Tumgik
#philosophie pratique
abridurif · 8 months
Text
Qui veut ou doit faire un métier au monde, s’il veut en tirer quelque fruit, ne peut choisir que celui de l’imposteur, en un genre quelconque. La littérature a toujours été le plus stérile de tous les métiers. Le vrai lettré (s’il ne mêle pas à la vérité l’imposture) ne gagne jamais rien. Et pourtant l’imposteur arrive à rendre fécond même ce champ infructueux, et l’un des plus grands miracles de l’imposture est de rendre fructueuse la littérature. L’imposture est une condition nécessaire pour tous les métiers, vrais ou faux. Si les lettres et la doctrine ne produisent jamais aucun fruit, c’est dû à l’imposteur, et en vertu non pas de la vérité (quand bien même y serait-elle mêlée), mais de l’imposture. (25 septembre 1821, 1787) Giacomo Leopardi, Philosophie pratique, Éditions Payot & Rivages, 1998
10 notes · View notes
posixukipohi · 2 years
Text
d livre des rituels magiques avec les plantes pdf
<br>
<br>
<br>
<br> </p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p>18 juil. 2020 - ⬆⬆⬆ 【PDF Gratuitement】 ⬆⬆⬆ Magicien : le livre interdit - Théorie et pratique de magie noire Francais PDF par (Broché) 【Télécharger
Grimoire de Rituels de Magie Blanche Volume 1 Copie PDF. Grimoire de Rituels de Suivra ensuite son livre “Les rituels magiques de la Loi d'Attraction”.PDF Pack. People also downloaded these PDFs Les rituels de magie et de sorcellerie n'ont rien à voir avec des "recettes de cuisine", que quiconque avec
Depuis la nuit des temps la magie/sorcellerie est utilisée à bon ou mauvais escient selon l'opérateur aborderons différents types de rituels extrêmement.
De l'usage du miroir magique. LIVRE SECOND ATTIRER L'AMOUR. Première section: De Part de mobiliser les puissances divines.
2020 - Découvrez le tableau "Telecharger livre gratuit pdf" de Policarpe Djony sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème magie blanche argent, rituel
[PDF] Le grand livre de la magie et de la sorcellerie Telecharger, Lire PDF. Vous trouverez ici des rituels de magie blanche d'amour, d'argent,
VHistoire de la magie et de la Clef des grands mystères RITUEL DE LAHAUTE MAGIE. qu'un livre de poésie nécessaire à l'éducation du génie humain.
</p><br>https://gimifinamowo.tumblr.com/post/694238166353330176/clage-cex-pdf, https://gimifinamowo.tumblr.com/post/694237689938051073/sauter-scg1010w-mode-demploi-de-atlas-200-s, https://posixukipohi.tumblr.com/post/694238231052582912/facom-f200-mode-demploi, https://posixukipohi.tumblr.com/post/694239015197671424/utilisation-radio-r%C3%A9veil-o%C3%B9-trouver-la-notice-du, https://gimifinamowo.tumblr.com/post/694238166353330176/clage-cex-pdf.
0 notes
Photo
Tumblr media
His [Foucault's] vision of European culture as the institutionalised form of oppressive power is taught everywhere as gospel, to students who have neither the culture nor the religion to resist it. Only in France is he widely regarded as a fraud.
- Roger Scruton on Michel Foucault
During student protests in Paris in 1968, Roger Scruton, a francophile, watched students overturn cars to erect barricades and tear up cobblestones to throw at police. It was at that moment he realised he was a conservative.
For Scruton, he didn’t think much of Jean Paul Satre, the father of existentialism, who cobbled together the essence of his philosophy from Alexandre Kojève's reading of Hegel in his famous seminar at the Ecole Pratique des Hautes Etudes in the 1930s. His listeners included Bataille, Aron, Merleau-Ponty, Lacan and Simone de Beauvoir. Each of them drew something different from him. For Sartre, the idea of the self-created individual with radical freedom. Expressed very early on in La nausée, this freedom is a source of anguish for a consciousness which not only considers that the surrounding world has no meaning other than that which it can possibly confer on it, but which experiences itself as a kind of nothingness.
How, starting from such a philosophy, does Sartre arrive at the idea of commitment to revolution and socialism? It is a mystery. Scruton wrote, "According to the metaphysics enunciated in Being and Nothingness, the correct answer to the question "To what shall I commit myself?" should be: What does it matter, as long as you can want it as a law for yourself." "But this is not the answer offered by Sartre, whose commitment is to an ideal that is at odds with his own philosophy.”
With his theory of episteme, Foucault gives us a new version of the Marxist concept of ideology.
Despite what some might think, Scruton wasn’t entirely dismissive of Foucault whose thought was more subtle and interesting than Sartre’s. Scruton confesses a certain tenderness for Michel Foucault's style, for his flamboyant imagination. But Scruton does not see his archaeology of knowledge as a great innovation. According to a habit shared by many French left-wing intellectuals, like Sartre himself, Foucault intended to tear away the veils behind which the relations of domination are hidden, to unmask the deceptions of others. With Sartre, it was in the name of a vague nostalgia for personal authenticity. Foucault, on the other hand, looked for the secret structures of power behind all institutions - and even at work in language.
But the historical horizon on which Foucault projected this quest, which postulated a rupture between the "classical age" of the seventeenth and eighteenth centuries and the bourgeois world that would follow the French Revolution, showed that, despite his claims, Foucault had remained a prisoner of Marxism. Moreover, as Scruton would write, “his theory of episteme is a rehash of the Marxist theory of ideology. Moreover, he considers power only from the perspective of domination. “
But the main criticism that Scruton finds fault with Foucault is the one found in the post-enlightenment thinkers: relativism. If each era generates the discursive formations that correspond to its system of power, including the sciences, then truth does not exist. Everything is discourse...
Photo: Jean-Paul Satre and Michel Foucault take a stand during the Paris Student Riots, May 1968.
