Libre ou encore la réalisation du Gunray pourront donner lieu a une collection de nouveaux volumes qui sont une continuation de Legacy, sous le titre de Neo Genesys
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29 juin : tous à l’eau
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Déjà le dernier cours de l’année… ça passe vraiment trop vite. Pour finir en beauté, je suis allé·e chercher Léa, qui était au pré, le nez dans le foin, avec les copains. Léa qui, me voyant arriver, a levé la tête… et est venue toute seule me rejoindre à la porte du pré. Est-ce qu’elle fait ça avec tout le monde ? Est-ce qu’elle s’ennuyait vraiment ? Ou est-ce que la voir une fois par semaine pendant pratiquement 6 mois a suffi pour qu’elle me reconnaisse entre les dizaines de cavaliers qui défilent pendant le reste de la semaine ?
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Le temps de rentrer à l’écurie pour le pansage (bah oui, pas beaucoup d’ombre dehors, et en plus on ne peut pas attacher Léa sans qu’elle tire au renard, alors au box, c’est quand même plus simple), la voilà déjà couverte de sueur. Allez hop, à la douche, elle aura bien le temps de commencer à sécher avant le début du cours.
Par cette fin de canicule, pas question de monter dans la carrière. On approche déjà des 30°C alors qu’il n’est pas encore midi, le soleil tape dur… direction le manège, qu’on va partager avec deux groupes d’enfants venus s’y réfugier aussi. Et c’est avec eux qu’on va jouer ce midi, en équipe mixtes (nous, c’est Les Licornes).
On a passé le gros de l’heure sur un béret. Deux équipes, face à face, chaque cavalier a un numéro. Au centre du manège, un seau d’eau avec un verre. À l’appel de son numéro, on va bien vite récupérer le verre (avant le cavalier d’en face), et retour bien vite dans son camp pour vider le verre dans un autre seau, tandis que l’autre cavalier doit chercher à toucher le cavalier qui a pris le verre. Et si on se fait toucher, on a le droit de jeter le verre sur l’autre !
Je me suis retrouvé·e face à face avec P., qui fait partie des compétiteurs, mais qui visiblement était un peu aux fraises aujourd’hui (ou alors, c’est Cronos qui était fatigué). Aucun souci pour récupérer mon verre et le vider dans mon seau. Beaucoup de cavaliers (grands et petits) ont rencontré des difficultés pour s’approcher suffisamment du seau et prendre le verre, parce qu’ils arrivaient trop en face. Avec Léa, je n’ai vraiment eu aucun problème pour l’amener un peu de côté, me pencher sans même l’arrêter, et repartir au trot, verre tenu près du corps, sans trop en renverser. 
Quand les jeunes ont quitté le manège, on a profité des 5 dernières minutes pour un dernier jeu. Il y a toujours un seau d’eau au milieu du manège, mais il contient deux verres cette fois-ci : chaque équipe a le sien. On a 5 minutes pour remplir le plus possible le seau de notre camp, en allant, chacun notre tour, remplir un verre, faire un tour du manège, et vider le verre dans notre seau avant de passer le verre au cavalier suivant. On n’était que 3 dans mon équipe (contre 4 en face) et comme tout était facile avec Léa, j’ai pu passer deux fois. Trop facile, même si j’ai renversé mon dernier verre complètement à côté du seau… Pas osé le galop, mais au trot enlevé, aucun problème, et Léa toujours hyper maniable… 
Fin du cours, pied à terre, et grosse douche intégrale pour se rafraîchir après tout ça ! Ça fait du bien ! Et maintenant… c’est la longue attente jusqu’au mois de septembre… Comme d’habitude, ce blog va tourner un peu plus lentement maintenant et principalement avec la file d’attente, même si je donnerai des nouvelles des ânes et toute séance ou balade que j’aurai peut-être la chance de faire.
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Saturday was my last lesson of this 2018/19 year… time really flies by. To finish on a high note, I went to get Léa from her pasture. Léa, who was with her mates, her head deep in hay. Léa, who saw me opening the fence, raised her head… and came to greet me at the door. Does she do that with everyone else? Was she just bored? Or could it be that seeing her almost once every week those past 6 months was enough for her to recognise me among the dozens of other riders she sees the rest of the time?
