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#petit banc blanc
homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 82
Jeudi soir
Quand j'arrive, je suis le premier. Je cours vite me préparer. Au sous sol, je m'épile soigneusement et me rase les couilles. Un petit lavement me confirme que de ce coté là c'est propre aussi. J'enfile un jock et entame une séance de muscu.
J'ai fini mes 5 séries de développé-couché quand j'entend la voiture de Marc. Je vais travailler mes triceps à la poulie. C'est les jambes écartées un peu pliées alors que je tire 27Kg que Marc me découvre. Il est encore en tenue de ville. Il se déchausse seulement et me dit de ne pas bouger. Je bloque le mouvement mes avants bras à l'horizontal. Il arrive derrière moi et je sens sa main droite se poser sur une puis l'autre fesse. Je commence à vibrer, le poids en statique me fait trembler ! Sans un mot je sens sa main se déplacer, s'insinuer entre mes fesses et ses doigts atteindre leur but, mon anus ! Il enfonce son majeur direct ! je n'en peux plus et relâche les poids ! je pivote mon buste et je lui prend la tête pour qu'on s'embrasse. Notre baiser est violent, nos dents se cognent, nos langues se cherchent se battent alors que son doigt est toujours en moi. J'arrache sa cravate, fait tomber sa veste et déchire sa chemise, pas le temps de défaire les boutons un par un ! Il lâche mon trou, à genoux je peux m'occuper de son pantalon, ceinture, bouton, braguette, hop sur les chevilles. Son shorty à hauteur de mes yeux, il ne peut cacher le barreau horizontal qui le déforme vers la gauche. Je plaque ma bouche sur son extrémité. Je suce au travers du tissu. Ma salive le fait coller au support et lorsque je recule, on découvre un gland surmoulé de blanc. Le tissus mouillé épouse les chairs gorgées de sang. Je descend le shorty jusqu'à le glisser sous ses couilles. Sa bite en a profité pour se dresser à la verticale. Le spectacle est superbe, de bas en haut : deux belles et grosses couilles rasées, pendantes un peu mais pas trop, la hampe large et veinée déformée par le renflement de l'urètre, les plis du prépuce retenu par le frein au gland violet, la surface lisse sous la pression interne et dont le bord type " champignon " déborde.
Je pose la langue sur ses couilles, elles remontent un peu. Je me redresse la faisant courir sur la hampe, le frein puis chapote le gland. Je tire légèrement sur ses boules pour décoller le gland de ses abdos et commence ma fellation.
Son gland est trop bon. Bouillant, je m'efforce de réduire sa température par de nombreux va et vient destinés à le couvrir de salive. Ma langue prend bien soin d'étaler cette dernière sur toute sa surface, sans oublier le rebord dessous la couronne. J'ai du atteindre les limites du supportable car il prend ma tête entre ses mains et m'enfonce son pieu en grande profondeur. Au passage il m'éclate la glotte. Il ne relâche la pression que quand j'ai l'impression d'être aussi violet que son gland ! Je n'ai que le temps de respirer un grand coup avant qu'il ne remette ça. Quand il arrive au fond de ma gorge, je dégluti rapidement plusieurs fois, effectuant ainsi un massage du gland par mon larynx. Il se calme un peu car il ne veut pas jouir tout de suite. Il me demande de me mettre à 4 pattes. Puis il se penche pour s'occuper de ma rondelle. Je suis distrait de ma pipe par ses doigts fureteurs qui pénètrent mon intimité. Quand il m'estime suffisamment préparé, il s'arrache de ma bouche et après avoir fait le tour, m'a dans un premier temps relevé puis écarté les jambes et poussé à m'écraser le torse sur un banc de muscu puis dans un deuxième s'est introduit en moi comme un sauvage. Un seul coup de rein pour m'enfiler ses 22cm au complet ! J'ai encaissé, même si en fin de course j'ai eu les pieds qui décollaient du sol. Ses mains accrochées à mes hanches, il s'est déchaîné. Longues enculades, courts pilonnages, lents, rapides, j'ai eu droit à un panel exhaustif de sa science de la sodomie. Mes mains accrochées au banc, les siennes sur mes épaules les tirant en arrière pour augmenter son intromission, il m'a fait jouir sans que je me touche.
Chaque jet de sperme sortant de ma bite provoquait un resserrement de mon anus, le bloquant dans sa progression. C'est alors que j'expulsais mes derniers millilitres qu'il a explosé dans mon trou. J'ai nettement senti son sperme me couler à l'intérieur. Ancré tout au fond de mon trou, il m'a rempli comme il faut. Puis il nous a achevé par quelques va et vient " floquant " dans son sperme. Mes jambes ont cédées. Je suis tombé à genoux et ce faisant, m'a libéré de sa bite. Il est venu s'asseoir à coté de moi adossé au banc. Assis sur mes mollets, je lui ai pris la tête entre mes mains et nous nous sommes rouler un patin d'enfer.
Sous la douche, sensuellement, nous nous sommes savonnés, massés, caressés. Nos douches sont malheureusement pas plus économiques en eau que des bains vu le temps que nous y restons dessous ! mais c'est trop bon !!
La soirée qui a suivi un dîner reconstituant, s'est passée à organiser le WE du nouvel an. Avec Marc nous avons décidé d'une méga touze avec tout le groupe et les jeunes des vacances. Démarrage le 31 au soir avec arrivées des protagonistes en cours de journée selon les moyens de transport, et fin le dimanche 3.
Si il n'y a pas de désistement nous serons 22 plus nos deux hommes de service. Marc leur a déjà demandé et pour un tarif exceptionnel (jour férié oblige) ils ont acceptés. Le plus dur sera qu'ils respectent la fait de ne pas baiser avec tous !
Je propose à Marc que Xavier (mon client 30aine 1,85m 90Kg musclé avec qui je baise Jean et sa meuf), pourrait participer. Ses 26 x 6,5 feraient plus d'un heureux et de plus les purs actifs ne sont pas les plus représentés dans notre groupe. Il me dit qu'il va y réfléchir mais que mes arguments se tiennent. Ce ne sera peut être pas pour le 31 au soir mais probablement pour le 1er ou 2 janvier. En plus ça relancera les " débats " rien ne vaut un peu de nouveauté pour rompre les habitudes. ;Marc me fait remarquer qu'il va falloir assurer l'intendance pour 25 personnes pendant 3 jours !! Je propose que l'on fasse appel à des traiteurs avec une demande de participation aux frais pour ceux qui travaillent et gratuit pour les étudiants. Pour les boissons, le caviste de la zone commerciale va nous bénir. Entre les vins et le champagne nous devrions en laisser aussi pour une bonne somme.
Pour passer de la maison au donjon, je vais emprunter à ma boite des passages surélevés en bois qui nous servent lors de chantier. Si il fait pas très beau ou qu'il y a de la neige (on peut rêver) nous passerons d'un bâtiment à l'autre au sec.
JARDINIER
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 9, 26 février 1899, Paris. No. 1. — Toilette de réception. No. 2. — Robe en drap olive clair. No. 3. — Toilette de promenade. No. 4. — Élégante toilette de visites. No. 5. — Costume de promenade. No. 6. — Costume de printemps avec jaquette. No. 7. — Toilette de visites. No. 8. — Toilette d'intérieur pour jeune femme. Modèles de la Mode illustrée. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. — Toilette de réception. — Jupe toute unie en lainage moiré. Corsage en peau de soie rose encadrant une chemisette en mousseline de soie rose plissée garnie de rubans de velours noir. Manche très ajustée ornée de groupes de petits plis, le bord supérieur de la manche est garni d'un jockey en velours noir.
No. 1. — Receiving ensemble. — Plain skirt in moiré wool. Pink silk skin bodice framing a pleated pink silk chiffon blouse trimmed with black velvet ribbons. Very fitted sleeve decorated with groups of small pleats, the upper edge of the sleeve is trimmed with a black velvet jockey.
No. 2. — Robe en drap olive clair. — La jupe de cette robe en drap olive clair moucheté encadre un tablier étroit en velours grenat, bordé de passementerie en soie noire. Le corsage est fait avec un empiècement découpé en velours grenat terminé par un col droit en velours, manches ajustées.
Chapeau en paille grenat presque entièrement recouvert d'un oiseau à plumes à reflet métallique.
No. 2. — Dress in light olive cloth. — The skirt of this dress in speckled light olive cloth frames a narrow apron in garnet velvet, edged with black silk trimmings. The bodice is made with a garnet velvet cut-out yoke finished with a stand-up velvet collar, fitted sleeves.
Garnet straw hat almost completely covered with a feathered bird with a metallic sheen.
No. 3. — Toilette de promenade. — La jupe de cette toilette en pêkin rayé noir sur fond blanc, s'écarte en rond vers le bord inférieur sur une jupe en panne de soie noire; le devant est garni d'une large quille en drap blanc ornée de boutons.
Le corsage en panne noire est recouvert d'un large plastron encadrant une chemisette de soie blanche froncée en travers.
Manches en soie blanche entièrement froncées en travers.
Chapeau en paille de riz noire garni de plumes noires et blanches, le devant légèrement relevé et orné de choux de tulle banc et de dentelle noire.
No. 3. — Walking ensemble. — The skirt of this dress, in black striped pekin on a white ground, spreads out in a circle towards the lower edge over a skirt in black silk; the front is trimmed with a wide quille in white cloth adorned with buttons.
The black panne bodice is covered with a large plastron framing a white silk chemisette gathered across.
White silk sleeves entirely gathered across.
Black rice straw hat trimmed with black and white feathers, the front slightly raised and adorned with puffs of white tulle and black lace.
No. 4. — Élégante toilette de visites. — Cette toilette en drap gris très clair est ornée de broderies en soie grise et argent; le devant de la jupe est garni d'un motif brodé remontant jusqu'à mi-hauteur; deux motifs plus petits garnissent les côtés à partir de la taille. Le corsage en drap s'ouvre sur un empiècement en velours d'une nuance plus foncée que la robe; cet empiècement entièrement brodé forme deux pointes sur le devant et se termine par un haut col en velours brodé. Manches ornées de broderie, terminées en pointe au bord inférieur.
Chapeau en paille gris foncé garni de ruban gris moucheté et d'une guirlande de roses roses.
No. 4. — Elegant visiting dress. — This dress in very light gray cloth is decorated with embroidery in gray and silver silk; the front of the skirt is trimmed with an embroidered pattern going up to mid-height; two smaller designs line the sides from the waist down. The broadcloth bodice opens to a velvet yoke a shade darker than the dress; this fully embroidered yoke forms two points on the front and ends with a high embroidered velvet collar. Sleeves decorated with embroidery, finished in a point at the lower edge.
Dark gray straw hat trimmed with speckled gray ribbon and a garland of pink roses.
No. 5. — Costume de promenade. — Jupe unie et très ajustée en lainage couleur sable. Corsage en velours brun; les devants sont recouverts en partie d'un boléro en lainage orné de boutons et de petits rubans de velours; la partie supérieure de ce boléro se termine sous de larges revers en velours, bordé d'un biais en lainage; la partie inférieure se prolonge en une pointe qui retombe sur, la jupe.