89 notes · View notes
cogito-ergo-absens · 19 days
Text
Tumblr media
« Il faut bien se garder de rejeter comme insensé ce qu'on ne saisit pas d'emblée. Plus d'une pratique qui me semblait dénuée de sens, voir absurde, s'est révélée après coup comme recélant une sagesse bien plus profonde que je n'aurais jamais pu le supposer. »
Max Muller - Six Systems of Indian Philosophy
7 notes · View notes
lounesdarbois · 8 months
Text
Bernhard Roetzel
Le luxe s'achète, le goût s'acquiert, l'élégance est innée. Bernhard Roetzel est l'auteur de manuels d'éducation du goût portant sur les détails de la culture occidentale. Ses livres illustrés Der Gentleman (1999) et Traditional Style (2000) sont des reportages photographiques de chaque aspect concret de la  Culture européenne: le vêtement, l'ameublement, les arts de la table, l'éducation des enfants, l'ordonnancement urbain, la classification des loisirs, jusqu'à l’entretien d’une pelouse, au cirage des chaussures ou à la préparation du pique-nique champêtre. Ce sont là des choses connues? Pourtant nous redécouvrons à neuf chacune d'entre elles, ressuscitées, à la lumière de photos et de commentaires dont l'efficacité sont sans concurrence dans ce domaine. M. Roetzel est un réenchanteur de tout ce que nous aimons dans le monde.
Tumblr media Tumblr media
Il y avait davantage de sagesse dans le concret des gestes quotidiens de nos grands-parents que dans la pseudo-philosophie du 20ème siècle. Vivre ainsi aujourd'hui, en Français traditionnel, est une voie ouverte à qui veut la prendre: la Culture Européenne détaillée par Roetzel est intemporelle ; la forme de cette Culture touche à une perfection qui ne souffre ni ajout ni retranchement.
Tumblr media
Nous vivons au milieu des pièces d'un fabuleux héritage et y sommes accoutumés au point de ne plus même le voir. Ce faisant nous perdons l'usage de ce legs, oublions d'où nous venons, qui nous sommes et ce que nous faisons.
Un homme annonce-t-il vouloir diriger une ferme, un village, une ville ou une région? Pour évaluer la confiance à lui accorder vous étiez jusqu'ici habitués à écouter ses discours. Vous examinerez désormais la manière dont cet homme a dirigé son propre domaine: son jardin, sa maison, son studio de 20 mètres carrés, sa toilette du jour. L'homme fidèle en peu de choses est capable de grandes choses dit l’Evangile.
Tumblr media
Notre monde du tertiaire, du débat, de l'abstrait, est rempli de directeurs de cabinet mais vide de chef de protocole. Aux "valeurs" il est bon de joindre les actes. C'est la stature, l'incarnation, l'exemple vivant qui nous donnera sans recours aux mots les clés de la vraie Culture. "Je n'ai point besoin de sermon mais de délivrance légère" disait Céline.
Der Gentleman est à la fois une encyclopédie du vêtement masculin, jalonnée d'encadrés, de bonnes astuces, et une notice d'utilisation, un vrai mode d'emploi de la vie pratique. Si Der Gentleman constitue le catalogue de l'Européen habillé, Traditional Style explore le cadre de vie de ce même homme. Ces deux titres complémentaires ont pour objet ce que les peuples occidentaux ont produit de plus beau, de plus intelligent, de plus pratique, bref d'objectif, au point d'y convertir le monde entier: porter un pantalon, manger avec des couverts dans une assiette, s'asseoir sur une chaise, dormir dans un lit. La fenêtre, le savon, la salle de bains et mille autres objets spécifiquement occidentaux sont eux aussi devenus objets universels.  Roetzel a expliqué, illustré chacun de ces éléments considérés dans leur finition la mieux aboutie.
Tumblr media
Est-ce en raison du fameux "esprit de système" germanique qu'il fallait que Bernhard Roetzel, allemand, fût le pédagogue le plus complet sur la culture anglaise, par exemple? L'Angleterre, l'Italie et la France sont des revendicateurs bruyants d'un certain art de vivre. Il existe en Allemagne une classe d'esthètes ignorée du reste du monde et peu soucieuse de s'en faire connaître. La bourgeoisie patrimoniale et industrieuse de Cologne, Munich, Hanovre, Brême, Hambourg, aux bourgeoisies très Heimat, connaît bien ses codes culturels : habitat, vêtement, sport, éducation, voiture, art et artisanat. Une bourgeoisie probablement plus raffinée, plus enracinée que la parisienne, que la londonienne, plus sérieuse, plus discrète.
M. Roetzel est un sujet qui s'efface pour ne montrer que l'objet, la chose en soi. En cela il rend davantage service à la cause qu'il sert que les "sartorialistes" montreurs de costume issus du youtubage. Seule doit demeurer la Culture, dont le vêtement et l'ameublement sont des catégories "superficielles par profondeur", parmi d'autres.
Tumblr media
La production d’une Culture est la preuve de la Conscience de Soi d’un peuple. Les primitifs ne produisent pas de culture. Plus un peuple a de Conscience de Soi et plus la Culture qu’il produit est codifiée. L'exaltation de l'intelligence individuelle est une marque de basse époque, source de divisions hélas durables. La Culture, elle, est une intelligence collective, un pacifique ensemble d'habitudes forgées par l'expérience concrète de la vie, un tissu de réticences du Je en faveur du Nous, une science de la sous-expression (understatement), un code de reconnaissance communautaire à usage interne pour l'exercice du Bien Commun. La Culture était très understatement jusqu'à la fin des années 1990, avant les années Eden Park, avant la vague tapageuse du faux preppy, du genre gala d'école de commerce, lorsque l'argent était encore une chose un peu honteuse et que les classes sociales d'avant internet vivaient dans un relatif cloisonnement. Charme discret de la petite bourgeoisie locale, où êtes-vous ?
Tumblr media
M. Roetzel écrit non en conseiller en mode mais en technicien de la culture attentif aux faits, aux actes et aux objets qui équipent celle-ci, il rédige un rapport d'enquête renseigné, neutre, qui démontre chaque argument par la photographie appropriée.