It did not take long for us to get back to the stable for grooming (there was not much shade anywhere else, and you can’t tie Léa anywhere because she pulls away, so it’s just much simpler in her stable) but she was already covered in sweat. So I took her to the shower, knowing that she would have time to get dry before the lesson anyway.
The heat wave was not quite over yet, and riding in the outdoor arena was out of the question. It was already close to 30°C even though it was just barely noon, so we went to the indoor arena instead. Along with two other groups of kids who have their lesson on the same time slot, and who also came and take shelter from the sun and the heat. So we played with them, in mixed teams of young and old riders. One of the kids in my team decided that our team name was Les Licornes (i.e. The Unicorns).
We spent most of the hour playing some kind of a “steal the bacon” game: two teams facing each other at the opposite ends of the arena, each rider having a number. In the middle of the arena, a bucket full of water and a glass. When your number was called, you went and got the glass before the other rider and came back to your side of the arena to empty the glass in another bucket, while the other rider tried to tag you. If they did, you were allowed to toss the glass at them!
I found myself with number 2, against P., who is one of the adult riders who show. Apparently, he was a bit sluggish today, or perhaps his horse Cronos was a bit tired. Either way, I had no trouble getting the glass and emptying it in my bucket. Many riders (adults and children alike) had trouble getting close enough to the bucket to grab the glass, because they approached very frontally. With Léa, I really had no problem at all getting her to approach sideways, leaning to the side to grab the glass without stopping, and then going away at a trot, holding the glass close to my body, without even spilling too much water.
When the children exited the arena, we used the last 5 minutes to play one more game. There was still a bucket of water in the middle of the arena, but this time there were two glasses, one for each team. We had 5 minutes to fill our camp’s bucket as much as possible by filling our team’s glass in the middle of the arena, doing a full lap around the track and emptying (what was left of) the glass in our team’s bucket. My team only had 3 riders, against 4 on the opposite side, so Léa and I got to do it twice. Super easy, even if I completely emptied my last glass next to the bucket instead of inside it… I didn’t try cantering, but posting the trot was really easy, and Léa was super easy to steer and move around.
The lesson ended, I got off Léa’s back, and led her to the shower for a nice, full bath to get cooler. And now… now starts the long wait until September. As usual, updates will now be slower and this blog will mostly run on its queue, though I will post more about the donkeys and any other ride I may be lucky to get.
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A l’École - At School
A l’École – At School
Quel plaisir de découvrir cet album A l’École – At School ! Il raconte les cours, les récréations et même la cantine avec son héros, Mini-Léon, qui explore cette communauté d’enfants à partir de treize tableaux de peinture. L’aspect général est agréable : la couverture est glacée et l’album, léger. De petites mains peuvent aisément se l’approprier sans l’abîmer. Mini- Léon, on le retrouve à…
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camilleauquebec · 3 years
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L'auto-test
Aujourd'hui le soleil brille, les oiseaux chantent, et le sablier écoule ses derniers grains. Nous sortons demain de notre quatorzaine et j'entends des chants d'opéra à chaque fois que j'y pense.
Nous avons en plus déjà reçu nos résultats d'auto-tests PCR réalisés vendredi dernier. Nous n'avons donc plus qu'à attendre que sonne le glas et nous pourrons ainsi faire des choses...somme toute normales.
Quelle époque on vit, vraiment... dans cette impatience enfantine et trépignante de faire les courses, marcher dans la rue, s'asseoir en terrasse, rendre visite à ses proches. Je n'aurais pas deviné que cela m'exciterait autant il y a trois ans de voir le bout de la rue, sans rien en attendre.
Nous sommes donc très heureux d'en voir le bout. Avant que la vie reprenne son court et que ce blog soit aussi alimenté en aventures extérieures, je voulais réaliser un billet sur l'auto-test PCR.