Chapeau en paille crème orné de plumes d'autruche brunes.
No. 5. — Walking suit. — Plain, very fitted skirt in sand-colored wool. Brown velvet bodice; the fronts are partly covered with a woolen bolero adorned with buttons and small velvet ribbons; the upper part of this bolero ends under wide velvet lapels, edged with a woolen bias; the lower part extends into a point which falls on the skirt.
Cream straw hat decorated with brown ostrich feathers.
No. 6. — Costume de printemps avec jaquette. — Jupe en drap vert clair garnie de 3 bandes de drap d'un ton plus foncé que la robe. Jaquette en drap blanc s'ouvrant sur une chemisette de fantaisie; cravate en satin.
Chapeau en paille orné d'un large nœud en velours vert fixé par une boucle.
No. 6. — Spring suit with frock. — Skirt in light green cloth trimmed with 3 strips of cloth in a shade darker than the dress. White cloth jacket opening on a fancy shirt; satin tie.
Straw hat adorned with a large green velvet bow secured by a buckle.
No. 7. — Toilette de visites. — Jupe en drap léger gris argent garnie de deux bouillonnés. Élégant corsage en velours gris moucheté, s'ouvrant sur une chemisette en mousseline de soie blanche froncée en travers.
Chapeau en crin blanc orné de mousseline de soie et de roses.
No. 7. — Visiting ensemble. — Skirt in light silver-gray cloth trimmed with two swirls. Elegant speckled gray velvet bodice opening onto a white silk chiffon blouse gathered across.
White horsehair hat adorned with silk muslin and roses.
No. 8. — Toilette d'intérieur pour jeune femme. — Jupe en soie rayée; corsage entièrement plissé en soie rose; ceinture en velours noir fermée par une boucle simili; manches froncées en travers; cravate en mousseline de soie fermée sous un large nœud.
No. 8. — House ensemble for young woman. — Striped silk skirt; fully pleated bodice in pink silk; black velvet belt closed with a faux buckle; crosswise gathered sleeves; silk muslin tie closed under a wide knot.
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12 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Photos issues du blog de mon cher ami et co-auteur occasionnel, @tidodore2
COURTE HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
RESPIRER LES PIEDS D'UN GÉANT ARABE
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En plus d'être d'une taille très grande, Tarek avait des pieds immenses. Très bel homme arabe brun viril et barbu, Tarek avait les pieds tellement transpirants qu'une odeur nauséabonde causée par la sueur l'obligeait à se rendre régulièrement en extérieur pour aérer ses pieds, notamment dans des parcs où il se mettait à l'écart.
Ce jour-là, il était vêtu d'un tee-shirt jaune et d'un short, et, assis sur un banc, exposait ses pieds immenses.
Tarek ne le remarqua pas d'abord, mais il finit par voir un petit garçon en train de renifler ses immenses pieds.
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TAREK : "Qu'est-ce que tu fais là sous mes pieds, enfant ? Tu t'es perdu ? Quoi, tu es un adulte 😳 ? Mais regarde toi, tu es tellement petit et minable avec ton corps maigrelet ! Sérieux les Blancs sont vraiment minables 😅! Tu as un problème de croissance ? Mais tu arrives à mes genoux ! Quoi, m'être utile ? En léchant mes pieds ! Eh bah écoute, vas y, et surtout ne t'arrête pas tant que je te l'ai pas ordonné, gamin !"
Ce jeune homme de plus de vingt ans ressemblait à un garçon d'une dizaine d'années, une maladie l'avait empêché de grandir et de se muscler ou d'avoir des poils.
Le garçon était venu de son plein gré, attiré par l'odeur des pieds. Sa maladie empêchant sa croissance avait pourtant développer son odorat. Il était capable de sentir des pieds puants à plusieurs mètres de distance.
TAREK : "Et tu peut absorber l'odeur des pieds puants ?"
Le garçon blanc se mit à lecher les immenses pieds du grand mâle arabe très viril, et celui-ci apprecia de voir et de sentir la langue d'un garçon blanc léchant ses pieds suants par ce jour très chaud.
En fait, les petits poumons du jeune homme ressemblant à un petit garçon pouvait mieux fonctionner grâce à la puanteur des pieds.
TAREK : "Eh bien, pourquoi ne viendrais tu pas chez moi pour renifler les pieds puants et mes chaussures aussi ?"
Le garçon blanc était heureux car il avait besoin de pouvoir respirer des pieds vraiment très puants s'il voulait rester en vie.
Le garçon blanc accepta et passa le reste de sa vie à renifler et lécher les immenses pieds puants de Tarek, pieds plus grands que sa propre tête. Cela amusait tellement Tarek d'avoir son propre bouffon black renifleur de pieds qu'il invitait toujours ses amis, qui avaient bien évidemment des pieds moins puants que les siens, à se les faire lécher par l'enfant blanc qui n'aurait jamais pu trouver de travail en raison de son gabarit. Dormant dans un tiroir du meuble à chaussures de son maître, avec une paire chaussettes dans la bouche et sur le nez, le garçon blanc était heureux. Comme n'importe quel garçon blanc le serait aux pieds d'un viril mâle arabe.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇲🇬🇧
SHORT PERSONAL FICTIONAL STORY
Pictures taken from my dear friend and occasional co-writer @tidodore2 's blog
BREATHING A GIANT ARAB MAN'S FEET
Besides being very tall, Tarek had huge feet. A very handsome, dark-haired, virile and bearded Arab man, Tarek had such sweaty feet that a foul odor caused by sweat forced him to go outside regularly to air his feet, especially in parks where he stood apart.
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That day, he was dressed in a yellow T-shirt and shorts, and, sitting on a bench, exposed his huge feet. Tarek didn't notice it at first, but eventually he saw a small boy sniffing his huge feet.
TAREK: "What are you doing there under my feet, child? Did you get lost? What, you're an adult 😳? But look at you, you're so small and shabby with your skinny body! Serious white people are really pathetic 😅! You have a growth problem? But you get to my knees! What, be useful to me? By licking my feet! Well listen, go ahead, and above all don't stop until I let you didn't order, kid!"
The young whiteboy began to lick the huge feet of the tall Arab man, and this one licked to feel and to see a white boy's tongue on his sweaty feet. It felt so relaxing on this hot day.
This young man of over twenty looked like a boy of about ten, an illness had prevented him from growing and gaining muscle or having hair. The boy has came of his own free will, attracted by the smell of the feet. His disease preventing his growth had yet develop his sense of smell. He was able to smell stinky feet several feet away.
TAREK: "And you can absorb the smell of stinky feet?"
In fact, the little boy-like young man's small lungs could work better thanks to the stench of the feet.
TAREK: "Well, why don't you come to my house and sniff these stinky feet and my shoes too, whiteboy ?"
The whiteboy was happy because he had to smell and lick the stinkiest feet possible if he wanted to survive. The stench helped him.
The white boy agreed and spent the rest of his life sniffing and licking Tarek's huge smelly feet, feet bigger than his own head. It amused Tarek so much to have his own foot-sniffing black jester that he always invited his friends, who obviously had less stinky feet than his, to have them licked by the white kid who could never have. find work because of his size.
Sleeping in a drawer of his master's shoe cabinet, with a pair of socks in his mouth and on his nose, the white boy was happy. As any white boy would be at the feet of a manly Arab male.
END OF THE STORY
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thom-de-tours · 8 months
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Épisode 9
Cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas de nouvelles de maître Gabriel.
Mais avant hier, j'ai reçu un SMS me demandant d'être chez lui hier soir à 18h.
Ce SMS était le suivant :
Demain soir à 18h tu seras dans le parc des prébendes. Tu porteras un mini short et un tee-shirt blanc, rien de plus. Tu seras bien lisse la chatte propre et graissée.
La nuit fut agité à imaginer ce que mon maître attendrait de moi.
Vers 15h, j'ai commencé à me préparer. J'ai utilisé une crème dépilatoire pour ôter les poils indésirables sur mon pubis, sur mes aisselles mais aussi sur ma petite chatte. J'ai ensuite pratiqué un lavement anal en profondeur pour ne courir aucun risque de lui déplaire. A 17h30, je suis sorti de mon appartement pour aller dans le parc. Les rues étaient désertes, ce qui m'arrangeait assez car à chaque pas, mon short rentrait dans la fente de mes fesses et découvrait mes lobes toujours un peu plus. Je passai mon temps à le remettre en place.
Arrivé dans le parc, je suis retourné au même endroit que la première fois. Le banc était libre, je me suis assis pour attendre.
Au bout de quelques minutes, un homme est passé devant moi. Il est repassé une 2ème fois. A la 3ème fois, il m'a adressé un sourire et m'a dit que je devais être bien à l'aise avec cette tenue. Je lui ai dit que c'était très confortable puis je lui ai demandé si il venait de la part de maître Gabriel. Il m'a dit qu'il ne le connaissait pas. Il a eu l'air surpris de ma réponse puis il s'est éloigné.
J'ai ensuite attendu environ 10 minutes avant qu'un homme en costume s'approche de moi, vienne s'asseoir à côté de moi.
J'étais géné de penser qu'il soit là sans raison apparente.
Mais au bout de 2 minutes, il a posé sa main sur ma cuisse et s'est approché de moi.
Il m'a dit alors que je devais être une bonne petite lope, comme l'avait dit maître Gabriel.
Il m'a dit de me lever et me mettre devant lui.
Il a aimé ce qu'il a vu et m'a dit qu'il allait maintenant pouvoir faire de moi ce qu'il voulait.
Il m'a dit de le mener chez mon maître. Je suis passé devant lui car il voulait regarder mon petit cul bouger.
En quelques minutes, nous sommes arrivés, nous sommes directement.
Sur le pas de la porte, maître Gabriel nous attendait.
Je suis entré immédiatement et ils ont alors discuté. Je pense que l'homme au costume a donné quelque chose à mon maître mais je n'ai pas vu ce que c'était.
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Salut la compagnie !
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Au programme de la journée : tour en bateau dans les îles de Whitsunday 🥰 (traduction littérale : îles du dimanche de la Pentecôte. Devinez quel jour elles ont été découvertes ?)
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Comme vous aurez pu le constater sur ces deux premières photos, nous n'avons pas eu le même temps le matin que l'après midi...Pas de pluie, heureusement, je ne me plains pas!
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On a donc commencé par faire une heure et demie de bateau (pas de voilier, annulé à cause de la météo, snif) pour se poser sur une plage immense de sable blanc, qui a la particularité d'être composée de silice pure, et qui ne retient donc pas du tout la chaleur ... Ce qui évite de s'y cramer les petits petons en plein été ! (Bon, pas que ça s'appliquait vraiment aujourd'hui, mais l'anecdote est rigolote)
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J'aime tout particulièrement les bancs de sable qui se sont créés à droite, ce sont si j'ai bien compris des dépôts d'origine volcanique, ça strie le paysage de façon très graphique !