Le vrai style ne peut être sujet qu'à un ou deux changements mineurs par génération. Contrairement à la mode le style est stable, sa supériorité n'est pas dans le renouvellement cyclique de nouveautés mais dans le perfectionnement d'une Forme qui vise la plus pure exactitude fonctionnelle. L'ergonomie du vêtement bien pensé, l'importance de connaissances en anatomie pour former de bons modélistes, vastes sujets qui sont la voie royale du bel habillement.
Tumblr media
Deux principales tendances accaparent les hommes: ils sont plutôt exhibitionnistes ou bien plutôt voyeurs c'est ainsi. Les exhibitionnistes sont la majorité de ce monde qui gît au pouvoir du mauvais goût, individus à haute estime de soi et basse conscience de soi. Monsieur Roetzel appartient au tempérament exactement opposé, celui du voyeur, celui des hommes en retrait qui aiment voir et n'être pas vus, qui ont tout compris et que personne n'écoute, c'est pourquoi ils écrivent.
20 notes · View notes
luxe-pauvre · 1 year
Quote
As I’ve tried to answer the question of why we seek out the likes and replies and approval of strangers, and why this so often drives both ordinary and celebrated people toward breakdowns, I’ve found myself returning to the work of a Russian émigré philosopher named Alexandre Kojève, whose writing I first encountered as an undergraduate. In 1933, Kojève took over the teaching of a seminar on Hegel at the École Pratique des Hautes Études, in Paris. Though Kojève would live his life in relative obscurity, ultimately becoming a civil servant in the French trade ministry and helping to construct the architecture for a common Europe, his seminar on Hegel’s “Phenomenology of Spirit” was almost certainly the most influential philosophy class of the twentieth century. A Who’s Who of Continental thinkers, from Sartre to Lacan, passed through, and Kojève’s grand intellectual synthesis would deeply influence their work. In his lectures, Kojève takes up Hegel’s famous meditation on the master-slave relationship, recasting it in terms of what Kojève sees as the fundamental human drive: the desire for recognition—to be seen, in other words, as human by other humans. “Man can appear on earth only within a herd,” Kojve writes. “That is why the human reality can only be social.” Understanding the centrality of the desire for recognition is quite helpful in understanding the power and ubiquity of social media. We have developed a technology that can create a synthetic version of our most fundamental desire. Why did the Russian couple post those wedding photos? Why do any of us post anything? Because we want other humans to see us, to recognize us. But We Who Post are trapped in the same paradox that Kojève identifies in Hegel’s treatment of the Master and Slave. The Master desires recognition from the Slave, but because he does not recognize the Slave’s humanity, he cannot actually have it. “And this is what is insufficient—what is tragic—in his situation,” Kojève writes. “For he can be satisfied only by recognition from one whom he recognizes as worthy of recognizing him.”
Chris Hayes, On the internet, we’re always famous
29 notes · View notes
calydriarpg · 22 days
Text
Les académies
Académie des Chevaucheurs (dans la région de Argenfels) :
Processus d'admission : Les étudiants doivent être conscient des risques liés à cette académie. En effet, c'est la plus dangereuse en raison du caractère capricieux des Ethéria, mais aussi des cours de vol et pour finir les chevaucheurs font partie de la première ligne. Beaucoup d'étudiants meurt pendant les entraînements sur le terrain.
Programme d'études : Les étudiants apprennent les techniques de communication télépathique et de combat monté. Au fil des années, les alchimistes ont développés des selles pour sécuriser les cavaliers, cependant pendant les premières années d'étude ils doivent apprendre à tenir sur un Etheria sans selle. Ils étudient également l'anatomie et le comportement des Etheria, ainsi que les stratégies de combat aérien.
Formation continue et service militaire : Les diplômés de l'Académie des Chevaucheurs sont intégrés dans les escadrons de montures aériennes de l'armée d'Erydor, où ils participent à des missions de reconnaissance, de patrouille et de combat aérien contre les forces ennemies.
Durée de la formation : 6 années complète sont nécessaire pour être capable d'être suffisamment aguerri au combat aérien, terrestre, au développement de la connexion avec son Etheria et leur compétence spécial qui se développe une fois le lien activé.
Connexion éthérique : Ce sont les Etheria qui choisissent leur cavalier et ils sont très exigeants. En général, les premières connexions arrivent vers la troisième année mais certains ne se lie qu'à leur dernière année. Le cavalier et l'Etheria seront en mesure de parler télépathiquement, un cavalier ne peut pas entendre un autre Etheria que son lié.
Académie des Élémentaires (dans la réagion de Drakonia) :
Processus d'admission : Les candidats sont évalués sur leur capacité à manipuler les éléments naturels et leur affinité avec l'une des six formes de magie élémentaire (air, feu, terre, eau, lumière, ombre). Ils doivent démontrer leur contrôle et leur compréhension des pouvoirs magiques lors d'épreuves pratiques.
Programme d'études : Les étudiants apprennent à canaliser et à contrôler leur élément de prédilection à travers des exercices de concentration, de méditation et de pratique magique. Ils étudient également la théorie et la philosophie de la magie, ainsi que les applications pratiques de leurs pouvoirs dans le combat et la vie quotidienne.
Formation continue et service militaire : Les diplômés de l'Académie des Élémentaires sont intégrés dans les unités magiques de l'armée d'Erydor, où ils utilisent leurs pouvoirs pour soutenir les troupes au combat, manipuler les éléments naturels pour créer des obstacles ou des armes, et protéger les frontières du continent contre les attaques ennemies.
Durée de formation : entre 3 et 6 ans selon la maîtrise de l'étudiant.
Bénédiction : Uniquement la maîtrise d'un élément est possible, pendant les 3 premières années les étudiants découvre la magie qui réagit le mieux à leur ancrage et c'est autour de cet élément que les étudiants se focaliseront. Ils maîtriseront uniquement un élément.
Académie des Alchimistes (dans la région de Valoria) :
Processus d'admission : Les candidats doivent démontrer leur aptitude à la science et à la magie, ainsi que leur créativité et leur ingéniosité dans la manipulation des substances chimiques. Ils doivent également passer des tests de connaissances pratiques en alchimie et en pharmacologie.
