Tumgik
#gratter
fishingandlifehack · 1 year
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Bref, ultérieurement de nombreuses excursions pendant lequel le sud de la Floride, je finirais par cravater l'une des music-hall quantième un sur ma récapitulation de choses à faire fléchir. Finalement, il est identiquement exceptionnellement bon de aérer la zodiacaux qui démange de cette féminin Vouivre. Setto_Powah / 1671500162 #Pêche ID : 63b3851b01aafcomment pêcher, le fils pêche, l'oiseau pêche, tout le monde pêche, le corbeau pêche, le chien pêche, l'ours pêche, l'enfant pêche, le garçon pêche, l'ours pêche dans la rivière , pour attraper, la belle fille attrape du poisson, le chat attrape du poisson ! pêcheur de chat, comme un corbeau attrapant du poisson, pêchant avec ses mains, nous attrapons le plus gros poisson, de pêche, de pêche, de pêche, de poisson, de pêche au brochet, de pêche à la carpe, quoi attraper, de pêche, de pêche à la carpe, de poisson pêché https://wpwsocash.com/?p=15819&feed_id=714/
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porciaenjoyer · 8 months
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il fait trop chaud .. trente et un degrés puis-je mourir. désolée albert .. je veux dire, je voudrais une boisson froide ou quelque chose
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affairesasuivre · 2 years
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Un roman de Jim Thompson illustré par Thomas Ott
Excellente idée et superbe résultat : l’éditeur suisse La Baconnière publie A Hell of a woman, un roman de l’Américain Jim Thompson illustré par Thomas Ott.
Jim Thompson (1906-1977) a écrit de nombreuses nouvelles et romans, rendus célèbres plus tard par leur adaptation cinématographique, comme Série noire d’Alain Corneau, Coup de torchon de Bertrand Tavernier, Les Arnaqueurs de Stephen Frears ou The Killer inside me de Michael Winterbottom. Il a également collaboré avec Stanley Kubrick sur L’Ultime Razzia et Les Sentiers de la gloire.
A Hell of a woman date de 1954, et a été traduit en France sous les titres Des cliques et des cloaques, puis Une femme d’enfer. Raconté à la première personne par son héros, il met en scène Frank Dillon, un vendeur itinérant et un brin parano, qui est pris dans un engrenage criminel entre son épouse, son patron et une jeune femme prostituée par sa tante…
Noir, très noir, et un peu fou, ce roman ne pouvait que séduire le dessinateur suisse Thomas Ott (R.I.P., 73304…), maître de la carte à gratter, habitué des récits muets et attiré par les faits divers. Pour A Hell of a woman, il produit des dizaines d’illustrations : sept couvertures, mises en page façon pulp, des vignettes agrémentant le texte (exemples ci-dessous), et quelques grandes images au noir et blanc hypnotisant.
L’association du texte hirsute de Thompson et des dessins cauchemardesques de Ott fonctionne à merveille. D’autant que le livre est ultra-soigné, avec sa mise en page efficace et vintage, incluant un cahier central détaillant la biographie de l’écrivain américain. Un délice pour amateur de roman noir.
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A Hell of a woman. Roman de Jim Thompson illustré par Thomas Ott. La Baconnière, 25 €, octobre 2014.
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gwen-91 · 1 year
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rarougrougrou · 2 years
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Je trouve toujours gratifiant d'être accepté par des pelos qui sont incroyablement beaufs
Genre ils t'incluent dans leurs blagues de merdes et leurs clichés et c'est sincère et de bon coeur
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frenchdrarry · 2 years
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Draco : *essaye d’essuyer discrètement une larme face à une scène émouvante*
Harry : Tu pleures ?
Draco : Non, j’ai une poussière dans l’œil.
Harry : Cette excuse ne fonctionne que dans les livres.
Draco : Je voulais dire du pollen. Je suis allergique.
Harry : Ce n’est même pas la saison du pollen.
Draco : Bien sûr que si. Y’a vraiment que les non-allergiques qui peuvent dire ça avec autant d’assurance.
Harry : Draco, on est en hiver.
Draco : Il n’y a pas de neige, donc nous ne sommes plus vraiment en hiver. Le printemps a de l’avance, depuis le temps qu’on dit qu’il n’y a plus de saison !
Harry : …Je n’ai jamais vu quelqu’un avec autant de mauvaise foi que toi.
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ellapitr · 2 months
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Jeu a gratter
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Standing in front of the moving walkways and escalators with a megaphone yelling at all the guests bringing strollers and wheelchairs onto the machine.
YOU ARE PLAYING RUSSIAN ROULETTE WITH A MEAT GRINDER!!!
I am. So tired. So So tired. Of cleaning up the blood.
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lovlelymama · 10 months
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(via T-shirt classique «  Chemise de chat Boss, chemise gratter de chat » par LovlelyMama ⭐⭐⭐⭐⭐)
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ateliermicmac · 1 year
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la semaine dernière nous nous tatouions (rien que pour le plaisir de conjuguer le verbe tatouer) dès le plus jeune âge (4,5 ans) et nous nous dessinions des motifs de henné avec des pics à brochette. Eh oui...
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alicedusstuff · 9 months
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Juste dessiner pour me calmer après la fin trop triste de good Omens. J’étais toute la série en train de me dire Awww et trop choupi ><. Puis. On me donne une fin injuste comme ça….J’ai besoin d’une suite. C’était trop court. Bref. Du coup, juste en train de gratter le crayon pour penser à autre chose.
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amertumedelamer · 26 days
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Grosse livraison, pour un gros temps d'absence, en mode maumaumégalo, automoi ; autoportraits en cascade.