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Ensuite, une demi heure de galère à faire monter les touristes que nous sommes dans le bateau, puisque la marée a redescendu et que notre gros bateau est donc forcément un peu plus au large. Ben oui, du coup, il faut nous mettre dans un petit bateau gonflable 6 par 6, qui lui même racle le fond.
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Mais du coup, pourquoi ne pas marcher plus loin, me direz vous ? Tout simplement parceque vous sous-estimez la capacité de l'Australie à chercher à vous assassiner tous les 4 mètres ! Un adorable petit coquillage se cache dans le sable, avec la fâcheuse tendance à injecter une neurotoxine aux touristes aux pieds baladeurs. Ce pays est terrifiant.
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Une fois cette épreuve terminée, nous sommes donc partis faire du snorkeling (masque tuba) dans deux zones différentes, le soleil était sorti de sa cachette, et c'était super sympa !
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Le premier était un spot à poissons, c'était très marrant puisque le guide nous balançait des croquettes à la tête, on se faisait donc sauvagement harceler par les poissons qui essayaient de les attraper :') j'avais déjà été au milieu d'un banc, mais de façon moins ... Active !
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Le second spot était au milieu des coraux, c'était très joli aussi ! J'ai vu des coraux bleus incroyables, et les bénitiers sont de toutes les couleurs ici, bleus, violets, verts, marbrés, tachetés, c'est magnifique 🤩
Note : ces photos et cette photo sont la courtoisie d'un voisin de bord qui avait un téléphone submersible (la classe totale) ❣️
Voilaaaa, comme vous pourrez le constater, les derniers jours en Australie se passent bien 🥰
A noter que vous n'aurez sans doute pas de post demain : je serai dans un bus de 9h à 20h30, donc à part vous mettre une photo de mes genoux ...
Des bizouuuuuux !!
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mysadecstasy · 1 year
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Des châteaux de sable
Allez hurle Ma crème Hurle ta peine Que ça résonne dans le canyon du doute Pour tous les forcenés L’eau monte lentement jusqu’à atteindre ton menton Ou alors c’est toi qui marches Froide vers l’horizon azur Impassible et gracieuse Cherches en vain les reliquats d’une douceur écharpée Escarpé le mont à gravir Insurmontables regrets Dans la mer tu t’abandonnes et c’est toujours elle qui aura raison Vague après vague elle sculpte la côte La défigure Martèle et lamine Bientôt engloutie l’île de tes fantasmes Il n’y aura plus que du sel et de l’eau Alors tu cherches ailleurs ce que tu n’as pas trouvé ici C’est un mirage Il n’y a d’autre ailleurs que le rêve Rêve diaphane et sournois qui répond à tous les désirs Rêve grand maître des causes perdues Mieux vaut boire sa souffrance jusqu’à la lie Bien boire pour digérer l’amertume du chagrin Moi je bâtis des châteaux de sable sur le rivage Ils sont immenses Colossaux J’y creuse de petites fenêtres Et j’y aperçois toute la cour de l’espoir sanguinolent Je bâtis des châteaux en plumes pour qu’il puissent s’envoler dans les étoiles Être légers comme l’air et tout oublier Le sable La grève Ton air effronté et tes gestes farouches La sable La grève Le va et vient des vagues inlassable ritournelle Ton corps étendu Offert au monde Offert à ma dévote soif Purgeons nous de nos péchés Dans un long travail D’humilité de dévotion et de sincérité Mettons-nous à nu Nus comme toi sur la grève Jambes croisées et mascara Un chapeau de paille et rien d’autre Tu scrutes l’horizon sans pareil Tu es la dernière femme Seule Seule dans les entrailles de la Bête La seule encore vivante à hurler et hurler sa peine à l’éternité Là sur la grève À la proue du monde et si loin encore Comme la lumière de la lampe à huile d’un phare s’amenuise lentement Le sable encore La mer le recrache à chaque assaut Combien y a-t-il de grains de sable sur cette plage Et combien puis-je en tenir entre mes mains Presque qu’autant que mes désirs fous Cheval noir je suis la famine J’erre entre le chaos et les cieux Loin de ta vue loin de tes yeux Loin de tes yeux trempée de tristesse D’amertume et de regrets Pense aux souvenirs et hurle ta peine Qu’elle sorte bien Oins toi bien de la douleur comme d’un onguent salvateur Ce qui est fait n’est plus à faire Et des grains de pluie chaude s’abattent sur la mer et la terre Tu recules et fuis vers la ville blanche Toute blanche avec ses remparts et sa coursive Tous blanc Le refuge un souffle La pluie martèle le sol et bientôt ce sont des courants de boue qui courent les rues Seule dans ton antre tu te dévêtis à nouveau Tes formes s’impriment dans le hamac Pensive tu démêles les nœuds de ton passé Le banc du cimetière La nuit sans lune sous la tente Le terminus du train pour Latour de Carol Deux papillons jaunes sur une fleur d’été Vos étreintes Le jour qui se lève Pour les braves les amoureux sans hâte Pour l’éternité et le reste Douce aube qui berce de lumière les sens exaltés Et moi je bâtis des châteaux de sable sur les rives du monde Ils sont immenses Colossaux Je bâtis des châteaux de sable pour qu’ils durent toujours Mais toujours ça dure combien de temps Je bâtis un château pour chaque épave dans l’océan Mer éternité opaque et dévastatrice Quand on te prend dans les mains tu es transparente Alors que de loin tu es azur et que quelques mètres sous ta surface tu es plus noire que noire Mer désœuvrée qui inlassablement se rue sur le rivage et la roche Mer impénétrable de détachement Je bâtis des châteaux de sable en offrande à la mer Je bâtis des châteaux de sable en martyr Pour protéger ton corps Pour glorifier ton âme Car derrière ta peine il y a mon amour Dévot et fougueux Cruel face à l’adversité et noble dans sa chair Mais tu ne vois rien que l’horreur Et nous sommes comme deux étoiles qui jamais ne se croiseront Alors je bâtis des châteaux de sable jetés à la mer Engloutis Je bâtis des martyrs de sable Et je m’en lave le cœur Je m'en lave le cœur
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🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Connaissez-vous les Vins du Domaine Aubert et Mathieu ❓ ❓🇫🇷
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🍇🍷Aop Minervois La Livinière rouge Bio cuvée Milo 2020 🍇🍷:
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🍇 :
Syrah
Grenache
Carignan
Mourvèdre
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🏺:
Élevage de 50% de la cuvée en barrique pendant 12 mois.
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💰:
24,90€ /la bouteille
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🌿:
Certifié Agriculture Biologique
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👁️ :
Robe de couleur grenat soutenue avec des reflets violets.
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👃 :
Un nez expressif sur des notes de fruits noir, fleurs.
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💋 :
En bouche on a un vin, velouté avec des tanins fondu. Un vin avec un bel équilibre et une intensité folle. Sur des arômes de fruits bien mûrs voire compoté de Myrtille, Prune, Liqueur de cassis. Des épices (poivre, lavande, réglisse, clou de girofle), une petite touchent de vanille. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur les noisettes torréfiées. Finale fraîche.
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📜En résumé📜 :
Une magnifique cuvée qui allie gourmandise, finesse et intensité en bouche. Un Minervois de très haut niveau qui demande qu'à être dégusté. La régalade assuré.
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🧆Dégusté sur Civet de lièvre🧆.
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🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Colombo de poulet, Corned beef, Canard rôti au miel, Boeuf à l'orange, Chipolatas....
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📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine  pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞
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#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #food #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #bar #wein #italie #foodie #wineporn #boisson
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🇫🇷🗣️Description du domaine 🗣️🇫🇷:
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Deux amis qui ont pour objectif de faire bouger les vignes.Connus sur les bancs de l'école,nous nous sommes lancé le défi de créer une gamme de vin à notre image. Natifs du Languedoc Roussillon, nous voulons faire bouger les vignes de notre région natale en apportant une touche d'originalité et de modernité à nos cuvées. Créé en 2018, nous nous inscrivons dans une démarche éco-conscieuse, plus transparente et plus durable. Cet engagement se manifeste du cep à la bouteille avec des cuvées bio ou en conversion. Anthony, c’est l’explorateur de la team. Il se passionne pour le vin, lors de ses études, après une rencontre avec un œnologue. C’est une vraie révélation ! Il décide de faire de sa passion son métier. Son master en commerce des vins en poche, il passera 6 ans entre l’Asie et New York travaillant pour des importateurs de vins avant de rentrer en France et de se lancer dans l’aventure de l’entreprenariat.Il dépose ses valises à Carcassonne, sa ville d’origine, pour mener à bien son projet. Anthony s’appuie sur son intuition raisonnée et son goût de l’aventure pour élaborer des vins de qualités, haut en couleur !Jean-Charles, c’est l’homme à penser, un brin rêveur. Issu d’une famille de commerçants, il est initié à l’entreprenariat depuis sa plus tendre enfance. Jeune diplômé de l’ESCP, il rejoint un grand groupe parisien pendant 4 ans. Il se lasse peu à peu de ces grandes organisations qui laissent peu de place à sa créativité. Il décide donc de revenir à l’une de ses plus grandes passions le vin.
Il part de la capitale afin de renouer avec sa région natale à laquelle il n’a cessé d’être attaché. Il se laisse tenter par le projet d’Anthony celui de faire du vin différemment !.
Nous croyons en une viticulture porteuse de sens, en élaborant des vins rouges,des vins blancs, desvins rosés issus desmeilleurs appellations du Languedoc Roussillon. Nous pensons l’ensemble de notre production pour être éco-responsable ! 
Nos vins du Languedoc Roussillon s’inscrivent dans une démarche éco-consciencieuse : neutralité carbone, soutien à la biodiversité, packaging éco-conçu, compensation de nos émissions en carbone…Cet engagement se manifeste du cep à la bouteille avec desvins bio ou en conversion.
Ensemble nous voulons faire bouger les vignes, pour contribuer à un monde plus authentique, plus transparent, plus durable. Pour nous tous !
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⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓ Hello corkscrew lovers.  Do you know the wines of Domaine Aubert and Mathieu ❓ ❓🇬🇧
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🍇🍷Aop Minervois La Livinière red Bio cuvée Milo 2020 🍇🍷:
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🍇:
Shiraz
Grenache
Carignan
Mourvèdre
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🏺:
Aging of 50% of the cuvée in barrels for 12 months.
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💰:
€24.90 /the bottle
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🌿:
Certified Organic Farming
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👁️:
Deep garnet color with purple reflections.
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👃:
An expressive nose with notes of black fruit and flowers.
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💋:
On the palate we have a wine, velvety with melted tannins.  A wine with a nice balance and crazy intensity.  On aromas of very ripe fruit even stewed Blueberry, Plum, Blackcurrant liqueur.  Spices (pepper, lavender, liquorice, clove), a touch of vanilla.  A good length in the mouth with a finish on roasted hazelnuts.  Fresh finish.
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📜In summary📜:
A magnificent cuvée that combines delicacy, finesse and intensity on the palate.  A very high level Minervois just waiting to be tasted.  The treat guaranteed.
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🧆Tasted on Hare Civet🧆.
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🍷 Some food and wine pairings possible with this cuvée 🍷: Chicken Colombo, Corned beef, Honey roast duck, Orange beef, Chipolatas....