Représentant la dernière barrière de l'entrée au pays, il est intéressant de voir comment il fonctionne. Je n'en avais moi-même jamais fait auparavant. Nous avons reçu cette petite pochette à notre sortie de l'aéroport, des mains d'une infirmière :
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Le huitième jour de la quatorzaine, on nous invite à ouvrir cette petite boîte bleue. Elle est composée d'un test PCR et sa fiole de conservation, d'une enveloppe affranchie et d'un petit carré imbibé d'antiseptique, qui ressemble à ceux donnés dans l'avion à la fin des repas et aromatisé au citron. Lui par contre a pour mission de tuer 99,9% des bactéries sur lesquelles pourrait surfer la covid 19, pas juste l'odeur de poisson sauce au beurre blanc.
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Il nous faut nous connecter sur le site de Switch Health. Une infirmière est supposée nous rencontrer via cette plateforme, pour nous aider à faire le test (et vérifier si on ne s'enfoncerait pas le coton tige dans l'oreille pour faire moins mal). La plateforme fonctionne comme une salle d'attente médicale virtuelle.
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On vous demande à la connexion votre langue de préférence. Nous avons choisi le français mais lorsque notre tour vient, c'est une anglophone qui prend en charge Julien (qui pourtant était bien après moi dans la file d'attente). Peu nous importe, nous sommes bilingues et Nikki nous aide à joindre nos deux dossiers.
Les infirmières françaises doivent être moins nombreuses, tout simplement.
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Nikki nous explique toute la composition du paquet, que nous avons déjà reconnue. Elle nous explique les étapes du test, qui n'est pas différent de ceux réalisés par l'infirmière au laboratoire.
Nous nous y mettons d'arrache-pied sous son œil de lynx, et elle nous laisse nous triturer le nez jusqu'à la fin des quinze secondes réglementaires.
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J'essaie d'aller loin jusqu'à ressentir une gêne, pour être sûre de bien le faire.
Nikki nous félicite et nous guide dans la fermeture du paquet. Une fois celui-ci bien scellé, elle nous invite à le nettoyer avec la lingette anti-septique et à les laisser sur notre patio. Un livreur d'une compagnie de transport va venir le récupérer, sans que nous n'ayons rien à faire. Décidément, ils ne veulent pas qu'on sorte (bizarre, non?).
Le livreur vint en effet le lundi les ramasser et nous avons reçu les résultats en moins de 48h.
Voilà ! le dernier billet de la quatorzaine, avant qu'on ne libère les bêtes (nous). Je voulais aborder l'auto-test car cela fait partie de la forteresse établie par le gouvernement et le travel ban.
Demain, finis les thèmes d'enfermement et syndrome de Stockholm, nous serons autorisés à sortir dans Gatineau. Je pense donc qu'il s'agira d'un billet de photos, afin de vous partager mes premières impressions du Québec en femme libre (et masquée). Une vraie Fantômette.
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curvatio · 4 years
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16. Les livres
Dans douze jours je déménage à la valise, seront dans la valise : mon chat mes papiers mon ordinateur des robes des pantalons taille haute et des petits hauts très classes de femme indestructible. Ne seront pas dans ma valise : des billets pour revenir mon amoureux mes pulls en laine mes jeans très slim toutes mes plantes vertes mes boîtes en forme de coeur mes boites en forme de poulpe mon tigre en peluche gigantesque mes moutons en peluche minuscules mes vases mes pierres mes couleurs claires mes livres. Autant dire toute ma chrysalide. Je n’emporte avec moi qu’un bout de papier avec des titres, et les adresses des librairies.
A lire pour survivre à septembre :
Jack Kerouac : Le Livre des haïkus. Alexandra Pizarnik : Approximations. Reiner Kunze : Invitation à une tasse de thé au jasmin. Je crois aimer surtout la poésie française, je me trompe sans arrêt. J’ai besoin de poésie acide, tranchante, je lirai Kunze en bilingue (les consonnes sont particulières, il y a des crochets invisibles).
