GAZON MAUDIT (1995)
dir. Josiane Balasko
Laurent is the local estate agent, a job that offers easy opportunties for his womanising. His wife beautiful wife Loli looks after his home and two children unaware of his many affairs. However, their world is turned upside down by the arrival of Marijo, an itinerant lesbian whose minivan breaks down nearby. The neglected Loli is drawn to the sensitive Marijo and when she learns of Laurent's infidelities, invites Marijo to move in with them. The arrangement takes an emotional toll on each of them, exacerbated by the arrival of a figure from Marijo's past. As they struggle with the situation and each other, all of their lives are changed forever.
(link in title)
‘앵그리 애니’는 오는 11월 01일 개봉했습니다.
Le film “Annie colère” est sorti dans les salles de cinéma coréennes le 1er novembre 2023.
- Réalisé par (감독) : 블란딘 르누아르 (Blandine Lenoir)
- Avec (주연배우) : 로르 칼라미 (Laure Calamy), 지타 앙 (Zita Hanrot), 인디아 에르 (India Hair), 로즈메리 스탠들리 (Rosemary Standley), 오스카르 르사주 (Oscar Lesage), 호시안 발라스코 (Josiane Balasko), 파스칼 아르비요 (Pascale Arbillot), 로랑 스타커 (Laurent Stocker) …- Date de sortie (개봉일) : 2023.11.01 개봉
2022 / 119 min (119분) / 드라마 (drame)
//////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////- La bande annonce (예고편)
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- Le synopsis (줄거리) :
1974년 프랑스 교외의 한 작은 마을.
두 아이를 키우는 워킹맘 애니는 원치 않�� 임신을 하게 된다.
다행히 MLAC(임신중지와 피임의 자유를 위한 운동)의 도움으로 일상으로 돌아온 애니.
하지만, 우연한 사고를 계기로 MLAC 활동에 동참하기 시작하고
침묵으로 일관했던 지난날을 자책하며 본격적으로 목소리를 높이는데…
세상을 향한 분노, 세상을 바꾸다!
<앵그리 애니>는 실화를 소재로 한 영화다. 1974년 프랑스의 어느 시골 마을, 10대 자녀 둘을 둔 워킹맘 '애니'는 뜻하지 않은 임신을 하게 된다. 이후 그녀는 '임신중지와 피임의 자유를 위한 운동(MLAC)'에서 활동하는 여성들과 의사들을 만난다. 자유롭고 안전하면서도 여성을 존중하는 방식을 만들어 나가지만, 아직은 불법인 영역을 침범하며 세간의 주목을 받는 이들. 애니도 점차 이들의 투쟁에 함께하게 되고 이는 그녀의 인생에 새로운 의미를 가져다주는데...
(2023년 16회 여성인권영화제)
Février 1974. Parce qu’elle se retrouve enceinte accidentellement, Annie, ouvrière et mère de deux enfants, rencontre le MLAC – Mouvement pour la Liberté de l’Avortement et de la Contraception qui pratique les avortements illégaux aux yeux de tous. Accueillie par ce mouvement unique, fondé sur l’aide concrète aux femmes et le partage des savoirs, elle va trouver dans la bataille pour l’adoption de la loi sur l'avortement un nouveau sens à sa vie.
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- 부가 정보 / Plus d’informations
AK Entertainment
https://www.instagram.com/ak.movie/
Okay dailymotion c'est éclaté mais c'est le seul site où on peut trouver une vidéo des Enfoirés 1995 où Eddy Mitchell chante "Da dou ron ron" avec Josiane Balasko et Renaud, Souchon, Bruel, Goldman et Voulzy qui font les choeurs (et qui DANSENT)
Film after film: Let the Sunshine In (dir. Claire Denis, 2017)
The first out of three (so far) collaborations between Denis and Binoche plays relatively simple. It's shot and narrated conventionally, which is only occasionally interrupted by a perched angle or a longer pause. The plot centers around Binoche and her encounters with several men, frustrating, emotionally draining, and yet somehow interesting and likely pleasant. I like to think of this film as one that both of them decided to make during one of the many development breaks in filming High Life.