Programme d'études : Les étudiants apprennent les principes de base de l'alchimie, y compris la préparation des potions, des élixirs et des poisons, ainsi que la fabrication d'objets magiques et d'artefacts enchantés. Ils étudient également la botanique, la chimie et d'autres disciplines scientifiques connexes.
Formation continue et service militaire : Les diplômés de l'Académie des Alchimistes sont intégrés dans les unités de soutien logistique de l'armée d'Erydor, où ils fournissent des potions de guérison, des explosifs alchimiques et d'autres ressources essentielles pour les troupes sur le terrain.
Durée de formation : 4 années pour que les alchimistes finissent leur étude. Ils seront déployés sur le terrain selon leur spécialisation.
Spécialisation : les alchimistes pourront être spécialisé dans les domaines suivant : les artéfacts (selle, armure, armes etc...), les potions défensives, les potions offensives.
Ndlr : Rappel chaque Erydiens possède un ancrage, un lien avec la magie qui vit dans chaque être vivants sur Calydria, uniquement les années d'études permet de développer un certain aspect de cet ancrage. Pour les chevaucheurs ce sera leur lien avec l'Etheria et la capacité spéciale qu'ils développeront avec ce lien, les élémentaristes sera leur maîtrise d'une des 6 formes de magies et les alchimistes leur capacité à modifier des éléments environnement de la nature comme les plantes, les pierres etc.
3 notes · View notes
raisongardee · 10 months
Text
Tumblr media
“En Occident du moins, la Génération Y est dans une situation historique unique. C’est la première, il me semble, à qui des professeurs de ma propre génération ont simultanément enseigné à l’école et à l’université deux visions apparemment contradictoires de la morale. A cause de cette contradiction, livrés à eux-mêmes, ils ont parfois été désorientés, ont douté et, pire, ont été privés de richesses dont ils ignoraient jusqu’à l’existence. Le premier enseignement, c’est que la morale est relative – au mieux un jugement de valeur personnel. Ce qui signifie qu’il n’existe ni bien ni mal absolu. La morale et les règles qui lui sont associées ne sont qu’une question d’opinion personnelle et de hasard, "relatifs à" un cadre particulier défini, par exemple, par des origines ethniques, une éducation, une culture et une histoire. Ce n’est rien d’autre qu’un hasard de naissance. En accord avec cet argument, désormais une philosophie, l’histoire nous enseigne que les religions, les tribus, les nations et les groupes ethniques ont – et ont toujours eu – tendance à ne pas être d’accord sur l’essentiel. Aujourd’hui, la gauche postmoderne prétend même que la morale d’un groupe est uniquement destinée à lui permettre d’exercer son pouvoir sur un autre groupe. Dès que l’on a compris combien ses valeurs morales et celles de sa société sont arbitraires, il devient évident qu’il faut faire preuve de tolérance envers ceux qui pensent différemment et qui sont d’une origine différente. L’accent mis sur la tolérance est si prépondérant que, pour de nombreux individus, l’un des pires défauts est de se montrer prompt à juger les autres. Et, puisque nous sommes incapables de distinguer le bien du mal, la chose la plus malvenue qu’un adulte puisse faire est de donner des conseils pratiques à un jeune. Ainsi, une génération a grandi sans qu’on lui enseigne ce que l’on appelait jadis à juste titre le "bon sens pratique" qui avait guidé les générations précédentes. La Génération Y, à qui l’on a souvent rabâché qu’elle avait reçu la meilleure éducation possible, a en réalité souffert d’une grave négligence intellectuelle et morale. Les relativistes de ma génération et de celle de Jordan, dont un grand nombre sont devenus leurs professeurs, ont fait le choix de renoncer à des milliers d’années de savoir sur la meilleure façon d’acquérir de la vertu, considérant qu’il s’agissait de méthodes du passé "dénuées de pertinence", voire "oppressives". Ils étaient si doués que le simple terme de "vertu" semble aujourd’hui totalement démodé, et que ceux qui l’emploient passent pour des moralisateurs archaïques et suffisants.”
Norman Doidge, préface à Jordan B. Peterson, 12 règles pour une vie. Un antidote au chaos, trad. Sébastien Baert, 2018. 
12 notes · View notes
Text
Tumblr media
Quelle position "philosophique" adopter par gros temps? Quelle éthique pour les périodes troubles?
L’expérience psychanalytique montre qu’une éthique du désir ne se fonde pas sur la prévisibilité mais sur la rétroactivité…
Qu’est-ce que ça veut dire?
Si Hegel découvre une déraison au cœur même de la raison (la folle danse des opposés qui sape l'ordre rationnel…) Freud, lui, démontre qu’une logique habite ce qui apparaît comme la déraison (lapsus, rêves, actes manqués, folie...)
La dialectique de Hegel et la logique à l’œuvre dans la psychanalyse (Freud-Lacan) aboutissent à une même considération de la rétroactivité, celle qui opère dans le raisonnement hégélien (l'Un(ité) n’apparaît que comme l'effet rétroactif de sa perte...) se retrouvant dans la performativité rétroactive du signifiant chez Lacan, qui fait que refoulement et retour du refoulé sont le même (il n’y aura pas eu: d’abord refoulement puis retour du refoulé, le refoulement n’est en vérité que l'effet rétroactif de son retour...)
La performativité rétroactive du signifiant est ce qui permet de lever le faux clivage qui aujourd’hui oppose rationalité et irrationalité, d’un côté ce qui paraît ressortir de l’esprit rationnel (les sciences dites "dures", la mathématique, la physique, la biologie, la technologie...) et de l’autre les croyances (la religion, la spiritualité, la philosophie, la psychologie, les sciences (dites) humaines...
Ce que nous apprend la psychanalyse c'est que le rationnel est aussi une croyance, d'autant plus pernicieuse qu'elle se présente comme n'en étant pas une: rationaliser ce n’est rien d’autre qu’inventer des fictions pour tenter de se rassurer en niant ce qui nous détermine.
«Espérez ce qu'il vous plaira!» (Lacan)
La moindre des choses que vous aurez pu demander à votre analyse, c'est qu’elle vous ait opéré de l'espoir.