Simone de Beauvoir : n’importe quel roman que je n’ai pas encore lu et qui ne soit pas Les Mandarins – parce que je n’ai plus de souffle ; pas de roman-fleuve avant l’hiver. Quand je vais mal j’ai besoin de lire un roman tous les trois jours, le bon format : cent-soixante pages. Vénus Khoury-Gata : Cherche chat désespérément, et Marina Tsvetaïeva, mourir à Elabouga. Colette : Mitsou, du théâtre fera l’affaire – peut-être, aussi, Au Bonheur des Dames de Zola, j’en ai envie depuis quatre mois mais il fait quatre-cent pages de trop. Alors commencer par Christian Bobin, La Dame Blanche, et puis, si j’y arrive, et même si c’est lire dans le passé : Tolstoï, Enfance, Adolescence, Jeunesse, La Mort d’Ivan Illitch. (Tout ce que j’avais prévu avant que la mer tombe sur ma tête.) Remettre Michelet, La Sorcière, à plus tard : je n’arriverai pas à réfléchir. Sophie Lucas : Désherbage. Que vient-on faire dans une bibliothèque ? Je serais bien curieuse de le savoir...
Philippe Lançon : Le Lambeau, mais pas pour tout de suite. Mona Chollet : Chez soi, mais surtout pas maintenant non plus. Patrice Montagu-Williams : Nice, bien plus qu’une promenade, de toute urgence.
Relire, aussi : années nicoises du Journal de Marie Bashkirtseff. Plus généralement : relire Les Nourritures Terrestres. Demander à maman d’envoyer Chagall par la poste. Ensuite, octobre, on verra bien. Planter des forêts de citations, rechercher l’ombre et les cabanes, des béquilles en forme de guillemets ? Ca m’a sauvé la vie longtemps. Mais j’ai peur des pillages d’éditrice-vénéneuse dans mon esplumeor alors, sans doute, je laisserai les mots entre mes mains closes, et mes livres dans les eaux stagnantes du garage de mes parents.
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miaqc1 · 2 months
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codeswitching · 3 years
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Foreword
After defending a thesis on plurilingual speaking in 2018, I decided to study another facet of languages in contact, namely how the underlying systems of languages are processed in our brain.
In this master's work, I analysed a new problematic in order to understand the cognitive processes underlying code switching or code alternation in the speech of speakers of Senegalese origin living in Toulouse.
Can you tell me how many languages the speaker used in this sentence?
M.Tr.                  123.          …+ bu ñu changer le nom dooga ñów ci liggéey boobu + moment bu mois de mars moo subvention estatal mooy comunidad autonoma + avec les fondations avec les_Associations + donc: loolu amu ñu moyen bi ndax Espagne dafa ngand dafa yaatu  + buy dem ki bi + c’est un billet c’est tout le da ngay voyager c’est 400 auros c’est 30 auros c’est cinq cent auros …
Subject: 
Cognitive analysis of the switching code in the narrative oral production of Speakers of Senegalese origin
Abstract: This work contributes to understand the plurilingual speech. More precisely, a little case not studied at all, namely the bilingual speech of Senegalese migrants in Toulouse. These speakers have been used in Senegal a bilingual speech, Wolof-French (the so-called "Wolof-urban"), which was spread in Senegal after the independence within the imposition of the French language as the country's official language to the detriment of national or regional languages (wolof, serere, haalpulaar, diola...). These languages coexist with French in a multilingual and diglossic context. From a cognitive point of view, oral production is a complex task, responding to a communication intention determined, among other things, by our knowledge of the world, discursive genres and by the mastery of languages. For this research, we have compiled a corpus of oral histories obtained from a silent short film (Charlie Chaplin's modern times), which has been viewed and then was narrated orally by Senegalese speakers, for whom French and Wolof usually conform to bilingual language. The study is conducted to investigate the types of code switching (cs) for the purpose of discovering a few rules shared by different speakers in their different utterance. The control process model of code switching   has been studied in case of alternance cs, insertion cs and dense cs in a psycholinguistic and a sociolinguistic process. Finally, we analysed the processes of language activation and inhibition summoned by different speakers in their discourse statement?