Quand on voit le bout du tunnel, c'est bon de jeter un œil derrière soi et de réévaluer tous les périls auxquels on a survécu...
Petit rewind d'un an : je viens de claquer la porte du Master 1 à Angers et je rentre sur Paris, le cœur comme un petit pois...
... et juste le lendemain, ils annoncent un re-re-confinement : bye-bye, mon projet de trouver une mission courte pour patienter jusqu'à la rentrée de septembre.
-- résultat : trois, puis quatre - non, cinq mois, sans ramener une thune...
-- coincée deux mois durant (1.464 heures, donc) dans un immeuble parisien sans aucune isolation phonique, avec la sociopathe lanceuse de marteau du 2ème et les bricoleurs insomniaques du RdC ;
-- démarchant toutes les Universités du pays qui proposent un Master archives, pour m'entendre répondre que je ne peux m'inscrire qu'en formation continue...
Ah çà, on peut dire que je l'ai senti passer, le carré de Saturne sur le Mars natal.
L'avantage - car il y en a forcément un - c'est que çà m'a donné une putain de motivation. Hors de question de laisser cet échec engloutir les rêves/projets que je commençais à former, au sujet d'une possible poursuite d'études dans la recherche musicale.
Pour commencer, j'ai compris que je devais absolument décrocher ce M1 à Versailles - le seul Master archives de la région qui m'acceptait en formation initiale. Ne pas être prise à l'UVSQ signifiait : devoir partir une année en province, donc dépenser mes dernières économies dans un logement sur place, donc ne plus avoir assez d'argent ensuite pour boucler sur un M2.
Grosse pression.
Quand j'ai appris que je devais passer un entretien d'admission avec le responsable du Master, j'ai pris une semaine pour préparer ma présentation : la rédiger, l'apprendre par cœur, la répéter devant la glace jusqu'à ce que çà ait l'air naturel, lister toutes les questions qu'on était susceptible de me poser, et imaginer quelles réponses m'ouvriraient les portes de la formation.
Une fois intégrée au Master, j'ai fait la plupart de mes choix avec une seule idée en tête : est-ce que çà va augmenter mes chances d'être reçue à l'Université de Créteil ? Les séminaires d'ouverture, notamment, je les ai choisis pour çà, et pas parce que la matière me plaisait particulièrement (même si j'ai pu prendre du plaisir à les suivre par la suite).
Quand le climat s'est détérioré, avec les autres élèves de la classe, et que plus personne ne m'a adressé la parole pendant des semaines, je n'ai pas craqué. Je suis restée concentrée sur ce que j'avais à faire - exactement comme, sur la route, je restais concentrée sur ce qui se passait devant moi. Quoi qu'il arrive, je ne perdais pas mon sang-froid et je ne montrais pas mes émotions.
Quand il est apparu que l'orientation globale du Master était bien dans le ton de ce que j'imaginais avant de venir, et que j'allais passer l'année à m'ennuyer/faire des trucs que je n'aimerais pas (oui, oui, le DTA, c'est à toi que je pense), j'ai serré les dents et je me suis accroché...
Me lever à cinq heures du matin, quatre jours par semaine, pour faire un truc qui me rase, avec des gens que je n'inviterais même pas à mon propre enterrement ? Mais, hey, j'ai signé pour çà, non ?
Eh bien, je peux l'annoncer aujourd'hui avec une immense satisfaction :
Nous sommes allés voir cette pièce au Théâtre des Nouveautés (24, Bld Poissonnière dans le IXe) mercredi soir. C’était le cadeau de Noël de nos neveux Maïlys et Jérôme.
Elle a eu tellement de succès qu’ont été programmées 50 représentations supplémentaires. Nous ne vous donnons aucune autre précision, elles affichent toutes complet.
Nous étions au premier rang Corbeille, face à la scène, les meilleures places de ce petit théâtre que nous ne connaissions pas du tout.