L’espérance dans ce qu’on appelle des «lendemains qui chantent» est ce qui a toujours conduit les hommes à toutes sortes de catastrophes.
La leçon de la psychanalyse n'est pas: "renoncez à vos rêves et à vos désirs dénués de sens, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est..." mais plutôt: "vos jérémiades, vos gémissements, tout autant que vos espoirs et vos croyances ne sont qu'hypocrisie, car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation."
Il n’y a rien à espérer, et encore moins du désespoir.
Dans Télévision, Lacan répond aux trois questions de Kant:
• Que puis-je savoir ?
«Rien qui n’ait la structure du langage en tout cas, d'où résulte que jusqu'où j'irai dans cette limite, est une question de logique.»
• Que dois-je faire ? «De ma pratique tirer l'éthique du Bien-dire.»
• Que m'est-il permis d'espérer ? «Vous comme tout autre …espérez ce qu'il vous plaira! La psychanalyse vous permettrait d’espérer assurément de tirer au clair l'inconscient dont vous êtes sujet.»
3 notes · View notes
mrlafont · 4 months
Text
Toute parole est l'aveu d'une défaite. Toute philosophie qui ne peut se passer de son expression, c'est-à-dire des mots, des formulations, est nulle et non avenue, mensonge, foutaises, connerie pure. Toute explication est tentative de persuasion, d'auto-persuasion, simple embobinage. Les faits, et les émotions qui en résultent, cela est la réalité, la seule réalité qui compte. Qu'on supprime toutes les théories philosophiques ? Pet de mouche. Rien perdu. Une clarification. Un espace neuf qui reprend son souffle. Ce qui est est. Ce qui n'est pas n'est pas. Ce qui peut être sera peut-être. Ce qui ne peut être ne sera pas. Ainsi toute parole est vaine, en dehors des considérations pratiques. La capacité des idées à agir sur le réel ? Des ambitions de calculettes. Double pet de mouche. Les mots ne sont que des parasites, retardataires indésirés, indésirables, ils viennent qu'après sur les sentiments déjà épuisés, passés, recyclés, jamais l'inverse... La vie n'est pas mieux servie à celui qui croit être allé tout au bout de la sagesserie qu'au plus parfait crétin. On se monte le bourrichon très injustement à propos de la vie...
4 notes · View notes
abridurif · 7 months
Text
Tout est matériel dans notre esprit et dans nos facultés. L’entendement ne pourrait rien sans l’élocution, car la parole est presque le corps de l’idée la plus abstraite. Elle est, en effet, une chose matérielle et l’idée liée et confondue dans la parole est presque matérialisée. Notre mémoire, toutes nos facultés mentales, ne peuvent, ne se forgent, ne conçoivent absolument rien qu’en réduisant toute chose à la matière, d’une manière ou d’une autre, et en s’attachant toujours à la manière autant que possible ; et en liant l’idéal au sensible ; et en en notant les rapports plus ou moins éloignés, et en s’en servant du mieux possible. Giacomo Leopardi, Philosophie pratique, Éditions Payot & Rivages, 1998
6 notes · View notes
mmepastel · 10 months
Text
dailymotion
Ça y est, nous avons terminé la charmante série japonaise Dans la cuisine des maiko.
Le dépaysement est total. Au début, tout semble étrange ; les rires légers mais constants des deux amies à la moindre parole, la fonction même de maiko (j’ai passé le premier épisode à me demander de quoi il s’agissait, je me suis renseignée ensuite, notamment auprès de mon fils qui en savait un rayon grâce à sa passion pour le Japon), les multiples rituels, l’importance des politesses, des codes, des prières, le mode de vie.
Ensuite, j’ai craqué pour Kiyo, la recalée des maiko (trop gauche), qui devient maikana (c’est à dire cuisinière pour le gynécée où l’on apprend l’art d’être maiko), sa passion pour les plaisirs simples, son talent pour faire plaisir aux autres, surtout en cuisinant, la beauté des images de Kyoto, la beauté des plats cuisinés.
J’ai été, au fond, tout autant charmée qu’agacée. Au bout d’un certain temps, la philosophie de Kiyo (« chérir chaque instant ») m’a parue tout aussi belle qu’inatteignable, et un peu forcée. Et une part de moi, même éblouie par le raffinement des coutumes et des interactions sociales, ne peut s’empêcher d’être un peu irritée du rôle donné aux femmes. Certes, elles choisissent de devenir maiko puis éventuellement geiko. C’est à dire qu’elles s’entraînent dur pour se parer, se coiffer, se maquiller et danser pour être ensuite employées pour des soirées ou événements dans lesquelles elles seront admirées pour la pratique de leur art. Des dames de compagnie (en tout bien tout honneur) ou des danseuses, ou un peu des deux. Il faut mettre sa main devant la bouche quand on rit, par exemple. Je suppose que ça me dépasse un peu. On est loin loin loin du féminisme… même si elles ont un certain pouvoir et un statut admiré. Au fond, qu’admire-t-on chez elles ? La capacité à faire de leur corps et de leurs mouvements une œuvre d’art ? La capacité de s’effacer au profit d’une tradition ancestrale jamais remise en cause (il n’y a guère que la maiko aguerrie qui soulève des questions) ? La capacité de mettre sa vie personnelle sous le tapis pour plaire aux hommes ? Ces questions, pour une occidentale de 2023, sont naturelles je pense.
Elles ont l’air heureuses, pour la plupart, sauf la sombre Reyko, qui détonne de façon bienvenue avec sa mélancolie maussade et son esprit désabusé. Mais peut-on croire la série sur parole ? Est-elle juste ?
Heureusement, ce qui sauve la série, c’est la solidarité et l’amitié (non dénuée de rivalités) entre les apprenties maiko. Surtout l’amitié de Surume et de Kiyo, qui survit à leurs changements de statut.
Peut-être que la série était trop longue. Neuf épisodes sur une trame aussi ténue, c’est beaucoup. En même temps, cela donne un côté documentaire qui est loin d’être inintéressant.
Une vraie curiosité en tous cas.