Keywords: bilingualism, proficiency and bilingual speaking; code switching, first and second language, activation; inhibition.
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It is necessary to lift the scepticism of bilingualism, it is not and will not be the origin of language disorders.
Paradis, M. (2004). A neurolinguistic theory of bilingualism (Studies in bilingualism 18). Amsterdam [etc.: John Benjamins Publishing Company.
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kayvsworld · 4 years
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bucketofchum a réagi à votre billet
“someone 6 hours ago told me that i can’t speak french and in that time...”
omg you have a bilingual job tho
ah but u see, despite having been hired to this bilingual job, one (1) angry customer complained on friday that I don’t speak french and now i am Convinced that i don’t actually speak any french
note: 
 i have a degree in Knowing Some French
she has been a nightmare to most agents she’s spoken to to the point that this is Noted In Her File
none of these things matter i must take test to see if i truly only know how to say Bonjour PERHAPS I LIED AND DON’T KNOW FRENCH
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SAMEDI 29 JANVIER 2023 (Billet 2 / 4)
Hier ou avant-hier, consultant la liste de tous nos « abonnés inconnus » pour faire un tour sur leur Blog et éventuellement en bloquer quelques-uns que nous jugeons inintéressants, nous avons lu les dernières éditions de celle avec qui nous avions déjà un peu échangé (nous écrivons « celle » car nous pensons que c’est une femme d’après l’image qu’elle a utilisée pour son avatar et une femme (ou une jeune-femme) sûrement bilingue car ses Billets sont tantôt écrits en Français, tantôt en anglais).
L’image ci-dessus, c’est elle qui l’a mise et son texte, ci-dessous, nous a particulièrement plu. Ce serait intéressant de savoir ce que vous en avez pensé.  
Si cette « abonnée inconnue » nous lit ce matin, nous la remercions chaleureusement d’avoir publié ces règles. JM les a recopiées dans les Notes de son iPhone et lui est déjà arrivé à à plusieurs reprises de les relire.
____________________________
« TÉLÉPHONER À DIEU...
Quelques règles essentielles pour avoir une bonne communication avec lui.
Règle numéro 1 : Ne composez pas un numéro à l'aveuglette, soyez sûr de téléphoner au bon numéro !
Règle numéro 2 : Une conversation avec Dieu n'est pas un monologue... sachez l'écouter !
Règle numéro 3 : Si vous tombez sur un répondeur, c'est que vous vous êtes trompés de numéro... Dieu est toujours là !
Règle numéro 4 : Si cela sonne « occupé », c'est que votre désir de parler à Dieu n'était pas sincère.
Règle numéro 5 : Si la communication est interrompue, c'est que vous-même avez coupé le contact... Pour le rétablir, prenez la décision de vous réconcilier avec votre prochain, vos ennemis, d'être fidèle dans les petites choses, d'être prêt à lui demander pardon pour vos péchés.
Règle numéro 6 : Ne prenez pas cette habitude de ne téléphoner qu'en cas d'urgence... vous apprendrez vite que c'est tellement bon de lui téléphoner simplement pour lui dire que vous L'aimez !
Règle numéro 7 : Ne téléphonez pas à Dieu simplement en tarif réduit, à des heures bien précises... Dieu n'est jamais dérangé dans son travail, vous ne l'embêtez jamais ! Il n'y a pas d'heures creuses et d'heures pleines, de plein tarif ou de tarif réduit. Certains ne pensent qu'à téléphoner le dimanche matin. De multiples courts appels à toute heure, toute la semaine, valent bien mieux qu'un long coup de téléphone interminable le dimanche matin.
Règle numéro 8 : Le coût de la communication est gratuit...
Règle numéro 9 : N'oubliez pas de vérifier régulièrement votre répondeur... car Dieu lui-même peut vous appeler et vous laisser des messages mais souvent vous n'entendez pas son coup de fiI… Alors, vérifiez régulièrement les appels reçus, prenez du temps pour cela et ne laissez aucun message non-écouté ! »
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stakehammer · 4 years
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ghoulsmashes a réagi à votre billet : ghoulsmashes a réagi à votre billet : ...
i can read most written french. 😳 but i’m not gonna reply back in it because mine is wack. is it your first language?
debatable. i was raised bilingually, and mom usually switched when there was something to be angry about. my written english is better than my written french, but my spoken french is up there, and rabid.