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📌 Don't forget, drinking a cannon is saving
a winemaker.  Go see the domain's website to see all the vintages and promotions of the moment 📌.
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🔞 "Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation"🔞
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#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #food #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #bar #wein #italie #foodie #wineporn #boisson
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🇬🇧🗣️Domain description 🗣️🇬🇧
Two friends who aim to move the vines.
Known on the benches of the school, we challenged ourselves to create a range of wine in our image. Natives of Languedoc Roussillon, we want to move the vines of our home region by bringing a touch of originality and modernity to our wines. Established in 2018, we are part of an eco-conscieuse approach, more transparent and more sustainable. This commitment is evident from the vine to the bottle vintages with organic or in conversion.
Anthony is the explorer of the team. He became passionate about wine during his studies, after meeting an oenologist. It's a revelation! He decided to make his passion his profession. His master in trade paperback in wines, he spent 6 years between Asia and New York working for wine importers before returning to France and to embark on the adventure of entrepreneurship.
He drops his bags in Carcassonne, his hometown, to carry out his project. Anthony uses his rational intuition and sense of adventure to develop quality wines, colorful!
Jean-Charles is the man to think, a dreamer strand. Coming from a merchant family, he was introduced to entrepreneurship since his childhood. Young graduated from ESCP, he joined a Paris group for 4 years. It gradually tired of these big organizations that leave little room for creativity. He decided to return to one of his greatest passions wine.
It starts from the capital to reconnect with his home region to which it has ceased to be attached. He is tempted by the draft Anthony that of making wine differently!.
We believe in a meaningful viticulture, developing red wines, white wines, rosés from desvins desmeilleurs appellations of the Languedoc Roussillon. We believe all of our production to be environmentally responsible!
Our wines of Languedoc Roussillon are part of an eco-conscientious approach: carbon neutrality, supporting biodiversity, eco-designed packaging, offset our carbon emissions ...
This commitment is evident from the vine to the bottle with desvins organic or in conversion.
Together we want to move the vines, to contribute to a world more authentic, more transparent, more durable. For all of us !
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🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi.  Conosci i vini di Domaine Aubert e Mathieu❓ ❓🇮🇹
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🍇🍷Aop Minervois La Livinière rosso Bio cuvée Milo 2020 🍇🍷:
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🍇:
Shiraz
Grenache
Carignano
Mourvèdre
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🏺:
Affinamento del 50% della cuvée in botti per 12 mesi.
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💰:
€ 24,90 /la bottiglia
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🌿:
Agricoltura biologica certificata
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👁️:
Colore granato intenso con riflessi porpora.
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👃:
Un naso espressivo con note di frutta nera e fiori.
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💋:
Al palato abbiamo un vino vellutato con tannini sciolti.  Un vino con un bell'equilibrio e un'intensità pazzesca.  Su aromi di frutta molto matura anche mirtillo in umido, prugna, liquore di ribes nero.  Spezie (pepe, lavanda, liquirizia, chiodi di garofano), un tocco di vaniglia.  Buona lunghezza in bocca con un finale di nocciole tostate.  Finale fresco.
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📜In sintesi📜:
Una magnifica cuvée che unisce delicatezza, finezza e intensità al palato.  Un Minervois di altissimo livello che aspetta solo di essere assaggiato.  Il trattamento garantito.
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🧆Assaggiato su Hare Civet🧆.
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🍷 Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa cuvée 🍷: Chicken Colombo, Corned beef, Honey roast duck, Orange beef, Chipolatas....
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📌 Non dimenticare, bere un cannone è salvare
un enologo.  Andate a vedere il sito del dominio per vedere tutte le annate e le promozioni del momento 📌.
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🔞 "L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione"🔞
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🇮🇹🗣️Descrizione del dominio 🗣️🇮🇹
Due amici che mirano a spostare le viti.
Conosciuta su banchi di scuola, abbiamo la sfida di creare una gamma di vini a nostra immagine.  Nativi di Languedoc Roussillon, vogliamo spostare i vitigni della nostra regione portando un tocco di originalità e modernità per i nostri vini.  Stabilito in 2018, siamo parte di un approccio eco-conscieuse, più trasparente e più sostenibile.  Questo impegno è evidente dalla vigna alla bottiglia annate con organico o in via di conversione.
Anthony è l'esploratore della squadra.  Ha una passione per il vino, durante i suoi studi, dopo l'incontro con un enologo.  E 'una rivelazione!  Ha deciso di fare la sua passione la sua professione.  Il suo padrone in edizione economica il commercio di vini, ha trascorso 6 anni tra l'Asia e New York a lavorare per importatori di vino prima di tornare in Francia e per intraprendere l'avventura imprenditoriale.
Lascia cadere i bagagli a Carcassonne, sua città natale, per realizzare il suo progetto.  Anthony usa la sua intuizione razionale e senso di avventura per sviluppare i vini di qualità, colorato!
Jean-Charles è l'uomo di pensare, un sognatore Strand.  Proveniente da una famiglia di commercianti, è stato introdotto l'imprenditorialità fin da bambino.  Giovane laureato presso ESCP, entra a far parte di un gruppo di Parigi per 4 anni.  E a poco a poco stanca di questi grandi organizzazioni che lasciano poco spazio alla creatività.  Decise di tornare a uno dei suoi più grandi vini passioni.
Si parte dalla capitale a riconnettersi con la sua regione d'origine a cui ha cessato di essere attaccato.  Si è tentato dal progetto di Anthony che di fare il vino in modo diverso !.
Noi crediamo in una viticoltura significativo, lo sviluppo di vini rossi, vini bianchi, rosati da desvins desmeilleurs denominazioni del Languedoc Roussillon.  Crediamo che tutta la nostra produzione per essere ecologicamente responsabile!
I nostri vini del Languedoc Roussillon sono parte di un approccio eco-coscienza: la neutralità di carbonio, sostenendo la biodiversità, l'imballaggio eco-progettato, compensare le nostre emissioni di carbonio ...
Questo impegno è evidente dalla vite alla bottiglia con desvins organici o in conversione.
Insieme vogliamo spostare le viti, per contribuire ad un mondo più autentica, più trasparente, più durevole.  Per tutti noi !
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la-bucolie · 2 years
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Un vendredi 13 à Osny (version complète)
Je marche depuis chez papa avec mon trépied et mon gros sac sur le dos. Je porte une robe, un haut résille déchiré et de l’eye-liner noir. Look emo pour mon personnage. Sourcils froncés, je fais le chemin habituel : passer devant le lycée à moitié détruit, traverser les rails, arriver à la gare. Je vois Pierre arriver au loin, tout en rouge. Il entre dans une boulangerie, je cours l’attendre devant la vitrine comme un chien impatient. En passant, je me fais siffler.
Pierre me propose un croissant. Il est trop tôt pour avoir faim, alors je le regarde manger et se mettre des miettes partout. Train jusqu’à La Défense, RER puis bus. A Oseraie, on prend un caddie et on déverse toutes nos affaires dedans. Les premiers plans sont des travellings. Test 1,2,3,4… trop de tremblements, il faut acheter du gaffer chez Leroy Merlin (« Leroim », dit Pierre).
Au rayon quincaillerie, on nous indique le rayon peinture. A la peinture, on nous oriente vers les « accessoires de l’électricité ». Là-bas, on nous renvoie, comme une évidence, au rayon peinture. Le gros adhésif gris nous sert à attacher le trépied au caddie. Le soleil est à son zénith, et nous courons sur la route, à l’endroit, à l’envers, jusqu’à n’en plus pouvoir. Un chien nous aboie dessus, depuis le camp de gitans qui nous surplombe. Coupé, la prise est bonne : nuages plats et blancs, champs verts.
On a faim. Je sens que le soleil m’a tapé sur le crâne. Le KFC nous offre une place à l’ombre. Ils se trompent sur mon menu — la commande 7 — j’ai des frites en bonus. Pierre mange son repas, un sachet de poulet épicé, puis une formule enfant. On chante la chanson « Danonino » en même temps, on rit. A la fin du repas, on remplit un formulaire bidon sur internet pour gagner des sundae gratuits.
Après déjeuner, c’est au tour des plans où j’apparais. Endormie dans un caddie, je me laisse bercer, cette fois concentrée pour ouvrir les yeux pile au moment où j’entre dans la lumière. A un moment, Pierre manque de me faire dévaler une pente et m’écraser sur le parking en contrebas. La caméra enregistre tout, ma voix, mon regard paniqué — « Pierre, Pierre ! Retiens-moi ! »
Petite pause où l’on se prend en photo sur une vieille banquette rouge en skaï devant une benne à ordures. Il me filme aussi en train de boire de l’eau.
Je dois poser mes mains sur la vitre brûlante d’une voiture qui n’est pas à nous. Je dois faire semblant de regarder à l’intérieur. C’est une Clio gris foncé. J’ai mal, mais je reste immobile. C’est ça, le cinéma.
Quand la batterie meurt, on retourne au KFC pour la recharger. Installés dans un coin à l’abri du regard des vendeurs, on n’a même pas besoin de consommer. Je vais aux toilettes. En passant devant le miroir, je découvre que j’ai pris d’énormes coups de soleil sur le visage. Je me trouve assez jolie.
Je transvase du Water & Juice goût pêche dans la bouteille de Pierre pour qu’il goûte. Je n’aime pas partager un goulot. Mais fumer le même joint ne m’embête pas. On discute de notre bucket list de choses banales, par exemple être aimé ou jouir. Pas de grand voyage, d’expérience extrême, il y a déjà tant à désirer dans les petites choses. Lui aussi est tout brûlé par le soleil. Il est assorti à son t-shirt de grand-mère et à son jogging.
On traîne un peu trop. Du côté du Lidl et du marchand de piscines, on croise un camion de pizza. Le soleil se couche sur les champs et la route. Les voitures fendent l’air chaud. Des riverains en tongs viennent chercher le dîner. Leurs discussions font une rumeur douce. On commande une pizza à partager : une végétarienne avec une moitié sans poivrons ni champignons pour Pierre. Il faut faire tout le chemin jusqu'à Auchan pour tirer de l’argent. On écoute Suge de Koba la D. Pierre va aux toilettes, je l’attends, les yeux perdus dans une vitrine, sur un banc de la galerie marchande presque vide. J’ai comme une vibration de bonheur dans le corps et le crâne qui me donne envie de déborder, de tout raconter.
Plan où je marche dans un champ. Notre caddie nous suit partout, il nous attend dans les hautes herbes. Je retiens mon souffle pour avancer. Les tiges se plient, je prie pour ne pas tomber dans un terrier de lapin.
On mange notre pizza sur un muret devant une churrasqueira fermée. Toujours les voitures, devant le ciel rose ou mauve. Un chat nous croise, nous échappe. Je n’arrive pas à me retenir de dire à quel point ce moment est parfait. Pierre me parle de deuxième lune et de station spatiale. Il aime les objets célestes. Je lui dis d’imaginer que c’est nous qui surplombons la lune, puisque l’espace n’a pas de sens ; il est bluffé par la perspective.