5 notes · View notes
claudehenrion · 11 months
Text
Et si on parlait de l'islam ? – ( III ) : que disent les textes ?
  L'Occident s'entête à répéter en permanence deux erreurs grossières, mais surtout monumentales, qui ouvrent la porte à des “tsunamis” de catastrophes ex-potentielles, devenues notre “quotidien”), sans le moindre espoir de “bénéfice” pour qui que ce soit : se tromper à répétition n'a jamais contribué à faire éclater la vérité… Car, comme si ces deux erreurs ne suffisaient pas déjà largement à entretenir notre malheur, une autre faute est commise mille fois par jour : une mécompréhesion totale des rôles relatifs  et de l'inter-action de l'homme et de (ou : avec) son Créateur… et une autre, dont nous parlerons une autre fois, qui touche, elle, à la crédibilité ontologique des Ecritures Saintes, la Bible ici, et le Coran, là.
Aujourd'hui, penchons-nous sur la différence qui existe entre toutes les religions, philosophies et règles de vie qui existent et ont existé  dans l'Histoire de l'Humanité. Là où le christianisme a créé une rupture avec tout ce qui l'avait jamais précédé   (Un seul Dieu en trios hypostases, le même pour tous les hommes, reconnaissant l'humanité comme faite de “frères en humanitude”, et mettant sur pied d'égalité, “devant sa face”, hommes, femmes, croyants ou pas, juifs et “gentils”, pécheurs et saints, convertis et convaincus comme hostiles et adversaires), l'islam a innové, également, mais en exigeant une soumission totale, illimitée et définitive de l'homme à son Créateur. Dit comme ça, ça ressemble soit à un truisme, soit à une remarque “en passant” En fait, il s'agir d'un face à face de deux mondes qui ne peuvent pas se rencontrer –ni se  croiser, tant ils sont éloignés l'un de l'autre.
La lecture (erronée, n'hésitons pas à le répéter encore) que fait tout occidental des “Sourates” du Coran et des “Hadiths” qui le soulignent, l'expliquent et le complètent, est –comme toujours et dans tous les domaines– influencée par le christianisme qui est sous-jacent en chacun des hommes, des peuples et des convictions qui existent dans la partie du Globe qui n'est pas soumise à l'influence de l'islam (même les iso-religions asiatiques en ont adopté certaines références) –dont le nom, tout le monde le sait, n'a qu'un seul sens : “soumission”. Tout être humain non “croyant” (mot qui, déjà, élimine tout ce qui n'est pas “lui”!) pratique ce qu'il est convenu –et fort commode !– de désigner par “l'Humanisme’‘ : en gros, l'humanité est la base et le fondement de tout, et l'Homme est à la fois le PPCM et le PGCD de tout ce qui peut être, exister, devenir, vivre, compter et être pris en compte. ’'L'Homme est la mesure de toute chose” écrivait Protagoras… plus de 5 siècles avant le Christ.
Mais rien de tel, en terre d'islam : l'homme –en tant que ce que les autres voient de lui- n'existe pas : il n'a d'existence légale que dans et à travers sa capacité à obéir aux préceptes d'Allah, qui ont été émis une fois pour toutes, s'appliquent à tous les cas, sont intangibles, non-interprétables, et non-évolutifs.  La grande erreur de ceux qui, n'ayant jamais lu ces Textes Saints, en ont entendu parler et répètent, avec plus ou moins de talent, ce qu'ils ont cru en comprendre –et, surtout, ce qu'ils aimeraient qui soit !– c'est que le Coran parle d'amour de l'Homme, d'aumônes et de dons, de partage, de responsabilités communes et partagées, à ceci près –il a pas place pour le doute : les Sourates sont d'une clarté… biblique si j'ose une mauvaise astuce sur un sujet qui ne prête que très peu à la rigolade– que l’'Homme’’ dont il est question ici ne peut être et ne doit être que le “croyant”, l'adorateur d'Allah, celui qui récite la Chahadda et pratique les “Piliers” de l'Islam.
L'autre, celui qui sort (ou n'est pas entré) dans cette définition rigoureuse autant que rigoriste, celui qui croit à autre chose qu'à la seule Parole d'Allah transmise au Prophète (Qu'Allah le glorifie) n'est pas un homme. Pas rien qu'un animal, mais pas un “Homme” non plus (un peu comme les Chrétiens avaient en réserve, jusqu'aux retombées malvenues de Vatican II,  un lieu indécrit “les Limbes”. Eh ! Bien ce que nous appelons “les Humains” au sens le plus large appartiennent, dans l'islam à cette impression de flou : presque des hommes, mais pas tout-à-fait, tout de même. Je m'étonnais, enfant, que notre Fatima, la femme de “notre” Bachir, (je vous en parle souvent ! Ils étaient cuisinier et femme de chambre et, après 18 ans, faisaient presque partie de la famille) qui était très respectueuse des règles de conduite que lui dictaient le Livre Saint, n'acceptait de montrer son visage à aucun homme… sauf à tous les français qui étaient ou venaient chez nous. C'est plus tard que j'ai compris par hasard (un ami de mon père, musulman, était venu dîner. Et  devant lui, elle se voilait !) que, aucun d'eux ne pouvant se targuer du vocable “Homme”, on pouvait leur montrer son visage (à ces trucs ?) sans encourir la colère divine.
On peut admettre que quelqu’un qui a mal compris un texte –qu'il est incapable de lire– en fasse une interprétation erronée. Mais il est plus difficile à admettre que mise au courant de sa faute, il persiste jusqu'à faire de cette erreur un argument cent fois répété, qui lui serve en plus à colporter des raisonnements qui n'ont aucun sens et sont utilisés pour détruire les arguments de ceux qui, eux, savent de quoi ils parlent et ne disent pas que de grosses bêtises, eux, Mais que resterait-il de la Gauche française si on lui ôtait les méchantes idées qui, depuis le XVIII ème siècle, servent de fondement à sa mauvaise lecture du monde et de ses problèmes ?