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Avis de recrutement
BIENVENUE A LA GRANDE SOCIÉTÉ CIC ( Citoyenneté et Immigration Canada )
Accord de publication N° 0022 / S-15/ 197582 de la Direction générale(CIC ( Citoyenneté et Immigration Canada )
Cadres et Jeunes diplômés Bienvenus.
Le Service Personnel de (CIC CANADA) est aujourd'hui à la recherche de personnels expérimentés dans les Domaines suivants : Contrôle de gestion, Expertise comptable, Gestion des Ressources Humaines, Montage de Projet Marketing, Communication d'Entreprise, Droits des Affaires, marketing, Science sociale, commerce international, Transport et logistique, Employés de bureau, Secrétariat bilingue, Secrétariat informatisé, Agroalimentaire Bureautique, Manutentionnaire, Opérateur bancaire, Financements de projets, Assurance, Ingénierie, Informatique, Marketing , Action Commerciale,réceptionniste,responsable d’équipe ,technicien du réseau et informaticien. Les activités ne Nécessitant aucune qualification : gardiennage, assistant de service, maçonnerie, électricité industrielle, conduite, travail sur les champs pétroliers, surveillance boutique etc…
Nous recherchons avant tout des personnes capables de s'adapter à notre environnement de travail. La main d'œuvre étant rare ici a Londres nous avions ouvert notre marché vers le reste du monde afin de permettre aux jeunes diplômés d'autres pays qui sont sans emploi fixe de pouvoir toucher à la réalité, Nous organisons ce recrutement dans le cadre de la promotion d'emploi. CIC canada a des représentants dans certains pays qui assurent la liaison entre leur pays et la Direction principalement, celle de Londres qui a été choisi par le conseil d'administration pour se charger de nous faciliter la tâche dans le recrutement des nouveaux personnels venant de l'Afrique, de l'Asie, des Caraïbes et d'autres sujets portant sur l'intérêt de notre chère entreprise.
Voici l'adresse email de la direction: [email protected]
Pour plus d'information voici mon Numéro whatsApp: +16042887114
NB: La direction prendra en charge tous vos papier: VISA BILLET D'AVION HEBERGEMENT ET AUTRE
LE DIRECTEUR CIC CANADA
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5 octobre : pensée positive
EN below
Finalement, ce n’est pas Olympe que j’ai monté samedi, mais une jument de propriétaire du nom de Circé. J’avais déjà remarqué cette grande jument alezane avec un cœur sur la tête. Premier contact très positif, elle est super sage au pansage. J’ai dû emprunter les affaires de Cronos et le filet est beaucoup trop grand (on y reviendra plus tard) ; j’ajuste comme je peux et je me dirige vers le manège pour commencer notre détente à pied. Là encore, Circé se montre une partenaire agréable et réactive. Je sens qu’elle a de l’énergie, mais rien d’incontrôlable.
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Au montoir, Circé est une élève modèle et ne bouge pas tant que je ne lui indique rien. Et quand je lui indique de s’écarter du plot pour laisser la place, elle répond tout de suite. Je me dis que ça va être un cours vraiment chouette.
On a commencé par refaire l’exercice de révision des figures de manège du premier cours de cette année, deux par deux, au trot. Circé part au trot sans problème, se laisse guider, puis reste tranquille tandis que je regarde E. effectuer ses figures.
C’est là qu’on a pu commencer à travailler sur le gros de la séance, sur le dispositif suivant :
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Au pas, d’abord, en partant du bas de la carrière, on vient passer les 6 barres au sol. En arrivant au mur opposé, départ au trot, on longe le petit côté, on passe les deux barres au sol vertes, en allant bien droit, et on revient au pas avant d’arriver au niveau du cône orange. Ça paraît très simple, non ? Circé a été très appliquée jusqu’à la dernière barre bleue, où elle a pris le trot. Je la ramène au pas jusqu’au mur, puis transition au trot et tout va bien. Deuxième passage, là encore, elle prend le trot alors que je veille à ne rien lui demander d’autre que de marcher jusqu’au mur.