Dernier plan. Je cours le ventre plein sur le parking en faisant danser mon caddie. Le soleil s’est couché, quelque chose brûle, quelque part. Incendie du soir. Dans la fumée, quelques personnes font encore nettoyer leur voiture à l'Éléphant Bleu.
La musique, c’est Snakes de James Ivy. Un peu rock, voix modifiée, adolescente. Je cours à toute allure, je me propulse, j’halète, je perds le souffle, je fonce sur Pierre, je tourne, je donne tout, à deux doigts de rendre mon dîner. La musique sort de ma poche de veste, elle tourne en boucle. A la fin, je m’écroule dans le caddie et Pierre me pousse. Il prend quelques photos de moi ; je plonge mes yeux dans son projecteur jusqu’à ne plus rien voir.
Il est tard, il n’y a plus de bus.
Sur les routes au milieu des champs, on parle de son père. Les voitures passent, pleins phares, on manque de se faire faucher. Deux animaux de nuit. Parking aux colonnes rouges, au sol presque bleu, je crois voir une piscine. Pierre met Silent Love (Forever), une musique de son film préféré. Les tintements nous accompagnent jusqu’à l’orée de Cergy. Changement de demi-ton ; Pierre exulte. L’entrée des immeubles est toujours illuminée, les boîtes aux lettres ne connaissent pas la nuit. J’appelle Papa pour lui dire que tout va bien, tout va bien, vraiment, ça ne pourrait pas être mieux.
Pierre me montre un clip de rap italien où tout le monde est habillé en bleu et crie sur une instru orchestrale. On se fait écouter mutuellement les chansons qui nous donnent envie de courir – on court. (A Sky Full of Stars de Coldplay…) Les rues sont en pente, l’urbanisme change, on passe des tours beiges aux maisons basses en pierre, fraîches, biscornues. J’ai si mal aux pieds, si mal aux joues. A une fenêtre, on entrevoit une peluche Mario qui nous terrifie. “Mais c’est génial comme super-pouvoir, ça ! Se poster à la fenêtre, la nuit, et faire peur aux gens.” Je trouve l’idée bancale. On parle de manipuler le temps. Je lui dis que je préfèrerais pouvoir me changer en garçon quand j’en ai envie. Il me comprend, il voudrait la même chose, dans l’autre sens. J’aimerais sa taille et ses grandes mains, il aimerait mes épaules pour porter des robes.
On ne peut pas empêcher la nuit de se passer. Quelque part sur le chemin, Pierre compare le prix d’un Uber à celui d’une nuit au Campanile. “Il y a des puces de lit là-bas tu crois ?”. Je me dis que ça serait une façon tout à fait cohérente de continuer cette aventure, ne pas rentrer, être des clandestins, des orphelins, des passagers de la nuit. A ce moment-là, j’oublie un peu ma peur de la saleté, je préfère la possibilité du chaos.
La gare de Cergy-Préfecture est investie de fêtards. Carrelage et poubelle d’un autre monde, New-York ou autre. Une vague odeur de pisse. Des voitures roulent au pas, musique à fond, sur le parking d’un club. Sous un abribus, d’autres retardataires attendent la navette. J’aime ce mot. C’est un vaisseau, c’est un bateau. La nuit, la mer et le ciel sont la même chose. On s’assied à deux sur une place et demie. Pierre range ses jambes comme il peut, il a la nausée. Il me dit que petit, il imaginait des monstres surgir de l’obscurité depuis la voiture de ses parents. Créer un danger de toutes pièces et le fuir, accro à ce sentiment de sécurité. Poursuivi par une ombre, se précipiter sous la couette.
J’essaye de dormir mais mes yeux restent ouverts, encore trop avides de ces images. Je nous vois, deux loques, la fille maquillée et le garçon qui veut vomir, serrés sur un siège. Le ventre de Pierre se gonfle comme le ventre d’un chien, ou d’un autre animal. Le trajet est long, séquencé comme une insomnie. Tantôt je somnole, tantôt je bataille pour trouver une position confortable. A un arrêt, peut-être vers Sartrouville, on émerge en même temps. Pierre dit "Ça va ?” presque à voix basse. Un sentiment très corporel m’enveloppe. La sueur, la fatigue, la digestion, la bouche pâteuse. La navette nous recrache à Nanterre. Il fait frais, je prête à Pierre ma chemise en jean, parfaitement à sa taille. Il est deux heures. On pourrait marcher trente-huit minutes de plus, mais on ne tient plus sur nos pieds. Le Uber coûte 13 euros, comme notre pizza, comme le vendredi 13. Sur la banquette arrière, on ne dit presque rien. J’aime la sensation du cuir. Ça sent un peu le produit WC. Je donne à Pierre la pochette avec des chats brodés que je lui ai achetée chez Guerrisol. La voiture me laisse devant chez Papa, l’au-revoir est rapide.
Juste avant la douche, je me regarde. Je ressemble à une rock-star
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cinqminutesdepause · 2 years
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Vu M. et J. hier. Impression d'étrangeté jamais encore sentie avec une telle acuité. La dernière fois que j'ai vu J. c'était dans l'Hôtel des Ministres de Bercy, dans une salle avec moult chemises et cheveux chénus, Maurice Lévy, d'autres grands patrons, le Ministre qui lui remettait son ordre du mérite. Je ne suis jamais trop à l'aise dans ces trucs-là. J'étais arrivé vaguement à l'avance, j'avais fait des blagues vaseuses dans l'ascenseur à un type qui avait l'air, c'est si rare que cela m'avait interpellé, d'avoir un goût pour les mots et la langue, et peut-être de la culture aussi pensais-je, je me suis dit "tiens des gens fins dans ce cénacle des ors de la République c'est donc possible ?" et qui s'est avéré, quand le ministre l'a présenté, être le président d'un des plus grands groupes de presse français. Et le responsable et ami de J. J'ai écouté J. faire son discours devant un parterre d'hommes (presque uniquement) blancs de pouvoir, j'ai regardé la torsion qui s'imprimait dans le mouvement des groupes et des individus quand Maurice Levy pénétrait dans la salle, combien les regards bougaient et combien les poissons du banc essayaient de tourner leur flanc dans le sens du courant pour avoir plus de chances de croiser son chemin et d'entamer une conversation. J. a été parfaite comme toujours, un discours très bien écrit, à l'équidistance trouvée intuitivement entre les exigences du protocole et de la profonde humanité qui la caractérise toujours. Elle ferait merveille en politique et j'ai été fier de la connaître à ce moment. Avoir une telle maîtrise des codes tout en restant si sensible aux hommes ... chapeau bas.
M. c'est un peu pareil, mais dans l'univers créatif, c'est l'une des personnes qui comptent dans l'industrie des séries. Je pense qu'elle est forte dans ce qu'elle fait mais on a des goûts littéraires absolument opposés ; elle a lu avec plaisir Nicolas Mathieu. Il y a 3 ans j'étais à son anniv' en train d'essayer de raconter des trucs intéressants à Felix Moati et Alice David dans un PMU du 11ème suffisament populaire pour devenir le summum du chic. Je crois que ni Felix ni Alice ne s'en souviennent. Bref.
Malgré des moments difficiles par le passé, leurs vies flamboient. Elles sont toutes deux à un bel endroit de leur vie profesionnelle, leur appart de 100m2 à Paris avec double balcon (M. a une baignoire jaccuzi de 4m2 dans sa chambre de 30m2 qui donne sur un balcon filant vitré avec vue sur tout Paris) décoré avec atticisme les héberge bien. Elles sont en couple avec des mecs virils puissants mais cultivés. Même si le mec de J. est un peu petit et que ca l'avait tenue en souci il y a un moment. Je m'en veux en versant cette petite crasse parce que J est vraiment l'une des personnes les plus admirables que je connaisse. Je n'ai jamais vu une puissance exercée avec autant de soin et de considération pour l'autre, qu'il soit en haut ou en bas de l'échelle sociale. Après avoir galéré quelques temps, M. quant à elle a fini par trouver un mec qui la maltraîte suffisament pour qu'elle soit amoureuse mais quand même suffisament sympa pour que cela soit soutenable dans la durée. C'est l'un des grands scénaristes de la place de Paris. Il est alcoolique, il y a toujours un doute qui plane sur le fait qu'il couche avec d'autres femmes ce qui provoque chez M. la tension nécessaire pour qu'elle l'aime vraiment. On ne se remet pas impunément d'avoir un père. Père dont elle doit désormais payer l'appartement après qu'il a largué sa mère comme une merde pour une femme de 25 ans plus jeune. Son mec est un bon gars je crois. Il a compris. Bourru costaud souriant yeux clairs cheveux longs. Comme tous les mecs qui ont eu beaucoup de conquêtes et séduit beaucoup de femmes belles riches et de la caste dominante parisienne, il a saisi intuitivement que le jour où il serait trop gentil avec M. elle irait voir ailleurs, elle le trouverait soudain incompétent, puéril etc. Bref : il joue le rôle hétéronormé qui est attendu de lui pour qu'il soit désirable. Après tout, écrire des rôles c'est son métier. Alors tant qu'à faire autant bien écrire le sien.
Hier il avait les enfants de J. dans ce parc parisien et M. nous a rejoint comme toujours à l'heure où l'on devait partir. Il y a le tour des nouvelles de chacun. Le nouveau poste de M. son mec qui commence à être prêt pour un gamin, l'achat d'apparts, J qui hésite à quitter Paris, les vacances en Norvège, ses 1200 possibilités pour un nouveau job. J'ai écouté, mal à l'aise à cause des enfants (il n'y a rien qui me terrorise plus que des enfants, j'ai toujours peur qu'ils ne lisent ce qu'il y a en moi, et comme mon comportement de base est de me fondre sur ce que veut l'autre en face de moi, et que ça ne marche pas avec les gosse sinon je me retrouverais à grimper dans des arbres et à courir après toutes les balles qui passent je me sens infiniment démuni en leur compagnie). Mais surtout : je n'avais rien à raconter, pas de meuf à leur présenter, pas de nouveau boulot, pas de projet de vacances ... et j'ai bien senti que ca les emmerdait que je n'aie rien à raconter, parce que cela signifiait que ma vie devait être sacrément chiante, et qu'il ne fallait pas que ma vie soit chiante, sinon il aurait fallu parler vraiment, c'est à dire, de choses tristes, et pesantes. Des vraies choses quoi. En profondeur. J'ai vu leur visage sincèrement triste pour moi. Tout est compris. Ce n'était pas le pacte d'un café comme ça que de parler vraiment. Et donc je ressentais une culpabilité d'avoir une vie si chiante qu'elle ne suffisait pas pour nourir une conversation avec elles d'1h30. Double peine. Non seulement je m'emmerde parce qu'effectivement je n'en peux plus de ce célibat à la con. Mais en plus cet esseulement romantique me vaut un esseulement amical parce que je n'ai pas de trucs cools à raconter à mes potes. Alors j'aurais pu leur raconter que j'avais rencontré L. que M. la connaît sûrement d'ailleurs parce que L. est autrice scénariste et qu'elle a réalisé des films connus avec des gros acteurs (je me demande si Adèle H. ne va pas jouer dans son prochain film d'ailleurs), mais j'aurais tellement eu l'impression de mettre artificiellement des paillettes dans ma vie, et je n'ai pas envie de ça dans mes relations. Pas envie de m'adonner à ce jeu des conventions sociales avec des personnes qui ne sont pas des potes mais de véritables amies depuis des années maintenant. Ça fait chier les gens heureux que les gens tristes ne fassent pas l'effort de camoufler leur mélancolie, moitié parce que c'est moins drôle dans la discussion, moitié parce que finalement je pense qu'elles n'en sont jamais très loin de la mélancolie elles-mêmes, pour peu qu'elles veulent bien y regarder de plus près. J'ai prétexté devoir acheter pour un cadeau d'anniversaire le soir. Je suis rentré chez moi, j'ai envoyé un message sur Instagram à une inconnue, je me suis abruti devant des séries, et je me suis dit que j'avais vraiment fait des choix de vie à la con. L'amitié quoi.