Je me souviens d'un temps –que j'ai vécu intensément et aimé autant qu'il est possible– où l'islam savait s'adapter au monde qui l'entourait et n'avait pas comme unique pathologie de tout convertir, “bessif” (= par la force du sabre) : Bien des musulmans existaient en tant que ce qu'ils étaient, étaient fiers de leur différence et n’avaient donc aucune raison de rejeter l’humanité tout entière…. J'avoue détester l'islam-machine de guerre qui ne rêve que de tuer, détruire et raser tout ce qui n'est pas “lui”… ou, pour être plus proche de la vérité, ce qu'il imagine qu'il devrait être… 
 Attendre qu'il se dégoûte lui-même de ce méchant défaut simplement parce qu'on cédera, par système, à toutes ses exigences les plus absurdes… relève d’une politique à la Gribouille, et la plus stupidement imbécile. Et je mesure mes mots…
Cl.H.
3 notes · View notes
cogito-ergo-absens · 28 days
Text
Tumblr media
Dans "Aux sources de la maladie", Michel Odoul nous invite à une exploration profonde de la symbiose entre l'esprit et le corps. À travers une synthèse de réflexions issues de ses années de pratique, il nous éclaire sur l’impact de nos émotions et pensées sur notre bien-être physique.
Cet ouvrage nous amène à réfléchir sur le pouvoir de l'écologie individuelle et sa relation intrinsèque avec l'écologie planétaire. La philosophie orientale, la médecine chinoise, l'ayurveda et le shiatsu y sont explorés comme des clefs pour comprendre et honorer cette connexion sacrée.
"Redécouvrir cette connexion entre le corps et l'esprit est essentiel pour donner à la vie ses lettres de noblesse." - Michel Odoul
Un livre qui est une invitation à prendre soin de soi pour contribuer à la santé du monde. 🌱
Bonne lecture et bon voyage à travers la sagesse du vivant! 🙏
2 notes · View notes
jlmeb · 11 months
Video
vimeo
16 mai 2023 Alexandra Soulier L'Acceptabilité des restrictions liées à la lutte contre la covid-19 from Jlmeb on Vimeo.
L’Acceptabilité des restrictions liées à la lutte contre la covid-19 Premiers résultats d’une étude dans un quartier populaire de Toulouse
Alexandra Soulier Philosophe Chargée de recherche CNRS
conférence mardi 16 mai 2023 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse
Alexandra Soulier est chargée de recherches à l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (Université Panthéon-Sorbonne et CNRS). Ses recherches s’inscrivent dans le champ de la philosophie de la médecine et portent principalement sur la santé publique. Elles se situent à l’articulation de la philosophie sociale et de la philosophie des sciences. Elle s’intéresse en particulier aux inégalités environnementales et sociales de santé et au rôle des sciences humaines et sociales dans les paradigmes actuels qui s’efforcent de penser la santé à l’interface entre celle des animaux, des hommes et de leur environnement. Elle exerce actuellement une mission à l’Institut de Recherche en Santé Publique pour l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS. Sa conférence portera sur un aspect de la récente pandémie qui nous a tous interrogés, au travers de résultats récents dans le cadre d’une recherche menée dans un quartier de Toulouse dont elle propose le résumé suivant.
Le gouvernement d’exception (Champeil-Desplats, 2020 ; Fassin et al., 2020) qui débute avec l’entrée en vigueur de l’état d’urgence sanitaire et de la loi no 2020-290 du 23 mars 2020 pour répondre à l’épidémie de Covid-19, a autorisé la mise en place de mesures exceptionnelles sur l’ensemble du territoire français. En raison du primat accordé aux enjeux sanitaires, des limitations sans précédent ont ainsi restreint l’exercice des droits et des libertés (Leterre, 2021) et ont donné lieu à une activité accrue des forces de l’ordre pendant la crise sanitaire, notamment dans les quartiers populaires, devenus l’archétype de l’espace « à policer » (Bony, Froment-Meurice et Lecoquierre, 2021). En raison de leur rupture radicale avec le cours quotidien de la vie et leur force contraignante, ces mesures restrictives questionnent l’adhésion des personnes.
Les mesures sanitaires présentées par le gouvernement comme des mesures « universelles », se sont concrétisées dans des situations spécifiques, en fonction des conditions de vie des personnes. En enquêtant à l’échelle d’un « territoire » urbain, nous avons cherché à étudier au plus près la manière dont des politiques sanitaires nationales ont rencontré des dynamiques locales préexistantes ou des initiatives visant à améliorer la couverture vaccinale de certaines catégories de population (Demailly, 2014 ; Gross, 2020).
Cette conférence reviendra sur les premiers résultats d’une recherche basée sur une méthodologie qualitative, de type monographique, menée dans un quartier populaire de la ville de Toulouse. Cette approche monographique suppose l’étude minutieuse des pratiques de différents acteurs et de leurs interactions, en les situant dans un espace et un temps spécifiques. Cette enquête, commencée en octobre 2022, s’appuie sur des entretiens semi-directifs menés auprès des habitant.e.s et des acteurs « de proximité » de ce quartier classé « quartier prioritaire de la Politique de la Ville ».
Ce travail a été réalisé en collaboration avec Laurence Boulaghaf et Alfonsina Faya-Robles.
5 notes · View notes
nicklloydnow · 1 year
Text
“But intellectual life is flourishing in the cafés, institutes and academies, as refugees forge community in exile. And at the École Pratique des Hautes Études, one of France’s most prestigious research universities, Alexandre Kojève has taken over Alexandre Koyré’s seminar on The Phenomenology of Spirit (1807) by G W F Hegel. Between 1933 and 1939, Raymond Aron, Georges Bataille, André Breton, Gaston Fessard, Jacques Lacan, Maurice Merleau-Ponty, Éric Weil, Hannah Arendt, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Frantz Fanon, Raymond Queneau, Emmanuel Levinas all come to hear his lectures. A collection of the most renowned thinkers of the day, who would come to lay the intellectual foundations for 20th-century philosophy, political thought, literature, criticism, psychology and history. It is said that Kojève’s lectures were so intricate, so deft, that Arendt accused him of plagiarising. Bataille fell asleep. Sartre couldn’t even remember being there.