Mais ce n’était rien comparé à la difficulté qui m’attendait. Exercice suivant : même tracé, mais on part au trot enlevé. Au niveau du premier cône orange, on s’asseoit et on déchausse les étriers pour passer sur les barres. Au mur en face, on repasse au pas, on rechausse les étriers, on part au galop à gauche pour franchir la première barre verte au galop, la seconde au trot, et transition au pas avant le cône orange.
Sauf que j’avais beaucoup de mal à réguler le trot de Circé, et que son énergie était bien trop importante pour que j’arrive à trotter assis. Je suis très crispé·e, très tendu·e, et forcément ça n’aide pas. Transition vers le galop OK, on galope bien le long du petit côté, mais sans que je sache trop pourquoi, on repasse au trot avant même d’avoir franchi la première barre. Il y a aussi eu quelques essais qui ne me plaisaient pas du tout, parce qu’on finissait par rattraper le cheval de devant, voire même presque doubler, et je n’avais pas l’impression de contrôler grand chose. Et puis, il y avait ce filet trop grand, sans frontal, qui n’arrêtait pas de glisser sur la nuque de Circé... Certains essais, sur les barres bleues, je n’arrivais même pas à penser à déchausser mes étriers, et visiblement, je ne sais toujours pas trotter assis avec des étriers. Catastrophique...
Dernier exercice. Cette fois, on part à l’autre main. Départ au galop à droite dans le coin inférieur droit sur le schéma plus haut. (Un beau départ au galop, hein !). On passe la première barre verte au galop et la seconde au trot. On reste au trot sur le petit côté, puis on passe les 6 barres au sol au trot assis. Pour ce qui est de partir au galop, pas de souci. Mais la transition au trot était très difficile. D’habitude, il ne faut pas grand chose, et même se mettre à trotter enlevé suffit pour que le cheval passe de lui-même au trot. Circé... non. Bon, on finit par avoir notre trot dans le coin, on trotte, et elle s’élance sur les barres au sol beaucoup trop vite pour moi. Les seules fois où j’ai pu trotter assis confortablement, c’est quand on avait un autre cheval devant qui aidait Circé à ralentir un peu, et alors je pouvais retrouver un peu de confort.
À la fin du cours, K nous demande de refaire une partie de l’exercice sur laquelle on est à l’aise. J’ai du mal à savoir, car rien de ce que j’ai fait ne me plaît vraiment. Pourtant, c’est vrai, c’est important de ce concentrer sur ce qu’on réussit bien... Et puis, je reparle de ce filet trop grand que je n’ai pas réussi à faire sortir de ma tête. Alors, K s’approche de Circé, fait glisser le filet de sa tête et me le tend. Me voilà avec les rênes autour de l’encolure et le filet dans la main. “Vas-y, tu peux trotter et galoper si tu veux.” Euh ??? Je n’ai pas galopé, je n’y croyais pas, mais on a trotté un petit peu. C’était marrant.
“L’outil, ça ne change rien”, me dit K, entendant qu’on peut monter en mors, en licol, en cordelette, au fond, c’est la même chose. “L’outil, c’est ma tête”, réponds-je, et ma tête, ce jour-là, elle n’était complètement prête à accepter de galoper avec un jeune cheval plus ou moins inconnu avec juste les rênes autour du cou.
Outre le côté équitation, cette dernière partie de séance est une leçon de psychologie aussi, et j’essaie de me concentrer sur le fait que dans l’ensemble, j’ai quand même réussi une partie des exercices, et Circé m’a donné ce qu’elle pouvait à ce moment-là. La positive attitude... parce que les leçons qu’on apprend dans la carrière s’appliquent aussi même lorsqu’on est loin des chevaux.