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Mercredi 10 avril 2024
Concerts et prise de sang
Jolie surprise l'autre soir peu après avoir posté mon dernier récit de ce journal, un internaute anonyme a laissé un commentaire adorable et flatteur, commentaire que je ne répéterais pas ici, ce serait un crime d'égocentrisme et de narcissisme. Merci à toi, qui que tu sois !
J'ai reçu il y a plusieurs jours l'un des plus beaux cadeaux que l'on m'ait jamais fait, le jouet ultime pour moi, quelque chose dont je rêvais depuis des années : un piano.
Il trône, triomphant et blanc, dans ma chambre, et j'espère qu'il m'accompagnera durant de nombreuses années. J'espère aussi qu'il me permettra d'écrire de bien jolies chansons. C'est un piano numérique avec des touches lestées dont le toucher est semblable à un vrai piano. J'y retrouve les mêmes sensations que lorsque je joue sur un vrai piano. C'est fantastique ! Merci maman et papa !
Je traverse en ce moment encore et toujours une période de mélancolie, ça va et ça vient, il y a des jours où je me trouve désespéré et puis il y a des journées positives, comme celle d'aujourd'hui où je vois la lumière, au fond. Je ne comprends pas trop ce qu'il se passe dans ma tête, mais, en bon soldat, je continue de gober toutes ces pilules qu'on me prescrit en me disant que ça ira...
L'autre jour, Ed Piskor, un dessinateur que je suivais sur les réseaux sociaux depuis des années, s'est donné la mort. Ca faisait suite à une campagne de harcèlement après quelques témoignages parus à son encontre. Rien de très grave, des histoires de dragues sur les réseaux sociaux, Ed Piskor n'a pas pu résister à la pression et à l'humiliation (il a été traité de pédophile pour avoir envoyé des messages à des filles de 17 balais!) et il a mis fin à ses jours, victime de cette cancel culture que j'exècre.
Décidément, c'est une sale période pour les dessinateurs, vous en conviendrez, vous qui me lisez, puis que j'ai déjà évoqué ces derniers moi les disparitions de Joe Matt et Akira Toriyama.
L'autre jour je suis sorti rejoindre Justine en ville pour aller assister à un concert dans un bar. Il faisait beau, les gens étaient gais, en attendant mon amie sur un banc je les ai observés et ça m'a rendu triste de voir les couples se promener, les filles jolies, je leur en voulait presque parce que moi je demeure seul pendant qu'ils vont, main dans la main (jouer ici une fameuse chanson de Françoise Hardy)...
Finalement Justine est arrivée et nous avons retrouvé le bar dans lequel le concert était prévu. Là, j'ai perdu mon spleen, il était si bon de parler avec mes amies ! Canel nous a rejoins plus tard. Le concert s'est déroulé et je l'ai observé d'une certaine distance, debout, contre un mur, pour supporter la douleur. Il faisait chaud et j'ai fini par sentir couler des perles de sueur dans mon dos, c'était désagréable. Heureusement, le concert n'était pas trop long :il s'agissait d'un jeune groupe anglais, the Silver Lines, ils n'ont pas encore sorti d'album mais ils ont, je trouve, énormément de potentiel. Le chanteur m'a rappelé Johnny Rotten ou Liam Gallagher, il y avait une vraie énergie punk, ces petits gars (il n'ont pas l'air d'avoir plus de 22 piges) n'ont rien à envier aux Arctic Monkeys (surtout ceux de maintenant, avec leurs concepts album foireux et prétentieux). Après le concert nous avons filés dans un bar boire un dernier verre et puis nous nous sommes séparés et Canel a eu la gentillesse de me ramener chez moi. Bilan : bonne soirée, à refaire.
Le lendemain, samedi, je me suis levé tôt, ce qui n'est pas une mince affaire, en ce qui me concerne. Je m'étais inscrit, à l'initiative d'Arthur, à un atelier nommé « Artiste, auteur, autoproduction », atelier ayant lieu à Clermont-Ferrand, au pôle musique.
Selon le tract, ça devait durer 7 heures, de 10 heures du matin à 17 heures. Je n'étais pas, je l'avoue, le plus motivé pour y aller, effrayé par la longueur de l'événement.
Mais j'ai tenu à y assister ne serait ce que pour ne pas lâcher Arthur.
L'atelier était animé par une professionnelle, ingénieure du son, entre autres, ayant une expérience de plus de trente ans de métier, elle a travaillé notamment avec Marianne Faithfull, Barbara ou encore Jean-Louis Aubert (ce n'est pas elle qui l'a dit, elle eu la modestie d'éviter le name dropping, j'ai appris tout ça en me renseignant sur internet).
Nous étions une dizaine à assister à cet atelier, dont plusieurs jeunes rappeurs et autres beatmakers. Arthur et moi étions les seuls rockers, sans surprise, puisque nous sommes en 2024.
Finalement, l'atelier était loin d'être inintéressant et, même si je n'ai pas pris de notes, j'ai appris des choses, pas de regret d'y avoir consacré ma journée.
Le lendemain, j'enchaînais avec la foire au disque annuelle de Gerzat.
J'ai retrouvé Justine et Arthur et après avoir englouti un repas de fast food, nous somme allé dans la salle des fêtes où se tenait l'événement. J'ignore combien de temps nous sommes restés, mais au bout d'un moment, inévitablement, j'ai commencé à souffrir du dos et des jambes, ce qui n'a pas contribué à gâcher mon plaisir, toutefois. J'en suis sorti avec 7 cds (du Kinks, du Led Zeppelin, du Dylan, du Nick Cave, du Doors et du Frank Black) et un vinyle de David Bowie (Station To Station) que j'ai acheté pour offrir à mon amie Amina.
Arthur et Justine ne sont pas repartis bredouilles non plus, c'était donc un après-midi réussi.
Mon spleen m'a repris entre temps et je l'ai combattu en passant des heures sur Tinder, la perspective de rencontrer toutes ces jolies femmes étant la seule chose qui
m'aident à voir une lumière au bout de ce foutu tunnel. Elles sont LE remède. La beauté est ce vers quoi je trouverai le salut ! C'est aussi une source de motivation. J'ai d'ailleurs mis en fond d'écran de mon téléphone une très belle photo de la jeune Monica Bellucci, ainsi, j'ai la beauté à portée de main et ça m'est très utile lorsque je me prend à broyer du noir. Un coup d'oeil et l'espoir reviens. Enfin, c'est ce que j'espère.
Hier soir je suis allé en ville retrouver un pote de Twitter, Maxence.
Je l'avais déjà croisé une fois auparavant, lors du concert de Woody Allen l'an dernier, il m'avait reconnu (puisque j'ai cette tendance à afficher ma sale tronche partout sur internet) et nous avions échangés quelques mots.
Aujourd'hui il se trouvait à Clermont-Ferrand et il m'a écrit, et nous nous sommes vus. Nous avons bus un verre et discutés et continué la conversation autour d'un repas mexicain. Nous avons parlé de littérature, de concerts et aussi un peu des filles (nous avions un crush en commun).
Le lendemain, c'est à dire aujourd'hui lorsque j'écris ces lignes, j'ai dû me lever à 6 heures du matin parce qu'un infirmier est venu me faire une prise de sang. En effet, j'ai été consulter le docteur le jour d'avant, pour lui parler de mes problèmes de souffle court. Il m'a examiné et m'a donc fait faire une prise de sang et prendre rendez-vous chez un cardiologue. Je craignais beaucoup cette foutue prise de sang parce que je n'aime ni la vue du sang et ni les aiguilles. Finalement, tout s'est passé très vite, j'ai à peine eu le temps de voir l'infirmier, j'ai tourné la tête lorsqu'il a pris mon sang et en un éclair tout était déjà terminé.
Et puis dans la journée, Paul, mon neveu, est venu passer l'après-midi à la maison.
Il a monté un set de Lego avec une efficacité étonnante pour un gosse de son âge.
Et puis moi, je suis parti dans ma chambre rejoindre Morphée parce que je n'ai pas l'habitude de me lever à 6 heures, normalement, je me couche à cette heure là !
Voilà tout pour aujourd'hui, merci de me lire chers lecteurs !
Bande son : On The Beach, Neil Young
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cripsnkoukie · 20 days
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La faim du monde
Un homme assis seul sur un banc en silence. A sa tenue on peut croire qu’il vit dans la rue. 
(Idée matériel, un réchaud, une cafetière italienne, un banc, un mouchoir blanc en soie) 
Je meurs ici, depuis 29220 jours. Plus ou moins, certains s'apitoieraient sur leurs sorts, prient la Lune du fond de leurs yeux bleus larmoyant et pathétique.  
Si seulement  mon père ne me battait pas. 
Si seulement la maladie ne l’avait pas emporté. 
Si seulement j’avais hérité d’une immense fortune. 
Mais ce n’est pas mon cas, j’ai des puces mais je reste digne.
Il prépare un café, s'en sert et en boit une gorgée. Regard public 
Je meurs dans un petit appartement de la 4ème avenue, à la place du papier peint c’est de la moisissure qui en habille les murs. J’ai un arriéré de paiement depuis quelque mois mais la proprio à pas encore osé me foutre à la porte. Elle est plutôt gentille. 
Déplacement fond du plateau ou avant scène en fonction de la régie. 
Je viens souvent ici, sur cette plage la nuit, c’est calme, y’a pas grand monde, ça s'appelle la Californie mais ça l’est pas. Y’a souvent de l’animation, pas mal de jeunes, ils boivent, ils baisent, ils se rendent pas compte que je suis là, mais eux au moins ils le font pas exprès. Si une fois y’en a qui m’ont vus, ma gueule a surpris une fille qui a crié je l’ai surpris je crois bien, ils m’ont insulté et jeté une bière vide à la gueule. 
Sors un thermos de soupe et le fixe pendant quelques secondes. 
La proprio, elle habite l’appartement au-dessus du miens, ce midi elle est arrivée avec ça. 
“Tenez c’est de la bonne soupe de poulet ça vous fera du bien” qu’elle a dit. 
Il pose le thermos, fixe le public, le regard se vidant petit à petit, meurt. 