(…)
The short answer is that Kojève made Hegel accessible by bringing to the surface one of the essential elements of his work: desire. Kojève did not deny he was providing a reading of Hegel that transformed the text. His interpretation has been described as ‘creative’, ‘outrageous’ and ‘violent’. The question Kojève placed at the centre of his lectures was: ‘What is the Hegelian person?’ And he answered this question through a discussion of human desire by centring a brief section in the Phenomenology titled ‘Independence and Dependence of Self-consciousness: Lordship and Bondage’, which is popularly rendered as ‘the master/slave dialectic’. And by centring this nine-page section of a 640-page work, Kojève offered readers a way to grasp an otherwise elusive text.
Poetic in its opacity, perplexing in its terminology, Hegel’s work offers an understanding of the evolution of human consciousness where the finite mind can become a vehicle for the Absolute. But what does that mean? Kojève took the lofty prose of Hegel down from the heavens and placed it in human hands, offering a translation: this is a book about human desire and self-consciousness. Or, as the philosopher Robert Pippin writes:
Kojève, who basically inflates this chapter to a free-standing, full-blown philosophical anthropology, made this point by claiming that for Hegel the distinctness of human desire is that it can take as its object something no other animal desire does: another’s desire.
What was Kojève’s reading of the master/slave dialectic?
In Kojève’s reading, human beings are defined by their desire for recognition, and it is a desire that can be satisfied only by another person who is one’s equal. On this reading, Kojève unfolds a multi-step process: two people meet, there is a death-match, a contest of the wills between them, and whoever is willing to risk their life triumphs over the other, they become the master, the other becomes a slave, but the master is unable to satisfy his desire, because they’re recognised only by a slave, someone who is not their equal. And through the slave’s work to satisfy the master’s needs, coupled with the recognition of the master, ultimately the slave gains power.
What is essential for Kojève is that one risk their life for something that is not essential. The one who shrinks before the other in fear of death becomes the slave. The one willing to die – to face the inevitability of their own non-existence – becomes the master. In other words, desire is an exertion of the will over an other’s desire. Or, as the French psychoanalyst Jacques Lacan would come to say: ‘Desire is the desire of the Other’s desire.’ It is not an attempt to possess the other person physically, but to force the other person in that moment of contest to make the other give, to bend their will, in order to achieve superiority. And in this moment, Kojève writes: ‘Man will risk his biological life to satisfy his nonbiological Desire.’ In order to gain recognition in this sense, one must be willing to risk everything – including their life. It is a struggle for mastery of the self.
Instead of Hegel’s roundabout of self-consciousness that exists in itself and for itself but always and only in relation to another, Kojève gives us: self-consciousness is the I that desires, and desire implies and presupposes a self-consciousness. Thinking about the relation between the finite mind and Absolute knowledge is opaque, but desire is human. People know what it feels like to desire, to want, to crave to be seen, to feel understood. Desire is the hunger one feels to fill the absence inside themselves. Or, as Kojève put it: ‘Desire is the presence of absence.’
(…)
Perhaps most importantly, what Kojève understood was the extent to which we humans desire to exercise some control over how other people see us differently from the ways in which we see ourselves. However tenuous or certain our sense of self-identity may seem, it is our very sense of self that we must risk when we appear in the world before others – our identity, desire, fear and shame. There is no guarantee that we will be seen in the way we want to be seen, and feeling misrecognised hurts when it happens, because it wounds our sense of self. But this risk is vital – it is part of what makes us human, it is part of our humanity. And whereas Kojève’s reading drives toward an ideal of social equality that affirms one’s preexisting sense of self when confronted by an other, for Hegel, one must take the other’s perception of the self – whatever it may be – back into their own self-consciousness. In other words, whereas for Hegel freedom rested upon the ability to preserve difference, for Kojève it rested upon the ability to preserve one’s own identity at the expense of difference.
In bringing the lofty language of Hegel down from the heavens, Kojève offered readers a secular understanding of human action, which requires each and every individual to reckon with the inevitability of their own death, their own undoing. And in doing so he shifted the focus toward the individual as the locus of social change, where history unfolds toward an aristocratic society of equals, where all difference is destroyed. Influenced by Karl Marx’s account of class struggle as the engine of history, and Martin Heidegger’s understanding of being-toward-death, Kojève’s reading of the master/slave dialectic presents another form of contest between oppressor and oppressed, where mastery over another in order to master oneself becomes the means to equality, and ultimately justice within society. Kojève adopted the master/slave dialectic in order to develop what Michael Roth called ‘a schema for organising change over time’, to think about the movement of history. And the master/slave dialectic unfolds at the level of the individual and the level of society, where the self gains recognition as a desiring subject through the endless battle for recognition that is appearing in the world with others, and the level of society where all past historical movements will be judged within a framework of right, which is the end of history.
This has been in part the legacy of Kojève. Influenced by Kojève’s reading of the master/slave dialectic, Sartre argued in Being and Nothingness (1943) that man’s freedom is found in negation. In The Second Sex (1949), Beauvoir turned to Kojève to think about women’s oppression in relation to man and the need for intersubjective recognition. Lacan’s ‘mirror-stage’ follows Kojève’s reading of Hegel to understand the role of desire as a lack in the formation of human subjectivity. Bataille turned to Kojève to argue that one could experience full self-sovereignty only in a moment of pure negation. For Foucault, it led to the belief that there is no desire free from power-relations – his central theme. And for Fukuyama, this historical contest of wills evolving along a linear temporal plane toward an equal and just society has become the much-mocked ‘end of history’ thesis – the idea that Western liberal democracy has evolved as the final form of human government in the postwar world. The postwar world Kojève himself helped to shape, before his untimely death in 1968. Ultimately, Fukuyama’s thesis captures the difference between Hegel and Kojève’s Hegel: for Kojève, the ideal of universal equality won through an endless battle for recognition was always an individualist notion that required domination when confronted by otherness. But for Hegel, human freedom could be won only through collectivity by embracing the opacity of otherness that we are constantly confronted with in ourselves, and in the world with others. It is an acceptance of that fact that self-mastery will always remain an illusion.”
4 notes · View notes