Evidemment la salle était pliée en deux. Tout le monde a beaucoup ri. Dans le contexte actuel, ça peut faire beaucoup de bien !...
Les photos ci-dessous ont été envoyées à nos neveux dès le baisser de rideau, avec bien sûr tous nos remerciements.
NB Nous ne serions jamais sortis ce jour-là s’il n’y avait pas eu ces places réservées. Il faisait à Paris un froid de gueux (-2, ressenti -4 degrés !). Arrivés un peu en avance, nous avons pris un délicieux chocolat viennois, à 2 pas du théâtre, au « Brebant » (Métro : « Grands Boulevards ») Quand nous en aurons l’occasion, nous retournerons dans cette Brasserie dont la Carte et le décor nous ont plu. A noter que les serveurs sont habillés en tenue traditionnelle de serveur… on aime bien, cela fait tout de suite très « brasserie chic parisienne » !
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UN CHALET A GSTAAD
Une pièce écrite et mise en scène par Josiane Balasko.
Avec Josiane Balasko, Armelle, Philippe Uchan, Stéphan Wojtowicz, Justine Le Pottier et George Aguilar.
Décors Stéfanie Jarre
Le pitch
Quelques années après avoir enfilé les chaussures de ski de Nathalie Morin dans « Les Bronzés font du ski », Josiane Balasko reprend le chemin de la montagne avec sa nouvelle pièce hilarante « Un chalet à Gstaad » !
Françoise (Josiane Balasko) et Jean-Jacques Lombard, très riches exilés fiscaux dont la fortune repose sur les inventions du mari, s’apprêtent à recevoir un couple d’amis, Alicia et Grégoire Lagarde. Lui est un industriel fils à papa, Alicia est une aristocrate richissime et bête à manger du foin. Tout pourrait bien se passer, on est entre gens du monde (même si ce n’est pas forcément le même) si Alicia ne s’était entichée d’un coach spirituel, gourou sur les bords, qui les accompagne au dîner. Et forcément, le vernis va finir par craquer, surtout lorsque le gourou va leur annoncer le pire : leur fortune est menacée... et leur « pognon de dingue » pourrait bien partir en fumée.
Josiane Balasko (Les Bronzés) sans filtre sur la première pièce du Splendid : "Qu’est-ce que c’était mauvais"
Paris Match a mis en couverture de son dernier magazine tous les membres du Splendid (Les Bronzés, Le Père Noël est une ordure). C'était une occasion parfaite pour Gérard Jugnot, Bruno Moynot, Marie-Anne Chazel, Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Michel Blanc et Christian Clavier de revenir sur les créations qui ont marqué leur carrière.
"On ne s’est pas vus tous ensemble depuis notre César d’honneur reçu en 2021", dit Josiane Balasko dans le dernier numéro de Paris Match sorti ce jeudi. Le magazine, qui a 75 ans cette année, a réuni Gérard Jugnot, Bruno Moynot, Marie-Anne Chazel, Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Michel Blanc et Christian Clavier pour une photo spéciale célébrant les 50 ans de la création de la troupe du Splendid.
UNE PREMIÈRE PIÈCE CRITIQUÉE PAR JOSIANE BALASKO
Même si le groupe a fait rire des millions de Français avec les comédies Le Père Noël est une ordure ou Les Bronzés, Josiane Balasko n'hésite pas à dire aux journalistes qu'une des premières créations de la troupe du Splendid n'était pas mémorable. Elle a rejoint le groupe en 1977 après le départ de Valérie Mairesse qui, après sa séparation avec Thierry Lhermitte, n'avait "plus sa place dans la pièce qu'ils étaient en train de créer, Le Pot de terre contre le pot de vin", précise Paris Match. "C'était vraiment mauvais", plaisante Josiane Balasko sur cette création qui a été beaucoup retravaillée après son arrivée. "Quand je les ai rejoints, ils étaient surtout occupés à rénover leur théâtre, donc la pièce n'était pas une priorité. Au début, c'était vraiment nul mais petit à petit, on en a fait quelque chose de passable", ajoute-t-elle.