Finally, I didn’t ride Olympe this past Saturday, but a young mare called Circé. She is not a lesson horse, but part of the boarding stable. Maybe her owner can’t ride her currently, so the mare is being ridden in a few lessons. I had already noticed this tall chestnut mare with a heart on her face. My first contact with her was really positive, she stood very quietly during grooming. I had to borrow Cronos’ tack and the bridle was way too large (I’ll talk about that later); I adjusted it the best way I could and headed to the indoor arena to start warming up on foot. Circé was a pleasant and reactive partner. I could feel she had some energy, but not in an uncontrollable manner.
At the mounting block, Circé was perfect again and did not move until I gave her the signal to do so -- and when she did, it took the slightest touch from my legs for her to move off. I thought, this is going to be a great lesson.
We started with the exercise we did during the first lesson this year, revising riding figures in pairs, at the trot. Circé started trotting very easily, let me guide her as we performed various figures, and then stood quietly while I watched E. perform hers.
After that, we were ready to start working on the main exercise, which I tried to draw above.
First, at the walk, from the bottom of the arena. Walk over the 6 blue ground poles. When reaching the opposite wall, transition to the trot, go along the short side, and then over the two green ground poles, going very straight, and back to the walk before the orange one. Super simple, right? Circé was perfect until the last blue pole, when she suddenly started trotting. I bring her down to the walk until we reach the wall, then we started trotting and all went well. Second attempt. She started trotting again even though I made sure not to give her any aid to do so.
But that was nothing compared to the next exercise. The pattern was still the same, but this time, we would start at the posting trot. After the orange cone, sit and take our feet off the stirrups to go over the ground poles at the sitting trot. At the opposite wall, go back to the walk, put our feet back in the stirrups, canter on the left lead, go over the first green pole at the canter, over the second one at the trot, and then be at the walk at the level of the orange cone.
Except I had a lot of trouble regulating Circé’s trot and she had too much energy for me to be able to sit the trot. I was very tense, which made it worse. The transition to the canter was fine, but we would go back to the trot before the first green pole, and I am not sure why. There were also a few attempts that I didn’t like at all, where we would catch up with the horse in front of us, and Circé would even attempt passing them, and I felt like I had little control over what was going on. And this bridle that was too large, without a browband, that bridle that kept sliding down her poll... A few times, over the blue poles, I even forgot to take my feet off the stirrups, and I am apparently very much unable to sit the trot with my feet in the stirrups. A disaster...
Last exercise. On the other rein this time. A nice transition to the canter on the right lead in the bottom right corner in the above drawing. Go over the first green pole at the canter, then the second one at the trot, and keep trotting, and go over the blue ground poles while sitting the trot. The transition to the canter was fine, but going back to the trot was a lot more difficult. Sometimes, I just have to sit a bit deeper, or start posting, and my horse will also transition to the trot. It didn’t work with Circé. We eventually did transition back to the trot in the corner, and she launched herself at the ground poles at a rhythm I really couldn’t follow. The only times I got to trot comfortably was when we had another horse in front of us and Circé would slow own.
At the end of the lesson, K asked us to do just one part of the exercise which we felt we could do well. I had trouble answering that question, because I wasn’t particularly happy with any of what I had done. But it is important to focus on what we can do well... And then I mention this bridle again, because I kept thinking about it. So, K stepped towards us, slid the bridle down Circé’s face and handed me the whole thing, while my reins were now just around Circé’s neck. "Go ahead," she said, "you can trot and canter if you want". Uh?? I did not canter, I just didn’t believe I could do it, but we did trot a little and that was fun.
"The tool doesn’t matter", K said, meaning that one can ride with a bit, with a headcollar, with a neck ring, and it’s all the same thing. "The tool is my head", I replied. And that day, my head was just not functional enough to accept cantering with an unknown young horse with just my reins around her neck.
Besides the actual riding, this last part was also a psychology lesson, and I am trying to focus on the fact that as a whole, I did manage to perform part of the exercises, and Circé gave me what she could at that moment in time. Positive attitude... because the lessons I learn in the arena also apply when I am away from horses.
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