Voici une maigre sélection parmi la totalité de mes autoportraits, réalisés depuis le 17 décembre dernier, et jusqu'au 17 mars 2024, sur une initiative de l'artiste Magali Cazo (merci !).
Pour une durée de trois mois, j'ai arpenté mon visage, ou plutôt, j'ai tenté de gratter du regard, chaque jour, cette surface qui est mienne, cette enveloppe que j'habite, bon gré mal gré. La vérité, coutumière, est qu'assez peu de mes dessins me satisfont, et moins encore me ressemblent (mais ce sujet du réalisme n'est pas à privilégier).
Je ne vais pas mentir, il m'a été difficile de tenir la longueur, mon assiduité a parfois manqué... J'espère tout de même finir ce carnet, encore incomplet, et même hors délai.
Finalement, j'adore la couleur, et j'adore la travailler, mais je n'ai pas abondé dans cet aspect de ma pratique. Mon carnet, sujet de nombreux reproches tout au long du processus, déjà ne passait pas entièrement dans mon scanner, et n'accueillait pas non plus suffisamment bien à mon goût la pointe de mes habituels crayons de couleur. La sensation n'y était pas.
Bonne dégustation, au moins du regard (même s'il est vrai que l'heure des chocolats se fait proche).
Ceci n'est pas un poisson d'avril, mais bien la fin de ce post.
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sijexistemaintenant · 4 months
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J'ai toujours appris à me détacher facilement des gens. Partir sans prévenir, sans essayer de comprendre. Mais toi, j'ai pas envie de t'oublier, et sans l'envie tu fais rien. J'ai l'envie qu'on se reparle, qu'on se voit, mais ça je peux rien n'en faire. Et je crois que c'est ce qui me rend le plus triste. Avoir un mur en face de soi, le gratter jusqu'à saigner des doigts, mais rien pouvoir y faire. J'aurais aimé te montrer mon impuissance, ma vulnérabilité parce que je crois que c'est ce qui y'a de plus beau chez moi. Parce qu'il y a rien de pire, qu'être impuissant par le manque de ta présence.
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from-derry · 3 months
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Groupes et communautés
Vous qui aimez la sécurité, l’ordre, vous endormir en sachant que vous êtes entre les mains de gens qui ont à cœur de vous protéger (de vous, des autres, d’Eux), vous souvenir de votre vie passée dans un confort très normé… Eh bien, vous avez toutes les chances de vous retrouver au centre bourg. Traversé par Main Road, on y trouve certains établissements comme le diner, l’ancienne école, la station-service ou le bureau du shérif. Vous serez logés dans des maisons pavillonnaires, dotées d’un certain confort ! Il faudra par contre parfois vivre avec d’autres personnes au gré des arrivées – ne vous inquiétez pas, généralement on place les gens en fonction de leur arrivée ou quand il y a bonne entente. C’est le shérif qui s’en charge, s’il n’y a pas de vœux – vous inquiétez pas, elle sait être arrangeante. C’est qu’on a qu’un nombre limité de maisons – enfin, en vrai vous pouvez vous en construire, mais elles ne seront pas liées à l’eau ou à l’électricité.
Sinon, il y a la maison commune. Là-bas, sur la colline, c’est à quinze minutes du centre bourg. La grande maison de type colonial. Par contre, vie commune, on partage tout, même les vêtements. C’est un peu confus au départ, mais le doyen organise tout d’une main de maître. Tous les espaces possibles sont occupés dès qu’il fait nuit, et c’est un peu le jeu des chaises musicales pour le couchage. Mais là-bas, il y a toujours quelqu’un de réveillé, une bonne entente, de la musique, des rires. Il y a deux règles principales : l’hospitalité et le partage. Si vous jouez le jeu de la vie en collectivité, vous aurez à la fois la protection, la joie. Ils sont plus dans l’optique vivre au jour le jour, mais ne vous inquiétez pas, vous manquerez de rien, ou presque. Genre… l’intimité.
Si vous avez fait le choix – ou on l’a fait pour vous – de ne pas vivre en communauté, c’est une vie de solitude et de risques qui vous attend. Pas ou peu de confort, comme l’eau et l’électricité, la solidarité faut vous gratter… à part si vous avez des choses à échanger, comme des objets, vos bras ou votre tête. C’est une vie frugale, pleine de danger, mais y a pas à compter sur des petits chefaillons. Puis… y a vous, les gars qui venaient de débarquer. C’est pas une période facile, on sait – faut découvrir et accepter tout ça, s’adapter et le choix est rapide et brutal entre les communautés. Désolé, c’est en plus souvent définitif, mais on sait et surtout vous savez que c’est pour le meilleur. Vous aurez pas trop le temps de regretter, les nouveaux.
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alien-superst4r · 4 months
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RAYE (Rachel Keen)
crédit : alien superstar
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Un jour j'ai dit à mes potes que j'apprendrais à utiliser Photoshop parce que j'en avais marre de leur gratter des avatars de mes fc jamais joués and here we are.
Merci à @la-chonga de m'avoir expliqué toutes les options, merci pour les conseils, les suggestions et aussi merci de slay mon quotidien. I love you wifey <3
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quemajoiedemeure · 5 months
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J'ai eu ma première journée de formation syndicale aujourd'hui et : vraiment la meilleure vie d'être entouré de gauchistes avec qui on peut dire que macron c'est un boloss en buvant du thé, dire que le travail c'est pourri sans se faire regarder de travers et surtout gratter plein d'autocollants avec des dessins de chattes dessus, je reviendrais
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