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swedesinstockholm · 6 months
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19 septembre
cet après-midi en travaillant sur mes textes pour point de chute j'avais l'impression que rien ne faisait de sens et j'avais juste envie d'écrire de la bonne prose bien concrète parce que la poésie c'est n'importe quoi. je me disais que je pourrais écrire un roman comme sally rooney, un truc divertissant et facile d'accès, comme ça je vendrai beaucoup d'exemplaires et ce sera peut être même adapté en série et j'aurai pas besoin de me casser la tête avec un travail alimentaire. l'autre jour j'étais assise sur un banc au bord de l'hérault et je regardais un type qui travaillait pour les bateaux de touristes et j'ai noté sur mon téléphone: garçon biologiste marin, une fille bisexuelle (personnage principal) partagée entre le biologiste marin et une dj lesbienne plus âgée. mais y a aussi l'histoire de la metteuse en scène et de la comédienne toutes les deux amoureuses de la même comédienne (l'ange blond butch) inspirée par mes divagations dans l'église de lasauvage de l'été dernier. et biensûr, mon twilight lesbien avec a. et la mer. je crois que je devrais laisser tomber ces conneries de poésie et consacrer toute mon énergie à écrire un bestseller. stick to my guns. le journal d'une princesse, l'humour désopilant.
je suis retournée à la plage avec c. et g. à quatre heures, il faisait trop chaud et l'eau était encore plus trouble que ce matin. j'ai gardé mon haut de maillot parce que c'était l'après-midi. j'ai vu seul au monde sortir de l'eau, il m'a fait coucou, je crois, et puis quand il est reparti il m'a dit au revoir en me faisant le plus grand sourire que je l'ai jamais vu faire. je le lui ai rendu et il est resté collé sur mon visage pendant quelques minutes. je me demande si c'est lui que j'ai croisé dans la mer ce matin pendant que je nageais.
21 septembre
double bonheur je suis dors à l'appart de c. dans le calme le plus complet prête à passer une bonne nuit de sommeil sans jean luc au dessus de moi ET r. vient de m'écrire après quatre jours de silence et ça devrait pas du tout me faire réagir aussi fortement mais à chaque fois c'est comme un cadeau du ciel, il est encore là. je l'ai pas fait fuir avec mon selfie v.i.poo ni avec ma chanson nulle sur saturne ni parce que je viens d'un milieu trop populaire et que j'ai une tante qui m'a appris à danser le madison ni parce que je suis trop needy clingy cringey you name it. j'ai toujours pas parlé de lui à f. ce soir on s'est promenées sur la plage et je sais pas comment elle se débrouille pour m'horripiler un peu plus à chaque fois qu'on se voit mais cette fois elle avait un vibromasseur dans sa culotte qu'elle télécommandait avec une télécommande dans sa poche et elle a commencé à me parler de ses pratiques de masturbation et de jeux sexuels d'esclave et de dominatrice et d'autres trucs qui ne m'intéressent nullement, comme si elle savait pas que j'étais la personne la moins sex positive du monde. je regardais la mer en priant pour qu'elle ferme sa bouche et me laisse apprécier le coucher du soleil nuageux et dramatique en paix.
ce matin à la radio une femme disait qu'elle avait été victime d'inceste petite, mais qu'elle l'avait oublié. elle s'en est rappelé qu'à 33 ans en voyant je sais pas quoi, j'ai pas entendu parce qu'y avait du bruit. ce soir sur la plage j'aurais pu dire à f. tu sais que je suis pas à l'aise avec le sexe parce que je crois qu'il m'est arrivé quelque chose quand j'étais petite mais peut être pas je sais pas je m'en rappelle pas. mais je peux pas dire ça, c'est trop gros.
j'ai revu seul au monde sur la plage cet après-midi en revenant de faire les courses, je me demande s'il m'a reconnue sans ma serviette rose délavée et mon grand tshirt blanc. je suis allée manger mon jésuite sur les rochers en regardant la mer mais y avait pas assez de crème pâtissière et j'étais un peu déçue. j'ai acheté des aubergines, des pommes, des prunes, un kaki et une baguette. je me nourris uniquement de ratatouille de pain et de fruits. j'adore mon rythme ici, j'adore écrire ici, j'adore être seule ici, j'adore mes journées ici, j'adore tout.
22 septembre
maintenant que j'ai découvert la grande motte je rêve d'avoir un appartement là-bas, spacieux luxueux et silencieux et meublé entièrement avec des formes arrondies des années 60 et 70. on y a fait un saut en revenant d'aigues mortes et je suis tombée amoureuse sur le champ, si on m'y avait emmenée quand j'avais 18, 19 ans je serais devenue folle. je courais et je sautais partout avec la bouche ouverte et la tête en l'air et je prenais tout en photo comme si ma vie en dépendait, cette ville est mon rêve ultime de photographe, enfin de mon moi photographe ado en tout cas, qui passait ses journées et ses nuits à scroller des photos d'architecture du milieu du siècle sur tumblr. en googlant la grande motte tout à l'heure je suis tombée sur un article de 20minutes qui parlait du retour de hype de la grande motte sur instagram et je me suis dit oh non est-ce que je ne suis qu'un produit de mon époque? est-ce que mon rush d'adrénaline n'était du qu'à une overdose de contenu instagrammable? pourquoi instagram vient toujours tout gâcher?
ce soir sur la plage j'ai repris une de mes mélodies pour la développer et je la chantais en boucle pour pas l'oublier, je chantais contre le vent assourdissant et ça avait quelque chose d'épique, ma petite ritournelle au milieu du vacarme alors que j'avançais dans le sable assaillie par les rafales de vent. mer magique. maman m'a dit que seul au monde habitait dans la résidence miami beach dans le chemin du littoral et j'arrivais pas à y croire. c'est parfait pour mon texte. depuis la chambre de c. c'est tout près. enfin je sais pas combien y a d'habitations entre les deux résidences.
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omagazineparis · 6 months
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Comment créer une ambiance cocooning dans sa salle de bain ?
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En cette fin d'année 2023, entre le retour du froid et les journées qui raccourcissent, une seule envie nous guette : un bon bain chaud réconfortant dans une ambiance cosy, avant de se blottir dans une serviette chaude et prendre soin de soi. Pour apporter une atmosphère relaxante dans votre salle de bain, nous vous avons concocté un guide avec des conseils afin de vous aiguiller dans votre quête de bien-être. Les accessoires qui font la différence Pour transformer votre salle de bain en un petit nid douillet, il est essentiel de s'attarder sur les détails qui feront la différence. Choisissez des textiles doux et moelleux tels qu’un peignoir Blanc Cerise en coton de qualité, des serviettes de bain moelleuses, et des tapis bien épais pour réchauffer vos pieds à la sortie de la douche. Les matières naturelles, comme le lin, apportent une touche d'authenticité à votre espace. Pour une ambiance spa, n'oubliez pas les bougies. Dispersez des bougies aux odeurs relaxantes dans votre salle de bain pour créer une atmosphère apaisante. Assurez-vous que les parfums des bougies se marient harmonieusement avec les savons que vous utilisez, évitant ainsi une cacophonie d'odeurs. Des corbeilles en osier peuvent également servir de rangement tout en ajoutant une touche de chaleur et de nature à votre espace. N'oubliez pas la verdure. Les plantes exotiques, telles que la fougère ou le monstera, s'acclimatent parfaitement à l'humidité de la salle de bain et apportent une touche d'exotisme et de fraîcheur à votre espace. Enfin, créez un coin dédié à la détente en ajoutant un banc en bois ou un fauteuil confortable, recouvert de coussins moelleux et d'un plaid. Cet espace deviendra un lieu de pause et de cocooning où vous pourrez vous détendre après un bon bain chaud. A lire également : Une table basse pour salon : dénicher le bijou qui sublimera votre maison ! Des teintes douces et apaisantes La couleur choisie pour votre peinture murale est le premier facteur essentiel dans votre aménagement cosy. Que ce soit dans la décoration ou dans le design de votre salle de bain, garder toujours en tête d'opter pour des couleurs accordées et en adéquation avec l'ambiance désirée. Ici, le blanc s'avère évident en l'accordant avec une décoration au ton chaud ou un design boisé au style scandinave. Mais toutes les teintes de couleurs neutres, terreuses et naturelles sont appropriées, ainsi que la gamme des pastels clairs pour apporter de la douceur jusque sur vos murs. Au sujet des teintes foncées comme le vert sapin ou le bleu marine , elles vont ajouter une touche chic et moderne mais nous vous conseillons de les éviter dans des espaces trop restreints et sans accès à lumière naturelle, au risque de rendre votre salle de bain sombre et oppressante. Jouer sur des matériaux naturels Quand on parle de cocooning, les matériaux naturels et chaleureux se révèlent être les must-have. Pour un esprit de confort et de détente, il est donc judicieux de choisir des meubles et revêtements boisés. Les meubles en bois, tels que le teck ou le bambou, évoquent la nature et l'authenticité. Le bois brut apporte une touche d'originalité à votre salle de bain. Pour le sol, optez pour des matériaux comme le marbre, les galets ou un carrelage imitation parquet, qui s'harmoniseront parfaitement avec la décoration et créeront l'effet cosy recherché. S'amuser avec des lumières tamisées Pour une atmosphère intimiste, rien de mieux qu'un éclairage naturel. Si vous avez des fenêtres dans votre salle de bain, utilisez cette luminosité au maximum. Si vous êtes en manque de lumière intérieure, misez sur une multitude de sources lumineuses avec des bougies, des luminaires avec ampoules à lumière chaude ou encore des éclairages à lumière variable plutôt qu'une seule et unique lampe. N'oubliez pas de cibler l'éclairage autour de votre miroir, car c'est là que vous aurez besoin de lumière pour votre routine de soins. Un éclairage bien placé rendra votre espace à la fois fonctionnel et apaisant. Il est donc facile de créer une ambiance cocooning dans votre salle de bain en la transformant en un espace où vous pourrez vous détendre, prendre soin de vous et échapper du stress quotidien. Profitez de votre propre havre de paix et de bien-être dans le confort de votre chez-vous. Read the full article
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corydon8 · 7 months
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KATHERINE LA DENTELLIÈRE
FILLE AMOUREUSE
Elle naquit vers le milieu du quinzième siècle, dans la rue de la Parcheminerie, près de la rue Saint-Jacques, par un hiver où il fit si froid que les loups coururent à travers Paris sur les neiges. Une vieille femme, qui avait le nez rouge sous son chaperon, la recueillit et l’éleva. Et premièrement elle joua sous les porches avec Perrenette, Guillemette, Ysabeau et Jehanneton, qui portaient de petites cottes et trempaient leurs menottes rougies dans les ruisseaux pour attraper des morceaux de glace. Elles regardaient aussi ceux qui pipaient les passants au jeu de tables qu’on appelle Saint-Merry. Et sous les auvents, elles guettaient les tripes dans leurs baquets, et les longues saucisses ballottantes, et les gros crochets de fer où les bouchers suspendent les quartiers de viande. Près de Saint-Benoît le Bétourné, où sont les écritoires, elles écoutaient grincer les plumes, et soufflaient la chandelle au nez des clercs, le soir, par les lucarnes des boutiques. Au Petit-Pont, elles narguaient les harengères et s’enfuyaient vite vers la place Maubert, se cachaient dans les angles de la rue des Trois-Portes ; puis, assises sur la margelle de la fontaine, elles jacassaient jusqu’à la brume de la nuit.
Ainsi se passa la prime jeunesse de Katherine, avant que la vieille femme lui eût appris à s’asseoir devant un coussinet à dentelles et à entrecroiser patiemment les fils de toutes les bobines. Plus tard, elle ouvragea de son métier, Jehanneton étant devenue chaperonnière, Perrenette lavandière, et Ysabeau gantière, et Guillemette, la plus heureuse, saucissière, ayant un petit visage cramoisi qui reluisait comme s’il eût été frotté avec du sang frais de porc. Pour ceux qui avaient joué à Saint-Merry, ils commençaient déjà d’autres entreprises ; certains étudiaient sur la montagne Sainte-Geneviève, et d’autres battaient les cartes au Trou-Perrette, et d’autres choquaient les brocs de vin d’Aunis à la Pomme de Pin et d’autres se querellaient à l’hôtel de la Grosse Margot, et sur l’heure de midi, on les voyait, à l’entrée de la taverne, dans la rue aux Fèves, et sur l’heure de minuit, ils sortaient par la porte de la rue aux Juifs. Pour Katherine, elle entrelaçait les fils de sa dentelle, et les soirs d’été elle prenait le serein sur le banc de l’église, où il était permis de rire et de babiller.
Katherine portait une chemisette écrue et un surcot de couleur verte ; elle était tout affolée d’atours, ne haïssant rien tant que le bourrelet qui marque les filles lorsqu’elles ne sont point de noble lignée. Elle aimait pareillement les testons, les blancs, et surtout les écus d’or. C’est ce qui fit qu’elle s’accointa à Casin Cholet, sergent à verge au Châtelet ; sous ombre de son office, il gagnait mal de la monnaie. Souvent elle soupa en sa compagnie à l’hôtellerie de la Mule, en face de l’église des Mathurins ; et, après souper, Casin Cholet allait prendre des poules sur l’envers des fossés de Paris. Il les rapportait sous son grand tabart, et les vendait très bien à la Machecroue, veuve d’Arnoul, belle marchande de volaille à la porte du Petit-Châtelet.
Et sitôt Katherine cessa son métier de dentellière : car la vieille femme au nez rouge pourrissait au charnier des Innocents. Casin Cholet trouva pour son amie une petite chambre basse, près des Trois-Pucelles, et là il venait la voir sur la tarde. Il ne lui défendait pas de se montrer à la fenêtre, avec les yeux noircis au charbon, les joues enduites de blanc de plomb ; et tous les pots, tasses et assiettes à fruits où Katherine offrait à boire et à manger à tous ceux qui payaient bien, furent volés à la Chaire, ou aux Cygnes, ou à l’hôtel du Plat-d’Étain. Casin Cholet disparut un jour qu’il avait mis en gage la robe et le demi-ceinct de Katherine aux Trois-Lavandières. Ses amis dirent à la dentellière qu’il avait été battu au cul d’une charrette et chassé de Paris, sur l’ordre du prévôt, par la porte Baudoyer. Elle ne le revit jamais ; et seule, n’ayant plus le cœur à gagner d’argent, devint fille amoureuse, demeurant partout.
Premièrement, elle attendit aux portes d’hôtelleries ; et ceux qui la connaissaient l’emmenaient derrière les murs, sous le Châtelet, ou contre le collège de Navarre ; puis, quand il fit trop froid, une vieille complaisante la fit entrer aux étuves, où la maîtresse lui donna l’abri. Elle y vécut dans une chambre de pierre, jonchée de roseaux verts. On lui laissa son nom de Katherine la Dentellière, quoiqu’elle n’y fît point de la dentelle. Parfois on lui donnait liberté de se promener par les rues, à condition qu’elle rentrât à l’heure où les gens ont coutume d’aller aux étuves. Et Katherine errait devant les boutiques de la gantière et de la chaperonnière, et maintes fois elle demeura longtemps à envier le visage sanguin de la saucissière, qui riait parmi ses viandes de porc. Ensuite elle retournait aux étuves, que la maîtresse éclairait au crépuscule avec des chandelles qui brûlaient rouge et fondaient pesamment derrière les vitres noires.
Enfin Katherine se lassa de vivre close dans une chambre carrée ; elle s’enfuit sur les routes. Et, dès lors, elle ne fut plus Parisienne, ni dentellière ; mais semblable à celles qui hantent à l’entour des villes de France, assises sur les pierres des cimetières, pour donner du plaisir à ceux qui passent. Ces fillettes n’ont point d’autre nom que le nom qui convient à leur figure, et Katherine eut le nom de Museau. Elle marchait par les prés, et le soir, elle épiait sur le bord des chemins, et on voyait sa moue blanche entre les mûriers des haies. Museau apprit à supporter la peur nocturne au milieu des morts, quand ses pieds grelottaient en frôlant les tombes. Plus de testons, plus de blancs, plus d’écus d’or ; elle vivait pauvrement de pain et de fromage, et de son écuellée d’eau. Elle eut des amis malheureux qui lui chuchotaient de loin : « Museau ! Museau ! » et elle les aima.
La plus grande tristesse était d’ouïr les cloches des églises et des chapelles ; car Museau se souvenait des nuits de juin où elle s’était assise, en cotte verte, sur les bancs des porches saints. C’était au temps où elle enviait les atours des demoiselles ; il ne lui restait maintenant ni bourrelet, ni chaperon. Tête nue, elle attendait son pain, appuyée à une dalle rude. Et elle regrettait les chandelles rouges des étuves parmi la nuit du cimetière, et les roseaux verts de la chambre carrée au lieu de la boue grasse où s’enfonçaient ses pieds.
Une nuit, un ruffian qui contrefaisait l’homme de guerre, coupa la gorge de Museau pour lui prendre sa ceinture. Mais il n’y trouva pas de bourse.
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thom-de-tours · 11 months
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Épisode 5
Cela fait bientôt un an que j'ai écrit ce qui m'est arrivé avec des hommes.
L'été dernier, le mâle qui m'a emmené dans le sud, Jean, m'a permis de vraiment découvrir ce que je devais faire pour satisfaire les hommes.
Au cours de ce séjour, il m'a à de nombreuses reprises fait découvrir les plaisirs d'être une bonne petite lope passive.
Il m'a emmené 2 fois chez des amis à lui qui organisaient une partouze et il m'a offert à plusieurs hommes pour voir mes limites anales.
Je ne l'ai pas déçu.
À la fin des 15 jours, je suis rentré chez moi et lui a repris le boulot.
Régulièrement, il m'a envoyé des messages dans la première semaine.
Et le samedi suivant, j'ai reçu un message particulier :
Rendez-vous jardin des prébendes, à 18 heures en short rouge et jockstrap et tee-shirt blanc devant le kiosque.
Tu obéis à l'homme qui viendra vers toi.
Je l'ai reçu le matin, ce qui m'a laissé le temps de me préparer.
J'ai rasé ma chatte, mon pubis, et j'ai fait un lavement comme j'ai appris à le faire.
Ensuite j'ai attendu le soir.
Je suis parti à pied, je n'habite pas très loin de ce jardin.
A 18h, j'étais à attendre depuis plusieurs minutes quand un homme d'environ 50 ans s'est approché de moi et m'a dit de le suivre.
Il s'est assis sur un banc et m'a dit de rester debout devant lui.
Il m'a dit de tourner sur moi, le parc était presque vide.
A ce moment là il m'explique qu'il a été contacté par Jean et qu'il m'a acheté pour son plaisir.
Pour 4000 euros je lui appartiens pour les 6 mois à venir, tout en respectant ma vie étudiante. Je ne dis rien car j'ai compris que je n'ai pas mon mot à dire.
Il se lève et me dit de le suivre.
J'obéis.
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Alors que mon esprit s'éteint, perdu dans la contemplation de la vie, une lueur traverse le brouillard... "le Tumblr, Touille!!" Pour que vous ne pensiez pas que je suis morte, piquée à mort par une méduse, je vais donc essayer de rassembler les lambeaux résiduels de ma conscience qui s'endort pour vous faire part de mes aventures !
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La journée commence donc très bien, puisque je me retrouve sur le pont d'un bateau avec un muffin au chocolat en main, prête pour une journée de plongée sur la grande barrière de corail.
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Elle continue avec UNE HEURE de briefing sécurité, qui se résume par "pas touche ou tu meurs, tué soit par la faune locale soit par un guide si tu abimes quoi que ce soit"... On nous reparle notamment de ce petit coquillage très mignon qu'on ne glisse pas dans sa poche "parceque en dehors des 10000$ d'amende que vous allez vous prendre, s'il vous pique à travers la combinaison, on pourra juste vous tenir la main et vous rassurer pendant les 3 minutes qu'il faudra à la neurotoxine pour vous tuer". MAIS QU'EST CE QUI S'EST PASSÉ PENDANT L'ÉVOLUTION SUR CE CONTINENT ?!? Pardon.
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Les photos suivantes ont été prises par un photographe avec nous, avec un enooooooorme appareil avec des machins partout, un globe géant devant l'objectif, et tout un tas de gadgets de science fiction. N'empêche que ça rend sacrément bien !
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Je vous laisse profiter des images ! C'était une véritable ode à la vie cette expédition...
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Il y avait des coraux de toutes les tailles, toutes les formes, toutes les couleurs, des éponges avec des flocons de neige dans les bras, des bancs de poissons d'un bleu époustouflant, des individus noirs et blancs se camouflant tellement bien qu'on ne voyait que la queue (Blanche) nager toute seule, des poissons piquetés de tâches fluorescentes comme si Chloé les avait attaqués à coups de pinceau, des étoiles de mer, des concombres de mer majestueux (et croyez moi, ce n'est pas un adjectif que je croyais un jour associer à cette bestiole) hérissés de piquants et gros comme ma cuisse, des anémones se laissant flotter dans le courant, ... C'était incroyable.
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Pour résumer, 3 plongées, des bouteilles d'oxygène à moitié pleines en remontant tant c'était à couper le souffle, et une Touille avec des yeux qui scintillent.
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Une partie de la barrière était blanche et morte, mais ça avait étonnamment bien repoussé par dessus ! Je ne sais pas si c'est dû à l'absence de touristes pendant le COVID, mais ça donne de l'espoir pour la survie de ce petit miracle, terriblement menacé par le réchauffement climatique...
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Et le meilleur pour la fin ... (Comment ça mes chevilles ne vont plus rentrer dans mes palmes ?) Votre chère et tendre 🤗
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La journée se finit sur un petit coucher de soleil, posée sur la jetée, la cacophonie des perruches en arrière plan.... (Et l'apparition de chauves souris à l'envergure plus longue que mon bras, c'est la version locale des pipistrelles)
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Je vous aime 💕
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